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De petites avancées face aux blancs de la généalogie des Langlois originaires de Pont-de-l’Arche et Sèvres

14juin

En décidant d’affronter méthodiquement les blancs qui résistent, de leur mutisme, dans la généalogie réalisée par Bertand Langlois,

tant en aval des ancêtres bavarois Hastreiter et Kuntz d’Eschlkam, à la fontière de la Bohème, 

qu’en amont, en remontant de Robert Langlois de Sèvres (Sèvres, 16 février 1900 – Montreuil-aux-Lions, août 1944) _ ce Robert Langlois-ci étant le grand-père paternel de Bertrand et de Hervé Langlois, ainsi que de leur sœur et leur frère, dont j’ignore encore les prénoms _

à Robert Dubourg de Pont-de-l’Arche (Pont-de-l’Arche 1591 – Pont-de-l’Arche, 1666),

j’ai pu, à force d’un peu de patience dans le décryptage systématique de ces blancs, réaliser quelques petits progrès d’identifications au moins partielles…

Par exemple,

je sais dorénavant que l’enfant né _ même si j’en ignore toujours et le lieu et la date de naissance ; ainsi que l’identité de sa mère… _ du premier mariage de Hervé _ Alexandre-Yves _ Langlois

_ le frère de Bertrand Langlois, l’auteur de ces arbres généalogiques… _,

est un garçon Langlois.

J’ai pu aussi identifier le sexe _ le genre masculin ou féminin _ de chacun des individus dont les identités ont été cryptées par l’auteur de ces arbres généalogiques, Bertrand Langlois _ dont j’ignore les lieux et dates de naissance et mariage (avec Sylvie Poinsot) _  ;

et cela d’une génération à une autre

_ si bien qu’il est possible d’indiquer qui porte, et qui ne porte pas, le nom de Langlois à chaque génération, et en particulier les plus récentes, de cette famille Langlois ; même si la plupart des noms demeurent inaccessibles pour l’heure…

Ce qui m’a aidé à en apprendre davantage sur les identités de certains de ces descendants Langlois :

par exemple,

j’ai appris que le second des trois fils _ placé entre Thibaut, l’aîné, et Xavier Langlois, le troisième _ de Bertrand Langlois et de son épouse Sylvie Poinsot, Matthieu Langlois,

est né _ mais j’ignore où _ le 22 mai 1976,

et son épouse, Sophie-Marie Haguet, le 7 novembre 1975 ;

et que les trois fils de ces derniers se prénomment Corentin, Ernest et Artus…

Recherches, bien sûr, à poursuivre ;

avec patience, en espérant toujours que quelque nouvel indice me fera un peu avancer encore dans ces identifications de la parentèle plus ou moins proche, ou lointaine, de Théotime Langlois de Swarte, né à Céret en 1995 _ sans plus de précision _, ce si brillant jeune violoniste :

et je n’en sais guère davantage sur Théotime lui-même ;

sinon _ et ce n’est pas peu _ le nom de son épouse, la flûtiste (de Laburgade, dans le Lot) : Mathilde Latour…

Mathilde et Théotime se sont mariés, dans les Pyrénées-Orientales _ la réception a eu lieu à Pollestres, non loin de Perpignan _, le 27 juillet 2018.

Et Mathilde et Théotime sont domiciliés, non loin de Pantin, en Seine-Saint-Denis : au Pré-Saint-Gervais

Ce lundi 14 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A la recherche de données chronologiques un peu précises concernant la très active présence de Bertille de Swarte (et de ses enfants) en Roussillon (Suite)…

06juin

Dans la continuation du questionnement qui ouvrait mon article du 29 mai dernier  _ « je me suis demandé ce qui a pu occasionner la résidence de la sœur d’Alain de Swarte, Bertille de Swarte, dans les Pyrénées-Orientales : à Perpignan, à Céret, ou à Canet-en-Roussillon«   _,

ainsi que de la poursuite de mon effort de préciser la chronologie de la présence de Bertille, ainsi que des membres les plus proches de sa famille en Roussillon _ déjà, les deux derniers de ses enfants, Pauline et Théotime, sont nés dans le département des Pyrénées-Orientales _,

il m’est nécessaire de faire ici un point chronologique le plus précis possible sur cette résidence roussillonnaise de Bertille de Swarte, et de ses cinq enfants…

Pas mal de données chrono-biographiques concernant Bertille de Swarte me manquent pour le moment ;

notamment, et d’abord, sa date de naissance _ entre 1956,  l’année qui suit celle de la naissance de Thibault, son frère aîné (né à Neuilly-sur-Seine le 3 mars 1955), et 1961, l’année qui précède celle de la naissance de sa soeur Béatrice (née le 29 mars 1962) _ ;

de même que la date de son mariage avec Pierre Sartre, le père de ses trois premiers enfants, Sylvain _ né, mais j’ignore où, le 28 août 1979 _, Alexis et Camille Sartre _ j’ignore les lieux et dates de leur naissance.

Ce dimanche, j’ai réussi à découvrir un embryon d’arbre généalogique de la famille _ en partie bordelaise, d’ailleurs _ des Fizet – Arsene-Henry, qui vient m’apporter les prénoms des trois enfants que la fille de Pierre Sartre et Bertille de Swarte, Camille Sartre _ dont j’ignore toujours les lieu et date de naissance _ a eu de ses deux maris _ j’ignore aussi les dates de ces deux unions _ : Guillaume Touzet, puis Gaël de Swarte :

_ Romane Touzet ;

_ Louise et Martin de Swarte _ cependant, cette généalogie-ci ne m’apprend pas les lieux et dates de naissance de ces 3 enfants de Camille Sartre : pas plus pour ce qui concerne Romane, que pour ce qui concerne Louise et Martin…

Enfin, il va me falloir essayer d’estimer, faute de donnée plus précise, le moment important de la venue et installation de Bertille de Swarte en Roussillon ;

où elle donnera naissance à ses deux derniers enfants, issus de son union avec Hervé Langlois, professeur de chant, comme elle, qui sont Pauline Langlois de Swarte et Timothée Langlois de Swarte (ce dernier, à Céret, en 1995)…

C’est _ et c’est important à relever _ en 1988, qu’est créé à Perpignan l’IRVEM, l’Institut de de Recherche Vocale et d’Enseignement Musical Méditerranéen, dont Bertille de Swarte est une cheville-ouvrière.

De même qu’il faut relever aussi le décès à Prades, le 3 août 1990, de Pierre de Swarte, le grand-père-paternel de Bertille.

À suivre…

Ce dimanche 6 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et maintenant la place de Théotime Langlois de Swarte au sein des filiations de la famille de Swarte…

28mai

Dans le parcours de mes recherches des liens existant entre certains membres de la famille de Swarte et certains cousins périgourdins de Jan-Paul Sartre,

parcours ouvert le 25 mai dernier ( ;

 ;

),

à partir du souvenir toujours vivace de mes conversations en voiture, entre la rue Emile Zola à Bordeaux, et le lycée Max Linder de Libourne, avec mon collègue Thibault de Swarte,

j’en viens à mes efforts d’établissement d’une généalogie des de Swarte,

au sein de laquelle situer le jeune et très brillant virtuose du violon baroque Timothée Langlois de Swarte, né à Céret en 1995…

Je me suis d’abord appuyé sur une généalogie très détaillée de la famille de Swarte, à partir de Joseph de Swarte (1859 – 1930) et sa seconde épouse Louise Tournier (1871 – 1966), et dans laquelle figurent effectivement

_ après leur fils Pierre de Swarte (1898 – 1990) et son épouse Suzanne Martin de Ramefort (1902 – 1997), et leur petit-fils Alain de Swarte (1926 – 2009) et son épouse Geneviève Rendu-Sauvy (1929 – 2008) _,

les quatre enfants d’Alain de Swarte et Geneviève Rendu-Sauvy, soient Thibault de Swarte, ses deux sœurs Bertille et Béatrice, et son frère Eymeric,  ainsi que la plupart des enfants de ces derniers ;

mais pas tous : manquent en effet dans cet arbre généalogique

et Pauline Langlois de Swarte, et son frère Théotime Langlois de Swarte…

Il me fallait donc continuer de chercher…

Et avant même de découvrir une généalogie très fouillée de sa famille _ je vais bien sûr y revenir… _ composée par Thibault de Swarte lui-même (né à Neuilly en 1955),

j’ai découvert sur le Web plusieurs articles concernant le brillant virtuose violoniste qu’est le jeune Théotime Langlois de Swarte (né à Céret en 1995),

dans lesquels celui-ci délivrait, mais très éparses, quelques données de sa filiation personnelle,

concernant ses parents, ou ses frères et sœurs…

Par exemple, et surtout, cet article-ci _ rédigé par Nicolas Mathieu le 10 décembre 2020 _, intitulé « Théotime Langlois de Swarte, mad lover du violon baroque« ,

qui m’a appris, d’une part, que ses parents étaient tous deux professeurs de chant, et que sa mère dirigeait un chœur ;

et, d’autre part, que non seulement il avait pour sœur _ ce que je savais déjà _ Pauline Langlois de Swarte ; mais aussi pour frère le flûtiste baroque et co-directeur de l’Ensemble baroque Les Ombres, Sylvain Sartre :

une découverte éminemment décisive, forcément, pour ma recherche de la place de Théotime Langlois de Swarte (ainsi que de Sylvain Sartre) au sein des familles de Swarte et Sartre…

Voici donc le début de cet entretien.

À la question de Nicolas Mathieu :

« Quand s’est faite votre révélation de la musique baroque ?« ,

Théotime répond :

« Elle s’est faite très jeune, car mes parents _ et Théotime ne donne pas encore ici leurs noms ni prénoms : Bertille de Swarte et Hervé Langlois… _ sont professeurs de chant. J’ai toujours entendu de la musique baroque à la maison, et c’est une musique qui m’a toujours plu. Je me souviens des débuts du label Alpha _ auxquels, ami de Jean-Paul Combet, j’ai assez activement participé, et cela dès avant même la parution du premier CD, le CD Alpha 001, Le Musique di Bellerofonte Castaldi, de Vincent Dumestre, Guillemette Laurens et Le Poème Harmonique, en 1998… _, j’étais tout petit et j’écoutais tous les disques qui sortaient ! Tout cela m’a énormément influencé _ heureux de l’apprendre ! Je chantais aussi beaucoup de musique baroque dans le chœur que dirigeait ma mère _ celui de l’IRVEM (Institut de Recherche Vocale & d’Enseignement Musical Méditerranéen), à Perpignan. Ensuite, mon grand frère Sylvain Sartre jouait de la flûte traversière baroque, et ma sœur Pauline Langlois de la viole de gambe, du clavecin et du piano. À 9 ans, je me suis donc mis au violon baroque pour pouvoir jouer avec elle« …

Voilà ainsi établi _ et en quelque sorte confirmé _ le lien _ que je pressentais fortement _ de Timothée Langlois de Swarte avec la famille Sartre…

Ou encore cet autre entretien-ci _ avec Alain Cochard le 18 janvier 2020 _, intitulé « Théotime Langlois, radieux archet« ,

où est à nouveau affirmé que « c’est à Céret qu’il naît en 1995, dans une famille de professeurs de chant _ son père, Hervé Langlois, comme sa mère, Bertille de Swarte. Dès quatre ans, il se met au violon :

« J’étais attiré par les archets qui me faisaient penser à des épées, s’amuse-t-il. Il y a un rapport très fort à la voix dans ma famille ; ce qui m’a toujours plu dans le violon, c’est la dimension vocale »… » _ cela, d’ailleurs, s’entend fort bien…

Il ne m’a donc pas été difficile de comprendre que la mère de Théotime Langlois de Swarte n’était autre que Bertille de Swarte,

la sœur de mon ancien camarade du temps des Lycées Max Linder à Libourne et Grand Air à Arcachon.

_ cf cet extrait du CV de Thibault de Swarte (in Dossier d’habilitation à diriger des recherches en sciences de gestion, le 27 novembre 2012) :

« 1979-1982 : Professeur certifié de sciences économiques et sociales

Lycées Max LINDER et Marguerite de VALOIS

Chargé de conférences à l’Institut d’Etudes Politiques de Bordeaux 

Actions de Formation Continue en milieu professionnel
Professeur agrégé de sciences sociales (1982-1989)
Lycée de Grand Air (Arcachon) puis Montesquieu (Bordeaux), classes de secondes, premières et terminales (1982-1988). 
Chargé de cours à l’Université de Bordeaux II (DEUG MASS, mathématiques appliquées aux sciences sociales), 1989. 
Chargé de cours à l’Institut d’Etudes Politiques de Bordeaux (préparation au CAPES et à l’Agrégation de sciences sociales) et INSEEC (3°année), 1986-1988.
Vice-président ou Président du jury du Baccalauréat à différentes reprises
Conseiller pédagogique et membre du jury des épreuves pratiques du CAPES (1984)
Elu au Conseil d’Administration du lycée Montesquieu (1987)«    _ ;
et que celle-ci, Bertille, était mère de 5 enfants :
d’une part 3 enfants Sartre : Sylvain (né le 28 août 1979), Alexis et Camille ;
et d’autre part 2 enfants Langlois de Swarte : Pauline (née en 1993 ou 94) et Timothée (né en 1995).
Pierre Sartre est le père de Sylvain, Alexis et Camille Sartre ;
et le musicien et professeur de chant Hervé Langlois est le père de Pauline et de Timothée Langlois de Swarte.

Même si je n’ai guère trouvé à ce jour de données un peu plus précises sur certains des membres de cette généalogie, tels Pierre Sartre (le père de Sylvain, Alexis et Camille Sartre), ou Hervé Langlois (le père de Pauline et Théotime Langlois de Swarte),

je suis tout de même parvenu à insérer Théotime Langlois de Swarte dans la parentèle de mon camarade Thibault de Swarte :

Théotime Langlois de Swarte est bien un des 7 neveux et nièces de Thibault de Swarte :

Sylvain, Alexis et Camille Sartre, Pauline et Théotime Langlois de Swarte, les 5 enfants de sa sœur Bertille de Swarte ;

et les 2 enfants Trouvé _ j’ignore leurs prénoms _ de son autre sœur, Béatrice de Swarte…

Et de même que certaines des trois filles de Thibault, Laure, Alice et Clotilde de Swarte, semblent avoir des pratiques musicales,

pas mal de ses neveux et nièces, aussi…

Et pour ce qu’il en est de la généalogie des Sartre périgourdins,

les trois enfants aînés _ Sylvain, Alexis et Camille _ de Bertille de Swarte, sont bien des Sartre cousins des Sartre de Corgnacq-sur-l’Isle et Thiviers.


Leur père, Pierre Sartre, est le fils d’André Sartre ;

et le petit-fils de Gérard Sartre (Périgueux, 7 janvier 1888 – 24 décembre 1968), l’instituteur de Saint-Pierre-de-Chignac,

cousin germain de Jean-Baptiste Sartre (Thiviers, 5 août 1874 – Thiviers, 17 septembre 1906), le père de Jean-Paul Sartre (Paris 16e, 21 juin 1905 – Paris 14e, 15 avril 1980)…

La boucle des filiations et apparentements des Sartre et des de Swarte

est donc ici bouclée.

Ce vendredi 28 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Avancer sur la question de la parenté (périgourdine au moins…) des de Swarte et des Sartre (suite)…

26mai

Pour essayer de répondre à la question finale de mon article d’hier ,

la première tâche qui s’imposait à moi

était de tenter de retrouver, ou reconstituer, les arbres généalogiques des De Swarte _ une famille originaire du département du Nord : Vieux-Berquin, depuis le mariage, à Vieux-Berquin, le 21 septembre 1858, d’Edouard de Swarte (né à Meteren le 23 août 1834) et d’Anaïs Lagersie (née à Vieux-Berquin le 2 septembre 1834) ; puis Hazebrouck, où est décédé le 8 février 1930, Joseph de Swarte (né à Vieux-Berquin le 10 avril 1859) ; Joseph de Swarte, père de Pierre de Swarte (Vieux-Berquin, 10 décembre 1898 – Prades, 3 août 1990), grand-père d’Alain de Swarte (Hazebrouck, 3 mars 1926 – Agonac, 26 décembre 2009) et arrière-grand-père de Thibault de Swarte (né à Neuilly-sur-Seine le 3 mars 1955) ; et c’est aussi à Hazebrouk que, le 2 juillet 1921, Pierre de Swarte a épousé Suzanne Martin de Ramefort (Gennes (Maine-et-Loire), 16 janvier 1902 – Agonac, 15 août 1997)… _,

ainsi que des Sartre _ une famille de très ancienne souche périgourdine : établie à Corgnacq-sur-l’Isle dès la fin du XVIIe siècle ; puis à Thiviers, à partir du mariage, à Thiviers, le 18 février 1867, du docteur Eymard Sartre (né à Corgnacq-sur-l’Isle le 17 mars 1836) et de Marie-Marguerite Chavoix (née à Thiviers le 18 juillet 1847)  _, au moins en Périgord…

Avant de peut-être découvrir un lien matrimonial entre deux membres de ces familles Sartre et de Swarte…

La difficulté à laquelle je devais m’affronter surtout était de comprendre et identifier l’affiliation ou/et l’apparentement de Théotime Langlois de Swarte, né à Céret (Pyrénées-Orientales) en 1995 _ sans plus de précision jusqu’ici… _, avec les De Swarte, dont il porte le nom _ de quels parents est donc issu Timothée ? Et a-t-il un lien, et lequel, de parenté avec mon camarade Thibault de Swarte ? _, ainsi, éventuellement, qu’avec les Sartre ?..

Tout d’abord, il me fallait préciser la position généalogique, au sein de la famille de Swarte, de Thibault.

J’y ai été aidé par un très intéressant article _ du journal Sud-Ouest, en date du 18 septembre 2013 _ consacré à l’héritage et à la personnalité _ très remarquables, les deux ; et de tout cela, je n’ai pas souvenir que Thibault m’ait jamais parlé, dans nos conversations automobiles… _, de son père, Alain de Swarte ;

et cela à travers le point de vue du frère de Thibault, Eymeric de Swarte : 

l’article s’intitule « La Mémoire d’Alain de Swarte« 

_ et c’est cet article qui m’a appris que c’est en 1956, soit un an après la naissance de son fils aîné, Thibault, (à Neuilly) qu’Alain de Swarte est venu s’installer en Dordogne, à Trélissac, en ce domaine de 3 hectares de La Meynie, dont il fit « presque une réserve naturelle où les chasseurs du coin n’étaient pas les bienvenus« 

J’y apprenais de quel père très remarquable ! _ Thibault de Swarte était le fils ;

et aussi que Thibault était l’aîné d’une fratrie de quatre : deux sœurs _ dont n’étaient pas mentionnés alors les prénoms _, et le benjamin de cette fratrie, Eymeric de Swarte…

À suivre…

Ce mercredi 26 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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