Poursuite de la recherche d’indices parmi le réseau des constellations familiales autour des Ducos du Hauron d’Algérie…
10jan
Mon début de recherche d’indices susceptibles de confirmer la validité des hypothèses que j’avançais encore assez prudemment sur quelques filiations au sein de la branche « algéroise – algérienne » des Ducos du Hauron,
cette branche qui naît de l’union d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey,
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s’avère bien plus riche et fécond que je ne me le suis figuré hier,
en commençant à rédiger mon article : A la recherche d’indices parmi le réseau des constellations familiales autour des Ducos du Hauron d’Algérie ; et quelques réflexions sur des questions de méthode……
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Car j’ai d’abord bien plus clairement pris conscience du cousinage très effectif existant entre celle qui deviendra, le 30 mars 1930, Madame Veuve Gadel,
et celui qui, le 9 mars 1905 à Orléansville, était devenu son époux…
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Puisque Victor-Nicolas Benjamin Gadel (Le Grand Serre, 1872 – Alger, 1930), le mari d’Aimée-Laurence Rey _ la future « Mme Vve Gadel » d’à partir du 30 mars 1930… _, n’est autre que le fils aîné de celle, Marie-Eugénie-Hortense-Rey, qui se trouve être la sœur cadette du propre père d’Aimée-Laurence Rey, Jean-Anatole-Firmin Rey _ d’une famille du Grand Serre, un village tout au nord du département de la Drôme…
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Ce qui a pour conséquence que la venue en Algérie, en sa carrière militaire, de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, au mois d’octobre 1903 _ au régiment du 1er Tirailleurs algériens _, préalable à la rencontre de sa future épouse, probablement à Orléansville, où Aimée-Larence Rey était domiciliée _ possiblement chez un de ses oncles Gentet, qui pourrait être Louis Gentet (conseiller municipal à Orléansville) : Frédéric et Jacques Gentet, les frères de Louis et de la défunte Adélaïde, ayant quitté, eux, Orléansville pour Alger... _ paraît de moins en moins résulter d’un pur hasard…
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J’ai aussi mis le doigt sur la présence renouvelée de divers membres de la famille Ducros, en particulier à Aumale, dès les opérations militaires de conquête de l’Algérie, par le maréchal Bugeaud.
Sans que je sois pour le moment en mesure d’identifier les filiations entre ces différentes personnes portant le patronyme de Ducros, en liaison avec leurs situations, de nature administrative, à Aumale ; ainsi, aussi, mais plus tardivement, qu’à Azazga (qui fera partie de la « commune mixte » du Haut-Sébaou), mais cette fois pour des raisons de colonisation agricole.
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Ainsi, le capitaine Ducros, appartenant au 64e régiment de ligne, et « chef du bureau arabe du poste d’Aumale« , « s’est particulièrement distingué à l’attaque de la première position » des insurgés kabyles, au Djurjura, et « a été grièvement blessé d’un coup de feu à la cuisse« , est-il rapporté dans le Mémorial d’Aix (des 30 mai et 3 juin 1847).
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Plus tard, la carrière d’administrateur-adjoint de Henri Ducros,
dont la famille est installée depuis les années 80 du XIXe siècle à Azazga, et en l’occurrence son père, Henri Ducros, et sa mère née Philomène Roussel _ le numéro de L’Écho d’Alger du 24 juillet 1931 comporte le faire-part de décès de Madame Veuve Henri Ducros, née Philomène Roussel, décédée, à l’âge de 71 ans, le 19 juillet 1931, à Azazga ; faire-part sur lequel figurent Mme et M. Henri Ducros et leurs enfants Yves et Raymond, MM. Ducros Edmond, Ducros Alphonse et son fils Jean-Pierre, Ducros Paul-Henri, et leurs familles…) _,
passe, entre février 1915 (où Henri Ducros est nommé administrateur-adjoint de la commune mixte de Sidi-Aïssa) et décembre 1919 (où il est nommé administrateur de la commune d’Aumale), par le poste d’administrateur-adjoint de la commune mixte du Haut-Sébaou, dont le centre principal est, justement, Azazga.
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À suivre…
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Ce dimanche 10 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa