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Un premier effet de ma conversation téléphonique inattendue de jeudi 14 avril dernier autour de certains des cousins et amis de Maurice Ravel à Saint-Jean-de-Luz et Ciboure : la découverte du lieu et de la date du décès du peintre luzien Pascal Bibal : à Bilbao, le 2 avril 1898…

19avr

La recherche est quasiment sans fin ; elle procède par à-coups, détail après détail, chaque détail dégagé faisant fonction d’indice pour, déjà, ouvrir _ et par audace d’imageance _ quelque nouvelle piste un peu précise, déjà, mais ouverte, bien ouverte, de questionnement et d’enquête à s’engager à mener.

Il y faut donc aussi de la patience, de la ténacité, et une capacité de sagacité _ et sérendipité _ à connecter entre eux _ et en leur disparate présent _ avec fécondité, espère-t-on, divers éléments épars déjà en place, le plus souvent, mais qui demeuraient muets faute d’un angle pertinent et performant d’attaque du questionnement et de connection adéquate de ces éléments disparates du puzzle assemblé…

La conversation-surprise et éminemment positive de jeudi dernier 14 avril a débuté par un focus immédiatement porté sur la distinction _ très factuelle et matérielle ! _ des signatures des peintres Bibal luziens, le père, Pascal Bibal, et son fils aîné, François-Ignace Bibal…

Ce qui m’a amené très vite à revenir me pencher sur cette famille luzienne des Bibal, et le constat _ renouvelé, mais maintenant propédeutique pour un nouvel élan de démarche de recherche un peu méthodique _ que continuait à me manquer le lieu _ possiblement, et même probablement, la conjonction de plusieurs indices y aidant : Bilbao... _ et la date _ entre 1896 et 1898, en étais-je alors resté… _ du décès de Pascal Bibal ;

qui ne figurait pas _ pas encore du moins… _ sur le listing des décès accessibles de l’état-civil de la commune de Saint-Jean-de-Luz.

Ce qui me laissait supposer, avec les indices fournis par _ et relevés sur _ les livrets militaires de ses trois fils, François-Ignace, Grégoire, Philippe-Joseph, que ce décès ne s’était vraisemblablement pas produit à Saint-Jean-de-Luz, mais peut-être, possiblement, voire probablement, à Bilbao…

Encore fallait-il en obtenir une indubitable preuve factuelle.

Or voici que, suite à l’impulsion _ d’énergie ; et il en faut ; joyeuse, voire enthousiaste ; et c’est un combustible nécessaire de la recherche méthodique et ouverte sur de l’encore inconnu à découvrir et révéler… _ du coup de fil-surprise du 14 avril,

ma nouvelle consultation du listing disponible _ et encore incomplet : il se complète peu à peu… _ des décès Bibal advenus à Saint-Jean-de-Luz, comportait, cette fois, un ajout, concernant, justement, et pour l’année 1898, le nom de Pascal Bibal, né à Saint-Jean-de-Luz, le  12 juin 1847, par une transcription, réalisée en date du 21 juin 1898, d’un document du Consulat de France à Bilbao en date, lui, du 23 mai 1898, indiquant une déclaration de décès réalisée, elle, le 3 avril 1898, à 11 heures du matin, d’un décès survenu à Bilbao, au n°6 de la Calle Arbolancha _ à l’adresse du domicile du défunt _ la veille, le 2 avril 1898, d’un nommé Pascual Bibal y Dupous, natif de Saint-Jean-de-Luz, âgé de 51 ans, par suite d’une pneumonie grippale.

Et cela, en la présence de son épouse, Dorotea Iburuzqueta y Zabala, native de Zarauz, et de leurs 5 enfants encore mineurs : François, Marie, Grégoire, Elise et Joseph Bibal.

Avec aussi la mention de la localisation du lieu de la sépulture de Pascal Bibal, à Bilbao : au cimetière de Mallona.

Ainsi que l’indication de l’ignorance de l’adresse des parents du défunt :

son père, Pierre Bibal, étant depuis longtemps _ le 12 septembre 1855 _ décédé ;

Mais sa mère, née Victoire Dupous demeurant, elle, bien vivante : c’est le 16 juin 1903, et en son domicile du 41 de la rue Gambetta, à Saint-Jean-de-Luz, qu’elle décèdera. 

Voilà donc un premier effet tangible et fécond _ et une première découverte _ de la remise en chantier de ces éléments de recherche laissés un certain temps, jusqu’ici, faute d’élément décisif de preuve, en jachère ; c’est-à-dire en attente et espérance _ non illusoire mais sérieuse et réaliste : rationnelle _ de découverte…

La recherche devant donc se poursuivre aussi sur les autres éléments et questions qu’a abordés et soulevés mon aimable et très compétent correspondant luzien…

J’ai donc pu aussi rectifier _ en rouge _ les données alors incertaines _ voire erronnées : à absolument corriger ! _ de mon article du 8 novembre 2019 : , pour ce qui y concernait mon ignorance d’alors, désormais enfin résolue grâce à l’apport décisif du listing luzien des décès concernant, à un titre ou un autre, des personnes ou bien décédées à Saint-Jean-de-Luz, ou bien liées _ à quelque titre que ce soit : ici la naissance en cette ville _ à cette ville, à propos, ici donc, du lieu et de la date du décès du natif de Saint-Jean-de-Luz, le 12 juin 1847, au n° 22 de la Grand Rue _ jumeau d’une sœur, Marie, précocement décédée, elle, le 18 mars 1849 _, le luzien Pascal Bibal _ ou Pascual Bibal y Dupous, ainsi que noté le 3 avril 1898 à Bilbao…

Ce mardi 19 avril 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Relecture-révision de l’article du 28 décembre 2020 : « L’apparentement des Ducos du Hauron d’Algérie avec les Gadel, par plusieurs dames Rey : Marie-Eugénie-Hortense, Aimée-Laurence, et Marie-Louise »

30nov

Voici les résultats, corrections et ajouts, de ma relecture de l’article du 28 décembre 2020 :

Le long temps passé sur les données disparates, telles qu’au fur et à mesure, elles sont devenues, et une par une, accessibles sur le web, des parentés familiales des Ducos du Hauron d’Algérie et des Gadel au cours des quatre premières décennies du XXe siècle, à la recherche de la pièce de ce puzzle qui les connecterait enfin très effectivement, m’a permis de découvrir avec assez de probabilité de vérité, ce lien qui, jusqu’à présent, n’était jamais apparu, encore, avec l’éclat d’une entière clarté d’évidence parfaite de parenté.

Ce lien concerne, pour commencer, et en prémices, la présence suivie, mais toujours particulièrement discrète _ chaque fois isolée de son propre contexte familial spécifiquement Rey ; ce qui accentuait ma difficulté… _, de plusieurs dames née Rey, successives, parmi deux familles : celle de la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron, d’une part, et celle de la famille provençale des Gadel, d’autre part :

soit 1) Marie-Eugénie-Hortense Rey, première épouse _ leur mariage a eu lieu au Grand-Serre (Drôme) le 6 avril 1867 _ de Victor-Alexandre-Philémon Gadel, et mère de ses enfants

_ Marie-Eugénie-Hortense Rey est née au Grand-Serre le 21 mars 1848 ; et décèdera au Grand-Serre le 9 septembre 1880 ;

et Victor-Alexandre-Philémon Gadel est né à Tarascon, le 12 octobre 1835 ; et décèdera à Marseille le 27 septembre 1927 _,

2) Aimée-Laurence Rey, épouse _ à Orléansville, le 11 mars 1905 _, puis veuve _ à Alger, le 30 mars 1930 _, de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel ;

et enfin 3) Marie-Louise Rey _ née, mais j’ignore où, en 1879 : sans plus de précision… _, épouse _ mais j’ignore toujours précisément où et quand… _, de Marie-Louis-Amédée Ducos du Hauron _ et non pas son frère Henri-Amédée-Lionel (Agen, 9 février 1866 – Agen, 11 juillet 1866).

Il est aussi plus que probable, mais manquent pour le moment les preuves formelles absolument décisives, qu’existent des liens de parenté proprement et directement Rey _ mais lesquels ? Je vais bientôt le découvrir… _ entre ces trois dames, toutes trois en effet nées Rey.

C’est là le principal résultat, et en dépit des lacunes _ et des flous _ qui demeurent encore au sein de la généalogie des Ducos d’Algérie que je suis parvenu à, tant bien que mal, à peu près reconstituer _ alors que, cependant, demeurent, et je dois y insister, de très importantes lacunes ! _, en ces récentes journées passées à défricher et déchiffrer de multiples données, éparses, que j’ai essayé d’abouter le plus justement possible les unes aux autres ;

c’est-à-dire avec le plus possible de vraissemblance et probabilité de justesse, en dépit de ces « taches aveugles » qui continuent, faute de disposer enfin de preuves décisives de la nature de ces liens, qui continuent de résister à mes efforts d’enquête…

En tout cas, là se trouve la raison qui fait qu’en quelques faire-part de décès de certains des Gadel, figurent des Ducos du Hauron ; comme en certains des décès des Ducos du Hauron, figurent également des Gadel.

Voilà qui finit par mettre la puce à l’oreille…

Et c’est précisément là que finit par éclater au regard la réalité de l’apparentement effectif de ces deux familles, dans la première moitié du XXe siècle, et en Algérie.

Ce lundi 28 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Les apports à mon article en date du 28 décembre 2020, concernent donc la découverte des lieux _ tous au Grand-Serre, là même où elle est née le 21 mars 1848 _ et dates et du mariage (le 6 juin 1867) et du décès (le 9 septembre 1880) de Marie-Eugénie-Hortense Rey,

la mère de Victor-Nicolas Benjamin Gadel, le futur époux d’Aimée Laurence Rey ;

et par là futur beau-frère de Marie-Louise Rey et son époux Amédée Ducos du Hauron…

Et le 27 mai 1877,

toujours au Grand-Serre, au domicile des grands-parents maternels, Jean-François-Régis (dit Benjamin) Rey (né au Grand-Serre le 8 décembre 1816 ; et qui décèdera, chez lui, au Grand-Serre, le 11 juillet 1880), et son épouse, puis veuve, Eugénie-Catherine-Louise Sibert,

naîtra le 27 mai 1877 Jeanne-Marie-Louise-Adélaïde Gadel, une petite sœur de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Le Grand-Serre, 8 juillet 1872, et qui décèdera à Alger le 30 mars 1830) ; l’époux à Orléansville, le 11 mars 1905, de sa cousine Aimée-Laurence Rey ; elle-même fille de l’oncle maternel de l’enfant, Jean-Anatole-Firmin Rey (né au Grand-Serre le 10 juin 1845, époux de l’orléansvillaise Adélaïde Gentet ; et qui décèdera à Oran le 28 janvier 1890)…

Aimée-Laurence Rey, future épouse de son cousin Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, étant la sœur cadette de Marie-Louise Rey, née _ toujours hélas sans plus de précisions… _ en 1879, à Orléansville, et qui épousera Amédée Ducos du Hauron _ probablement à Orléansville ; et peut-être le 21 janvier 1897 ; cf la présence ce jour-là à Orléansville de Gaston Ducos du Hauron (au mariage de son frère Amédée ?) mentionnée sur son livret militaire

J’ignore le lieu et la date de naissance d’Aimée-Laurence Rey, mais elle est probablement née, comme sa sœur Marie-Louise, à Orléansville,

où ont été domiciliés leurs parents jusqu’à leur départ, le 22 septembre 1883 _ mentionné sur le livret militaire de Jean-Anatole Rey _ pour Oran (où tous deux décéderont prématurément : Adélaïde Gentet, à l’âge de 31 ans, le le 5 juilet 1886 ; et Jean-Anatole Rey, à l’âge de 45 ans, le 28 janvier 1890.

Et comme je n’ai pas trouvé mention de l’éventuelle naissance à Oran au cours des années 1883 à 1886 d’Aimée-Laurence Rey, je suppose que celle-ci est probablement née, entre 1879, l’année de la naissance de sa sœur aînée Marie-Louise, et le 22 septembre 1883 _ la date du décès de leur mère Adélaïde Gentet _, et à Orléansville, comme sa sœur aînée Marie-Louise en 1879…

Voilà pour les apports à la connaissance de ce que j’avais appris et rédigé à la date du 28 décembre 2020…

Ce mardi 30 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Relecture avec révisions de l’article « A la recherche de liens, en Algérie, à partir de 1896, entre les Ducos du Hauron et diverses autres familles : les Rey, les Ducros, les Gadel, les Gentet (ainsi que les Bure)… » du 23 décembre 2020

08nov

L’article du 23 décembre 2020  que je m’apprête maintenant à réviser,

constitue un incontestable tournant dans l’aventure de mes recherches focaliséees sur le bien intéressant environnement familial _ et tout spécialement ses trois neveux : Amédée Ducos du Hauron, Raymond de Bercegol, et Gaston Ducos du Hauron _ de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

car il va détourner un peu ma recherche d’Agen,

au profit de l’aventure « algérienne » tout particulièrement de l’aîné de ces trois neveux de Louis :

Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) ;

et cela suite à la nomination d’Alcide (Coutras, 1830 – Savigny-sur-Orge, 1909) à un poste de magistrat en Algérie, en 1881.

Alcide étant bientôt rejoint, à Alger, au mois de juillet 1883, par son épouse Cézarine-Marie (Le Temple-sur-Lot, 1841 – Agen, 1923), leurs quatre enfants, Amédée (Agen, 1867 – Alger, 1935), Gaston (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912), Marguerite (Agen, 1879 – Neuilly-sur-Seine, 1971) et Alice (Agen, 1880 – Neuilly-sur-Seine, 1971) ;

ainsi que son frère Louis (Langon, 1867 – Agen, 1920)…

Voici ce que donne cette relecture-révision rétrospective :

Ce jour,

j’ai continué à rechercher sur le web divers faire-part de naissance, mariage et décès

pouvant me fournir des indices d’alliances familiales entre ceux des Ducos du Hauron _ en ce tout début de recherche, j’ignore quels ils sont précisément : j’ignore d’abord la date du mariage (à Orléansville ?..) d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey ; de même que j’ignore les dates de naissance des premiers enfants qui leur sont nés… Ces événements familiaux ont-ils eu lieu avant le mois de novembre 1896 du retour en France de la majeure partie de la famille d’Alcide ? ou après ?.. _ qui demeurèrent en Algérie après le départ en novembre 1896 d’Alcide et son épouse Cézarine-Marie, son fils cadet Gaston, ainsi, je suppose, que leurs filles Marguerite et Alice _ et aussi, peut-être parti en avant garde, Louis, qui choisit de venir s’installer à Paris, dans le quartier des Batignolles _,

et diverses familles vivant en Algérie :

les Rey, les Ducros, les Gadel, les Gentet, au premier chef ;

et d’autres familles alliées, comme les Bure, d’Alger et Orléansville…

Je veux donc parler d’abord ici du destin « algérien » du fils aîné, Amédée Ducos du Hauron, qui choisit, lui, de faire carrière en cette Algérie, dans l’administration ;

ainsi que s’y marier, avec Marie-Louise Rey ; et, très bientôt, aussi et surtout, y fonder une famille.

Une famille qui comptera 5 enfants au moment de la retraite d’Amédée (à l’âge de 60 ans), à Rébeval, en 1927…

Les trois principaux avis (ou faire-part) de décès, tous publiés dans L’Écho d’Alger, me permettant de repérer avec quelles autres familles, en Algérie, se sont alliées les Ducos du Hauron,

datent  :

1) du 13 octobre 1933, pour l’avis du décès _ par les familles Ducos du Hauron, Ducros, Gadel et Gentet _, à Agen, le 20 septembre 1933, de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron, dont l’inhumation a eu lieu _ peut-être pas : la liste des personnes inhumées en ce caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, ne comprend pas, en effet, Marie-Louise Rey… _ dans le caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, à Agen ;

2) du 13 août 1935, pour l’avis du décès _ par les familles Ducos du Hauron, Ducros et Gadel _, à Alger, d’Amédée Ducos du Hauron ; dont les obsèques eurent lieu, à Alger, le 15 juillet 1935 ;

3) et du 2 janvier 1939, pour le faire-part _ cette fois _ du décès, à Alger, lors des vacances de Noël 1938, d’Éveline Ducos du Hauron, épouse de Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix ; et dont les obsèques eurent lieu dans l’intimité familiale le 1er janvier 1939, à Alger.

Assez peu de précisions, ces trois fois-ci,

sur les alliances familiales nouées, en Algérie, par cette branche « algéroise – algérienne » des Ducos du Hauron _ la branche issue d’Amédée _,

à l’exception des Ducros, Gadel et Gentet,

dont les noms ont été mentionnés dans ces deux avis de 1933 et 1935, et ce faire-part de 1939…

Il me faut donc rechercher un peu plus loin :

à suivre…

Ce mercredi 23 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Soient, pour le moment, de menues révisions…

Ce lundi 8 novembre 2021, Titus Curiosus -, Francis Lippa

Précisions complémentaires à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance (et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés), des neveux de Louis Ducos du Hauron, et plus spécialement en Algérie…

31oct

Voici quelques précisions complémentaires
à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés, des neveux de Louis Ducos du Hauron,
et plus spécialement en Algérie…

C’est surtout la descendance de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?) et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), mariés à Mustapha le 26 mai 1857,
qui m’intéresse :
plus précisément pour la relation de parenté d’une de leur fille _ née Wachter, donc, mais dont je n’ai pas encore découvert le prénom ; ni donc l’identité précise… _,
avec l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935), née Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933).
Car cette future « Veuve Louis Gentet, née Wachter », dont j’ignore aussi les dates et lieux de naissance et de décès, ainsi que la date et le lieu _ probablement à Orléansville _ de son mariage avec Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906)
n’est autre,
du fait de son mariage avec Louis Gentet, oncle et tuteur des 2 filles Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey, devenues orphelines de leurs deux parents, Jean-Anatole Rey (décédé à Oran le 28 janvier 1890) et son épouse Adélaïde Gentet (décédée à Oran le 25 juillet 1886),
que la tante par alliance de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron,
le neveu demeuré en Algérie, de Louis Ducos du Hauron. 
 
 
Des 5 (ou 6) enfants du couple Jean-Baptiste-Antoine Wachter – Elisabeth Confex (qui se sont mariés à Mustapha le 26 mai 1857)
à défaut d’en connaître assez au sujet de la future « Veuve Louis Gentet, née Wachter », 
j’ai identifié, mais avec des données encore un peu trop partielles, les 5 enfants suivants :  
_ Elisabeth-Marie-Louise Wachter : Medea, 9-mars 1858 – ?
_ Aimée-Marie Wachter : Mustapha, 2 septembre 1859 – ?
_ Louis-Jules Wachter : Orléansville, 29 juillet 1866 – ? : il épousera à Bône, le 14 janvier 1905, Thérèse Grazia Gallo (née à Bône le 26 octobre 1883)
_ Émile Wachter : Mustapha, 15 mai 1869 – ? : il épousera à Orléansville, le 21 octobre 1897, Hélène-Etiennette-Sophie Janet
_ Marie Émélie Wachter : ?, 1874 ou 75 : elle épousera son cousin Albert-Philippe-Joseph Ferrand (né en 1869, dont la mère, mariée à Alger le 18 juin 1868, à Philippe Ferrand (Fleury-lès-Lavancourt, 7 août 1828 – Alger, 2 décembre 1889), était une Confex : Aimée-Justine-Marie Confex, née à Alger le 7 février 1839, sœur cadette d’Elisabeth Confex).
L’époux de cette Marie-Emélie Wachter, Albert Ferrand, décèdera à Alger le 18 décembre 1927 ;
et sur le faire-part du décès que publiera sa veuve « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » _ cf mon article du 3à janvier 2021 : _,
sont présents, et dans cet ordre :
… 
_ « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter, et ses enfants : Yvonne et Simone » _ les deux filles du couple du défunt et de sa veuve _,
« M. Henri Ferrand _ le fils aîné du couple _ et Mme » _ née Raphaëlle Apostolico _,
« Mme Vve Bonopera » _ tante, née Confex, de la veuve d’Albert Ferrand, Marie-Emélie Wachter… ; et d’elle aussi j’ignore toujours le prénom, ainsi que ses lieux et dates de naissance et de décès ; de même que la date de son mariage avec M. Paul Bonopéra, probablement à Orléansville… _,
« Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » _ très probablement sœur de « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » ; d’elle aussi j’ignore le prénom, ainsi que ses lieux et dates de naissance et de décès ; de même que la date de son mariage avec M. Louis Gentet, probablement à Orléansville, elle aussi… _
« Mme et M. Emile Wachter, et leurs enfants » _ le frère (né à Mustapha, le 15 mai 1869) et la belle-sœur (née Hélène-Etiennette-Sophie Janet) de la veuve Ferrand, et leurs enfants, neveux et nièces de la veuve Ferrand née Wachter, soient Henri Wachter, Emile-Antoine Wachter, Albert Wachter, Mireille Wachter et Suzanne-Hélène-Emilie… ; cf mes articles du 2 février 2021 :  ; et du 29 mars 2021 : ... _,
« Mme Vve Louis Wachter et sa fille » _ la belle-sœur de la veuve Ferrand, et veuve elle-même de Louis Wachter, frère (né à Orléansville le 29 juillet 1866) de la veuve Ferrand ; ainsi que leur fille Paula Wachter _,
« Mme et M. Jules Malinconi et leurs enfants » _ Mme Malinconi est née Joséphine-Aimée-Constance Confex, à Alger le 31 octobre 1877 ; et elle est la fille de Marius-Ernest-Jules Confex (né à Alger le 19 février 1841) et son épouse Marie-Augustine Cremonini ; et par conséquent, elle est nièce de la veuve Ferrand, née Aimée-Justine-Marie Confex, sœur de son père, Marius-Ernest-Jules Confex _,
« M. A. Gastaud » _ le fiancé d’Yvonne Ferrand : ils se marieront à Alger le 4 février 1928 _,
« les familles Ferrand, Gadel, Ducos du Hauron, Gentet, Gastaud ».
Voilà.
J’espère ne pas trop noyer mon lecteur dans la forêt des si nombreux détails de ces divers articles ;
mais rechercher le moindre indice est tout à fait passionnant !
C’est tout un passé qui, peu à peu, bribe d’indice par bribe d’indice à explorer, émerge et réapparaît…
...
Ce dimanche 31 octobre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Sur la vie quotidienne la plus intime d’Adolfo Bioy Casares, les limites de ce qu’apporte la lecture même très méthodique de ce qu’ont été les publications sélectives du Journal de Bioy…

24juil

Quand a paru _ posthume, et en espagnol seulement… _ le Journal d’Adolfito Bioy Casares (1914 – 1999),

j’ai espéré découvrir quelques détails un peu précis _ dates et lieux, d’abord _ concernant, pour commencer, ses divers voyages en France _ avec ou sans son épouse Silvina…

De même que j’étais parti à la recherche de semblables détails concernant des voyages en France _ et tout spécialement, déjà, en Béarn : afin de rencontrer divers cousins béarnais… _ dans les deux volumes publiés _ le troisième et dernier est hélas demeuré inédit… _ des Mémoires _ non traduits en français, eux non plus, mais vraiment passionnants !.. _ de son père, Adolfo Bioy Domecq (1882 – 1962)…

A chaque génération, les Bioy d’Argentine _ béarnais originaires d’Oloron _ ne manquaient pas, en effet, de refaire le voyage de retour aux origines _ à la façon des saumons remontant vaillamment le gave d’Oloron…

Bien sûr, j’escomptais découvrir là quelques mentions des rencontres advenues,

ainsi que maints détails apparemment anecdotiques, mais pouvant constituer d’inespérés indices pour des recherches élargissant la biographie _ surtout intime, et pas littéraire… _ de Bioy…

Mais j’ai buté sur le fait que la sélection des extraits choisis par l’éditeur reposait sur le principe absolument princeps que ces textes choisis pour cette publication comportent, sous quelque forme que ce soit, une référence de Bioy à son ami _ et complice en littérature _ Borges

_ ce qui, par ailleurs, ne manqua pas d’agacer fortement Maria Kodama, la veuve de Borges, détentrice des droits de l’œuvre de Borges ; et peu proche de Bioy…

Bref, mes découvertes, lors de cette lecture de ce Borges de Bioy, centrée sur les voyages d’Adolfito en France, et tout spécialement en Béarn, sont demeurées alors un peu trop limitées…

Et il me faudrait commencer par procéder à une relecture systématique de mes notes prises à cette occasion,

complétées par quelques échanges notés _ de courriels, voire téléphoniques… _ avec divers témoins de ces venues de Bioy en France,

tels mes chers cousins Bioy de Pau…

À suivre…

Ce samedi 24 juillet 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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