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Reprise (avec menues corrections) de l’article « A la recherche des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron, du côté de son frère Alcide et de sa soeur Berthe… »

06nov

Ce samedi 6 novembre 2021,

je commence par relire, afin d’éventuellement lui apporter des correctifs, précisions et ajouts,

mon article du vendredi 11 novembre 2020 :

Voici _ en rouge _  ce que donnent mes menues corrections, précisions et ajouts à cet article d’il y a 11 mois :

Bien sûr, je continue mes recherches concernant l’identification des neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

tant du côté de son frère aîné Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909)

que du côté de sa sœur cadette Berthe (Libourne, 23 janvier 1842 – après 1907 _ ou 1912… _ …), épouse de Fabien-Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896).

J’ai  découvert plusieurs indications de résidence de Raymond de Bercegol, le fils _ peut-être unique, je l’ignore encore… _ de Berthe et Fabien-Onézime, à Joinville-le-Pont ; et c’est à partir du moment où, le 8 mars 1903, Raymond indique changer son métier de « commissaire spécial des chemins de fer«  _ apparemment, mais c’est vérifier !, son dernier poste se trouvait à Marseille auprès de la compagnie PLM _ pour celui de « chimiste«  : cette mention apparaît en effet désormais dans les actes d’État-Civil de son mariage, le 4 juin 1907 à Bordeaux, avec sa seconde épouse, la bordelaise Marguerite-Yvonne Marinier ; puis dans les actes d’État-Civil des deux décès successifs en septembre et novembre 1912 : d’abord à Paris 13e _ au 108 Avenue d’Ivry : j’ai découvert que c’était là l’adressse de l’hôpital Marie Lannelongue ; cf une photo de cet hôpital prise, précisément, l’année 1910 _, puis à Joinville-le-Pont _ au domicile de ses parents, Raymond et Marguerite Yvonne, cette fois : 26 Route de la Brie _, de ses deux filles : d’abord Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol, décédée  le 7 septembre 1912, à l’âge de 3 ans et 3 mois _ elle était née à Joinville-le-Pont le 13 mars 1910 _puis Marie-Henriette de Bercegol, décédée le 15 novembre 1912, à l’âge de 13 ans et 10 mois  _ elle était née à Bélaye, au château de Floyras, le 6 janvier 1899.

 

Je relève au passage que la mention du décès de la petite Simone-Camille-Jeanne-Marie _ décédée à l’hôpital Marie Lannelongue _ a été retranscrite le 26 novembre 1912 sur le registre des décès de la commune de Joinville-le-Pont, du registre des décès de Paris 13e, soit l’arrondissement parisien dans lequel l’enfant était décédée le 7 septembre précédent _ au 108 de l’Avenue d’Ivry… J’ignore les raisons _ administratives ? _ de ces démarches-là…

Mais j’ai trouvé aussi ceci :

« C’est en 1882 que fut fondée par Joseph Jougla, alors âgé de 35 ans, la Société Anonyme des Plaques, Pellicules et Papiers photographiques. Installée à Nogent, puis au Perreux, elle se fixe définitivement à Joinville, au 15 avenue de l’Horloge _ du quartier de Polangis _ en 1901. “Avec les plaques Jougla, j’opère à toute heure”, telle était la publicité pour l’appareil “SINNOX” que fabriquait Jougla à Polangis, 40 000 plaques par jour sortaient également de cette usine. Occupant jusqu’à 600 ouvriers, la société est établie sur un immense terrain de 20 000 m2, dont 4 000 sont couverts« ,

en un article consacré aux réalisations de l’industriel Joseph Jougla à Joinville-le-Pont…

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Ce que confirme

et ceci :

« Le SINNOX » de la Société JOUGLA

« Le brevet initial du SINNOX a été déposé en 1899 _ non : le 21 octobre 1898 ; cf ci-dessous… _ par de BERCEGOL. Il en a cédé les droits en 1902 _ oui : le 16 janvier 1902 _ à la S.A. P.P.P.P. JOUGLA qui a elle-même déposé cette année-là des additions au brevet. L’appareil proposé ici est construit selon les critères de perfectionnement de ce second brevet de 1902. Il autorise un chargement en lumière du jour, « Sine nocte ». Un système d’accroche à aiguille permet de retenir la plaque impressionnée lors de l’escamotage. Cette dernière est toujours au foyer grâce à un dispositif interne qui positionne automatiquement la chambre à chaque changement de plaque. Notre appareil possède un chargeur pour film et un autre pour plaques.« 
Jougla Sinnox

et encore cela,

ce décret de cession de brevet d’invention de l’appareil photographique dénommé le Sinnox, en date du 4 mai 1902 :

« est décrétée 8°

la cession enregistrée au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, le 16 janvier 1902, faite suivant acte en date du 21 décembre 1901, à la société anonyme dite « Plaques, pellicules et papiers photographiques J. Jougla », ayant son siège à Paris, Avenue Victoria n°8, par les sieurs Raymond-Camille-Marie de Bercegol, demeurant à Albi (Tarn) _ je relève l’information _, et Louis Sueur, demeurant à Saint-Maurice (Seine), Grande-Rue n° 87, de leurs droits au brevet d’invention de quinze ans, pris, le 21 octobre 1898, par le sieur de Bercegol _ voilà ! _, pour un appareil photographique dénommé le Sinnox« 

À ce jour, vendredi 11 décembre,

manquent à ma documentation, les lieux et dates du décès de Raymond de Bercegol :

il vivait en effet, et à Joinville-le-Pont, en novembre 1912 _ ainsi qu’en témoignent les Actes d’État-Civil, au moment des décès successifs,

le 7 septembre 1912, au n° 108 de l’Avenue d’Ivry, à Paris 13e (adresse de l’hôpital Marie Lannelongue) ; puis le 15 novembre, au domicile personnel cette fois de Raymond de Bercegol et sa seconde épouse Yvonne Marinier, à Joinville-le-Pont, au n° 26 de la Route de la Brie,

des deux filles de Raymond de Bercegol : Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol, née à Joinville-le-Pont le 14 juin 1910 ; et Marie-Henriette, née au château de Floyras, à Bélaye, le 16 janvier 1899 _ ;

ainsi que les lieux et dates du décès de sa mère, Berthe Ducos :

celle-ci était mentionnée comme résidant à Joinville-le-Pont à la date du 4 janvier 1907, lors de l’Acte d’État-Civil du second mariage de son fils Raymond, avec Yvonne Marinier ; et le domicile indiqué pour le fils et sa mère à Joinville, est au n° 17 de l’Avenue Pauline

J’ai cherché dans les registres d’État-Civil de Joinville-le-Pont accessibles en ligne _ et ils ne le sont pas tous… _, mais jusqu’ici je n’ai rien trouvé concernant ni Raymond de Bercegol, ni sa mère Berthe Ducos…

J’ai seulement découvert que Raymond de Bercegol était venu lui-même témoigner du décès, toujours à Joinville-le-Pont, de son beau-père _ né à Blaye (Gironde) le 8 février 1836 _, le Lieutenant-Colonel Michel-Camille Marinier, décédé en son domicile personnel du n° 20 de l’Avenue Joyeuse, à Joinville-le-Pont, le 17 septembre 1909, à l’âge de 73 ans ;

ce dernier, ainsi que sa veuve, Marguerite-Camille Dufréchou _ née en 1852 _, étaient venus résider auprès de leur fille Yvonne et de sa famille, à Joinville-le-Pont.

En revanche,

et même si je ne suis pas encore parvenu _ mais cela va bientôt venir _ à identifier les deux filles _ non, un garçon et une fille : Philippe-Adrien Engelhard (Annecy, 29 juillet 1932 – Paris 16e, 28 octobre 2017) et Marie Bernadette Gemma Etiennette Françoise (dite Nadine) Engelhard (Berck, 30 septembre 1935 – Neuilly-sur-Seine, 26 juin 2019) _ de la sœur d’Étiennette Ducos du Hauron,

non plus que le prénom _ Simone : Marie-Simone-Madeleine-Adrienne _ de celle-ci (!), ainsi que le nom _ Jacques-Antoine Engelhard _ de son mari _ Simone Ducos du Hauron et Jacques Engelhard se sont mariés à Paris 7e le 27 janvier 1932 _ (et les prénoms de leurs enfants) ;

en revanche, j’ai réalisé pas mal de progrès concernant la descendance d’Étiennette _ Étiennette-Marie-Isaure _ Ducos du Hauron la fille aînée (née à Saint-Mandé, le 26 décembre 1898 et décédée à Paris 6e, le 20 ou le 26 décembre 1996) d’Étienne-Gaston Ducos du Hauron (né à Agen, le 16 juin 1870 et décédé à Savigny-sur-Orge, le 3 avril 1912) et son épouse Edmée de Lamarque (née à Poitiers, le 8 janvier 1876 et décédée à Saint-Mandé, le 22 février 1902) _ et de son mari Alfred Lamarque _ né à Angers, le 30 juin 1898 et décédé à Paris 7e, le 1er janvier 1976 _ : Étiennette et Alfred, se sont mariés à Agen le 20 juillet 1920, à peine un mois et onze jours avant le décès, à Agen, au 58 de la rue Lamouroux, du grand-oncle d’Étiennette, Louis Ducos du Hauron, le 31 août 1920 ;

à commencer par les prénoms de leurs 10 enfants…

À suivre…

Ce vendredi 11 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà donc cette reprise avec de menues corrections…

Ce samedi 6 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A la recherche des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron, du côté de son frère Alcide et de sa soeur Berthe…

11déc

Bien sûr, je continue mes recherches concernant l’identification des neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

tant du côté de son frère aîné Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909)

que du côté de sa sœur cadette Berthe (Libourne, 23 janvier 1842 – après 1907…), épouse de Fabien Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 janvier 1834 – Cahors, 21 septembre 1896).

J’ai  découvert plusieurs indications de résidence de Raymond de Bercegol, le fils _ peut-être unique, je l’ignore encore… _ de Berthe et Fabien Onézime, à Joinville-le-Pont ; et c’est à partir du moment où, le 8 mars 1903, Raymond indique changer son métier de « commissaire spécial des chemins de fer«  _ apparemment, mais c’est vérifier !, son dernier poste se trouvait à Marseille auprès de la compagnie PLM _ pour celui de « chimiste«  : cette mention apparaît en effet désormais dans les actes d’État-Civil de son mariage, le 4 juin 1907 à Bordeaux, avec sa seconde épouse, la bordelaise Marguerite Yvonne Marinier ; puis dans les actes d’État-Civil des deux décès successifs en septembre et novembre 1912 : d’abord à Paris 13e _ au 108 Avenue d’Ivry : j’ai découvert que c’était là l’adressse de l’hôpital Marie Lannelongue ; cf ci-dessous une photo prise, précisément, l’année 1910 _, puis à Joinville-le-Pont _ au domicile de ses parents, Raymond et Marguerite Yvonne, cette fois : 26 Route de la Brie _, de ses deux filles : d’abord Simone Camille Jeanne Marie de Bercegol, décédée  le 7 septembre 1912, à l’âge de 3 ans et 3 mois _ elle était née à Joinville-le-Pont le 13 mars 1910 _puis Marie Henriette de Bercegol, décédée le 15 novembre 1912, à l’âge de 13 ans et 10 mois  _ elle était née à Bélaye, au château de Floyras, le 6 janvier 1899.

avenue d'Ivry - Paris 13ème

 

Je relève au passage que la mention du décès de la petite Simone Camille Jeanne Marie a été retranscrite le 26 novembre 1912 sur le registre des décès de la commune de Joinville-le-Pont, du registre des décès de Paris 13e, soit l’arrondissement parisien dans lequel l’enfant était décédée le 7 septembre précédent _ au 108 de l’Avenue d’Ivry… J’ignore les raisons _ administratives ? _ de ces démarches-là…

Mais j’ai trouvé aussi ceci :

 

« C’est en 1882 que fut fondée par Joseph Jougla, alors âgé de 35 ans, la Société Anonyme des Plaques, Pellicules et Papiers photographiques. Installée à Nogent, puis au Perreux, elle se fixe définitivement à Joinville, au 15 avenue de l’Horloge _ du quartier de Polangis _ en 1901. “Avec les plaques Jougla, j’opère à toute heure”, telle était la publicité pour l’appareil “SINNOX” que fabriquait Jougla à Polangis,  40 000 plaques par jour sortaient également de cette usine. Occupant jusqu’à 600 ouvriers, la société est établie sur un immense terrain de 20 000 m2, dont 4 000 sont couverts« ,

en un article consacré aux réalisations de l’industriel Joseph Jougla à Joinville-le-Pont…

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Ce que confirme

et ceci :

« Le SINNOX » de la Société JOUGLA

« Le brevet initial du SINNOX a été déposé en 1899 _ non : le 21 octobre 1898 ; cf ci-dessous… _ par de BERCEGOL. Il en a cédé les droits en 1902 _ oui : le 16 janvier 1902 _ à la S.A. P.P.P.P. JOUGLA qui a elle-même déposé cette année-là des additions au brevet. L’appareil proposé ici est construit selon les critères de perfectionnement de ce second brevet de 1902. Il autorise un chargement en lumière du jour, « Sine nocte« . Un système d’accroche à aiguille permet de retenir la plaque impressionnée lors de l’escamotage. Cette dernière est toujours au foyer grâce à un dispositif interne qui positionne automatiquement la chambre à chaque changement de plaque. Notre appareil possède un chargeur pour film et un autre pour plaques. »
Jougla Sinnox

et encore cela,

ce décret de cession de brevet d’invention de l’appareil photographique dénommé le Sinnox, en date du 4 mai 1902 :

« est décrétée 8°

la cession enregistrée au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, le 16 janvier 1902, faite suivant acte en date du 21 décembre 1901, à la société anonyme dite « Plaques, pellicules et papiers photographiques J. Jougla », ayant son siège à Paris, Avenue Victoria n°8, par les sieurs Raymond Camille Marie de Bercegol, demeurant à Albi (Tarn) _ je relève l’information _, et Louis Sueur, demeurant à Saint-Maurice (Seine), Grande-Rue n° 87, de leurs droits au brevet d’invention de quinze ans, pris, le 21 octobre 1898, par le sieur de Bercegol _ voilà ! _, pour un appareil photographique dénommé le Sinnox« 

À ce jour, vendredi 11 décembre, manquent à ma documentation,

les lieux et dates du décès de Raymond de Bercegol :

il vivait en effet, et à Joinville-le-Pont, en novembre 1912 _ ainsi qu’en témoignent les Actes d’État-Civil,  au moment des décès successifs, le 7 septembre 1912, au n° 108 de l’Avenue d’Ivry, à Paris 13e ; puis le 15 novembre, au domicile cette fois de Raymond de Bercegol et sa seconde épouse Yvonne Marinier, à Joinville-le-Pont, au n° 26 de la Route de la Brie, de ses deux filles, Simone Camille Jeanne Marie de Bercegol, née à Joinville-le-Pont le 14 juin 1910 ; et Marie Henriette, née au château de Floyras, à Bélaye, le 16 janvier 1899 _ ;

ainsi que les lieux et dates du décès de sa mère, Berthe Ducos :

celle-ci était mentionnée résidant à Joinville-le-Pont à la date du 4 janvier 1907, lors de l’Acte d’État-Civil du second mariage de son fils Raymond, avec Yvonne Marinier ; et le domicile indiqué pour le fils et sa mère à Joinville, est au n° 17 de l’Avenue Pauline

J’ai cherché dans les registres d’État-Civil de Joinville-le-Pont accessibles en ligne _ et ils ne le sont pas tous… _, et jusqu’ici je n’ai rien trouvé concernant et Raymond de Bercegol, et sa mère Berthe Ducos…

J’ai seulement découvert que Raymond de Bercegol était venu lui-même témoigner du décès, toujours à Joinville-le-Pont, de son beau-père _ né à Blaye (Gironde) le 8 février 1836 _, le Lieutenant-Colonel Michel Camille Marinier, décédé en son domicile du n° 20 de l’Avenue Joyeuse, à Joinville-le-Pont, le 17 septembre 1909, à l’âge de 73 ans :

ce dernier, ainsi que sa veuve, Marguerite Camille Dufréchou _ née en 1852 _, étaient venus résider auprès de leur fille et sa famille, à Joinville-le-Pont.

En revanche,

et même si je ne suis pas encore parvenu à identifier les deux filles de la sœur d’Etiennette Ducos du Hauron,

non plus que le prénom de celle-ci (!) ainsi que le nom de son mari (et de leurs enfants),

en revanche, j’ai réalisé pas mal de progrès concernant la descendance d’Etiennette Ducos du Hauron la fille aînée (née à Saint-Mandé, le 26 décembre 1898 et décédée à Paris 6e, le 20 décembre 1996) d’Etienne Gaston Ducos du Hauron (né à Agen, le 16 juin 1870 et décédé à Savigny-sur-Orge, le 3 avril 1912) et son épouse Edmée de Lamarque (née à Poitiers, le 8 janvier 2878 et décédée à Saint-Mandé, le 22 février 1902) _ et de son mari Alfred Lamarque _ né à Angers, le 30 juin 1898 et décédé à Paris 7e, le 1er janvier 1976 _ ;

à commencer par les prénoms de leurs 10 enfants…

À suivre…

Ce vendredi 11 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Deux filles de Raymond de Bercegol, l’une née à Bélaye en 1899 et l’autre à Joinville-le-Pont en 1910 ; et toutes deux décédées en 1912 : l’aînée au domicile de son père, à Joinville-le-Pont ; et la cadette à l’Hôpital Marie de Lannelongue, dans le 13e arrondissement de Paris…

10déc

Poursuivant mes recherches à propos de Raymond Camille Marie de Bercegol,

le très actif neveu _ fils de Berthe Ducos, la sœur d’Alcide et de Louis _ de Louis Ducos du Hauron,

dans les archives d’État-Civil accessibles de la commune de Joinville-le-Pont,

je viens de découvrir, l’année 1912, les décès successifs de deux filles de Raymond de Bercegol _ il avait donc eu des enfants : au moins ces deux filles… _ :

d’une part, Marie Henriette de Bercegol,

décédée le 15 novembre 1912 à Joinville-le Pont, au domicile de son père Raymond de Bercegol, 26 route de Brie _ déclaré alors de profession « chimiste«  _ ;

l’enfant était née le 16 janvier 1899 à Bélaye, du premier mariage de Raymond, avec sa cousine Émérancie David _ elle-même décédée au château de Floyras, à Bélaye, le 31 octobre 1905 _ ;

et Simone Camille Jeanne Marie de Bercegol,

décédée le 7 septembre 1912, à Joinville-le Pont, 108 Avenue d’Ivry _ et le décès ayant été déclaré le 28 novembre seulement : voilà qui pose des questions… : il s’avère, en effet, que ce n’est pas à Joinvillle-Pont qu’est décédée l’enfant, mais au 108 avenue d’Ivry, dans le 13e arrondissement de Paris, c’est-dire, en recherchant un peu, à l’Hôpital Marie de Lannelongue, un hôpital inauguré en 1910… Et, d’autre part, j’ignore toujours les raisons (administratives ?) qui ont conduit à cette transcription de l’acte du décès survenu à Paris, sur les registres de décès de la commune de Joinville-le-Pont… _ ;

l’enfant était née le 13 mars 1910 à Joinville-le Pont, du second mariage de Raymond de Bercegol _ désormais déclaré de profession « chimiste«  _, avec Marguerite Yvonne Marinier.

En revanche,

_ et alors que ne sont pas accessibles en ligne pour le moment, les registres de décès à Joinville-le-Pont des années 1913 à 1916 _,

je n’ai encore rien découvert _ mais il faut continuer à chercher, et avec méthode… _ concernant de possibles décès en cette commune de Joinville-le-Pont

de Raymond de Bercegol lui-même _ quand et où est décédé cet homme né le 4 février 1869 à Lamothe-Landerron (Gironde) ? En novembre 1912, Raymond de Bercegol est âgé seulement de 43 ans… Et d’autre part, le chimiste qui s’est défait, en 1901-1902, des droits de l’aapareil photographique « Sinnox«  a forcément été affecté par le devenir, en 1912, des usines Jougla de Joinville-le-Pont ; le 1er avril 1911, déjà, les entreprises Lumière (de Lyon) et Jougla (de Joinville-le-Pont) avaient fusionné, et les frères Lumière avaient « lancé«  les appareils-photo de la marque Lumière, entraînant l’abandon de la fabrication des plaques « Omnicolore«  dont Raymond Bercegol, avec son oncle Louis Ducos du Hauron, avait conçu l’ingénieux procédé… _,

pas davantage que de sa mère Berthe Ducos _ en novembre 1912, et si elle vivait encore, Berthe, née le 23 janvier 1842 à Libourne, était âgée, elle, de 70 ans… _

pourtant déclarée résidant chez son fils, 17 Avenue Pauline à Joinville-le-Pont, dans l’acte du mariage de Raymond de Bercegol avec sa seconde épouse Marguerite Yvonne Marinier, dressé à Joinville-le-Pont le 4 juin 1907,

dans les registres des décès des années 1907 à 1922 _ à l’exception de ceux, qui n’ont pas encore été mis en ligne, des années 1913, 1914, 1915 et 1916…

La recherche continue ;

elle doit, forcément, être patiente, et la plus exhaustive possible…

À suivre, donc…

Ce jeudi 10 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

L’alliance des Ducos du Hauron et des de Bercegol, la famille propriétaire du château de Floyras, à Bélaye, dans le Lot

09déc

Creusant un peu autour du premier mariage de Raymond de Bercegol neveu assistant de très près les recherches de son oncle Louis Ducos du Hauron _,

avec Émérancie David  _ Émérencie est le nom de la grand-mère de la Vierge Marie : la mère de sa mère Anne _,

qui a eu lieu à Bélaye (Lot) le 28 octobre 1896

_ le 4 juin 1907, et cette fois à Bordeaux, Raymond de Bercegol (devenu veuf le 31 octobre 1905) se remariera avec Yvonne Marinier… _,

j’apprends à découvrir peu à peu _ step by step _ la généalogie de cette féconde famille des Bercegol

à laquelle s’est alliée,

par le mariage, le 11 février 1866 à Agen, de Berthe Ducos du Hauron avec Fabien Marie Alexandre Onézime de Bercegol,

la famille des Ducos du Hauron ;

ainsi que l’importance de leur château de Floyras _ propriété de la famille de Bercegol à partir de 1726 _, à Bélaye, dans le département du Lot, non loin de Luzech.

Pour découvrir bientôt

_ mais il fallait pour cela recouper entre eux deux arbres généalogiques incomplets chacun d’eux ! _

que Raymond de Bercegol,

à Lamothe-Landerron _ en Gironde : entre La Réole et Marmande)le 4 février 1869,

du mariage, à Agen le 11 février 1866, de Berthe Ducos (née à Libourne le 23 janvier 1842) _ en 1866, Berthe est domiciliée rue Palissy à Agen _ et Fabien Marie Alexandre Onézime Bercegol (né à Bélaye, au château de Floyras, le 23 décembre 1835),

et domicilié alors à Marseille où il occupe un poste de Commissaire spécial adjoint des chemins de fer, 

a épousé, à Bélaye, le 28 octobre 1896, sa cousine Marie Caroline Émérancie David,

née _ elle aussi _ à Bélaye, au château de Floyras, le 21 avril 1875,

issue du mariage, le 16 juillet 1872 à Bélaye, du médecin Pierre Antoine Louis Théophile David (né à Saint-Matré le 19 avril 1851) et Marie Marguerite Bercegol (née à Agen, le 2 février 1853 _ elle est la fille de Jean Charles Alexis Georges Bercegol (Bélaye, château de Floyras, 17 avril 1815 – Bélaye, château de Floyras, 18 décembre 1903), l’aîné de la fratrie des 10 enfants de Jean Alexis Georges Charles Bercegol (Bélaye, château de Floyras, 2 août 1785 – Cahors, 15 février 1883) _, Marie Marguerite décèdera au château de Floyras, à Bélaye, le 25 mai 1910) ;

et qu’il se trouve ainsi que

Raymond de Bercegol, fils de Fabien Onézime Bercegol _ le 9e des enfants de la fratrie des 10 enfants de Jean Alexis Georges Charles Bercegol (1785 – 1883) _, a épousé la petite-fille _ via sa mère Marie Marguerite Bercegol (1853 – 1910) _ du frère aîné _ le 1er des 10 de la fratriede son père : Jean Charles Alexis Georges Bercegol (né _ lui aussi _ au château de Floyras, à Bélaye, le 17 avril 1815)

Raymond (né en 1869) et Émérancie (née en 1875) étaient donc, avec une génération intermédiaire de plus pour Émérancie (celle de sa mère Marie Marguerite Bercegol, née en 1853), cousins !

Et tous deux familiers du château familial de Floyras, à Bélaye !..

Le père de Raymond de Bercegol, Fabien Onézime Bercegol (né le 19 février 1834, au château de Floyras, à Bélaye), décèdera, à Cahors, le 29 septembre 1896 _ soit juste un mois avant le mariage à Bélaye, le 28 octobre de la même année 1896, de son fils Raymond et de sa petite-nièce Emérancie, la fille de sa nièce Marie Marguerite, et petite-fille de son frère aîné…) _ ;

et le grand-père d’Émerancie David _ et frère aîné de Fabien Onézime _, Jean Charles Alexis Georges Bercegol (né le 17 avril 1815, au château de Floyras, à Bélaye), décèdera, lui, le 18 décembre 1903, en son domicile du château de Floyras, à Bélaye

Et c’est suite au décès de sa première épouse et cousine Émérancie David, le 31 octobre 1905, au château de Floyras _ où étaient domiciliés les parents de celle-ci, le Docteur David et son épouse Marie Marguerite Bercegol ; laquelle décèdera également au château de Floyras le 25 mai 1910) _, que Raymond de Bercegol se remariera, à Bordeaux cette fois, le 4 juin 1907, avec la bordelaise Yvonne Marinier…

Qu’ai-je pu repérer jusqu’ici du parcours géographique (ainsi que professionnel) du neveu _ de Louis et Alcide Ducos du Hauron _ Raymond Camille Marie de Bercegol,

_ du mariage de Berthe Ducos du Hauron et Henri Fabien Marie Alexandre Onézime de Bercegol _ à Lamothe-Landerron (Gironde), le 4 février 1869 ? 

Le 1er janvier 1895, Raymond de Bercegol, commissaire spécial des chemins de fer en poste à Saint-Germain-des-Fossés (Allier), obtient sa mutation pour un poste de « commissaire spécial adjoint » à Marseille.

Et de fait, le 28 octobre 1896, lors de son mariage à Bélaye avec sa cousine Émérancie David, il est dit résider à Marseille au titre de « commissaire spécial des chemins de fer« .

C’est lui qui, le 20 octobre 1898, obtient de breveter, pour quinze ans, l’appareil photographique intitulé « Sinnox« , conçu avec son oncle Louis Ducos du Hauron, de retour d’Algérie en 1896 et qui résidait désormais en région parisienne…

Mais le 21 décembre 1901 et le 19 janvier 1902, Raymond Marie Camille de Bercegol, résidant alors à Albi (Tarn), et Alphonse Louis Lesueur, résidant à Saint-Maurice (Seine), Grande-Rue n° 87, cèdaient leurs droits au brevet d’invention de quinze ans pris, le 21 octobre 1898, par le Sieur de Bercegol _ voilà ! _ pour un appareil photographique dénommé le Sinnox, à la Société Plaques, pellicules et papiers photographiques J. Jougla ayant son siège à Paris, Avenue Victoria n° 8.

Le 8 mars 1903, Raymond de Bercegol obtient, sur sa demande, sa mise en disponibilité de sa fonction de « commissaire spécial de 2ème classe« , de la part du Ministère de l’Intérieur.

Et le 4 juin 1907, à Bordeaux, lors de son remariage _ après être devenue veuf de sa première épouse (et cousine) Émérancie David, décédée le 21 octobre 1905, au château de Floyras, à Bélaye _, avec la bordelaise Yvonne Marinier _ née à Saint-Trojan (Gironde), le 29 août 1875 _, Raymond de Bercegol se déclare désormais de profession « chimiste » _ et c’est, bien sûr, à souligner ! _ ;

et domicilié à Joinville-le-Pont (Seine).

Voilà où j’en suis de mes recherches ce jour…

Et à suivre, toujours : pas après pas…

Ce 9 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

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