Posts Tagged ‘Etat-Civil

Reprise (avec menues corrections) de l’article « A la recherche des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron, du côté de son frère Alcide et de sa soeur Berthe… »

06nov

Ce samedi 6 novembre 2021,

je commence par relire, afin d’éventuellement lui apporter des correctifs, précisions et ajouts,

mon article du vendredi 11 novembre 2020 :

Voici _ en rouge _  ce que donnent mes menues corrections, précisions et ajouts à cet article d’il y a 11 mois :

Bien sûr, je continue mes recherches concernant l’identification des neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

tant du côté de son frère aîné Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909)

que du côté de sa sœur cadette Berthe (Libourne, 23 janvier 1842 – après 1907 _ ou 1912… _ …), épouse de Fabien-Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896).

J’ai  découvert plusieurs indications de résidence de Raymond de Bercegol, le fils _ peut-être unique, je l’ignore encore… _ de Berthe et Fabien-Onézime, à Joinville-le-Pont ; et c’est à partir du moment où, le 8 mars 1903, Raymond indique changer son métier de « commissaire spécial des chemins de fer«  _ apparemment, mais c’est vérifier !, son dernier poste se trouvait à Marseille auprès de la compagnie PLM _ pour celui de « chimiste«  : cette mention apparaît en effet désormais dans les actes d’État-Civil de son mariage, le 4 juin 1907 à Bordeaux, avec sa seconde épouse, la bordelaise Marguerite-Yvonne Marinier ; puis dans les actes d’État-Civil des deux décès successifs en septembre et novembre 1912 : d’abord à Paris 13e _ au 108 Avenue d’Ivry : j’ai découvert que c’était là l’adressse de l’hôpital Marie Lannelongue ; cf une photo de cet hôpital prise, précisément, l’année 1910 _, puis à Joinville-le-Pont _ au domicile de ses parents, Raymond et Marguerite Yvonne, cette fois : 26 Route de la Brie _, de ses deux filles : d’abord Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol, décédée  le 7 septembre 1912, à l’âge de 3 ans et 3 mois _ elle était née à Joinville-le-Pont le 13 mars 1910 _puis Marie-Henriette de Bercegol, décédée le 15 novembre 1912, à l’âge de 13 ans et 10 mois  _ elle était née à Bélaye, au château de Floyras, le 6 janvier 1899.

 

Je relève au passage que la mention du décès de la petite Simone-Camille-Jeanne-Marie _ décédée à l’hôpital Marie Lannelongue _ a été retranscrite le 26 novembre 1912 sur le registre des décès de la commune de Joinville-le-Pont, du registre des décès de Paris 13e, soit l’arrondissement parisien dans lequel l’enfant était décédée le 7 septembre précédent _ au 108 de l’Avenue d’Ivry… J’ignore les raisons _ administratives ? _ de ces démarches-là…

Mais j’ai trouvé aussi ceci :

« C’est en 1882 que fut fondée par Joseph Jougla, alors âgé de 35 ans, la Société Anonyme des Plaques, Pellicules et Papiers photographiques. Installée à Nogent, puis au Perreux, elle se fixe définitivement à Joinville, au 15 avenue de l’Horloge _ du quartier de Polangis _ en 1901. “Avec les plaques Jougla, j’opère à toute heure”, telle était la publicité pour l’appareil “SINNOX” que fabriquait Jougla à Polangis, 40 000 plaques par jour sortaient également de cette usine. Occupant jusqu’à 600 ouvriers, la société est établie sur un immense terrain de 20 000 m2, dont 4 000 sont couverts« ,

en un article consacré aux réalisations de l’industriel Joseph Jougla à Joinville-le-Pont…

Galerie

Galerie

Ce que confirme

et ceci :

« Le SINNOX » de la Société JOUGLA

« Le brevet initial du SINNOX a été déposé en 1899 _ non : le 21 octobre 1898 ; cf ci-dessous… _ par de BERCEGOL. Il en a cédé les droits en 1902 _ oui : le 16 janvier 1902 _ à la S.A. P.P.P.P. JOUGLA qui a elle-même déposé cette année-là des additions au brevet. L’appareil proposé ici est construit selon les critères de perfectionnement de ce second brevet de 1902. Il autorise un chargement en lumière du jour, « Sine nocte ». Un système d’accroche à aiguille permet de retenir la plaque impressionnée lors de l’escamotage. Cette dernière est toujours au foyer grâce à un dispositif interne qui positionne automatiquement la chambre à chaque changement de plaque. Notre appareil possède un chargeur pour film et un autre pour plaques.« 
Jougla Sinnox

et encore cela,

ce décret de cession de brevet d’invention de l’appareil photographique dénommé le Sinnox, en date du 4 mai 1902 :

« est décrétée 8°

la cession enregistrée au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, le 16 janvier 1902, faite suivant acte en date du 21 décembre 1901, à la société anonyme dite « Plaques, pellicules et papiers photographiques J. Jougla », ayant son siège à Paris, Avenue Victoria n°8, par les sieurs Raymond-Camille-Marie de Bercegol, demeurant à Albi (Tarn) _ je relève l’information _, et Louis Sueur, demeurant à Saint-Maurice (Seine), Grande-Rue n° 87, de leurs droits au brevet d’invention de quinze ans, pris, le 21 octobre 1898, par le sieur de Bercegol _ voilà ! _, pour un appareil photographique dénommé le Sinnox« 

À ce jour, vendredi 11 décembre,

manquent à ma documentation, les lieux et dates du décès de Raymond de Bercegol :

il vivait en effet, et à Joinville-le-Pont, en novembre 1912 _ ainsi qu’en témoignent les Actes d’État-Civil, au moment des décès successifs,

le 7 septembre 1912, au n° 108 de l’Avenue d’Ivry, à Paris 13e (adresse de l’hôpital Marie Lannelongue) ; puis le 15 novembre, au domicile personnel cette fois de Raymond de Bercegol et sa seconde épouse Yvonne Marinier, à Joinville-le-Pont, au n° 26 de la Route de la Brie,

des deux filles de Raymond de Bercegol : Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol, née à Joinville-le-Pont le 14 juin 1910 ; et Marie-Henriette, née au château de Floyras, à Bélaye, le 16 janvier 1899 _ ;

ainsi que les lieux et dates du décès de sa mère, Berthe Ducos :

celle-ci était mentionnée comme résidant à Joinville-le-Pont à la date du 4 janvier 1907, lors de l’Acte d’État-Civil du second mariage de son fils Raymond, avec Yvonne Marinier ; et le domicile indiqué pour le fils et sa mère à Joinville, est au n° 17 de l’Avenue Pauline

J’ai cherché dans les registres d’État-Civil de Joinville-le-Pont accessibles en ligne _ et ils ne le sont pas tous… _, mais jusqu’ici je n’ai rien trouvé concernant ni Raymond de Bercegol, ni sa mère Berthe Ducos…

J’ai seulement découvert que Raymond de Bercegol était venu lui-même témoigner du décès, toujours à Joinville-le-Pont, de son beau-père _ né à Blaye (Gironde) le 8 février 1836 _, le Lieutenant-Colonel Michel-Camille Marinier, décédé en son domicile personnel du n° 20 de l’Avenue Joyeuse, à Joinville-le-Pont, le 17 septembre 1909, à l’âge de 73 ans ;

ce dernier, ainsi que sa veuve, Marguerite-Camille Dufréchou _ née en 1852 _, étaient venus résider auprès de leur fille Yvonne et de sa famille, à Joinville-le-Pont.

En revanche,

et même si je ne suis pas encore parvenu _ mais cela va bientôt venir _ à identifier les deux filles _ non, un garçon et une fille : Philippe-Adrien Engelhard (Annecy, 29 juillet 1932 – Paris 16e, 28 octobre 2017) et Marie Bernadette Gemma Etiennette Françoise (dite Nadine) Engelhard (Berck, 30 septembre 1935 – Neuilly-sur-Seine, 26 juin 2019) _ de la sœur d’Étiennette Ducos du Hauron,

non plus que le prénom _ Simone : Marie-Simone-Madeleine-Adrienne _ de celle-ci (!), ainsi que le nom _ Jacques-Antoine Engelhard _ de son mari _ Simone Ducos du Hauron et Jacques Engelhard se sont mariés à Paris 7e le 27 janvier 1932 _ (et les prénoms de leurs enfants) ;

en revanche, j’ai réalisé pas mal de progrès concernant la descendance d’Étiennette _ Étiennette-Marie-Isaure _ Ducos du Hauron la fille aînée (née à Saint-Mandé, le 26 décembre 1898 et décédée à Paris 6e, le 20 ou le 26 décembre 1996) d’Étienne-Gaston Ducos du Hauron (né à Agen, le 16 juin 1870 et décédé à Savigny-sur-Orge, le 3 avril 1912) et son épouse Edmée de Lamarque (née à Poitiers, le 8 janvier 1876 et décédée à Saint-Mandé, le 22 février 1902) _ et de son mari Alfred Lamarque _ né à Angers, le 30 juin 1898 et décédé à Paris 7e, le 1er janvier 1976 _ : Étiennette et Alfred, se sont mariés à Agen le 20 juillet 1920, à peine un mois et onze jours avant le décès, à Agen, au 58 de la rue Lamouroux, du grand-oncle d’Étiennette, Louis Ducos du Hauron, le 31 août 1920 ;

à commencer par les prénoms de leurs 10 enfants…

À suivre…

Ce vendredi 11 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà donc cette reprise avec de menues corrections…

Ce samedi 6 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Faire un point provisoire sur les taches aveugles qui persistent en mon enquête sur la constellation familiale des apparentés à la branche algérienne des Ducos du Hauron

24fév

Depuis pas mal de temps maintenant,

je passe beaucoup de temps à enquêter, un peu tous azimuts, autour de la constellation familiale de la branche « algérienne – algéroise » de la famille Ducos du Hauron, à partir du moment où _ j’ignore à quelle date, mais probablement à Orléansville _ Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1966 – Alger, 15 juillet 1935) a décidé de ne pas rentrer avec ses parents Alcide (Coutras, 29 juin 1930 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909) et Césarine-Marie (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen, mai 1923), son frère Gaston (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912), et son oncle Louis (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), en France, mais de demeurer en Algérie, le pays où vivait celle qu’il a épousée _ un peu avant ou un peu après _, Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933).


La parenté « algérienne » d’Amédée Ducos du Hauron et des siens _ autour et puis issus de lui _, est ainsi constituée du terreau des filiations en amont et des apparentements, en Algérie, de son épouse Marie-Louise Rey, et de la sœur de celle-ci, sa belle-sœur par conséquent, Aimée-Laurence Rey, bientôt épouse de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel ; et en amont de ces deux sœurs Rey, leurs oncles et tantes Gentet, et d’abord leur grand-mère Anne-Marie Schwartz, à Orléansville d’abord.

Puis, les apparentements de cette famille Gentet, avec les Wachter, les Ferrand, les Confex ;

et un peu plus tard, à partir du mariage de la fille aînée d’Amédée et Marie-Louise, Eveline Ducos du Hauron, avec Henri Ducros, avec les Ducros, et leurs cousins Charavel et Ferrand, etc.

Avec cet enracinement orléansvillois des Gentet-Rey, je me suis donc intéressé aux apparentements, avec les Wachter, et les Bonopéra.

Au point d’être intrigué par la présence, en plusieurs faire-part de décès de ces familles, d’une certaine « Mme Vve Bonopéra« , voire  »Mme Vve Paul Bonopéra » ; ou même « Mme Vve Paul Bonopéra-mère« …

Surtout quand je me suis heurté à la difficulté _ encore non résolue _ de faire coïncider la parenté Confex de celle-ci avec « Mme Vve Wachter née Confex« , sa sœur ; avec le fait que la mère des six enfants du défunt mari, Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) de cette « Mme Vve Paul Bonopéra« , était une certaine Joséphine Girot (ou Giraud), comme cela apparaît dans les six actes de naissances, aux mairies de Pontéba, de Charon, d’Orléansville ou de Ténès-Rabelais, des six fils de ce Paul Bonopéra !!!

Et à cela sont venues se rajouter encore les méandres un peu confus des relations familiales compliquées de Marguerite Bonopéra, la sœur aînée de Paul, avec les Morand de la Genevraye, jusque dans les fils parfois confus de sa descendance _ en partie du fait de la destruction des archives d’Etat-civil de la ville d’Orléansville, lors des  terribles tremblements de terre de 1954 et 1980 ; ou des trous conséquents qui affectent aussi d’autres archives d’Etat-civil de diverses communes d’Algérie : ce serait trop simple, sinon…

Voilà !

Et tout cela demeure passionnant.

Et j’avance progressivement, jour après jour, patiemment, pas à pas…

Ce mercredi 24 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A la recherche des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron, du côté de son frère Alcide et de sa soeur Berthe…

11déc

Bien sûr, je continue mes recherches concernant l’identification des neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

tant du côté de son frère aîné Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909)

que du côté de sa sœur cadette Berthe (Libourne, 23 janvier 1842 – après 1907…), épouse de Fabien Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 janvier 1834 – Cahors, 21 septembre 1896).

J’ai  découvert plusieurs indications de résidence de Raymond de Bercegol, le fils _ peut-être unique, je l’ignore encore… _ de Berthe et Fabien Onézime, à Joinville-le-Pont ; et c’est à partir du moment où, le 8 mars 1903, Raymond indique changer son métier de « commissaire spécial des chemins de fer«  _ apparemment, mais c’est vérifier !, son dernier poste se trouvait à Marseille auprès de la compagnie PLM _ pour celui de « chimiste«  : cette mention apparaît en effet désormais dans les actes d’État-Civil de son mariage, le 4 juin 1907 à Bordeaux, avec sa seconde épouse, la bordelaise Marguerite Yvonne Marinier ; puis dans les actes d’État-Civil des deux décès successifs en septembre et novembre 1912 : d’abord à Paris 13e _ au 108 Avenue d’Ivry : j’ai découvert que c’était là l’adressse de l’hôpital Marie Lannelongue ; cf ci-dessous une photo prise, précisément, l’année 1910 _, puis à Joinville-le-Pont _ au domicile de ses parents, Raymond et Marguerite Yvonne, cette fois : 26 Route de la Brie _, de ses deux filles : d’abord Simone Camille Jeanne Marie de Bercegol, décédée  le 7 septembre 1912, à l’âge de 3 ans et 3 mois _ elle était née à Joinville-le-Pont le 13 mars 1910 _puis Marie Henriette de Bercegol, décédée le 15 novembre 1912, à l’âge de 13 ans et 10 mois  _ elle était née à Bélaye, au château de Floyras, le 6 janvier 1899.

avenue d'Ivry - Paris 13ème

 

Je relève au passage que la mention du décès de la petite Simone Camille Jeanne Marie a été retranscrite le 26 novembre 1912 sur le registre des décès de la commune de Joinville-le-Pont, du registre des décès de Paris 13e, soit l’arrondissement parisien dans lequel l’enfant était décédée le 7 septembre précédent _ au 108 de l’Avenue d’Ivry… J’ignore les raisons _ administratives ? _ de ces démarches-là…

Mais j’ai trouvé aussi ceci :

 

« C’est en 1882 que fut fondée par Joseph Jougla, alors âgé de 35 ans, la Société Anonyme des Plaques, Pellicules et Papiers photographiques. Installée à Nogent, puis au Perreux, elle se fixe définitivement à Joinville, au 15 avenue de l’Horloge _ du quartier de Polangis _ en 1901. “Avec les plaques Jougla, j’opère à toute heure”, telle était la publicité pour l’appareil “SINNOX” que fabriquait Jougla à Polangis,  40 000 plaques par jour sortaient également de cette usine. Occupant jusqu’à 600 ouvriers, la société est établie sur un immense terrain de 20 000 m2, dont 4 000 sont couverts« ,

en un article consacré aux réalisations de l’industriel Joseph Jougla à Joinville-le-Pont…

Galerie

Galerie

Ce que confirme

et ceci :

« Le SINNOX » de la Société JOUGLA

« Le brevet initial du SINNOX a été déposé en 1899 _ non : le 21 octobre 1898 ; cf ci-dessous… _ par de BERCEGOL. Il en a cédé les droits en 1902 _ oui : le 16 janvier 1902 _ à la S.A. P.P.P.P. JOUGLA qui a elle-même déposé cette année-là des additions au brevet. L’appareil proposé ici est construit selon les critères de perfectionnement de ce second brevet de 1902. Il autorise un chargement en lumière du jour, « Sine nocte« . Un système d’accroche à aiguille permet de retenir la plaque impressionnée lors de l’escamotage. Cette dernière est toujours au foyer grâce à un dispositif interne qui positionne automatiquement la chambre à chaque changement de plaque. Notre appareil possède un chargeur pour film et un autre pour plaques. »
Jougla Sinnox

et encore cela,

ce décret de cession de brevet d’invention de l’appareil photographique dénommé le Sinnox, en date du 4 mai 1902 :

« est décrétée 8°

la cession enregistrée au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, le 16 janvier 1902, faite suivant acte en date du 21 décembre 1901, à la société anonyme dite « Plaques, pellicules et papiers photographiques J. Jougla », ayant son siège à Paris, Avenue Victoria n°8, par les sieurs Raymond Camille Marie de Bercegol, demeurant à Albi (Tarn) _ je relève l’information _, et Louis Sueur, demeurant à Saint-Maurice (Seine), Grande-Rue n° 87, de leurs droits au brevet d’invention de quinze ans, pris, le 21 octobre 1898, par le sieur de Bercegol _ voilà ! _, pour un appareil photographique dénommé le Sinnox« 

À ce jour, vendredi 11 décembre, manquent à ma documentation,

les lieux et dates du décès de Raymond de Bercegol :

il vivait en effet, et à Joinville-le-Pont, en novembre 1912 _ ainsi qu’en témoignent les Actes d’État-Civil,  au moment des décès successifs, le 7 septembre 1912, au n° 108 de l’Avenue d’Ivry, à Paris 13e ; puis le 15 novembre, au domicile cette fois de Raymond de Bercegol et sa seconde épouse Yvonne Marinier, à Joinville-le-Pont, au n° 26 de la Route de la Brie, de ses deux filles, Simone Camille Jeanne Marie de Bercegol, née à Joinville-le-Pont le 14 juin 1910 ; et Marie Henriette, née au château de Floyras, à Bélaye, le 16 janvier 1899 _ ;

ainsi que les lieux et dates du décès de sa mère, Berthe Ducos :

celle-ci était mentionnée résidant à Joinville-le-Pont à la date du 4 janvier 1907, lors de l’Acte d’État-Civil du second mariage de son fils Raymond, avec Yvonne Marinier ; et le domicile indiqué pour le fils et sa mère à Joinville, est au n° 17 de l’Avenue Pauline

J’ai cherché dans les registres d’État-Civil de Joinville-le-Pont accessibles en ligne _ et ils ne le sont pas tous… _, et jusqu’ici je n’ai rien trouvé concernant et Raymond de Bercegol, et sa mère Berthe Ducos…

J’ai seulement découvert que Raymond de Bercegol était venu lui-même témoigner du décès, toujours à Joinville-le-Pont, de son beau-père _ né à Blaye (Gironde) le 8 février 1836 _, le Lieutenant-Colonel Michel Camille Marinier, décédé en son domicile du n° 20 de l’Avenue Joyeuse, à Joinville-le-Pont, le 17 septembre 1909, à l’âge de 73 ans :

ce dernier, ainsi que sa veuve, Marguerite Camille Dufréchou _ née en 1852 _, étaient venus résider auprès de leur fille et sa famille, à Joinville-le-Pont.

En revanche,

et même si je ne suis pas encore parvenu à identifier les deux filles de la sœur d’Etiennette Ducos du Hauron,

non plus que le prénom de celle-ci (!) ainsi que le nom de son mari (et de leurs enfants),

en revanche, j’ai réalisé pas mal de progrès concernant la descendance d’Etiennette Ducos du Hauron la fille aînée (née à Saint-Mandé, le 26 décembre 1898 et décédée à Paris 6e, le 20 décembre 1996) d’Etienne Gaston Ducos du Hauron (né à Agen, le 16 juin 1870 et décédé à Savigny-sur-Orge, le 3 avril 1912) et son épouse Edmée de Lamarque (née à Poitiers, le 8 janvier 2878 et décédée à Saint-Mandé, le 22 février 1902) _ et de son mari Alfred Lamarque _ né à Angers, le 30 juin 1898 et décédé à Paris 7e, le 1er janvier 1976 _ ;

à commencer par les prénoms de leurs 10 enfants…

À suivre…

Ce vendredi 11 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Chercher sur mollat

parmi plus de 300 000 titres.

Actualité
Podcasts
Rendez-vous
Coup de cœur