Posts Tagged ‘Raymond Ducros

De premiers résultats de la relance de mes recherches à propos des neveux (et leur descendance) de Louis Ducos du Hauron : Yvonne-Marie-Aimée Ducos du Hauron (Orléansville, 1901 – Paris 17e,1902)…

19juil

En réponse immédiate  aux promesses de mon article d’hier 18 juillet 2023 « « ,

voici de premiers résultats de mes recherches sur le web…

En effet, en m’étant mis à rechercher à nouveau ce qui concernait la descendance _ en Algérie _ d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 29 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933),

je viens, d’abord, de découvrir, ce lundi 17 juillet,

le décès_ acte n°1501, cote V4E _ 10268 du registre des décès _, à Paris 17e, 27 rue des Batignolles, le 19 juin 1902, d’Yvonne-Marie-Aimée Ducos du Hauron, née à Orléansville en 1901 _ au mois d’août _, âgée de 10 mois, fille d’Amédée Ducos du Hauron, administrateur-adjoint de la commune mixte du Chélif, et son épouse Marie-Louise Rey, résidant alors à Lamartine (département d’Alger).

Le décès de l’enfant a été déclaré par sa tante Alyce (sic) Ducos du Hauron, 21 ans, domiciliée 27 rue des Batignolles (Paris 17e), ainsi que par la cousine _ j’ignore par quels liens familiaux… _ de l’enfant Jeanne des Pons, épouse Rolland, 26 ans, domiciliée 37 rue de Moscou (Paris 17e).

Ce décès de la petite Yvonne Ducos du Hauron ayant été confirmé, en Algérie, par un bref avis de décès publié par le journal Les Nouvelles, en date du 5 juillet 1902, page 2 :

« Nous apprenons la mort de Melle Yvonne Ducos du Hauron, fille du sympathique administrateur-adjoint de la commune du Chéliff. Cette mort met en deuil les familles Ducos du Hauron, Fourcauld, Rey, Gentet, etc.« …

Ce qui me permet d’adjoindre un quatrième prénom, « Yvonne-Marie-Aimée« , à la liste des enfants que j’ai déjà identifiés parmi ceux nés d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey :

Éveline Ducos du Hauron : j’ignore le lieu et la date de sa naissance, ainsi que le lieu et la date de son mariage avec Henri-Bavolet Ducros. Et Éveline et Henri-Bavolet Ducros ont eu au moins 3 enfants Ducros :

_ Yves-Henri-Marie Ducros : né à Port-Gueydon, le 31 mai 1930, et décédé à Avignon le 1er décembre 2020

_ Raymonde Ducros : j’ignore le lieu et la date de sa naissance ; elle est décédée à Port-Gueydon au mois d’octobre 1933.

_ Raymond Ducros : né à Port-Gueydon au mois de mai 1931 ; je n’en sais pas davantage…

Quant à Éveline, probablement l’aînée de la fratrie née d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey,

elle est décédée à Alger un des tous derniers jours du mois de décembre 1938.

Ensuite :

_ Yvonne-Marie-Aimée Ducos du Hauron : elle est née à Orléansville au mois d’août 1901 ; elle est décédée à Paris 17e, au domicile de sa tante Alyce Ducos du Hauron _ Agen, 19 décembre 1880 _ Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1871 _, 27 rue des Batignolles, à l’âge de 10 mois, le 19 juin 1902.

_ Edmée Ducos du Hauron : elle est née à Lamartine, le 8 juillet 1904 ; j’ignore le lieu et la date de son décès.

_ Gérard-Yves-Alcide Ducos du Hauron : il est né à Berroughia le 30 août 1909 ; et il est décédé à Avignon le 27 janvier 2000.

_ Louis-Roger Ducos du Hauron : j’ignore le lieu et la date de sa naissance, de même que le lieu et la date de son décès.

Son épouse se prénomme Sylvia ; et Roger et Sylvia ont eu 4 enfants, dont 3 filles :

_ Marie-José-Sylvia Ducos du Hauron (Alger, 4 avril 1944 – Langrolaye-sur-Rance, 28 décembre 2009),

_ Danièle Ducos du Hauron (dite peut-être Nanou), dont j’ignore le lieu et la date de naissance ; elle est l’épouse de Daniel Thion ;

_ Denise Ducos du Hauron ;

et un garçon :

Jean-Louis Ducos du Hauron, dont j’ignore le lieu et la date de naissance, et qui réside actuellement en Espagne ;

et qui a 2 fils :

Cédric et Aurélien Ducos du Hauron (dont jusqu’ici j’ignore les lieux et dates de naissance) ;

et c’est par eux trois, Jean-Louis et ses fils Cédric et Aurélien, que se prolonge le nom de Ducos du Hauron…

Recherches à poursuivre…

Ce mercredi 19 juillet 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Reprise avec corrections de l’article du 15 décembre 2020 « Un point provisoire sur les acquis et les taches aveugles qui demeurent dans l’essai de reconstitution de la généalogie des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron »…

06nov

Pour cet article un peu synthétique  du mardi 15 décembre 2020,

j’ai pas mal de correctifs, précisions et ajouts à apporter…

Voici donc ce que cela donne _ avec en rouge et gras ce que je reprends et rectifie _, à cette date d’aujourd’hui  samedi 6 novembre 2020 :

Afin d’être mieux à même de compléter la généalogie de la famille Ducos du Hauron, que j’essaie d’établir le plus exhaustivement possible,
voici en rouge, afin de bien les repérer, les éléments que je n’ai pas, à ce jour, réussi à identifier,
parmi la descendance d’Amédée-Jérôme-Mathias Ducos du Hauron (Bordeaux, 5 juin 1799 – Auch, 14 octobre 1863), époux à Coutras le 21 juin 1829, de Marguerite Zénaïde Boivin (Coutras, 6 octobre 1807 – Clermont-Ferrand, 18 janvier 1874),
 parents de 3 enfants :
Jean-Marie-Casimir-Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), époux au Temple-sur-Lot le 11 septembre 1864 de Cézarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen 19 mai 1923 _ elle sera inhumée dans le caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, à Agen, le 21 mai 1923 _),
Louis-Arthur-Montalembert du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), demeuré célibataire,
et Berthe Ducos du Hauron (Libourne, 23 janvier 1842 – ?, ?), épouse à Agen le 11 février 1866 de Fabien-Marie-Alexandre-Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896).
J’ignore où et quand Berthe Ducos est décédée.
Alcide Ducos du Hauron et son épouse Cézarine-Marie de Fourcauld
sont les parents de 5 enfants, dont l’aîné décédé à l’âge de 5 mois et 2 jours :
Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Agen, 11 juillet 1866 ;
Marie-Louis-Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935 ), époux _ où (à Orléansville ? à Alger ?) et quand ? _ de Marie-Louise Rey (? , ? 1879 – Agen, 20 septembre 1933) _ où et quand Marie-Louise Rey est-elle née ? Probablement à Orléansville, en 1879 _ ;
Étienne-Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912 ), époux à Saint-Mandé, le 7 janvier 1898, d’Edmée de Lamarque (Poitiers, 8 janvier 1876 – Saint-Mandé, 22 février 1902) ;
Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971), demeurée célibataire, ;

et Marie-Alice Ducos du Hauron (Agen, 18 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971) demeurée célibataire.   
Amédée Ducos du Hauron _ le fils aîné d’Alcide _ et son épouse Marie-Louise Rey
sont les parents d’au moins 5 enfants
_  c’est ce qu’indique du moins un intéressant (et évidemment précieux pour notre recherche) article de L’Écho d’Alger en date du 4 mars 1927, annonçant une exposition des « Anaglyphes«  de Louis Ducos du Hauron au Casino d’Alger, et se permettant de citer à cette occasion un article d’un quotidien parisien,
que voici in extenso :
« Le seul homme qui porte le nom glorieux de Ducos du Hauron vit péniblement à Rébeval (Algérie) avec une retraite de 400 francs par mois, son principal revenu pour entretenir une famille de cinq enfants.
Nous nous ferons un devoir et un honneur de revenir sur l’ingratitude manifestée à l’égard de la famille Ducos par ceux-là même qui ont trouvé dans ses inventions une source considérable de millions et de gloire.
Mais, d’ores et déjà, nous estimons qu’une ère de réparation devrait s’ouvrir en faveur de M. Amédée Ducos du Hauron, neveu direct de l’inventeur des anaglyphes et de la photographie des couleurs, seul porteur actuel du nom de Ducos du Hauron, qui fut, jusqu’à vingt-sept ans, en compagnie de son père, Alcide Ducos du Hauron (successivement conseiller à la Cour d’appel d’Agen et d’Alger), le collaborateur (sic : c’est moi qui souligne pareille affirmation) du glorieux inventeur Louis Ducos du Hauron, son oncle« .
Amédée Ducos du Hauron, désormais, en 1927, retraité (il est âgé de 60 ans) et domicilié à Rébeval (aujourd’hui Baghlia), en Kabylie, non loin de Tizi-Ouzou, est donc dit ici avoir à charge une famille de 5 enfants _,
parmi lesquels j’ai identifié les suivants :
_ Edmée Ducos du Hauron (Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _, 8 juillet 1904 – ? ? ) _ j’ignore où et quand celle-ci est décédée _,
_ Gérard Yves Alcide Ducos du Hauron (Berrouaghia, 30 août 1909 – Avignon, 27 janvier 2000) _ je n’en sais guère davantage sur lui ; s’est-il marié ? Il semble que oui : le 25 novembre 1939, à Alger, Gérard Ducos du Hauron s’est en effet marié avec Célestine Léontine Noiraux (Haraucourt, 12 janvier 1893 – Cavaillon, 29 juillet 1972), précédemment mariée, le 30 juillet 1927, à Lyon, avec Eugène Jacquet. Or n’est-ce pas, précisément, une Mme Jacquet qui est présente sur le faire part de décès de Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron, dans l’édition du 2 janvier 1939 de L’Écho d’Alger, immédiatement à la suite des deux frères Gérard et Roger Ducos du Hauron, et immédiatement avant Mme Vve Gadel et ses enfants ?.. Voilà qui est intéressant…
Voici in extenso ce faire-part : «  »M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants ; MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger ; Mme Jacquet ; Mme Vve Gadel et ses enfants ; les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure, vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939« .
Mais j’ignore pour le moment les liens (attestés aussi dans d’autres faire-part de décès…) ayant pu exister entre les famille Ducros et Ducos du Hauron, et la famille Gadel…
Gérard Ducos du Hauron a-t-il une descendance ? C’est possible, mais cela paraît un peu difficile ; puisque, si lors de ce mariage, en novembre 1939, avec Mme Jacquet, celle-ci, Célestine, est déjà âgée de 46 ans ; il paraît assez peu probable (mais qui sait ?..) que celle-ci ait pu être, à 51 ans, en 1944, la mère de Marie-José Sylvia Ducos du Hauron, qui est née à Alger le 4 avril 1944 (Non : Marie-José Ducos du Hauron, est fille du frère de Gérard, Roger Ducos du Hauron)...
_ Roger Ducos du Hauron _ à part son existence, attestée, au même titre que celle de son frère Gérard, en l’avis de décès (publié le 2 janvier 1939) de Mme Henri Ducros née Eveline Ducos du Hauron _ c’est-à-dire leur sœur ! _, faute d’avoir trouvé jusqu’ici la moindre autre mention de lui, j’ignore encore presque tout de lui, à commencer par ses dates et lieux de naissance et de décès… Et sur ce point, ma recherche n’a en rien avancé _,
_ Eveline Ducos du Hauron : j’ignore sa date et son lieu de naissance ; mais je sais qu’Eveline, épouse de Henri Ducros
_ j’ignore où et quand précisément a eu lieu ce mariage ; de même que les lieux et dates de naissance de son époux _ sur la naissance de Henri Ducros, époux d’Eveline Ducos du Hauron, cf mon décisif article du 31 mars 2021 : . : Henri Ducros est né à Alger le 25 juin 1887 _, cet Henri Ducros, qui a été administrateur-adjoint de Port-Gueydon en 1930 et 1933 ; puis de Dupleix en 1938-39… _
décèdera à Alger au cours des vacances de Noël, dans les derniers jours de décembre 1938, et non en son domicile de Dupleix _ aujourd’hui Damous _ en Kabylie, où son mari était administrateur civil adjoint…
Eveline a été mère d’une petite Raymonde Ducros, décédée à Port-Gueydon _ aujourd’hui Azzefoun _ au mois d’octobre 1933 (on trouve en effet mention de cette petite Raymonde Ducros dans  l’avis de son décès, paru dans L’Écho d’Alger du 23 octobre 1933). Le numéro de L’Écho d’Alger du 8 juin 1930 comporte le faire-part de la naissance, à Port-Gueydon, du petit Yves-Henri Ducros ; de même que le numéro de L’Écho d’Alger du 30 mai 1931 comporte le faire-part de la naissance, à Port-Gueydon, du petit Raymond Ducros. Yves-Henri Ducros et Raymond Ducros font très probablement partie des enfants _ y en a-t-il eu d’autres ? _ de Henri Ducros et son épouse Eveline Ducos du Hauron, qui faisaient part, le 2 janvier 1939, en compagnie de leur père Henri, du décès de leur mère Eveline, à Alger. Que sont devenus par la suite ce Yves-Henri et ce Raymond Ducros ? Ils ont probablement été rapatriés en France métropolitaine en 1962 ; et se sont possiblement installés dans le Midi, et peut-être même dans le Vaucluse… Ont-ils eu, ou pas, une descendance ? Probablement…
D’autre part, Eveline Ducros du Hauron semble aussi avoir auparavant été mariée à un certain François Perez, si l’on se fie à un étrange très bref entrefilet intitulé « Pour affaires personnelles« , publié dans L’Écho d’Alger du 5 octobre 1926 :
« M. Perez François ne reconnaît plus les dettes que pourrait contracter sa femme née Eveline Ducos du Hauron. Dont acte » : semble ainsi se profiler l’existence d’un précédent mariage d’Eveline Ducos du Hauron avec ce François Perez…
Je suppose donc qu’Eveline Ducos du Hauron fait partie des enfants d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (? 1879 – Agen, 1933) ; et qu’elle est une des sœurs de Gérard et Roger Ducos du Hauron, ainsi que d’Edmée, née à Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _ le 8 juillet 1904 ; et cela, sauf si il s’avérait, in fine, qu’ « Edmée » n’est qu’un autre des prénoms de cette Eveline !..
Je relève aussi que ce prénom d’Eveline était déjà celui de la grand-mère maternelle (côté de Fourcauld, du Temple-sur-Lot) d’Amédée Ducos du Hauron (1866 – 1935) _ probable père de cette Eveline d’Algérie, même si cela demeure à confirmer… _ : Eveline Céleste Albaret.
Eveline Céleste Albaret, était en effet la belle-mère d’Alcide Ducos du Hauron (1830 – 1909), c’est-à-dire la mère de l’épouse de ce dernier, Cézarine-Marie de Fourcauld (1841 – 1923), et l’épouse, au Temple-sur-Lot, d’Antoine Martial Henry de Fourcauld (1817 – ?) _ mais j’ignore à ce jour les lieux et dates de naissance et décès d’Eveline Céleste Albaret…
Il est donc bien dommage (pour nous) que les prénoms des 5 enfants Ducos du Hauron évoqués dans ce bien intéressant article du 4 mars 1927 de L’Écho d’Alger, n’aient pas été spécifiés !
Ce qui fait que j’ignore ainsi si ces divers enfants d’Amédée et Marie-Louise
_ enfants Ducos du Hauron tous très probablement nés (mais c’est bien sûr à vérifier !) en Algérie ;
cette Algérie qu’Amédée n’aura, lui, peut-être plus quittée lors du départ pour la France, en novembre 1896, de ses parents Alcide et Cézarine-Marie, de son oncle Louis, ainsi que de son frère Gaston et de ses sœurs Marguerite et Alice : il faut cependant relever que l’épouse d’AmédéeMarie-Louise Rey, est décédée, elle, à Agen, le 20 septembre 1933 ! ; mais elle ne semble pas avoir été inhumée dans le caveau familial de sa belle-famille Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, à Agen… Et Amédée étant peut-être lui-même revenu parfois séjourner brièvement en France… _
se sont tous mariés _ Eveline, Gérard et Roger, oui … _ , ou pas ; et ont tous eu, ou pas, une descendance _ Eveline et Roger, oui…
Ainsi ai-je relevé, par exemple, aussi, l’existence d’une Marie-José Sylvia Ducos du Hauron, née à Alger le 4 avril 1944, et décédée à Langrolaye-sur-Rance le 26 décembre 2009. Mais je n’en sais pas davantage sur celle-ci. Duquel des fils d’Amédée Ducos du Hauron _ Gérard ? Roger ? un autre ? : Roger ! _ Marie-José Sylvia Ducos du Hauron est-elle donc née en 1944  à Alger ? Oui !
Ce sont là de bien intéressantes données pour notre recherche… De même que l’histoire (algérienne) d’Eveline Ducos du Hauron…
Voilà donc un certain nombre de données factuelles qu’il serait intéressant d’éclaircir, afin de mieux connaître les divers membres de cette famille Ducos du Hauron ayant vécu _ à partir d’avril 1884, quand, avec leur mère Cézarine-Marie, Amédée (âgé de 17 ans) et Gaston (âgé de 14 ans), et leurs deux petites sœurs Marguerite et Alice (âgées de 5 et 4 ans) ont rejoint à Alger leur père Alcide ; accompagnés par leur oncle Louis _ en Algérie…
Au retour en France, en novembre 1896, de la plupart des membres de leur famille venus en Algérie, et cela à la possible, sinon probable, exception d’Amédée, Amédée, lui, qui a 29 ans, a choisi de demeurer en Algérie ; alors que son frère Gaston, qui a 26 ans, choisit de rentrer en France en compagnie de ses parents et ses sœurs.
J’ignore où et quand a eu lieu le mariage d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey (en Algérie, probablement, et probablement à Orléansville, où Marie Louise Rey (et sa sœur Aimée-Laurence), doublement orphelines depuis le décès de leur père, le 28 janvier 1890, résidaient auprès de leur oncle maternel et tuteur légal, Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), frère de leur mère Adélaïde Gentet (décédée le 5 juillet 1886)… ; mais après tout je n’en sais rien, et j’ignore toujours, pour le moment, le lieu de naissance de Marie-Louise Rey, en 1879 _ au mois de novembre 1896, Marie-Louise Rey est âgée de 17 ans.
En revanche, je sais que c’est le 7 janvier 1898, à Saint-Mandé, non loin de Paris, que Gaston Ducos du Hauron a épousé Edmée de Lamarque.
Des enfants nés du mariage d’Amédée et Marie-Louise, le premier né, du moins à ma connaissance à ce jour, est Edmée, née à Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _, près d’Orléansville, le 8 juillet 1904…
Mais des autres enfants de ce couple d’Amédée et Marie-Louise, au nombre de 5 en 1927, au moment de la retraite à Rébeval _ aujourd’hui Baghlia _, d’Amédée, je ne connais jusqu’ici d’autre date de naissance que celle de Gérard : le 30 août 1909, à Berrouaghia …
Et je viens de me lancer dans le recensement des divers postes de travail occupés dans l’administration de l’Algérie profonde, par Amédée Ducos du Hauron ; mais les données que je trouve à recueillir demeurent encore parcellaires…
Voilà donc pour la branche « algérienne » des Ducos du Hauron…
Et retour maintenant au frère cadet d’Amédée,
Gaston
Gaston Ducos du Hauron _ le second fils d’Alcide, et donc frère cadet d’Amédée _ et Edmée de Lamarque,
eux, sont les parents de 2 filles :
Étiennette-Marie-Augustine-Isaure Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 26 décembre 1898 – Paris 6e, 20 décembre 1996), épouse, à Agen le 20 juillet 1920, de Marie-Alfred-Henri-Abdon-Auguste Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976) ;
ainsi que sa sœur Marie-Simone-MadeleineAdrienne (Saint-Maurice-sur-Seine, 20 mai 1900 – Bayeux, 22 novembre 1955), épouse à Paris, le 27 janvier 1932 de Jacques-Antoine Engelhard (Gonneville, 31 juillet 1896 – ?, 1979).
Et, à ce jour du 15 décembre 2020, j’ignore presque tout de cette sœur cadette d’Étiennette,
sinon, et cela d’après la précieuse lettre d’Alice Ducos du Hauron à Joseph Lacroix (Agen, 14 juillet 1861 – Villeneuve-sur-Lot, 1949) ancien chef de laboratoire et ami fidèle de Louis Ducos du Hauron _, en date du 6 juillet 1948, que cette sœur cadette d’Étiennette pourrait être née en 1900, en fait le 20 mai 1900 (mais pas à Saint-Mandé ! mais à Saint-Maurice-sur-Seine), et serait devenue paralysée à l’âge de 44 ans, en 1944 ; et que Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron _ la sœur dAlice _ était demeurée dès lors en permanence auprès d’elle afin de la soigner… 
… 
Berthe Ducos du Hauron et Onézime de Bercegol 
sont les parents de
Raymond-Camille-Marie de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949), époux à Bélaye, le 28 octobre 1896, de _ sa cousine _ Marie-Caroline-Emérancie David (Bélaye, 21 avril 1875 – Bélaye, 31 octobre 1905),
puis époux à Bordeaux, le 4 juin 1907, de Marguerite-Yvonne Marinier (Saint-Trojan, 29 août 1875 – ? ?) _ j’ignore la date et le lieu du décès d’Yvonne Marinier.
De même j’ignore si Raymond de Bercegol (déjà, était-il, ou pas, fils unique ?) a eu, ou pas, d’autres enfants que ses 2 filles, Marie-Henriette et Simone, décédées toutes deux en 1912…
… 
Raymond de Bercegol et Emérancie David sont les parents de
Marie-Henriette de Bercegol (Bélaye, 16 janvier 1899 – Joinville-le-Pont, 15 novembre 1912) ;
et Raymond de Bercegol et Yvonne Marinier sont les parents de
Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol (Joinville-le-Pont, 13 mars 1910 – Paris 13e, 7 septembre 1912).
 
Etiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque 
sont les parents de 10 enfants :
Jacqueline Lamarque
Geneviève-Thérèse-Raymonde Lamarque (Agen, 24 juillet 1923 – Rueil-Malmaison, 25 octobre 1998), épouse, à Neuilly-Sur-Seine, le 3 octobre 1953, de Bernard Viennot (Paris 9e, 7 juin 1923 – Rochecourbon, 24 août 2016)
Yves Lamarque
Marie-Madeleine Lamarque
Jean Lamarque
Xavier Lamarque
Marie-Odile Lamarque
Anne-Marie Lamarque
Marguerite-Marie Lamarque
et Claude Lamarque, le 10ème de cette fratrie.
J’ignore si ces enfants (autres que Geneviève) se sont mariés, et ont eu, ou pas, une descendance :
probablement que oui _ Claude Lamarque ne tardera pas à m’apprendre, le 19 décembre suivant, le nombre, 27, de ses neveux et nièces, et, 43, petits-neveux et petites-nièces _,
ne serait-ce que si je prends en compte le fait que Louis Allard _ présent à Agen le 31 août 2020, aux diverses cérémonies de commémoration honorant son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron, pour le centenaire de son décès, à Agen le 31 août 1920 _, et fils de Jacqueline Lamarque et Jean Allard, a pour oncle Claude Lamarque, un de ces 10 enfants d’Étiennette et Alfred Lamarque.
… 
J’ignore à ce jour le prénom _ Simone _ de la sœur cadette d’Étiennette (ainsi que ses dates et lieux de naissance et de décès _ je les ai indiqués plus haut… _), le prénom Jacques et le nom Engelhard de son mari (ainsi que les lieux et dates de naissance de ce dernier : Jacques Engelhard est né à Gonneville le 31 juillet 1896, et il est décèdé en 1979)
ainsi que les noms et prénoms de leurs deux enfants, Nadine et Philippe (ainsi que leurs dates et lieux de naissance, et éventuellement de décès : je les ai appris depuis…) ;
et de même si ils se sont mariées, ou pas, et ont eu eux aussi, ou pas, des enfants, et une descendance
… 
Enfin, existe aussi  la descendance _ très bien documentée, elle _ de Geneviève Lamarque et Bernard Viennot, 
issue de leurs 5 enfants Viennot : 
Benoît Viennot (né en 1963), et son épouse Anne-Catherine Goulletquer _ laquelle a rédigé une gigantesque généalogie familiale, mais pas tout à fait exhaustive (ainsi, par exemple, ignore-t-elle la sœur d’Etiennette…) ; et comportant d’infimes erreurs de détail… _,
Emmanuel Viennot et son épouse Nicole Grégoire,
Hubert Viennot et son épouse Irène Alonso,
Agnès Viennot et son époux Jean-Michel Gazeau,
et Dominique Viennot et ses deux épouses successives : Valérie Garcia et Cécile Dupré.
 …
J’ai relevé les noms et prénoms des enfants de ces 5 enfants Viennot, à la génération suivante : 
Damien, Emeric, Amélie Viennot ;
Anaïs, Antoine, Romain et Maïté Viennot ;
Aurélien Gazeau ;
et Marion Viennot.
… 
Et encore, à la génération suivante : 
Clémence, Lucie et Elise Viennot ;
Paul, Céleste et Oscar Viennot ;
Mahaut, Juliette, Eloi, Zita et Louis Le Motheux de Chitray…
Voilà donc les taches aveugles qui demeurent à ce jour
dans mon effort de reconstitution de la généalogie des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis-Arthur-Montalembert Ducos du Hauron,
ainsi, surtout, que les questions que je me pose, maintenant, afin, bien sûr, de les dissiper…
Ce mardi 15 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa
Voilà donc pour cette relecture, avec corrections, précisions et ajouts en rouge et en gras, de mon article du 15 décembre
Ce samedi 6 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

 

En reprenant, afin de précisions nouvelles, mes essais de généalogie de la descendance des 3 neveux (Amédée, Raymond et Gaston) de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920)…

24sept

Le message reçu hier 23 septembre 2021 _ en commentaire (important !) de mon article du 21 décembre 2010 : _

de Marie Boulanger, une amie de Philippe Engelhard,

message par lequel celle-ci m’avise que ce dernier est bien toujours vivant,

qu’il est né le 24 février 1942 _ et non pas le 29 juillet 1932, à Annecy, comme je l’avais écrit en mon article du 4 janvier dernier : … _,

et qu’il s’intéresse de près à la généalogie de sa famille,

m’amène à reprendre et réviser ce précédent essai de généalogie de la descendance des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

qu’étaient

1) Henri Amédée Lionel Ducos du Hauron (Agen, 9 août 1866 – Alger, 15 juillet 1935) ;

2) Raymond Camille Marie de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949) :

et 3) Etienne Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912).

Les deux nièces de Louis Ducos du Hauron, et sœurs d’Amédée et Gaston,

Marguerite Jeanne (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1979)

et Marie Alice (Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 19 avril 1979) Ducos du Hauron, ,

étant demeurées célibataires et sans descendance…

Voici donc la reprise, avec corrections et ajouts _ en rouge et en gras _, de mon article , du 4 janvier dernier :

Ayant bien conscience du caractère quasi « indigérable » pour presque tout lecteur, même gourmand de curiosités exotiques et pittoresques très éloignées de lui eu égard à la plupart de ses préoccupations _ au point de voisiner l’inintérêt total et la radicale insignifiance pour lui, et provoquant l’inappétence et le rejet sans recours de la lecture _ ; et le lecteur le mieux intentionné qui puisse être, à l’égard des assez extravagantes « aventures d’explorations » de ce blog _ quel lecteur normalement sensé aurait le courage-folie (et le temps !) de scrupuleusement suivre, et en sa plus fidèle continuité, jour par jour, cette « enquête«  à laquelle je me livre ici et m’enfonce en des pistes (et incises) perdues de tout, en l’exhaustivité de cette « somme-feuilleton«  ; l’auteur n’ayant pas tout à fait encore l’incongruité de se prendre pour un adepte de l’écriture merveilleusement libre et cultivée d’un Montaigne, ni celle, ludique et systémique, d’un Pérec ; et pas davantage d’un Louis-Sébastien Mercier… _,

j’éprouve le besoin, pragmatique et éminemment modeste, de faire simplement, à ce moment, un petit point-bilan de ce qui persiste, à ce jour, de « taches aveugles » parmi les effectives avancées _ bien réelles ! _ de cette recherche, entreprise il y a maintenant un mois, d’identification des divers membres de la constellation familiale ayant entouré de sa très précieuse et très constante aide, d’abord la personne, mais aussi, ensuite, l’œuvre qui demeurait _ ad vitam æternam après le décès de leur génial auteur _, de cet extraordinaire inventeur qu’a été le gascon Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920).

Dont le parcours d’inventeur mérite d’être enfin reconnu _ à cette occasion opportune et bien commode du centième (ou maintenant cent-unième) anniversaire de son décès _ à son entier _ et tout à fait singulier _ mérite.

Je désire donc continuer de réduire les « taches aveugles » qui persistent encore concernant l’identité et la filiation des personnes _ extrêmement bienveillantes à l’égard d’abord, bien sûr, de la personne, mais aussi des travaux et inventions, de cet extraordinaire inventeur (y compris après le décès de celui-ci, en 1920) _, appartenant à la constellation familiale _ élargie à l’entourage, toujours assez important, de leurs parents et alliés _ des petits-neveux et petites-nièces _ et leurs descendants _ de Louis Ducos du Hauron

_ soient les enfants (et descendants) de ses très chers neveux (qui, chacun des trois, l’ont tous magnifiquement épaulé en ses recherches), Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935) et son frère Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912), les deux fils d’Alcide Ducos du Hauron, et son épouse Césarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen ? mai 1923), ainsi que leur cousin germain Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949), le fils semble-t-il unique de Berthe Ducos, et son époux Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896) ;

et de leurs épouses respectives, Ducos du Hauron (nées Marie-Louise Rey, et Edmée de Lamarque), et de Bercegol (nées Émérancie David et Yvonne Marinier) ;

pour m’en tenir, tout d’abord, au niveau de la seconde génération qui a suivi celle de Louis Ducos du Hauron (1837 – 1920), son frère aîné Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), et sa sœur cadette Berthe (Libourne, 23 janvier 1842 – ?, ?), puis celle de ses neveux Amédée (1866 – 1935), Raymond (1869 – vers 1949) et Gaston (1870 – 1912) _,

c’est-à-dire cette génération des petits-neveux et petites nièces de Louis Ducos du Hauron,

qui a suivi celle de ses neveux Amédée, Raymond et Gaston : nés en 1866, 1869 et 1870 ; et décédés en 1912, 1935 et 1949.

En voici donc un tableau :

1°) Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (?, 1879 – Agen, 1933) _ j’ignore à ce jour le lieu (peut-être _ ou plutôt très probablement _ à Orléansville, où semble être née et avoir été domiciliée _ au moins chez son oncle et tuteur Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), à partir du décès des deux parents de Marie-Louise, sa mère Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) et son père Jean Anatole Firmin Rey (Satolas, 2 avril 1821 – Oran, 28 janvier 1890) _  Marie-Louise Rey…),

et la date (probablement entre 1896 et 1901…),

de leur mariage, en Algérie _ probablement à Orléansville _ ; peut-être est-ce même ce mariage avec Marie-Louise Rey, en Algérie, qui aura décidé Amédée Ducos du Hauron à lui faire choisir ne pas accompagner ses parents, son frère Gaston et son oncle Louis, retourner en France, mais plutôt demeurer, lui et son épouse, en Algérie… _

ont eu au moins cinq enfants _ dont je connais 4 (sur 5) des prénoms (du moins si je me fie au nombre d’enfants que le couple avait à charge, en 1927, à Rébeval, au moment de la retraite de la fonction publique d’Amédée…) : Éveline, Edmée, Gérard et Roger ; j’ignore le prénom de celle que je suppose avoir été la troisième des filles (ou le troisième des garçons…) d’Amédée et Marie-Louise : et cela sur la foi du faire-part, paru dans le numéro de L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939, annonçant le décès d’Éveline Ducos du Hauron, épouse de l’administrateur de Dupleix Henri Ducros ; faire-part sur lequel figurent seulement deux Ducos du Hauron _ frères de la défunte Éveline _ : Gérard et Roger… : les autres enfants d’Amédée et Marie-Louise (frères et sœurs de cette Éveline décédée cette fin décembre 1938…) seraient-ils donc décédés _ probablement ! _ entre l’année 1927 et l’année 1938 ?.. _ Ducos du Hauron ;

2°) Gaston Ducos du Hauron (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912) et son épouse Edmée de Lamarque (Poitiers, 1876 – Saint-Mandé, 22 février 1902) _ leur mariage a eu lieu à Saint-Mandé, le 7 janvier 1898 _

ont eu deux enfants, deux filles _ Etiennette et sa cadette, Marie-Madeleine-Adrienne, dite Simone _ Ducos du Hauron ;

et 3°) Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 1869 – Paris 16e, vers 1949) et ses deux épouses successives, Émérancie David (Bélaye, 21 avril 1875 – Bélaye, 31 octobre 1905) _ leur mariage a eu lieu à Bélaye, le 28 octobre 1896 _, puis Yvonne Marinier (Saint-Trojan, 29 août 1875 – j’ignore le lieu et la date de son décès…) _ leur mariage a eu lieu à Bordeaux, le 4 juin 1907 _ont eu deux enfants, deux filles _ Marie-Henriette et Simone _ de Bercegol, toutes deux précocément décédées : l’aînée, le 15 novembre 1912, et la cadette, deux mois auparavant, le 7 septembre 1912 _  ; et donc sans descendance.

Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) _ l’aîné des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920) _ et son épouse Marie-Louise Rey (peut-être Orléansville, 1879 – Agen, 1933)

ont donné 5 petits-neveux à l’oncle Louis (Langon, 1937 – Agen, 1920) _ dont j’ignore, à ce jour, presque tout de l’ordre de naissance (à part celle d’Edmée, en 1904, à Lamartine ; et celle de Gérard, en 1909, à Berrouaghia) ; mais, sur foi d’un article de L’Écho d’Alger annonçant une exposition, à Alger, en 1927, de photos de Louis Ducos du Hauron, je suppose que, en 1927, 5 enfants d’Amédée Ducos du Hauron étaient vivants et « à sa charge«  de retraité (disposant d’une maigre pension de « 400 francs par mois« …), domicilié alors à Rébeval, une des villes où avait déjà résidé Amédée lors d’une des étapes (c’était en 1913) de son périple d’administrateur-adjoint de diverses « communes mixtes«  _ :

_ Éveline Ducos du Hauron, née peut-être à Orléansville, entre 1896 et 1901, et décédée à Alger fin décembre 1938 ; épouse _ j’ignore où eut lieu ce mariage, et probablement entre fin 1926 (où un nommé François Perez qualifiait Éveline Ducos Ducos du Hauron de « son épouse«  !) et 1929 : un point qui reste à éclaircir… _ de Henri Ducros : originaire d’Azazga _ où sa famille était installée depuis la fin des années 1880… _, Henri Ducros (né à Alger le 25 juin 1887) a été administrateur-adjoint de Port-Gueydon, où sont nés trois des enfants de ce couple formé de Henri Ducros et Éveline Ducos du Hauron : Raymonde Ducros (décédée en bas âge à Port-Gueydon au mois d’octobre 1933 _ j’ignore sa date de naissance _), Yves-Henri Ducros (né à Port-Gueydon au début du mois de juin 1930) et Raymond Ducros (né à Port-Gueydon au mois de mai 1931).

J’ignore si Yves-Henri Ducros et son frère Raymond Ducros, ont eu, ou pas, une descendance…

Ainsi que si ils ont, ou pas, quelques liens avec la bien connue entreprise (d’épices) Ducros,

installée entre Avignon et Carpentras ? Une piste à explorer…

_ Edmée Ducos du Hauron, née à Lamartine le 9 juillet 1904, où son père, Amédée, était alors administrateur-adjoint _ j’ignore le lieu et la date de son décès ; et si elle a été mariée et a eu une descendance : probablement pas…

_ un 3e enfant, et peut-être une fille _ dont j’ignore le prénom _ Ducos du Hauron.

_ Gérard Ducos du Hauron, né à Berrouaghia le 30 août 1909 (où son père, Amédée, était administrateur-adjoint), et décédé à Avignon le 27 janvier 2000. Gérard Ducos du Hauron a épousé à Alger, le 25 novembre 1939, Mme Veuve Jacquet, née Célestine-Léontine Noiraux (Haraucourt, 12 novembre 1893 – Cavaillon, 29 juillet 1972) ; et il ne semble pas avoir eu de descendance.

_ Roger Ducos du Hauron _ dont j’ignore le lieu et la date de naissance, ainsi que le lieu (en France : il est venu vivre à Savigny-sur-Orge au moment de son rapatriement en France, vers 1962 (mais pas dans la maison du 14 de la rue des Rossays, où avaient vécu ses grands-parents, Alcide et Césarine-Marie, ainsi que son grand-oncle Louis : cette maison sur laquelle a été apposée, en 1951, une plaque commémorant le séjour, là, de l’inventeur Louis Ducos du Hauron…) et la date de son décès _ ; Roger Ducos du Hauron et son épouse Sylvia _ j’ignore son nom de jeune fille… _ ont eu 4 enfants : Marie-José Sylvia Ducos du Hauron (Alger, 4 avril 1944 – Langrolay-sur-Rance, 28 décembre 2009) ; Jean-Louis Ducos du Hauron (né en 1953 _ peut-être lui aussi à Alger… _ et qui vit aujourd’hui en Espagne… ; celui-ci a deux fils, dont l’un est prénommé Cédric ; et l’autre, Aurélien) ; Danièle Ducos du Hauron ; Denise Ducos du Hauron.

Gaston Ducos du Hauron (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912) _ le second des fils du frère aîné de Louis (Langon, 1837 – Agen, 1920), Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909) et de son épouse Césarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen, ? mai 1923) _ et son épouse Edmée de Lamarque (Poitiers, 1876 – Saint-Mandé, 1902), mariés à Saint-Mandé le 7 janvier 1898, ont donné, eux, deux petites-nièces à l’oncle Louis (Langon, 1837 – Agen, 1920) :

._ Etiennette Ducos du Hauron, née à Saint-Mandé le 26 décembre 1898, et décédée à Paris-6e le 20 décembre 1996. Épouse à Agen, le 20 juillet 1920, de son cousin Alfred Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris-7e, 1er décembre 1976), Etiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque ont été les parents de 10 enfants Lamarque : Jacqueline Lamarque (qui épousera Jean Allard : ils auront 3 enfants : Anne-Elisabeth, François et Louis Allard), Geneviève Lamarque (qui épousera Bernard Viennot : ils auront 5 enfants : Benoît, Emmanuel, Hubert, Anaïs et Dominique Viennot), Yves Lamarque _ marié, il a des enfants _, Marie-Madeleine Lamarque (précocement décédée), Jean Lamarque _ marié, il a des enfants _, Xavier Lamarque _ marié, il a des enfants _, Marie-Odile Lamarque (devenue Mère Marie de Sienne), Anne-Marie Lamarque (qui épousera un M. Haudiquet ; leurs fils est Xavier Haudiquet-Lamarque), Marguerite-Marie Lamarque (précocement décédée) et Claude Lamarque (devenu chef d’orchestre) _ Claude Lamarque, qui a un fils vivant au Sri Lanka, compte, m’a-t-il confié, 27 neveux et 43 petits-neveux, nés de ses frères et sœurs Lamarque qui ont eu des enfants.

_ Marie-Madeleine-Adrienne, dite Simone, Ducos du Hauron, née à Saint-Maurice le 20 mai 1900, et décédée à Bayeux le 22 novembre 1955. Épouse à Paris 7e, le 27 janvier 1932, de Jacques Engelhard, Simone Ducos du Hauron et Jacques Engelhard ont été les parents de 2 enfants : Philippe Engelhard (Annecy, 29 juillet 1932 – Paris 16e, 28 octobre 2017 : là, il y a eu hélas confusion de ma part  : en fait, Philippe Engelhard est né le 24 février 1942, et surtout il vit toujours !) ; et Marie-Bernadette-Gemma-Etiennette- Françoise (dite Nadine) Engelhard (Berck, 30 septembre 1935 – Neuilly-sur-Seine, 26 juin 2019).

Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 1869 – Paris 16e, vers 1949…) _ le troisième des neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), le fils de sa sœur Berthe Ducos ((Libourne, 23 janvier 1842 – ?, ?) et de son beau-frère Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896) _ a eu de chacune ses deux épouses, Émérancie David (Bélaye, 1875 – Bélaye, 1905), et Yvonne Marinier (Saint-Trojan, – Paris 16e, ?), une fille _ Marie-Henriette (Bélaye, 16 janvier 1899 – Joinville-le-Pont, 15 novembre 1912) et Simone-Camille-Jeanne-Marie (Joinville-le-Pont, 13 mars 1910 – Paris 13e, 7 septembre 1912) _mais toutes deux précocement décédées, et donc sans descendance _ et j’ignore si Raymond de Bercegol et son épouse Yvonne ont eu, ou pas, un autre enfant… _ :

_ Marie-Henriette de Bercegol (née à Bélaye, le 16 janvier 1899, et décédée à Joinville-le-Pont le 15 novembre 1912) ;

_ Simone de Bercegol (née à Joinville-le-Pont, le 13 mars 1910, et décédée à Paris 13e le 7 septembre 1912) 

Voilà où je me trouve, à ce jour, 4 janvier 2001, de cette identification des personnes constituant la famille des héritiers _ tout du moins en esprit _ de Louis Ducos du Hauron,

et de son œuvre.

Ce lundi 4 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà donc ce vendredi 24 septembre 2021 quelque corrections et ajouts à ce tableau généalogique de la descendance des neveux Ducos du Hauron (Amédée et Gaston) et de Bercegol (Raymond), de Louis Ducos du Hauron (1837 – 1920),

du 4 janvier dernier…

J’ose espérer que la lecture, quelque jour _ comme celle que viens de faire hier Annie Boulanger… _, de ce blog ;

ou bien les opportunités de rencontres qu’offrira le colloque « Ducos du Hauron » du samedi 27 novembre prochain, au Théâtre Ducournau, à Agen,

permettront l’éventualité de quelques nouveaux progrès dans l’établissement de cette descendance des neveux de Louis Ducos du Hauron,

ce génie agenais,

inventeur de la « photographie de couleurs« …

Ce vendredi 24 septembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et maintenant un début de point-bilan rétrospectif-prospectif sur Eveline Ducos du Hauron elle-même

15jan

Et maintenant je passe à un essai de point-bilan rétrospectif-prospectif sur Eveline Ducos du Hauron elle-même,

dont le faire-part de décès paru dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939 continue de constituer pour le moment ma base première de recherche pour tacher d’établir un panorama le plus précis possible des filiations internes à la branche « algéroise – algérienne » des Ducos du Hauron _ issue du mariage d’Amédée Ducos du Hauron (1866 – 1935) et Marie-Louise Rey (1879 – 1933), qui a possiblement eu lieu à Orléansville, et probablement un peu avant 1896… _, après le départ d’Alcide, Césarine-Marie et leur fils cadet Gaston, ainsi que de Louis Ducos du Hauron s’en retournant en France en 1896 ; ainsi que de leurs apparentements à d’autres familles venues s’installer en Algérie durant cette période coloniale : les Rey _ originaires du Grand Serre, dans la Drôme _, les Gentet _ originaires de Satolas, en Isère _, les Schwartz _ originaires de Saint-Jean-Rohrbach, en Moselle _, les Gadel _ originaires de Tarascon dans les Bouches-du-Rhône _, les Bure originaires de je ne sais pas encore quelle région… _, les Ducros _ originaires de Martigues et Nîmes, dans le Gard _, les Charavel _ originaires du Gard… _, etc.

Eveline Ducos du Hauron, qui décèdera à Alger dans les tous derniers jours de 1938, est probablement l’aînée de la fratrie des enfants d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise, née Rey ; et il est même possible d’envisager qu’elle soit née autour du moment du retour en France, en 1896, de ses grands-parents Alcide et Césarine-Marie, son oncle Gaston et son grand-oncle Louis Ducos du Hauron.

Ce qui aurait pu constituer un autre motif du choix d’Amédée de demeurer en Algérie…

Et il n’est pas facile non plus de proposer une date pour le mariage (peut-être à Orléansville, où ils auraient pu se rencontrer…) de ses parents Amédée Ducos du Hauron (né en 1866) et Marie-Louise Rey (née en 1879) : en 1896, Amédée avait 30 ans, et Marie-Louise Rey, 17 ans…

Amédée, en effet, a été rédacteur à la sous-préfecture d’Orléansville avant de peut-être débuter sa carrière d’administrateur-adjoint de communes mixtes d’Algérie, en janvier 1901 ;

et Marie-Louise devait probablement vivre à Orléansville au domicile de son oncle maternel Louis Gentet, un des frères de sa mère _ née Adélaïde Gentet (en 1855). Et peut-être en compagnie de sa petite sœur Aimée-Laurence : les deux sœurs étant orphelines de leurs deux parents, Anatole Rey et son épouse Adélaide Gentet depuis 1886 et 1890 _ le 5 juillet 1886 est décédée leur mère, à Oran ; et le 28 janvier 1890 est décédé leur père, lui aussi à Oran… C’est alors que les a probablement recueillies l’oncle Louis Gentet, à Orléansville, où il est demeuré domicilié ; et siégeait au conseil municipal _ Louis Gentet décèdera, à Orléansville, le 9 août 1906.

Il ne m’a pas non plus été facile de me figurer une date approximative pour la naissance (à Azazga ?) de son futur époux Henri Ducros ; qui lui a débuté sa carrière d’administrateur-adjoint de communes mixtes d’Algérie au tout début de l’année 1913 _ comme administrateur-adjoint stagiaire, pour la commune mixte de Sidi-Aïssa _ après sa réussite au concours d’admission à la carrière qui avait eu lieu le 26 novembre 1912…

Sur le détail de mes réflexions sur ce point, je renvois à mon article d’hier :

À suivre…

Ce vendredi 15 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un premier point-bilan rétrospectif-prospectif sur un essai de brève biographie de Henri Ducros, l’époux d’Eveline Ducos du Hauron

14jan

La première personne à l’identité de laquelle je vais m’efforcer d’apporter ici le maximum de précision possible quant à sa situation, et d’abord au sein de sa propre famille des Ducros installés _ probablement depuis les années 80 du siècle précédent, et venus du Gard (Aigues-Mortes, Nimes…) _ à Azazga,

au vu méthodique du faire-part de décès de son épouse née Eveline Ducos du Hauron _ cf l’annonce de ma méthode dans mon article d’hier : ... _, dont revoici l’énoncé : « M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants, MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger ; Mme Jacquet ; Mme Vve Gadel et ses enfants ; les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure, vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri DUCROS, née Eveline DUCOS du HAURON. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité, le 1er janvier 1939.« ,

est Henri Ducros le fils _ qui porte le même prénom, Henri, que son père (dont j’ignore les lieux et dates de naissance (en France, dans le Gard ?), de mariage ainsi que de décès (je sais seulement qu’il est décédé avant son épouse Philomène, née Roussel).

La majeure partie des renseignement que j’ai pu jusqu’ici réunir sur Henri Ducros-le-fils, procède de ce que j’ai pu découvrir de sa carrière administrative d' »administrateur-adjoint » de diverses « communes mixtes d’Algérie« , entre la réussite à son concours d’entrée passé le 26 novembre 1912 _ je suppose qu’il devait être âgé alors d’un peu plus de 20 ans : son livret militaire, auquel j’accède à la date du 30 mars 2021, m’apprend que Henri Bavolet Ducros, fils de Henri-Joseph Ducros et Philomène Roussel, est né à Alger le 25 juin 1887... _et le poste qu’il occupait, à Dupleix, au moment du décès _ à Alger, durant des vacances de Noël, fin décembre 1938 _ de son épouse née Eveline Ducos du Hauron ; carrière que j’ai pu ainsi retracer :

1) Suite à son classement au concours d’entrée à la fonction d' »administrateur-adjoint » qu’il venait de réussir, c’est le 4 janvier 1913 que Henri Ducros est nommé « administrateur-adjoint stagiaire« , et, dans la foulée, désigné pour la commune mixte de Sidi-Aïssa (en remplacement de _ celui qui deviendra (et à une date que j’ignore toujours) son beau-père, peut-être rencontré pour la première fois à cette occasion professionnelle… _ Amédée Ducos du Hauron) ;

2) En date du 13 décembre 1915 _ sa situation d’administrateur-adjoint stagiaire terminée : il devient le titulaire de ses postes… _, Henri Ducros est appelé dans la commune-mixte d’Azazga (c’est-à-dire la commune-mixte du Haut-Sébaou) _ Azazga : là où résident ses parents Henri Ducros et Philomène (ou Magdeleine), née Roussel , installés à Azazga depuis les années 80 du siècle précédent _ ;

3) Quatre ans plus tard, en date du 12 novembre 1919, Henri Ducros est appelé à Aumale ;

4) Ensuite à une date qui ne m’est pas connue _, Henri Ducros est nommé à la commune mixte du Djebel Nador _ dont le centre principal est Trézel.

De fait, Henri Ducros avait bien été « désigné pour Trézel » _ le centre principal de la commune mixte du Djebel Nador _, comme l’atteste un arrêté du Gouverneur général de l’Algérie en date du 27 janvier 1923, relaté dans un article intitulé « Dans les communes mixtes » paru dans L’Écho d’Alger du 30 janvier 1923, faisant état que « M. Dor, administrateur-adjoint à Bou-Saâda, est appelé à Aumale en remplacement de M. Ducros, précédemment désigné (sic) pour Trézel » – Djebel Nador…

5) Puis, en date du 3 février 1923, Henri Ducros est appelé, à titre provisoire _ mais un provisoire qui va durer plus de 13 ans : jusqu’à la fin de 1936… _, à la commune mixte d’Azeffoun (sa résidence étant à Port-Gueydon) _ en effet, Henri Ducros avait bien été, très vite, « remplacé au Djebel Nador, à titre provisoire, par M. Marchand, ancien élève diplômé de l’Institut national agronomique, nommé administrateur-adjoint, et affecté, à titre provisoire, à la commune mixte du Djebel Nador « , précisait cet arrêté de nomination du 3 février 1923… _ ;

6) Enfin, fin décembre 1936 – début janvier 1937 _ je ne dispose pas d’un avis officiel de nomination, mais seulement d’un bref article de « Bienvenue«  pour son arrivée à Dupleix, en provenance de Port-Gueydon (paru dans L’Écho d’Alger du 6 janvier 1937) _, Henri Ducros est nommé à la commune-mixte de Cherchell (sa résidence étant à Dupleix).

Dupleix où Henri Ducros continue de résider avec sa famille en 1938-39, quand son épouse née Eveline Ducos du Hauron décède subitement, fin décembre 1938, à Alger, lors de vacances de Noël passées à Alger…

Pour le reste de la carrière administrative de Henri Ducros à partir de 1939, je ne dispose plus d’aucun renseignement…

Et je ne dispose, pour l’heure, non plus d’aucune date ni lieu,

ni de naissance _ à Azazga, et au moins avant 1895 ? C’est à Alger, le 25 juin 1887, qu’est né Henri Bavolet Ducros, fils de Henri-Joseph Ducros et son épouse Philomène Roussel, m’apprendra le 30 mars 2021 la lecture de son livret militaire (classe 1907)… Aznaga est en effet le lieu de naissance de son frère Alphonse-Léon, qui y est né le 8 juillet 1896 : je dispose du livret militaire d’Alphonse-Léon ; et dans l’ordre des faisant part du décès de « Mme Vve Henri Ducros, née Roussel Philomène« , paru dans L’Écho d’Alger du 24 juillet 1931, Henri semblerait être l’aîné des enfants (et descendants Ducros) de Henri Ducos et son épouse qui vient de décéder « à Aznaga, à l’âge de 71 ans, le 19 juillet 1931 » je lis en effet en ce faire-part : « Mme et M. Henri Ducros et leurs enfants Yves et Raymond ; MM. Ducros Edmond, Ducros Alphonse et son fils Jean-Pierre, Ducros Paul-Henri, et leurs familles » ; un ordre d’inscription qui me paraît devoir résulter de l’ordre des naissances de ces descendants de Mme Vve Ducros qui vient de décéder ; à moins que la place en cet ordre de M. Henri Ducros, résulte du fait qu’il est le seul, parmi ces descendants de sa défunte mère, à avoir auprès de lui une épouse, l’épouse de son frère Alphonse, née Gilberte Bure (le mariage avait eu lieu à Alger au mois d’octobre 1922), étant décédée, à l’âge de 27 ans, au mois de septembre 1929 (cf L’Écho d’Alger du 10 septembre 1929, et Le Progrès d’Orléansville, du 19 septembre 1929)… Edmond Ducros, lui, est né à Azazga le 29 octobre 1889, m’apprendra son livret militaire… _,

ni de mariage, ni de décès, d’Henri Ducros…

Je dispose seulement d’avis _ il ne s’agit pas de faire-part publiés par les parents eux-mêmes _ de naissance, à Port-Gueydon, de 2 de ses enfants, les petits Yves-Henri (au mois de juin 1930) et Raymond (au mois de mai 1931), et de décès d’une troisième enfant, la petite Raymonde (au mois d’octobre 1933 _ sans indication de l’âge de la petite défunte… _) : cf les numéros de L’Écho d’Alger des 8 juin 1930, 30 mai 1931 et 27 octobre 1933 ; j’y reviendrai plus tard.

Avec, aussi, deux données qui font problème en ce bref aperçu biographique de Henri Ducros :

un éventuel premier mariage, ainsi qu’un éventuel premier enfant, advenus avant son mariage _ à une date encore inconnue de moi à ce jour ; et en l’absence de tout-faire part publié accessible… _ avec Eveline Ducos du Hauron…

En effet, un possible premier mariage de Henri Ducros, avec une dame nommée Gibal, est envisageable, d’après un avis de naissance de ce qui serait un premier enfant de Henri Ducros, prénommé Paul-Henri, indiqué _ clairement _ comme étant le fils de l’administrateur-adjoint d’Aumale _ ce qui est bien le cas de notre Henri Ducros, entre novembre 1919 (moment de son arrivée à Aumale) et une date assez antérieure à février 1923 où il rejoindra le poste qui suivra celui de Trézel (pour la commune mixte de Djebel Nador) : celui de Port-Gueydon, le centre principal de la commune mixte d’Azzefoun… _ et de son épouse, née Gibal.

Je m’en rapporte ici à cet avis, en une rubrique « Naissances« , paru dans le numéro de L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921 : « Nous avons le plaisir d’apprendre la naissance d’un superbe petit garçon, fils de Mme et M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Aumale. Mme Ducros est fille de M. Gibal, instituteur à Alger, et nièce de M. Cordier, chef de trafic à la Compagnie Générale Transatlantique. Quant au bébé, il s’appelle Paul-Henri. Nous lui souhaitons bonne et longue vie« .

Là-dessus, cf mon article d’avant-hier 12 janvier :

La situation de notre Henri Ducros au sein de la fratrie des enfants de Henri Ducros-le-père et Philomène _ Magdeleine _ Roussel-la-mère demande davantage de précisions que celles que j’ai données plus haut, à propos du faire-part de décès de « Mme Vve Ducros, née Roussel Philomène » publié par L’Écho d’Alger du 24 juillet 1931,

que revoici : « Mme et M. Henri Ducros et leurs enfants Yves et Raymond ; MM. Ducros Edmond, Ducros Alphonse et son fils Jean-Pierre, Ducros Paul-Henri, et leurs familles« .

Car se trouvent vivre alors à Azazga d’autres Ducros que ceux-là : assez probablement des cousins…

Tels, par exemple, un Roger Ducros, né à Azazga le 18 mai 1927 ; ou un Lucien Ducros, conducteur de car, qui épousera à Azazga le 24 décembre 1937, une Louise Oudot, originaire de Tamda…

De même, avait eu lieu à Azazga, en 1921, le mariage de « Melle Marthe Ducros, fille de Mme et M. Henri Ducros, propriétaire à Azazga, avec Michel Pratlosa, employé aux Chemins de fer de l’État à Alger » ; et c’est dans ce faire-part de mariage publié dans L’Écho d’Alger du 26 octobre 1921 que j’avais pris connaissance de cette remarque à propos de la présence de la famille Ducros à Azazga : « cette famille habite depuis plus de trente ans ce pays« …

Cette Marthe Ducros, « fille de Mme et M. Henri Ducros, propriétaire à Azazga« , pourrait-elle être une sœur de Henri, d’Edmond et d’Alphonse Ducros ? Car nulle part son nom n’est apparu jusqu’ici dans les documents auxquels j’ai pu avoir accès concernant les proches de notre Henri Ducros, l’époux de notre Eveline Ducos du Hauron… _ oui, Marthe Ducros est bien la sœur de Henri, Alphonse et Edouard Ducros.

Voilà pour aujourd’hui jeudi.

Ce jeudi 14 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Chercher sur mollat

parmi plus de 300 000 titres.

Actualité
Podcasts
Rendez-vous
Coup de cœur