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Essai de répertoire de mentions dans des actes d’état-civil de maisons indiquées par un nom, et pas un numéro, situées en divers quartiers de Ciboure (Pocalette, Bordagain, La Place…), maisons de naissance ou de décès de membres des lignées issues de Gratien Delouart (Ciboure, 1748 – Ciboure, 1798), ou apparentés par mariage aux descendants de celui-ci…

06nov

En forme de complément à mon article d’hier intitulé « « ,

je procède aujourd’hui à une recension des maisons de divers quartiers de Ciboure _ le Quai, la Place, la rue Pocalette, le quartier de Pocalette, Bordagain et Achotarretaen commençant par celles mentionnées par un nom de maison, et pas seulement par un numéro, dans les actes d’état-civil (naissances, décès) des membres de la descendance du cibourien Gratien Delouart (1748 – 1798), et des personnes alliées à ceux-ci par mariage, et qui se trouvent par là des apparentés cibouriens à Maurice Ravel (né à Ciboure le 7 mars 1875) par sa mère la cibourienne Marie Delouart (1840 – 1917)…

Et je commence donc par les maisons les plus notables, celles qui portent un nom _ et pas seulement un numéro _ qui sont situées dans le quartier de Pocalette ainsi que rue Pocalette _ car c’est la majorité d’entre celles-ci : 6 sur un total recensé de 12 maisons mentionnées par un nom portent mention du nom de Pocalette (le quartier ou la rue)… _en procédant par ordre chronologique d’apparition de ces mentions des noms des maisons dans les actes d’état-civil (naissances, décès) des personnes descendant de l’ancêtre commun Gratien Delouart, ou apparentées avec celles-là par mariage.

Voici ce que cela donne :


_ la Maison Bourbouillonbaita, dans le quartier de Pocalette :

numérotée n° 163 pour le décès le 10 mars 1839 de Jacques Billac, âgé de 57 ans (1772 – 1839) _ qui épousa le 14 septembre 1814 à Ciboure Marie Delouart n° 1 (1782 – 1855) _ ;

et n° 118 pour la naissance le 24 mars 1840 de Marie Delouart (1840 – 1917) _ fille de Sabine Delouart (1809 – 1874), et mère de Maurice Ravel (1875 – 1937) _ :

c’est bien, ainsi, en cette maison Bourbouillonbaita du quartier de Pocalette que demeurait la famille de Jacques Billac et son épouse Marie Delouart n°1, dont font partie leur fille Gachucha Billac (1824 – 1902), née à Ciboure le 15 mai 1824, dans la maison n° 118 rue Pocalette, et la sœur aînée de celle-ci, Sabine Delouart (1809 – 1874), née à Ciboure le 11 mars 1809, dans la maison n° 17, quartier de Bordagain, de père inconnu… _ je relève ici au passage que c’est en une maison n° 17 rue Bordagain (s’agit-il, ou pas, de la même maison ? Je me le demande…) qu’est née à Ciboure le 9 octobre 1832 Catherine Larrea (1832 – 1893), la future épouse, à Ciboure le 23 avril 1858, de Jacques Goyenague (1823 – 1886)… _et on sait la proximité qui demeurera leurs vies durant entre les deux sœurs Sabine Delouart (1809 – 1874) et Gachucha Billac (1824 – 1902), ainsi que, pour Gachucha Billac, avec sa nièce Marie Delouart (1840 – 1917), née donc en cette Maison Bourbouillonbaita le 24 mars 1840, et son petit-neveu et filleul Maurice Ravel (1875 – 1937) _ né, lui, le 7 mars 1875 en la Maison San Estebania, au 12 de la rue du Quai

Quant à l’ancêtre Gratien Delouart, né à Ciboure le 1er mai 1748, ion peut relever qu’il est décédé à Ciboure, 21 août 1798, dans son domicile situé quartier du Nord, Maison de Churaenea

Et dans mon article «  » du 14 avril 2019, j’ai relevé que le très précieux  document du recensement de la rue Pocalette en date du 1er janvier 1806, indiquait que la veuve de Gratien Delouart, Sabine Laxague (1745 – 27 février 1845), comptait en son logement de la Maison Moutanearguinenia 8 personnes, dont voici la liste _ source de bien de questions de chronologie familiale quant à ce couple de Jacques Billac et Marie Delouart, et leurs enfants !.. _ des indicationss qui en sont données :

Billac Jacques, 40 ans, marein

Deloirte Marie, épouse, 24 ans

Lasaga Chabadin, tante, 64 ans

Marie, fille, 32 ans,

Marie, fille, 25 ans,

Deloirte Jean, fils, 28 ans,

Chabadin, soeur, 8 ans

Deloirte Marie-Baptiste, fille, 1 an

En cette même Maison Moutanearguinenia résidait aussi la famille de Jean Alsuet, marein, 32 ans, comportant son épouse, Marie Larrea, 35 ans, leurs deux filles Estonta, 2 ans, et Marie, 2 mois, ainsi que leur servante Jeanne Soule, 17 ans.

_ la Maison Pilarbaita, dans le quartier de Pocalette :

numérotée n° 175 pour le décès le 30 septembre 1844 de Marguerite Larrea, âgée de 45 ans (1798 – 1844) _ qui épousa Le 30 avril 1823 à Ciboure Jean Delouart (1788 – 1872) _

de même n° 175 pour la naissance le 20 septembre 1854 de Jean-Baptiste Cerciat _ fils de Bernard Cerciat (1824 – 1867) et son épouse Sabine Delouart (1825 – ?), elle-même fille de Jean Delouart (1788 – 1872) et son épouse Marguerite Larrea (1798 – 1847)  _,

sans numéro pour la naissance le 28 février 1857 de Marie Cerciat _ fille elle aussi de Bernard Cerciat (1824 – 1867) et son épouse Sabine Delouart (1825 – ?) ; et j’ignore le lieu et la date de son décès…  _,

et à nouveau n° 175 le 19 avril 1859 pour la naissance de Jean Cerciat _ fils de lui aussi Bernard Cerciat (1824 – 1867) et son épouse Sabine Delouart (1825 – ?) ; parti s’installer en Nouvelle-Calédonie, où il épousera à Nouméa le 24 juillet 1893 Marie-Eudoxie Alllard (1872 – ?) et en aura au moins 3 enfants Elina, Raymond et André Cerciat, nés respectivement en 1894, 1897 et 1899, et fit carrière dans l’aviation…  _ ;

_ la Maison Petimentenia, dans le quartier de Pocalette :

numérotée n° 153 pour le décès le 20 novembre 1849 de Michel Goyenague, âgé de 59 ans (1790 – 1849) _ qui épousa le 28 février 1821 Marie Delouart n° 3 (1786 – 1872), et père de Simon Goyenague (1821 – 1890), Jacques Goyenague (1823 – 1886) et Marie Goyenague (1827 – après 1898, probablement à Buenos Aires, veuve de Martin Passicot (Urrugne, 1824 – 1898, à Buenos-Aires) _ ;

_ la Maison Miguelenia, dans le quartier de Pocalette :

numérotée n° 183 pour la naissance le 17 mai 1851 de Jean-Martin Passicot _ fils de Marie Goyenague (1827 – après 1898) et son époux Martin Passicot (1824 – 1898) _ ;

_ la Maison Sopitenia, dans le quartier de Pocalette :

numérotée n° 38 pour la naissance le 31 juillet 1862 de Jean-Baptiste Goyenague fils de Jacques Goyenague (1823 – 1886) et son épouse Catherine Larrea (1832 – 1895) ;

voir à propos de cette Maison Sopitenia n°38 au quartier de Pocalette, les questions que je me pose plus bas concernant la Maison Callebaita n° 38 au quartier de Bordagain _

_ et la Maison Etchepare, rue Pocalette :

sans numéro pour le décès le 25 novembre 1888 de Jean-Savin Delouart, âgé de 55 ans (1833 – 1888) _ fils de Jean Delouart (1788 – 1872) et son épouse Marguerite Larrea (1798 – 1844).

Pour les maisons dont le nom est mentionné et situées dans le quartier de la place :

_ la Maison Lamasenia, citée avec le numéro 177, au quartier de la place,

pour le décès le 27 février 1845, à l’âge de 100 ans, de Sabine Laxague (1745 – 1845) _ l’épouse, puis veuve, de Gratien Delouart, et ancêtre des 4 lignées issues de ce couple qui s’est marié à Ciboure le 27 janvier 1778 _,

et citée sans numéro, 

pour le décès le 23 août 1855, à l’âge de 73 ans, de Marie Delouart n° 1 (1782 – 1855) _ la fille aînée de Sabine Laxague (1745 – 1845) et l’arrière-grand-mère maternelle, via sa fille Sabine Delouart (1809 – 1874) et sa petite-fille Marie Delouart (1840 – 1917), de Maurice Ravel, né à Ciboure le 7 mars 1875 ;

Marie Delouart n°1 (1782 – 1855) et sa mère Sabine Laxague (1745 – 1845) ont donc demeuré ensemble en cette Maison Lamacenia, du quartier de la place, après avoir vécu en 1839 et 1840, au moins, aux moments du décès de Jacques Billac (le 10 mars 1839), le mari de Marie Delouart n°1, et de la naissance de Marie Delouart (le 24 mars 1840), la fille de Sabine Delouart (1809 – 1874) et la mère  Maurice Ravel (1875 – 1937), à la Maison Bourbouillonbaita du quartier de Pocalette… 

_ et la Maison Ganichicarrenia n° 139 au quartier de la place :

pour la naissance le 18 août 1854 de Pierre-Paul Goyenague (1854 – 1929) _ fils de Simon Goyenague (1821 – 1890) et son épouse Josèphe Joachine Albistur (Fontarabie 1828 – ?) _ ;

 

Pour les maisons situées rue du Quai :

_ la Maison St Esteven, n°12 rue du Quai,

pour le décès le 22 décembre 1874, à l’âge de 65 ans, de Sabine Delouart (1809 – 1874) _ la grand-mère maternelle de Maurice Ravel _ ;

_ et la Maison Custorrenea, située au n° 6 rue du Quai, mais mentionnée sans son nom,

pour le décès le 6 mars 1929, à l’âge de 74 ans, de Pierre-Paul Goyenague (1854 – 1829) _ celui qui fit fonction de parrain pour le petit Joseph-Maurice Ravel lors de son baptême à l’église Saint-Vincent, le 23 mars 1875.

Pour les maisons situées dans le quartier de Bordagain – Achotarreta :

_ la Maison d’Urdin ? _ ce nom est peu lisible, et donc mal déchiffrable, sur l’acte.. _,

pour la naissance le 18 octobre 1824 de Bernard Cerciat (1824 – 1862) _ l’époux à Ciboure le 12 août 1852 de Sabine Delouart (1825 – ?), et qui décèdera en mer, sur le trois-mâts Suffren le 9 mars 1868 ; Bernard Cerciat se trouve, via son mariage avec Sabine Delouart (1825 – ?), fille de Jean Delouart (1788 – 1872), être devenu le père de la descendance Cerciat de Gratien Delouart (1748 – 1798)… _ ;

_ et la Maison Callebaita, mentionnée chaque fois sans numéro

pour la naissance le 18 juin 1856 de Simon Goyenague (1856 – 1874) _ qui décèdera en cette même maison Callebaita le 14 janvier 1874, à l’âge de 17 ans ; fils de Jacques Goyenague (1823 – 1886) et son épouse Catherine Larrea (1832 – 1895) _,

pour la naissance le 16 avril 1857 de Marie Goyenague (1857 – 1861) _ qui décèdera en cette même maison Callebaita le 18 décembre 1861, à l’âge de 4 ans ; fille de Jacques Goyenague (1823 – 1886) et son épouse Catherine Larrea (1832 – 1895) _,

pour le décès le 18 décembre 1861 de Marie Goyenague, âgée de 4 ans (1857 – 1861),

pour le décès le 14 janvier 1874, à l’âge de 17 ans, de Simon Goyenague (1856 – 1874) _ mais je note qu’à cette date le nom de cette partie du quartier de Bordagain est devenu désormais Achotarreta _,

pour le décès le 22 novembre 1886 de Jacques Goyenague, âgé de 63 ans (1823 – 1886) _ le père de cette branche cadette des Goyenague de Ciboure _,

et pour le décès le 8 novembre 1895 de Catherine Larréa, âgée de 73 ans (1832 – 1895) _ Jacques Goyenague et Catherine Larréa s’étaient mariés à Ciboure le 23 avril 1856 ; et la maison Callebaita (de Bordagain – Achotareta) fut ainsi à partir de 1856 leur domicile familial, où sont nés au moins les deux premiers de leurs 7 enfants :

Simon Goyenague (Ciboure le 18 juin 1856, maison Callebaita, 38, à Bordagain), et qui décèdera à Ciboure le 14 janvier 1874, au quartier Chotarreta, maison Calebaita),

et puis Marie Goyenague (Ciboure le 16 avril 1857, maison Calebayta, n° 38, au quartier de Bordagain), et qui décèdera à Ciboure le 18 décembre 1861, maison Calebayta, n° 38, au quartier de Bordagain) ;

pour leurs 5 enfants suivants, Jean-Baptiste (1862 – ?), Nicolasse (1864 – 1945), Gracieuse (1866 – 1950), Josèphe (1868 – ?) et Alexandrine (1872 – 1872),

j’ai relevé que le domicile de leur naissance est mentionné autrement et ne porte plus cette mention de Maison Callebaita , mais comporte toujours bien la même mention d’un n° 38 :

Jean-Baptiste Goyenague (Ciboure le 31 juillet 1862, maison Sopitenia n° 38 au quartier de Pocalette) : qu’en conclure ?.. ;

Nicolasse Goyenague (Ciboure le 11 juillet 1864, maison n° 38 à Bordagain) ;

Gracieuse Goyenague (Ciboure le 14 juillet 1866, au quartier Bordagain, n° 38) ;

Josèphe Goyenague (Ciboure le 12 juin 1868, au quartier de Bordagain, 38) ;

Alexandrine Goyenague (Ciboure le 5 juin 1872, au quartier de Bordagain, 38 ; elle est décédée à Ciboure le 19 juillet 1872 au quartier de Bordagain, 38).. 

Voilà, pour commencer ce passage en revue par ces maisons dont les noms, et pas forcément les numéros, sont mentionnés dans les actes d’état-civil des cousins cibouriens de Maurice Ravel, issus, comme lui, de Gratien Delouart (Ciboure, 1748 – Ciboure, 1798).

À suivre…

Ce mercredi 6 novembre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un premier essai de synthèse sur les membres de la famille Echepare apparentés à la famille de Marie Delouart et son fils Maurice Ravel ; et leurs domiciliations à Ciboure…

25nov

En gardant à l’esprit la remarquable lettre _ à la page 266 de l’Intégrale de la Correspondance de Maurice Ravel publiée par Manuel Cornejo aux Editions Le Passeur, en octobre 2018 _ de Maurice Ravel à son amie luzienne Marie Gaudin, en date du 22 juin 1911, 

lettre dans laquelle Maurice Ravel prie sa chère amie luzienne de bien vouloir trouver un logement de vacances à Ciboure pour sa mère, lui-même, et aussi, au moins un moment, son frère Edouard Ravel :

« Vous avez bien voulu vous charger de nous trouver un logement à Ciboure. Je vous demanderai donc de vous en occuper de suite, si vous en avez le temps. (…) Donc, si c’était possible, nous irions là-bas à partir du 15 juillet, et resterions 3 mois. (…) Il faut 2 chambres, dont l’une puisse contenir 2 lits. Bien entendu, pension comprise : je ne veux pas que maman fasse autre chose que se reposer. Nous préfèrerions que ce soit chez des parents. Les repas pris en commun seraient moins embêtants que chez des étrangers. Cherchez donc pour commencer chez Sabadin Quinior, si elle vit encore ; chez Eslonta Maicourné (c’est comme ça que ça s’écrit ?), chez Marie-Dominique Anchochoury ; chez les Goyenague… ou bien autre part. Inutile de vous dire qu’une simplicité économique nous conviendra particulièrement. Aussitôt que vous aurez trouvé quelque chose, vous serez bien gentille de nous écrire. Il faut que nous ayons le temps de consulter le budget et de préparer le départ. Sans doute à bientôt.« 

À part le nom bien connu des cousins Goyenague _ Paul (Ciboure, quartier de la Place, maison Ganichicarrenia n° 139, 19 août 1854 – Ciboure, 6 mars 1929) et son épouse Nicolasse (Ciboure, Bordagain, maison n° 38, 11 juillet 1864 – Ciboure, 1er juin 1945) ; Paul, le fils de Simon Goyenague (Ciboure, rue Pocalet, n° 117, 24 novembre 1821 – Ciboure, rue du quai n° 6, 18 avril 1890), le cousin qui a tenu Maurice Ravel sur les fonts baptismaux de l’église Saint-Vincent de Ciboure, le samedi 13 mars 1875 _,

ainsi que celui, bien connu, lui, aussi de Marie-Dominique Anchochoury _ née à Ciboure, rue du quai, n° 28, le 19 avril 1888 _,

nous ignorons encore quelles personnes figurent ici sous ces deux noms plutôt étranges _ retranscrits par Maurice Ravel de ce qu’il percevait un peu difficilement de la prononciation de sa mère… _ de « Sabadin Quinior » et de « Eslonta Maicourné » ;

et qui tous sont indiqués ici par Maurice Ravel comme étant des « parents« …

Et surtout, jusqu’ici,

le patronyme d’Etchepare ne figure pas dans l’index des noms répertoriés par Manuel Cornejo en son édition de la Correspondance connue jusqu’ici de Maurice Ravel…

Maurice Ravel ne parle donc pas explicitement d’eux, tout au moins dans sa correspondance accessible jusqu’ici…

Voilà donc pour le socle-préambule de ce premier essai de synthèse concernant les membres de la famille Etchepare apparentés à la famille de Marie Delouart et son fils Maurice Ravel ; ainsi que les domiciliations de chacun d’entre eux…

À suivre, donc…

Ce jeudi 25 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et puis un aperçu sur quelques domiciliations, à Ciboure, de membres de la vaste famille des Larrea, apparentés à des Delouart et à des Goyenague…

16nov

En forme de transition vers une amorce d’inventaire de domiciles, à Ciboure, de certains membres de la famille Etchepare apparentés à des Delouart _ de la famille cibourienne de Marie Delouart (1840 – 1917) et Maurice Ravel (1875 – 1937)… _,

je commencerai par un premier regard un peu rapide sur quelques domiciliations, à Ciboure, de certains membres de la vaste famille cibourienne des Larrea, qui sont apparentés, par mariage, à certains des Delouart et certains des Goyenague…

Deux membres importants de cette vaste famille cibourienne des Larrea, et qui sont épouses

la première, le 30 avril 1823, d’un Delouart,

en l’occurrence Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 24 septembre 1872), fils de Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, 21 août 1798) et son épouse Sabine Laxague (Ciboure, 24 novembre 1752 – Ciboure, 27 février 1845),

et l’autre, le 23 avril 1856, d’un Goyenague,

en l’occurrence Jacques Goyenague (Ciboure, 16 octobre 1823 – Ciboure, 22 novembre 1886), fils de Michel Goyenague (Ciboure, 11 janvier 1790 – 20 novembre 1849) et son épouse Marie Delouart (Ciboure, 17 août 1786 – Ciboure, 15 décembre 1872),

sont,

d’abord, Marguerite Larrea (Ciboure, 18 décembre 1798 – Ciboure, 30 septembre 1844),

fille de Jean Larrea (Ciboure, 6 octobre 1772 – Ciboure, ? ) et son épouse Marie Mignagoren (Ciboure, 30 octobre 1767 – Ciboure, 22 février 1837) _ ils se sont mariés à Ciboure le 19 février 1797 ; et ont eu 6 enfants Larrea :

1) Martin, le 9 juillet 1797, rue de Pocalette, maison Pilarbaita ; 2) Marguerite, née le 18 décembre 1798, Pocalette, maison n°  31 ; 3) Martin, le 19 août 1800, et qui décèdera à l’âge de 15 mois le 1er novembre 1801,  ; 4) Pierre, le 11 décembre 1802 ; 5) Martin, le 23 septembre 1806, quartier Pocalette section B, maison n° 163, et qui décèdera en mer, sur le paquebot Bordelais n° 4, le 23 septembre 1827, à l’âge de 21 ans ; et 6) Jean Larrea, le 14 janvier 1808, quartier de Pocalette, section B, maison n° 163  _,

épouse de Jean Delouart ;

puis, Catherine Larrea (Ciboure, 9 octobre 1832 – Ciboure, 9 septembre 1895), épouse de Jacques Goyenague.

Penchons-nous d’un peu près sur ce que nous pourrons constater des diverses domiciliations, au cours de l’existence de chacune d’elles _ 18 décembre 1798 – 30 septembre 1844 ; et 9 octobre 1832 – 3à septembre 1895 _,

de ces deux membres de la vaste famille Larrea de Ciboure, mariées la première à un Delouart, et la seconde à un Goyenague.

D’abord,

Marguerite Larrea, est née à Ciboure le 18 décembre 1798, rue de Pocalette, maison n° 31.

Elle a épousé Jean Delouart le 30 avril 1823.

Le couple de Jean Delouart et son épouse Marguerite Larrea a eu 7 enfants :

1) Jacques Delouart, à Ciboure le 12 novembre 1823, rue Pocalette, maison n° 163 _ j’ignore la date et le lieu du décès de ce Jacques Delouart, non répertoriés dans les actes d’état-civil accessibles de Ciboure… 

2) Sabine Delouart, née à Ciboure le 24 juin 1825, rue de Pocalette, maison n° 133 _ Sabine Delouart épousera à Ciboure le 12 août 1852 Bernard Cerciat (Ciboure, 18 octobre 1824 – en mer, 9 mars 1868) ; le couple aura 3 enfants Cerciat, qui ont une nombreuse descendance… ; j’ignore la date et le lieu du décès de cette Sabine Delouart, épouse et veuve Cerciat…

3) Marie Delouart, née à Ciboure le 30 juin 1827, quartier de Pocalette, maison n° 133 _ Marie Delouart épousera à Ciboure le 21 décembre 1853 Guilhen Etchepare (Ciboure, 18 juillet 1826 – Ciboure, 22 mai 1872) ; il semble que ce couple n’a pas eu d’enfant…

4) Pierre Delouart, à Ciboure le 26 décembre 1830, rue de Pocalette, maison n° 139. Le petit Pierre Delouart décèdera, à l’âge de 18 jours, le 11 janvier 1831, rue Pocalette, maison n° 147.

5) et 6) Jean et Jean-Savin Delouart, jumeaux, nés, Jean, puis Jean-Savin, à une demi-heure d’écart, à Ciboure le 3 juin 1833, rue Pocalette, maison n° 139. Le petit Jean-Savin décèdera, à l’âge de 47 jours, le 22 juillet 1833, rue Pocalette, maison n° 139 _ quant au jumeau Jean Delouart, il épousera à Ciboure le 13 novembre 1861, la sœur cadette de son beau-frère Guilhen Etchepare :  Dominique Etchepare (Ciboure, 13 décembre 1828 – Ciboure, 16 avril 1897) ; leur couple aura 2 filles, Etiennette Delouart (Ciboure, 4 mai 1866, quartier de Pocalette, maison n° 161 – Ciboure, 18 novembre 1870, rue Pocalette, maison n° 48) et Sabine Delouart (née à Ciboure le 24 juin 1870, quartier Pocalette, maison n°48)…

et enfin 7) Marianne Delouart, née à Ciboure le 20 février 1838, quartier de Pocalette, maison n° 159 _ j’ignore la date et le lieu de son décès.

Ensuite,

pour ce qui concerne les diverses domiciliations de Catherine Larrea, née à Ciboure le 9 octobre 1832, rue Bordagain, maison n°17ainsi que de son époux, Jacques Goyenague _ ils se sont mariés à Ciboure le 23 avril 1856 _, et de leurs enfants Goyenague,

c’est demain mercredi 17 novembre que je poursuivrai cet aperçu des domiciliations à Ciboure de membres de la vaste famille des Larrea de Ciboure apparentés aux Delouart, Goyenague, et Passicot, de la famille de Marie Delouart et son fils Maurice Ravel, … 

À suivre, donc…

Ce mardi 16 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Recension de domiciles, à Ciboure, de divers membres de la famille Goyenague, apparentés aux Delouart : de Michel Goyenague (1790 – 1849), époux de Marie Delouart n° 3 (1786 – 1872), à son petit-fils Paul Goyenague (1854 – 1929), époux de sa cousine Nicolasse Goyenague (1864 – 1945)…

15nov

J’ai consacré l’essentiel de ce lundi 15 novembre 2021,

à la recension _ et suivant la chronologie des événements familiaux : naissances, mariages et décès… _ de logements où ont été domiciliés, ou bien ont été propriétaires, à Ciboure, divers membres de la famille Goyenague,

depuis Michel Goyenague (Ciboure, 11 janvier 1790 – Ciboure, 20 novembre 1849) _ fils de Simon Goyenague (décédé à l’âge de 45 ans le 12 novembre 1800) et son épouse Catherine Dargaignaratz (décédée le 27 février 1814, à l’âge de 63 ans : en son domicile de la rue Pocalette, n° 142) _, et son épouse Marie Delouart (Ciboure, 17 août 1786 – Ciboure, 15 décembre 1872),

jusqu’à Paul Goyenague (Ciboure, 19 août 1854 – Ciboure, 6 mars 1829), époux de sa cousine _ fille de son frère Jacques Goyenague (Ciboure, 16 octobre 1823 – Ciboure, 22 novembre 1886) et son épouse Catherine Larrea (Ciboure, 9 octobre 1832 – Ciboure, 9 novembre 1895) _ Nicolasse Goyenague (Ciboure, 11 juillet 1864 – Ciboure, 1er juin 1945 )…

À la naissance de leur fils Simon, le 29 novembre 1821, Michel Goyenague et son épouse Marie Delouart sont domiciliés à Ciboure rue Pocalette au n° 19 ; ils y demeurent toujours à la naissance de leur fils Bertrand, le 6 mars 1832.

Et à son décès, le 20 novembre 1849, Michel Goyenague est dit domicilié à la maison Petimentenia, n° 153, quartier de Pocalette.

Simon Goyenague, né le 29 novembre 1821 au n° 19 de la rue Pocalette, est dit domicilié à la maison Maloënia, dans le quartier de Pocalette, le jour de son mariage, le 15 novembre 1853 avec Josèphe Joachine Albistur.

Le fils aîné de Simon Goyenague et son épouse Josèphe Joachine Albistur, Pierre Paul Bernard Goyenague, naît, lui, le 19 août 1854 dans la maison Ganichicarrenia, au n° 139 du quartier de la Place.

Et lors de son mariage, le 23 avril 1856, à Ciboure, avec Catherine Larrea, le frère de Simon, Jacques Goyenague _ qui était né le 16 octobre 1823, mais la maison de sa naissance n’était pas indiquée, cette fois-là, dans l’acte d’état-civil… _ est dit domicilié, lui, maison Dolhorenia, quartier de Pocalette n° 144.

Ensuite, à leur naissance, tous les enfants de Jacques Goyenague et son épouse Catherine Larrea,  soient Marie (le 16 avril 1857), Simon (le 18 juin 1860), Nicolasse (le 11 juillet 1864), Gracieuse (le 14 juillet 1866), Josèphe (le 12 juin 1868) et Alexandrine-Elisabeth-Sabine (le 5 juin 1872), naissent dans le quartier de Bordagain, dans la maison Calebaita, au n° 158 ; à l’exception, toutefois, de Jean-Baptiste, qui naît, lui, le 31 juillet 1862, à la maison Sopitenia, au n° 158 du quartier de Pocalette.

En cette même maison Calebaita, n° 38, du quartier de Bordagain, et de cette famille de Jacques Goyenague,

décèderont les enfants Marie (le 18 décembre 1861), Josèphe (le 2 mai 1870), Alexandrine (le 19 juillet 1872) et Simon Goyenaue (le 14 janvier 1874) ;

ainsi que Jacques Goyenague lui-même, âgé de 63 ans, le 22 novembre 1886 ; puis sa veuve, Catherine Larrea, âgée de 63 ans, le 8 novembre 1895 _ fille de Martin Larrea et son épouse Silvestre Chourito, Catherine Larrea était née le 9 octobre 1832, dans la maison n° 17, du quartier de Bordagain.

J’ajoute au passage, que, alors que c’est le 8 novembre 1895 qu’est décédée Catherine Larrea, la veuve de Jacques Goyenague _ et fille de Martin Larrea et son épouse Silvestre Chourito _c’est en 1892, dans un jardin appartenant à Paul Larrea, qu’a été édifiée la maison Larrea, situé au n° 63 de l’actuel Quai Maurice Ravel…

Alors que la maison voisine de l’actuel n°61, la maison Sopitenia, a appartenu, elle, à un Jean-Baptiste Larrea _ probablement le frère (né le 9 janvier 1836, lui aussi maison n° 117 (Callebaita) du quartier de Bordagain, issu des mêmes Martin Larrea et Silvestre Chourito) de Catherine Larrea, l’épouse de Jacques Goyenague… _ ; et que, en 1923, après le décès de Melle Larrea _ sans plus de précisions, à la page 37 du numéro 94 de la revue Jakintza… _, l’abbé Vincent Recalde acheta cette maison Sopitenia, celle-là même où était né, le 31 juillet 1862, le petit Jean-Baptiste Goyenague, fils de Jacques Goyenague et son épouse Catherine Larrea…

Fin de l’incise Larrea.

Le 18 avril 1890, c’est le frère aîné de Jacques Goyenague, Simon Goyenague, qui était né le 29 novembre 1821 dans la maison n° 117 de la rue Pocalette

qui décède, à l’âge de 68 ans, dans la maison « Kustorronea«  du n° 6 de la rue du Quai à Ciboure _ cette maison qu’il avait achetée le 20 mars 1864 à Jean Larralde, cordonnier à Saint-Jean-de-Luz.

Et le 20 août suivant, le fils de Simon Goyenague, Pierre Paul Bernard Goyenague _ qui a hérité de son père décédé le 18 avril précédent, de cette maison du n° 6 de la rue du Quai (et n° 6 de la rue Pocalette) _, épouse sa cousine _ fille de son oncle Jacques Goyenague _ Nicolasse Goyenague.

Il ne semble pas, en l’état présent du moins de mes connaissances, que Paul Goyenague et son épouse Nicolasse _ ceux-là même que dans sa lettre à Marie Gaudin du 22 juin 1911 Maurice Ravel nomme « ses parents«  cibouriens « les Goyenague« , qu’il prie son amie luzienne de bien vouloir leur demander s’ils accepteraient de le loger ainsi que sa mère les trois mois d’été qui viennent à partir du 15 juillet… _ aient eu des enfants ;

Paul Goyenague est décédé à Ciboure le 6 mars 1929, et son épouse Nicolasse, le 1er juin 1945, à Ciboure. 

Après eux,

les propriétaires de la maison du n° 6 de la rue du Quai, qui se sont succédé, ont été _ sans plus de précision de date, ni d’identité des personnes de la part des rédacteurs du numéro 94 de la revue Jakintza _, des Dasconaguerre, Petit de Meurville, Elissalde et Marichalar…

Il me faut ajouter que c’est à la maison du n° 6 de la rue Pocalette (dont la façade principale est au n° 6 de la rue du Quai) que décède le 15 décembre 1872, la veuve de Michel Goyenague _ décédé, lui, le 20 novembre 1849 dans la maison Petimentenia du n° 153 du quartier Pocalette _, Marie Delouart _ née le le 17 août 1786 _, au domicile de son fils aîné Simon Goyenague, devenu propriétaire de cette maison le 20 mars 1864…

Ce lundi 15 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Post-scriptum,

en date du mercredi 17 novembre 2021 :

En travaillant, deux jours plus tard, soit mercredi 17 novembre, sur les domiciliations de  la famille de Catherine Larrea et de son époux Jacques Goyenague,

et déçu de ne pas découvrir, sur l’acte d’état-civil de naissance de celui-ci, le domicile dans lequel Jacques Goyenague est né, le 16 octobre 1823 _ probablement dans la maison n° 117 de la rue de Pocalette _,

j’ai été amené à reprendre et passer en revue, afin de les comparer, les diverses domiciliations  de naissance de ses frères et sœurs, les divers enfants de Michel Goyenague et son épouse Marie Delouart.

Et c’est alors que,

d’une part, j’avais tout à fait « oublié » de (re-)prendre en compte la naissance, le 27 juillet 1827, de la petite Marie Goyenague, pour la bonne raison, que dans l’acte d’état-civil de son mariage, le 17 juillet 1850, avec Martin Passicot, la nouvelle épouse est mentionnée sous le nom de « Marie D’Oyenhart » _ domiciliée à Ciboure « habitant le quartier de Pocalette, maison Miquelenia n° 183«  _, et son père, Michel, sous celui de « feu Michel D’Oyenhart, décédé dans cette commune (de Ciboure) le vingt novembre 1849« , alors que sa mère, Marie Delouart, est, elle, correctement mentionnée comme « âgée de cinquante neuf  ans » _ ce qui correspond à l’âge effectif de celle-ci, à cette date du 17 juillet 1850, puisque Marie Delouart est bien née, à Ciboure, le 17 août 1786… Ce qui m’a permis de rechercher et retrouver vite l’acte d’état civil de la naissance de cette « Marie d’Oyenhart« , en date du 27 juillet 1827, à Ciboure, au quartier de Pocalette, dans la maison n° 117 ;

et, d’autre part, j’ai complément découvert, cette fois, l’existence _ que j’avais ignorée jusqu’ici _ d’une autre enfant du couple formé par Michel Goyenague et Marie Delouart : « Nicolasse Doyhenard« , d’après l’orthographe de l’acte d’état-civil de naissance de celle-ci, en date du 19 juin 1829, accompagnée de la mention de son père « Michel Doyhenard, marin, absent sur mer » ainsi, bien sûr, que de sa mère : « Marie Delouart, âgée de 44 ans », « accouchée aujourd’hui à neuf heures du matin dans la maison n° 37, rue de Pocalette« 

Soient trois bienvenus compléments de domiciliation de membres de la famille Goyenague-Delouart,

dans le quartier (et la rue) de Pocalette :

« maison n° 117″, le 27 juillet 1827, pour Marie Goyenague et « maison n° 37« , le 19 juin 1829, pour Nicolassa Goyenague, les jours de leur naissance à Ciboure ;

et « maison Miquelenia, n° 183″, le 17 juillet 1850, pour Marie Goyenague, le jour de son mariage avec Martin Passicot.

Un courriel programmatique, ce soir, adressé à Jakintza, à propos de maisons dont des cousins de Marie Delouart (1840 – 1917) et son fils Maurice Ravel, des Goyenague, des Etchepare et des Cerciat, ont été des propriétaires, à Ciboure…

14nov

Simplement,

pour ce dimanche soir 14 novembre 2021,

voici le bref et simple courriel que je viens d’adresser à l’Association Jakintza, de Ciboure,

et à certains de ses membres qu’il m’est arrivé d’amicalement, et à diverses reprises, rencontrer :

Voici l’article que, 
suite aux très riches apports du numéro 94 (« Ciboure – Ziburu : la rue du Quai ») de Paul Badiola et Guy Lalanne, 
je viens à l’instant de peaufiner et achever :
concernant les domiciles à Ciboure de personnes portant,
telle Marie Delouart (1840 – 1917), la mère de Maurice Ravel (1875 – 1937),
le patronyme de Delouart ;
et issues, comme elle, son arrière-petite-fille, du cibourien Gratien Delouart (1748 – 1798).
Je me pencherai, en suivant,
sur le repérage des domiciles de familles apparentées à ces Delouart,
au premier chef desquels les cousins Goyenague,
que Maurice Ravel cite nommément (« les Goyenague« ) dans sa lettre à Marie Gaudin du 22 juin 1911,
au moment où Maurice Ravel cherche pour lui-même et la cibourienne que demeure sa mère, un logement commode et situé à Ciboure (« Nous préfèrerions que ce soit chez des parents. Les repas pris en commun seraient moins embêtants que des repas pris chez des étrangers« ), pour une période de trois mois « à partir du 15 juillet« 
(la maison de Paul Goyenague et son épouse (et cousine) Nicolasse Goyenague se trouve 6 rue du Quai !) ;
puis les cousins Etchepare et les cousins Cerciat,
effectivement propriétaires, eux aussi, de maisons à Ciboure,
d’après le récent excellent numéro 94 de la revue de l’Association Jakintza, consacré à la rue du Quai (et au quartier de la rue Pocalette),
sous la double signature de Paul Badiola et Guy Lalanne.
Ce serait assurément bien agréable de rencontrer un retour de la part de Cibouriens de l’Association Jakintza, telle une relecture, des précisions, des rectifications à mes recherches…
Bien à vous, et fidèlement,
Francis Lippa à Bordeaux (et Saint-Jean-de-Luz)

Ce dimanche 14 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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