Suite (3) de l’exposé de mes avancées de la recherche des liens puissants des Ducos du Hauron avec les Gentet et les Gadel, via les Rey : suite de la lecture du faire-part de décès de Victor Gadel, paru le 31 mars 1930…
21jan
En une troisième suite,
je poursuis ici ce jeudi 21 janvier ma lecture attentive et la plus exhaustive possible du _ décidément très riche _ faire-part de décès de « M. Victor Gadel, Payeur adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur (…) survenu à Alger le 30 mars 1930, à l’âge de 57 ans« _ le défunt était né au Grand Serre (département de la Drôme) le 10 juillet 1872 _, publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930.
…
Un très riche faire-part pour mieux pénétrer les filiations internes à la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron, ainsi que leurs apparentements aux familles Gentet, Gadel, Ducros, et d’autres…
…
…
J’avais d’abord commencé par m’attacher avant-hier 19 janvier _ Suite de l’exposé de mes avancées de la recherche des liens puissants des Ducos du Hauron avec les Gentet et les Gadel, via les Rey : suite de la lecture du faire-part de décès de Victor Gadel, paru le 31 mars 1930 …… _ aux identités et situations de « Mme Vve Victor Gadel » et de « M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie, Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude » :
c’est-à-dire la veuve, née Aimée-Laurence Rey _ leur mariage avait eu lieu le 11 mars 1905 à Orléansville _, du défunt Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Le Grand Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930) ;
puis le fils aîné (Robert-Victor-Eugène Gadel), ainsi que son épouse (née Irène Bure) et les petit-fils, Jean-Claude _ seul né à la date du décès de son grand-père Victor, ce 30 mars 1930 _, Jacques, Jean et Robert Gadel, les quatre enfants de Robert Gadel et son épouse née Irène Bure.
…
…
Et puis hier 20 janvier _ Suite (2) de l’exposé de mes avancées de la recherche des liens puissants des Ducos du Hauron avec les Gentet et les Gadel, via les Rey : suite de la lecture du faire-part de décès de Victor Gadel, paru le 31 mars 1930… _, j’ai poursuivi ma lecture-analyse de ce faire-part de décès de Victor Gadel, en m’attachant aux premiers suivants de la liste des faisant-part :
« M. Georges Gadel ; Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris« .
…
…
Je vais donc simplement continuer ma lecture-analyse de ce faire-part, et toujours dans l’ordre suivi par ce faire-part :
…
« Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ; Mme et M. Henri Ducros ; Mme et M. Eugène Gentet ; Mme Vve Gentet« ,
…
…
avant de m’attacher ensuite, et plus rapidement, aux familles « Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ; Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra » qui sont indiquées au final de ce faire-part en date du 31 mars 1930…
…
…
Et voici, en un commode récapitulatif reprenant tout depuis le début de ces lectures-analyses, ce que cela donne :
…
…
Le 15 décembre dernier, je relevais aussi, en mon dossier de recherche,
le _ très décisif, on va le voir, pour ma recherche des filiations au sein de la famille Ducos du Hauron et leurs apparentements à d’autres familles en Algérie _ faire-part du décès de « M. Victor Gadel, Payeur adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur« , « survenu à Alger le 30 mars 1930, à l’âge de 57 ans« …
…
Le voici donc in extenso, ce faire-part _ y compris, en rouge, les éléments disparus suite à une bien malencontreuse déchirure, et au pire endroit, qui a affecté ce faire-part de décès, publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930 : je rétablis en rouge les éléments devenus illisibles... _ ; et on sait bien que c’est dans les moindres détails que se cache le diable ! :
…
…
« Mme Vve Victor Gadel ; M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie, Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude ; M. Georges Gadel ; Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris ; Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ; Mme et M. Henri Ducros ; Mme et M. Eugène Gentet ; Mme Vve Gentet ; les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ; Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté
Monsieur Victor GADEL
Payeur-adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur
leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,
survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans,
et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.
Réunion au domicile mortuaire, 32, rue Eugène Robbe.
P. F. GUYE, 38, rue Rovigo, Alger. T. 51-71«
…
…
« Mme Vve Victor Gadel » est bien sûr la veuve de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel,
qui était né au Grand Serre (département de la Drôme) le 8 juillet 1872, fils du provençal Victor-Alexandre-Philémon Gadel (Tarascon, 12 octobre 1835 – Marseille, 26 octobre 1927) et de la dauphinoise Marie-Eugénie-Hortense Rey (Le Grand Serre, 21 mars 1848 – j’ignore la date (après 1877 et avant 1892) et le lieu de son décès) ;
le mariage de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et Aimée-Laurence Rey a eu lieu à Orléansville le 11 mars 1905 (cf Le Progrès d’Orléansville du 9 mars 1905) ;
et dans le Journal officiel du 9 octobre 1931 on peut lire la déclaration de pension civile d’Aimée-Laurence Rey, veuve Gadel ; « le mari payeur-adjoint de trésorerie : Services militaires : 19 ans, 4 mois, 5 jours ; services civils : 19 ans, 7 mois, 25 jours. Campagnes : 12 ans. Pension avec jouissance du 31 mars 1930 : 8 534 francs. Avec une pension temporaire« .
Ce n’est pas immédiatement que j’ai pris conscience de la parenté qui existait entre Aimée-Laurence Rey et son époux, Victor Gadel ; puisque Victor-Nicolas-Benjamin Gadel est le fils de Victor-Alexandre-Philémon Gadel (1835 – 1927) et de Marie-Eugénie-Hortense Rey (1848 – ?), et Aimée-Laurence Rey est la fille de Jean-Anatole-Firmin Rey (1845 – 1890), le frère aîné de Marie-Eugénie-Hortense Rey, et d’Adélaïde Gentet (1855 – 1886) : ils sont cousins germains.
…
Et il y a aussi le moment où j’ai pris conscience _ et ce fut loin d’être immédiatement _ que « Mme Vve Gadel » et « Mme Amédée Ducos du Hauron« , c’est-à-dire Aimée-Laurence Rey et Marie-Louise Rey, toutes deux filles d’Anatole Rey et Adélaïde Gentet, sont sœurs !
Et c’est bien sûr de cette sonorité _ jamais directement apparente _ que procède la présence conjointe sur les divers faire-part d’événements familiaux des Ducos du Hauron et des Gadel (ainsi, aussi, que de quelques apparentés, tels les Ducros, ou les Bure), des mentions presque toujours conjointes des Ducos du Hauron d’Algérie avec les Gadel et les Gentet (et leurs apparentés) ; et cela sans jamais la présence de la mention de membres de la famille Rey…
…
…
« M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie« , lui, est le fils aîné du défunt Victor Gadel ; né en 1906, Robert-Victor-Eugène Gadel obtiendra son diplôme de pharmacien à la Faculté d’Alger au mois de juillet 1930 (cf L’Écho d’Alger du 11 juillet 1930) ;
« Mme, née Irène Bure« , son épouse, est la troisième enfant _ après Léontine, née en 1891, et Marcel, né en 1897 ; et avant Gilberte, née en 1902, et Albert, né en 1903 _ de Mme Agathe Bure, née Seprey, et M. Jean-Baptiste Bure, propriétaire à Vauban ; et c’est depuis le 22 décembre 1927, à Alger, que Irène Bure est l’épouse de Robert Gadel (cf Le Progrès d’Orléansville du 29 décembre 1927) ;
quant à « leur fils Jean-Claude« , celui-ci est, au mois d’avril 1929 (cf L’Écho d’Alger du 29 avril 1929) le premier né de ce couple _ il décèdera en bas âge, le 9 janvier 1932 (cf L’Écho d’Alger du 10 janvier 1932 et Le Progrès d’Orléansville du 14 janvier suivant).
Mais d’autres enfants leur naîtront : Jacques Gadel, au mois d’août 1931 (cf Le Progrès d’Orléansville du 13 août 1931) ; Jean Gadel, déjà né au mois de décembre 1932 (cf le faire-départ du décès d’Albert Bure, dans le numéro de L’Écho d’Alger du 11 décembre 1932) ; Robert Gadel, en décembre 1938 (cf L’Écho d’Alger du 25 décembre 1938)…
…
On peut suivre aussi la carrière professionnelle de Robert Gadel, une fois réussis « ses examens définitifs de pharmacie » « devant la Faculté d’Alger » (cf Le Progrès d’Orléansville du 7 octobre 1930) :
en 1931 _ au moment de la naissance, au mois d’août, de son fils Jacques _ et 1932 _ au moment du décès, le 9 janvier, de son fils Jean-Claude _, Robert Gadel est pharmacien à Alger ;
mais, suite au décès le 10 décembre 1932 de son beau-frère _ également pharmacien _ Albert Bure (cf L’Écho d’Alger du 11 décembre 1932), et alors qu’Albert Bure s’était rendu acquéreur en novembre 1930 de la pharmacie Rigal, à Orléanville ( cf Le Progrès d’Orléansville du 20 novembre 1930), début janvier 1933, Robert Gadel devient pharmacien à Orléansville (cf Le Progrès d’Orléansville du 5 janvier 1933).
…
Puis, Robert Gadel, désormais pharmacien à Orléansville, prendra aussi la suite, à Vauban, de son beau-père Jean-Baptiste Bure, décédé à Alger le 31 octobre 1934 (cf le faire-part de décès de celui-ci dans le numéro de L’Écho d’Alger du 1er novembre 1934) :
aux élections municipales du 16 mai 1935, Robert Gadel devient en effet l’adjoint spécial de Vauban, en la municipalité d’Oued Fodda ;
et L’Écho d’Alger du 25 mai 1935 nous apprend aussi que ce même 16 mai 1935, « vers 15 heures, M. Gadel le nouvel adjoint spécial de Vauban, qui avait convié la nouvelle municipalité et de nombreux invités à Orléansville, pour vider une coupe de champagne, recevait en son domicile de nombreux invités « …
Et en 1937, L’Écho d’Alger du 25 janvier 1937 nous apprend que « Monsieur Robert Gadel, le sympathique pharmacien de notre ville _ Orléansville _ vient d’être nommé pharmacien-chef de l’hôpital mixte, à la suite d’un concours sur titre« .
…
Soit une assez belle réussite professionnelle pour ce cousin germain d’Eveline Ducos du Hauron et ses frères Gérard et Roger…
…
…
« M. Georges Gadel« est, lui le second fils du défunt Victor Gadel et son épouse née Aimée-Laurence Rey.
…
En 1924-25, Georges Gadel est élève au lycée d’Alger ; et en 1933 et 1935, étudiant en droit à la Faculté d’Alger, il fait partie du Bureau directeur de l’Association des Étudiants d’Alger : il en est trésorier adjoint en décembre 1933, puis trésorier général en décembre 1935.
Le 26 novembre 1936, Georges Gadel fait partie des vingt jeunes avocats qui prêtent leur serment professionnel, à la Faculté d’Alger.
Et le 8 juillet 1938, les noms de Georges Gadel, avocat à la cour, et Andrée Gaillard, sont présents sur la liste des publications des prochains mariages, du journal L’Écho d’Alger…
Enfin, L’Écho d’Alger du 12 juillet 1942, publie le faire-part de décès suivant :
« Alger – Bordj-Bou – Arreridj.
M. Georges Gadel, avocat, Mme née Gaillard, leur fille Colette et leur famille, vous font part du décès de leur cher petit Jean-Louis GADEL survenu à Alger le 10 juillet 1942, à l’âge de 10 mois. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité » :
et je remarque ici le caractère plutôt succinct caractérisant ce « leur famille« , avec, en particulier, l’absence des noms de la grand-mère « Mme Vve Gadel » _ vivait-elle encore à cette date ? _ et de l’oncle « Robert Gadel« ….
…
…
« Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris« :
…
Eugène-Jean-Pierre-Emmanuel Gadel, fils de Victor-Alexandre-Philémon Gadel (Tarascon, 12 octobre 1835 – Marseille, 26 septembre 1927) et Marie-Eugènie-Hortense Rey (Le Grand Serre, 21 mars 1848 – ?), est né au Grand-Serre (Drôme) le 24 décembre 1874. Il est le le frère cadet du défunt.
Il s’est marié à Montpellier le 4 octobre 1910, avec Melle Jeanne-Thérèse-Marie-Antoinette-Joséphine Escudié (cf La Vie montpelliéraine du 9 octobre 1910).
Et le couple a eu un ou deux enfants, dont Raymond-Pierre-Victor Gadel, né à Montpellier au mois de mai 1918 (cf La Vie montpélliéraine du 28 mai 1918) _ le faire-part de décès de Melle Jeanne Gadel (la sœur de Victor et Eugène, née au Grand Serre le 27 mai 1877), publié par le Petit Marseillais du 13 octobre 1923, mentionne parmi les personnes affectées par ce deuil de leur parente, « Mme et M. Eugène Gadel, chevalier de la Légion d’honneur, et leur fils (de Paris)« : le terme de fils se trouve ici au singulier ; alors que le faire-part de décès de Victor-Alexandre-Philémon Gadel (le grand-père d’Eugène et de Victor), publié quatre ans plus tard par Le Petit Marseillais du 27 septembre 1927, mentionne « M. et Mme Eugène Gadel et leurs enfants« , au pluriel… Un second fils leur était donc né entre 1923 et 1927, après leur premier né de 1918…
Le Journal officiel du 10 juillet 1912 déclare que « M. Gadel Eugène-Jean-Pierre-Emmanuel, adjudant au 122e régiment d’infanterie, a été nommé expéditionnaire de 8e classe à la mairie du 15e arrondissement (de Paris). Par arrêté du Préfet de la Seine en date du 8 juillet 1912 » : c’est à partir de là que Eugène Gadel et les siens seront désormais les « Gadel de Paris« … Puis, en date du 1er janvier 1922, la Préfecture de la Seine annonce que « M. Gadel (Eugène-Jean-Pierre-Emmanuel), commis, maintenu provisoirement à la mairie du 15e arrondissement, est affecté à la Direction du Contrôle Central et des Contributions, en remplacement de M. Pellentz, retraité« .
…
Enfin, j’ai noté aussi que le 28 juillet 2012, à Montpellier, est décédée une « Mme Vve Raymond Gadel, née Paulette Mauron, 91 ans » : peut-être la veuve de Raymond-Pierre-Victor Gadel, qui est né en 1918 ; alors que celle qui pourrait être sa veuve, est née en 1921…
…
…
Voilà donc maintenant pour les divers Gadel de ce faire-part.
…
…
J’en viens maintenant aux mentions suivantes de ce faire-part de décès de « Monsieur Victor GADEL« , en date du 31 mars 1930,
concernant « Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants« .
…
…
« Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants » sont la belle-sœur et le beau-frère, ainsi que certains _ compte tenu du cas à part de l’aînée d’entre eux, Eveline, épouse de Henri Ducros _ des neveux et nièces du défunt, M. Victor Gadel :
…
« Mme Ducos du Hauron« , née Marie-Louise Rey _ née probablement à Orléansville, et en 1879 (je déduis cette année de naissance de l’âge de 57 ans que Marie-Louise aura atteint à l’heure de son décès, à Agen le 20 septembre 1933 _, étant la sœur de la veuve, née Aimée-Laurence Rey _ née peut-être à Oran, et peut-être au mois de juillet 1886 : sa mère, née Adélaïde Gentet, native d’Orléansville en 1855, est décédée à Oran le 5 juillet 1886 ; mais Aimée-Laurence peut aussi bien être née plus tôt, et peut-être, elle aussi, à Orléansville, où résidèrent, avant Oran, ses parents Anatole et Adélaïde… _, se trouve être la belle-sœur du défunt Victor-Nicolas-Benjamin Gadel ;
ce qui permet de comprendre la place (la 5e) que « Mme Ducos du Hauron » vient occuper en ce faire-part de décès, après la veuve (en tête de la liste), les deux enfants, Robert (à la 2e place) et Georges Gadel (à la 3e place), et le frère Eugène Gadel (à la 4e place), du défunt.
…
…
« M. Ducos du Hauron » est Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935), l’époux de Marie-Louise, née Rey : en tant qu’époux de la sœur de la veuve, il est donc le beau-frère de la veuve, née Aimée-Laurence Rey, ainsi que de son mari, le défunt Victor Gadel (Le Grand Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930).
…
…
Il est bien dommage que ne soient pas précisés sur ce faire-part publié le 31 mars 1930 les prénoms, ni même le nombre, de ces « enfants de Mme et M. Ducos du Hauron« , associés à ce deuil de leur oncle _ ce qui nous aurait renseignés sur les enfants Ducos du Hauron encore vivants, et ceux déjà décédés à cette date : qu’en est-il, par exemple d’Edmée, née à Lamartine le 8 juillet 1904 ?.. _ :
…
dans l’article (d’un journal parisien non spécifié) rapporté par L’Écho d’Alger du 4 mars 1927 _ cf mon article du 15 décembre dernier : Un point provisoire sur les acquis et les taches aveugles qui demeurent dans l’essai de reconstitution de la généalogie des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron… _, rédigé à l’occasion d’une exposition au Casino d’Alger des Anaglyphes de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920) :
« Le seul homme _ Amédée ! _ qui porte le nom glorieux de Ducos du Hauron vit péniblement à Rébeval (Algérie) avec une retraite de 400 francs par mois, son principal revenu pour entretenir une famille de cinq enfants.
…
…
A propos de la petite Edmée Ducos du Hauron _ née à Lamartine le 8 juillet 1904 _,
qui porte le prénom de sa tante Edmée récemment décédée à Saint-Mandé le 22 février 1902, et née _ à Poitiers le 8 janvier 1876 _ Edmée de Lamarque, qui était l’épouse de son oncle Gaston Ducos du Hauron, le frère cadet de son père Amédée,
je renvoie à un détail intéressant donné en mon article du 11 janvier dernier Suite de la poursuite de la recherche d’indices de filiations et d’apparentements parmi le réseau des constellations familiales autour des Ducos du Hauron d’Algérie… : une brève mention, dans L’Écho d’Alger du 19 novembre 1919, de l’attribution d’une bourse (de 200 francs) à Edmée Ducos du Hauron, à l’École Primaire Supérieures de filles d’Alger ; la petite Edmée était alors âgée de 15 ans.
…
…
Pour ce qui concerne Gérard Ducos du Hauron, ce que j’ai pu découvrir, outre le fait de sa naissance à Berrouaghia le 30 août 1909, a trait à son mariage, à Alger, le 25 novembre 1939, avec « Mme Jacquet », née Célestine-Léontine Noiraux ; puis son décès à Avignon le 27 janvier 2000 _ cf le passage de mon article du 11 janvier dernier Et un bilan (provisoire) de ce qui demeure comme « taches aveugles » à élucider dans mon essai d’établissement de la généalogie des descendants des trois neveux de Louis Ducos du Hauron qui le concerne, lui : « Gérard Ducos du Hauron, né à Berrouaghia le 30 août 1909 (où son père, Amédée, était administrateur-adjoint), et décédé à Avignon le 27 janvier 2000. Gérard Ducos du Hauron a épousé à Alger, le 25 novembre 1939, Mme Jacquet, née Célestine-Léontine Noiraux (Haraucourt, 12 novembre 1893 – Cavaillon, 29 juillet 1972) ; et il ne semble pas avoir eu de descendance« ...
…
…
Quant à son frère Roger Ducos du Hauron, je ne peux, pour le moment et pour l’essentiel, que reprendre ce que je disais à son propos dans ce même article du 11 janvier dernier Et un bilan (provisoire) de ce qui demeure comme « taches aveugles » à élucider dans mon essai d’établissement de la généalogie des descendants des trois neveux de Louis Ducos du Hauron :
« Roger Ducos du Hauron _ dont j’ignore toujours le lieu et la date de naissance, ainsi que le lieu (en France : il est venu vivre à Savigny-sur-Orge au moment de son rapatriement en France, vers 1962 (mais pas dans la maison du 14 de la rue des Rossays, où avaient vécu ses grands-parents, Alcide et Césarine-Marie, ainsi que son grand-oncle Louis, et son oncle Gaston : cette maison sur laquelle a été apposée, en 1951, une plaque commémorant le séjour, là, de l’inventeur Louis Ducos du Hauron…) et la date de son décès _ et son épouse Sylvia _ j’ignore son nom de jeune fille… _ ont eu 4 enfants : Marie-José Sylvia Ducos du Hauron (Alger, 4 avril 1944 – Langrolay-sur-Rance, 28 décembre 2009) ; Jean-Louis Ducos du Hauron (né en 1953 _ probablement lui aussi à Alger… _ et qui vit aujourd’hui en Espagne… ; il a deux fils, Cédric et Aurélien) ; Danièle Ducos du Hauron ; Denise Ducos du Hauron« …
…
…
Et je continuerai demain cet exposé de ma lecture-analyse de ce faire-part du décès de M. Victor Gadel, publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930,
en revenant sur la personne d’Eveline Ducos du Hauron, « Mme Henri Ducros ».
…
…
Mme et M. Henri Ducros ;
…
…
Mme et M. Eugène Gentet ;
…
…
Mme Vve Gentet.
…
…
Ce jeudi 21 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa