Posts Tagged ‘faire-part de décès

Quelques retouches-appoints à un article du 26 février 2021 sur un point que j’y faisais alors à propos de mes recherches sur les familles Bonopéra et Morand de La Genevraye d’Orléansville, en leur alliance, via les Gentet, Rey, Confex, Wachter, à la branche algéroise-algérienne d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse orléansvillaise Marie-Louise Rey…

27fév

Les coups de fil reçus le 1er février dernier de MM. Matthias et Georges Bonopéra, fils et père, m’ont remis sur le chantier de mes recherches à propos des familles, alliées entre elles, d’Orléansville, entre 1850 et 1940, dans l’entourage immédiat d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) _ le neveu algérois de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen , 31 août 1920), l’inventeur, à Lectoure, en 1868, de la « photographie de couleurs«  _, et son épouse orléansvillaise Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933)_ j’ai tout récemment appris que le mariage d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey avait eu lieu à Orléansville le 10 juin 1896 _ ;

et plus spécialement à propos de la famille Bonopéra, dont le nom de « Bonopéra » apparaît dans le faire-part du décès, publié par L’Écho d’Alger du 2 janvier 1930, d’Eveline Ducos du Hauron _ là encore, c’est tout récemment que j’ai découvert que Marie-Aimée-Eveline Ducos du Hauron était née à Orléansville  au mois de mars 1898,  entre le 24 et le 30… _, l’épouse de Henri Ducros, et la fille aînée d’Amédée et Marie Louise…

« Monsieur Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix, ainsi que ses enfants ;

MM. Ducos du Hauron, Gérard et Roger ;

Mme Jacquet ;

Mme Vve Gadel et ses enfants ;

les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure,

vous font part du décès de leur chère et regrettée

Madame Henri DUCROS née Éveline DUCOS DU HAURON.

Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939 »

Ou plutôt, et c’est très important, le nom « Bonopéra » n’y apparait, pour la première fois, pas !

Alors que figurait jusqu’alors, sinon nommément « Mme Vve Paul Bonopéra« , du moins le nom générique de la famille « Bonopéra » dans les divers faire-part des familles auxquelles celle-ci était au moins alliée.

On pourrait en déduire que c’est entre ces dates des deux avis de décès, celle du 8 octobre 1935, pour le faire-part du décès de Georges Morand de La Genevraye,  et celle du 2 janvier 1939, pour le faire-part du décès d’Eveline Ducos du Hauron, qu’est probablement décédée, à Orléansville, cette « Madame Veuve Paul Bonopèra mère« …

Ainsi en est-il des divers faire-part de la famille Gadel, à laquelle appartient, depuis son mariage à Orléansville le 11 mars 1905, avec Victor Gadel, la sœur cadette de Marie-Louise Ducos du Hauron, née Rey : Aimée-Laurence Rey, devenue depuis le décès de son époux M. Victor Gadel à Alger le 30 mars 1930, « Mme Vve Gadel » ;

tel, par exemple, ce faire-part de décès-ci, paru dans l’Echo d’Alger le 31 mars 1930 :

« Mme Vve Victor Gadel ;

M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie,

Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude ;

M. Georges Gadel ;

Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris ;

Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ;

Mme et M. Henri Ducros ;

Mme et M. Eugène Gentet ;

Mme Vve Gentet ;

les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ;

Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra

ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL
Payeur-adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,

survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans,

et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.

Réunion au domicile mortuaire, 32, rue Eugène Robe.

P. F. GUYE, 38, rue Rovigo, Alger. T. 51-71« 

Ou encore, et bien sûr surtout, les faire-part de décès de la famille Morand de La Genevraye,

dont les descendants avaient pour ancêtre direct, cette fois, Marguerite Bonopéra _ l’épouse d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de La Genevraye, maire d’Orléansville à l’heure de son décès le 25 mai 1904, à Orléansville _la mère des 7 enfants du couple qu’elle formait avec Auguste Morand de La Genevraye : Augustine, Angèle, Alphonse-Jean, Jocelyne, Auguste-Michel, Jules-Charles et enfin Georges Morand de La Genevraye

_ cf mon article «  » du 23 février 2021, dans lequel je mentionne que c’est un long échange téléphonique, entre 16h 44 et 17h 34, le dimanche 21 février 2021, avec Madame Françoise Pons, née Morand de La Genevraye, qui m’a énoncé la liste complète de ces 7 enfants d’Auguste Morand de la Genevraye et Marguerite Bonopéra ; dont elle-même, Françoise Pons, née Morand de La Genevraye à Alger en 1940, est la descendante directe : Françoise Pons, née Morand de La Genevraye, est en effet arrière-petite-fille de Marguerite Bonopéra et Auguste Morand de La Genecraye, via son père Robert-Auguste Morand de La Genevraye, né à Blida entre le 29 février et le 9 mars  1915 (et époux d’Odette Gallais) ; et son grand-père Jules-Charles Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1881 (et époux de Clémence Orgeret) : le sixième des 7 enfants de Marguerite et Auguste (et j’ignore la date du décès, peut-être à Rabelais, où il était propriétaire viticulteur, ainsi que conseiller municipal, de Jules-Charles Morand de La Genevraye : probablement après 1938, d’après des recherches généalogiques de flapalu, dont j’ignore les sources concernant cette famille Morand de La Genevraye)_ :

ainsi en 1935, lors du décès du dernier né de ce couple _ de Marguerite Bonopéra et Auguste Morand de La Genevraye _, Georges Morand de La Genevraye, à Orléansville, le 7 octobre 1935,

si « Mme Vve Paul Bonopéra«  _ née Confex _ figure en bonne place sur le faire-part de décès du défunt,

c’est en tant que tante par alliance de celui-ci : en effet le défunt mari de celle-ci _ née Confex _, Paul Bonopéra (né à Miliana le 10 janvier 1856), était rien moins que le frère cadet de Marguerite Bonopéra (née à Miliana le 22 janvier 1859), la mère de ce défunt Georges Morand de La Genevraye (qui était né à Orléansville le 21 février 1888)…

Et c’est sur cette piste prometteuse de la recherche de l’identité précise de cette « Mme Vve Paul Bonopéra » née Confex _ Paul Bonopéra, son époux était donc né à Miliana le 10 janvier 1856 et décédé à Orléansville, 16 janvier 2016 _, apparentée _ via sa nièce « Mme Vve Louis Gentet » née Wachter, elle-même fille de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (né à Rougemont le 5 février 1827) et Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (née à Marseille le 28 décembre 1836, et décédée à Alger le 30 mars 1925 : cette « Mme Vve Wachter » née Confex, sœur de « Mme Vve Paul Bonopéra » née Confex) _ aux Rey-Gentet-Ducos du Hauron,

que je ne tardais pas à me pencher très bientôt aussi, cette fin du mois de février 2021, sur la famille orléansvillaise des Morand de La Genevray,

parce qu’il se trouve très précisément, et pardon si j’y insiste encore ici, que la sœur aînée de ce Paul Bonopéra, Marguerite Bonopéra, née à Miliana le 22 janvier 1849 _ et décédée très probablement à Orléansville entre 1892 et 1901, d’après ce que révèle la lecture des livrets militaires de 1892 et 1901 de deux de leurs deux fils : Alphonse-Jean Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 7 juin 1872, et Jules-Charles Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1881 ; le dernier né de leurs 7 enfants, étant ce Georges Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1888, qui est décédé .à Orléansville le 7 octobre 1935… _, se révélait être l’épouse d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de La Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904), et la mère de leurs 7 enfants : Augustine, Angèle, Alphonse-Jean, Jocelyne, Auguste-Michel, Jules-Charles et Georges Morand de La Genevraye…

Voici donc,

avec l’appoint-enrichissement de plusieurs retouches en fonction de quelques unes de mes récentes découvertes _ cf mes articles « « ,

«  »

et « «  des 18, 20 et 21 février derniers  _,

la reprise, avec ajouts, de cet article déjà crucial pour ma recherche généalogique de la descendance d’Amédée Ducos du Hauron et des familles alliées à la famille de son épouse Marie-Louise Rey _ dont la mère était l’orléansvillaise de vieille souche Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886), et le tuteur, après le décès du père de Marie-Louise, Anatole Rey, à Oran le 28 janvier 1890, était son oncle maternel orléansvillais Louis Gentet (Orléansville, 12 décembre 1853 – Orléansville, 9 août 1906)… _,

un article en date, donc, du 26 février 2021 :  « « 


Et à suivre, bien sûr,

Ce mardi 27 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et relecture, avec de menues modifications, de l’article du 1er janvier 2021 : « L’éloquent faire-part de décès de « Madame Veuve Laurent Gentet », paru dans Le Progrès d’Orléansville le 8 décembre 1904 ; ainsi que les remerciements des familles Gentet, Rey, Ducos du Hauron et Yungmann… »…

01déc

Et toujours dans l’élan de mes relectures-reprises, avec corrections et ajouts, des articles du début de ma recherche (du 2 décembre 2020 au 3 janvier 2021) à propos de l’environnement familial de l’inventeur Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

je continue ce travail de révision,

maintenant pour l’article du 1er janvier 2021,  :

Eu égard à mes deux précédents articles des 30 et du 31 décembre derniers (  et ), dans lesquels je centrais ma focale sur le mariage à Orléansville, le 9 mars 1905, de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et Aimée-Laurence Rey ;

mariage, probablement sous les auspices d’un des membres, orléansvillais, de la famille Gentet _ famille orléansvillaise depuis 1848, n’allais-je pas tarder à apprendre… _ ;

en l’occurrence Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 9 août 1906), beau-frère du défunt oncle maternel du fiancé Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, dont la mère, Marie-Eugénie-Hortense Rey était la sœur _ je venais de le découvrir _,

je veux dire Jean-Anatole-Firmin Rey,

qui au moment de son décès, à Oran, le 28 janvier 1890 était 2ème adjoint au maire d’Oran, « spécialement chargé de la direction des services de l’assistance publique et de la police municipale« d’Oran ;

Jean-Anatole-Firmin Rey dont l’épouse _ je venais de le découvrir aussi ! _ était l’orléansvillaise Adélaïde Gentet (décédée à Oran le 5 juillet 1886), elle-même fille des orléansvillais Laurent Gentet (Satolas, 2 avril 1821 – Orléansville, après le 30 juillet 1881) et Anne-Marie Schwartz (Saint-Jean Rohrbach, 1822 – Orléansville, 4 décembre 1904) ;

voici donc qu’en tâchant de bien étayer les données encore parcellaires et éparses que je possède, à ce jour, sur les divers membres de ces familles Rey et Gentet,

je tombe sur le très remarquable avis de « Remerciements » à la suite du décès _ survenu à Orléansville le 3 décembre 1904 : soit trois mois à peine avant le mariage de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et Aimée-Laurence Rey, à Orléansville, le 9 mars 1905 _ de « Madame Veuve Laurent Gentet, née Anne-Marie Schwartz« , et de ses obsèques, le 4 décembre, paru dans Le Progrès d’Orléansville le 8 décembre 1904.

Un avis de « Remerciements » qui comporte les noms réunis _ dès cette date de décembre 1904 ; et donc avant le mariage de Victor Gadel et Aimée-Laurence Rey à Orléansville le 9 mars 1905 _ des quatre familles des plus proches parents de la défunte : les Gentet, les Rey, les Ducos du Hauron et les Yungmann ;

et je dois bien constater que, à cette date du 8 décembre 1904, la réunion des noms des Ducos du Hauron, des Rey, ainsi que des Gentet, vient nous confirmer la réalité du mariage d’Amédée Ducos du Hauron et de Marie-Louise Rey ;

après l’avis de naissance de leur petite Edmée, née à Lamartine _ un village relativement proche d’Orléansville : 34 kilomètres ; créé en 1888 ; et aujourd’hui nommé El Karimia…  _  le 8 juillet 1904 (cf Le Progrès d’Orléansville du 8 septembre 1904).

« Remerciements.

Les familles GENTET, REY, DUCOS DU HAURON, YUNGMANN, adressent leurs plus sincères remerciements aux personnes qui ont bien voulu leur donner des témoignages de sympathie à l’occasion du deuil cruel qui vient de les frapper en la personne de Madame Veuve Laurent GENTET Née Marie Anne SCHWARTZ« .

Voici aussi ce très intéressant avis d’obsèques de « Mme Vve Laurent Gentet« , paru sur la même page du Progrès d’Orléansville du 8 décembre 1904 :

« Chronique locale. Nécrologies.

Dimanche dernier ont eu lieu, au milieu d’une assistance nombreuse, les obsèques de Madame Veuve Laurent Gentet.

La défunte était une des dernières survivantes des premiers Français venus en Algérie immédiatement après la conquête _ c’est tout à fait intéressant. Venus à Orléansville en 1848 _ après la naissance à Blida le 22 avril 1846 de leur fils aîné Frédéric Gentet, c’est à Orléansville que le 21 janvier 1852 se sont mariés Laurent Gentet et Anne-Marie Schwartz… _, les époux Gentet, par leur vaillance, leur labeur acharné, leurs habitudes d’ordre, étaient arrivés à se créer ici une situation enviable et honorablement acquise.

La foule nombreuse et attristée qui se pressait derrière son funèbre convoi, témoigne éloquemment des justes sympathies dont jouissait dans notre ville cette femme de bien.

A sa famille nous présentons l’expression de nos condoléances« .

Des documents tout à fait éloquents…

Ce vendredi 1er janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Cette fois,

mes modifications par rapport à l’article original du 1er janvier 2021, sont minimes…

Ce mercredi 1er décembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et relecture-révision de l’important article du 29 décembre 2020 « Comment j’ai fini par repérer la place (et bientôt la connexion) des trois discrètes dames Rey au sein de la branche « algérienne » des Ducos du Hauron… »…

01déc

Et voici ce matin, 1er décembre 2021, ma relecture-révision, avec corrections et ajouts d’après ce que j’ai pu apprendre depuis,

de mon important article du 29 décembre 2020  :

C’est presque avec surprise que j’ai fini par prendre conscience de la place (et de la connexion entre au moins deux d’entre elles _ mais bien, au final, les trois ! _  des trois très discrètes dames Rey (Marie-Eugénie-Hortense, puis Aimée-Laurence et Marie-Louise) dans la constellation familiale de ce que j’ai nommé la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron, d’abord à partir du fait, premier, de la difficulté à réussir à donner une identité précise, à chacune de celles qui se présentaient, dans les différents faire-part d’État-civil accessibles le plus aisément sur le web, chaque fois, seulement comme la mère de tels et tels enfants _ pour le cas de la première épouse de Victor-Alexandre-Philémon Gadel (1835 – 1927) : Marie-Eugénie-Hortense (Le Grand-Serrre, 21 mars 1848 – Le Grand-Serre, 9 septembre 1880) _, ou la veuve d’un autre _ pour le cas de l’épouse de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (1872 – 1930) : Aimée-Laurence Rey (probablement Orléansville, entre fin 1879 et le 9 novembre 1883 – probablement Alger entre 1939 et 1942…). Et je passe ici sur la rareté des références (accessibles sur le web) à l’identité de celle _ Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933) _ qui a été l’épouse de Marie-Louis-Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) _ et non pas son frère Henri-Amédée-Lionel Ducos, décédé à l’âge de deux mois et cinq jours : Agen, 9 février 1866 – Agen, 11 juillet 1866 _, et la mère de leurs _ au moins _ cinq enfants…

Presque trois fantômes d’épouses, ces trois-là, pour le moment de cette recherche _ mais bien d’inconnues demeurent toujours, après un an de recherches… _ tant font défaut, jusqu’ici, les environnements familiaux de naissance de chacune d’entre elles : de quels parents sont-elles, chacune d’elles, les filles ?.. Cela me demeure _ assez étrangement : pour quelles secrètes raisons ?_, pour le moment, inconnu _ mais, cela, j’ai fini par l’apprendre : Marie-Eugénie-Hortense Rey est fille de Jean-François-Régis (dit Benjamin) Rey (Le Grand-Serre, 8 décembre 1816 – Le Grand-Serre, 11 juillet 1880 ; lui-même fils de Jean Rey et son épouse Marianne Manin) et son épouse, le 5 août 1844, au Grand-Serre, Eugénie-Catherine-Louise Sibert (Le Grand-Serre, 1824 ; fille de Nicolas Sibert et son épouse Marguerite Sancy) ;

quant aux sœurs Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey, elles sont les filles de Jean-Anatole-Firmin Rey (Le Grand-Serre, 10 juin 1845 – Oran, 28 janvier 1890 ; lui-même fils de Jean Rey et son épouse Marianne Manin) et son épouse Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886 ; elle-même fille de Laurent Gentet (Satolas, 7 avril 1821 – Orléansville, ?) et son épouse, à Orléansville le 21 janvier 1852, Anne-Marie Schwartz (Saint-Jean-Rohrbach, 1822 – Orléansville, 27 décembre 1904).

Car c’est à peine si, quand je suis parvenu à accéder à la réalité de leur nom de jeunes filles, le même, « Rey« , pour toutes les trois, j’ai pensé à effectuer une connexion tant soit peu concrète entre elles trois ; probablement faute de pouvoir disposer, pour chacune de ces trois-là, du moindre contexte familial de naissance et d’enfance : ni père, ni mère, ni frères et sœurs, ni parenté plus ou moins proche, n’apparaissant, en effet, assez étrangement _ il me faudrait tacher d’un peu comprendre aussi cela… _, pour aucune d’entre elles, dans les faire-part d’État-civil (décès, mariages, naissances) les plus aisément accessibles _ sans se déplacer _ pour elles trois _ probablement du fait des tremblements de terre d’Orléansville du 9 septembre 1954 et 10 octobre 1980 : les archives d’état-civil d’Orléansville et sa région ont alors été détruites…

Et c’est seulement face au faire-part de décès paru dans L’Écho d’Alger du 31 mars 1930 de « M. Victor Gadel, Payeur adjoint au Trésor« , dans lequel l’identité de sa veuve demeurait en quelque sorte _ comme fantômatiquement… _ en blanc (« Mme Vve Victor Gadel« , sans nul prénom sien _ sinon celui de ce mari, Victor, la laissant veuve… _, pas davantage que de nom de jeune fille), que j’ai fini par me demander les raisons, forcément familiales (!), de la présence au sein de la liste des proches parents du défunt, de « Mme _ toujours sans prénom, ni nom de jeune fille _ et M. _ mais là, c’est une très malencontreuse déchirure de la feuille du journal ainsi reproduite, qui me privait (vilainement) du prénom de son mari ainsi caviardé ! Et il ne manquait plus que cette malencontreuse déchirure !!! _ Ducos du Hauron, et de leurs enfants«  _ pas de prénoms pour eux non plus : desquels des Ducos du Hauron « algériens » pouvait-il bien s’agir là ???  _, renforcé de la présence, aussitôt, de la mention de « Mme _ toujours, bien sûr, sans prénom, ni nom de jeune fille _ et M. Henri _ Ouf ! enfin un prénom pour mieux se rapprocher, enfin !, de ce couple… _ Ducros«  _ sans enfants, eux, ces Ducros-là, à cette date du 30 mars 1930… : c’était, en effet, à relever…

Car, dans ce second faire-part de décès, tout à fait important, et même crucial _ oui ! _, pour les petits progrès de ma recherche d’identification de ces personnes citées de trop nombreuses fois sans leurs prénoms, ni leurs noms de jeune fille,

après la référence au mari veuf de la défunte, « M. Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix« , et « ses enfants«  _ cités ici sans leurs prénoms _ ;

après la référence à « MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger«  _ ici les prénoms des deux frères de la défunte sont parfaitement clairement donnés _ ;

et après une « Mme Jacquet«  _ que je réussirai à identifier : la compagne de Gérard _,

venait enfin, et juste avant la liste de sept noms (« Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure« ) de parents et alliés,

 

venait, ou plutôt revenait, ce 2 janvier 1939, pour le décès d’Eveline Ducos du Hauron, cette mention encore sibylline _ et quasi fantômatique _ de « Mme Vve Gadel et ses enfants«  _ à nouveau (décidément !) sans indication de prénoms et de noms, pour ces enfants Gadel.

Une première hypothèse qui m’est venue à l’esprit était que cette « Mme Vve Gadel » pouvait avoir eu pour nom de jeune fille le nom de « Ducos du Hauron« …

Mais c’est alors que m’est venue à l’esprit l’étincelle éclairante que le lien de parenté de cette « Mme Vve Victor Gadel » avec les « Ducos du Hauron » d’Algérie, ne provenait pas du côté du défunt lui-même, de ce Victor Gadel _ le mari de ce couple _, ni d’autres Gadel de sa parenté,

mais bien du côté de cette « Mme Vve Gadel » elle-même _ cette épouse-veuve mentionnée ici sans son nom de jeune fille _ ;

surtout si cette « Mme Vve Gadel« , née « Aimée Laurence Rey« , et étant bien ainsi une « Rey« , avait, elle, un tout à fait effectif _ mais resté jusqu’ici fort discret : comme volontairement gommé, effacé.. ; mais ici j’ironise... _, lien de parenté avec les Ducos du Hauron :

un très précis lien de parenté avec, en cette occurence, Marie-Louise Rey, l’épouse de Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron, le père de Gérard et Roger, ainsi que d’Eveline, la défunte « Mme Henri Ducros » du faire-part de décès du 2 janvier 1939…

Et même si ce lien de parenté n’avait jusqu’ici pas encore été élucidé…

Dernier point _ et énigme peut-être _ à affronter : la similitude _ en effet ! _ des deux mariages « algériens » des deux Victor Gadel, le père et le fils :

_ d’une part, le remariage, à Birkaden, le 9 décembre 1886, de Victor-le-père, veuf _ et à une date que j’ignore encore : ce fut le 9 septembre 1880 que Marie Eugénie-Hortense Rey décèdera, au Grand-Serre _ de sa première épouse Marie-Eugénie-Hortense Rey, avec sa seconde épouse (et belle-mère des deux enfants de son premier mariage), Marie Morlier _ qui décèdera, elle, à Marseille, le 8 janvier 1921 _que venait donc faire en Algérie Victor-Alexandre-Philémon Gadel ? Y venait-il tout exprès pour s’y marier ?..

_ et, d’autre part, presque vingt ans plus tard, le mariage, à Orléansville, le 11 mars 1905, de Victor-le-fils, avec son unique épouse _ et future veuve, le 30 mars 1930 _, Aimée-Laurence Rey.


Existe donc, et _ pleinement _ révélé par la confrontation de ces deux faire-part de 1930 et 1939,

un lien fort, une puissante connexion familiale

entre certains des Ducos du Hauron _ dont Eveline, mais aussi Gérard et Roger _ et cette « Mme Vve Gadel » _ voilà !

Même si la précision de cette parenté effective entre Marie-Louise, l’épouse d’Amédée, et Aimée-Laurence, l’épouse de Victor, ne m’est pas encore _ tout à fait _ apparue jusqu’ici en pleine lumière _ faute de disposer, sur ces divers faire-part de décès, des prénoms et noms de jeune fille des veuves…

Et cela, alors même que j’épluchais patiemment les diverses relations familiales de la nombreuse famille des Rey autour d’Orléansville, Malakoff, Hanoteau, etc. ;

autour d’un Denis Rey, par exemple _ qui décède à Malakoff, au mois de novembre 1935.

Mais je viens de découvrir _ surtout ! _ qu’un Jean-Anatole Rey avait été, en 1880-1882, maire d’Orléansville :

voilà qui ouvre tout d’un coup une bien prometteuse piste de travail…

Puis, je revenais à ce précédent faire-part de décès, décisif celui-ci _ oui, vraiment, pour le progrès de ma recherche (et prise de connaissance) du devenir en Algérie d’Amédée Ducos du Hauron et sa famille ! _, que je pouvais désormais relire en meilleure connaissance de cause, je veux dire celui, publié par L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939, annonçant le décès de « Mme Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron«  _ et cette fois sont bien présents le prénom et le nom de jeune fille de la défunte _, annoncé par « M. Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix, et ses enfants«  _ à nouveau, hélas sans les prénoms de ces derniers ! : les enfants Ducros…

Faire-part que revenait hanter l’ombre fantômatique _ et décisive ! _ de « Mme Vve Gadel » :

telle la confirmation bienvenue de la bien effective parenté de ces deux dames toutes deux d’ascendance Rey…

À suivre…

Ce mardi 29 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Oui, un article décidément important dans la progression de ma recherche du devenir en Algérie d’Amédée Ducos du Hauron,

et les divers membres de sa famille :

les Ducos du Hauron, les Rey, les Gentet, les Gadel, les Ducros…

Ce mercredi 1er décembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Relecture avec corrections de l’article « Second point d’étape sur les avancées et les taches aveugles de ma recherche sur l’entourage familial de Louis Ducos du Hauron » du 18 décembre 2020

07nov

Ce dimanche 7 novembre 2021,

j’entreprends la relecture-révision de mon article du vendredi 18 décembre 2029. 

Voici _ les correction, précisions et ajouts sont en rouge et en gras _ ce que cela va donner :

Le 14 décembre dernier,

j’avais proposé un tout premier récapitulatif de mes recherches sur l’entourage familial de l’inventeur de la « photographie de couleurs« , Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920),

entourage si important à tous égards pour ce chercheur assez solitaire _ et lui-même célibataire, et sans descendance directe… _ :

Depuis, j’ai proposé 3 nouveaux articles :

et _  ;

et, surtout,

je continue d’affiner et préciser mes acquis et mes interrogations persistantes de l’article du 15 décembre :  ;

qui ne me satisfait, d’ailleurs, toujours pas :

il me faut donc continuer à y retravailler…

C’est surtout, d’ailleurs, sur le parcours « algérien » de l’aîné des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron,

Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1966 – Alger 1935),

que j’achoppe,

faute de disposer, sur le web, de données suffisamment consistantes, et sans trop de « trous » :

ce que je nomme ici des « taches aveugles« …

Surtout,

je n’ai pas encore réussi à identifier les 5 enfants que prête à Amédée et son épouse Marie-Louise, un très précieux article de L’Écho d’Alger, en date du 4 mars 1927,

au moment de la retraite d’administrateur adjoint, résidant à Rébeval _ maintenant Baghlia _, d’Amédée, à l’âge de 60 ans _ Amédée Ducos du Hauron est né, à Agen, le 24 mars 1867…

Et puis un magnifique avis de décès _ magnifique, parce que particulièrement détaillé, celui-ci !_, paru dans L’Écho d’Alger du 31 mars 1930,

pour le décès, la veille 30 mars, à Alger, de Victor Gadel (Le Grand-Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930), Payeur adjoint du Trésor d’Algérie, à Alger l’époux d’Aimée-Laurence Rey, elle-même la sœur cadette de Marie-Louise Rey, épouse d’Amédée Ducos du Hauron ;

mais j’ignorais encore à cette date du 14 décembre 2020 la sororité très effective de Marie-Louise Rey et Aimée-Laurence Rey _,

auxquels étaient apparentés _ par mariages _et les Ducos du Hauron _ en la personne d’Amédée, époux de Marie-Louise Rey _ et les Ducros _ en la personne de Henri Ducros, époux d’Eveline Ducos du Hauron, fille d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey… _ 

_ mais je n’avais pas encore réussi, à cette date du 14 décembre 2020, à découvrir précisément comment existaient ces apparentements : par quels liens de quels mariages (entre ces familles Ducos du Hauron, Rey, Gadel, Gentet)… : je le découvrirai bientôt : les 31 décembre 2020, 1er et 2 janvier 2021 ; cf mes trois articles à venir :  ;  et  _

présente un terrible défaut pour le chercheur que je suis : un petit coin, mais hélas crucial, de cet avis de décès, en date du 30 mars 1930 _ et là même où justement auraient dû apparaitre les prénoms précis des divers membres de ces familles Ducos du Hauron et Ducros apparentés aux Gadel…a été malencontreusement arraché _ un phénomène assez rare dans les collections d’archives légalement conservées… _ ;

et constitue très littéralement, pour le regard de qui le consulte, une vraie « tache aveugle« , noire

_ qui vient nous priver d’indices décisifs _ ;

et je n’ai hélas pas réussi à  dénicher, sur le web, un exemplaire de cette page qui, lui, aurait été complet !!!

À suivre…

Ce vendredi 18 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà quelques bien utiles précisions de relecture a posteriori…

Ce dimanche 7 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

Précisions complémentaires à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance (et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés), des neveux de Louis Ducos du Hauron, et plus spécialement en Algérie…

31oct

Voici quelques précisions complémentaires
à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés, des neveux de Louis Ducos du Hauron,
et plus spécialement en Algérie…

C’est surtout la descendance de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?) et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), mariés à Mustapha le 26 mai 1857,
qui m’intéresse :
plus précisément pour la relation de parenté d’une de leur fille _ née Wachter, donc, mais dont je n’ai pas encore découvert le prénom ; ni donc l’identité précise… _,
avec l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935), née Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933).
Car cette future « Veuve Louis Gentet, née Wachter », dont j’ignore aussi les dates et lieux de naissance et de décès, ainsi que la date et le lieu _ probablement à Orléansville _ de son mariage avec Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906)
n’est autre,
du fait de son mariage avec Louis Gentet, oncle et tuteur des 2 filles Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey, devenues orphelines de leurs deux parents, Jean-Anatole Rey (décédé à Oran le 28 janvier 1890) et son épouse Adélaïde Gentet (décédée à Oran le 25 juillet 1886),
que la tante par alliance de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron,
le neveu demeuré en Algérie, de Louis Ducos du Hauron. 
 
 
Des 5 (ou 6) enfants du couple Jean-Baptiste-Antoine Wachter – Elisabeth Confex (qui se sont mariés à Mustapha le 26 mai 1857)
à défaut d’en connaître assez au sujet de la future « Veuve Louis Gentet, née Wachter », 
j’ai identifié, mais avec des données encore un peu trop partielles, les 5 enfants suivants :  
_ Elisabeth-Marie-Louise Wachter : Medea, 9-mars 1858 – ?
_ Aimée-Marie Wachter : Mustapha, 2 septembre 1859 – ?
_ Louis-Jules Wachter : Orléansville, 29 juillet 1866 – ? : il épousera à Bône, le 14 janvier 1905, Thérèse Grazia Gallo (née à Bône le 26 octobre 1883)
_ Émile Wachter : Mustapha, 15 mai 1869 – ? : il épousera à Orléansville, le 21 octobre 1897, Hélène-Etiennette-Sophie Janet
_ Marie Émélie Wachter : ?, 1874 ou 75 : elle épousera son cousin Albert-Philippe-Joseph Ferrand (né en 1869, dont la mère, mariée à Alger le 18 juin 1868, à Philippe Ferrand (Fleury-lès-Lavancourt, 7 août 1828 – Alger, 2 décembre 1889), était une Confex : Aimée-Justine-Marie Confex, née à Alger le 7 février 1839, sœur cadette d’Elisabeth Confex).
L’époux de cette Marie-Emélie Wachter, Albert Ferrand, décèdera à Alger le 18 décembre 1927 ;
et sur le faire-part du décès que publiera sa veuve « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » _ cf mon article du 3à janvier 2021 : _,
sont présents, et dans cet ordre :
… 
_ « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter, et ses enfants : Yvonne et Simone » _ les deux filles du couple du défunt et de sa veuve _,
« M. Henri Ferrand _ le fils aîné du couple _ et Mme » _ née Raphaëlle Apostolico _,
« Mme Vve Bonopera » _ tante, née Confex, de la veuve d’Albert Ferrand, Marie-Emélie Wachter… ; et d’elle aussi j’ignore toujours le prénom, ainsi que ses lieux et dates de naissance et de décès ; de même que la date de son mariage avec M. Paul Bonopéra, probablement à Orléansville… _,
« Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » _ très probablement sœur de « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » ; d’elle aussi j’ignore le prénom, ainsi que ses lieux et dates de naissance et de décès ; de même que la date de son mariage avec M. Louis Gentet, probablement à Orléansville, elle aussi… _
« Mme et M. Emile Wachter, et leurs enfants » _ le frère (né à Mustapha, le 15 mai 1869) et la belle-sœur (née Hélène-Etiennette-Sophie Janet) de la veuve Ferrand, et leurs enfants, neveux et nièces de la veuve Ferrand née Wachter, soient Henri Wachter, Emile-Antoine Wachter, Albert Wachter, Mireille Wachter et Suzanne-Hélène-Emilie… ; cf mes articles du 2 février 2021 :  ; et du 29 mars 2021 : ... _,
« Mme Vve Louis Wachter et sa fille » _ la belle-sœur de la veuve Ferrand, et veuve elle-même de Louis Wachter, frère (né à Orléansville le 29 juillet 1866) de la veuve Ferrand ; ainsi que leur fille Paula Wachter _,
« Mme et M. Jules Malinconi et leurs enfants » _ Mme Malinconi est née Joséphine-Aimée-Constance Confex, à Alger le 31 octobre 1877 ; et elle est la fille de Marius-Ernest-Jules Confex (né à Alger le 19 février 1841) et son épouse Marie-Augustine Cremonini ; et par conséquent, elle est nièce de la veuve Ferrand, née Aimée-Justine-Marie Confex, sœur de son père, Marius-Ernest-Jules Confex _,
« M. A. Gastaud » _ le fiancé d’Yvonne Ferrand : ils se marieront à Alger le 4 février 1928 _,
« les familles Ferrand, Gadel, Ducos du Hauron, Gentet, Gastaud ».
Voilà.
J’espère ne pas trop noyer mon lecteur dans la forêt des si nombreux détails de ces divers articles ;
mais rechercher le moindre indice est tout à fait passionnant !
C’est tout un passé qui, peu à peu, bribe d’indice par bribe d’indice à explorer, émerge et réapparaît…
...
Ce dimanche 31 octobre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa
Chercher sur mollat

parmi plus de 300 000 titres.

Actualité
Podcasts
Rendez-vous
Coup de cœur