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Et relecture, avec de menues modifications, de l’article du 1er janvier 2021 : « L’éloquent faire-part de décès de « Madame Veuve Laurent Gentet », paru dans Le Progrès d’Orléansville le 8 décembre 1904 ; ainsi que les remerciements des familles Gentet, Rey, Ducos du Hauron et Yungmann… »…

01déc

Et toujours dans l’élan de mes relectures-reprises, avec corrections et ajouts, des articles du début de ma recherche (du 2 décembre 2020 au 3 janvier 2021) à propos de l’environnement familial de l’inventeur Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

je continue ce travail de révision,

maintenant pour l’article du 1er janvier 2021,  :

Eu égard à mes deux précédents articles des 30 et du 31 décembre derniers (  et ), dans lesquels je centrais ma focale sur le mariage à Orléansville, le 9 mars 1905, de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et Aimée-Laurence Rey ;

mariage, probablement sous les auspices d’un des membres, orléansvillais, de la famille Gentet _ famille orléansvillaise depuis 1848, n’allais-je pas tarder à apprendre… _ ;

en l’occurrence Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 9 août 1906), beau-frère du défunt oncle maternel du fiancé Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, dont la mère, Marie-Eugénie-Hortense Rey était la sœur _ je venais de le découvrir _,

je veux dire Jean-Anatole-Firmin Rey,

qui au moment de son décès, à Oran, le 28 janvier 1890 était 2ème adjoint au maire d’Oran, « spécialement chargé de la direction des services de l’assistance publique et de la police municipale« d’Oran ;

Jean-Anatole-Firmin Rey dont l’épouse _ je venais de le découvrir aussi ! _ était l’orléansvillaise Adélaïde Gentet (décédée à Oran le 5 juillet 1886), elle-même fille des orléansvillais Laurent Gentet (Satolas, 2 avril 1821 – Orléansville, après le 30 juillet 1881) et Anne-Marie Schwartz (Saint-Jean Rohrbach, 1822 – Orléansville, 4 décembre 1904) ;

voici donc qu’en tâchant de bien étayer les données encore parcellaires et éparses que je possède, à ce jour, sur les divers membres de ces familles Rey et Gentet,

je tombe sur le très remarquable avis de « Remerciements » à la suite du décès _ survenu à Orléansville le 3 décembre 1904 : soit trois mois à peine avant le mariage de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et Aimée-Laurence Rey, à Orléansville, le 9 mars 1905 _ de « Madame Veuve Laurent Gentet, née Anne-Marie Schwartz« , et de ses obsèques, le 4 décembre, paru dans Le Progrès d’Orléansville le 8 décembre 1904.

Un avis de « Remerciements » qui comporte les noms réunis _ dès cette date de décembre 1904 ; et donc avant le mariage de Victor Gadel et Aimée-Laurence Rey à Orléansville le 9 mars 1905 _ des quatre familles des plus proches parents de la défunte : les Gentet, les Rey, les Ducos du Hauron et les Yungmann ;

et je dois bien constater que, à cette date du 8 décembre 1904, la réunion des noms des Ducos du Hauron, des Rey, ainsi que des Gentet, vient nous confirmer la réalité du mariage d’Amédée Ducos du Hauron et de Marie-Louise Rey ;

après l’avis de naissance de leur petite Edmée, née à Lamartine _ un village relativement proche d’Orléansville : 34 kilomètres ; créé en 1888 ; et aujourd’hui nommé El Karimia…  _  le 8 juillet 1904 (cf Le Progrès d’Orléansville du 8 septembre 1904).

« Remerciements.

Les familles GENTET, REY, DUCOS DU HAURON, YUNGMANN, adressent leurs plus sincères remerciements aux personnes qui ont bien voulu leur donner des témoignages de sympathie à l’occasion du deuil cruel qui vient de les frapper en la personne de Madame Veuve Laurent GENTET Née Marie Anne SCHWARTZ« .

Voici aussi ce très intéressant avis d’obsèques de « Mme Vve Laurent Gentet« , paru sur la même page du Progrès d’Orléansville du 8 décembre 1904 :

« Chronique locale. Nécrologies.

Dimanche dernier ont eu lieu, au milieu d’une assistance nombreuse, les obsèques de Madame Veuve Laurent Gentet.

La défunte était une des dernières survivantes des premiers Français venus en Algérie immédiatement après la conquête _ c’est tout à fait intéressant. Venus à Orléansville en 1848 _ après la naissance à Blida le 22 avril 1846 de leur fils aîné Frédéric Gentet, c’est à Orléansville que le 21 janvier 1852 se sont mariés Laurent Gentet et Anne-Marie Schwartz… _, les époux Gentet, par leur vaillance, leur labeur acharné, leurs habitudes d’ordre, étaient arrivés à se créer ici une situation enviable et honorablement acquise.

La foule nombreuse et attristée qui se pressait derrière son funèbre convoi, témoigne éloquemment des justes sympathies dont jouissait dans notre ville cette femme de bien.

A sa famille nous présentons l’expression de nos condoléances« .

Des documents tout à fait éloquents…

Ce vendredi 1er janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Cette fois,

mes modifications par rapport à l’article original du 1er janvier 2021, sont minimes…

Ce mercredi 1er décembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Relecture-révision de l’article du 31 décembre 2020 : « L’alliance, à Orléansville, le 11 mars 1905, des Gadel et des Rey, sous les auspices des Gentet : le mariage de Victor Gadel et d’Aimée Laurence Rey, et l’ombre protectrice de Louis Gentet… »

01déc

Toujours sur ma lancée de ma relecture-reprise, avec corrections et ajouts, des articles du début de ma recherche (du 2 décembre 2020 au 3 janvier 2021) à propos de l’environnement familial de l’inventeur Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

je continue ce travail de révision pour l’article du 31 décembre 2020,  :

En faisant un retour un peu synthétique sur mon article d’hier :

,

j’en arrive à cette prometteuse hypothèse-conclusion-ci _ provisoire : il me faudra bien sûr trouver de quoi en confirmer les thèses proposées… _ :

à la date du 9 mars 1905, et à Orléansville, Louis Gentet, qui vivait à Orléansville où il exerçait la profession de liquoriste et était aussi conseiller municipal _ c’est seulement un an et cinq mois plus tard, le 9 août 1906, que, Louis Gentet décèdera en cette même ville, à l’âge de 53 ans seulement _,  et qui était frère d’Adélaïde Gentet _ née à Orléansville en 1855 et décédée à Oran le 5 juillet 1886 _ et beau-frère de son époux Anatole Rey _ né au Grand-Serre le 10 juin 1845 et décédé à Oran le 28 janvier 1890 _, et se trouvait être aussi _ et encore _ oncle par alliance de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel,

puisque la mère de celui-ci, Marie-Eugénie-Hortense Rey _ née au Grand-Serre le 21 mars 1848, et décédée au Grand-Serre le 9 septembre 1880 _, était la sœur du beau-frère de Louis, l’oncle Anatole Rey,

en même temps que l’épouse du père de leur fils Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, Victor-Alexandre-Philémon Gadel _ Tarascon, 12 octobre 1835 – Marseille, 27 septembre 1927 _ ;

Louis Gentet, donc

_ son frère aîné Frédéric (né à Blida le 22 avril 1846) est répertorié, dans le numéro du 7-14 mars 1895 du Bulletin de l’Union des Dauphinois et des Savoisiens du département d’Oran (dans lequel bulletin les deux frères Gentet sont indiqués originaires de Satolas, en Isère) comme étant « propriétaire à Oran » ; quand Louis, lui, est répertorié comme « liquoriste à Orléansville«  : c’est la raison pour laquelle j’ai supposé l’orléansvillaise Aimée-Laurence Rey plus proche de l’orléansvillais Louis que de l’oranais Frédéric… _,

a plus que vraisemblablement dû être présent au mariage _ qui eut effectivement lieu à Orléansville où était domiciliée la mariée _, de son neveu par alliance _ via l’époux de sa sœur Adélaïde, Jean-Anatole Rey _ Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, avec la très probable _ ou plutôt très effective ! _ cousine de celui-ci _ et probablement, sinon nièce _ mais oui !!! _, du moins proche parente, du côté Rey, de l’oncle (des deux côtés) Louis Gentet… _, Aimée-Laurence Rey _ Louis Gentet étant devenu, en 1890, le tuteur légal de sa nièce orpheline de ses deux parents, Aimée-Laurence ; ainsi que de la sœur de celle-ci, Marie-Louise, bientôt épouse d’Amédée Ducos du Hauron, peut-être le 21 janvier 1897 ; cf la mention dans le livret militaire de Gaston Ducos du Hauron, de la présence ce jour-là, de celui-ci,  à Orléansville : peut-être pour assister à la célébration du mariage de son frère Amédée avec Marie-Louise Rey…

Telle est, du moins, en attendant une effective confirmation, l’hypothèse à laquelle je suis parvenu hier en mon effort d’un peu mieux situer la place d’Aimée-Laurence Rey au sein de la constellation familiale des Rey-Gentet-Gadel, et bientôt Ducos du Hauron ;

je veux dire la place de départ _ discrète, on peut le constater… _ de celle qui deviendra, à partir du 30 mars 1930, à Alger, la « Mme Vve Gadel » _ la grande majorité du temps sans mention hélas de ses prénoms et nom de jeune fille, Rey, comme si ceux-ci avaient carrément voulu être effacés… _ des faire-part de décès, mariage ou naissance, de sa plus ou moins étendue famille _ si bien que j’ai passé bien du temps, voilà, avant de parvenir à l’identifier en sa singularité d’Aimée-Laurence Rey…

Et je m’interroge tout à fait semblablement sur la place particulière qu’occupe Marie-Louise Rey _ de quels parents est-elle donc, d’abord, la fille ? _ dans cette même constellation familiale des Rey-Gentet-Gadel et Ducos du Hauron…

C’est passionnant d’avancer ainsi peu à peu, pas à pas,

dans le tâtonnement exploratoire toujours un peu hasardeux du jeu _ avec sa dose de sérendipité _ de la recherche…

À suivre, donc…

Ce jeudi 31 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Il est plaisant d’avancer ainsi dans sa patiente recherche…

Ce mercredi 1er décembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Puis mise à jour, avec corrections et ajouts, de l’article du 30 décembre 2020 « A la recherche des liens de parenté des Rey d’Algérie : les apparentements avec les Gadel, les Gentet, etc. ; et les Ducos du Hauron… »…

01déc

Et dans la foulée, ce matin, de la révision ()

de mon article du 29 décembre 2020, ,

je poursuis  maintenant mes reprises de mes premiers articles de décembre 2020 – tout début janvier 2021, concernant l’environnement familial de Louis Ducos du Hauron

avec la relecture-révision de mon article du 30 décembre 2020

Toujours à la recherche des liens de parenté entre divers Rey d’Algérie, ainsi qu’avec des membres de diverses familles _ les Bure, les Rencurel, les Ferrand, etc. _ auxquelles ces Rey se sont _ au cours de ces années d’entre 1850 et 1940, en Algérie _ alliées,

j’ai découvert que Jean-Anatole-Firmin Rey (Le Grand Serre, 11 juin 1845 – Oran, 28 janvier 1890),

qui fut aussi maire d’Orléansville de 1880 à 1882 _ c’est à la date du 29 novembre 1883 que s’effectua le départ d’Orléansville d’Anatole Rey, son épouse Adélaïde Gentet, et au moins leur fille aînée Marie-Louise (j’ignore toujours en effet le lieu et la date de naissance de leur seconde fille, Aimée-Laurence Rey), pour Oran, m’apprend la lecture du livret militaire d’Anatole Rey, le 30 mars 2021… ; et, du fait de l’absence d’un acte d’état-civil spécifiant la naissance, à Oran, entre le 9 décembre 1883 (installation à Oran de Jean-Anatole-Firmin Rey et son épouse Adélaïde Gentet) et le 5 juillet 1886 (décès d’Adélaïde Gentet), d’un enfant Rey de ce couple, j’en déduis qu’Aimée-Laurence Rey n’est pas née à Oran ; mais probablement à Orléansville où étaient jusqu’alors domiciliés ses parents ; et cela entre la naissance de sa sœur aînée, Marie-Louise, en 1879, et le départ de cette famille Rey, d’Orléansville pour Oran, à la date du 9 décembre 1883… _, et qui a eu un rôle décisif, en tant que pharmacien et adjoint au maire d’Oran, en 1888, face à la terrible épidémie de variole qui ravagea alors Oran _ cf mon article du 2 janvier 2021 , mentionnant le décret du 16 juillet 1889 attribuant à Anatole Rey (alors 2e adjoint au maire d’Oran, Floréal Mathieu), et « spécialement chargé de la direction des services de l’assistance publique et de la police municipale« d’Oran, une médaille d’or de 2e classe pour avoir « montré le plus grand dévouement pendant l’épidémie variolique qui a sévi en 1888 à Oran« _,

était rien moins que le frère aîné de Marie-Eugénie-Hortense Rey (née le 21 mars 1848, au Grand Serre, au nord du département de la Drôme) ; et par conséquent le beau-frère de Victor-Alexandre-Philémon Gadel (Tarascon, 12 octobre 1835 – Marseille, 27 septembre 1927).

Et là se trouve la raison de la naissance au Grand Serre, le 8 juillet 1872, de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, le fils aîné de Victor-Alexandre-Philémon Gadel et son épouse Marie-Eugénie-Hortense Rey, au domicile des grands-parents maternels de l’enfant, Jean-François-Régis (dit Benjamin) Rey et Eugénie- Catherine-Louise Sibert.

Mais, ce faisant, j’ai pu découvrir que l’épouse de Jean-Anatole-Firmin Rey, était une certaine Adélaïde Gentet (née à Orléansville en 1855, et décédée à Oran le 5 juillet 1886 _ je ne sais si ce couple a eu, ou pas, des enfants ; mais ce serait assurément bien intéressant de l’apprendre, et nous pourrions même avoir, mais oui !, de formidables surprises, tant demeurent, pour le moment, nos ignorances sur les filiations précises de ces assez nombreux Rey d’Algérie (à Orléansville, Oran, Alger…) ; à commencer, surtout, par les filiations, tant d’ascendance que de descendance, de Marie-Louise Rey (l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron) et d’Aimée-Laurence Rey (l’épouse de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, la discrète « Mme Vve Gadel » du faire-part de décès de « Mme Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron« , paru dans l’édition du 2 janvier 1939 de L’Écho d’Alger)…

Et j’ai pu découvrir aussi que, pour la déclaration à l’hôtel de ville d’Oran, du décès de Jean-Anatole Rey (à l’âge de 45 ans), ce furent ses deux beaux-frères Gentet _ frères de l’épouse décédée du défunt : Adélaïde _, Frédéric Gentet (alors âgé de 44 ans _ d’après son livret militaireil est né à Blida le 22 avril 1846 ; et ses parents Laurent Gentet et Anne-Marie Schwartz ne se marièrent que le 21 janvier 1852 à Orléansville…_) et Louis Gentet (âgé de 35 ans _ il est né le 12 octobre 1853, à Orléansville, m’apprendra son livret militaire le 30 mars 2021... _), tous deux négociants liquoristes à Oran, qui se chargèrent de la démarche : les frères et sœurs Frédéric, Adélaïde et Louis Gentet étaient enfants de Laurent Gentet (né à Satolas, en Isère, en 1821) et son épouse Anna-Marie Schwartz (née à Saint-Jean-Rohrbach, en Moselle, en 1822) _ le couple s’était marié à Orléansville le 22 janvier 1852. Je signale au passage, et par ailleurs, qu’Alexis de Tocqueville a raconté avoir rencontré, à Bône, le 18 décembre, lors de son voyage en Algérie en 1846, un colon nommé Gentet (Laurent, né à Satolas en 1821) lui avoir déclaré être arrivé en Algérie en 1837 (à l’âge de 16 ans, si l’on compte bien)

Et si jamais Adélaïde Gentet et Jean-Anatole Rey, tous deux prématurément décédés, à Oran, aux âges respectifs de 31 et 45 ans, ont laissés des orphelins, on peut se demander lesquels de leurs parents Rey ou Gentet, à Oran ou à Orléansville, prirent en charge ces orphelins Rey, en 1890 : telle est la question qui me travaille _ et je découvrirai bientôt que ce fut l’oncle maternel Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), domicilié à Orléansville…

Ce qui me permet de bien comprendre désormais _ et c’est là un acquis important de cette recherche _ la présence conjointe de membres des familles Gentet et Gadel sur la plupart des faire-part de mariage, naissance et décès, des membres de la branche « algéroise – algérienne » de la famille Ducos du Hauron, comme, par exemple, lors du décès (à Alger, lors de vacances de Noël), à la toute fin de l’année 1938, d’Eveline Ducos du Hauron, l’épouse de Henri Ducros, l’administrateur adjoint de Dupleix : Eveline étant précisément une des filles de Marie-Louise Rey et Amédée Ducos du Hauron…

De même que de mieux me représenter, aussi, le tropisme qui a pu conduire Victor-Nicolas-Benjamin Gadel _ ce marseillais natif du Grand Serre, dans la Drôme, le 8 juillet 1872 _, à venir en Algérie, et à Orléansville, épouser, le 9 mars 1905, l’orléansvillaise _ une sienne cousine Rey ? Oui ! _ Aimée-Laurence Rey _ fille du frère Jean-Anatole-Firmin Rey (né au Grand-Serre, le 10 juin 1845) de sa mère, Marie-Eugénie-Hortense Rey (née au Grand-Serre le 21 mars 1848). Même si j’ignore pour le moment _ mais cela va bientôt venir… _ l’exacte place de celle-ci au sein de la constellation familiale des Rey. De même que j’ignore la place qu’occupe en cette même constellation des Rey, Marie-Louise Rey _ remarque similaire : les découvertes se produisent peu à peu, par connexions en réseau…

Une prochaine étape _ voilà _ de cette recherche sera donc de préciser les places de Marie-Louise Rey et d’Aimée Laurence Rey dans la constellation familiale des Rey, Gentet, Gadel et Ducos du Hauron _ et autres familles alliées, telles les Bure, les Rencurel, les Ferrand, etc. _, en cette Algérie du siècle qui court entre 1840 et 1940…

C’est peu à peu, step by step, que nous progressons en cette passionnante recherche généalogique. Et certaines boucles commencent de se boucler pour le chercheur un peu curieux de ces généalogies familiales assez effacées des mémoires aujourd’hui…

Ce mercredi 30 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà.

Les découvertes se succèdent et s’articulent entre elles progressivement, avec un peu de patience dans le questionnement et les réponses successives de la recherche.

Ce mercredi 1er décembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

D’autres données des livrets militaires des plus proches parents d’Amédée Ducos du Hauron : son frère Gaston, son beau-père Anatole Rey, l’oncle de son épouse Marie-Louise Rey, Louis Gentet (ainsi que les frères de celui-ci : Frédéric et Laurent-Jacques Gentet, ainsi que son neveu : Eugène-Laurent Gentet), et son gendre Henri Ducros (ainsi que les frères de celui-ci : Edmond et Alphonse-Léon Ducros)…

31mar

Poursuivant mon exploration des livrets militaires d’Algérie sous la IIIe République, juqu’en 1918,

je vais détailler ici quelques apports de connaissance, d’après leurs livrets militaires, concernant les plus proches parents _ masculins, forcément ! _ d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, juillet 1935) ayant passé leur conseil de révision en Algérie :

son frère Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) ;

son beau-père Anatole Rey (Le Grand-Serre, 10 juin 1845 – Oran, 28 janvier 1890) _ époux et veuf d’Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) _ ;

l’oncle (et tuteur) de son épouse Marie Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906) _ ainsi que ses frères Frédéric Gentet (Blida, 28 avril 1846 – ?,?), Laurent-Jacques Gentet (Orléansville, 8 octobre 1857 – ?,?) ; et son neveu Eugène-Laurent Gentet (Alger, 20 septembre 1882 – ?,?) _ ;

son gendre _ époux de sa fille aînée Éveline Ducos du Hauron (?, ? – Alger, décembre 1938) _ Henri Ducros (Alger, 25 juin 1887 – ?,?) _ ainsi que ses frères Edmond Ducros (Alger, 29 octobre 1889 – ?,?) et Alphonse-Léon Ducros (Azazga, 8 juillet 1896 – ?,?).

Du livret militaire d’Étienne-Gaston Ducos du Hauron, le frère cadet d’Amédée,

je retiens surtout que le départ d’Algérie et retour en France de Gaston s’est produit entre les dates du 7 mars 1898, quand Gaston était alors domicilié à Alger, rue de l’Échelle _ qui reliait deux portions de la rue Rovigo ; rue Rovigo, où résidaient ses parents, au n° 68… _, et du 24 avril 1899, où Gaston était maintenant domicilié à Charenton, 31 rue de Saint-Mandé…

Mais aussi qu’à la date du 21 janvier 1897 Gaston est mentionné avoir été domicilié à Orléansville : pour quel événement familial ?  La célébration du mariage de son frère aîné Amédée avec l’orléansvilloise Marie-Louise Rey ? Peut-être : c’est tout à fait possible…

Ou bien encore la naissance ou le baptême, à Orléansville, d’un enfant de son frère : par exemple la fille de celui-ci et son épouse Marie-Louise, Éveline, dont on ignore tout jusqu’ici de ses date et lieu de naissance : assez probablement Orléansville… 

Du livret militaire de Jean-Anatole Rey, feu le beau-père d’Amédée,

je retiens la mention de la date de son déplacement d’Orléansville, où il avait été maire, à Oran, où il fut adjoint au maire : le changement de domiciliation a eu lieu le 29 novembre 1883… 

Des livrets militaires des trois frères Gentet : Frédéric Gentet, Louis Gentet et Laurent-Jacques Gentet ; ainsi que du fils de ce dernier, Eugène-Laurent Gentet,

je n’osais pas, bien sûr, attendre y découvrir enfin l’identité précise de « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter« , qui me permettrait de relier la famille Gentet, via les Wachter et les Confex aux Bonopéra qui aussi m’intéressent, dans le microcosme attachant d’Orléansville entre 1850 et 1940 :

les livrets militaires étant assez étrangement muets sur les mariages contractés, ainsi que les naissances d’enfants, de ceux dont ils s’efforcent pourtant de scrupuleusement mentionner les domiciles successifs : afin d’être à même de les convoquer avec efficacité en cas de mobilisation des réservistes…

Et pour ce qui concerne le livret militaire de Henri-Bavolet Ducrosl’époux d’Eveline Ducos du Hauron et gendre d’Amédée et Marie Louise,

d’abord je découvre ici son second prénom, Bavolet ;

ainsi que ses lieu et date de naissance : le 25 juin 1887, à Alger ;

et surtout je peux confronter ce qui apparaît ici de son parcours professionnel comme administrateur-adjoint de communes mixtes d’Algérie _ le même emploi dans l’administration que celui de son beau-père Amédée ; auquel, d’ailleurs, pour son tout premier poste, en la commune-mixte de Sidi-Aïssa, Henri Ducros prit la succession, le 6 janvier 1913, de son beau-père Amédée Ducos du Hauron _ avec ce que j’avais pu en établir en mon article du mercredi 6 janvier dernier :  

Et j’ai aussi confirmation,

par les livrets militaires d’Edmond Ducros et Alphonse-Léon Ducros,

de la parenté effective de ces trois frères Ducros _ ainsi que de leur sœur Marthe Ducros _,

dont les parents Henri-Joseph Ducros et Philomène Roussel étaient domiciliés à Azazga (commune mixte du Haut-Sebaou)…

Voilà donc pour ce jour…

Ce mercredi 31 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

En suivant la lecture du faire-part de décès d’Eveline Ducos du Hauron : qui sont ses frères et sa belle-soeur ?

17jan

En continuant ma lecture du faire-part de décès de Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron, paru dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939 

_ « M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants, MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger ; Mme Jacquet ; Mme Vve Gadel et ses enfants ; les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure, vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri DUCROS, née Eveline DUCOS du HAURON. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité, le 1er janvier 1939.«  _,

et après Henri Ducros et ses enfants,

j’en arrive ici aux frères et la belle-sœur de la défunte.

De la fratrie des au moins 5 enfants _ à la charge, en 1927, de ce retraité de la fonction publique, qu’était Amédée Ducos du Hauron, ancien rédacteur à la Préfecture d’Alger au terme de sa carrière _ d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse née Marie-Louise Rey,

et outre, bien sûr, la défunte de ce faire-part de décès, Eveline Ducos du Hauron,

n’apparaissent ici que les deux noms de Gérard et Roger Ducos du Hauron ;

auquel est adjoint, aussitôt en suivant, le nom de « Madame Jacquet« …

Gérard-Yves-Alcide Ducos du Hauron est né le 30 août 1909 à Berrouaghia, où son père Amédée occupait un poste d’administrateur-adjoint de la commune mixte ;

et est décédé à Avignon, le 27 janvier 2000.

Au moment des obsèques de sa sœur aînée Eveline, le 1er janvier 1939,

Gérard Ducos du Hauron n’était pas encore officiellement marié avec celle qui deviendra son épouse le 25 novembre 1939, à Alger _ cf mon article du 4 janvier dernier : _, Madame Jacquet, née Célestine-Léontine Noiraux (Haraucourt, Ardennes, 12 novembre 1893, Cavaillon, 29 juillet 1972).

Mais celle-ci était déjà sa compagne ; et cela explique la place de cette « Madame Jacquet » dans le faire-part de décès de sa quasi belle-mère. Ces décès à Avignon, en 2000, et à Cavaillon, en 1972, résultent de l’installation probable en Provence de Gérard Ducos du Hauron et son épouse au moment du grand rapatriement en France de la plupart des Français qui vivaient jusqu’alors en Algérie.

Et je comprends en ce phénomène l’installation aussi dans le département du Vaucluse d’un des neveux de Gérard : Yves-Henri Ducros _ le fils survivant de sa sœur Eveline, né à Port-Gueydon le 31 mai 1930 _, qui vient de décéder, à l’âge de 90 ans, le 1er décembre 2020, et lui aussi à Avignon : Yves Ducros demeurait à Monteux, dans le département du Vaucluse, lui aussi.

Sur Roger Ducos d Hauuron, ma moisson de data est encore (très mince : j’ignore ses lieux et dates de naissance, de mariage (avec une épouse prénommée Sylvia) et de décès.

Je sais seulement qu’il est venu, lui, s’installer à Savigny-sur-Orge, mais pas à l’ancien domicile de son grand-père Alcide, de son grand-oncle Louis, et de son oncle Gaston du Hauron.

Et que lui et son épouse ont eu quatre enfants : Marie-José Sylvia Ducos du Hauron (née à Alger le 4 avril 1944, et décédée le 28 décembre 2009 à Langrolay sur-Rance, où elle est inhumée) ; Jean-Louis Ducos du Hauron, Danièle Ducos du Hauron et Denise Ducos du Hauron…

Au tout début de la recherche,

je m’étais demandé d’abord si la « Mme Vve Gadel » qui suit ces deux frères ainsi que la quasi belle-sœur de la défunte Eveline, pouvait être, elle aussi, une belle sœur d’Eveline.

Avant que je comprenne que celle-ci était en fait sa tante maternelle,

c’est-à-dire la sœur cadette, née Aimée-Laurence Rey, de sa défunte mère, née Marie-Louise Rey

_ même si continuent encore de me manquer les lieux et dates de naissance de celles-ci _,

toutes deux, Marie-Louise et Aimée-Laurence, étant les filles orphelines d’Anatole Rey (Le Grand Serre, 11 janvier 1845 – Oran, 28 janvier 1890) et Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1786) ;

et très probablement demeurées aux bons soins, à Orléansville, de leur oncle maternel Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 9 août 1906) _ le 28 janvier 1890, Louis et Frédéric Gentet étaient allés ensemble déclarer à la mairie d’Oran le décès de leur beau-frère Anatole Rey… _ :

jusqu’à leurs mariages, l’aînée, Marie-Louise, avec Amédée Ducos du Hauron _ j’ignore à quelle date _, et la cadette, Aimée-Laurence, avec Victor-Nicolas-Benjamin Gadel : à Orléansville le 9 mars 1905…

Les liens familiaux demeuraient puissants ;

jusqu’au choix des prénoms donnés aux enfants…

J’ai encore bien du pain sur la planche ; mais, step by step, j’avance…

Ce dimanche 17 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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