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Suite des précisions à éclaircir à propos des croisements de quelques familles orléansvillaises et puis alliées, à la fin du XIXe siècle et au début du suivant, jusqu’en les années 40, en commençant par les Gentet ; ou un pan de micro-histoire de l’Algérie méconnue…

09fév

Dans la continuité de mon article d’avant-hier 7 février « « ,

je me penche ce jour sur les venues à Orléansville, fondée en 1843 par le général Bugeaud, des familles qui s’y sont ensuite alliées entre elles,

en commençant par la famille des Gentet _ originaires de Satolas, tout au nord de la Drome, et dont la présence à Orléansville même est attestée dès 1848 ; cf le détail des précisions en mon article «  » en date du 1er janvier 2021… _ avec des Rey, puis avec un Ducos du Hauron (Amédée) et des Gadel (Victor-Nicolas-Benjamin, mais avant lui déjà son père Victor-Alexandre-Philémon Gadel) _ ces Rey dont sont en effet issus les Gentet-Rey-Ducos du Hauron, via le mariage (probablement en janvier 1897 à Orléansville) entre Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933) et Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935), ainsi que les Gentet-Rey-Gadel, via le mariage, le 11 mars 1905 à Orléansville, entre Aimée-Laurence Rey (probablement née à Orléansville, et probablement décédée à Alger…) et Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Le Grand-Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930), lui-même fils de Marie-Eugénie-Hortense Rey (Le Grand-Serre, 21 mars 1848 – Le Grand-Serre, 9 septembre 1880) et Victor-Alexandre-Philémon Gadel (Tarascon, 12 octobre 1836 – Marseille, 27 septembre 1927) ; cf mes articles « «  en date du 1er décembre 2021, et « « , en date du 6 mars 2021, dans lequel est présenté la sororité de Marie-Eugénie-Hortense Rey, née au Grand-Serre le 21 mars 1848, avec son frère aîné Jean-Anatole-Firmin Rey, né au Grand-Serre le 11 janvier 1845 : le marié Victor Gadel est ainsi, par sa mère née Rey, le cousin germain de la mariée Aimée-Laurence Rey (cf mon article « «  en date du 1er décembre 2021)… _,

 

mais aussi les Gentet et les Wachter, ainsi que les Morand de La Genevray et les Bonopéra,

et pas mal d’autres encore, tels les Ferrand, les Bure, les Ducros,

aux alliances desquels, avec notamment, et surtout, des Wachter _ issus du mariage, à Mustapha, le 26 mai 1857, entre Élisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925) et Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – probablement Orléansville, à une date encore inconnue de moi) ; ce couple Wachter dont une des filles deviendra, le 2 août 1906, à Orléansville, la veuve de Louis Gentet ; et dont une des sœurs Confex (d’Élisabeth) deviendra, le 18 janvier 1916, la veuve de Paul Bonopéra-père (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916), cette veuve Paul Bonopéra là (née Confex), survivant à sa sœur Élisabeth Confex, veuve Wachter, décédée à Alger le 30 mars 1925, ainsi que le remarque bien la nécrologie de cette dernière, parue dans Le Progrès d’Orléansville du 2 avril 1925 _, ainsi qu’entre ceux-ci, à Orléansville ou dans ses alentours, je me suis forcément intéressé…

Et cela afin de mettre bien en lumière le lien d’apparentement _ par la dame Wachter (et nièce d’Élisabeth Confex), veuve de Louis Gentet, le tuteur de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron et mère de ses enfants, ainsi que d’Aimée-Laurence Rey, l’épouse de Victor Gadel et mère de ses enfants ; dame Wachter veuve Gentet qui se trouve être aussi la nièce de la veuve de Paul Bonpéra-père : ce qui justifie la présence de ce nom de Bonopéra dans les avis des décès ayant affecté la famille Ducos du Hauron et la famille Gadel… _ entre la famille orléansvillaise des Bonopéra avec la branche algérienne-algéroise de la famille Ducos du Hauron _ mon focus originaire de recherche _,

comme il vient de m’avoir été très aimablement demandé de préciser par Matthias Bonopéra…

 

Bien sûr, et forcément, à suivre : c’est passionnant,

en particulier par ce que cela apprend _ en forme de micro-histoire… _, de la vie d’intimité chaleureuse et partagée de ces communautés villageoises de la période coloniale de l’Algérie, entre 1830 et 1940…

Ce vendredi 9 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et puis la relecture-révision développée de l’article du 2 janvier 2021 : « Hypothèses sur les identités et filiations de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron, et Aimée-Laurence Rey, l’épouse (puis veuve) de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel ; ou la question des chaînons manquants dans la constellation des Ducos du Hauron, Gadel, Gentet et Rey… »…

01déc

Toujours en continuant mes relectures-révisions, avec corrections et ajouts,

de ma série de début de recherches (entre le 2 décembre 2020 et le 3 janvier 2021) à propos de l’environnement familial de Louis Ducos du Hauron,

j’en viens maintenant à mon article du 2 janvier 2021 : 

Ce qui donnne ceci :

Quelles leçons tirer de ma découverte d’hier (1er janvier 2021) du contenu du faire-part de décès de « Madame Veuve Laurent Gentet« , paru dans Le Progrès d’Orléansville le 8 décembre 1904 ?

Cf mon article d’hier : « « …

Moi qui m’intéresse aux liens qui ont pu se nouer, en Algérie, entre les familles Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, etc.

_ ainsi que Rey : un nom, toutefois, bien moins présent dans les faire-part de décès accessibles sur le web… _ (cf mon article du 30 décembre 2020 : « « ),

je ne pouvais bien sûr pas demeurer indifférent et insensible à l’antériorité _ de 3 mois : décembre 1904 – mars 1905 _ de la manifestation du lien des Ducos du Hauron (d’Algérie) aux Gentet et aux Rey, sur la manifestation du lien apparu de ces mêmes Ducos du Hauron (d’Algérie) aux Gadel,

telle que la révèle à l’attention, cette antériorité, le détail du faire-part de décès _ un décès survenu à Orléansville le 4 décembre 1904 _ d’Anne-Marie Schwartz, la veuve de Laurent Gentet _ un faire-part d’où est absente (pour l’heure) la mention de la famille Gadel : il s’en faut donc à peine de trois mois… _,

sur ce que donnait à percevoir du lien d’apparentement des Ducos du Hauron (d’Algérie) avec les Gadel, l’annonce _ sans faire-part des familles, cette fois ; du moins un faire-part qui nous soit aisément accessible sur le web : seulement une brève annonce (minimale !) de la publication de ce mariage Gadel-Rey dans le journal local d’Orléansville, Le Progrès… _ du mariage, et toujours à Orléansville _ décidément la ville décisive de cette constellation familiale des Rey-Gentet-Ducos du Hauron-Gadel _, et le 9 mars 1905 _ soit à peine trois mois après le décès le 4 décembre 1904 d’Anne-Marie Schwartz, la veuve de Laurent Gentet le fondateur de la lignée (né à Satolas, en 1821), et qui selon une note de Tocqueville, que Laurent Gentet a croisé, à Bône, le 18 décembre 1846, serait présent en Algérie depuis 1837, soit dès l’âge de 16 ans… ; Tocqueville le qualifiant de « colon«  _, de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, avec Aimée-Laurence Rey…

Ce sont les Rey _ du Grand-Serre (tout au nord du département de la Drôme) _ qui en se liant _ par le mariage (et probablement, eux aussi, à Orléansville, et autour de 1875…) d’Anatole Rey et Adélaïde Gentet _ aux Gentet d’Algérie _ ces Gentet qui venaient, dès 1837, de Satolas (dans l’extrême nord-ouest du département de l’Isère) ; Le Grand Serre et Satolas étant des villages proches géographiquement, et tous deux situés en Dauphiné : les Gentet et les Rey étaient abonnés au Bulletin de l’Union des Dauphinois et des Savoisiens du département d’Oran, en 1895… _,

ont ainsi constitué le maillon qui a pu commencer de réunir aussi,

via le double mariage de Marie-Louise Rey avec Amédée Ducos du Hauron _ mariage qui a très probablement eu lieu à Orléansville, et assez antérieurement à ce décès de « Madame Veuve Laurent Gentet«  en décembre 1904 : c’est en effet le 4 juillet 1904, à Lamartine, qu’est née la petite Edmée, fille du couple Amédée Ducos du Hauron – Marie-Louise Rey ; Edmée qui n’est probablement pas le premier enfant de ce couple ; ce doit être plutôt la petite Eveline, dont j’ignore pour le moment la date et le lieu de naissance… _et d’Aimée-Laurence Rey avec Victor-Nicolas-Benjamin Gadel _ à Orléansville, le 9 mars 1905 _,

les Ducos du Hauron (d’Algérie) _ soit la famille d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey _ et les Gadel (d’Algérie) _ soit la famille de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et son épouse Aimée-Laurence Rey…

Une alliance désormais manifeste dans nombre de faire-part (de décès, de mariage, et même parfois de naissance) _ ou de simples avis dans les presses locales d’Alger (L’Écho d’Alger) ou d’Orléansville (Le Progrès) _, des Ducos du Hauron et des Gadel, ainsi que de quelques familles alliées,

telle la nombreuse famille des Bure _ ainsi le jeune Robert-Victor-Eugène Gadel (né en 1906 ; et fils de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et son épouse Aimée-Laurence Rey) a-t-il épousé la jeune Irène Bure le 22 décembre 1927 à Alger…

J’ai remarqué aussi la quasi permanente association des noms de Gentet et Gadel dans les faire-part de décès, mariage et naissance de cette constellation familiale des Ducos du Hauron – Gentet – Gadel, par rapport à la quasi absence du nom de Rey :

probablement parce que _ à la possible exception de la famille de Denis Rey, installée à Malakoff _, les divers Rey présents à Orléansville et sa région, n’ont pas de lien de parenté avec cette famille Rey originaire du Grand-Serre, du nord du département de la Drôme…

Et je me demande même, et surtout !, si Marie-Louise _ âgée de 54 ans lors de son décès le 20 septembre 1933, elle est donc née en 1879 _ et Aimée-Laurence _ quel âge pouvait-elle bien avoir lors de son mariage le 11 mars 1905 ? Peut-être juste 18 ans, si il s’avérait que celle que je suppose être sa mère, était décédée en lui donnant le jour : le 5 juillet 1886, à Oran… Victor-Nicolas-Benjamin, le mari

(né le 8 juillet 1872, au Grand-Serre, le berceau de cette famille Rey : c’est au Grand-Serre qu’était venue accoucher de lui sa mère Marie-Eugénie-Hortense Rey, la sœur cadette de Jean-Anatole-Firmin Rey…)

d’Aimée-Laurence ; et lui, a 32 ans ce 11 mars 1905… _,

toutes deux Rey,

ne sont pas tout simplement _ voilà ! _ sœurs ;

et les filles, tôt orphelines de leurs parents _ ainsi auraient-elles pu être recueillies par leur oncle orléansvillais Louis Gentet, un des deux frères aînés (l’autre est Frédéric) d’Adélaïde Gentet _, lesquels parents pourraient être Adélaïde Gentet _ que je suppose donc être leur mère (Adélaïde Gentet est décédée à Oran le 5 juillet 1886) _ et son époux Jean-Anatole-Firmin Rey _ que je suppose être leur père (Anatole Rey est décédé à Oran le 28 janvier 1890)…

Marie-Louise serait ainsi devenue orpheline de son père à l’âge de 10 ans ;

et Aimée-Laurence, à l’âge de 3 ans et demi…

Leur oncle maternel et éventuel tuteur, Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 9 août 1906) était marié

et a eu des enfants.

Et je peux ajouter un fait tout à fait important qui vient magnifiquement à l’appui de ces diverses hypothèses « orléansvillaises » autour des années 1896 – 1905 ;

un fait tel qu’il est sobrement _ c’est-à-dire administrativement _ rapporté par le journal La Politique coloniale dans son numéro du 31 janvier 1901 :

« M. Ducos du Hauron, rédacteur à la sous-préfecture d’Orléansville _ voilà ! Amédée a, lui aussi, et durablement, séjourné, ces années-là, à Orléansville ! Par exemple, et selon son livret militaire, à la date du 18 avril 1895 ! Une autre date possible pour son éventuel mariage, à Orléansville, avec Marie-Louise Rey ; en concurrence avec la date du 21 janvier 1897 attestant de la présence en ce même Orléansville de son frère Gaston Ducos du Hauron, mentionnée sur le livret militaire de ce dernier… À creuser… La date exacte de ce mariage, à Orléansville, d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey, est le mercredi 10 juin 1896, ainsi que la donne Le Progrès d’Orléansville daté du 13 juin 1896 (ajout du 22 février 2024) _, est nommé adjoint à l’Ouarsenis, en remplacement de M. Dupuis« …

Information à comparer avec le libellé du faire-part de décès d’Amédée Ducos du Hauron, tel qu’il est paru dans le numéro du 13 août 1935 de L’Écho d’Alger, dans lequel est indiqué ceci :

« Les familles Ducos du Hauron, Ducros, Gadel et leurs parents vous font part du décès de leur regretté M. Amédée Ducos du Hauron, rédacteur principal de préfecture _ tel est donc son titre final officiel _ en retraite. Les obsèques ont eu lieu le 15 juillet 1935″…

Et à ces divers minces éléments attestant la présence en ces années 1895 – 1901 d’Amédée Ducos du Hauron à Orléansville,

vient s’ajouter aussi la mention, en un numéro en date du 15 mai 1898 de la Revue du Touring-Club de France, d’un envoi, d’Algérie, de « 3 vues de la mosquée d’Orléansville : Don de M. Ducos du Hauron« .

1895 – 1901 : voilà de quoi fixer un premier cadre spatio-temporel à la rencontre d’Amédée Ducos du Hauron (né à Agen en 1867) et de Marie-Louise Rey (née en 1879, et probablement à Orléansville _ Orléansville, ville dont son père présumé, Jean-Anatole-Firmin Rey, a été nommé maire _ voilà ! _ en 1880, avant de quitter Orléansville, ville sous-préfecture, fin 1882 ou début 1883, pour Oran, ville préfecture, où Anatole Rey devient alors le 20ème maire d’Oran _ voilà ! _ ; cf l’information qu’en donne le 13 décembre 1882 le journal Le Midi : « le conseil municipal d’Oran a élu maire M. Rey, propriétaire« . Et Anatole deviendra, en 1886, le 2éme adjoint du maire suivant, Floréal Mathieu, par lequel nouveau maire Anatole, devenu alors 2e adjoint, a été « spécialement chargé de la direction des services de l’assistance publique et de la police municipale« . Et le 16 juillet 1889, un bulletin de la République française fera mention de l’attribution à Anatole Rey d’une Médaille d’Or de 2e classe : pour avoir « montré le plus grand dévouement pendant l’épidémie variolique qui a sévi en 1888 à Oran« . Cette épidémie oranaise dont on a pu dire qu’elle avait servi de référence à La Peste d’Albert Camus, dont le cadre est Oran…

Il se pourrait ainsi que la raison, autre que professionnelle _ matrimoniale ? _, du choix d’Amédée Ducos du Hauron de demeurer en Algérie, quand tous les autres membres de sa famille, son oncle Louis, ses parents Alcide et Césarine-Marie, et son frère Gaston Ducos du Hauron, regagnaient la France _ en 1896  pour Louis, qui s’installe au 27 de la rue des Batignolles, à Paris, dans le 17e arrondissement, au mois d’octobre 1896 ; probablement un peu plus tard pour Alcide, son épouse Cézarine-Marie de Fourcauld, leur autre fils Gaston (qui se marie à Saint-Mandé le 8 janvier 1898 ; mais que le livret militaire mentionne résidant à Alger, rue de l’Echelle, le 7 mars 1898) ; ainsi que leurs deux filles Marguerite et Alice ; tout cela méritant d’être exploré de bien plus près… _, concerne cette relation matrimoniale à Marie-Louise Rey… _ aussi, suis-je impatient de découvrir la date et le lieu du mariage d’Amédée et Marie-Louise ;

de même que les lieux et dates des naissances de chacun de leurs enfants, au cours de leur périple administratif dans diverses communes de l’Algérie de cette époque de la colonisation ;

et je dois dire aussi, au passage, que me manque une carte géographique un peu précise pour mieux me repérer (un besoin qui m’est fondamental !) sur les emplacements de ces villes et villages, qui, (outre la sous-préfecture d’Orléansville, en 1901, au départ de ce périple, et la préfecture d’Alger, en 1919, à l’arrivée) avaient alors les noms, et pour les occurrences auxquelles j’ai réussi à accéder sur le web, de L’Ouarsenis (1901), Le Cheliff (1901), Lamartine (1904), Berrouaghia (1909), Sidi-Aïssa (1912), Mizrana (1913), Rébeval (1913), Tablat (1914), L’Arba (1914), Cassaigne (1919), avant l’affectation, en 1919 (selon ce qu’en rapporte le numéro du 22 février 1919 de L’Écho d’Alger), à la préfecture d’Alger : « par permutation«  « dans l’intérêt du service«  avec « M. Renaud Paul, rédacteur principal de 1e classe à la Préfecture d’Alger » ;

je rapporte in extenso ici ce précieux document : « en date du 20 février 1919, M. Ducos du Hauron, administrateur-adjoint de 1e classe en disponibilité, est réintégré dans le service des communes mixtes, et désigné pour la commune mixte de Cassaigne, en remplacement de M. Croizier, précédemment nommé à Trezel. M. Renaud Paul, rédacteur principal de 1e classe à la Préfecture d’Alger, est nommé, dans l’intérêt du service, administrateur-adjoint de 1e classe à Cassaigne, par permutation avec M. Ducos du Hauron« 

Me repérer dans l’espace (et secondairement dans le temps : tant celui des trajectoires individuelles et familiales des personnes, que celui de l’Histoire générale et universelle) constitue une base primordiale et même indispensable _ voilà _ à ma représentation du réel : tout petit, c’est avec passion que j’adorais déchiffrer, en compagnie de mon cher grand-père, les cartes des atlas de géographie… Un goût-passion (de l’orientation) qui ne m’a plus quitté.

C’est donc bien là, à Orléansville, et alors, plus ou moins autour de 1896 _ et même avant, puisqu’à la date du 18 avril 1895, est mentionnée, déjà, la présence d’Amédée à Orléansville, inscrite sur son livret militaire... _ – 1901 _ au moment de sa première nomination comme administrateur-adjoint : à l’Ouarsenis ; cf aussi mon important article du 5 janvier 2021 :  … _, qu’Amédée Ducos du Hauron a pu faire la connaissance de Marie-Louise Rey, qu’il allait bientôt épouser _ j’en ignore à ce jour la date _et qui sera la mère d’au moins les 5 enfants que son épouse et lui avaient à charge, en 1927, à Rébeval, au moment de la retraite de la fonction publique d’Amédée _ cf l’article d’un journal parisien reproduit dans L’Écho d’Alger du 4 mars 1927, que j’ai donné dans mon article du 15 décembre dernier : _deux garçons :  Gérard _ né à Berrouaghia le 30 août 1909 ; et qui décèdera à Avignon le 27 janvier 2000 _ et Roger _ j’ignore son lieu et sa date de naissance _et trois filles : Eveline _ j’ignore son lieu et sa date de naissance _, Edmée _ née à Lamartine le 9 juillet 1904 ; soit cinq mois avant le décès, le 4 décembre 1904, d’Anne-Marie Schwartz à Orléansville et une troisième _ dont j’ignore encore même le prénom…

Et on comprend bien ainsi la présence, juste après la mention des « familles Gentet et Rey« , et juste avant la mention de la « famille Yungmann » soit le nom de famille de la mère d’Anne-Marie Schwartz : Anne-Marie Jungmann, épouse de Pierre Schwartz : les deux parents d’Anne-Marie  Schwartz (veuve de Laurent Gentet) ; « Yungmann«  étant le nom le nom légèrement francisé des frères et neveux et nièces de la défunte de ce 4 décembre 1909 à Orléansville, Anne-Marie Schwartz _de la mention, et justement à cette place, de la « famille Ducos du Hauron« 

(soit, très précisément, la famille formée par Amédée Ducos du Hauron, son épouse Marie-Louise, née Rey, ainsi que leur(s) premier(s) enfant(s) : probablement Eveline, et, en tout cas et au moins, Edmée_ née donc, à Lamartine, le 9 juillet 1904 _ ; mais pas encore Gérard, qui naîtra à Berrouaghia le 30 août 1909 ; ni Roger, dont j’ignore la date et le lieu de naissance…),

sur le faire-part de décès de « Madame Veuve Laurent Gentet, née Anne-Marie Schwartz » :

les Ducos du Hauron faisant désormais bien partie (et probablement depuis plusieurs années déjà…) de la famille _ orléansvillaise _ des Rey et des Gentet…

Quant à la « Mme Vve Gadel« , suivie de ses enfants,

présente (et présents) sur le faire-part de décès de « Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron » que publie le numéro de l’Écho d’Alger du 2 janvier 1939,

juste après « M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants, MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger, Mme Jacquet« 

et juste avant « les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure » 

qui tous « font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron » _ dont les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939, et probablement à Alger… _,

sa place en ce faire-part du 2 janvier 1939 se justifie pleinement parce que, elle qui est née _ possiblement à Oran, et avant le 5 juillet 1886, quand décède sa mère… _ Aimée-Laurence Rey, se trouve être la tante maternelle de la défunte Eveline Ducos du Hauron, c’est-à-dire la sœur de la mère de celle-ci, la déjà défunte _ à Agen, le 20 septembre 1933 _ Marie-Louise Rey, elle-même épouse du défunt _ à Alger, le 15 juillet 1935 _ Amédée Ducos du Hauron, le père d’Eveline…

Eveline était donc la nièce directe d’Aimée-Laurence Rey ;

et la cousine germaine des enfants _ et petits-enfants _ Gadel de celle-ci….

Telle est ainsi mon hypothèse à propos de Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey

à ce jour…

Bien entendu, cette enquête est à suivre…

Et les pièces du puzzle viennent peu à peu s’abouter les unes aux autres.

Ce samedi 2 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Soit une mise au point et à jour nécessaire et assez importante…

Ce mercredi 1er décembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et relecture, avec de menues modifications, de l’article du 1er janvier 2021 : « L’éloquent faire-part de décès de « Madame Veuve Laurent Gentet », paru dans Le Progrès d’Orléansville le 8 décembre 1904 ; ainsi que les remerciements des familles Gentet, Rey, Ducos du Hauron et Yungmann… »…

01déc

Et toujours dans l’élan de mes relectures-reprises, avec corrections et ajouts, des articles du début de ma recherche (du 2 décembre 2020 au 3 janvier 2021) à propos de l’environnement familial de l’inventeur Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

je continue ce travail de révision,

maintenant pour l’article du 1er janvier 2021,  :

Eu égard à mes deux précédents articles des 30 et du 31 décembre derniers (  et ), dans lesquels je centrais ma focale sur le mariage à Orléansville, le 9 mars 1905, de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et Aimée-Laurence Rey ;

mariage, probablement sous les auspices d’un des membres, orléansvillais, de la famille Gentet _ famille orléansvillaise depuis 1848, n’allais-je pas tarder à apprendre… _ ;

en l’occurrence Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 9 août 1906), beau-frère du défunt oncle maternel du fiancé Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, dont la mère, Marie-Eugénie-Hortense Rey était la sœur _ je venais de le découvrir _,

je veux dire Jean-Anatole-Firmin Rey,

qui au moment de son décès, à Oran, le 28 janvier 1890 était 2ème adjoint au maire d’Oran, « spécialement chargé de la direction des services de l’assistance publique et de la police municipale« d’Oran ;

Jean-Anatole-Firmin Rey dont l’épouse _ je venais de le découvrir aussi ! _ était l’orléansvillaise Adélaïde Gentet (décédée à Oran le 5 juillet 1886), elle-même fille des orléansvillais Laurent Gentet (Satolas, 2 avril 1821 – Orléansville, après le 30 juillet 1881) et Anne-Marie Schwartz (Saint-Jean Rohrbach, 1822 – Orléansville, 4 décembre 1904) ;

voici donc qu’en tâchant de bien étayer les données encore parcellaires et éparses que je possède, à ce jour, sur les divers membres de ces familles Rey et Gentet,

je tombe sur le très remarquable avis de « Remerciements » à la suite du décès _ survenu à Orléansville le 3 décembre 1904 : soit trois mois à peine avant le mariage de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et Aimée-Laurence Rey, à Orléansville, le 9 mars 1905 _ de « Madame Veuve Laurent Gentet, née Anne-Marie Schwartz« , et de ses obsèques, le 4 décembre, paru dans Le Progrès d’Orléansville le 8 décembre 1904.

Un avis de « Remerciements » qui comporte les noms réunis _ dès cette date de décembre 1904 ; et donc avant le mariage de Victor Gadel et Aimée-Laurence Rey à Orléansville le 9 mars 1905 _ des quatre familles des plus proches parents de la défunte : les Gentet, les Rey, les Ducos du Hauron et les Yungmann ;

et je dois bien constater que, à cette date du 8 décembre 1904, la réunion des noms des Ducos du Hauron, des Rey, ainsi que des Gentet, vient nous confirmer la réalité du mariage d’Amédée Ducos du Hauron et de Marie-Louise Rey ;

après l’avis de naissance de leur petite Edmée, née à Lamartine _ un village relativement proche d’Orléansville : 34 kilomètres ; créé en 1888 ; et aujourd’hui nommé El Karimia…  _  le 8 juillet 1904 (cf Le Progrès d’Orléansville du 8 septembre 1904).

« Remerciements.

Les familles GENTET, REY, DUCOS DU HAURON, YUNGMANN, adressent leurs plus sincères remerciements aux personnes qui ont bien voulu leur donner des témoignages de sympathie à l’occasion du deuil cruel qui vient de les frapper en la personne de Madame Veuve Laurent GENTET Née Marie Anne SCHWARTZ« .

Voici aussi ce très intéressant avis d’obsèques de « Mme Vve Laurent Gentet« , paru sur la même page du Progrès d’Orléansville du 8 décembre 1904 :

« Chronique locale. Nécrologies.

Dimanche dernier ont eu lieu, au milieu d’une assistance nombreuse, les obsèques de Madame Veuve Laurent Gentet.

La défunte était une des dernières survivantes des premiers Français venus en Algérie immédiatement après la conquête _ c’est tout à fait intéressant. Venus à Orléansville en 1848 _ après la naissance à Blida le 22 avril 1846 de leur fils aîné Frédéric Gentet, c’est à Orléansville que le 21 janvier 1852 se sont mariés Laurent Gentet et Anne-Marie Schwartz… _, les époux Gentet, par leur vaillance, leur labeur acharné, leurs habitudes d’ordre, étaient arrivés à se créer ici une situation enviable et honorablement acquise.

La foule nombreuse et attristée qui se pressait derrière son funèbre convoi, témoigne éloquemment des justes sympathies dont jouissait dans notre ville cette femme de bien.

A sa famille nous présentons l’expression de nos condoléances« .

Des documents tout à fait éloquents…

Ce vendredi 1er janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Cette fois,

mes modifications par rapport à l’article original du 1er janvier 2021, sont minimes…

Ce mercredi 1er décembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Relecture-révision de l’article du 31 décembre 2020 : « L’alliance, à Orléansville, le 11 mars 1905, des Gadel et des Rey, sous les auspices des Gentet : le mariage de Victor Gadel et d’Aimée Laurence Rey, et l’ombre protectrice de Louis Gentet… »

01déc

Toujours sur ma lancée de ma relecture-reprise, avec corrections et ajouts, des articles du début de ma recherche (du 2 décembre 2020 au 3 janvier 2021) à propos de l’environnement familial de l’inventeur Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

je continue ce travail de révision pour l’article du 31 décembre 2020,  :

En faisant un retour un peu synthétique sur mon article d’hier :

,

j’en arrive à cette prometteuse hypothèse-conclusion-ci _ provisoire : il me faudra bien sûr trouver de quoi en confirmer les thèses proposées… _ :

à la date du 9 mars 1905, et à Orléansville, Louis Gentet, qui vivait à Orléansville où il exerçait la profession de liquoriste et était aussi conseiller municipal _ c’est seulement un an et cinq mois plus tard, le 9 août 1906, que, Louis Gentet décèdera en cette même ville, à l’âge de 53 ans seulement _,  et qui était frère d’Adélaïde Gentet _ née à Orléansville en 1855 et décédée à Oran le 5 juillet 1886 _ et beau-frère de son époux Anatole Rey _ né au Grand-Serre le 10 juin 1845 et décédé à Oran le 28 janvier 1890 _, et se trouvait être aussi _ et encore _ oncle par alliance de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel,

puisque la mère de celui-ci, Marie-Eugénie-Hortense Rey _ née au Grand-Serre le 21 mars 1848, et décédée au Grand-Serre le 9 septembre 1880 _, était la sœur du beau-frère de Louis, l’oncle Anatole Rey,

en même temps que l’épouse du père de leur fils Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, Victor-Alexandre-Philémon Gadel _ Tarascon, 12 octobre 1835 – Marseille, 27 septembre 1927 _ ;

Louis Gentet, donc

_ son frère aîné Frédéric (né à Blida le 22 avril 1846) est répertorié, dans le numéro du 7-14 mars 1895 du Bulletin de l’Union des Dauphinois et des Savoisiens du département d’Oran (dans lequel bulletin les deux frères Gentet sont indiqués originaires de Satolas, en Isère) comme étant « propriétaire à Oran » ; quand Louis, lui, est répertorié comme « liquoriste à Orléansville«  : c’est la raison pour laquelle j’ai supposé l’orléansvillaise Aimée-Laurence Rey plus proche de l’orléansvillais Louis que de l’oranais Frédéric… _,

a plus que vraisemblablement dû être présent au mariage _ qui eut effectivement lieu à Orléansville où était domiciliée la mariée _, de son neveu par alliance _ via l’époux de sa sœur Adélaïde, Jean-Anatole Rey _ Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, avec la très probable _ ou plutôt très effective ! _ cousine de celui-ci _ et probablement, sinon nièce _ mais oui !!! _, du moins proche parente, du côté Rey, de l’oncle (des deux côtés) Louis Gentet… _, Aimée-Laurence Rey _ Louis Gentet étant devenu, en 1890, le tuteur légal de sa nièce orpheline de ses deux parents, Aimée-Laurence ; ainsi que de la sœur de celle-ci, Marie-Louise, bientôt épouse d’Amédée Ducos du Hauron, peut-être le 21 janvier 1897 ; cf la mention dans le livret militaire de Gaston Ducos du Hauron, de la présence ce jour-là, de celui-ci,  à Orléansville : peut-être pour assister à la célébration du mariage de son frère Amédée avec Marie-Louise Rey…

Telle est, du moins, en attendant une effective confirmation, l’hypothèse à laquelle je suis parvenu hier en mon effort d’un peu mieux situer la place d’Aimée-Laurence Rey au sein de la constellation familiale des Rey-Gentet-Gadel, et bientôt Ducos du Hauron ;

je veux dire la place de départ _ discrète, on peut le constater… _ de celle qui deviendra, à partir du 30 mars 1930, à Alger, la « Mme Vve Gadel » _ la grande majorité du temps sans mention hélas de ses prénoms et nom de jeune fille, Rey, comme si ceux-ci avaient carrément voulu être effacés… _ des faire-part de décès, mariage ou naissance, de sa plus ou moins étendue famille _ si bien que j’ai passé bien du temps, voilà, avant de parvenir à l’identifier en sa singularité d’Aimée-Laurence Rey…

Et je m’interroge tout à fait semblablement sur la place particulière qu’occupe Marie-Louise Rey _ de quels parents est-elle donc, d’abord, la fille ? _ dans cette même constellation familiale des Rey-Gentet-Gadel et Ducos du Hauron…

C’est passionnant d’avancer ainsi peu à peu, pas à pas,

dans le tâtonnement exploratoire toujours un peu hasardeux du jeu _ avec sa dose de sérendipité _ de la recherche…

À suivre, donc…

Ce jeudi 31 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Il est plaisant d’avancer ainsi dans sa patiente recherche…

Ce mercredi 1er décembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques précisions sur un des objets de ma recherche, à Orléansville, dans les années 20 et 30 : mieux approcher, peut-être enfin, l’identité de « Madame Veuve Paul Bonopéra mère », née Confex…

21avr

Suite à notre échange téléphonique _ avec Madame Aline Bonopéra _,

je vous confirme la recherche que je mène à propos de la veuve de Paul Bonopéra
(né à Miliana le 10 janvier 1856 et décédé à Orléansville le 18 janvier 1916, Paul Bonopéra – père fut conseiller municipal d’Orléansville de 1908 à son décès, en 1916),
qui fut donc la veuve de l’arrière-grand-père de Jean-Pierre Bonopéra, fils de Marcel et petit-fils de Paul-le-boulanger d’Orléansville…
 
« Mme Vve Paul Bonopéra mère » est présente dans divers faire-part de mariage ou de décès,
notamment de divers membres de la famille d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey ; famille à laquelle je m’intéresse,
à partir de l’inventeur de la « photographie de couleurs », Louis Ducos du Hauron…
 
 
Au décès de Georges Morand de la Genevraye, le 7 octobre 1935
(celui-ci étant le troisième des fils d’Auguste Morand de la Genevray _ qui fut maire d’Orléansville _ et de son épouse Marguerite Bonopéra, la sœur aînée de Paul Bonopéra),
« Madamme Veuve Paul Bonopéra mère » figure sur le faire-part de décès de son neveu Georges : elle vit donc toujours en 1935…
Marie-Louise Rey et sa jeune sœur Aimée-Laurence, elles, étaient filles d’Anatole Rey (1845 – 1890), qui fut lui aussi maire d’Orléansville, en 1880-1881, et de son épouse Adélaïde Gentet (1855 – 1886),
membre d’une famille Gentet présente à Orléansville depuis 1852 _ Tocqueville raconte avoir rencontré Laurent Gentet en 1837, du côté de Constantine…
 

Suite aux décès successifs de leurs parents Anatole Rey et Adélaïde Gentet en 1886 et 1890,
Marie-Louise Rey et sa sœur Aimée-Laurence ont été recueillies par leur oncle maternel Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 1906 ; qui fut lui aussi conseiller municipal d’Orléansville),
et son épouse, née Wachter (j’ignore encore son prénom) : celle-ci étant une des filles de Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 1836 – Alger, 1925).
 
Or cette dame « Veuve Louis Gentet, née Wachter » avait pour tante maternelle « Madame Veuve Paul Bonopéra – mère », née Confex :
au décès d’Elisabeth Confex, veuve Wachter, à Alger, le 30 mars 1925, « Madame Veuve Paul Bonopéra » est en effet qualifiée de « sœur de la défunte » ! 
 
De « Madame Veuve Paul Bonopéra », veuve donc de Paul, l’arrière-grand-père de J.-P. Bonopéra _ lequel, né à Orléansville le 2 novembre 1934, est fils de Marcel (1907 – 1992) et petit-fils de Paul-le-boulanger d’Orléansville (1878 – 1930) _,
j’ignore aussi, à ce jour, le prénom, la date et le lieu de naissance, ainsi que la date et le lieu de décès : après 1935, donc…
 
Peut-être M. Bonopéra peut-il m’aider en cette recherche d’identification de la veuve de son arrière-grand-père paternel…
 
 
Cette dame « Veuve Paul Bonopéra » n’était pas la mère des 6 fils de Paul Bonopéra (Jean, Paul, Alphonse, Auguste, Julien et Georges)
_ laquelle, mère effective, était Joséphine Girot (ou Giraud), née à Ténès en 1856 et décédée à Orléansville le 11 juillet 1892 ;
Mais, même si j’ignore encore à ce jour la date de son mariage avec Paul Bonopéra, cette dame, née Confex, fut bien sa veuve…
De même qu’après le décès de Georges Bonopéra, le 9 mars 1918, à Arbouans, près de Montbéliard, celle-ci est qualifiée _ improprement _ de « mère » du défunt ; du moins n’est-elle pas, en effet, sa mère biologique…
Car Georges Bonopéra, né à Rabelais le 21 février 1892, avait perdu très tôt sa mère Joséphine Girot : le 11 juillet 1892 ;
 
Voilà un résumé déjà un peu compliqué de l’objet de mon appel à M. Jean-Pierrre Bonopéra : m’éclairer peut-être sur sa mémoire familiale des Bonopéra d’Orléansville…
Et essayer d’identifier peut-être enfin
et  « Madame Veuve Paul Bonopéra, née Confex »,
et sa nièce « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter »…
 
Ma recherche avait pour objet, à son départ, au mois de décembre 2020, d’apprendre à connaître et comprendre l’environnement familial _ très aidant et réellement coopératif _ de l’inventeur, en 1868, à Lectoure, de la « photographie de couleurs », l’agenais Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920) ;
mais peu à peu je me suis plongé avec un très vif plaisir dans le labyrinthe de la vie, en Algérie, de son neveu Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1937),
et plus précisément, en même temps qu’un peu plus largement, dans le microcosme chaleureux de la vie à Orléansville, la ville des Rey et des Gentet, entre 1870 et 1940,
moi qui ne suis jamais allé en Algérie.

 

Ce mercredi 21 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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