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De premiers éléments de réponse sur les liens de parenté entre la défunte Marie Etcheveste (Chéraute, 1830 – Amélie-les-Bains, vers 1889) et ses divers héritiers présomptifs Noblet et Etchevest…

30oct

J’ai un peu progressé ce dimanche par rapport aux questions de mon article d’hier « « ,

car je suis parvenu à un peu mieux identifier certains liens familiaux existant entre la défunte Marie Etcheveste, veuve Bataille _ née à Chéraute en 1830, et décédée à Amélie-les-Bains, vers 1889 ; épouse à Chéraute le 16 mai 1853 de Jacques Bataille, né en 1826 à Real y Odeillo (Pyrénées Orientales), gendarme à cheval en résidence à Mauléon (Basses-Pyrénées en 1853) _, et quelques uns, sinon tous, de ses héritiers Noblet et Etchevest.

Marie Etcheveste, épouse_ puis veuve _ Bataille, née à Chéraute en 1830,

est en effet la troisième née, en 1830, des 6 enfants, nés entre 1826 et 1839, de Jean Etcheveste (sans domicile ni résidence connus depuis 1841) et son épouse Marie Espelette Larraburu (née à Chéraute en 1803) :

_ 1. Marie-Anne-Damasie Etcheveste (Chéraute, 1826), épouse à Chéraute le 11 février 1850 de Félix Noblet (Oloron, 29 juillet 1805 – Oloron, 24 juillet 1884) ;

parents d’au moins 3 enfants :

Marie-Louise Noblet _ professeur de musique à Oloron en 1890 _,

Marie-Berthe Noblet (Oloron, 19 mai 1860 – ? ?) _ modiste _,

et E. François Noblet (Oloron, 1868 – ? 1933 _ sans plus de précisions jusqu’ici… _) _ « mineur«  en 1889, ayant alors pour « tuteur datif » Jules Noblet, caissier à la Caisse d’Epargne d’Oloron en 1889 : de quel Noblet Jules Noblet est-il donc le fils ?

Sauf que ce n’est pas de Félix Noblet et son épouse Marie-Anne-Damasie Etcheveste (Chéraute, 1826 – ?, ?) que cet Ernest-François Noblet (Oloron, 2 septembre 1868 – ?, ?) est le fils, mais du cousin germain de Félix Noblet, Mathieu-César Noblet (Oloron, 11 mars 1839 – ?,?) et son épouse Marie Casenave (Oloron, 12 septembre 1837 – Oloron, 28 septembre 1887), dont cet Ernest-François Noblet est le second des 3 enfants, entre Victor-Clément Noblet (Oloron, 16 novembre 1865 – ?,?) et Justine Noblet (Oloron, 6 mars 1876 – ?,?), future épouse, à Oloron le 1er août 1895, d’Etienne-Gabriel Bourdeu (Paris, 32 juin 1868 – ?,?)… _ ;

_ 2. François Etchevest (Chéraute, 21 février 1827 – Chéraute, 9 mai 1875), époux à Chéraute le 20 février 1868, de Marie-Jeanne Espelette (Chéraute, 23 février 1839 – Chéraute, 12 septembre 1889) ;

..

parents de 2 enfants :

Hippolyte-Jean-Félix Etchevest (Chéraute, 13 août 1869),

et André Etchevest (Chéraute, octobre 1871 – Chéraute, 16 juillet 1872) ;

_ 3. Marie Etcheveste (Chéraute, 1830 – Amélie-les-Bains, vers 1889), épouse à Chéraute le 16 mai 1853 de Jacques Bataille (Real y Odeillo, 1826 – ? ?)_ le beau-frère oloronais professeur de musique Félix Noblet faisant partie, ce 16 mai 1853 à Chéraute, des quatre témoins des mariés… _un couple demeuré sans descendance directe ;

_ 4. Barnabé Ricardo Clément Etchevest (Chéraute, 5 avril 1834 – Gotein-Libarrenx, 2 novembre 1890), époux à Chéraute le 18 juillet 1865 de Marie Serbielle (Chéraute, 1845 – ) ;

parents de 6 enfants :

François Etchevest (Chéraute, 21 mai 1869 – ? ?), 

Magdeleine Etchevest (Chéraute, 22 septembre 1873 – ? ?),

Marie Etchevest (Chéraute, 31 janvier 1875 – ? ?),

Marie-Jeanne Etchevest (Chéraute, 9 mai 1876 – ? ?),

Marie Etchevest (Chéraute, 5 juillet 1878 – Chéraute, 2 août 1879),

et Marianne Etchevest (Chéraute, 12 janvier 1880 – Chéraute, 17 janvier 1880) ;

_ 5. Marie-Louise Etchevest (Chéraute, 29 mars 1839 – ? ?), épouse à Chéraute le 27 avril 1860 de Jean Sathicq (L’Hôpital – Saint-Blaise, 4 juin 1829 – ) ;

parents de 3 enfants :

Louis-Raymond Sathicq (Chéraute, 21 juin 1861 – ? ?),

Marie-Damasie Sathicq ( Chéraute, 13 janvier 1865 – Chéraute, 12 mai 1865),

et Marie-Françoise-Philomène Sathicq (Chéraute, 24 février 1867 – ? ?) ;

_ 6. Bernard Etchevest (Chéraute, 1839 – ? ? _ possiblement frère jumeau de Marie-Louise… _), époux à Barcus (?) de Lucine Inchauspé (Barcus, 1844 – ? ?) ;

parents de Félicie Etchevest (Barcus, 21 décembre 1884 – ? ?).

On comprend un peu mieux ainsi le litige survenu entre les divers neveux et nièces héritiers de la défunte Marie Etchevest, veuve Bataille, en 1889-1890 :

Clément et Bernard Etchevest, d’une part,

versus

Marie-Louise Noblet, François Noblet, Félix Etchevest, Paul Noblet, Auguste Noblet, Berthe Noblet, Valentine Noblet, Nina Noblet et Marie-Louise Noblet veuve Sathicq, d’autre part ;

même si nous continuons d’ignorer la situation de parenté de Paul, Valentine, Nina et Marie-Louise Noblet au sein de cette constellation familiale des Noblet d’Oloron…

À suivre…

Ce dimanche 30 octobre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Deux questions (autour de François Noblet : 1868 – 1933) à propos de mes présentes recherches généalogiques sur les Bioy et les Noblet à Oloron…

26oct

Voici le courriel que je viens d’adresser à Bruno Lucbéreilh,

auteur d’une précieuse généalogie familiale des Lucbéreilh, Montaut, Noblet et Bioy, d’Oloron,

qui m’avait bien aidé en mes propres recherches généalogiques l’été 2018 _ cf mon article du 10 août 2021 : «  » ; et cf surtout la généalogie établie par Bruno Lucbéreilh…_ :

Cher Monsieur Lucbéreilh,

Tout d’abord, j’espère que vous-même et les vôtres vous portez bien
depuis les contacts que nous avons eus, à propos de la généalogie des Bioy d’Oloron, l’été 2018, il y 4 ans déjà…
Ma cousine Françoise Morin-Bioy et moi-même avons organisé à Bordeaux une semaine consacrée à notre cousin Adolfo Bioy (du 7 au 11 octobre 2019)…
 
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Mais aujourd’hui, c’est sur E. François Noblet, que je recherche des précisions,
lui qui était le mari d’Anna Bioy (Oloron, 11 août 1877 – Biscarrosse, 23 avril 1962), mariés à Oloron le 24 novembre 1929 ;
et qui sont les parents de Jules-Xavier Noblet (Oloron, 25 février 1922 – La-Teste-de-Buch, 7 mai 2008) _ pharmacien à Biscarrosse _,

et sa sœur Marie-Amélie « Mimi » Noblet (Oloron, 20 juillet 1923 – Oloron, 20 avril 1003), épouse à Oloron de Robert-Emile Erize (Oloron, 18 novembre 1921 – Oloron, 19 août 1984).
Dans la généalogie que mon cousin Jacques Bioy a rédigée, il indique « E. François Noblet, 1868 – 1933 ».
…œ
Vous serait-il possible d’apporter davantage de précisions sur ces lieux et dates de naissance et de décès  de François Noblet ?..
Et pourriez-vous indiquer qui sont les deux parents de ce François Noblet, qui épousera Anna Bioy à Oloron le 24 novembre 1929 _ cette date de mariage en 1929 étant postérieure aux dates de naissance des deux enfants du couple : Jules Xavier Noblet est né à Oloron le 25 février 1922 ; et sa sœur Marie-Amélie (dite « Mimi ») Noblet, est née à Oloron le 20 juillet 1923. Cette date de 1929 est donc peut-être fautive : à vérifier…
 
Il s’agit là, assez probablement, de Félix Noblet (Oloron, 29 juillet 1805 – Oloron, 24 juillet 1884) et son épouse Marie-Anne-Damasie Etchevest (Chéraute – 1826 – peut-être Amélie-les-Bains, vers 1890, veuve d’un nommé Bataille _ non ! pour cette date et ce lieu de décès de l’épouse de Félix Noblet, je confondais là l’épouse de Félix, Marie-Anne-Damasie Etchevest, avec la sœur de celle-ci, Marie Etcheveste (Chéraute, 2 juillet 1829 – Amélie-les-Bains, 6 octobre 1889), qui a épousé à Chéraute le 16 mai 1853 le gendarme à cheval Jacques Bataille, en résidence à Mauléon au moment de leur mariage ; âgé à cette date de 27 ans, Jacques Bataille était né, vers 1826, à Real y Odeillo, département des Pyrénées-Orientales ; ajout du 31 octobre 2022 _),
qui s’étaient mariés à Chéraute le 11 février 1850… ;
mais, peut-être aussi, du cousin germain de Félix, Mathieu-César Noblet (Oloron, 11 mars 1839 – ?) et son épouse Marie Casenave (Oloron, 12 septembre 1837 – Oloron, 28 septembre 1887),
mariés à Oloron le 27 janvier 1865…
Félix Noblet est en effet fils de Pierre-Joseph Noblet (Oloron, 25 novembre 1773 – Oloron, 10 février 1837) et son épouse Catherine Vidal (Metz, 9 décembre 1770), 
mariés à Oloron le 23 avril 1803 ;
alors que son cousin germain Mathieu-César Noblet est fils, lui, de François Noblet (Oloron, 26 juillet 1785 – Oloron, 5 janvier 1864) et sa seconde épouse Marie Lasclottes (Eysus ? – ??),
mariés à Eysus le 8 octobre 1835.
Les frères Pierre-Joseph Noblet et François Noblet étant tous les deux fils de Jacques-Guillaume Noblet (c. 1742 – 3 mai 1775) et son épouse Geneviève Bioy (Bidos, 3 janvier 1746 – Oloron, 9 mai 1838),
mariés à Oloron le 27 juin 1769.
Geneviève Bioy (1746 – 1838) et Anna Bioy (1877 – 1963) sont donc deux demoiselles Bioy ayant épousé deux Noblet :
la première, Jacques-Guillaume Noblet (Saint-Geniez d’Olt, 28 juillet 1742 – Oloron, 3 mai 775), à Oloron le 27 juin 1769 ;
et la seconde, E. François Noblet (Oloron, 1868 – ? , 1933), à Oloron le 24 novembre 1929
 
 
Voilà ce sur quoi présentement je bute en mes actuelles recherches généalogiques sur les Bioy et les Noblet à Oloron ;
et il se trouve que la généalogie des Lucbéreilh, Montaut, Noblet et Bioy que vous m’aviez adressée l’été 2018, me demeure toujours très précieuse…
Très cordialement,
Francis Lippa, à Bordeaux
Ce mercredi 26 octobre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

La co-présence à la Estacion Erize, au cours des deux premières décennies du XXe siècle des frères Antoine, Paul et Xavier Bioy, et leurs cousins Erize…

24oct

Ma confrontation hier dimanche 23 octobre _ cf mon article « «  _ des livrets militaires, créés en 1892, 1898 et 1901, des 3 frères Bioy : Antoine (Oloron, 9 juin 1872 – Buenos Aires, 31 août 1950), Paul (Oloron, 25 avril 1878 – 6 décembre 1954) et Xavier (Oloron, 20 août 1881 – Hérrère, 10 septembre 1950),

avec les mentions de diverses domiciliations _ en France et en Argentine _ des intéressés,

m’a permis de constater leur co-présence, en certaines des années d’entre 1900 et 1914, de ces 3 frères Bioy, en ce même lieu (de la province de Buenos Aires) où certains de leurs cousins Erize s’étaient précédemment créé de vastes propriétés, et avaient même fondé la désormais dénommée « Estacion Erize« ..

 

Ce lundi 24 octobre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Une remise à jour de mon article d’enquête sur les liens de Résistance entre Pierre de Bénouville et les Portmann, père et fils (Georges et René), à partir de mes rencontres au siège de Jakintza à Ciboure samedi 1er octobre dernier…

07oct

Suite à ma venue à Ciboure et au siège de l’Association Jakintza samedi dernier 1er octobre 2022,

et à ma rencontre notamment avec Xavier Larramendy, mais aussi Paul Badiola, Guy Lalanne et Jean-Michel Sallaberry,

et suite à mon article d’hier jeudi 6 octobre « « ,

j’ai procédé ce vendredi 7 octobre 2022 à une remise à jour _ augmentée et précisée _ de mon article du 27 septembre 2014 «  « ,

en mettant bien en évidence, en rouge, et en précisant davantage la part prise, au mois d’avril 1944, par Pierre Larramendy (Saint-Jean-de-Luz, 17 juin 1908 – Saint-Jean-de-Luz, 30 juin 1987988 – 1987), le propriétaire de l’Hôtel du Golf de Chantaco,

mais aussi la participation du secrétaire de la mairie d’Ascain de l’époque, en 1944, François Bertrand (Ascain, 22 mars 1897 – Ascain, 18 novembre 1972), l’oncle maternel de Guy Lalanne, le président et fondateur de Jakintza, à Ciboure,

à l’expatriation vers l’Espagne (et Alger…), via des sentiers escarpés au flanc de la Rhune, du Résistant, membre de Combat, Pierre de Bénouville (Amsterdam, 8 août 1914 – Paris 17e, 4 décembre 2001), traqué alors par le Gestapo ;

et en revenant aussi, en rouge, sur les liens de protection entre le Professeur Georges Portmann (Saint-Jean-de-Maurienne, 1er juillet 1890 – Sainte-Eulalie, 24 février 1985) et mon père, le Docteur Benedykt Lippa (Stanislawow, 11 mars 1914 – Bordeaux, 11 janvier 2006), qui avait été son Assistant en ORL à la Faculté de Médecine de Bordeaux _ mon père a eu aussi des activités de Résistance à Oloron, dès le mois de juillet 1942, selon son « Etat des Services » (18e RI _ Direction du Service de Santé) du 29 mai 1945, à Bordeaux ; et cela alors qu’il était « Travailleur Etranger«  au 182e GTE du camp de Gurs, par conséquent), auprès de l’oloronais Jean Bonnemason (Gère-Bélesten, 29 novembre 1894 – Oloron, 8 décembre 1955) ; cf le détail de mon article du 20 août 2019 «  « 

Bien des questions demeurent encore en suspens ;

et bien des recherches demeurent toujours à réaliser…

Ce vendredi 7 octobre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

De Chantaco et la Rhune, à Navarrenx, Gurs, Oloron et le Pic du Midi d’Ossau : d’une généalogie et une histoire à une autre…

06oct

Ma rencontre, samedi dernier 1er octobre à Ciboure,

au siège de l’Association Jakintza, sur le lieu même _ au rez-de-chaussée de la Maison San Estebania, dite désormais Maison Maurice Ravel _ où Marie Delouart donna le jour, le 7 mars 1875, au petit Maurice Ravel,

avec Xavier Larramendy,

fils de Pierre Larramendy (Saint-Jean-de-Luz, 17 juin 1908 – Saint-Jean-de-Luz, 30 juin 1987 _ ville dont celui-ci fut un très grand maire, de 1961 à 1971, où il réalisa de très importants et splendides travaux, dont la création du vaste et très réussi quartier Urdazuri, sur les bords de la Nivelle ; de même, le 24 août 1967, Pierre Larramendy, éminent mélomane, participa à la fondation de l’Académie Internationale de Musique Maurice Ravel _) ;

Xavier Larramendy, donc, fils de Pierre Larramendy,

le maître, en avril 1944 _ à une date où les Allemands occupaient la majeure partie, mais pas la totalité, de l’Hôtel… _, du magnifique Hôtel du Golf de Chantaco _ les parents de Pierre, Étienne Larramendy (1873 – 1943) et son épouse née Marie Dardisquy (1877 – 1942) étaient récemment décédés, en juillet 1943 et novembre 1942 _, où Pierre Larramendy sut héberger et cacher, lors de son passage, les 7 et 8 avril _ cf mon article très fouillé du 27 septembre 2014 « «  _, le Résistant Pierre de Bénouville _ Pierre Larramendy était venu le prendre en charge le 6 avril, à Tarbes… _ s’enfuyant alors vers l’Espagne afin de gagner Alger y rejoindre le général de Gaulle,

_ j’ai consulté à nouveau le superbe « Chantaco De la commune de Serrès à Saint-Jean-de-Luz et Ascain« , de Jakintza, paru en 2019 aux Éditions La Geste, qui figure en ma bibliothèque ; avec, entre autres richesses, un instructif chapitre, passionnant, par Joxet Lahetjuzan, aux pages 21 à 28, intitulé « La « Nivelle », ses noms locaux, populaires, indigènes, de voisinage« qui m’a ramené en pensée, et en remontant le cours ondoyant et capricieux de la Nivelle, au sublime bucolique paysage, de verdure toute bruissante de ruisseaux et fontaines, d’« Urdazubi« , ce paisible petit village navarrais (du pays saretar…) d’Urdax, où nous avons passé une heure délicieuse l’après-midi de ce même samedi, après (sur le conseil avisé et expert de Guy Lalanne) un très réjouissant repas au restaurant Azketa-Jatetxea, à Zugarramurdi ; avec, bien sûr aussi, un saut à la spectaculaire immense Grotte des Sorcières, où de partout, là encore, l’eau affleure et ruisselle _,

m’a fait me retourner en pensée vers les mouvements de Résistance aussi de la région de Navarrenx (et du camp de Gurs) et d’Oloron,

où vécut et séjourna, pour l’essentiel, et à son corps défendant de « T.E. » _ au 182e GTE du camp de Gurs _, mon père, médecin _ élève de Georges Portmann _, entre juin 1942 et septembre 1944,

et me fait rabouter plusieurs horizons de montagnes

comportant en beau _ fond _ de perspective

la même continue, étalée,  sereine et lumineuse, par-dessus des nuages, « ligne des Pyrénées » ;

qui me rappelle aussi « Le Chemin des Pyrénées » de Lisa Fittko,

sur lequel nous croisons aussi, en 1940 et 1941, à Gurs, puis à Lourdes, Hannah Arendt et Walter Benjamin…

Ce jeudi 6 octobre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

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