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Et encore un autre très beau CD déniché parmi les soldes : le CD « Elgar & Walton – Cello Concertos » du violoncelliste Steven Isserlis avec le Philharmonia Orchestra dirigé par Paavo Järvi, pour Hyperion, enregistré à Londres en novembre 2014 et avril 2015…

12juil

Et encore un autre très beau CD déniché parmi les soldes :

le CD Hyperion CDA 68077 « Elgar & Walton – Cello Concertos » du violoncelliste Steven Isserlis avec le Philharmonia Orchestra dirigé par Paavo Järvi, pour le label Hyperion, enregistré à Londres en novembre 2014 et avril 2015…

Dont voici un très pertinent commentaire, sous la plume de Pierre-Jean Tribot, intitulé « Violoncelle concertant à l’anglaise« , paru sur l’excellent site de Crescendo le 19 avril 2016 _ il y a déjà huit ans _ :

Violoncelle concertant à l’anglaise

LE 19 AVRIL 2016 par Pierre Jean Tribot

Sir Edward Elgar
(1857 – 1934)


Concerto pour violoncelle, Op.85


Gustav Holst
(1874 – 1934)


Invocation H75, Op.2


Sir William Walton
(1902 – 1983)


Concerto pour violoncelle


Imogen Hoslt
(1907 – 1984)


The Fall Of The Leaf


Steven Isserlis, violoncelle, Philharmonia Orchestra, dir. : Paavo Järvi


2014 & 2015 -DDD – 73’01.

Notice de présentation en anglais, français et allemand

 

Hyperion CDA 68077



Le violoncelliste anglais Steven Isserlis _ né à Londres le 19 décembre 1958 _ propose un beau panorama de la musique concertante de ses compatriotes. En tête d’affiche, on trouve le binôme porte-drapeau des concertos insulaires : ceux d’Edward Elgar _ Lower Broadheath, 2 juin 1857 – Worcester, 23 février 1934 _ et William Walton _ Oldham, 29 mars 1902 – Ischia, 29 mars 1983. Cependant, avec Steven Isserlis, qui plus est accompagné par Paavo Järvi _ né à Talinn le 30 décembre 1962 _, on savait que l’on pouvait s’attendre à une relecture anti-traditionnaliste ! Nous ne sommes pas déçus !
Considéré comme la dernière grande œuvre achevée par Elgar, le Concerto pour violoncelle (1919) sonne de manière nostalgique comme un adieu vers un monde passé, disparu dans les ruines tristes et encore fumantes de la Première Guerre Mondiale. Cependant, nombre d’interprètes limitent cette partition à un remix romantique trop sirupeux et souvent ennuyeux ! Steven Isserlis expurge la partition de sentiments pour en faire un grand moment de pure musique _ voilà ! _ alors qu’à la tête d’un Philharmonia acéré et allégé, Paavo Järvi dynamique l’accompagnement orchestral _ oui. La musique d’Elgar sort dramatisée de cette lecture implacable et exemplaire par sa tension nerveuse _ oui. Du Concerto de Walton, Steven Isserlis et Paavo Järvi retiennent le lyrisme et la motorique au service d’une conception tranchée et haletante, dans la droite ligne du style de ce compositeur. En complément de programme, le violoncelliste propose deux belles miniatures : Invocation de Gustav Holst _ Cheltenham, 21 septembre 1874 – Londres, 25 mai 1934 _ et The Fall Of The Leaf d’Imogen Holst _ Richmond, 12 avril 1907 – Aldeburgh, 9 mars 1984 _, la fille du compositeur des Planètes, deux partitions chères _ en effet _ à Steven Isserlis. Parfaitement enregistré, cet album au couplage logique s’affirme comme une nouvelle référence aux côtés des lectures de Yo-Yo Ma/André Previn (Sony) et Janos Starker/Leonard Slatkin (RCA), pour se limiter à des interprètes proposant un concept éditorial centré sur Elgar et Walton. Il faut saluer par ailleurs l’excellente notice de présentation _ oui _ écrite par Steven Isserlis lui-même.


Pierre Jean Tribot

Son 10 – Livret 10 – Répertoire 10 – Interprétation 10  

Une bien belle interprétation, nette, de bien belles œuvres.

Ce vendredi 12 juillet 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Rappel ému de l’infiniment touchant « In memoriam Lars Vogt » de Christian et Tanja Tetzlaff (et Paavo Järvi) sur un programme Brahms-Viotti-Dvorak : dédié à l’amitié indéfectible…

22jan

Ce lundi 22 janvier 2022,

sous la plume de Patrice Imbaud, et sous le titre de « Double Concerto de Brahms, Viotti et Dvořák : In Memoriam Lars Vogt« ,

le site ArsMusica revient nous rappeler l’émotion profonde du CD Ondine ODE 1423-2 « Brahms-Viotti-Dvorak- In memoriam Lars Vogt« 

évoquée dans mon précédent article «  » du jeudi 12 octobre 2022.

Double Concerto de Brahms, Viotti et Dvořák : In Memoriam Lars Vogt

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Dédié à la mémoire du pianiste et chef d’orchestre Lars Vogt disparu l’an dernier, cet enregistrement réunit ses amis Paavo Järvi, Christian et Tanja Tetzlaff dans un bel et émouvant hommage musical associant le Double Concerto de Brahms, le Concerto pour violon n° 22 de Viotti et Silent Woods de Dvořák.

S’appuyant sur un instrumentarium atypique et probablement inspiré de façon lointaine du Triple Concerto de Beethoven, le Double Concerto pour violon et violoncelle de Johannes Brahms fut composé en 1887 dans un souci non avoué de réconciliation du compositeur avec son ami le violoniste Joachim qui en assura d’ailleurs la création. Paavo Järvi à la tête du Deutsches Symphonie-Orchester Berlin, Christian et Tanja Tetzlaff nous en livrent, ici, une interprétation typiquement brahmsienne, passionnée, fougueuse, joliment nuancée et parfaitement équilibrée, empreinte de complicité.

On sait combien Brahms appréciait le Concerto pour violon n° 22 de Giovanni Battista Viotti (1755-1824) qu’il avait notamment entendu interprété par Joseph Joachim et dont Christian Tetzlaff nous donne une interprétation légère, élégante, presque galante, virtuose, cantabile et poétique transcendée par un accompagnement orchestral très coloré, ardent et d’une remarquable clarté.

Admiration réciproque et amitié caractérisaient le lien solide existant entre Johannes Brahms et Antonín Dvořák, on ne s’étonnera donc pas que ce programme construit autour de Brahms, de l’amitié et du souvenir s’achève sur le très nostalgique Silent Woods pour violoncelle et orchestre. Une courte pièce initialement conçue pour piano à quatre mains, composée lors de la tournée d’adieu du compositeur avant son départ pour le Nouveau Monde, arrangée secondairement pour violoncelle et orchestre en 1893, toute imprégnée du lyrisme douloureux de l’exil dont Tanja Tetzlaff offre une lecture vibrante en totale symbiose avec l’orchestre (vents). Magnifique point final à ce disque du souvenir !

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Johannes Brahms (1833-1897) : Double concerto pour violon, violoncelle et orchestre en la mineur op. 102.

Giovanni Battista Viotti (1755-1824) : Concerto pour violon n° 22 en la mineur.

Antonín Dvořák (1841-1904) : Silent Woods (Bois silencieux) op. 68.

Christian Tetzlaff, violon ; Tanja Tetzlaff, violoncelle ; Deutsches Symphonie-Orchester Berlin, direction : Paavo Järvi.

1 CD Ondine. Enregistré du 21 au 23 décembre 2022 à la Radio de Berlin.

Notice de présentation en anglais et en allemand.

Durée : 61:00

Mais il me faut signaler aussi le très bel article d’hommage, et précisément intitulé « Hommage », de Jean Charles Hoffelé sur son site Discophilia, en date, lui, du 2 décembre 2023,

consacré à ce même superbe CD Ondine ODE 1423-2 « In memoriam Lars Vogt »  :

HOMMAGE

« In Memorian Lars Vogt » indique discrètement une notation au bas du recto. Une photographie du pianiste, tête penchée, yeux clos, comme à l’écoute, orne le verso du livret où Tanja et Christian Tetzlaff en conversation avec Friederike Westerhaus évoquent leur longue amitié avec le pianiste. Est-ce l’ami que semblent pleurer la violoncelliste puis le violoniste en phrasant avec tant d’ombres, de tels soupirs, leurs premières interventions ? Emouvant en tous cas _ certes… _, et indiquant d’emblée qu’en accord avec Paavo Järvi, ils feront pencher ce concerto-ballade _ Op. 102 : créé le 18 octobre 1887 à Cologne, avec les deux dédicatoires, Joseph Joachim au violon et Robert Haussmann au violoncelle _ vers une prégnante nostalgie _ très brahmsienne, fondamentalement _, proposition qui me semble inédite dans la discographie relativement modeste de l’œuvre si on la compare à celle des trois autres opus concertants _ les deux Concertos pour le piano, Op.15 (créé le 22 janvier 1859 à Hanovre, avec Brahms lui-même au piano) et Op. 83 (créé le 9 novembre 1881 à Budapest, avec à nouveau Brahms lui-même au piano), et le Concerto pour le violon, Op. 77 (créé le 1er janvier 1879 à Leipzig, avec Joseph Joachim au violon)…

Les couplages pourraient sembler partiellement étonnants, non pour le Waldesruhe d’Antonín Dvořák, joué comme en rêve _ oui _ par Tanja Tetzlaff, mais du côté Viotti. Sembler seulement, Brahms chérissait _ personnellement _ l’œuvre et encouragea Joachim à la jouer, Christian Tetzlaff la sauve de cette virtuosité un peu tapageuse dont l’encombrait Isaac Stern, son archet lyrique magnifie le discours complexe de cette œuvre où deux mondes semblent se mirer : l’Adagio mozartien _ voilà _ s’entoure d’Allegros capricieux ou tempétueux, un romantisme s’y affirme, qui n’aura pas échappé à l’auteur du Requiem allemand.

LE DISQUE DU JOUR

Johannes Brahms
(1833-1897)


Concerto pour violon et
violoncelle en la mineur,
Op. 102


Giovanni Battista Viotti(1755-1824)


Concerto pour violon et orchestre No. 22 en la mineur,
G. 97


Antonín Dvořák (1841-1904)


Waldesruhe (No. 5, extrait de « De la forêt de Bohème, Op. 68, B. 133 »

Christian Tetzlaff, violon
Tanja Tetzlaff, violoncelle
Deutsches Symphonie-Orchester Berlin
Paavo Järvi, direction

Un album du label Ondine ODE1423-2

Photo à la une : Paavo Järvi, entouré de Christian Tetzlaff et Tanja Tetzlaff – Photo : © DR

Un superbe « In memoriam Lars Vogt » dédié à l’amitié indéfectible.

Ce lundi 22 janvier 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un bouleversant très intense et somptueux CD « Brahms – Viotti – Dvorak – In memoriam Lars Vogt », de ses amis de toujours Christian et Tanja Tetzlaff, avec Paavo Järvi dirigeant le Deutsches Symphonie-Orchester Berlin, sur le thème idoine de l’indéfectible amitié : pour Lars Vogt, en hommage…

12oct

Comme en suite vraiment idéale à mon article d’hier 11 octobre « « ,

ce jeudi 12 octobre,

me bouleverse au plus intime le très intense hommage musical à Lars Vogt (Düren, 8 septembre 1970 – Erlangen, 5 septembre 2022) de ses amis de toute une vie, Christian (Hambourg, 29 avril 1966) et Tanja (Hambourg, 1973) Tetzlaff,

le CD Ondine ODE 1423-2, enregistré à Berlin les 21-22-23 décembre 2022, « Brahms – Viotti – Dvorak – In memoriam Lars Vogt » _ écoutez-en ici ces extraits (d’une durée de 5′ 22) _ de Christian et Tanja Tetzlaff et Paavo Järvi dirigeant le Deutsches Symphonie-Orchester Berlin :

en l’occurrence

le double Concerto pour violon, violoncelle et orchestre en la mineur Op. 102 (de 1887) , de Johannes Brahms (Hambourg, 7 mai 1833 – Vienne, 3 avril 1897) écoutez ici le 1er mouvement Allegro (de 16′ 16), ici le 2d mouvement Andante (de 6′ 35), et ici le 3e mouvementent Vivace non trop (de 8’07) : c’est somptueux !

Or, cette œuvre est très intimement liée à l’amitié de Johannes Brahms et Joseph Joachim  (Kittsee, près de Bratislava, 28 juin 1831 – Berlin, 15 août 1905) : Brahms devait écrire initialement un concerto pour violoncelle pour son ami Robert Hausmann. S’étant accroché avec un autre ami de longue date (depuis leur rencontre en 1853, à Hanovre), le violoniste Joseph Joachim, à la suite de son difficile divorce, en 1884 (Brahms avait pris la défense de son ex-femme, Amalie Schneeweiss (Maribor, 10 mai 1839 – Königsfeld, 3 février 1899) : Joseph et Amalie s’étaient mariés le 10 juin 1863, et avaient 6 enfants), le compositeur en profita pour dédier également à Joseph Joachim son œuvre dans le but d’une réconciliation qui lui tenait très à cœur. La première de ce somptueux double concerto eut lieu à Cologne le 18 octobre 1887 avec l’Orchestre du Gürzenich sous la direction du compositeur, Johannes Brahms, avec comme solistes les deux dédicataires, le violoniste Joseph Joachim et le violoncelliste Robert Hausmann _,

le Concerto pour violon et orcheste N° 22 en la mineur W22/G. 97 (de 1793-95), de Giovanni-Battista Viotti (Fontanetto Po, 18 mai 1755 – Londres, 3 mars 1824) _ il se trouve en effet que le double concerto de Johannes Brahms intègre de très près cette œuvre de Viotti, composée en cette tonalité de la mineur, qui est aussi celle du double concerto de Brahms de 1887 : le livret du CD en précise les détails… _,

et « Silent Woods » Op. 68 n°5 (de 1883-93), d’Antonin Dvorak (Nehalozeves, 8 septembre 1841 – Prague, 1er mai 1904) _ 5éme pièce de l’Op. 68 B.133 pour piano à 4 mains « De la Forêt de Bohème« , un opus commandé par l’éditeur Fritz Simrock, cette pièce (intitulée « Klid« , en tchèque : « Le Silence« …) fut transcrite par Dvorak pour violoncelle et piano (B.173) le 28 décembre 1891, en l’honneur du violoniste Ferdinand Lachner et du violoncelliste Hanuš Wihan qui partaient pour les États-Unis ; l’arrangement devint très vite si populaire que Dvorak en fit une nouvelle transcription, cette fois pour violoncelle et orchestre (B. 182), réalisée le 28 octobre 1893 ; et lors de sa publication en 1894, l’éditeur Fritz Simrock modifia le titre initial donné par Dvorak en 1883, « Le Silence« , pour celui de « Le Silence des bois«  _, ici en la version pour violoncelle _ en l’occurrence celui de Tanja Tetzlaff _ et orchestre, 

en un programme consacré au thème _ absolument idoine _ de l’indéfectible amitié _ celle qui a uni Johannes Brahms et Joseph Joachim autour, aussi, de ce Concerto pour violon -ci de Viotti, comme en témoigne le double concerto en la mineur de 1887 ; comme celle qui continue d’unir pour jamais à Lars Vogt Christian et Tanja Tetzlaff _

ainsi que l’explicitent les 7 pages de l’entretien de Tanja et Christian Tetzlaff avec Frederike Westerhaus, intitulé « Un grand trésor continue d’habiter toujours le cœur« , dans le livret de ce somptueux très intense et émouvant CD Ondine…

Il me faut ajouter encore que l‘idée même de ce superbe CD d’Hommage à Lars Vogt vient du chef d’orchestre Robin Ticciati, ami proche lui aussi de Lars Vogt et de Christian et Tanja Tetzlaff, selon ce que confie d’entrée du livret du CD, page 3, Christian Tetzlaff.

Et c’est donc Robin Ticciati, chef du Deutsches Symphony-Orchester Berlin depuis 2017 _ avec lequel Christian Tetzlaff a réalisés pour le label Ondine les deux superbes enregistrements des CDs 1334-2 « Beethoven – Sibelius » et 1410-2 « Brahms – Berg » _, qui devait tenir la baguette du DSO Berlin, au mois de décembre 2022, pour ce CD d’hommage au cher ami Lars Vogt. Mais la maladie de Robin Ticciati l’en empêchant, c’est à un autre ami, très proche, lui aussi, de Lars Vogt, Paavo Järvi, qu’il a été fait très amicalement appel pour diriger le DSO de Berlin…

Mais j’ai j’ai déjà eu l’occasion de dire combien Lars Vogt était apprécié, comme pianiste et comme chef, et aimé, comme personne éminemment humaine, de ses confrères chefs d’orchestre et musiciens _ cf mon article du 6 septembre 2022 : « « , dans lequel je faisais part de l’hommage très ému de François-Xavier Roth par lequel celui-ci avait ouvert son concert Berlioz à l’église Saint-Jean-Baptiste de Saint-Jean-de-Luz, le soir même du décès, le 5 septembre 2022, de Lars Vogt…

Un CD d’hommage à Lars Vogt, et à la force de l’amitié, réellement merveilleux…

Ce jeudi 12 octobre 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Le CD à paraître du Concerto pour alto de Jörg Widmann, avec Antoine Tamestit

16fév

Le 23 février prochain, paraît chez Harmonia Mundi un CD (HMM 902268)

consacré à 3 œuvres

_ le concerto pour alto (créé le 28 octobre 2015 par Antoine Tamestit à la Philharmonie de Paris),

une sélection parmi les 24 duos pour violon et violoncelle, ici en un arrangement pour alto d’Antoine Tamestit,

et le quatuor à cordes n° 3 « la chasse«  _

de l’excellent clarinettiste, mais aussi très remarquable compositeur qu’est Jörg Widmann,

avec le magnifique altiste qu’est Antoine Tamestit,

et avec l’Orchestre symphonique de la Radio bavaroise, sous la direction de Daniel Harding.

Ce matin même, sur France-Musique, à 7 h 40 , Christian Merlin nous explique comment,

et par communication teléphonique !!!,

le compositeur et l’altiste ont collaboré à la composition même de ce Concerto pour alto !

En avant-première à ce CD Widmann/Tamestit/Harding,

voici, à écouter, une vidéo (de 26′ 41) d’un concert

de ce concerto pour alto de Jörg Widmann (créé en 2015), avec Antoine Tamestit à l’alto,

donné en 2017 à Copenhague,

avec Paavo Järvi à la baguette cette fois :

De ce concerto pour alto _ et pour et avec Antoine Tamestit _ de Jörg Widman,

voici encore une autre interprétation,

toujours par Antoine Tamestit à l’alto,

mais l’orchestre étant cette fois l’Orchestre Symphonique de la Radio Finnoise;

et dirigé par Jukka-Pekka Saraste.



Le CD à paraître vendredi prochain

est donc très attendu !

Ce vendredi 16 février 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

 

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