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Le côté de L’Esparrou, ou le côté de Marie-Thérèse Sauvy, ou maintenant le côté de Bertille de Swarte…

05juin

La personne qui _ après sa grand-mère maternelle Marie-Thérèse Sauvy, épouse Renduva faire de ce « côté de L’Esparrou« , à Canet-en-Roussillon,

une sorte de pendant, voire de rival, en attractivité familiale, face au « côté de La Meynie« , à Trélissac, en Périgord

_ qui est le côté d’Alain de Swarte _,

ce va être _ mais à partir de quelle date ? c’est diffile à établir… _ la petite fille _ parmi 27 petits-enfants : 10 petits-enfants Dargent-Rendu ; 4 petits-enfants Sirol-Rendu ; 4 petits-enfants Rendu-Wasmer ; 4 petits-enfants de Swarte-Rendu ; et 5 petits-enfants Rendu-Hanin… _ de Marie-Thérèse Sauvy-Rendu :

Bertille de Swarte

seconde après Thibault, et avant Béatrice et Eymeric, des 4 enfants d’Alain de Swarte et Geneviève Rendu-Sauvy.

La difficulté d’établissement d’une chronologie de la présence de Bertille de Swarte en Roussillon,

procède d’abord de l’absence de précisions concernant les générations des descendants actuellement en vie, au sein des _ très précieux _ arbres généalogiques publiés et accessibles sur le web ;

qu’il s’agisse de l’arbre généalogique composé par le frère aîné de Bertille : Thibault de Swarte,

ou de ceux composés par les cousins éloignés,

d’une part, côté Rendu, Thibaut Bourillon,

et d’autre part, côté de Swarte, Philippe de Brancion.

C’est donc ailleurs qu’il faut aller puiser _ en quelque sorte à l’épuisette _, et une par une, de minces données, le plus souvent trop partielles pour satisfaire pleinement la curiosité, concernant sinon Bertille elle-même, du moins ses proches, tels par exemple ses enfants, qui sont au nombre de 5 : Sylvain, Alexis et Camille Sartre ; et Pauline et Thimothée Langlois de Swarte…

 Et il va rapidement s’avérer que ces datas concernent rarement, sinon jamais, des circonstances de la vie familiale _ telles, par exemple, un mariage ou un faire-part de décès… _ mais des événements artistiques, et quasi exclusivement musicaux :

ou bien dans le cadre de l’IRVEM,

institut dans lequel, dès sa fondation, en 1988, Bertille de Swarte a été et demeure extrêmement active,

soit en tant que professeur de chant, soit organisatrice de concerts ;

 ou bien des concerts ou des réalisations discographiques de plusieurs de ses enfants, musiciens

tels Sylvain Sartre, le co-directeur du très bel Ensemble Les Ombres, et flûtiste baroque _ il a été élève de mon ami Philippe Allain-Dupré, je viens de le découvrir _  ;

Pauline Langlois de Swarte, pianiste, claveciniste et chanteuse ;

ou Thimothée Langlois de Swarte, brillant et merveilleux violoniste, et membre actif de l’Ensemble baroque Le Consort _ cf la série quotidienne de mes articles à partir de celui du 25 mai dernier : … 

Il me faut donc recollecter ces diverses données _ ponctuelles et éparses _ permettant de qualifier de « tropisme roussillonnais » le rayonnement attractif _ très au-delà de son cercle familial, bien vivant ! _ des activités _ musicales _ de Bertille de Swarte dans les Pyrénées-Orientales,

et au château de L’Esparrou…

Un rayonnement attractif assez comparable _ mais en un tout autre genre : musical, cette fois _ au rayonnement attractif _ environnemental, lui _ de son père Alain de Swarte, au Domaine de la Meynie, à Trélissac, en Périgord…

À suivre…

Ce samedi 5 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

La question des dates et lieux de naissance de l’ensemble des petits-enfants de Paul Bonopéra (et sa première épouse Joséphine Girot) : un point sur la question

12mar

Dans mon essai de reconstitution de la généalogie _ surtout en aval _ de la famille de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916),

demeurent encore pas mal de « taches aveugles » ;

ne serait-ce même _ et pour commencer _, que l’assurance d’avoir correctement repéré _ sans en avoir « oublié » un ! _ l’ensemble exhaustif _ jusqu’ici j’en compte 13 (6 + 2 + 4 + 1)… _ des petits-enfants de Paul Bonopéra et sa première épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892).

Tel est ce jour le premier objectif que je me fixe,

en espérant que le tableau _ le plus exhaustif possible en l’état présent de mes connaissances, forcément… _ des lieux et dates de naissance des petits-enfants de Paul Bonopéra,

m’aidera un peu dans le repérage de son propre parcours, à lui, de Rabelais _ où Paul Bonopéra était déjà « propriétaire«  _, à Orléansville _ où, également « propriétaire », il siègera constamment au conseil municipal (parmi les membres de la liste républicaine : celle de Paul Robert, Louis Clément et Joseph Robert), élu la première fois, à l’occasion d’une « élection municipale complémentaire » (pour 6 sièges vacants) le 17 juillet 1907.

Et après, j’espère y voir un peu plus clair…

De  la descendance du fils aîné de Paul Bonopéra et sa première épouse, Joséphine Girot,

c’est-à-dire la descendance de Jean Bonopéra (Pontéba, 18 juin 1877 – j’ignore ses date et lieu de décès) et de son épouse Louise-Marie Hulné (Relizane, 5 mai 1881 – Affreville, 1963) _ cf mon article du 15 février dernier :  ; ainsi que la mention, inscrite sur son livret militaire, spécifiant que Jean Bonopéra a pu bénéficier de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905, le libérant du service actif en tant que père de famille nombreuse : dans son cas, père de « 6 enfants«  _,

et faute de contact, jusqu’ici, avec aucun de leurs descendants _ et il en existe… _,

je dois dire que la connaissance dont je dispose à ce jour de ces au moins 6 enfants _ d’après l’inscription du livret militaire de Jean, donc, qui en indiquait « 6 de vivants«  à la date du 13 mars 1917 : c’est là une information assurément bien précieuse… _ de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné,

demeure hélas incomplète.

De ces 6 enfants-là de Jean Bonopéra, j’ignore, déjà, et pour commencer, le prénom de l’un d’entre eux ! ainsi que _ forcément _ tout le reste de lui !!!

Cela fait déjà beaucoup !

Ensuite, j’ignore quasiment tout de celui (ou celle ; je pense qu’il s’agit d’un garçon) qui se prénomme Claude, Claude Bonopéra,

à commencer par sa place dans la fratrie _ est-il (ou elle), ou non, l’aîné(e) ?.. Je l’ignore aussi.

Cela fait décidément beaucoup d’ignorances…

Pour les quatre autres enfants _ qui étaient vivants à cette date du 13 mars 1917, et dont l’existence a permis à Jean Bonopéra de quitter le service militaire d’active, et de regagner ses foyers : d’abord à Orléansville, rue de Rome (et peut-être, provisoirement, alors, en un domicile de M. Morand de la Genevraye…), est-il noté ;

mais à peine un mois plus tard, à la date du 12 avril 1917, le livret militaire relève que c’est maintenant à Oued Fodda que se trouve alors domicilié Jean Bonopéra… _,

et qui sont Joséphine, Georges-Paul, Aimée, et enfin Jeanne,

voici l’état présent de mes connaissances.

De Joséphine Bonopéra, j’ignore le lieu et la date de naissance _ je sais seulement qu’elle épousera, à Duperré, le 30 janvier 1923 (quel âge pouvait-elle donc avoir ce jour-là ?) Kléber Défillon ; probablement, et vue la date de ce mariage en 1923, Joséphine est-elle née un peu avant Georges-Paul (né, lui, en 1902, et qui se marie, à l’âge de presque 23 ans, en 1925) et Aimée (née, elle, en 1905, et qui se marie, à l’âge d’environ 20 ans, en 1925, elle aussi) ; j’ignore aussi les date et lieux de décès de Joséphine Bonopéra, épouse Défillon… ;

à propos de cette famille Défillon, j’ai apprécié de pouvoir lire un intéressant avis de décès (de M. Fidèle Défillon, en date du 24 juin 1934), qui situe la place de Mme Kléber Défillon (née Joséphine Bonopéra), son époux, Kléber, ainsi que leurs enfants, au sein de cette famille Défillon… ; famille à laquelle appartient aussi (et c’est important de le découvrir !) le directeur du Progrès d’Orléansville, M. Camille Gajac, fils de Marie Défillon et son époux Michel Gajac… J’y reviendrai quand je me focaliserai sur l’histoire politique, un peu agitée, des maires successifs d’Orléansville : ainsi le maire Paul Robert (progressiste) sera-t-il tué en duel à Alger- Hussein Dey par un adversaire politique, André Houbé (réactionnaire), le 7 avril 1910… _ ;

Georges-Paul Bonopéra est né à Rabelais le 25 juin 1902 _ il épousera, le 25 mai 1925, à La Ferme, Clémentine-Eugénie-Hélène Petit ; et il décèdera, à Toulon, le 9 janvier 1977, à l’âge de 74 ans _ ;

Aimée Bonopéra est née à Rabelais le 13 novembre 1905 _ en 1925, elle épousera Dominique Villanova ; puis, le 2 septembre 1950, à Orléansville, André-Kléber Riquier ; Aimée Bonopéra décèdera à Fréjus le 22 novembre 1993, à l’âge de 88 ans _ ;

et enfin Jeanne Bonopéra _ apparemment la benjamine de Jean Bonopéra (qui, à sa naissance, le 10 mars 1913, avait 35 ans) et de son épouse Louise-Marie Hulné (qui, à sa naissance, avait 31 ans) _ est née à Orléansville le 10 mars 1913 _ elle épousera à Oued Fodda le 22 septembre 1934 Marcel-Auguste Louyot ; et elle décèdera à Kindsbach (en Allemagne) le 25 mai 1949, à l’âge de 36 ans _ ;

Ensuite,

de la descendance de Paul Bonopéra _ le second des fils de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Girot _ (Pontéba, 19 septembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930) et de son épouse Marie Cathébras (Saint-Sauveur-de-Ginestoux, département de la Lozère, 12-1-1881 – j’ignore son lieu et sa date de décès),

leurs deux enfants sont bien connus :

Pauline Bonopéra (Rabelais, 5 juin 1901 – Nice, 8 février 1974), demeurée célibataire ;

et Marcel Bonopéra (Renault, 10 janvier 1907 – Nice, 1er décembre 1992) _ le 6 juillet 1932, à Orléansville, Marcel Bonopéra épouse Odette Sanchez, née à Orléansville le 23 novembre 1911, fille de M. Antoine Sanchez, et son épouse née Marie-Françoise (dite Jeanne) Gays.

Marcel Bonopéra et son épouse Odette auront deux fils, tous deux nés à Orléansville : Paul-Jean-Antoine Bonopéra, né le 5 mai 1933 ; et Jean-Pierre, né le 2 novembre 1934.

Après,

de la descendance d’Auguste Bonopéra (Orléansville, 3 avril 1883 – j’ignore le lieu et la date de son décès), et de son épouse Isabelle Vivès (je n’en sais pas davantage sur elle ; ni sur la date de leur mariage…),

le livret militaire d’Auguste Bonopéra indique que « père de 4 enfants vivants » à la date du 19 février 1915, et en vertu de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905, Auguste Bonopéra a pu quitter l’armée d’active pour les services de réserve de l’armée territoriale, et regagner Orléansville, et son domicile de la rue d’Isly _ cf mon article du mardi 16 février :  … 

Ces « 4 enfants vivants » _ en février 1915 _ d’Auguste Bonopéra et son épouse Isabelle Vivès,

sont, et probablement nés dans cet ordre :

Hélène-Isabelle (née à La Ferme le 20 mai 1905),

Auguste-fils, dit Yoyo (??),

Yvonne (née à Orléansville le 9 avril 1912)

 

et le petit Georges (tout juste né, à Orléansville, au tout début du mois de février 1915).  

Enfin,

Julien Bonopéra (Charon, 9 juillet 1887 – après 1943) et son épouse Lucie Besse (??) _ leur mariage a eu lieu à Alger le 29 juillet 1913 ; cf mon article du jeudi 18 février :  … _,

ont eu un seul enfant :

Paulette-Charlotte Bonopéra (7 juillet 1914 – Auterive, 29 mars 2007) _ dont je ne sais pas grand chose, à vrai dire, jusqu’ici… 

À suivre…

Ce vendredi 12 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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