Posts Tagged ‘quartier de Pocalette

Un point d’étape en mon essai de recollection des emplacements des maisons, à Ciboure, où ont résidé des descendants de Gratien Delouart (1748 – 1798), et des apparentés, par mariage, à ceux-ci…

07nov

Dans mon essai de recenser les maisons de Ciboure concernant les descendants de Gratien Delouart (1748 – 1798) et son épouse Sabine Laxague (1745 – 1845), ainsi que des membres de familles qui leur sont alliées par mariage,

voici mes 2 articles d’hier et avant-hier rassemblant de précieux liens aux documents d’archives que j’ai trouvés et rassemblés jusqu’ici :
 
 
 
Je cherche en effet à situer et visualiser l’emplacement des maisons relevées méthodiquement dans ces 2 articles en les plaçant sur le cadastre de 1831qui est à ma connaissance le plus ancien disponible.
 
M’intéressent en priorité les Maisons citées par un nom (en mon article du 6 novembre), en commençant par la Maison Bourbouillonbaita, au quartier de Pocalette, où résidèrent les Billac – Delouart...
Mais bien sûr aussi toutes celles citées seulement par un numéro et un quartier (en mon article du 5 novembre).
 
Je m’intéresse aussi tout spécialement aux emplacements de la Maison de Churanea, quartier du Nord, où est décédé l’ancêtre Gratien Delouart le 21 août 1788,
et de la Maison Moutanearguinenia, à Pocalette, là où résidaient en 1806 Jacques Billac, Marie Delouart n°1 et Sabine Laxague, la mère de celle-ci, et veuve de Gratien Delouart,
car selon un très précieux document de recensement de 1806, la nommée Marie Deloirte (née le 29 juin 1782) est indiquée comme étant l’épouse de Jacques Billac (né le 5 septembre 1772), alors que leur mariage officiel a eu lieu à Ciboure le 14 septembre 1814.
Et alors que Sabine Delouart, la fille née le 11 mars 1809, en la maison n°17 du quartier de Bordagain, de cette Marie Delouart, et dont est explicitement spécifié que « le père est inconnu« , ne porte pas le nom de Billac…
Et les multiples indications données dans ce passionnant document posent beaucoup de questions quant au degré de fiabilité des renseignements qui y ont été recueillis…
 
Le bayonnais Philippe Durut que javais interrogé en septembre 2019 sur la datation de ce recensement _ je me demandais sil ne datait pas plutôt de 1816 _ m’avait confirmé, photo à lappui, cette date de 1806.
 
En tout cas,
ce document que javais cité en mon article «  » du 14 avril 2019, est très précieux quant à ce qu’il nous apprend des nombreux résidents et familles de la rue Pocalette en 1806
Voilà le point où j’en suis de mon présent travail de recherche.
 
Repérer les maisons encore existantes, et les emplacements de celles qui ont été détruites ou remplacées, pour en prendre des photos, et les situer sur un plan de Ciboure, me paraît très intéressant.
Et j’ai réalisé aussi de semblables recherches topographiques pour les familles luziennes issues de Gratien Delouart, dont celle de Magdelaine Hiriart-Gaudin, des Hiriart, des Bibal, des Gaudin, etc.
En espérant que ma manie de la précision des détails ne rend pas la lecture de ces éléments préparatoires trop pénible
En tout cas, le travail à réaliser est passionnant.
Ce jeudi 7 novembre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

A propos des domiciliations des habitants de la rue Pocalette à Ciboure relevés lors d’un recensement en 1806, confrontées au passage en revue des maisons actuelles du Quai à Ciboure, et leurs propriétaires successifs aux XIXe et XXe siècles, auquel Paul Badiola et Guy Lalanne ont procédé en leur très détaillé « Ciboure-Ziburu – rue du Quai… » en 2021…

01nov

À propos d’un exhaustif passage en revue des domiciliations des habitants de la rue Pocalette à Ciboure (relevés lors d’un recensement mené en 1806) que j’entreprends aujourd’hui, puis du passage en revue, pour comparaison, des actuelles maisons du Quai de Ciboure _ avec mention de leurs propriétaires successifs aux XIXe et XXe siècles… _ auquel ont méthodiquement procédé en 2022 Paul Badiola et Guy Lalanne en un passionnant « Ciboure-Ziburu – rue du Quai… » de l’Association Jakintza,

et cela à partir d’une simple petite question de Manuel Cornejo, le président de l’Association des Amis de Maurice Ravel, concernant le Dr Michel Leremboure _ découvrir (afin de les mentionner dans sa nouvelle édition de la Correspondance de Maurice Ravel à paraître en deux volumes Tel – Gallimard, en 2025) ses dates et lieux de naissance et de décès : Hyacinthe-Gustave-Michel Leremboure : Sare, 12 août 1874Saint-Jean-de-Luz, 13 août 1959 : voilà,  je les ai dénichées… ; natif de Sare, Michel Leremboure fut maire de ce village du 11 octobre 1925 au 9 juin 1927, puis du 24 novembre 1933 au 24 octobre 1947 ; de même qu’ayant dû quitter en 1936, devant l’arrivée des troupes franquistes à Saint-Sébastien, la Clinica del Perpetuo Socorro qu’il avait fondée en cette ville en 1917 et dirigeait depuis, le chirurgien Michel Leremboure put exercer de nouveau sa profession à Ciboure à la clinique chirurgicale qu’il venait de faire bâtir, puis aménager exprès pour cette fonction, en 1935, sur un terrain qu’il avait acheté au croisement de la rue du Dr Micé et du Quai, à Ciboure, juste en face de la maison dite Elkano, de son beau-frère José-Maria Lardizabal, le frère de son épouse ; plus tard, cette clinique chirurgicale du Dr Leremboure est devenue l’hôtel « La Caravelle« , qui existe toujours… De fait, c’était déjà à Ciboure, le 14 janvier 1921, que Michel Leremboure avait épousé Maria del Carmen Lardizabal y Valenzuela (Saint-Sébastien – Donostia, 17 février 1887 – Saint-Jean-de-Luz, 6 février 1974), dont le père Ignacio Claudio de Lardizabal y Altuna (Irun, 30 octobre 1844 – Ciboure, 13 janvier 1926), mais moins probablement le grand-père Ramon Maria Felipe de Lardizabal y Otazu (Donostia, 13 septembre 1811 – Laurgain, 13 novembre 1880), avait fait construire, en 1877, la maison dite Elkano, sise à l’angle de cette rue Pocalette et de la rue du Dr Micé, juste en face ; cette maison Elkano qui, en 1935-36, appartenait donc au beau-frère du Dr Michel Leremboure, José Maria de Lardizabal y Valenzuela (Irun, 6 novembre 1872 – Ciboure, 15 janvier 1944) ; cf ici l’arbre généalogique de Michel Leremboure ; je remarque aussi que les 4 enfants de Michel Leremboure et son épouse Maria del Carmen Lardizabal, c’est-à-dire Françoise (Donostia, 9 novembre 1921 – Saint-Jean-de-Luz, 18 janvier 2005), Étienne (Donostia, 13 décembre 1923 – Sare, 6 juillet 1986), Marie-Paule (Donostia, 29 mars 1925 – Saint-Jean-de-Luz, 12 mars 1999) et Thérèse Leremboure (Donostia, 27 janvier 1928 – Arcangues, 2 juin 2020), sont tous nés à Saint-Sébastien-Donostia (Guipuzcoa), où a exercé Michel Leremboure en sa Clinica del Perpetuo Socorro de 1917 à 1936… _ qui m’a été posée par un rapide courriel tout à l’heure, à 13h 30,

il se trouve que je suis présentement en train de m’atteler à une confrontation de ces précieuses données de domiciliations récoltées lors du recensement des habitants du quartier de Pocalette réalisé en 1806, accessibles _ et à déchiffrer _ dans ce très précieux document que j’avais déniché, en 2019, et auquel donnait accès un lien de mon article «  » en date du 14 avril 2019,

avec le superbe travail très soigneusement documenté de Paul Badiola et Guy Lalanne dans le très détaillé fascicule « Ciboure-Ziburu – rue du Quai… » de Jakintza, dans lequel ils ont procédé à l’inventaire historique des actuelles maisons du Quai _ certaines ayant été détruites pour laisser place à de nouvelles constructions ou réaménagements… _, avec des listes de leurs propriétaires successifs aux XIXe et XXe siècles, ces maisons dont l’arrière donne sur la rue Pocalette, en un très remarquable travail publié au mois de mai 2021…

Une comparaison assez prometteuse afin de repérer l’emplacement des diverses maisons où ont été domiciliés à Ciboure, et beaucoup rue Pocalette, les membres et les descendants de la famille Delouart issus de Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, 21 août 1798) et son épouse Sabine Laxague (Ciboure, probablement 1745 – Ciboure, 27 février 1845), dont est issu Maurice Ravel, né le 7 mars 1875, au rez-de-chaussée de la plus belle maison du Quai, la splendide et majestueuse maison San Estebania, où venait de décéder, le 22 décembre 1874, sa grand-mère Sabine Delouart, qui y résidait jusqu’alors _ marchande de poissons, elle y faisait probablement fonction aussi de gardienne-concierge… _ et où le bébé demeura jusqu’à ses trois mois avec sa mère Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917) avant de rejoindre Pierre-Joseph Ravel (Versoix, 19 septembre 1832 – Levallois, 13 octobre 1908) à leur domicile du 40 rue des Martyrs, dans le 9e arrondissement, à Paris…

Les maisons, et la transmission de leur propriété aux aînés des familles, ont une grande importance dans la culture basque : plus que les patronymes des personnes, ce fut longtemps le nom des maisons auxquelles appartenaient les individus qui prima pour le repérage de leur identité…

Chercher et découvrir, puis partager ce que la recherche a glané, est passionnant…

Ce vendredi 1er novembre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Recension de domiciles, à Ciboure, de divers membres de la famille Goyenague, apparentés aux Delouart : de Michel Goyenague (1790 – 1849), époux de Marie Delouart n° 3 (1786 – 1872), à son petit-fils Paul Goyenague (1854 – 1929), époux de sa cousine Nicolasse Goyenague (1864 – 1945)…

15nov

J’ai consacré l’essentiel de ce lundi 15 novembre 2021,

à la recension _ et suivant la chronologie des événements familiaux : naissances, mariages et décès… _ de logements où ont été domiciliés, ou bien ont été propriétaires, à Ciboure, divers membres de la famille Goyenague,

depuis Michel Goyenague (Ciboure, 11 janvier 1790 – Ciboure, 20 novembre 1849) _ fils de Simon Goyenague (décédé à l’âge de 45 ans le 12 novembre 1800) et son épouse Catherine Dargaignaratz (décédée le 27 février 1814, à l’âge de 63 ans : en son domicile de la rue Pocalette, n° 142) _, et son épouse Marie Delouart (Ciboure, 17 août 1786 – Ciboure, 15 décembre 1872),

jusqu’à Paul Goyenague (Ciboure, 19 août 1854 – Ciboure, 6 mars 1829), époux de sa cousine _ fille de son frère Jacques Goyenague (Ciboure, 16 octobre 1823 – Ciboure, 22 novembre 1886) et son épouse Catherine Larrea (Ciboure, 9 octobre 1832 – Ciboure, 9 novembre 1895) _ Nicolasse Goyenague (Ciboure, 11 juillet 1864 – Ciboure, 1er juin 1945 )…

À la naissance de leur fils Simon, le 29 novembre 1821, Michel Goyenague et son épouse Marie Delouart sont domiciliés à Ciboure rue Pocalette au n° 19 ; ils y demeurent toujours à la naissance de leur fils Bertrand, le 6 mars 1832.

Et à son décès, le 20 novembre 1849, Michel Goyenague est dit domicilié à la maison Petimentenia, n° 153, quartier de Pocalette.

Simon Goyenague, né le 29 novembre 1821 au n° 19 de la rue Pocalette, est dit domicilié à la maison Maloënia, dans le quartier de Pocalette, le jour de son mariage, le 15 novembre 1853 avec Josèphe Joachine Albistur.

Le fils aîné de Simon Goyenague et son épouse Josèphe Joachine Albistur, Pierre Paul Bernard Goyenague, naît, lui, le 19 août 1854 dans la maison Ganichicarrenia, au n° 139 du quartier de la Place.

Et lors de son mariage, le 23 avril 1856, à Ciboure, avec Catherine Larrea, le frère de Simon, Jacques Goyenague _ qui était né le 16 octobre 1823, mais la maison de sa naissance n’était pas indiquée, cette fois-là, dans l’acte d’état-civil… _ est dit domicilié, lui, maison Dolhorenia, quartier de Pocalette n° 144.

Ensuite, à leur naissance, tous les enfants de Jacques Goyenague et son épouse Catherine Larrea,  soient Marie (le 16 avril 1857), Simon (le 18 juin 1860), Nicolasse (le 11 juillet 1864), Gracieuse (le 14 juillet 1866), Josèphe (le 12 juin 1868) et Alexandrine-Elisabeth-Sabine (le 5 juin 1872), naissent dans le quartier de Bordagain, dans la maison Calebaita, au n° 158 ; à l’exception, toutefois, de Jean-Baptiste, qui naît, lui, le 31 juillet 1862, à la maison Sopitenia, au n° 158 du quartier de Pocalette.

En cette même maison Calebaita, n° 38, du quartier de Bordagain, et de cette famille de Jacques Goyenague,

décèderont les enfants Marie (le 18 décembre 1861), Josèphe (le 2 mai 1870), Alexandrine (le 19 juillet 1872) et Simon Goyenaue (le 14 janvier 1874) ;

ainsi que Jacques Goyenague lui-même, âgé de 63 ans, le 22 novembre 1886 ; puis sa veuve, Catherine Larrea, âgée de 63 ans, le 8 novembre 1895 _ fille de Martin Larrea et son épouse Silvestre Chourito, Catherine Larrea était née le 9 octobre 1832, dans la maison n° 17, du quartier de Bordagain.

J’ajoute au passage, que, alors que c’est le 8 novembre 1895 qu’est décédée Catherine Larrea, la veuve de Jacques Goyenague _ et fille de Martin Larrea et son épouse Silvestre Chourito _c’est en 1892, dans un jardin appartenant à Paul Larrea, qu’a été édifiée la maison Larrea, situé au n° 63 de l’actuel Quai Maurice Ravel…

Alors que la maison voisine de l’actuel n°61, la maison Sopitenia, a appartenu, elle, à un Jean-Baptiste Larrea _ probablement le frère (né le 9 janvier 1836, lui aussi maison n° 117 (Callebaita) du quartier de Bordagain, issu des mêmes Martin Larrea et Silvestre Chourito) de Catherine Larrea, l’épouse de Jacques Goyenague… _ ; et que, en 1923, après le décès de Melle Larrea _ sans plus de précisions, à la page 37 du numéro 94 de la revue Jakintza… _, l’abbé Vincent Recalde acheta cette maison Sopitenia, celle-là même où était né, le 31 juillet 1862, le petit Jean-Baptiste Goyenague, fils de Jacques Goyenague et son épouse Catherine Larrea…

Fin de l’incise Larrea.

Le 18 avril 1890, c’est le frère aîné de Jacques Goyenague, Simon Goyenague, qui était né le 29 novembre 1821 dans la maison n° 117 de la rue Pocalette

qui décède, à l’âge de 68 ans, dans la maison « Kustorronea«  du n° 6 de la rue du Quai à Ciboure _ cette maison qu’il avait achetée le 20 mars 1864 à Jean Larralde, cordonnier à Saint-Jean-de-Luz.

Et le 20 août suivant, le fils de Simon Goyenague, Pierre Paul Bernard Goyenague _ qui a hérité de son père décédé le 18 avril précédent, de cette maison du n° 6 de la rue du Quai (et n° 6 de la rue Pocalette) _, épouse sa cousine _ fille de son oncle Jacques Goyenague _ Nicolasse Goyenague.

Il ne semble pas, en l’état présent du moins de mes connaissances, que Paul Goyenague et son épouse Nicolasse _ ceux-là même que dans sa lettre à Marie Gaudin du 22 juin 1911 Maurice Ravel nomme « ses parents«  cibouriens « les Goyenague« , qu’il prie son amie luzienne de bien vouloir leur demander s’ils accepteraient de le loger ainsi que sa mère les trois mois d’été qui viennent à partir du 15 juillet… _ aient eu des enfants ;

Paul Goyenague est décédé à Ciboure le 6 mars 1929, et son épouse Nicolasse, le 1er juin 1945, à Ciboure. 

Après eux,

les propriétaires de la maison du n° 6 de la rue du Quai, qui se sont succédé, ont été _ sans plus de précision de date, ni d’identité des personnes de la part des rédacteurs du numéro 94 de la revue Jakintza _, des Dasconaguerre, Petit de Meurville, Elissalde et Marichalar…

Il me faut ajouter que c’est à la maison du n° 6 de la rue Pocalette (dont la façade principale est au n° 6 de la rue du Quai) que décède le 15 décembre 1872, la veuve de Michel Goyenague _ décédé, lui, le 20 novembre 1849 dans la maison Petimentenia du n° 153 du quartier Pocalette _, Marie Delouart _ née le le 17 août 1786 _, au domicile de son fils aîné Simon Goyenague, devenu propriétaire de cette maison le 20 mars 1864…

Ce lundi 15 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Post-scriptum,

en date du mercredi 17 novembre 2021 :

En travaillant, deux jours plus tard, soit mercredi 17 novembre, sur les domiciliations de  la famille de Catherine Larrea et de son époux Jacques Goyenague,

et déçu de ne pas découvrir, sur l’acte d’état-civil de naissance de celui-ci, le domicile dans lequel Jacques Goyenague est né, le 16 octobre 1823 _ probablement dans la maison n° 117 de la rue de Pocalette _,

j’ai été amené à reprendre et passer en revue, afin de les comparer, les diverses domiciliations  de naissance de ses frères et sœurs, les divers enfants de Michel Goyenague et son épouse Marie Delouart.

Et c’est alors que,

d’une part, j’avais tout à fait « oublié » de (re-)prendre en compte la naissance, le 27 juillet 1827, de la petite Marie Goyenague, pour la bonne raison, que dans l’acte d’état-civil de son mariage, le 17 juillet 1850, avec Martin Passicot, la nouvelle épouse est mentionnée sous le nom de « Marie D’Oyenhart » _ domiciliée à Ciboure « habitant le quartier de Pocalette, maison Miquelenia n° 183«  _, et son père, Michel, sous celui de « feu Michel D’Oyenhart, décédé dans cette commune (de Ciboure) le vingt novembre 1849« , alors que sa mère, Marie Delouart, est, elle, correctement mentionnée comme « âgée de cinquante neuf  ans » _ ce qui correspond à l’âge effectif de celle-ci, à cette date du 17 juillet 1850, puisque Marie Delouart est bien née, à Ciboure, le 17 août 1786… Ce qui m’a permis de rechercher et retrouver vite l’acte d’état civil de la naissance de cette « Marie d’Oyenhart« , en date du 27 juillet 1827, à Ciboure, au quartier de Pocalette, dans la maison n° 117 ;

et, d’autre part, j’ai complément découvert, cette fois, l’existence _ que j’avais ignorée jusqu’ici _ d’une autre enfant du couple formé par Michel Goyenague et Marie Delouart : « Nicolasse Doyhenard« , d’après l’orthographe de l’acte d’état-civil de naissance de celle-ci, en date du 19 juin 1829, accompagnée de la mention de son père « Michel Doyhenard, marin, absent sur mer » ainsi, bien sûr, que de sa mère : « Marie Delouart, âgée de 44 ans », « accouchée aujourd’hui à neuf heures du matin dans la maison n° 37, rue de Pocalette« 

Soient trois bienvenus compléments de domiciliation de membres de la famille Goyenague-Delouart,

dans le quartier (et la rue) de Pocalette :

« maison n° 117″, le 27 juillet 1827, pour Marie Goyenague et « maison n° 37« , le 19 juin 1829, pour Nicolassa Goyenague, les jours de leur naissance à Ciboure ;

et « maison Miquelenia, n° 183″, le 17 juillet 1850, pour Marie Goyenague, le jour de son mariage avec Martin Passicot.

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