Nouveau focus sur quelques points particulièrement sensibles de mes recherches sur la famille Bonopéra d’Orléansville…

— Ecrit le samedi 24 avril 2021 dans la rubriqueHistoire, photographie”.
D’abord,
je garde espoir que la mémoire d’un membre de la famille Bonopéra conservera trace de cette « Madame Veuve Paul Bonopéra », veuve de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916),
décédée après 1935, et née Confex, dont je cherche à éclairer enfin l’identité.
La sœur aînée de cette dame Veuve Bonopéra, était en effet Élisabeth Confex (Veuve Wachter), née à Marseille le 28 décembre 1837, et décédée à Alger le 30 mars 1925,
ainsi qu’épouse, à Mustapha le 26 mai 1857, de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (né à Rougemont, le 5 février 1827 et décédé peut-être à Orléansville…).
Et c’est d’ailleurs très précisément dans le faire-part de décès d’Élisabeth Confex, veuve Wachter, que j’ai découvert que « Mme Vve Paul Bonopéra » était sœur de la défunte Élisabeth Confex ;
cette défunte qui, avant de décéder à Alger en 1925, avait vécu un nombre notable d’années à Orléansville : probablement, du moins un temps, auprès de certains de ses enfants Wachter ou bien nés ou bien devenus orléansvillois…
En effet, cette Élisabeth Confex, épouse Wachter, a eu un certain nombre d’enfants Wachter qui ont vécu à Orléansville,
au nombre desquels il faut compter la veuve (née Wachter) de ce Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906) qui était l’oncle maternel de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron
et j’ignore toujours le prénom ainsi que les lieux et dates de naissance et de décès de cette « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter », nièce de « Mme Vve Paul Bonopéra » _ ;
mais aussi l’orléansvillois Émile Wachter (Mustapha, 15 mai 1869 – Orléansville, j’ignore la date de son décès), qui exerçait la profession d’agent d’assurance à Orléansville, et à propos duquel on peut trouver dans le presse, c’est-à-dire Le Progrès d’Orléansville, pas mal d’échos de ses activités.
J’ajoute ici qu’un autre, au moins, de ses enfants, Louis Wachter, était né à Orléansville, le 29 juillet 1866 _ serait-ce là un indice fiable de l’arrivée et installation à Orléansville de cette famille Wachter ? Assez probablement… 
Probablement certains des membres actuels de la famille Bonopéra ont-ils eu l’occasion de connaître à Orléansville, sinon Émile Wachter lui-même _ j’ignore la date de son décès ; et je rappelle ici qu’il était né à Mustapha le 13 mai 1869… _, du moins certains de ses enfants :
_ Henri Wachter, né à Orléansville le 22 octobre 1895 ;
_ Émile-Antoine Wachter, né à Orléansville le 6 janvier 1898, et qui épouse au mois de novembre 1924, à Orléansville, la brestoise Juliette Le Lety ;
le couple aura au moins 2 enfants : Albert Wachter, né à Orléansville le 27 mars 1925, et qui sera Résistant ; et Mireille Wachter, née à Orléansville le 10 juillet 1937 ;
Émile-Antoine Wachter était commis à la Trésorerie d’Orléansville, puis, à partir du mois de mai 1929, à la Trésorerie d’Alger ;
_ Suzanne Wachter, née à Orléansville le 29 novembre 1911, épouse, au mois de juin 1930, à Orléansville, de Camille Férise ; le couple aura une petite Mireille Férise, née à Orléansville le 14 juin 1931.
Émile Wachter et son épouse née Hélène Janet ont très probablement continué de résider à Orléansville.
D’autre part,
j’aimerais savoir si certains, parmi les membres actuels de la famille Bonopéra, disposeraient de sources documentaires qui justifieraient la naissance, affirmée par certains, à Palerme, en Sicile _ d’où provient donc cette légende familiale ? À quel moment s’est perdu le souvenir de l’arrivée en Algérie, en 1830, des Bonopéra venus de Ceuta, Tarragone, Barcelone, et plus loibtainement en amont de Macerata ?.. _, de l’ancêtre Luigi-Nicola Bonopera,
qui serait à même de compléter (voire infirmer) le document que j’ai découvertRepresion de la Masoneria y consulados Pontificios. El Consulado Pontificio de Barcelona (1828-1830), de Monserrat Moli Frigola, en 1989 _ indiquant que Lluis-Nicola Bonopera, maître-tailleur à Tarragone, puis encore aussi, à partir de 1930, à Alger, exerçait déjà la profession de tailleur (sastre, en espagnol) à Macerata, dans les Marches, en Italie…
Enfin, et peut-être surtout,
quelque membre actuel de la famille Bonopéra descendant des Bonopéra d’Orléansville connaîtrait-il un membre de sa famille susceptible de disposer encore aujourd’hui de connaissances pointues sur la généalogie familiale des Bonopéra ?..
Ce samedi 24 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa
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