Nouveau focus sur quelques points particulièrement sensibles de mes recherches sur la famille Bonopéra d’Orléansville…
24avr
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29mar
Suite à mes recherches sur la descendance de Sophie Wachter (Rougemont, 29 janvier 1824 – Courbet, 9 mai 1897), la sœur de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?,?),
je suis revenu à mon article du 2 février dernier : Les enfants d’Emile Wachter et son épouse née Janet, à Orléansville : Henri, Emile-Antoine, Mireille, Albert et Suzanne-Hélène-Emilie,
afin de poursuivre mes investigations, essayer de compléter ce qui y demeurait d’inconnu, et rectifier des erreurs manifestes…
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Ainsi que de dégager quelques noms de descendants de ces familles, dont l’éventuel contact serait susceptible de m’aider à corriger quelques taches aveugles de ces généalogies…
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Et de fait j’ai pu réaliser quelques petites découvertes, au moins à propos des 5 enfants du fils de Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), Emile Wachter (Mustapha, 15 mai 1869 – ?,?) et de l’épouse de celui-ci, Hélène Janet…
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D’abord, par mon accès aux livrets militaires de trois membres de la famille Wachter d’entre 1886, pour Louis-Jules Wachter (Orléansville, 29 juillet 1866 – ?, ?)
et 1918, pour Émile-Antoine Wachter (Orléansville, 6 janvier 1898 – ?, après 1949),
avec aussi celui d’Henri Wachter (Orléansville, 22 octobre 1895 – ?, après 1939), en 1915,
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j’ai eu accès aux dates de naissance dont je ne disposais pas encore :
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Henri Wachter est né à Orléansville le 22 octobre 1895 ;
et son frère Émile-Antoine, à Orléansville, aussi, le 6 janvier 1898.
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Tous deux étant déclarés les fils d’Émile Wachter (né à Mustapha le 15 mai 1869) et son épouse Hélène Janet.
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Quant à Louis-Jules Wachter (Orléansville, 29 juillet 1866 – ?,?), frère aîné d’Émile (Mustapha, 15 mai 1869 – ?,?),
il est bien mentionné être le fils de Jean-Baptiste Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?,?) et Élisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925).
Dont acte.
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J’ai aussi appris le prénom de la fillette de Suzanne-Hélène-Émilie Wachter (Orléansville, 29 novembre 1911 – Orange, 3 janvier 2004) _ c’est la plus jeune des 5 enfants d’Emile Wachter et son épouse Hélène Janet _ et son époux _ le 5 juillet 1930 à Orléansville _ Camille Férise : née à Orléansville le 14 juin 1931 (elle décèdera à Marseille le 2 juin 2006), elle se prénomme Mireille…
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Et encore le prénom de l’époux Debono de Michèle-Odile Wachter (Orléansville, 10 juillet 1937 – Amiens-Salouël, 27 mars 2010), la troisième enfant d’Émile-Antoine Wachter et son épouse _ en novembre 1924 à Orléansville _ Juliette-Augustine-Marie Le Léty :
il s’appelle René Debono ;
et ce couple Debono – Wachter résidait à Bonneuil-les-Eaux (Oise)…
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À suivre...
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Ce lundi 29 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa
02fév
Ce mardi 2 février,
je m’intéresse aux enfants, nés à Orléansville, d’Emile Wachter et son épouse Hélène-Etiennette-Sophie Janet, qui se sont mariés, à Orléansville, le 21 octobre 1897.
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Mon accès _ encore trop partiel _ aux archives auxquelles je réussis à accéder _ d’autres seront plus adroits que moi… _ me permet de relever cinq enfants de ce couple, dont deux _ Albert et Mireille _ décédés prématurément : autour de leur vingtième année d’existence .
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Il semble que l’aîné de ces 5 enfants d’Emile Wachter et son épouse soit Henri Wachter, dont j’ignore encore la date de naissance _ le 22 octobre 1895, à Orléansville, m’apprendra son livret militaire, consulté le 29 mars 2021 _, mais dont j’ai pu suivre, grâce aux précieuses chroniques du Progrès d’Orléansville, quelques étapes de la scolarité ; ou de son intérêt pour le football :
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Henri Wachter se trouve au cours préparatoire l’année scolaire 1902-1903 ; il décroche le Prix d’excellence de la « 5e classe » pour l’année scolaire 1903-1904 ; et il obtient encore un Prix au Cours Moyen 2e année, l’année scolaire 1907-1908 ; puis il obtient le BEPC au mois de juin 1912.
Pour sa pratique du foot-ball, il se pourrait bien que ce soit lui, le « M. Wachter » choisi pour être le secrétaire du groupe sportif orléansvillois constitué à Orléansville le mardi 20 décembre 1921, par les cheminots du P. L. M. : le « P. L. M. athlétique Orléanvillois » ;
lui , ce « M. Wachter » qui tient le poste de goal dans la seconde équipe du club local qui rencontre, le 12 octobre 1924, à Blida, le « Gallia Club blidéen« …
Et si il s’agit bien là de Henri Wachter _ et pas d’un autre frère Wachter dont l’initiale du prénom serait un M. _, nous apprenons par la même occasion la profession de cet Henri Wachter : cheminot à la Compagnie de chemins de fer P. L. M., présente à Orléansville, reliée par le train à Alger…
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Le second des enfants d’Emile Wachter et son épouse, pourrait être Emile-Antoine Wachter _ né le 6 janvier 1898, à Orléansville, m’apprendra son livret militaire, consulté le 29 mars 2021 _, ;
qui passe le Certificat d’Etudes Primaires au mois de juin 1910 ; puis, et alors qu’il exerce la profession de « commis à la Trésorerie » à Orléansville, épouse au mois de novembre 1924, à Orléansville, la brestoise Juliette-Augustine-Marie Le Lety.
Le 27 mars 1925, leur naît un premier enfant, auquel le couple décide de donner le prénom d’Albert, le prénom que portait l’oncle Albert Wachter, précocément décédé au mois de septembre 1924 _ ce second Albert Wachter, née à Orléansville le 27 mars 1925, participera à la Résistance française durant la Seconde Guerre Mondiale ; et décèdera à l’hôpital universitaire d’Amiens-Salouël le 29 avril 2009.
Et au mois de novembre 1926, à Orléansville, le commis au Trésor et son épouse sont les parents d’une mignonne fillette prénommée Paule.
Avant que, au mois de mai 1929, « Emile Wachter, anciennement à Orléansville, fils de Madame et Monsieur E. Wachter, agent d’assurance dans notre ville » _ d’Orléansville _ bénéficie d’un « avancement à la 1e classe dans la Trésorerie, à la Trésorerie d’Alger« , nous apprend Le Progrès d’Orléansville du 30 mai 1929.
Un peu plus tard, le 10 juillet 1937, naîtra à ce couple, à Alger, une petite Michèle-Odile Wachter _ qui décèdera à Salouël le 10 juillet 2010 ; à Salouël, où était décédé, un an auparavant, le 29 avril 2009, son frère aîné Albert. Salouël est une commune de la banlieue d’Amiens où se trouve un hôpital universitaire. Michèle-Odile Wachter, épouse Debono, vivait à Bonneuil-les-Eaux, dans le département voisin de l’Oise.
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Il est possible que le troisième des enfants d’Emile Wachter et son épouse Hélène-Etiennette-Sophie Janet, soit cet Albert précocément décédé au mois de septembre 1924, dont les obsèques ont eu lieu, à Orléansville, le dimanche 21 septembre :
cf la notice nécrologique parue dans Le Progrès d’Orléansville du jeudi 25 septembre 1924 : « Dimanche, ont eu lieu, au milieu d’une très grande affluence, les obsèques de notre jeune concitoyen Wachter Albert, enlevé à l’affection des siens après une longue et douloureuse maladie contractée en service militaire. La vie semblait s’ouvrir devant lui tel un sentier fleuri , mais la mort, implacable, est venue faucher aveuglément cette radieuse jeunesse. Puissent les nombreuses marques de sympathie qui leur ont été témoignées, apporter une atténuation à l’immense douleur de sa famille éplorée » _ Albert Wachter, faisant probablement partie d’une des classes 1922 ou 1923, serait donc né aux alentours de 1902-1903…
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La quatrième des enfants d’Emile Wachter et son épouse doit être Mireille Wachter, décédée le vendredi 19 octobre 1928, à l’âge de 21 ans _ elle est donc née en 1907. « Mademoiselle Mireille Wachter est fille de Madame et Monsieur Emile Wachter, agent d’assurances à Orléansville« , nous apprend Le Progrès d’Orléansville du 25 octobre 1928.
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Et la cinquième _ à ma connaissance _ des enfants de ce couple est Suzanne-Hélène-Emilie Wachter, née à Orléansville le 29 novembre 1911 _ et qui décèdera à Orange le 3 janvier 2004 _,
dont Le Progrès d’Orléansville du 12 juin 1930 nous apprenait le prochain mariage : « Nous apprenons avec plaisir le prochain mariage de Mademoiselle Suzanne Wachter, fille de Madame et Monsieur Emile Wachter, agent général d’assurances, avec Monsieur Camille Férise. Sous-officier au 9e régiment de Tirailleurs algériens, fils de Madame et Monsieur Charles Férise, Inspecteur de l’Exploitation des chemins de fer P. L. M. Nous adressons nos melleurs vœux de bonheur parfait et de prospérité aux futurs jeunes époux et nos chaleureux compliments aux honorables familles qui vont s’unir« . Le mariage a eu lieu le samedi 5 juillet 1930 : « Le soir, un véritable festin fut servi dans la cour de la famille Férise, au milieu d’un cadre féérique de verdure, de fleurs et de lumières, dû au génie du jeune Camille, et aux mains admirablement expertes de Madame Férise, sa mère« …
Le Progrès d’Orléansville du 26 juin 1931 nous apprend la naissance d’une superbe fillette _ son prénom n’est pas indiqué : Mireille Férise est née le 14 juin 1931 à Orléansville ; et décèdera à Marseille le 2 juin 2006 _ au foyer de ce jeune couple Férise-Wachter _ M. Camille Férise étant alors sous officier au 9e Tirailleurs, à Miliana.
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Cela semble un détour par rapport à la focale que constitue la recherche de la constellation familiale de la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron ;
et pourtant nous approchons là d’un peu plus près le contexte familial des sœurs Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey, qui, orphelines de leur père Anatole Rey et de leur mère Adélaïde Gentet, ont vécu en cette Orléansville du tournant du siècle, auprès de leur oncle maternel Louis Gentet et son épouse _ dont j’ignore encore le prénom _ « née Wachter » ; ainsi que de leur grand-mère, veuve de Laurent Gentet, née Anne-Marie Schwartz, qui, née à Saint-Jean-Rohrbach, en Moselle, en 1822, décède à Orléansville le 3 décembre 1904 _ Marie-Louise Rey est alors déjà l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron, et la mère d’Eveline Ducos du Hauron, ainsi que de sa petite sœur Edmée, née à Lamartine le 8 juillet 1904 (la grand-mère Anne-Marie, de Marie-Louise, a ainsi pu connaître ses deux arrière-petites-filles, Eveline et Edmée) ; tandis que sa sœur cadette Aimée-Laurence Rey épousera, à Orléansville, Victor-Nicolas-Benjamin Gadel le 11 mars 1905 : trois mois à peine après le décès en décembre de sa grand-mère Anne-Marie Schwartz, la veuve de Laurent Gentet…
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Et c’est aussi passionnant qu’un très bon roman.
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Celle qui devint, le 9 août 1906, « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter« , était ainsi une des sœurs de cet Emile Wachter dont nous venons d’essayer de cerner d’un peu plus près la descendance, dans la première moitié du XXe siècle, à Orléansville ; grâce _ faute d’archives d’Etat-civil conservées _ au seul épluchage un peu patient et assidu de la chronique locale du journal Le Progrès, d’Orléansville…
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À suivre…
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Ce mardi 2 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa