Archives du mois de juin 2021

En poursuivant la recherche du côté des Sartre de Dordogne : la confirmation de l’ancrage aquitain de Pierre Sartre…

08juin

En poursuivant ma recherche d’hier _ … _ du côté des Sartre de Dordogne,

et après avoir découvert le faire-part de décès de Madame Denise Sartre, la veuve d’André Sartre et mère de Pierre Sartre _ le premier époux de Bertille de Swarte et père de Sylvain, Alexis et Camille Sartre _,

je suis parvenu à dénicher _ enfin ! _ de très précieuses précisions biographiques de membres _ cruciaux dans la recherche généalogique _ de la famille Sartre (de Dordogne _ entre Thiviers et Périgueux _),

à commencer celles concernant les lieux et dates de naissance et décès d’André-Pierre Sartre, l’époux, donc, de Marie-Denise Lacroix :

André-Pierre Sartre,

fils de Gérard Sartre (Périgueux, 7 janvier 1888 – Périgueux, 24 décembre 1966) et son épouse Irma Olivier

_ qui ont eu, avant André-Pierre, deux autres enfants : Pierrette Sartre (future épouse de Pierre Gaillère, et mère de Michel Gaillère) et Odile Sartre (future épouse de Roger Verdier, et mère de Christine et Nicole Verdier) _,

est né à Saint-Pierre-de-Chignac _ où son père Gérard Sartre était instituteur _ le 5 février 1923, et est décédé à Bordeaux, le 7 juin 1983, à l’âge de 60 ans.

Il était inspecteur des impôts de profession. 

Son épouse, Marie-Denise Lacroix (Cublac, 20 avril 1922 – Périgueux, 13 décembre 2014 _ la commune de Cublac, située dans le département de la Corrèze, jouxte celle de Terrasson, située dans le département de la Dordogne _) et lui-même, André-Pierre Sartre (Saint-Pierre-de-Chignac, 5 février 1923 – Bordeaux, 7 juin 1983)

ont eu deux enfants, une fille, en 1950, et un garçon, en 1956 :

_ Françoise Sartre _ devenue ensuite épouse Simon, et mère de 4 enfants : François, Sophie, Adrien et Clément Simon _ est, en effet, née le 15 décembre 1950 ;

_ et Pierre Sartre _ qui deviendra l’époux de Bertille de Swarte, et le père de Sylvain (le 28 août 1979), Alexis et Camille Sartre _ est né, lui, le 1er juin 1956.

Ensuite, j’ai pu glaner diverses données permettant de préciser le parcours personnel et professionnel _ bien intéressant _ de Pierre Sartre.

Ainsi ai-je pu découvrir le parcours scolaire _ au lycée Laure Gatet, à Périgueux, de 1967 à 1974… _, puis universitaire _ à l’université Bordeaux -II  – Victor Segalen, à Bordeaux, de 1974 à 1979 ; et je remarque que c’est le 28 août 1979 qu’est né son fils aîné Sylvain Sartre ; j’ignore encore les dates de naissance de ses deux autres enfants, Alexis et Camille Sartre ; de même que j’ignore leurs lieux de naissance : à Bordeaux ?.. _ ; et enfin professionnel de Pierre Sartre :

attaché d’enseignement en odontologie à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Bordeaux-II de 1980 à 1985, Pierre Sartre débute une brillante carrière,

qui le fera passer par Bâle (2000-2007), Marseille (2006-2007), New-York (2007-2008).

Le 7 juillet 1990, divorcé de la mère de ses trois enfants Sylvain, Alexis et Camille Sartre _ et j’ignore les dates et lieux de mariage, puis de divorce, avec Bertille de Swarte : à Bordeaux ?.. _,

Pierre Sartre se remarie avec la bordelaise Isabelle Mancini _ fille de Roland Mancini, le renommé musicologue, spécialiste du chant bien connu, et Elisabeth Monime Pichon (décédée au mois d’avril 2018) ; laquelle Elisabeth Mancini-Pichon, par sa mère Carmen-Louise Brahy (Hendaye, 19 juin 1903 – Hendaye, Novembre 1984), et sa grand-mère Marie-Elvira Isidori (Hendaye, 9 juillet 1983 -, Hendaye, 14 juin 1976), a des attaches hendayaises… Isabelle Mancini enseigne la musique et le piano au Conservatoire National de Région de Bordeaux.

Pierre Sartre et Isabelle Mancini ont deux fils, Adrien et Clément Sartre _ domiciliés à Bordeaux. J’ignore leurs lieux et dates de naissance.

Et chirurgien dentiste à Marmande,

Pierre Sartre réside désormais au sein de la forêt des Landes de Gascogne, non loin de Casteljaloux, en une commune du Lot-et-Garonne limitrophe de la Gironde _ assez loin, donc, de Perpignan et du château de L’Esparrou.

Et l’épouse de Pierre Sartre, Isabelle Mancini-Sartre, enseigne la musique et le piano au Conservatoire National de Région de  Bordeaux, devenu en 2003 Conservatoire de Bordeaux – Jacques Thibaud…

À suivre, 

Ce mardi 8 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et maintenant un retour aux filiations Sartre de Dordogne : de Gérard Sartre et André Sartre à Pierre Sartre…

07juin

Dans mon article du jeudi 27 mai dernier, ,

j’avais un peu buté sur la descendance de Gérard Sartre (Périgueux, 7 janvier 1888 – Périgueux, 24 décembre 1966),

c’est-à-dire son fils André, et son petit-fils Pierre _ l’époux de Bertille de Swarte, et le père de Sylvain, Alexis et Camille Sartre _,

dont je m’étais provisoirement résigné à laisser demeurer dans l’ignorance les données biographiques…

Mais je ne pouvais pas en rester là si je voulais comprendre tant soit peu ce qui avait pu participer à la décision de Bertille de Swarte, l’épouse de Pierre Sartre, de quitter la Région Aquitaine _ il semble bien que jusqu’en 1985, Pierre Sartre, né le 1er juin 1956, est attaché d’enseignement à la Faculté de chirurgie dentaire de l’Université Bordeaux II – Victor Segalen jusqu’en 1985 _

pour aller s’établir en Occitanie, dans le Roussillon _ en 1988, Bertille de Swarte, « professeur de chant« , est partie prenante à la création, à Perpignan, de L’IRVEM : l’Institut de Recherche Vocale et d’Enseignement Musical Méditerranéen.

Il me fallait donc revenir instamment préciser les données biographiques concernant d’abord André Sartre ;

puis son fils Pierre…

Par chance, et par patience _ d’obstination de recherche _ aussi,

je suis tombé hier sur la généalogie de la famille _ en partie bordelaise _ Fizet – Arsène-Henry, qui m’a permis de raccrocher le wagon avec la généalogie des Sartre _ Guillaume Fizet, né le 3 novembre 1975, étant, en effet, le premier époux de Camille Sartre, la fille de Pierre Sartre et Bertille de Swarte ; et Guillaune Fizet et Camille Sartre étant les parents d’une fille : Romane Frizet (cf l’arbre généalogique de son ascendance, réalisé par Anita et Christian Fizet, l’oncle et la tante paternels de Guillaume Fizet, qui est le fils aîné de François Fizet (né à Paris le 20 juin 1947 ) et son épouse Dominique Arsène-Henry (née le 29 avril 1946)


Mais bientôt j’ai découvert aussi le faire-part de décès de Madame Denise Sartre, c’est-à-dire Madame Veuve André Sartre, née Marie-Denise Lacroix :

née à Cublac (Corrèze), le 20 avril 1922, et décédée à Périgueux, le 13 février 2014…

Un faire-part extrêmement précieux pour ma recherche puisque sur celui est bien présente _ quasiment toute _ la descendance de la défunte et de son défunt _ plus tôt _ époux, André Sartre ;

à partir de leur fille Françoise _ née à Périgueux le 15 décembre 1950 ; et épouse Simon _ et leur fils Pierre _ né le 1er juin 1956 ; et qui a été l’époux de Bertille de Swarte.

Y sont en effet présents, parmi les 7 petits-enfants Simon et Sartre de la défunte Denise Sartre :

Sylvain (le premier né des 7), Alexis (le troisième) et Camille (la cinquième).

Y figurent aussi, à cette date du faire-part de décès de Madame Denise Sartre _ le 14 février 2014 _ les prénoms de 7 arrière-petits-enfants : Louise, Ewen, Jacques, Nolan, Marin, Blanche et Aliénor _ je m’étonne un peu de ne pas voir figurer dans cette liste le prénom de Romane ; alors qu’y figure le prénom de Louise ; et aussi, sinon le prénom de Martin, du moins celui de Marin… Mais il est vrai aussi que j’ignore les dates et lieux de naissance des petits descendants d’André et Denise Sartre…

À suivre…

Ce lundi 7 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A la recherche de données chronologiques un peu précises concernant la très active présence de Bertille de Swarte (et de ses enfants) en Roussillon (Suite)…

06juin

Dans la continuation du questionnement qui ouvrait mon article du 29 mai dernier  _ « je me suis demandé ce qui a pu occasionner la résidence de la sœur d’Alain de Swarte, Bertille de Swarte, dans les Pyrénées-Orientales : à Perpignan, à Céret, ou à Canet-en-Roussillon«   _,

ainsi que de la poursuite de mon effort de préciser la chronologie de la présence de Bertille, ainsi que des membres les plus proches de sa famille en Roussillon _ déjà, les deux derniers de ses enfants, Pauline et Théotime, sont nés dans le département des Pyrénées-Orientales _,

il m’est nécessaire de faire ici un point chronologique le plus précis possible sur cette résidence roussillonnaise de Bertille de Swarte, et de ses cinq enfants…

Pas mal de données chrono-biographiques concernant Bertille de Swarte me manquent pour le moment ;

notamment, et d’abord, sa date de naissance _ entre 1956,  l’année qui suit celle de la naissance de Thibault, son frère aîné (né à Neuilly-sur-Seine le 3 mars 1955), et 1961, l’année qui précède celle de la naissance de sa soeur Béatrice (née le 29 mars 1962) _ ;

de même que la date de son mariage avec Pierre Sartre, le père de ses trois premiers enfants, Sylvain _ né, mais j’ignore où, le 28 août 1979 _, Alexis et Camille Sartre _ j’ignore les lieux et dates de leur naissance.

Ce dimanche, j’ai réussi à découvrir un embryon d’arbre généalogique de la famille _ en partie bordelaise, d’ailleurs _ des Fizet – Arsene-Henry, qui vient m’apporter les prénoms des trois enfants que la fille de Pierre Sartre et Bertille de Swarte, Camille Sartre _ dont j’ignore toujours les lieu et date de naissance _ a eu de ses deux maris _ j’ignore aussi les dates de ces deux unions _ : Guillaume Touzet, puis Gaël de Swarte :

_ Romane Touzet ;

_ Louise et Martin de Swarte _ cependant, cette généalogie-ci ne m’apprend pas les lieux et dates de naissance de ces 3 enfants de Camille Sartre : pas plus pour ce qui concerne Romane, que pour ce qui concerne Louise et Martin…

Enfin, il va me falloir essayer d’estimer, faute de donnée plus précise, le moment important de la venue et installation de Bertille de Swarte en Roussillon ;

où elle donnera naissance à ses deux derniers enfants, issus de son union avec Hervé Langlois, professeur de chant, comme elle, qui sont Pauline Langlois de Swarte et Timothée Langlois de Swarte (ce dernier, à Céret, en 1995)…

C’est _ et c’est important à relever _ en 1988, qu’est créé à Perpignan l’IRVEM, l’Institut de de Recherche Vocale et d’Enseignement Musical Méditerranéen, dont Bertille de Swarte est une cheville-ouvrière.

De même qu’il faut relever aussi le décès à Prades, le 3 août 1990, de Pierre de Swarte, le grand-père-paternel de Bertille.

À suivre…

Ce dimanche 6 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Le côté de L’Esparrou, ou le côté de Marie-Thérèse Sauvy, ou maintenant le côté de Bertille de Swarte…

05juin

La personne qui _ après sa grand-mère maternelle Marie-Thérèse Sauvy, épouse Renduva faire de ce « côté de L’Esparrou« , à Canet-en-Roussillon,

une sorte de pendant, voire de rival, en attractivité familiale, face au « côté de La Meynie« , à Trélissac, en Périgord

_ qui est le côté d’Alain de Swarte _,

ce va être _ mais à partir de quelle date ? c’est diffile à établir… _ la petite fille _ parmi 27 petits-enfants : 10 petits-enfants Dargent-Rendu ; 4 petits-enfants Sirol-Rendu ; 4 petits-enfants Rendu-Wasmer ; 4 petits-enfants de Swarte-Rendu ; et 5 petits-enfants Rendu-Hanin… _ de Marie-Thérèse Sauvy-Rendu :

Bertille de Swarte

seconde après Thibault, et avant Béatrice et Eymeric, des 4 enfants d’Alain de Swarte et Geneviève Rendu-Sauvy.

La difficulté d’établissement d’une chronologie de la présence de Bertille de Swarte en Roussillon,

procède d’abord de l’absence de précisions concernant les générations des descendants actuellement en vie, au sein des _ très précieux _ arbres généalogiques publiés et accessibles sur le web ;

qu’il s’agisse de l’arbre généalogique composé par le frère aîné de Bertille : Thibault de Swarte,

ou de ceux composés par les cousins éloignés,

d’une part, côté Rendu, Thibaut Bourillon,

et d’autre part, côté de Swarte, Philippe de Brancion.

C’est donc ailleurs qu’il faut aller puiser _ en quelque sorte à l’épuisette _, et une par une, de minces données, le plus souvent trop partielles pour satisfaire pleinement la curiosité, concernant sinon Bertille elle-même, du moins ses proches, tels par exemple ses enfants, qui sont au nombre de 5 : Sylvain, Alexis et Camille Sartre ; et Pauline et Thimothée Langlois de Swarte…

 Et il va rapidement s’avérer que ces datas concernent rarement, sinon jamais, des circonstances de la vie familiale _ telles, par exemple, un mariage ou un faire-part de décès… _ mais des événements artistiques, et quasi exclusivement musicaux :

ou bien dans le cadre de l’IRVEM,

institut dans lequel, dès sa fondation, en 1988, Bertille de Swarte a été et demeure extrêmement active,

soit en tant que professeur de chant, soit organisatrice de concerts ;

 ou bien des concerts ou des réalisations discographiques de plusieurs de ses enfants, musiciens

tels Sylvain Sartre, le co-directeur du très bel Ensemble Les Ombres, et flûtiste baroque _ il a été élève de mon ami Philippe Allain-Dupré, je viens de le découvrir _  ;

Pauline Langlois de Swarte, pianiste, claveciniste et chanteuse ;

ou Thimothée Langlois de Swarte, brillant et merveilleux violoniste, et membre actif de l’Ensemble baroque Le Consort _ cf la série quotidienne de mes articles à partir de celui du 25 mai dernier : … 

Il me faut donc recollecter ces diverses données _ ponctuelles et éparses _ permettant de qualifier de « tropisme roussillonnais » le rayonnement attractif _ très au-delà de son cercle familial, bien vivant ! _ des activités _ musicales _ de Bertille de Swarte dans les Pyrénées-Orientales,

et au château de L’Esparrou…

Un rayonnement attractif assez comparable _ mais en un tout autre genre : musical, cette fois _ au rayonnement attractif _ environnemental, lui _ de son père Alain de Swarte, au Domaine de la Meynie, à Trélissac, en Périgord…

À suivre…

Ce samedi 5 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et en suivant l’exploration de la tension des pôles d’attraction des domiciliations, l’essai d’une chronologie roussillonnaise des de Swarte, autour de l’Esparrou (des Sauvy et Rendu)…

04juin

Mon projet présent concerne l’éclairage de la tension des 2 pôles d’attraction

pour certains des membres de la famille des de Swarte-Rendu :

l’attraction du pôle périgourdin du Domaine de La Meynie, à Trélissac (Dordogne), depuis son acquisition par Alain de Swarte en 1956 ;

et l’attraction du pôle roussillonnais de L’Esparrou, à Canet-en-Roussillon (Pyrénées-Orientales), depuis l’élévation du château, en 1889, suite à l’acquisition du Domaine, par Joseph Sauvy, en 1875…

Ainsi que la place qu’y tient la chronologie des événements familiaux les affectant,

à tenter d’établir le plus précisément possible...

La difficulté de la tâche tient à la relative pauvreté des données disponibles concernant le parcours de celle qui m’apparaît comme le centre polarisateur des attractions roussillonnaises, Bertille de Swarte,

dont j’ignore même le lieu _ Trélissac ? _, ainsi que la date _ et même seulement l’année _ de naissance.

Je suppose seulement que cette date de naissance de celle qui occupe la seconde place de la fratrie des 4 enfants d’Alain de Swarte et son épouse Geneviève Rendu-Sauvy _ après Thibault, et avant Béatrice et Eymeric de Swarte _,

se situe entre la date du 3 mars 1955 _ naissance de Thibault _, et la date du 29 mars 1962 _ naissance de Béatrice de Swarte _ : entre 1956 et 1961, par conséquent… 

Mais avant d’en venir là, je désire prendre en compte deux dates, et plus encore deux événements, qui me paraissent importants, voire essentiels, en cette chronologie de ce qui m’apparaîtt comme une attraction roussillonnaise de presque tous les membres de la famille de Swarte, du moins la parenté la plus proche d’Alain de Swarte (Hazebrouck, 3 janvier 1926 – Agnonac, 26 décembre 2009) :

je veux dire, d’une part, le repère que constitue, dans cette chronologie « roussillonnaise« , le décès à Prades (Pyrénées-Orientales), le 3 août 1990, de Pierre de Swarte (Vieux-Berquin, 10 décembre 1898 – Prades, 3 août 1990) _ alors que son épouse, Suzanne Martin de Ramefort (Gennes, Maine-et-Loire, 16 janvier 1902, Agonac 15 août 1997), est décédée, sept ans plus tard, en Dordogne, à Agonac…

et d’autre part, et surtout, le décès à Canet-en-Roussillon, le 30 juin 1994, de la grand-mère maternelle _ côté Rendu et Sauvy _ d’Alain de Swarte :

Marie-Thérèse Sauvy (Perpignan, 1er mai 1896 – Canet-en-Roussillon, 30 juin 1994), l’héritière du Domaine et du château de l’Esparrou.

Si le côté de Trélissac, et du Domaine de La Meynie,

c’est d’abord Alain de Swarte,

le côté de Canet-en-Roussillon, et du Domaine (et château) de L’Esparrou,

c’est d’abord Marie-Thérèse Sauvy, épouse Rendu.

Recherche bien sûr à suivre,

Ce vendredi 4 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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