En retombant sur un article du 14 juin 2019 comparant podcast et vidéo de mon entretien du 23 mai 2019 avec Hélène Cixous autour de son « 1938, nuits » : une remarque au passage sur une bien intéressante théâtralité ouverte naturelle de l’autrice…

— Ecrit le mercredi 12 avril 2023 dans la rubriqueBlogs, Littératures, Rencontres”.
En retombant sur un de mes anciens articles (du 14 juin 2019)
concernant l’un peu étrange différence entre écoute du podcast et regard de la vidéo de mon entretien avec Hélène Cixous du 23 mai 2019 à à propos de son « 1938, nuits »
il me semble que les remarques que j’’y faisais autour d’une certaine « théâtralité naturelle » – de l’autrice ? de la personne ? de leur articulation même, plus fondamentalement… – pourraient un peu largement intéresser…
 
Ce qui m’apparaît comme une certaine singularité-Cixous au cœur de sa poîétique même me semble ainsi assez fascinante…
 
Peut-être du fait de mon angle d’approche – sainte-beuvien en son départ du moins – des liens, mais non réducteurs bien sûr, entre « l’œuvre et la personne », et son histoire singulière…
Mon article effleurant déjà un peu cela…
 
Bref, l’œuvre-Cixous toujours et toujours poursuivi et continué-rabouté offre un passionnant profus trésor de lectures…
Comme l’inépuisable œuvre-Montaigne, et l’inépuisable œuvre-Proust, pour commencer…
 
Pour d’infinis entretiens en miroirs ouverts, inscrits dans l’écriture même, déjà :
« Indiligent lecteur, quitte ce livre » dans et par lequel je viens aussi m’adresser à toi…
Ce mercredi 12 mars 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

L'envoie de commentaire est désactivé

Chercher sur mollat

parmi plus de 300 000 titres.

Actualité
Podcasts
Rendez-vous
Coup de cœur