L’intelligence rêvée de l’esprit français de Martin James Bartlett en son magique « La Danse », et ses Ravel parfaits, aussi profonds qu’humblement élégants : « Le tombeau de Couperin », « Pavane pour une infante défunte » et « La Valse »…

— Ecrit le vendredi 16 février 2024 dans la rubriqueMusiques”.

Je ne me lasse décidément _ ni surtout _ pas d’écouter, et ré-écouter en boucle sur ma platine, le plus que parfait CD « La Danse » du jeune Martin James Bartlett,

et admire sans restriction aucune, en plus de la composition idéale (!) de son programme autour d’un plus que parfait, déjà, Ravel _ son épicentre (de 24′ 41) étant assez probablement « Le Tombeau de Couperin« , remarquablement incisif et enlevé sous les doigts prestes et tendres, justes, infiniment ravéliens, de Martin James Bartlett : une pure merveille !.. _ : Rameau, Couperin, Hahn, Debussy,

la profondeur élégantissime de ces trois Ravel-ci, « Le Tombeau de Couperin » (composé entre 1914 et 1917), « Pavane pour une infante défunte » (1899) _ rêveusement pensante et alanguie, prémonitoire… _, « La Valse » (1919-1920) _ implacablement lancéee, sans presse excessive, en son tourbillonnant vrillant destin, vers l’ultime, surprenant et muet, épuisé, clap de fin…

Le piano profond et élégant de ce jeune homme a tout compris et senti du basque frémissant, triomphant dans sa musique parfaite de ses plus sombres inquiétudes sur la vie…

Quelle sublime musique !

Et en quelle parfaite interprétation…

Comme en réponse musicale mieux que comblée à mes deux précédents articles

des 31 janvier « 

 et 12 février «  » derniers…

Ce vendredi 16 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

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