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Et encore la proximité, en Algérie, des cousins Girot venus de Roppe, avec les Girot venus de Menoncourt…

05mar

Hier, dans ma recherche des filiations possibles de Joséphine Girot _ probablement née, comme son mari Paul, en 1856 _, l’épouse de Paul Bonopéra et mère de leurs six fils (Jean, en 1877, à Pontéba ; Paul, en 1878, à Pontéba ; Alphonse, en 1881, à Charon ; Auguste, en 1883, à Orléansville ; Julien, en 1887, à Charon ; et Georges, en 1892, à Rabelais),

je m’en suis tenu à l’éventualité que Joséphine Girot soit issue d’un des deux fils, Jean-Pierre (né à Menoncourt le 3 avril 1832), ou Auguste Girot (né à Menoncourt le 28 mars 1835),

du couple formé _ leur mariage a eu lieu à Offemont le 22 février 1816 _, par Jean-Claude Girot (né à Menoncourt le 25 octobre 1793) et son épouse Marie-Catherine Herbelin (née à Offemont le 10 septembre 1896).

Cette famille Girot de Menoncourt,

à laquelle il faut aussi joindre leur fille aînée Catherine Girot (née à Menoncourt le 23 juillet 1826 _ elle décèdera à L’Alma le 29 août 1879 _) et son époux Jacques Dézoteux (né à Flaumont le 3 avril 1823 _ il décèdera à Marengo le 10 octobre 1872 _), dont le mariage avait eu lieu à Menoncourt le 18 février 1846 _ devenue veuve, Catherine Girot se remariera le 15 décembre 1873 avec Augustin Rocher, cordonnier à L’Alma, qui était né à Châtellerault le 11 décembre 18219 _ ;

ainsi que leurs trois premiers enfants Dézoteux : Joseph-Jacques, Jules-Jacques et Pierre (nés tous trois à Menoncourt les 7 janvier 1849, 9 juin 1850 et 16 avril 1852) _ mais pas leur quatrième enfant, Eugénie-Catherine Dézoteux, née, elle, en Algérie en 1856 : elle décèdera à Alger le 28 juillet 1859, à l’âge de 3 ans et demi… _,

a entretenu, en Algérie, quelques liens avec de probables cousins Girot, originaires, eux, du proche village de Roppe, situé alors _ de même que Menoncourt _, dans le département du Haut-Rhin _ c’est suite à la guerre perdue de 1870, que cette portion-là d’Alsace, où se situent et Menoncourt et Roppe (de même que le village de Rougemont, dont sont originaires les Wachter d’Orléansville, apparentés aux Gentet, et aux Rey, et donc aussi aux Ducos du Hauron qui nous intéressent), et plus précisément du territoire du département du Haut-Rhin, demeurera, elle, en France, faisant partie de ce nouveau département français créé alors, qu’est le Territoire de Belfort.

La famille de Joseph Girot (né à Roppe en 1816 ou 1817, et décédé à Alger le 20 avril 1872) et son épouse Marie-Rose Blanc), est constituée de plusieurs enfants Girot nés à Roppe, avant le départ de cette famille en Algérie :

une première Marie-Catherine Girot (née à Roppe le 27 avril 1845 _ et dont j’ignore la date et le lieu du décès : en Algérie ? _), Joseph-Jacques Girot (né à Roppe le 5 août 1846), Marie-Françoise Girot (née à Roppe le 28 janvier 1848 _ et future épouse, à Alger, le 27 avril 1878, de Nicolas-Jules Geoffroy _), François Girot (né à Roppe le 3 mars 1854 _ j’ignore le lieu et la date de son décès : en Algérie ? _) ; auxquels il faut adjoindre, née cette fois en Algérie, Marie-Catherine Girot (née à Mustapha, sur les hauteurs d’Alger, le 11 décembre 1849 _ future épouse, à Alger, le 3 mars 1877, d’Augustin Rocher ; et qui décèdera à Ménerville, toujours en Algérie, le 15 juillet 1933 _).

De cette famille Girot originaire de Roppe, Marie-Françoise Girot, en effet, épousera à Alger le 27 avril 1878 Nicolas-Jules Geoffroy (né à Courcelles, dans le département des Vosges, le 10 février 1841, et scieur de long de son état ;

et sa sœur Marie-Catherine Girot, épousera à Alger le 3 mars 1877 Augustin Rocher-fils, né à Châtellerault le 2 mai 1853 _ et qui décèdera à Ménerville, lui aussi, le 2 mai 1929 ; Augustin Rocher était, de même que son père Augustin Rocher, qui était né à Châtellerault le 11 décembre 1819 (et qui devint le second époux de Catherine Girot, devenue veuve de son premier mari, Jacques Dézoteux), cordonnier de profession.

Le lien de parenté entre l’Augustin Rocher, né à Châtellerault le 11 décembre 1819, et qui, le 15 décembre 1873, à L’Alma, épousera Catherine Girot (la fille aînée de Jean-Claude Girot, de Menoncourt),

et l’Augustin Rocher, né à Châtellerault le 2 mai 1853 _ soit 33 années plus tard, et cordonnier de son état, lui aussi _, et qui épousera, à Alger, le 3 mars 1877 Marie-Catherine Girot  (la la seconde fille de Joseph Girot, de Roppe) apparaît bien plus que vraisemblable, il est tout bonnement réel : car il s’avère, en effet, que l’un est le père, et l’autre son fils _ né de la première épouse du père, Augustin Rocher : Elisabeth Raboteau (décédée à Aumale, en Algérie, le 23 avril 1865) _ ;

de même que le vraisemblable cousinage _ qui reste à établir, lui, et confirmer… _ entre les pères Jean-Claude _ né à Menoncourt le 25 octobre 1793 _ et Joseph _ né à Roppe en 1816 _ Girot, de Catherine Girot _ née à Menoncourt le 23 juillet 1826 _ et Marie-Catherine Girot _ née à Mustapha le 11 décembre 1859 ; et fille des Girot originaires de Roppe.

D’autant que les pièces d’Etat-civil, en Algérie, des membres de ces familles Girot, nous présentent des liens croisés entre les membres de ces deux familles Girot, celle originaire de Menoncourt, et celle originaire de Roppe.

Ainsi, lors du mariage, le 27 avril 1878, à Alger, de Marie-Françoise Girot _ née à Roppe le 28 janvier 1848, et fille de Joseph Girot (né à Roppe en 1816 et qui mourra à Alger le 20 avril 1872) _, avec Nicolas-Jules Geoffroy _ le scieur de long originaire des Vosges _, font partie des témoins des mariés,

d’une part, Joseph Girot, 31 ans _ il est né à Roppe le 5 août 1846 _, menuisier, et frère de la mariée : enfants tous deux, Marie-Françoise et Joseph, du Joseph Girot né en 1816 à Roppe ;

donc un Girot de la branche de Roppe ;

et d’autre part, Auguste Rocher, 25 ans _ il est donc né en 1853 : à Châtellerault ? oui ! le 2 mai 1853 ! _, cordonnier : fils, donc, de cet autre Augustin Rocher, né à Châtellerault le 11 décembre 1819, qui, veuf de sa première épouse, Elisabeth Raboteau, décédée à Aumale le 23 avril 1865, avait épousé à L’Alma le 15 décembre 1873 Catherine Girot, récente veuve _ depuis le 10 octobre 1872 _ de Jacques Dézoteux, et fille de Jean-Claude Girot _ dont Catherine Girot, la mariée de ce 15 décembre 1873, déclarait ignorer le lieu actuel de résidence, en ce mois de décembre 1873 _ et de feue (sic) Catherine Herbelin _ dont la mariée disait ignorer aussi le lieu du décès _, ainsi qu’il est bien spécifié dans l’acte d’Etat-civil :

soit le beau-fils, par alliance, de Catherine Girot, la nouvelle épouse de son père Rocher ; et fille aînée de Jean-Claude Girot ;

donc maintenant apparenté aux Girot de la branche de Menoncourt !

Et encore, ceci :

au mariage, le 31 mai 1884, à Mustapha, de Gabrielle Girot _ née à Mustapha le 11 août 1867 _, la seconde des filles d’Auguste Girot _ le plus jeune des enfants de Jean-Claude Girot et son épouse Marie-Catherine Herbelin : Auguste Girot est né à Menoncourt le 28 mars 1935 _, de la branche des Girot de Menoncourt, et de son épouse Antonia (ou Antoinette) Brinis, avec Jean-Paul-Joseph Bautzmann _ né à Dahlen, en Saxe, le 21 mars 1857 _,

feront partie des quatre témoins des mariés,

deux personnes liées, à nouveau, l’une, à la branche des Girot de Menoncourt ; et l’autre, à la branche des Girot de Roppe :

soient d’une part, Laurent Sourroubille, restaurateur _ né à Prat (dans le département de l’Ariège), le 17 septembre 1844 _, beau-frère de la mariée Gabrielle Girot _ dont il a épousé, à Hussein Dey, le 24 juin 1882, la sœur aînée : Cécile Girot, née à Mustapha le 11 novembre 1865 _ ;

et membre par alliance, ainsi, de la famille Girot _ issue de la branche de Jean-Claude Girot _, de Menoncourt ;

et d’autre part, Nicolas-Jules Geoffroy, scieur de long né à Courcelles (département des Vosges), le 10 février 1841 _, époux, le 27 avril 1878, à Alger, de Marie-Françoise Girot _ née à Roppe, le 28 janvier 1848 _, fille de feu Joseph Girot _ né à Roppe en 1816, et décédé à Alger le 20 avril 1872 _,  et de son épouse Marie-Rose Blanc ;

et membre par alliance, lui, de la famille Girot _ issue de la branche de Joseph Girot _, de Roppe.

Reste à mieux préciser le lien familial _ de cousinage ? _ existant entre ce Jean-Claude Girot de Menoncourt et ce Joseph Girot de Roppe,

tous les deux venus, avec leurs familles, s’installer, au début de la décennie des années 50 du XIXe siècle, en Algérie,

où tous deux sont décédés.

Les Girot de Menoncourt sont arrivés en Algérie entre, d’une part, la naissance du petit Pierre Dezoteux _ fils de Jacques Dezoteux et son épouse Catherine Girot _, à Menoncourt, le 16 avril 1852, et, d’autre part, le mariage, à Ténès, le 1er août 1854, de Jean-Pierre Girot avec Marie-Magdelaine-Augustine Hermite _ soit durant un écart de 2 ans et 3 mois et demi : autour de 1853… _ ;

et les Girot de Roppe sont arrivés en Algérie, eux, entre la naissance du petit François Girot _ fils de Joseph Girot et son épouse Marie-Rose Blanc _, à Roppe, le 3 mars 1854, et la naissance de la petite Marie-Catherine Girot, à Mustapha, le 11 décembre 1859 _ soit durant un écart un peu plus large de 5 ans et 9 mois et demi : autour de 1856.

Ce qui ne m’a guère fait avancer dans l’exploration de la filiation, en amont, de Joséphine Girot,

probablement née en 1856 :

mais duquel de ces divers Girot, de Menoncourt et de Roppe ?

Cependant,

le principe de sérendipité se révèle souvent, sur la longueur, formidablement généreux :

le plus infime détail pouvant, en effet, se métamorphoser,

avec l’aide d’un minimum de mémoire, ainsi que d’imageance, en permanente alerte,

en merveilleusement fructueux indice de découverte…

Et c’est là le principe de toute effective recherche.

Ce vendredi 5 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques repères, au moins géographiques, sur l’environnement familial de Joséphine Girot, la première épouse de Paul Bonopéra, et mère de ses six fils…

03mar

Il y a un moment que je m’intéresse à l’identité de l’épouse première de Paul Bonopéra, et mère de ses six fils :

Jean, né à Pontéba, le 18 juin 1877 ;

Paul, né à Pontéba, lui aussi, le 19 septembre 1878 :

Alphonse, né à Charon, le 1er janvier 1881 ;

Auguste, né à Orléansville, le 3 avril 1883 ;

Julien, né à Charon _ à nouveau : comme son frère Alphonse _, le 9 janvier 1887 ;

et enfin Georges, né à Rabelais _ commune de Ténès _, le 21 février 1892.

Voilà qui nous fournit au moins quelques indices _ bien que non absolument décisifs ; mais c’est quand même mieux que rien… _ sur la localisation possible de l’enracinement familial _ éventuel : cela devra, bien sûr, être complété ; c’est ce que je me propose de faire ici… _ de la première épouse de Paul Bonopéra, né, lui, à Miliana, le 1er octobre 1856.

À la date de la naissance de leur fils aîné, Jean Bonopéra, le livret militaire commencé de remplir lors du passage de celui-ci à son conseil de révision, à Orléansville, en 1898, commence par donner à la fois la date et le lieu de sa naissance _ le 18 juin 1877, à Pontéba _, ainsi que le lieu de sa résidence _ à Rabelais _ et de sa profession _ cultivateur _ actuelles _ en 1898 _ ; avec le nom de ses deux parents : « Paul Bonopéra » et « feue Giraud Joséphine« …

Déjà, la confrontation des 6 livrets militaires, au moment du passage de chacun d’entre eux à son conseil de révision, à Orléansville,

va nous livret de semblables indications _ tout administratives, réglementaires, prévues sur les formulaires _ ;

et si les renseignement fournis ne nous donneront rien sur les domiciliations successives de Joséphine Girot (ou Giraud), puisque celle-ci était déjà décédée en 1898,

au moins nous connaîtrons les lieux où celle-ci a de fait accouché de chacun de ses 6 fils :

à Ponteba, le 18 juin 1877, pour son fils aîné Jean Bonopéra ;

à Pontéba, à nouveau, le 19 septembre 1878, pour son deuxième fils Paul ;

puis à Charon, le 1er janvier 1881, pour son troisième fils, Alphonse ;

ensuite _ et pour quelles raisons : liées à sa famille Girot ? _ à Orléansville, le 3 avril 1883, pour son quatrième fils, Auguste ;

puis, à nouveau, à Charon, le 9 janvier 1887, pour son cinquième fils, Julien ;

et enfin à Rabelais _ où cette famille Bonopéra semble avoir résidé un bon moment, peut-être jusqu’en 1905 ou 6 _, le 21 février 1892, pour son sixième et dernier fils, Georges.

Ensuite, plus aucun indice de vie concernant Joséphine Girot…

Et Paul Bonopéra contractera, en 1897, à Rabelais _ où était né en 1892 son fils Georges _, un second mariage _ bientôt suivi d’un divorce _, avec une résidente de Rabelais _ fille de César-Florentin-Armand Claudet-Fricand (né le 27 août 1844 à Bannans, Doubs), et Marie-Julie-Séraphine Laignier, née à Bannans, Doubs _, Marie-Jeanne-Virginie Claudet.

Je me suis mis en recherche de membres de familles Girot ayant résidé dans la région d’Orléansville, durant la période où a pu y vivre aussi Joséphine Girot, probablement née en 1856 _ comme est né en 1856 aussi Paul Bonopéra _,

ainsi que le fait est déductible d’un des actes de naissance d’un de leurs enfants, attribuant le même âge à chacun des deux parents, Joséphine comme Paul :

à Orléansville même,

ou bien à Pontéba, Charon et Rabelais, les villes où Joséphine Girot a accouché de ses six enfants Bonopéra…

Et de fait, j’ai bien trouvé, ayant résidé à Pontéba, ainsi qu’à Orléansville, la famille de Jean-Claude Girot (né à Menoncourt, dans le département du Haut-Rhin, le 25 octobre 1793) et son épouse Marie-Catherine Herbelin (née à Offemont, dans le département du Haut-Rhin, le 10 septembre 1796), mariés à Offemont le 22 février 1816 ; et ayant eu, à Ménoncourt où ils étaient domiciliés _ le père de famille exerçant la profession de menuisier _ de très nombreux enfants _ pas mal d’entre eux décédés en bas âge…

Toujours est-ils que Jean-Claude Girot et son épouse ont quitté leur Alsace natale pour venir s’installer en Algérie, avec au moins trois de leurs enfants Girot _ dont j’ai pu retrouver trace _

_ Catherine Girot, née à Menoncourt le 23 juillet 1826 ;

_ Jean-Pierre Girot, né à Menoncourt le 3 avril 1832 ;

et _ Auguste Girot, né à Menoncourt le 28 mars 1835.

En 1856, Jean-Claude Girot avait 63 ans ; et son épouse Marie-Catherine, 60 ans. Ils n’ont donc plus l’âge d’être les parents de Joséphine Girot ; mais toujours celui d’être ses grands-parents…

Joséphine pourrait ainsi être la fille de l’un de leurs deux fils présents eux aussi en Algérie :

_ Jean-Pierre Girot, qui a épousé à Ténès, le 1er août 1854, Marie-Magdelaine-Augustine Hermite (née à Alger le 18 février 1838) ;

_ ou bien Auguste Girot, qui a épousé à Alger _ mais sept années plus tard _, Antonia Brinis _ et le jour même de leur mariage, Auguste a aussi reconnu que la petite Augustine, née à Alger le 21 novembre 1861, était une « enfant procréée de leurs œuvres« , comme cela est spécifié dans leur acte de mariage…

Toujours est-il que j’ai pu relever les fait suivants concernant Jean-Claude Girot et son épouse Marie-Catherine Herbelin :

_ au moment du mariage, le 1er août 1854, à Ténès, de leur fils Jean-Pierre, Jean-Claude Girot et son épouse, les parents du marié, « présents et consentants« , sont mentionnés dans l’acte de mariage comme exerçant la profession de « cultivateurs » à Pontéba ;

_ et au moment du mariage, le 24 décembre 1861, à Orléansville, de leur autre fils Auguste Girot, les parents du marié sont à nouveau « présents et consentants » ; et le père du marié est mentionné dans l’acte de mariage comme exerçant la profession de « menuisier » à Orléansville ;

_ en revanche, au moment du remariage, le 15 décembre 1873, à L’Alma, de leur fille Catherine Girot (née à Menoncourt le 23 juillet 1826),

devenue veuve de son premier époux _ qui était venu en Algérie, de Menoncourt, avec elle ; et avec leurs deux enfants, Jacques-Joseph et Pierre Dezoteux, nés à Menoncourt tous les deux, en 1848 et 1852) _ Jacques Dezoteux (né à Menoncourt, et décédé à Marengo le 10 octobre 1872),

avec Augustin Rocher (né à Châtellerault le 11 décembre 1819),

Catherine Girot déclare que sa mère Catherine Herbelin est déjà décédée, et en un lieu qu’elle ignore ; et qu’elle ignore aussi le lieu de la résidence actuelle de son père Jean-Claude Girot ;

_ cependant, Auguste Girot, au moment du décès, à Mustapha, le 2 mars 1874, de son petit enfant Auguste, âgé de 18 mois, Auguste Girot, époux d’Antoinette Brinis, déclare que son père Jean-Claude Girot est menuisier à Orléansville ;

_ mais à la fin, lors du décès de Catherine Girot _ successivement épouse de Jacques Dezoteux, puis d’Augustin Rocher _, à L’Alma, le 29 août 1879,

les deux parents, de la défunte, Jean-Claude Girot et Marie-Catherine Herbelin, sont tous deux déclarés « déjà décédés« …

Reste que jusqu’ici je n’ai pas pu mettre la main sur une pièce officielle attestant la filiation de cette Joséphine Girot, la mère des six fils de Paul Bonopéra.

J’ai seulement relevé que parmi les six fils du méditerranéen Paul Bonpopéra et de l’alsacienne Joséphine Girot,

trois d’entre eux sont bruns aux yeux noirs,

et les trois autres blonds aux yeux bleus…

À suivre…

Ce mercredi 3 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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