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Les Mahonnais en Algérie à partir de 1830, et l’intégration de certains d’entre eux à la famille Bonopéra : de Margalida Miguela Saura, épouse de Juan-Dionis-Francisco Bonopera, à Jeannine-Adrienne Tudury, épouse de Paul-Pierre-Julien-Auguste Bonopéra…

02mai

J’ai commencé à m’intéresser à la venue des Mahonnais de Minorque en Algérie, à partir de 1830,

quand j’ai pris connaissance du mariage, à Alger, le 28 mars 1840, de Juan-Dionis-Francisco Bonopéra (Tarragone, 9 mars 1814 – Pontéba, 1776) _ fils de l’italien Luigi-Nicola Bonopera (Macerata, ? – Alger, 19 août 1835) et son épouse catalane Jacinta Minguella (Barcelone, 1797 – Alger, 24 février 1841) _ avec la mahonnaise, de Minorque, Margalida Miguela Saura (Santa-Maria-de-Mahon, 21 mars 1820 – Pontéba, 1876).

Et voilà que m’intéressant,

parmi la descendance de son petit-fils _ fils de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) et Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892) _ Jean Bonopéra (né à Pontéba le 18 juin 1877),

à son petit-fils _ fils aîné de son fils Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 25 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977) et son épouse Clénentine Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, 5 juillet 1980) _ Paul-Pierre-Julien-Auguste Bonopéra (La Ferme, 31 juillet 1926 – Toulon, 8 juillet 2000),

je découvre que l’épouse de celui-ci _ en un lieu et une date que j’ignore à ce jour _, Jeannine-Adrienne Tudury (Saint-Eugène, 7 septembre 1929 – Toulon, 5 juin 2007),

porte un nom, celui de Tudury, spécifiquement mahonnais, de l’île de Minorque…

Même si j’ignore à ce jour qui sont les parents de Jeannine-Adrienne Tudury _ en dépit de mes recherches sur diverses généalogies de familles Tudury, accessibles sur le Net _,

mes recherches sur la présence en Algérie d’assez nombreux porteurs de ce nom de Tudury,

m’apprennent que pas mal de Tudury sont venus, depuis l’île de Minorque, en Algérie à partir de 1830 (et du début de la colonisation française de l’Algérie) :

du fait que Mahon, dans l’île de Minorque, constituait une escale quasi obligée des navires français en provenance de Toulon _ d’où partaient les vaisseaux français pour la conquête de l’Algérie : Mahon se situe exactement à mi-chemin entre Toulon et Alger ; et les Français y avaient créé une base d’intendance ainsi qu’un hôpital… _ et au service de la très active colonisation française de l’Algérie… ;

une escale dont profitèrent pas mal de mahonnais et minorquins, que leur extrême pauvreté parvenait à convaincre de tenter venir faire meilleure fortune en Algérie ;

une immigration fortement encouragée par les autorités françaises soucieuses de renforcer l’implantation d’Européens en Algérie _ et on peut aussi remarquer que dès 1834 Alger possède sa rue de Mahon…

 Ce que m’a confirmé ce que j’ai pu apprendre de la présentation du livre de Guy Tudury La Prodigieuse histoire des Mahonnais en Algérie : de Minorque en Algérie à partir de 1830, paru aux Éditions Lacour-Ollé en 2014 :

« Pourquoi «Mahonnais» ? Le terme est impropre, car il englobe l’ensemble des habitants de l’île de Minorque qui ont émigré en Algérie entre 1830 et 1870.
Pour quelles raisons les Minorquins sont-ils venus s’installer dans cette nouvelle province française, et quelles ont été les motivations qui les ont poussés à franchir ce pas franc dans ce qui était, pour eux-aussi, l’inconnu ?
Des 1830, date de la prise d’Alger, les Mahonnais vont prendre le chemin de l’exode, sans relâche, selon malgré tout des seuils d’inégales importances.
Minorque va connaître le plus grand dépeuplement de son histoire puisque, comptant à cette époque un peu plus de 39.000 habitants, elle va ainsi perdre 42 % de sa population !
Le phénomène du départ, pour toujours, de ces insulaires reste singulier ; il ne peut être confondu avec celui des autres groupes ethniques qui ont peuplé Algérie. En effet, la proximité de l’île, son caractère, les circonstances elles-mêmes de cette formidable aventure, font que les Mahonnais ont été au côté de l’Armée française, les premiers étrangers à fouler le sol barbaresque qui, par nos efforts conjugués, est devenu cette Algérie à laquelle nous ne cesserons jamais de penser.
Le but de cet ouvrage est de compléter la saga de ces hommes, de ces femmes, de ces enfants, en faisant appel à des sources nouvelles, bien souvent inédites, issues des archives historiques ou de revues minorquines, ou bien encore à partir de documents officiels émanant des Archives d’Outre-Mer d’Aix-en-Provence venant épauler les trop rares documents consacrés à cette communauté« …

« De nombreux immigrés débarquent à Alger pour le travail de la terre, les grands travaux de communication ainsi que la construction des villes nouvelles. Les Mahonnais débarquent et s’installent en grand nombre dans l’Algérois, notamment à Fort-de-l’Eau, Rouïba, Maison-Carrée, Cap-Matifou, Hussein Dey, Birkadem, Birmandreis et Blida.

Les Mahonnais sont spécialisés dans le travail de la terre : ils fourniront tout Alger en primeurs.

Ils débarquent dans la baie d’Alger de manière légale ou illégale à bord de petits bateaux nommés balancelles, surtout pendant la période d’occupation restreinte, entre 1830 et 1845. Chaque famille accueillant ses compatriotes au début. Les liens familiaux sont très forts, la communauté est assez hermétique, surtout au début où l’endogamie communautaire hispanique est très pratiquée.

Ils s’adaptent très facilement au climat rude, mais proche de celui de leur île d’origine, et adaptent leurs méthodes (noria, rigoles pour l’irrigation entre autres) pour le travail de la terre, souvent en tant que travailleurs saisonniers dans un premier temps. Leur mobilité est très grande. Ils accèdent toutefois aux concessions : la création de Fort-de-l’Eau témoigne de l’importance de ces familles mahonnaises très appréciées par l’administration coloniale.

Au xixe siècle, ces Mahonnais mettront en valeur toute la région autour d’Alger, non sans problème : l’insécurité est très forte. Il n’est pas rare que les travailleurs soient confrontés à des attaques de hyènes ou à des attaques indigènes lors des razzias en période d’insurrection (sous la direction d’Abdelkader). Ils sont également confrontés au paludisme répandu alors dans la Mitidja.

Au xxe siècle, les générations successives de Mahonnais s’intègrent assez facilement dans la société coloniale. L’armée et l’école en font rapidement _ voilà ! _ des Français à part entière. Ces descendants de Minorquins accèdent à des professions autres que le travail de la terre.

Descendant célèbre de minorcains : Albert Camus, par sa mère« , Catherine-Hélène Sintès (Birkadem, 5 novembre 1882 – Alger, 20 septembre 1960), fille d’Étienne Sintès (Alger, 25 avril 1851 – Chéragas, 10 janvier 1907) et de Maria-Catalina Cardona-Fedelich (Sant-Lluis, Minorque, 25 décembre 1857 – après 1930) ; le père d’Étienne Sintès est Miguel Sintes (Ciutadella-Mahon, Minorque, 1er septembre 1817 – Kouba, 9 août 1863)…

Tout cela est passionnant !

À suivre…

Ce dimanche 2 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Retour obstiné au noeud de l’enquête autour de la branche « algérienne » des Ducos du Hauron : les liens entre les Rey, Gentet, Wachter, Confex et Bonopéra, à Orléansville

18avr

J’ai beau rechercher en diverses directions,

je continue de buter sur le nœud, à Orléansville, au tout début du XXème siècle, des liens _ d’apparentements matrimoniaux et de filiations _ entre les familles Rey _ et Ducos du Hauron, Gadel, puis Ducros et Bure _, Gentet, Wachter, Confex et Bonopéra,

assez bien cerné déjà _ me semble-t-il _ en mon article _ assez lucide _ du mercredi 3 février 2021 :

Au-delà de ma collecte patiente et quasi acharnée de documents,

je place mon espoir de progrès de cette enquête

dans l’inespéré contact de descendants de ces familles, qui seraient enfin aptes à me révéler _ ne serait-ce que par témoignage mémoriel _ quelques pièces obstinément manquantes de ce puzzle familial algérien, à Orléansville…

Comme qui était « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter » ?

Et « Madame Veuve Paul Bonopéra – mère, née Confex » ?

Puisque telles sont les deux principales énigmes sur lesquelles je continue de buter…

Ce dimanche 18 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Macerata 1808, Fabriano 1928 : des Bonopera s’expatriant des Marches à 120 ans de distance ; et obtenant leur naturalisation française, en 1889 et 1936…

17avr

L’apport premier _ et significatif de questions à se poser… _ de mon article d’hier ,

est le constat qu’à environ 120 ans de distance (1808 – 1928),

les Bonopera _ Luigi-Nicola et Attilio _ dont le commun patronyme a retenu mon attention,

sont tous les deux originaires de la province des Marches, en Italie :

Luigi-Nicola Bonopera (Macerata, ?, ? – Alger, 19 août 1835) quittant, peut-être vers 1808, sa ville de Macerata pour l’Espagne (la Catalogne) conquise par Napoléon ;

et Attilio Bonopera (Fabriano, 21 novembre 1891 – Evian, 1943) fuyant, l’hiver 1928-29, sa ville de Fabriano pour la France (et la Haute-Savoie) républicaine afin d’échapper aux griffes du fascisme de Mussolini…

J’ignore, bien sûr, si existe, ou pas, quelque lien de parenté entre ce Luigi-Nicola Bonopera, de Macerata, et cet Attilio Bonopera, de Fabriano, dans les Marches ;

mais, il n’empêche, je ne peux manquer de remarquer

non seulement la parenté de deux situations historico-géographiques, à 120 ans de distance,

mais aussi la similarité de comportement d’expatriation de ces deux Bonopera originaires des Marches ;

ainsi qu’une communauté de recherche de salut, pas seulement individuel, mais familial aussi, du côté de la France,

et de certains de ses plus nobles idéaux _ peut-être de justice…

La naturalisation française a été obtenue par le petit-fils de Luigi-Nicola Bonopera, Paul Bonopéra le 23 avril 1889,

et par Attilio Bonopéra, son épouse Gioconda, et leurs enfants Mario, Ennio, Vasco, Enzo, Edera, Michel et René Bonopéra, le 25 décembre 1936…

À suivre,

Ce samedi 17 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A la recherche des descendants de la famille Bonopéra d’Orléansville : début d’un essai de recension des Bonopéra vivant aujourd’hui en France…

16avr

Ce jour,

j’ai commencé _ commencé seulement… _ un essai de recension _ le plus exhaustif possible…de ceux qui portent aujourd’hui, en France, le patronyme de Bonopéra,

avec l’idée de répartir,

d’une part, ceux me paraissant susceptibles de faire partie, du moins à ce que je peux en savoir _ ou en escompter _, des descendants de la famille Bonopéra d’Orléansville _ dont l’ancêtre Luigi-Nicola Bonopera (décédé à Alger le 19 août 1835) venait de Macerata, dans les Marches, en Italie, après un passage en Catalogne, où est né, à Tarragone, son fils Juan-Dionis-Francisco Bonopera, le 9 mars 1814… _ ;

d’autre part, ceux qui semblent descendre de Bonopéra venus, eux, directement d’Italie _ tel Attilio Bonopera (Fabriano, 21 novembre 1891 – Evian, 1942), militant antifasciste réfugié en France, d’abord à Saint-Jeoire, en Haute-Savoie, en traversant à pied les Alpes l’hiver 1928-1929, rejoint, un an plus tard, toujours à pied et clandestinement, par son épouse, née Gioconda Cardinelli (Fabriano, 30 juin 1896 – Evian, 1973), et leurs quatre fils Mario, Ennio, Vasco et Enzo Bonopéra, tous nés à Fabriano (le 12 juillet 1917, le 17 mai 1920, le 12 juillet 1921 et le 9 octobre 1926), dans les Marches, en Italie.

Je note aussi, au passage, que les membres de cette famille Bonopéra d’Evian (composée d’Attilio, son épouse Gioconda, et leurs enfants Ennio, Vasco, Enzo, tous nés à Fabriano, en Italie, successivement le 21 novembre 1891, le 30 juin 1896, le 17 mai 1920, le 12 juillet 1921, et le 29 octobre 1926 ; ainsi que leurs autres enfants, nés, eux, en Haute-Savoie : Edera Francia, née à Saint-Jeoire le 31 août 1931 , Michel, né à Bonneveaux le 6 mars 1935, et René, né à Thonon-les-Bains le 3 octobre 1936), qui tous obtinrent la naturalisation française le 25 décembre 1936, ont fait partie, suite à la réunion d’une commission plénière le 8 août 1941, par un décret du 19 janvier 1942, publié au Journal Officiel du 23 janvier 1942, de la liste des « dénaturalisés par le régime de Vichy«  ; j’y reviendrai…

Né à Fabriano le 9 octobre 1926, Enzo Bonopera, de même que ses frères aînés (Mario, l’aîné, né à Fabriano le 23 juillet 1917, sera abattu par les Allemands le 19 juillet 1944 à Loisin, en Haute-Savoie ; et Ennio, le second, participera à la Guerre d’Espagne, dans les rangs républicains…), sera, lui aussi, Résistant.

Enzo Bonopéra, qui a 95 ans, vit toujours, bon pied bon œil, à Evian…

Mais je remarque aussi que la ville de Fabriano, dans les Marches, d’où sont originaires ces Bonopéra de Haute-Savoie, se situe à seulement 60 kms de la ville de Macerata, la ville natale de Luigi-Nicola Bonopera, l’ancêtre de nos Bonopéra d’Orléansville.

Et notre Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916, petit-fils de Louis-Nicolas Bonopéra, décédé, lui, à Alger le 19 août 1835), réputé jusqu’alors, en 1889, de même que ses parents Juan-Dionis-Francisco Bonopera (né à Tarragone le 9 mars 1814) et Margalida Miguela Saura (née à Mahon, île de Minorque, le 21 mars 1820), de nationalité espagnole, a obtenu la nationalité française le 23 avril 1889 (consulter la page 585 du Bulletin officiel du Gouvernement général de l’Algérie Tome XXIX)… _ ;

et enfin, d’autres encore, aux origines moins décelables…

Ce travail _ tâtonnant… _ commence seulement…

À suivre, par conséquent…

Ce vendredi 16 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Duquel des Bonopéra d’Orléansville le producteur Georges Bonopéra est-il le fils et le petit-fils ?

15avr

En poursuivant mes réflexions à partir de ma découverte récente de l’origine italienne (Macerata, dans les Marches) de Lluis-Nicolas _ Luigi-Nicola _ Bonopera,

le père de Juan-Dionis-Francisco Bonopera ;

et grand-père de Marguerite Bonopéra et Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916)…

Bien sûr, ce patronyme de Bonopera a peu de résonance espagnole,

non plus que catalane ;

et aurait dû me faire rechercher davantage plus tôt du côté de l’Italie…

Or parmi les Bonopéra citoyens français d’aujourd’hui que je ne sais auquel des Bonopéra d’Orléansville rattacher,

il se trouve qu’existe un homme de médias assez connu Georges Bonopéra,

né à Orléansville en 1950.

C’est du moins ce que révèle, déjà, la notice à son propos présente à la page 192 du bien intéressant Dictionnaire biographique des Français d’AFN, de René Mayer,

dont la première édition est parue le 1er octobre 2006.

Alors je me demande :

duquel de nos Bonopéra d’Orléansville ce Georges Bonopéra-ci, né donc à Orléansville en 1950, serait-il donc le fils ?

ainsi que le petit-fils ?

Des 6 fils

de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916)

et sa première épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892),

Jean (Pontéba, 18 juin 1877 – ?, ?),

Paul (Pontéba, 19 septembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930),

Alphonse (Charon, 1er janvier 1881 – Orléansville, 5 mars 1927),

Auguste (Orléansville, 3 avril 1883 – ?, ?),

Julien (Charon, 9 janvier 1887 – ?, ?)

et Georges (Rabelais, 21 février 1892 – Arbouans – 7 mars 1918),

Alphonse et Georges sont demeurés célibataires, et n’ont pas eu de descendance :

ni féminine, ni masculine.

Julien et son épouse Lucie Besse n’ont eu qu’une fille, Paulette-Charlotte _ née le 7 juillet 1914, et qui décèdera à Auterive (Haute-Garonne) le 29 mars 2007, et qui a épousé à Orléansville le Dr Charles Zanot ; et dont les enfants portent le patronymee de Zanot, et non celui de Bonopéra _ ;

il n’ont donc pas de descendance masculine portant le nom de Bonopéra.

Des fils Bonopéra _ de Paul Bonopéra et Joséphine Girot _ susceptibles de perpétuer le patronyme _ assez peu courant, et bien reconnaissable _ Bonopéra,

ne restent ainsi que Jean, Paul et Auguste Bonopéra.

Auguste Bonopéra – le cafetier d’Orléansville et son épouse Isabelle Vivès ont eu deux filles :

Hélène-Isabelle (née à La Ferme, le 20 mai 1905, et qui épouse le 17 mai 1925 Michel-Albert Pons, né à Perrégaux le 1er novembre 1897) ; et dont les deux enfants, Michelle, née à Orléansville le 1er février 1929, et Auguste, né à Orléansville le 3 novembre 1932, portent le patronyme de Pons, et non celui de Bonopéra !,

et Yvonne (née à Orléansville le 9 avril 1912, décédée à Montpellier le 10 août 2008), demeurée célibataire, et sans descendance ;

ainsi que deux fils :

Auguste Bonopéra-fils (?, ??, ?) qui épouse à Orléansville le 25 juin 1932 Antoinette Galléra ; ils auront seulement deux filles _ et pas de fils _, les jumelles Antoinette et Claudette Bonopéra, nées à Orléansville le 3 mai 1933 ; Huguette épousera à Orléansville Gérard Dubois, dont elle aura 5 enfants (Georges, Jean-Marc, Michel, Pascale et Isabelle) qui portent le patronyme de Dubois, et non celui de Bonopéra ; et Claudette épousera Hans Haenni, dont les enfants portent le patronyme d’Haenni, et non celui de Bonopéra ;

et enfin Georges (né à Orléansville au tout début du mois de février 1915), dit Coco ; dont l’épouse avait un enfant d’un précédent mariage ; mais n’ayant pas de descendant _ a fortiori masculin… _ portant le patronyme de Bonopéra.

Pour ce qui concerne Paul Bonopéra (Pontéba, 19 septembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930) et son épouse Marie Cathébras,

leur fille Pauline (Rabelais, 5 mai 1905 – Nice, 8 février 1974) est demeurée célibataire et sans descendance ;

alors que leur fils Marcel (Renault, 6 octobre 1907 – Nice, 1er décembre 1992) et son épouse Odette Sanchez, ont eu deux fils qui portent le patronyme de Bonopéra :

Paul-Jean-Antoine Bonopéra, né à Orléansville le 5 mai 1933,

et Jean-Pierre Bonopéra, né à Orléansville le 2 novembre 1934 ;

qui ont tous deux une descendance portant le patronyme de Bonopéra.

Enfin Jean Bonopéra (Pontéba, 18 juin 1877 – ?, ?) et son épouse Louise Hulné

ont eu au moins six enfants,

dont au moins trois filles (Joséphine, future épouse Défillon ; Aimée, future épouse Vilanova, puis Riquier ; et Jeanne, future épouse Louyot), dont les descendants ne portent pas le patronyme de Bonopéra ;

et au moins deux fils :

Claude Bonopéra _ dont j’ignore tout ; s’il a été marié ; et a eu des descendants… _ ;

et Georges-Paul (né à Rabelais le 25 juin 1902 et décédé à Toulon le 9 janvier 1977), qui a épousé, à Duperré le 28 mai 1925, Clémentine Petit ;

ce couple a eu 5 filles (Hélène, Jacqueline, Mireille, Stéphanie et Vivianne) dont les descendants ne portent pas le patronyme de Bonopéra ;

et un seul fils :

Paul-Pierre-Auguste Bonopéra (né à La Ferme le 31 juillet 1926, et décédé à Toulon le 8 juillet 2000),

qui a épousé Jeannine-Adrienne Tudury (Saint-Eugène, 7 septembre 1929 – Toulon, 5 juin 2007) ;

et le couple a une descendance masculine portant ce patronyme de Bonopéra :

au moins Jean-Stéphane Bonopéra, né à Orléansville le 5 décembre 1956, et qui vit au Lavandou _ et qui a émis le désir, l’année dernière, d’entrer en contact avec sa cousine d’Orléansville Claudette Bonopéra… _ ;

mais peut-être aussi deux autres fils ;

dont l’un pourrait être Georges Bonopéra _ né à Orléansville en 1950 _, le créateur de la chaîne « Voyage » et de la remarquable émission « Échappées belles« …

Ce jeudi 15 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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