Deux compositeurs que j’affectionne, Ned Rorem et Lucien Durosoir, à propos desquels je n’ai rien demandé à Karol Beffa au cours de notre entretien de vendredi 25 mars dernier
Notre entretien _ d’une bonne heure _ de vendredi dernier 25 mars a été si riche et si dense que ne m’est pas venue à l’idée de demander alors à Karol Beffa ce qu’il pensait de l’œuvre de deux compositeurs du XXe siècle, que j’apprécie tout particulièrement personnellement…
…
Pas plus, non plus, d’ailleurs, que lors de notre agréable conversation très ouverte autour d’un café à la terrasse du Dijeaux, en suivant…
…
…
Je veux parler de Ned Rorem (Richmond, Indiana, 23 octobre 1923 _ il a donc 98 ans _),
et de Lucien Durosoir (Boulogne-sur-Seine, 5 décembre 1878 – Bélus, 4 décembre 1955)…
…
…
Ned Rorem est un des élèves de Nadia Boulanger ;
et j’ai beaucoup apprécié aussi la lecture de son Journal parisien (1951 – 1955), paru aux Éditions du Rocher en octobre 2003.
…
Consacrés à l’œuvre musical de Ned Rorem, je possède 12 CDs.
…
…
Quant à l’œuvre, assez singulière, et assez à l’écart de bien des courants contemporains, de Lucien Durosoir,
j’ai personnellement donné deux contributions au Colloque « Un Musicien moderne né romantique : Lucien Durosoir (1878-1955)« , qui s’est tenu au Palazzetto Bru-Zane, à Venise, les 19 et 20 février 2011 :
…
« Une poétique musicale au tamis de la guerre : le sas de 1919 – la singularité Durosoir«
…
…
…
…
Ce lundi 28 mars 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa