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Quelques questions sur des parents Cixous ayant pu être parfois de passage au 54 rue Philippe à Oran entre 1936 et 1945…

18nov

Jusqu’ici, en ces articles de ce blog, il m’est arrivé de mentionner, mais à peine _ faute de développements un tant soit peu substantiels dans les livres que j’ai pu lire jusqu’ici d’Hélène Cixous : rien que de très brèves elliptiques mentions de noms et prénoms, autant dire quasiment rien pour satisfaire mon endémique curiosité… _, quelques autres membres, oncles, tantes, frères, sœurs, beaux-frères, belles-sœurs, neveux, nièces, cousins, cousines des proches de la petite Hélène Cixous et son petit frère Pierre,

seulement très furtivement évoqués _ même pas des ombres, et encore moins des fantômes qui parlent, et avec lesquels converser… _ qui peuvent apparaître sous forme d’un plus ou moins précis lien de parenté _ par exemple, en 17 pages de « MDEILMM Parole de taupe » : « ma cousine«  _, ou d’un prénom _ par exemple, à la page 140 de « MDEILMM Parole de taupe » : « Claire« , en la phrase : « La cousine s’oriente entre les Claire et les Deborah,  je m’y perds« ,

qui suit immédiatement cette autre phrase assez intéressante pour mes essais de repérage généalogique des Cixous d’Algérie : « Avec le temps les vingt-quatre progénitures tous mariés avec cousins cousines entreabrahamisés et automoïsés deviennent de plus en plus nombreux de plus en plus petits, il y a de plus en plus d’issus abrahamoïsés » ;

et la phrase qui lui succède, page 141, est la suivante : « Le petit peuple des souris, gent de beaucoup de cœur, est uni vers le cap de la Reine _ soit Reine Sicsu, veuve de Samuel Cixous, du 3e étage du 54 rue Philippe à Oran, ces années-là… _ _ Personne n’ayant le téléphone, des cousins arrivent au troisième étage sans prévenir, à la suite d’un tremblement de terre _ l’oncle Moïse Cixous (né à Tiaret le 2  février 1875 et qui décèdera à Fréjus le 4 juin 1963, frère d’Abraham et Samuel Cixous) et sa famille sont domiciliés à Orléansville ! Et Moïse Cixous, photographe, était président de la Ligue des Familles Nombreuses d’Orléansville..  _ ou d’une plaie _ afin de se faire soigner par le cousin médecin Georges Cixous… Parmi les traits remarquables de ces mouvements : la famille ne s’entredéchire pas. Un instinct  _ à défaut de téléphone _ guide les consanguins, qui leur évite les embouteillages. Alice semble avoir joué le rôle de centrale-Information« … _ dans ce « MDEILMM Parole de taupe« .

Il faut donc bien davantage préciser, pour commencer, les données d’identités de Claire Cixous, Déborah Cixous et Gabriel Cixous,

soient les deux sœurs et le frère de Georges-Jonas Cixous (Oran, 5 septembre 1908 – Alger, 12 février 1948),

soient aussi les deux tantes et l’oncle paternel d’Hélène (née à Oran le 5 juin 1937) et de Pierre Cixous (né à Oran le 11 novembre 1938) ;

et éventuellement leurs domicialisations respectives ces années-là, entre 1936 et 1945…

Si le nom de Claire Cixous est bien prononcé _ cf le détail qui en est donné un peu plus haut ici même… _ à la page 140 de « MDEILMM Parole de taupe« ,

nulle part, cependant, rien qui la concerne personnellement n’apparaît ici ; ni non plus, à mon souvenir du moins, que dans les ouvrages précédents que j’ai pu lire de sa nièce Hélène Cixous ;

et cela à la différence, du moins pour ce qui concerne cet opus-ci, de ce qui apparaît ici de sa sœur cadette Déborah (Oran, 17 janvier 1906 – Cachan, 27 août 1992)…

Ainsi Claire Cixous (Oran, 9 novembre 1903 – Paris, 28 septembre 1995) a-t-elle été mariée deux fois ; une première fois avec un monsieur Benhamou, dont elle a eu un enfant Benhamou ; puis, une seconde fois, à Oran, le 13 août 1928, Isaac-Fernand Amar, dont elle a eu avec trois enfants Amar, parmi lesquels, peut-être, ce cousin qu’Hélène Cixous nomme ici « mon Cousin Saul, le nain (…), l’archiviste demeuré, qui a découpé le petit scarabée de Journal _ soit l’avis du décès de Georges-Jonas Cixous, le père d’Hélène, paru dans Alger républicain en février 148 , et reproduit page 65 _ et l’a conservé, pour une durée perpétuelle, dans l’ambre poussiéreux de ses vieux cartons, parmi les avis de naissances, morts, et divers événements généalogiques  » et « c’est Saulqui a transformé la rumeur du monde en dalle funéraire, émondé le siècle de mon père, découpé au ciseau le flot sonore des jours, réduit le corps de mon père en scarabée d’or« , page 66 ; et aussi, page 158, celui qu’elle nomme le « neveu Saul-co-théosophe » de sa « Tante Déborah » Cixous…

Et qu’ailleurs, dans « Nacres Cahier« , cette fois, à la page 44, et sous l’en-tête « Chez Paul-les-Malheureux – 11 juin 2017« , elle nomme cette fois « Paul, mon cousin, 88 ans » ;  puis, page 66, « Paul, mon cousin« , immédiatement suivi de « Pi, ma cousine, 85 ans, longue chevelure blanche soyeuse qui fut brune jadis » ;

une notation de 2017 (dans « Nacres Cahier« ) qui vient à l’appui de celle de maintenant (dans « MDEILMM Parole de taupe« ) : « Elle _ « Ma Cousine« ... _ a les cheveux longs en soie blanche, longs, longs, qu’elle met depuis quatre-vingts ans, et c’est comme si elle me regardait dans mes cheveux très courts, de toute la longueur de ses cheveux, et je sautille. (…) La Cousine mange des gâteaux…« …

Je me demande donc si ce « Cousin Saul-le nain« , « neveu Saul-co-théosophe » de « Ma Tante Déborah » _ et un peu plus tôt « Paul, mon cousin, 88 ans«  (en juin 2017) _,

et cette « Ma Cousine » _ et un peu plus tôt « Pi, ma cousine, 85 ans«  (en 2017) _,

ne sont pas des enfants _ nés, Saul-Paul, en 1929, et sa sœur Pi, en 1932… _ de la sœur aînée de Déborah et Georges-Jonas Cixous, soit Claire Cixous, et de son second mari Isaac-Fernand Amar _ mariés à Oran le 25 janvier 1929, comme cette mention de mariage a été rajoutée sur l’acte d’état-civil de naissance de Claire Cixous, en date du 25 janvier 1929.. _, qui ont eus trois enfants ;

dont ce Saul-Paul, né vers 1929, et cette Pi, née vers 1932…

Et, concernant cette tante Déborah, de nombreux _ plus ou moins homériques _ qualificatifs, aidant un peu à la situer au sein de la galaxie familiale des Cixous (du second étage du 54 rue Philippe à Oran) :

_ page 141 : « Déborah La Malade née-pour-être-soignée, ou pour avaler le Couscous réservé au Fils par la mère et rien qu’à Lui » ;

_ page 149 : et à propos de la medium Alice Carisio  « Sa Fervente Déborah la Malade-Née-pour-être-Soignée » ;

_ page 150 : « Déborah-la-mauvaise-santé » ;

_ page 151 : « la Vie Secrète de la Vierge Déborah » et « Maigre Déborah » ;

_ page 153 : « maigre Déborah » ;

_ page 158 : « Ma tante Déborah, cas digne, aura laissé instruction à son neveu Saul-co-théosophe qu’il veille à ce que la Prière soit enterrée avec elle, afin que morte elle soit gardée des ennemis invisibles » ;

et page 159 : « Grêle Déborah couchée le regard tourné vers les photos de ses hommes récite à voix haute : Barnasa…« 

En revanche, rien n’apparaît dans ces récits d’Hélène Cixous sur le quatrième et dernier membre de la fratrie des 4 enfants de Samuel Cixous (Tiaret, 10 septembre 1877 – Oran, 6 juin 1933) et son épouse Reine Sicsu (Oran, 20 octobre 1881 – Paris, 7 juin 1965),

je veux parler ici de Gabriel Cixous (Oran, 24 octobre 1912 – ?, 1er juillet 1957),

qui a obtenu le baccalauréat de Philosophie au Lycée de Garçons d’Oran au mois de juillet 1926 ; a été diplomé de la Faculté de Médecine et Pharmacie d’Alger en juillet 1931 ; et qui a exercé en tant que médecin ou pharmacien à L’Arba en 1948 et 1949, selon les renseignements que j’ai pu glaner jusqu’ici…


Lui, Gabriel Cixous _ qu’il ne faut pas confondre avec un cousin Gabriel Cixous, d’Orléansville, photographe, fils de Moïse Cixous (Tiaret, 2 février 1875 – Fréjus, 4 juin 1963, « le photographe d’Orléansville«  dont a parlé Roger Cixous, fils de ce Gabriel et petit-fils de ce Moïse Cixous, en un article intitulé « Mon Grand-Père, le Photographe d’Orléansville »…) _,

n’est, semble-t-il, pas du tout entré dans l’imageance de sa nièce Hélène Cixous…

Il est vrai que j’ignore l’essentiel de ce qui est advenu des rapports d’Eve Klein, la veuve de Georges Cixous, avec les membres de sa belle-famille Cixous à la suite du décès, à Alger, du Dr Georges Cixous, survenu le 12 février 1948. il me semble que le tropisme ashkénaze tourné vers les racines d’Osnabrück a dû être plus puissant qu’un éventuel tropisme séfarade orienté vers les racines de Tétuan… Mais c’est surtout là mon ignorance qui s’exprime, et probablement bien à tort…

Ne serait-ce qu’au vu de la résonance infiniment durable et aux harmoniques profondes des souvenirs et fantasmes de la maison aux escaliers du 54 rue Philippe à Oran, entre 1936-37 et 1945-46…

D’où la présence prenante en ce récent opus qu’est « MDEILMM Parole de taupe« , la taupe continuant bien sûr de creuser et parler (page 63), de personnages comme « Monsieur Èmile » et sa sœur, la « medium-écrivain » (page 133), Alice Carisio _ et Madame Léonetti, « la théosophe la plus secrètement réputée de cette ville philosophique«  qu’est Oran (page 115) ; ou aussi le souvenir de la fameuse Madame Blavatsky (page 154), sans compter quelques références à un Artemidorus (page 30), ou à un Jonas Ramus (page 80), venant titiller et alimenter ici l’imageance poïétique fantastique et ailée d’Hélène Cixous… _ du quatrième étage, au haut des escaliers de l’immeuble, du 54 rue Philippe, à Oran…

À suivre…

Ce vendredi 18 novembre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Les Villas Kypris (1926), au Moulleau, et Téthys (1927), au Pyla, des cousines germaines Mme Jules Guérin, née Marie-Catherine Dorlet, et Mme Georges Droin, née Marie-Amélie Lourreyt

24sept

Les commanditaires des deux superbes villas art-déco Kypris, au Moulleau (en 1926), et Téthys, au Pyla (en 1927) _ cliquer ici sur Kypris et Téthys pour accéder à quelques photos de ces deux villas… _,

dessinées toutes deux par l’architecte Roger-Henri Expert (Arcachon, 18 avril 1882 – Cérons, 13 avril 1955),

et bâties par l’entrepreneur grenoblois Marius Dotto _ « Jules Guérin connaissait Roger-Henri Expert et Marius Dotto pour les avoir choisis précédemment comme architecte et entrepreneur pour la construction de l’agence de la Banque de France de Grenoble«  _,

sont les époux de deux cousines germaines issues des familles bordelaises de médecins, Oré et Bitôt,

soient Jules Guérin (Bordeaux, 24 mai 1876 – j’ignore le lieu et la date de son décès), alors directeur de la Banque de France à Grenoble,

et Georges Droin (Paris, 4 avril 1885 – Paris, 22 avril 1943), docteur en droit, administrateur de sociétés, et alors domicilié à Paris, au 10 Boulevard Malesherbes, 

époux respectifs, donc _ Jules Guérin et Marie-Catherine Dorlet se sont mariés à Bordeaux le 14 janvier 1914 ; et Georges Droin et Marie-Amélie Lourreyt se sont mariés à Dax le 1er août 1910 _, de ces deux cousines germaines que sont Marie-Catherine Dorlet (Bourges, 27 février 1892 – ? 11 avril 1994) et Marie-Amélie Lourreyt (j’ignore jusqu’ici les lieux et dates de naissance

_ éventuellement à Dax : mais j’ignore à quelle date précise Alfred Lourreyt est venu s’installer notaire à Dax (au plus tard en 1895) ; je sais que c’est à Dax que se sont mariées ses trois filles : Charlotte, en octobre 1901, avec le médecin et professeur de médecine bordelais le Dr André-Jean-Baptiste Venot, d’après une publication de mariage parue dans La République nouvelle, journal de Bordeaux, le 13 octobre 1901, indiquant que si le Dr André Venot est domicilié à Bordeaux, Cours Tourny, n° 8, sa fiancée, Charlotte Lourreyt, elle, est domiciliée à Dax  ; puis ce sera le tour de Pauline, épousant le parisien Raoul-Simon Gallié, le 27 février 1905, selon un long compte-rendu de la cérémonie de mariage à la cathédrale de Dax, paru le 13 mars 1905 dans Gil Blas ; et enfin de Marie-Amélie, donc, avec l’avocat parisien Georges Droin, le 1er août 1910… ; Alfred Lourreyt se trouve donc en poste notarial à Dax à l’étude des successeurs de Me Campet, même si j’ignore de quel précédent notaire il a pris là la succession ; et aussi et surtout qu’il a été élu, « notaire à Dax« , membre titulaire de la Société de Borda, à Dax, lors de la séance du jeudi 7 novembre 1895, présenté par MM. Dufourcet et Alphonse Campet ; et que l’Annuaire administratif, judiciaire et industriel du département des Landes du 1er janvier 1901 mentionne à la page 49 de l’édition de cette année-là, entête de la liste des notaires du département des Landes MM. « Lourreyt, Darracq et Borie«  à Dax, probablement associés et successeurs de Me Campet…  _

et de décès de Mme Georges Droin en tout cas après le 22 avril 1943 : car elle survit à son époux décédé à cette date _),

filles des deux sœurs Bitôt Thérèse-Marie (Bordeaux, 21 mai 1867 – Bordeaux, 24 novembre 1915) et Valentine (Bordeaux, 4 juin 1852 – Bordeaux, 1931) ;

elles-mêmes filles du couple formé de Catherine-Pauline Oré (?, 2 novembre 1825 – Bordeaux, 19 octobre 1898) et _ mariés à Bordeaux, vers 1848 _ son époux Pierre-Anselme Bitôt (Podensac, 12 mars 1822 – Bordeaux, 2 février 1888), médecin et professeur d’anatomie à la Faculté de Médecine de Bordeaux ;

Catherine-Pauline Oré, leur commune grand-mère,

étant elle-même fille du bordelais Jean Oré (Bordeaux, 29 décembre 1791 – Bordeaux, 5 novembre 1850), directeur d’une pension de jeunes à Bordeaux, et de son épouse _ à Figeac, le 16 août 1814Marie-Joséphine Loureyt (Figeac, 7 août 1796 – Bordeaux, octobre 1878) _ l’ascendance d’Alfred Lourreyt (La Guerche sur l’Aubois, 31 août 1855 – Bordeaux, 5 janvier 1914), notaire à Dax, et son frère Paul Lourreyt, notaire à Bordeaux, remontant à ces Loureyt originaires, via Figeac dans le Lot, à ces Lourreyt de Maurs, dans le Cantal…

Et afin de préciser le lien adventice, indirect, qui relie ces Guérin et ces Droin bâtisseurs des Villas Kypris, au Moulleau, et Téthys, au Pyla, à Raphaël Vialard, de l’Avenue de l’Eden au Pyla, via sa mère « Bébelle » Leuret (Bordeaux, 3 mars 1910 – Pessac, 13 décembre 2001), pharmacien laquelle « Bébelle » Leuret est fille de Marie-Marc « Eugène«  Leuret (Châteauneuf-sur-Loire, 22 mai 1878 – Bordeaux, 22 juillet 1965), professeur de médecine à la Faculté de Médecine de Bordeaux et médecin-directeur des thermes de Barbotan, et son épouse (à Bordeaux le 6 mars 1902) Marthe Daurel (Bordeaux, 16 janvier 1883 – Bordeaux, 4 décembre 1959) _,

il me faut ici rappeler que c’est par l’oncle François Leuret (Orléans, 12 juin 1890 – Lourdes, 8 mai 1954), médecin, président du bureau d’études scientifiques à Lourdes et directeur du bureau des constatations médicales à Lourdes, et par son épouse _ François Leuret et Geneviève Dorlet se sont mariés, peut-être à Bordeaux, le 12 janvier 1920 _ la tante Geneviève Dorlet (Bourges, 4 novembre 1894 – Bordeaux, 26 mars 1977), oncle et tante de « Bébelle » Leuret, et grand-oncle et grand-tante du fils de « Bébelle » Leuret, Raphaël Vialard (né en 1941) François Leuret étant, en effet, le plus jeune des frères de cet « Eugène » Leuret qui est le père de « Bébelle«  Leuret, ainsi que le grand-père maternel de Raphaël Vialard ; et son épouse Geneviève Dorlet étant une des filles de Victor-Jean-Pierre-Charles Dorlet (Chantenay-Saint-Imbert Nièvre, 23 décembre 1858 – ?, 3 juin 1918), et son épouseà Bordeaux le 28 décembre 1889, Thérèse-Marie Bitôt (Bordeaux, 21 mai 1867 – Bordeaux, 24 novembre 1915) _, que Raphaël Vialard _ sans ascendance, lui, ni Dorlet, ni Bitôt, ni Oré, ni Loureyt _ se trouve de fait apparenté et aux Guérin de la Villa Kypris, au Moulleau, et aux Droin, de la Villa Téthys, au Pyla, qui sont issus eux de ces ascendances Dorlet, Bitôt, Oré et Loureyt.

Le vif goût d’Arcachon et du Bassin en ces familles aux puissantes attaches bordelaises et girondines, étant très probablement issu de la fréquentation _ pionnière _ très appréciée par le Dr Emile Bitôt (Bordeaux, 5 mai 1861 – Bordeaux, mai 1932), frère de Valentine Bitôt – Lourreyt et Thérèse-Marie Bitôt – Dorlet, de la Villa, sise sur le rivage, à Arcachon, ou Chalet Servantie _ du nom de son premier propriétaire… ; Edouard Manet (Paris, 23 janvier 1832 – Paris, 30 avril 1883) y avait séjourné et peint au mois de mars 1871… _, dans laquelle Emile Bitôt et sa famille avaient pris l’habitude et le plaisir de venir séjourner, en location balnéaire, à Arcachon… 

Voilà donc ces précisions

afin d’apporter quelques compléments et un aperçu un peu panoramique aux diverses relations de parenté abordées en mes articles «  » du dimanche 18 septembre dernier _ je voulais ici bien sûr évoquer et Raphaël Vialard et sa Villa de l’Avenue de l’Eden, et Nikita Droin et la Villa Téthys de l’Avenue de la Plage, au Pyla-sur-Mer… _concernant les heureux et heureuses proprétaires de ces si belles Villas art-déco (œuvres toutes deux, Kypris et Téthys, du très talentueux architecte _ à l’élégance et prestance proverbiales… _ Roger-Henri Expert, en 1926 et 1927) de la sortie du Bassin, sur les Passes vers l’Océan, au Moulleau, pour la Villa Kypris, et au Pyla, pour la Villa Téthys

Ce samedi 24 septembre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Les trois Marie Delouart : nouvelles précisions sur les parentés cibouriennes de Maurice Ravel au XIXème siècle

12avr

Voici une nouvelle suite au feuilleton de mes recherches sur les parentés cibouriennes de Maurice Ravel :
En fonction de la poursuite de mes recherches, et surtout de ce que je ne cesse d’y découvrir (!!),
 
j’ai remanié mon quatrième article
sur la parenté cibourienne de Marie Delouart (1840-1917), la mère de Maurice Ravel ;
et ses cousinages cibouriens (les Delouart, Billac, Goyenague, Larrea, Cerciat, Etchepare, etc.) _ sur lesquels ma recherche est en cours…
Cette fois, je me suis penché plus précisément sur la grand-mère de Marie Delouart-Ravel, Marie-Baptiste Delouart (Ciboure, 29 juin 1782 – Ciboure, 28 août 1855),
d’abord mère célibataire de Sabine Delouart, née le 11 mars 1809 à Ciboure ; puis épouse de Jacques Billac, marin (le mariage a lieu à Ciboure le 14 septembre 1814) ;
ainsi que sur sa _ seconde _ sœur cadette _ et grand-tante de Marie Ravel-Delouart _, Marie Delouart (Ciboure, 17 août 1786 – Ciboure, après 1756 _ et peut-être en 1872 : à vérifier _), épouse de Michel Goyenague, marin (leur mariage a eu lieu à Ciboure, le 28 février 1821) _ soit la troisième de la fratrie des quatre enfants de Gratien Delouart et Sabine Laxague ; peut-être faut-il en adjoindre un cinquième, si l’on suit Jean-Noël Darrobers : Baptiste-Jean Delouart…    

...
Mais voici maintenant que je viens de découvrir qu’existe aussi _ ou plutôt encore _ une troisième sœur Delouart nommée elle aussi Marie-Baptiste Delouart,
fille des mêmes parents Gratien Delouart et Sabine Laxague, à Ciboure _ et la seconde dans l’ordre de naissance de ces trois sœurs _ ;
et que cette Marie-Baptiste Delouart-ci (la  seconde des trois, en fait) fut une épouse Etcheverry !!! :
le mariage avec Jean Etcheverry, marin _ fils naturel, le 6 août 1786, de la cibourienne Gana Curutchet _, lui aussi, et cibourien, eut lieu à Saint-Jean-de-Luz, et non pas à Ciboure _ alors que tous deux étaient cibouriens ! _ le 17 août 1814 _ pour quelles raisons Jean Etcheverry et son épouse Marie-Baptiste Delouart furent-ils dès lors domiciliés à Saint-Jean-de-Luz, et non plus Ciboure, je l’ignore. Mais ce fait constitue peut-être la raison pour laquelle cette Marie-Baptiste Delouart-là (la seconde des trois) est restée à l’écart de l’attention des chercheurs qui se sont penchés sur les ancêtres Delouart de Maurice Ravel ; ainsi, aussi, que des flottements et confusions concernant les dates de naissance des diverses filles de Gratien Delouart et Sabine Laxague, comme je l’ai constaté, sans en comprendre immédiatement les raisons, au début de mes propres recherches… 
Et quant au frère _ du moins le premier de deux _ de ces sœurs nommées toutes les trois Marie _ ou Marie-Baptiste _ Delouart, Jean Delouart (né à Ciboure le 27 août 1788, et décédé à Ciboure en 1872 _ sans plus de précision jusqu’ici : à rechercher ! _), marin, fils et petit-fils de marins,
il a épousé, lui, Marguerite Larrea
_ née à Ciboure le 18 décembre 1798, fille de Jean Larrea, marin, né à Ciboure le 6 octobre 1772 (lui-même fils de Jean Larrea, marin, et Marguerite Lafitte), et de Marie Mignagoren, née à Ciboure le 30 octobre 1767 (elle-même fille de Jean Mignagoren, marin, et de Marie Daguerre) ;
j’ignore à ce jour quel est le lien de parenté de ce Jean Mignagoren (et de sa fille Marie Mignagoren), avec Bernard Mignagoren, décédé en 1796, l’époux de Marie-Baptiste Delouart (née à Ciboure en 1746 et décédée à Ciboure en 1825), la sœur aînée de Gratien Delouart _ mais oui ! _, et qui fut mère de quatre enfants Mignagoren, dont parle Jean-Noël Darrobers en son article de 1987… ; les quatre enfants Mignagoren (Jean-Noël Darrobers n’indiquait hélas pas leurs prénoms dans l’article !) issus de cette Marie-Baptiste Delouart (1746-1825) et Bernard Mignagoren, étaient cousins germains des (quatre _ au moins _) enfants issus de Gratien Delouart (1748-1798) et Sabine Laxague… : la généalogie des Mignagoren au XVIIIème siècle demande elle aussi à être mieux établie ! _,
à Ciboure, le 30 avril 1823.
Mais, alors que pour Saint-Jean-de-Luz, sont accessibles à distance par le web, les actes civils de naissance, de mariage et de décès,
pour Ciboure, sont pour le moment accessibles seulement les actes civils de mariage _ l’accès aux actes de naissance et décès à Ciboure est exclusivement par la consultation des archives d’état-civil conservées à la mairie de Ciboure.
Dans les actes civils de mariage de deux des sœurs nommées Marie Delouart _ la seconde et la troisième _,
celui du 17 août 1814 (à la mairie de Saint-Jean-de-Luz), avec Jean Etcheverry, marin,
comme celui du 28 février 1821 (à la mairie de Ciboure), avec Michel Goyenague, marin,
la mariée, nommée les deux fois Marie Delouart,
est aussi indiquée les deux fois comme étant la fille de Gratien _ ou Gracien _ Delouart et Sabine Laxague…
Mais c’est aussi le cas pour le mariage le 14 septembre 1814 (à la mairie de Ciboure) de la première Marie-Baptiste Delouart avec Jacques Billac.
Telle est ma source décisive pour démontrer l’effective complète sororité de ces deux Marie Delouart-là _ ainsi qu’avec leur sœur aînée, l’ancêtre de Maurice Ravel.
La Marie-Baptiste Delouart, épouse _ le 17 août 1814 à Saint-Jean-de-Luz _ puis  veuve _ le 15 novembre 1841 à Saint-Jean-de-Luz _ de Jean Etcheverry ;
qui résidait à Saint-Jean-de-Luz _ rue Serpente au N° 10, lors des naissances de ses deux premiers enfants, Jean-Baptiste (le 15 juin 1815) et Marie (le 21 juin 1817) ; rue Serpente, mais au N° 7, lors des naissances de ses deux enfants suivants, Charles (le 12 août 1819) et Jean (le 22 février 1822) ; et enfin rue Neuve au N° 19, lors de la naissance de la seconde Marie (le 20 novembre 1824 _,
et qui y décède _ au 30 rue Neuve _ le 3 janvier 1742 à l’âge de 57 ans
_ sa naissance remontait à lannée 1784, le 17 juin native de Ciboure, elle est, elle aussi, fille de Gratien Delouart et Sabine Laxague ;
et devient mère, le 20 novembre 1824 à Saint-Jean-de-Luz, de Marie Etcheverry (laquelle épousera à Saint-Jean-de-Luz le 27 août 1851 le luzien Bernard Dargaignaratz, maître au cabotage, né à Saint-Jean-de-Luz le 17 juin 1815, et fils de Martin Dargaignaratz, officier de marine) ; mais auparavant, le 21 juin 1817, lui était née, à Saint-Jean-de-Luz aussi, une première Marie Etcheverry (qui épousera à Saint-Jean-de-Luz le 10 novembre 1846, Jean-Baptiste Hiriart, né à Saint-Jean-de-Luz le 10 avril 1816, qui sera tonnelier ; et, via leur fils, Dominique Hiriart, né à Saint-Jean-de-Luz le 28 janvier 1849, il se trouve que Jean-Baptiste Hiriart et Marie Etcheverry sont les grands-parents paternels de Magdeleine Hiriart (née à Saint-Jean-de-Luz le 11 mars 1875), la future épouse de Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 19 novembre 1875 – Bimbo, au Congo français, 12 septembre 1910), l’aîné des sept enfants Gaudin-Bibal de la maison située au n° 41 de la Grand’Rue – rue Gambetta, à Saint-Jean-de Luz : cette Magdeleine Hiriart-Gaudin que Maurice Ravel nomme « ma chère cousine«  en sa lettre de condoléances du 8 octobre 1910 pour le décès de son mari… _,
n’est ni la Marie-Baptiste Delouart _ mère de Sabine Delouart, la grand-mère maternelle de Maurice Ravel _ qui épouse à Ciboure le 14 septembre 1814 Jacques Billac, marin ;
ni, non plus, la Marie Delouart qui épouse à Ciboure le 28 février 1821 Michel Goyenague, marin.
Je note que les deux mariages,
Delouart-Billac (à Ciboure, le 14 septembre 1814)
et Delouart-Etcheverry (à Saint-Jean-de-Luz, le 17 août 1814)
eurent lieu à même pas un mois d’intervalle…
Non seulement la vraisemblance implique qu’il s’agissait là bien évidemment de deux sœurs, et pas de la même personne ! 
Mais nécessite aussi de l’admettre, l’indication que ces deux Marie-Baptiste Delouart sont, toutes deux _ nées à Ciboure, la première le 29 juin 1782, et la seconde le 17 juin 1784 _, semblablement filles de Gratien Delouart et Sabine Laxague
_ de même que la troisième sœur nommée elle aussi Marie Delouart, la mariée lors du mariage Delouart-Goyenague du 28 février 1821 à Ciboure ; née, elle, à Ciboure le 17 août 1786 ;
et qu’est fils de Gratien Delouart et Sabine Laxague, leur frère Jean Delouart, le marié lors du mariage Delouart-Larrea à Ciboure, le 30 août 1823 ; né, lui, à Ciboure le 27 août 1788.
Et donc que celle qui épouse _ à Saint-Jean-de-Luz le cibourien _ Jean Etcheverry
ne peut pas être la mère de Sabine Delouart et de Gracieuse Billac.
Marie Etcheverry,
née à Saint-Jean-de-Luz le 20 novembre 1824 _ du mariage des cibouriens (mais désormais domiciliés à Saint-Jean-de-Luz, rue Serpente) Jean Etcheverry et Marie-Baptiste Delouart, la seconde des filles ainsi prénommées au sein de la fratrie des quatre enfants (du moins ceux clairement répertoriés que j’ai pu repérer ; il faut aussi tenir compte de Baptiste-Jean Delouart, le benjamin de la fratrie) de Gratien Delouart et son épouse Sabine Laxague _,
et épouse, à Saint-Jean-de-Luz le 27 août 1851, de Bernard Dargaignaratz, maître au cabotage,
ne peut donc pas être la sœur ou la demi-sœur de Sabine Delouart _ née à Ciboure le 11 mars 1809 _ et de Gracieuse Billac _ sa date de naissance à Ciboure est encore incertaine : en 1819 ? _ ;
non plus que la sœur ou la demi-sœur des enfants Simon, Jacques et Marie Goyenague _ nés à Ciboure successivement les 21 novembre 1821, 16 octobre 1823 et 26 juillet 1827.
Elle est seulement leur cousine germaine.
De même qu’est aussi, forcément leur cousine germaine, la propre sœur de cette Marie Etcheverry-Dargaignaratz, nommée elle aussi Marie Etcheverry, qui épouse à Saint-Jean-de Luz, le 10 novembre 1846, Jean-Baptiste Hiriart (10 avril 1816 – 24 septembre 1859), tonnelier _ fils d’Etienne Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 13 mai 1784 – Saint-Jean-de-Luz, 10 août 1823), cordonnier, et de Françoise Berduqueu (Bidart, 5 juillet 1789 – Saint-Jean-de-Luz, 12 mai 1864) ; et petit-fils de Michel Hiriart (1744 – 23 février 1814), également cordonnier, et de Marie Duhamel.
Si les actes civils disponibles à distance par le web sont précis pour la naissance de la troisième des sœurs Delouart prénommée Marie, et épouse Goyenague : elle est née à Ciboure le 17 août 1786,
ils le sont moins pour sa sœur aînée Marie(-Baptiste),
d’abord mère célibataire de Sabine Delouart, à Ciboure le 11 mars 1809 ; puis épouse, à Ciboure, de Jacques Billac, marin, le 14 septembre 1814 ;
et en cet acte de mariage, la mariée est dite âgée alors de 32 ans ; ce qui ferait remonter sa naissance à 1782 _ et de fait elle est née le 29 juin 1782
Or dans mes notes, j’ai retrouvé que j’avais bien indiqué pour sa date de naissance cette date du 29 juin 1782.
Ce qui donne pour les naissances, à Ciboure, des quatre enfants _ ceux clairement répertoriés, du moins _ de Gratien Delouart et Sabine Laxague,
comme indiqué dans divers actes civils, dans chacun de leurs quatre cas ; et ce qui permet de les distinguer opportunément d’autres (cousins) Delouart de Ciboure, issus, eux, de la branche aînée de la famille, comme l’indique Jean-Noël Darrobers en ses articles de 1987 et 1997 :
_ le 29 juin 1782, pour Marie-Baptiste Delouart _ la sœur Marie Delouart n° 1  : la grand-mère, via sa fille Sabine Delouart, de la mère de Maurice Ravel ; et qui est aussi, après son mariage avec Jacques Billac, la mère de Gracieuse Billac, la future marraine de Maurice Ravel (et sa « chère tante Gachoucha ») : et nous trouvons ici le lien basique du compositeur avec les Bibal-Gaudin de Saint-Jean-de-Luz, chez lesquels Gracieuse Billac est gouvernante (ou « domestique« )… _ ;
_ le 17 juin 1784, pour Marie Delouart, épouse Etcheverry _ la sœur Marie Delouart n°2 : la mère des deux luziennes Marie Etcheverry, la future épouse Hiriart et la future épouse Dargaignaratz ; les références à la seconde branche (Dargaignaratz, puis Zozaya) de ces descendantes des Delouart semblent absentes de la Correspondance de Ravel ; ce qui n’est bien sûr pas le cas pour la première (Hiriart), même si Maurice Ravel ne précise pas la nature et l’histoire de ce cousinage avec Magdeleine Hiriart-Gaudin… _ ;
_ le 17 août 1786 pour Marie Delouart, épouse Goyenague _ la sœur Marie Delouart n°3 : la mère de Simon Goyenague, le futur « parrain », lui, de Maurice Ravel _ ;
_ et le 27 août 1788, pour leur frère Jean Delouart _ guère de référence non plus de ce côté-là dans la Correspondance du compositeur, via ses enfants Sabine Delouart (née à Ciboure le 24 juin 1825, et épouse, à Ciboure, de Bernard Cerciat, le 12 août 1852) ; Marie Delouart (née à Ciboure le 30 juin 1827, et épouse de Guilhen Etchepare, à Ciboure, le 21 décembre 1853) ; et Jean Delouart (âgé de 28 ans le jour de son mariage, à Ciboure, le 13 novembre 1861, avec Dominique Etchepare, sœur de Guilhen). 
Connaître leurs descendances respectives serait assurément fort intéressant !
Et un arbre généalogique précis de la descendance _ issue de Gratien Delouart et son épouse Sabine Laxague _ des Delouart de Ciboure du XIXème siècle
serait précieux pour éclairer ces parentés cibouriennes _ peu visibles et méconnues _ de Maurice Ravel…
...
Marie-Baptiste Delouart, veuve Billac, est décédée le 28 août 1855, à Ciboure ;
Marie-Baptiste Delouart, veuve Etcheverry, est décédée le 3 janvier 1742, à Saint-Jean-de-Luz ;
Marie Delouart, veuve Goyenague, est décédée à Ciboure après le 23 avril 1856 (où elle assiste, à Ciboure, au mariage de son fils Jacques Goyenague, marin, avec Catherine Larrea _ fille du marin cibourien Martin Larrea, mort noyé en rade de Socoa, le 4 avril 1841, et de son épouse Silvestre Chourito _) ; et ;
Jean Delouart, époux de Marguerite Larrea _ née à Ciboure le 18 décembre 1798 et décédée à Ciboure le 30 septembre 1844 ; elle était la fille de Jean Larrea, marin (né à Ciboure le 6 octobre 1772, et décédé le 2 septembre 1807) et de Marie Mignagoren (née à Ciboure le 30 octobre 1767)… _, est décédé, lui, à Ciboure en 1872 _ sans plus de précision non plus jusqu’ici : à établir précisément ! _, au domicile d’une des ses filles (laquelle ? Sabine, épouse Cerciat ? ou bien Marie, épouse Etchepare ? ou une autre ?), veuve et mère de quatre enfants
_ Bernard Cerciat, l’époux (à Ciboure, le 12 août 1852) de Sabine Delouart (elle est née à Ciboure le 24 juin 1825 ; mais j’ignore la date et le lieu de son décès), est décédé le 9 mars 1868 : son épouse Sabine Delouart est donc alors veuve ;
mais de leurs quatre éventuels enfants Cerciat, je n’en ai jusqu’ici identifiés que deux :
Jean-Baptiste Cerciat, né à Ciboure le 20 septembre 1854 (et décédé à Ciboure le 26 novembre 1914 ; avec plusieurs descendants, dont Marianne, Jean-Vincent et Marie-Louise Cerciat) ;
et Jean Cerciat (né à Ciboure le 19 avril 1859 ; avec lui aussi plusieurs descendants, dont Elina, Raymond et Andrée Cerciat, nés à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie…) ; j’ignore pour le moment qui sont les deux autres enfants de Sabine Delouart et Bernard Cerciat… _ ;
quant à Guilhen Etchepare, marin, l’époux (à Ciboure, le 21 décembre 1853) de Marie Delouart (elle est née à Ciboure le 30 juin 1827), il a péri en mer, et sa veuve a touché une pension de reversion : mais tout cela demeure à préciser… _ ;
et dans la misère, selon ce qu’en a écrit Jean-Noël Darrobers.
Les Delouart, les Billac, les Goyenague, les Etcheverry, les Larrea, les Cerciat, les Etchepare, les Anchochury : soit le tout premier cercle des familles cibouriennes alliées aux Delouart et Mignagoren _ de la branche cadette des Delouart à Ciboure :
Marie-Baptiste Delouart (1746-1825), la sœur aînée de Jean Delouart (1748 – 1798), avait  épousé un Bernard Mignagoren (décédé en 1796), dont elle eut 4 enfants, nous a aussi appris Jean-Noël Darrobers, en son bel article Marins et corsaires, les ancêtres de Maurice Ravel, dans le numéro 22 de la revue Ekaina, en 1987…
Mais quid
de Sabadin Quinior
ou d’Eslonta Maicourné
que Maurice Ravel évoque _ ces noms proviennent de ce que lui dit alors sa mère : phonétiquement…parmi ses cousinages cibouriens
avec les Anchochury et les Goyenague,
en sa lettre _ importante pour nous par là ! _ à Marie Gaudin du 22 juin 1911,
à la page 266 de la Correspondance réunie par Manuel Cornejo ?
Je poursuis ma recherche.
Ce vendredi 12 avril 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa
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