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Suite au passionnant entretien d’hier 9 février de François Bégaudeau (avec Sylvie Hazebroucq) à la Station Ausone, à propos du bigrement intéressant « Boniments » (aux Editions Amsterdam) : François Bégaudeau, étincelant de subtilité..

10fév

Suite au passionnant entretien, d’hier 9 février, de François Bégaudeau (avec Sylvie Hazebroucq) à la Station Ausone, à propos du bigrement intéressant « Boniments » (aux Éditions Amsterdam),

et en attendant la publication de la vidéo (d’environ une heure) de cet entretien sur le site Mollat,

cet échange-ci de courriels avec mon ami Philippe Trouvé

_ c’est Philippe qui m’avait proposé d’aller écouter tous les deux cet entretien-là à la Station Ausone _ :

_ ce premier envoi mien,

à propos de la bibliographie la plus récente de François Bégaudeau, ce vendredi matin, à 8h 51 :

« Le nouveau monde _ tableau de la France néolibérale » (Éd. Amsterdam, 2021, 29 Euros)
est un collectif _ de 1046 pages ! _ dirigé par Antony Burlaud, Allan Popelard et Grégory Rzepski,
paru aux Éditions Amsterdam le 18 août 2021 (29 Euros).
 
Sur le 1046 pages de l’ouvrage
on compte 6 contributions de François Bégaudeau :
« L’empire du faux » p. 157
« J’assume » p. 927 
« Le mercato » p. 987
« La résilience » p. 999
« Prendre son risque » p. 1003
« La série » p. 1015
 
« Boniments » (Éd. Amsterdam, février 2023, 13 Euros)
s’inscrit dans la série comprenant  « Histoire de ta bêtise (Éd. Pauvert 2019, 8 Euros) et « Notre joie » (Éd. Pauvert 2021, 10 Euros).
 
Et dans la postérité des « Mythologies » de Barthes…
 
Un très bon moment donc hier soir !
La réjouissante vivacité (et incisivité) d’esprit de François Bégaudeau est tout à fait stimulante…
Vraiment intéressant…
Et à suivre…
 
Merci de l’avoir repéré.
Francis

Suivi de ce second courriel à 10h 14,

titré « Vidéo Mollat de François Bégaudeau sur son roman « Ma cruauté » (Éd. Verticales 2022) » :

La vidéo d’un magnifique entretien (d’une heure ; et à distance) le 25 mars 2022,

et déjà avec la même Sylvie Hazebroucq qu’hier soir,
à propos de ce roman, « Ma cruauté« , paru, lui, le 3 mars précédent, aux Éditions Verticales.
Francis

Avec cette réponse-ci de Philippe, à 15h 07 :

Étincelant de subtilité.

Et donc à suivre de près,

concluerai-je,

dans l’attente assez impatiente toutefois de la publication à venir prochainement de la vidéo de l’entretien d’hier, « en présentiel » cette fois, à la Station Ausone à Bordeaux, entre François Bégaudeau _ ayant donc physiquement fait le voyage de Bordeaux ; et la Station Ausone, absolument comble, étant noire de monde ! _ et la même très attentive Sylvie Hazebroucq, à propos de ce passionnant et subtilissime « Boniments » (paru le 13 janvier dernier, 2023, aux Éditions Amsterdam)

_ pouvoir revoir-réécouter, et à loisir, plus attentivement encore les entretiens grâce à ces podcasts et vidéos demeurant accessibles de partout dans le monde sur le site de la librairie Mollat, constituant un magnifique considérable plus de cette singulière et unique formidable librairie…

Ce vendredi 10 février 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

En apothéose au merveilleux « Deguy » (Po&sie numéro 181-182), un magistral inédit « Retour sur l’autobiographie », conçu comme un épilogue au superbe « Noir, impair et manque » de 2016…

02fév

Chère Bénédicte,

Cher Martin,

 
C’est avec infiniment d’émotion (et plus encore d’admiration !) que je viens de découvrir, en quelque sorte en apothéose (aux pages 373 à 376) de votre magnifique « Deguy » – le numéro 181-182 de Po&sie – d’octobre dernier, cher Martin,
ce presqu’ultime mot – « palinodique » – de ressassement-approfondissemenr encore et toujours remis sur son « métier de penser-vivre » de Michel Deguy (Draveil, 23 mai 1930 – Paris, 16 février 2022)
comme et ici en forme d’ « épilogue » à ce déjà important « Noir, impair et manque » de 2016, avec vous, Bénédicte – et j’adore tout spécialement tout ce qu’apportent de vie les échanges ouverts des vrais entretiens ! –
intitulé – par qui ? par vous Martin ? par vous Bénédicte ? par Michel Deguy lui-même ? – « Retour sur l’autobiographie »
 
Un presqu’ultime mot, déjà, qui creuse admirablement – j’allais dire à son habitude prise-conquise au fil de la maturation patinée de ses propres longues années de vie : une chance… – ce qu’est son très humble et sans cesse, inlassablement, vitalement actif, nuits comprises, « procéder » de parler-écrire-penser « en langue »,
avec aussi et par cette inlassable « reprise » de ce que quelques autres avant lui, ainsi que maintenant autour et aussi avec lui, n’ont cessé et encore aujourd’hui, à leur tour, eux aussi, ne cessent,
de chercher-creuser à encore et toujours un peu mieux découvrir penser-découvrir-révéler-dire-écrire-partager dans l’horizon d’un petit pas supplémentaire de justesse de cet universellement indispensable penser juste…
 
Et cela, je veux dire cet écrit-relique, encore a-t-il fallu ensuite le recueillir et le garder-conserver-perpétuer un peu, sans le perdre ni le détruire, ni non plus l’oublier à jamais ;
et puis encore aussi le regarder, et encore y revenir, et à maintes reprises, le re-regarder-scruter-creuser-approfondir : ce à quoi aide et bien sûr sert aussi, et au moins doublement, sinon davantage, l’écrit : au stade même, déjà, de l’écrire-ré-écrire de l’auteur-écriveur.., puis à celui du lire-re-lire du lecteur un peu attentif, et à celui du méditer-approfondir, et puis à celui du oser questionner-dialoguer-avancer peut-être un pas plus loin (ou plus près) avec lui, etc. ;
et cet écrit devant ainsi être lu et vraiment bien lu, en recherche d’assentiment le plus authentique possible (et d’abord auto-critique de sa lecture…) de justesse de vérité, et réellement médité donc ; et relancé à nouveau encore par un véritable questionnement de fond quant au fond même des choses à connaître et comprendre si peu que ce soit vraiment…
 
Ce qui a été la pratique, déjà pour soi, de bien des auteurs se relisant (et ajoutant d’indispensables précisions, surtout, de leur penser en leur acte au plus vif sans cesse renouvelé, avec haute et profonde (« altus ») exigence, de leur écrire…), tels, par exemple, un Montaigne ou un Proust – « tant qu’il y aura de l’encre et du papier » -, parmi quelques centaines, peut-être – mais pas si nombreux que cela… -, d’autres fraternels écriveurs.
Sans parler de la pratique de quelques vrais lecteurs ; dont je n’essaierai pas d’avancer ici le moindre nombre…
 
Et je ne dis rien ici de ces médiateurs – « passeurs » terriblement cruciaux, en ces processus – au-delà du simple économique basique -, que sont d’une part les éditeurs – et les diffuseurs : les divers médias, les libraires… -, et d’autre part, en l’intimité protégée de ce qu’ont longtemps été les classes d’écoles, collèges, lycées, universités – qu’ont allègrement détruit maintenant, et pour de bien misérables profits comptables d’une poignée d’actionnaires… -, les si décisifs vrais professeurs, qui nous ont généreusement mis un merveilleux pied au lire, au méditer, au penser, voire à l’écrire vrais…
 
Et c’est en cela qu’indélébilement viennent se nouer-s’unir-se marier, se confondre peut-être même, le poïetique et le philosophique les plus assidus en leur quête modeste et humble, mais terriblement exigeante (mais aussi jubilatoire !) de la justesse,
comme en cet œuvre toujours à ouvrir par nous tous, du cher Michel Deguy…
 
Avec gratitude à vous deux, Bénédicte et Martin,
 
et en espérant bien vivement que quelque chose adviendra de tout cela à la Station Ausone de la si vivante Librairie Mollat à Bordeaux,
à l’occasion de la sortie, le 6 juin prochain, de ce très attendu très précieux – ultima verba… – « Ut musica, ut poiesis », aux Éditions du Canoë de la chère Colette Lambrichs…
La poésie, au moins elle, le mérite…
 
Francis Lippa – Titus Curiosus, à Bordeaux
 
P. s. : pour rappel, 
voici le lien au podcast du magique entretien que j’avais eu avec Michel Deguy à la Station Ausone de la librairie Mollat le 9 mars 2017, autour de son « La Vie subite _ Poèmes, biographèmes, théorèmes » d’octobre 2016.
 
Une prise vidéo de cet entretien avait été réalisée ; mais pour des raisons que j’ignore cette vidéo n’a pas été mise en ligne-diffusée, seulement le podcast…
Cet enregistrement vidéo a-t-il été conservé par la librairie Mollat ? Je l’ignore à ce jour…
Il ajouterait comme une pièce de plus à ce qui est maintenant devenu un « tombeau » à notre cher Michel Deguy…
Et perpétuer, en plus de l’audition capitale de sa voix – son rythme, son souffle, ses tons, ses silences, bref sa musicalité -, quelques images de son regard bleu pensif incisif et foncièrement interrogatif – socratique… -, me semble quelque chose de pas tout à fait négligeable…
 
Et inutile de préciser que j’avais soigneusement préparé cet entretien ouvert et improvisé – j’y tiens beaucoup : comme la vie « subite » la plus vraie… -, par maintes autres lectures de l’œuvre de Michel Deguy :
notamment le très important « Noir, impair et manque » de septembre 2016, avec Bénédicte,
Ce jeudi 2 février 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Sur « Avoir le temps _ essai de chronosophie » (aux PUF), ainsi que sur l’ensemble du parcours de penser en philosophe le réel, avec le plus de pertinence et exigence de lucidité possibles, l’entretien de Pascal Chabot avec Francis Lippa à la Station Ausone de la librairie Mollat à Bordeaux, mardi 22 novembre 2022

23nov

Ce mercredi 23 novembre 2022,

la Librairie Mollat met très vite en ligne sur son site la vidéo de l’entretien (d’une durée de 63′ 40″)

qu’ont eu tout juste hier mardi 22 novembre, à 18h, à la Station Ausone, Pascal Chabot et Francis Lippavice-président de la Société de Philosophie de Bordeaux _, en ouverture de la session 2022-2023 des conférences de la Société de Philosophie de Bordeaux ;

et qui a porté non seulement sur le tout dernier essai philosophique de Pascal Chabot, « Avoir le temps _ essai de chronosophie« , paru aux Presses Universitaires de France en janvier 2021,

mais aussi sur l’ensemble du parcours philosophique _ de philosopher, même… _ de Pascal Chabot pour penser _ avec une très grande qualité d’ouverture et le plus éminent souci d’exigence de justesse d’élucidation possible _ le réel,

depuis son travail « La Philosophie de Simondon » paru chez Vrin en 2003 _ et aussi, et après son « Simondon et la philosophie de la « culture technique » » (en 1993), « Les Philosophes et la technique« , avec son maître le professeur Gilbert Hottois (1946 – 2019), un ouvrage paru chez Vrin lui aussi en 2003 _,  jusqu’à cet « Avoir le temps _ essai de chronosophie » de 2021,

c’est-à dire, et dans l’ordre des parutions _ aux PUF désormais _ :

« Après le progrès« , en 2008 ;

« Les sept stades de la philosophie« , en 2011 ;

« Global burn-out« , en 2013 ;

« L’Âge des transitions« , en 2015 ;

« Exister, résister _ ce qui dépend de nous« , en 2017 ;

« Traité des libres qualités« , en 2019 ;

jusqu’à cet « Avoir le temps _ essai de chronosophie » de 2021…

Car je désirais entendre Pascal Chabot formuler lui-même son propre regard rétrospectif et actuel sur l’ensemble de son parcours de penser en philosophe le réel,

en sa continuité, comme en ses progrès…

Et inutile de dire toute mon admiration pour ce travail de penser en philosophe de Pascal Chabot,

son éminente clarté, et sa qualité extrêmement marquante et fondamentale de concret,

pour nous aider à mieux penser avec le plus de pertinence possible, en ses efforts constants, nos existences d’humains, en ce temps donné si sensible de nos vies…

Ce mercredi 23 novembre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Demain mardi 22 novembre 2022, à la Station Ausone à Bordeaux à 18 h, entretien avec Pascal Chabot : une invitation…

21nov

Demain mardi 22 novembre à 18 h, à la Station Ausone de le Librairie Mollat, rue de la Vieille Tour à Bordeaux,

en ouverture du cycle de conférences de la saison 2022-2023 de notre Société de Philosophie de Bordeaux, dont Pierre Crétois est le président,

j’aurai le très vif plaisir de m’entretenir sur le fond de son travail avec le philosophe bruxellois Pascal Chabot,

sur le regard que lui-même porte sur l’ensemble de son parcours de penser philosophique, en ses successifs ouvrages parus aux Presses Universitaires de France, depuis son « Après le Progrès« , paru en 2008, jusqu’à son « Avoir le temps _ essai de chronosophie« , paru en 2021,

et sur lequel nous insisterons ;

soit, et successivement :

_ « Après le Progrès« , en 2008,

_ « Les sept stades de la philosophie« , en 2011,

_ « Global burn-out« , en 2013,

_ « L’Âge des transitions« , en 2015,

_ « Exister,résister _ ce qui dépend de nous« , en 2017,

_ « Traité des libres qualités« , en 2019,

_ »Avoir le temps _ essai de chronosophie« , en 2021.

Auparavant, Pascal Chabot, auteur d’un « Simondon » (in Annales de l’Institut de Philosophie de l’Université de Bruxelles), en 2002,

a publié chez Vrin en 2003 « La Philosophie de Simondon » _ Gilbert Simondon, Saint-Étienne, 2 octobre 1924 – Palaiseau, 7 février 1989.

Pascal Chabot a été l’élève du très intéressant Gilbert Hottois (Bruxelles, 29 mars 1946 – 16 mars 2019), auteur en 1993 d’un « Simondon et la philosophie de la « culture technique »« ,

avec lequel Gilbert Hottois Pascal Chabot a publié en 2003 chez Vrin un très riche « Les Philosophes et la technique« … 

Et le 25 août dernier, sur mon blog Mollat « En cherchant bien« ,

j’ai proposé un commode article de présentation de l’entretien de demain 22 novembre, avec d’utiles précisions de détails :

« « ,

auquel  je me permets de renvoyer ici pour toutes ses riches précisions…

En vous espérant nombreux demain à la Station Ausone,

Ce lundi 21 novembre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Le Programme de la saison 2022-2023 de la Société de Philosophie de Bordeaux : Pascal Chabot, Jeanne Guien, Christophe Bouton, Marina Seretti, Stéphanie Péraud-Puigségur

04oct

Voici le programme de la saison 2022-2023 de notre Société de Philosophie de Bordeaux :

Salle Station Ausone, 18h-19h30 (Mollat)

22 novembre : Pascal ChabotAvoir le temps. Essai de chronosophie, Paris, Presses Universitaires de France, 2021 ; et l’ensemble de ses essais aux PUF depuis 2008 (séance animée par Francis Lippa)

9 janvier : Jeanne GuienLe consumérisme à travers ses objetsParis, Editions Divergences, 2021 (séance animée par Pierre Crétois)

7 février : Christophe BoutonL’accélération de l’histoire. Des Lumières à l’Anthropocène, Paris, Seuil, 2022 (séance animée par Pierre Crétois)

13 mars : Marina SerettiEndormis: Le sommeil profond et ses métaphores dans l’art de la Renaissance, Dijon, Les presses du réel, 2021 (séance animée par Pierre Crétois)

Athénée Municipale

16 mai : Stéphanie Péraud-PuigségurGeste, figures et écritures de maîtres ignorants. Platon, Montaigne, Rancière, Limoges, Lambert-Lucas, 2022. Répondante : Juliette Morice (Université du Maine)

Un beau programme !

Ce mardi 4 octobre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

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