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Un nouveau petit point d’étape de ma recherche à propos du terreau musical dont a pu bénéficier Théotime Langlois de Swarte…

20juin

Ce dimanche,

j’opère un nouveau petit point d’étape de ma recherche en vue d’éclairer _ toujours un peu davantage _ le fécond terreau culturel musical dont a pu se nourrir ce très brillant jeune violoniste qu’est Théotime Langlois de Swarte,

après un précédent récapitulatif en date du samedi 12 juin dernier : 

_ dimanche 13 juin : 

_ lundi 14 juin : 

_ mardi 15 juin : 

_ mercredi 16 juin : 

_ jeudi 17 juin : 

_ vendredi 18 juin : 

_ et samedi 19 juin : 

À suivre…

Ce dimanche 20 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un nouveau retour de bouteille jetée à la mer : un message d’un des petits-fils d’Huguette Bonopéra, petite-fille d’Auguste Bonopéra, le cafetier d’Orléansville, et arrière-petite-fille de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1919)

10avr

Cet après-midi,

nouveau _ merveilleux ! _ retour de message d’une bouteille lancée à la mer

_ soit, parmi pas mal d’autres, et plus spécialement, mon article du mardi 16 février dernier, à propos d’Auguste Bonopéra, le quatrième des fils de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Girot : _,

avec ces merveilleux mots-ci :

« Bonjour,

je suis le petit fils de Huguette Bonopéra, fils de Michel Dubois ;

je tiens à vous remercier pour tout ce travail de recherche ;

et c’est ainsi que je découvre l’histoire de ma famille ;

avec beaucoup de reconnaissance je vous remercie beaucoup ;

et n’hésitez pas à me contacter si je peux vous aider dans votre recherche« …

Ce contact,

de même que celui du 26 mars dernier

_ « Bonjour, je serais ravi de discuter avec vous, et peut-être vous faire avancer au niveau de la famille de Louyot Marcel«  _

reçu du descendant de Marcel-Auguste Louyot, et, plus en amont, de Jean Bonopéra _ en réponse à mon article du 16 mars dernier :   _,

constitue une miraculeuse surprise-récompense d’un travail de recherche de longue haleine

et absolument désintéressé :

autour de l’environnement familial _ les trois neveux, ainsi que leur descendance _ de l’inventeur, en 1868, à Lectoure, de la « photographie de couleurs » :

Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920)… 

Ou ce que peut apporter de merveilleux un blog tel que mon cher « En cherchant bien« …

Ce samedi 10 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Petit récapitulatif sur ma recherche de l’environnement familial de Louis Ducos du Hauron, le génial inventeur de la « photographie de couleurs », à Lectoure, en 1868…

03jan

Ce dimanche 3 janvier 2021,

faisant une petite pause dans mon travail _ quotidien _ de recherche à propos de l’environnement familial de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), le génial inventeur de « la photographie de couleurs« , à Lectoure, en 1868,

en l’occurence ses trois neveux,

Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935),

Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949-1950…)

et Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juillet 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912),

et leurs descendances respectives,

je propose ici un récapitulatif commode des 32 articles publiés jusqu’ici, 

du mardi 2 décembre 2020 au samedi 2 janvier 2021 :

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Et tout cela est, bien sûr, à poursuivre…

Ce dimanche 3 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

P. s. :

et pour dessert,

on pourra jeter un regard sur quelques unes des 80 merveilleuses images du splendide Tirages Fresson de mon ami Bernard Plossu _ paru ce mois de septembre aux Éditions Textuel _,

qui viennent, de temps en temps, de-ci, de-là, éclairer de leur splendide lumière

la série des 32 articles que j’ai consacrés, juste précédemment, à ce si beau travail de l’ami Plossu

…et de l’atelier Fresson de Savigny-sur-Orge !

et dont certaines d’entre elles viendront illuminer l’exposition agenaise en hommage à Louis Ducos du Hauron,

dont le vernissage aura lieu, à l’église des Jacobins, à Agen le 3 juillet prochain...

Un premier commode récapitulatif de mon parcours de recherche autour du bienveillant entourage familial gascon de Louis Ducos du Hauron, inventeur génial de la « photographie de couleurs »

14déc

Pour commodité,

voici un récapitulatif provisoire des articles de mon blog « En cherchant bien« 

témoignant de mon parcours de recherche _ step by step _,

à partir du mercredi 2 décembre dernier,

à propos de l’environnement familial,

en Gascogne principalement _ mais aussi en Algérie, puis en région parisienne _,

de Louis-Arthur-Montalembert Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

ce génial inventeur _ trop méconnu encore _ de la « photographie de couleurs » :

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

De prometteurs contacts de proches de l’inventeur

laissent espérer de nouveaux progrès de la connaissance concernant les conditions affectives et matérielles de ses recherches et géniales découvertes photographiques …

Ce lundi 14 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Nouvelles avancées à propos de la constellation familiale des neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron…

08déc

Poursuivant ce matin mes recherches généalogiques concernant le cercle familial rapproché de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

et cela afin de mieux  comprendre de quelles aides matérielles ainsi que de quels réconforts affectifs ses recherches ont pu bénéficier,

je viens de découvrir dans le registre des naissances de la ville d’Agen les dates et lieux de naissance et de décès des deux filles d’Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 31 juillet 1830 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) et Cézarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen,  mai 1923) _ et sœurs cadettes d’Amédée (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935) et Gaston (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) Ducos du Hauron _ ; et nièces de Louis :

Marie-Alice Ducos du Hauron : Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971) _ dont je connais désormais les dates et lieux de naissance (au 58 de la rue Lamouroux à Agen) et de décès (à Neuilly) _ ;

et Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron : Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971) _ dont j’apprends ainsi aussi les prénoms.

En revanche, je ne suis pas encore parvenu à identifier quel jour du mois de mai 1923 est décédée à Agen _ probablement encore en son domicile du 58 de la rue Lamouroux _ la veuve d’Alcide Ducos du Hauron _ le mariage avait eu lieu au Temple-sur-Lot le 11 septembre 1864 _ et belle-sœur très attentive de Louis, Cézarine-Marie de Fourcauld, née au Temple-sur-Lot le 3 février 1841.

Et en consultant toujours les archives en ligne d’Agen,  j’ai pu établir aussi la date du mariage, à Agen, le 11 février 1866, de la sœur d’Alcide et Louis Ducos du Hauron, Berthe Ducos du Hauron, née à Libourne le 23 janvier 1942, avec Henri Fabien Marie Alexandre Onézime de Bercegol, né le 19 février 1834 à Bélaye, au château Floyras, dans le canton de Luzech (Lot) _ le père de celui-ci étant Jean Guillaume Pierre Paul de Bercegol, qui fut maire de Bélaye de 1815 à 1830 puis de 1871 à 1877… Au moment de son mariage, le marié était commis aux manufactures de tabac, et en poste à Coutras. Il décèdera le 21 septembre 1896 à Cahors. Berthe lui survivant…

De ce couple d’Onézime et Berthe, j’ai pu identifier au moins un des enfants (le neveu assistant assidu de son oncle Louis dans ses recherches) : Raymond Camille Marie de Bercegol, né _ mais je n’ai pas encore découvert où _ le 4 février 1869 _ et j’ignore si Berthe et Fabien Onézime ont eu, ou pas, d’autres enfants.

Le 8 mars 1903, Raymond de Bercegol, alors commissaire de police pour les chemins de fer _ il a 34 ans _, a demandé sa mise en disponiblité pour raisons personnelles : possiblement pour s’associer à plein temps aux passionnantes recherches photographiques de son oncle Louis…  C’est en effet ce même Raymond de Bercegol qui, le 21 décembre 1901 et le 16 janvier 1902, cède à la Société Jougla (8 Avenue Victoria à Paris) les droits qu’il avait lui-même pris le 21 octobre 1898 pour l’appareil photographique Sinnox

Et toujours à propos de Raymond de Bercegol,  j’ai trouvé mention de deux mariages : le premier, le 28 octobre 1896, à Bélaye, soit le berceau de la famille des Bercegol (dans le département du Lot _ entre Cahors et Fumel _), avec Emérancie David ; et le second, le 4 juin 1907, à Bordeaux, avec Yvonne Marinier…

Ensuite, plus de traces de son parcours existentiel _ qu’a-t-il fait ? quand et où est-il décédé ? Si : je découvrirai bientôt les naissances et les décès de deux filles de lui ; la première, Marie Henriette, fille de sa première épouse (et cousine) Emérancie David (décédée à Bélaye, au château de Floyras, le 31 octobre 1905), est née à Bélaye, au château de Floyras le 16 janvier 1899, et décédée à Joinville-le-Pont le 15 novembre 1912 ; et la seconde, Simone Camille Jeanne Marie, fille de sa seconde épouse Marguerite Yvonne Marinier, est née à Joinville-le Pont le 13 mars 1910, et décédée à l’Hôpital Marie de Lannelongue, dans le 13e arrondissement de Paris, le 7 septembre 1912. 1912 : une terrible année pour Raymond de Bercegol… _ ;

ni, non plus, de son éventuelle descendance…

Mais je n’ai pas non plus découvert pour le moment ce qu’est devenue, ni où et quand est décédée, après son veuvage survenu à Cahors le 21 septembre 1896, sa mère Berthe, la sœur d’Alcide et Louis Ducos du Hauron. 

À suivre…

Ce mardi 8 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

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