Posts Tagged ‘généalogie Bonopéra

Retour vers l’amont des Bonopéra d’Orléansville : Tarragone, Barcelone, Mahon (Minorque) ; ainsi que Macerata (cité italienne des Marches, alors partie des Etats Pontificaux)…

12avr

En remontant vers l’amont des Bonopéra d’Orléansville,

en l’occurrence en remontant la succession des générations des ascendants de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916),

j’ai progressé dans mon repérage de ces filiations catalanes (Tarragone et Barcelone)

et minorquines (Mahon) ;

 

mais aussi en découvrant  _ à la page 554 de Represion de la Masoneria y consulados Pontificios. El Consulado Pontificio de Barcelona (1828-1830), un travail pointu, en 1989, de Monserrat Moli Frigola, de l’université de Naples… _ l’origine italienne du tailleur Luigi-Nicola Bonopera, originaire de Macerata, dans les Marches (les Marches qui faisaient alors partie des États Pontificaux)

_ Bonopera n’étant décidément ni un nom espagnol, ni un nom catalan ; mais bien un nom italien ! _ ;

Luigi-Nicola Bonopera, patron-tailleur, et sujet du pape en tant que natif des Marches _ soit la province d’Ancône, en Italie _, sera _ ai-je découvert en cet article très pointu _, le 26 novembre 1829, condamné à 8 ans de prison à accomplir à Ceuta, pour cause d’appartenance séditieuse à la franc-maçonnerie, avant de voir sa peine commuée in extremis, sur diverses interventions diplomatiques, en une expulsion du royaume d’Espagne, par le roi passablement xénophobe et très anti-libéral Ferdinand VII (1784 – 1833)… Et c’est à cette occasion-là qu’avec son épouse et ses enfants Louis-Nicolas Bonopéra s’est réfugié, en 1830, à Alger ; où il décèdera le 19 août 1835 _ cf cette mention de son décès dans l’acte de mariage de son fils (mi-italien par son père, mi-catalan par sa mère) Juan-Dionis-Francisco Bonopera avec la minorquine Margalida-Miguela Saura, à Alger, le 28 mars 1840… 

Les parents de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) sont :

Juan-Dionis-Francisco Bonopera (Tarragone, 9 mars 1814 – Pontéba, début 1876 )

et son épouse Margalida-Miguela Saura (Santa-Maria-de-Mahon, Île de Minorque, 21 mars 1820 – Pontéba, fin 1876),

qui se sont mariés à Alger le 28 mars 1840.

Les parents de Juan-Dionis-Francisco Bonopera sont :

Lluis-Nicolas _ ou bien Luigi-Nicola, ou bien Louis-Nicolas _ Bonopera (probablement Macerata, ? – Alger, 19 août 1835), maître-tailleur,

et son épouse catalane Jacinta Minguella (Barcelone, 1797 – Alger, 24 février 1841) _ la mention de la profession que celle-ci exerçait au moment de son décès est : « restaurateur«  _,

qui se sont mariés assez probablement en Catalogne, avant 1814.

Et les parents minorquins de Margalida-Miguela Saura sont :

Miguel Saura (Mahon, Minorque, 1793 – Alger, 25 juin 1866)

et son épouse Maria Orfila (Mahon, Minorque, 1796 – Alger, 25 février 1863),

qui se sont mariés à Mahon en 1821 comme indiqué dans l’acte de décès de Maria Orfila, en 1863.

Pour la génération précédente,

j’ignore hélas à ce jour qui sont les parents _ en Italie _ de Louis-Nicolas _ ou plutôt Luigi-Nicola _ Bonopera.

Et les parents catalans de Jacinta Minguella sont :

Juan Minguella (????) et Antonia Pons (???, ?)

_ mais j’ignore les lieux et dates de leur naissance, mariage et décès respectifs.


A la génération antérieure, les parents minorquins de Miguel Saura sont :

Miguel Saura et Madalena Serra.


Et les parents minorquins, eux aussi, de Maria Orfila  sont :

Pedro Orfila et Madalena Piris…

En cherchant toujours un peu plus,

il arrive qu’on finisse par découvrir de parfois importantes nouvelles données, même parcellaires, certes,

mais assurément bien intéressantes…

Et cela nous aide aussi à mieux comprendre l’intensité _ permanente et durable _ des échanges au travers de la mer Méditerranée…

Ce lundi 12 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Sur la difficulté d’approcher la connaissance des plus récentes générations de descendants de la famille Bonopéra : par exemple, les branches Défillon, Louyot et Jouvence…

17mar

Ainsi persistent pas mal de taches aveugles

dans mes efforts d’approcher et reconstituer un arbre généalogique le plus exhaustif possible

de cette famille Bonopéra présente à Alger dès les années 1830, venue de Tarragone et de l’île de Minorque…


Par exemple,

c’est en reprenant mes notes des mois de janvier et février dernier, que j’ai pu me pencher davantage et bien plus précisément

sur les branches Louyot, Défillon et Jouvence de cette famille Bonopéra,

dont j’avais un peu perdu le souvenir d’unions avec des filles de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné…

Et cela m’a même permis de situer l’épouse _ au prénom demeuré encore inconnu _ d’Aimé Jouvence _ tirailleur algérien (ou marocain), occasionnellement présent à Tlemcen, Fès et Taza ; mais fréquemment de retour alors à Oued Fodda _,

et mère du petit Claude Jouvence,

au sein de la fratrie des 6 enfants

_ les 5 autres étant Georges-Paul (époux de Clémentine Petit), Joséphine (épouse de Kléber Défillon), Aimée (épouse de Dominique Villanova, puis de André-Klébert Riquier), Jeanne (épouse de Marcel-Auguste Louyot) et en fin Claude… _

de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné…

Quant aux branches Villanova et Riquier

des deux époux successifs d’Aimée Bonopéra,

j’ai plutôt l’impression qu’elles sont, elles, demeurées sans descendance aucune ;

mais je peux bien sûr me tromper…

Ce mercredi 17 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Récapitulatif de quelques petits progrès à propos de la descendance de Jean Bonopéra et son épouse Marie-Louise Hulné, sur deux générations

16mar

Ce soir,

j’éprouve le besoin de m’attarder sur quelques petits progrès accomplis récemment sur l’identification de quelques membres de deux générations de descendants de Jean Bonopéra et son épouse Marie-Louise Hulné :

d’abord, la génération de leurs au moins six enfants _ dont, de l’un d’entre eux, j’ignore le prénom : il s’agit de celle qui a épousé, à Oued Fodda, le sergent-chef Aimé Jouvence, dont elle a eu, au domicile de ses parents Bonopéra, à Oued Fodda, le 23 novembre 1032, un petit garçon, Claude Jouvence ;

et dont d’un autre, Claude Bonopéra, j’ignore encore à ce jour presque tout, sinon le prénom, et le genre : masculin ;

et surtout, faute de connaître les dates de naissance de chacun de ces 6 enfants de Jean Bonopéra, j’ignore leur ordre de naissance au sein de la fratrie ;

car je connais les dates de naissance de seulement 3 de ces enfants : le 25 juin 1902, à Rabelais, pour Georges-Paul ; le 13 novembre 1905, à Rabelais, toujours, pour Aimée ; et le 10 mars 1913, à Orléansville, pour Jeanne ;

pour les trois autres,

de Joséphine, je connais seulement la date et le lieu du mariage (célébré « dans l’intimité« …), le 30 janvier 1923, à Duperré, avec Kléber Défillon, né le 30 avril 1900 à Duperré) ;

de Claude, je ne sais quasiment rien pourrait-il être ce Claude-Jean Bonopéra né à Alger le 18 mai 1922 (et qui décèdera à Marseille le 16 avril 1992) ? je l’ignore… ;

et de la sœur Bonopéra, qui a épousé, à Oued Fodda, le sergent-chef Aimé Jouvence (qui était sergent-chef au 3e régiment de Tirailleurs, à Fez), et dont j’ignore encore le prénom, je connais seulement la date et le lieu de naissance, à Oued Fodda, le 23 novembre 1923, de leur fils, le petit Claude-Lucien Jouvence, d’après deux avis, d’une part, du Progrès d’Orléansville du 1er décembre 1932 (pour lequel le sergent-chef Jouvence, aux tirailleurs algériens, est stationné à Taza) ; et d’autre part, de L’Écho d’Alger du 3 décembre 1932, qui ne manque pas d’adresser ses compliments aux « heureux parents, M. Jouvence, sergent-chef au 3e régiment de tirailleurs à Fez, et Mme, née Bonopéra« , ainsi qu’au « grand-père, M. Bonopéra Jean, notre sympathique agent de police locale« … 

Cf aussi, en mon article du 15 février dernier :  , l’anecdote bien intéressante (parue dans L’Écho de Tlemcen du 12 novembre 1929) de l’accident survenu à la gare de Tlemcen, le 6 novembre 1929, à deux des gendres de Jean Bonopéra : Aimé Jouvence et Kléber Défillon ; Aimé Jouvence était alors en garnison à Tlemcen, et Kléber Défillon, qui était venu ce jour-là à Tlemcen rendre visite à son beau-frère, était employé aux chemins de fer du P.L.M., à Affreville… _ :

Joséphine Bonopéra ;

Georges-Paul Bonopéra ;

Claude Bonopéra ;

Aimée Bonopéra ;

x Bonopéra _ l’épouse, à Oued Fodda (j’ignore la date de ce mariage), d’Aimé Jouvence ; et mère, à Oued Fodda, au domicile des grands-parents maternels Bonopéra, le 23 novembre 1932, du petit Claude-Lucien Jouvence… _ ;

et Jeanne Bonopéra ;

et ensuite la génération de leurs _ au moins _ 13 petits-enfants :

d’abord, les 2 enfants Défillon _ dont j’ignore les dates de naissance _ de Joséphine Bonopéra et son époux Kléber Défillon _ mariés à Duperré, le 30 janvier 1923 _ :

Simone Défillon _ j’ignore le lieu et la date de sa naissance _ ;

et son frère ou sa sœur Défillon _ dont j’ignore tout, à part l’existence _ ;

puis, les 6 enfants Bonopéra _ dont je connais les dates de naissance de seulement 3 d’entre eux (pour Paul : le 31 juillet 1926, à La Ferme ; pour Jacqueline : le 15 janvier 1944, à La Ferme ; et pour Vivianne, le 20 octobre 1951, à Saint-Cyprien-des-Attafs) _ de Georges-Paul Bonopéra et son épouse Clémentine Petit _ mariés à Duperré, le 25 mai 1925  _ :

Paul Bonopéra _ né à La Ferme, le 31 juiller 1926 _ ;

Hélène Bonopéra ;

Jacqueline Bonopéra _ née à La Ferme, le 15 janvier 1944 _ ;

Mireille Bonopéra ;

Stéphanie Bonopéra ;

et Vivianne Bonopéra _ née à Saint-Cyprien-les-Attafs, le 20 octobre 1951 _ ;

puis les 4 enfants Louyot de Jeanne Bonopéra et son époux Marcel-Auguste Louyot _ mariés à Oued Fodda, le 22 septembre 1934 _ :

Josianne Louyot _ née à Oued Fodda, le 27 décembre 1935 _ ;

et trois autres enfants Louyot _ dont j’ignore tout, à ce jour, y compris les prénoms…

et enfin _ au moins _ 1 enfant Jouvence de la sœur Bonopéra dont j’ignore encore le prénom, et son époux Aimé Jouvence :

Claude-Lucien Jouvence _ né à Oued Fodda le 23 novembre 1932.

À suivre…

Ce mardi 16 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques pistes, encore imprécises, à propos de certains descendants de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné

15mar

En cherchant,

j’ai découvert quelques noms de descendants _ en l’occurrence deux arrière-petits-fils _ du fils aîné de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Girot,

je veux dire descendants de Jean Bonopéra, l’époux de Louise-Marie Hulné.

Et cela à travers quelques indications _ mais hélas pas assez précises _ concernant

d’une part le fils peut-être aîné _ il est né le 25 juin 1902 _ de ce Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné,

je veux parler, ici, de Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 25 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977),

époux de Clémentine Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, Var, 1985),

ainsi que des six enfants _ Paul (né à La Ferme, le 31 juillet 1926 ; et décédé à Toulon, le 9 janvier 1977), Hélène, Jacqueline (née à La Ferme, le 15 janvier 1944 ; et décédée à Limoux, le 17 janvier 2016), Mireille, Stéphanie et Vivianne (née à Saint-Cyprien des Attafs, le 20 octobre 1951 ; et décédée à Hyères, le 7 janvier 1997)_ Bonopéra de ce couple ;

et d’autre part celle qui est _ peut-être : ignorant sa date de naissance, j’ignore forcément aussi sa place au sein de la fratrie… _ la seconde _ en tout cas, elle fait partie, avec ses frères Claude et Georges-Paul, des trois aînés des 6 enfants de cette fratrie _ des enfants de Jean et Louise-Marie,

je veux parler, ici, de Joséphine Bonopéra (? – ?),

épouse de Kléber Défillon (? – ?),

ainsi que des _ peut-être _ deux enfants _ Simone et, peut-être, un frère _ Défillon de ce couple…

Car ces pistes de recherche m’ont été fournies par au moins deux arbres généalogiques qui demeuraient hélas muets sur les identités des membres des plus jeunes générations de descendants…

Cf aussi cet autre arbre généalogique frustrant, concernant la descendance d’un autre (après Joséphine et Georges-Paul) des au moins six enfants de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné :

cette fois, Jeanne Bonopéra (Orléansville, 10 mars 1913 – Kindsbach, 25 mai 1949), épouse de Marcel-Auguste Louyot (Metz, 3 mars 1910 – Fontaine-Les-Dijon, 13 décembre 1997) _ parents de 4 enfants Louyot, dont l’aînée est Josianne-Catherine-Marie (née à Oued Fodda, le 27 décembre 1935 ; et décédée à Pessac, le 5 juin 1994) _,

dont je suis aussi en recherche de descendants, qui seraient susceptibles d’apporter de bienvenus témoignages sur leurs ascendants Bonopéra… 

Ces arbres généalogiques auxquels je suis redevables ont été réalisés par Marie-Carmelle Broussy, Claude Petit, Joëlle Brun, ainsi que Violaine Giannini-Hulné…

Il me faut donc forcément me contenter, pour le moment du moins, des renseignements (surtout deux noms _ l’un deux, surtout, ayant déclaré chercher à retrouver sa cousine Claudette, petite-fille d’Auguste-le-cafetier… _ ) que j’ai pu obtenir par là ;

et continuer à rechercher le reste des noms qui ont été remplacés, en ces arbres généalogiques, par des points de suspension… 

À suivre…

Ce lundi 15 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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