Posts Tagged ‘Paul Bonopéra

Quelques précisions sur un des objets de ma recherche, à Orléansville, dans les années 20 et 30 : mieux approcher, peut-être enfin, l’identité de « Madame Veuve Paul Bonopéra mère », née Confex…

21avr

Suite à notre échange téléphonique _ avec Madame Aline Bonopéra _,

je vous confirme la recherche que je mène à propos de la veuve de Paul Bonopéra
(né à Miliana le 10 janvier 1856 et décédé à Orléansville le 18 janvier 1916, Paul Bonopéra – père fut conseiller municipal d’Orléansville de 1908 à son décès, en 1916),
qui fut donc la veuve de l’arrière-grand-père de Jean-Pierre Bonopéra, fils de Marcel et petit-fils de Paul-le-boulanger d’Orléansville…
 
« Mme Vve Paul Bonopéra mère » est présente dans divers faire-part de mariage ou de décès,
notamment de divers membres de la famille d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey ; famille à laquelle je m’intéresse,
à partir de l’inventeur de la « photographie de couleurs », Louis Ducos du Hauron…
 
 
Au décès de Georges Morand de la Genevraye, le 7 octobre 1935
(celui-ci étant le troisième des fils d’Auguste Morand de la Genevray _ qui fut maire d’Orléansville _ et de son épouse Marguerite Bonopéra, la sœur aînée de Paul Bonopéra),
« Madamme Veuve Paul Bonopéra mère » figure sur le faire-part de décès de son neveu Georges : elle vit donc toujours en 1935…
Marie-Louise Rey et sa jeune sœur Aimée-Laurence, elles, étaient filles d’Anatole Rey (1845 – 1890), qui fut lui aussi maire d’Orléansville, en 1880-1881, et de son épouse Adélaïde Gentet (1855 – 1886),
membre d’une famille Gentet présente à Orléansville depuis 1852 _ Tocqueville raconte avoir rencontré Laurent Gentet en 1837, du côté de Constantine…
 

Suite aux décès successifs de leurs parents Anatole Rey et Adélaïde Gentet en 1886 et 1890,
Marie-Louise Rey et sa sœur Aimée-Laurence ont été recueillies par leur oncle maternel Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 1906 ; qui fut lui aussi conseiller municipal d’Orléansville),
et son épouse, née Wachter (j’ignore encore son prénom) : celle-ci étant une des filles de Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 1836 – Alger, 1925).
 
Or cette dame « Veuve Louis Gentet, née Wachter » avait pour tante maternelle « Madame Veuve Paul Bonopéra – mère », née Confex :
au décès d’Elisabeth Confex, veuve Wachter, à Alger, le 30 mars 1925, « Madame Veuve Paul Bonopéra » est en effet qualifiée de « sœur de la défunte » ! 
 
De « Madame Veuve Paul Bonopéra », veuve donc de Paul, l’arrière-grand-père de J.-P. Bonopéra _ lequel, né à Orléansville le 2 novembre 1934, est fils de Marcel (1907 – 1992) et petit-fils de Paul-le-boulanger d’Orléansville (1878 – 1930) _,
j’ignore aussi, à ce jour, le prénom, la date et le lieu de naissance, ainsi que la date et le lieu de décès : après 1935, donc…
 
Peut-être M. Bonopéra peut-il m’aider en cette recherche d’identification de la veuve de son arrière-grand-père paternel…
 
 
Cette dame « Veuve Paul Bonopéra » n’était pas la mère des 6 fils de Paul Bonopéra (Jean, Paul, Alphonse, Auguste, Julien et Georges)
_ laquelle, mère effective, était Joséphine Girot (ou Giraud), née à Ténès en 1856 et décédée à Orléansville le 11 juillet 1892 ;
Mais, même si j’ignore encore à ce jour la date de son mariage avec Paul Bonopéra, cette dame, née Confex, fut bien sa veuve…
De même qu’après le décès de Georges Bonopéra, le 9 mars 1918, à Arbouans, près de Montbéliard, celle-ci est qualifiée _ improprement _ de « mère » du défunt ; du moins n’est-elle pas, en effet, sa mère biologique…
Car Georges Bonopéra, né à Rabelais le 21 février 1892, avait perdu très tôt sa mère Joséphine Girot : le 11 juillet 1892 ;
 
Voilà un résumé déjà un peu compliqué de l’objet de mon appel à M. Jean-Pierrre Bonopéra : m’éclairer peut-être sur sa mémoire familiale des Bonopéra d’Orléansville…
Et essayer d’identifier peut-être enfin
et  « Madame Veuve Paul Bonopéra, née Confex »,
et sa nièce « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter »…
 
Ma recherche avait pour objet, à son départ, au mois de décembre 2020, d’apprendre à connaître et comprendre l’environnement familial _ très aidant et réellement coopératif _ de l’inventeur, en 1868, à Lectoure, de la « photographie de couleurs », l’agenais Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920) ;
mais peu à peu je me suis plongé avec un très vif plaisir dans le labyrinthe de la vie, en Algérie, de son neveu Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1937),
et plus précisément, en même temps qu’un peu plus largement, dans le microcosme chaleureux de la vie à Orléansville, la ville des Rey et des Gentet, entre 1870 et 1940,
moi qui ne suis jamais allé en Algérie.

 

Ce mercredi 21 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Orléansville, 1916, ou 1935 : ce soir, un espoir de contact mémoriel peut-être vivace…

20avr

Ce soir, j’ai reçu une piste sérieuse d’éventuel très précieux contact :

nous verrons donc demain, au calme, ce que cela donnera…

Retourner par la mémoire, désormais bien ancienne, vers l’Orléansville de 1916 _ le décès de Paul Bonopéra, le 18 janvier _

ou même de 1935 _ le décès de Georges Morand de la Genevraye, le 9 octobre, sur l’avis de décès duquel, à la page 7 du numéro du Progrès d’Orléansville daté du 8 octobre 1935, apparaît, à la 18e ligne, le nom de « Madame Veuve Paul Bonopéra mère« , toujours en vie par conséquent à cette date _

afin d’essayer de donner une identité plus précise à cette « Madame Veuve Paul Bonopéra – mère » (née Confex), proche parente par alliance du défunt Georges Morand de La Genevray (Orléansville, 21 février 1886 – Orléansville, 7 octobre 1935), puisque, par son mariage avec Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 16 janvier 1856), Madame Veuve Paul Bonopéra – mère, née Confex, se trouvait être rien moins que la belle-sœur de Marguerite Bonopéra, la mère du défunt Georges Morand de La Genevray _ cf mon article « «  du 10 février 2021 _, et donc rien moins que la tante maternelle, toujours alors en vie, du défunt,

demeure assez difficile :

qui est encore à même de disposer toujours d’un tel précis _ frais, vivace, et fiable.. _ souvenir, si lointain, désormais ?..

Ce mardi 20 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A la recherche de contacts mémoriels avec des arrière-petits-enfants de Jean Bonopéra et son épouse Louise Hulné, d’Orléansville, dont je connais l’existence…

13avr

Parmi les descendants de Jean Bonopéra (Pontéba, 18 juin 1877 – j’ignore toujours le lieu et la date de son décès_ le  fils aîné de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1816) et son épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856, Orléansville, 11 juillet 1892)et son épouse Louise Hulné (Rabelais, 6 juin 1881 – Affreville, 1963),

me seraient bien utiles les contacts-témoignages de deux de leurs arrière-petits-fils :

l’un est Jean-Stéphane Bonopéra,

né à Orléansville le 5 décembre 1956 _ fils de Paul Bonopéra (La Ferme, 31 juillet 1926 – Toulon, 8 juillet 2000) et petit-fils de Georges Bonopéra (Rabelais, 25 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977) _,

et qui pourrait résider dans le Var :

l’année dernière encore _ le 27 mai 2020 _ il cherchait à entrer en contact avec sa cousine Claudette Bonopéra _ fille d’Auguste Bonopéra-fils, et petite-fille d’Auguste Bonopéra-père ; Claudette est la sœur jumelle de Huguette Bonopéra _ ;

l’autre est Gérald Llinarès,

né à Alger le 24 avril 1949 _ fils de Simone Défillon (Affreville, 4 novembre 1923 – Montpellier, 21 décembre 2014), et petit-fils de Joséphine Bonopéra (j’ignore les lieux et dates de sa naissance et son décès) ; cf mon article du 16 mars dernier : _,

et qui pourrait résider, lui, dans le Gard, et non loin du Vaucluse.

Tous deux disposant, je suppose, d’une mémoire bien vivante de leur vie en Algérie avant 1962 ;

et de leurs parents et grands-parents d’Orléansville…

Mais me font défaut les moyens _ téléphonique, ou par courriel _ de pouvoir échanger avec eux…

Ce mardi 13 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Retour vers l’amont des Bonopéra d’Orléansville : Tarragone, Barcelone, Mahon (Minorque) ; ainsi que Macerata (cité italienne des Marches, alors partie des Etats Pontificaux)…

12avr

En remontant vers l’amont des Bonopéra d’Orléansville,

en l’occurrence en remontant la succession des générations des ascendants de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916),

j’ai progressé dans mon repérage de ces filiations catalanes (Tarragone et Barcelone)

et minorquines (Mahon) ;

 

mais aussi en découvrant  _ à la page 554 de Represion de la Masoneria y consulados Pontificios. El Consulado Pontificio de Barcelona (1828-1830), un travail pointu, en 1989, de Monserrat Moli Frigola, de l’université de Naples… _ l’origine italienne du tailleur Luigi-Nicola Bonopera, originaire de Macerata, dans les Marches (les Marches qui faisaient alors partie des États Pontificaux)

_ Bonopera n’étant décidément ni un nom espagnol, ni un nom catalan ; mais bien un nom italien ! _ ;

Luigi-Nicola Bonopera, patron-tailleur, et sujet du pape en tant que natif des Marches _ soit la province d’Ancône, en Italie _, sera _ ai-je découvert en cet article très pointu _, le 26 novembre 1829, condamné à 8 ans de prison à accomplir à Ceuta, pour cause d’appartenance séditieuse à la franc-maçonnerie, avant de voir sa peine commuée in extremis, sur diverses interventions diplomatiques, en une expulsion du royaume d’Espagne, par le roi passablement xénophobe et très anti-libéral Ferdinand VII (1784 – 1833)… Et c’est à cette occasion-là qu’avec son épouse et ses enfants Louis-Nicolas Bonopéra s’est réfugié, en 1830, à Alger ; où il décèdera le 19 août 1835 _ cf cette mention de son décès dans l’acte de mariage de son fils (mi-italien par son père, mi-catalan par sa mère) Juan-Dionis-Francisco Bonopera avec la minorquine Margalida-Miguela Saura, à Alger, le 28 mars 1840… 

Les parents de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) sont :

Juan-Dionis-Francisco Bonopera (Tarragone, 9 mars 1814 – Pontéba, début 1876 )

et son épouse Margalida-Miguela Saura (Santa-Maria-de-Mahon, Île de Minorque, 21 mars 1820 – Pontéba, fin 1876),

qui se sont mariés à Alger le 28 mars 1840.

Les parents de Juan-Dionis-Francisco Bonopera sont :

Lluis-Nicolas _ ou bien Luigi-Nicola, ou bien Louis-Nicolas _ Bonopera (probablement Macerata, ? – Alger, 19 août 1835), maître-tailleur,

et son épouse catalane Jacinta Minguella (Barcelone, 1797 – Alger, 24 février 1841) _ la mention de la profession que celle-ci exerçait au moment de son décès est : « restaurateur«  _,

qui se sont mariés assez probablement en Catalogne, avant 1814.

Et les parents minorquins de Margalida-Miguela Saura sont :

Miguel Saura (Mahon, Minorque, 1793 – Alger, 25 juin 1866)

et son épouse Maria Orfila (Mahon, Minorque, 1796 – Alger, 25 février 1863),

qui se sont mariés à Mahon en 1821 comme indiqué dans l’acte de décès de Maria Orfila, en 1863.

Pour la génération précédente,

j’ignore hélas à ce jour qui sont les parents _ en Italie _ de Louis-Nicolas _ ou plutôt Luigi-Nicola _ Bonopera.

Et les parents catalans de Jacinta Minguella sont :

Juan Minguella (????) et Antonia Pons (???, ?)

_ mais j’ignore les lieux et dates de leur naissance, mariage et décès respectifs.


A la génération antérieure, les parents minorquins de Miguel Saura sont :

Miguel Saura et Madalena Serra.


Et les parents minorquins, eux aussi, de Maria Orfila  sont :

Pedro Orfila et Madalena Piris…

En cherchant toujours un peu plus,

il arrive qu’on finisse par découvrir de parfois importantes nouvelles données, même parcellaires, certes,

mais assurément bien intéressantes…

Et cela nous aide aussi à mieux comprendre l’intensité _ permanente et durable _ des échanges au travers de la mer Méditerranée…

Ce lundi 12 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Plaisir de partager la connaissance des recherches sur la famille Bonopéra d’Orléansville, avec un de ses descendants

11avr

Cet après-midi,

appel téléphonique du petit-fils de Madame Huguette Bonopéra,

qui m’avait adressé un message hier ;

et qui me fait part de sa joie d’avoir beaucoup découvert et appris de l’histoire de sa famille d’Orléansville :

celle issue d’Auguste Bonopéra-fils,

d’Auguste Bonopéra-père,

de Paul Bonopéra (Miliana 1856 –  Orléansville, 1916)…

C’est assez émouvant de lui avoir été ainsi un peu utile.

Il va tâcher de se renseigner auprès de son père _ natif, de même que sa grand-mère Huguette et son grand-père Gérard, d’Orléansville _ pour essayer  de compléter, peut-être, les données encore trop parcellaires que j’ai pu réunir jusqu’ici…

À suivre…

Ce dimanche 11 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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