Posts Tagged ‘Port-Cros

Désir de montrer à partager 4 images : « Palerme, 2011″, « Port-Cros, 2011″, « Purroy, 2018″ et « Giverny, 2010″, du présent « Tirages Fresson »…

30nov

Ce lundi matin,

ce simple bref courriel-ci, à l’ami Bernard Plossu :

Cher Bernard,

au final de mon mois de novembre passé à scruter le plus attentivement possible et de long en large ton admirable « Tirages Fresson »,
 
je m’avise à nouveau que je ne dispose pas d’image (accessible du moins maintenant sur le web)
d’aucune de mes 4 images préférées :
_ page 18 : « Palerme, 2011 »
_ page 53 : « Port-Cros, 2011 »
_ page 68 : « Purroy, 2018 »
_ page 80 : « Giverny, 2010 »…
 
Pourrais-tu m’en adresser par courriel une reproduction, afin que je puisse les insérer aux citations que je fais d’elles, au moins dans mon article de conclusion du 22 novembre :
Et au passage, je m’étonne d’ailleurs un peu de l’absence de ces 4 images-là sur le web… Serais-je donc le seul à les porter au pinacle ?..
 
J’aimerais aussi que tu me narres brièvement les circonstances singulières de ces 4 émotions photographiques éprouvées par toi, sur place, en 2010, 2011 et 2018 _ et qui ont déclenché ton clic photographique… _,
à Palerme, Port-Cros, Purroy et Giverny ;
 
et donnes un très rapide commentaire, a posteriori _ 10 ans, 9 ans et 2 ans plus tard, par conséquent _, face à ces 4 images qui demeurent aujourd’hui de ces 4 émotions-là saisies alors _ en 2010, 2011 et 2018 _ sur le vif :
pour aider éventuellement les humbles regardeurs que nous sommes, le livre sous les yeux, à mieux comprendre aussi les stupéfiants chocs de joie que nous, à notre tour, éprouvons _ hic et nunc _ face à ces images,
qui ont atteint, par-delà les temps de vie écoulés, à une sidérante éternité iconique
grâce à ton génial clic photographique, au tirage lumineux des Fresson, et encore au beau travail de l’éditeur de l’album, qu’il ne faut pas oublier non plus…
 
J’espère ne pas trop te déranger ainsi…
Mais mieux partager sur mon modeste blog l’époustouflant plaisir de ces images revêt une certaine importance pour moi…
 
Montrer une image est une sorte d’équivalent à donner à écouter une musique : nos phrases s’avérant toujours un peu faibles face aux si riches directes expériences sensorielles ;
ainsi que face aux œuvres qui en témoignent, et demeurent et restent…
 
Excellente journée !
 
Francis,
à Bordeaux, où il fait très beau ce lundi…

Ce lundi 30 novembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et à propos de l’Eden plossuien de Port-Cros, la révélation de quelques mystères…

27nov

Et à propos de la sublime image « Port-Cros, France, 2011″

du si merveilleux « Tirages Fresson » de Bernard Plossu

aux Éditions Textuel,

cette image probablement déjà parue en 2012 dans « L’Incertaine apparence de l’île de Port-Cros« ,

de Bernard Plossu et François Carassan,

paru dans les Cahiers de l’Égaré, en décembre 2012,

L'incertaine apparence de l'île de Port-Cros

un  excellent contact avec l’éditeur _ des Cahiers de l’Égaré _, Jean-Claude Grosse,

du Revest-Les-Eaux _ au-dessus de Toulon _,

m’a mis sur la piste, à Port-Cros même,

de Pierre Buffet,

l’auteur, 

à propos de cette île toujours un peu secrète

_ l’île d’Ariel, de Caliban et de Prospero ? dont nous fait rêver, et en Méditerranée même, Shakespeare, en sa fastueuse Tempête : où donc est Miranda ?.. _,

d’un richissime « L’esprit de l’île : mémoires de Port-Cros« ,

paru en 2014, chez Claire Paulhan éditeur…

L'esprit de l'île : mémoires de Port-Cros

Et l’on comprend un peu mieux l’apparence édenique de cette île








que rend si bien le merveilleux œil iconique de Bernard Plossu

et, tout spécialement, en ses magiques tirages Fresson…

Quel lumineux vert !!!

Un seul (petit) regret pour moi, à ce moment :

ne pas pouvoir partager ici cette image légendée « Port-Cros, France, 2011« 

de la page 53 de ce merveilleux « Tirages Fresson » qui vient de paraître aux Éditions Textuel,

 

faute d’exemplaire de cette image sublime

accessible pour le moment _ du moins… _ sur le web… 

Ce vendredi 27 novembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Pour poursuivre le cheminement de mon regard sur les sublimes « Tirages Fresson » de mon ami Bernard Plossu, deux autres propositions de lecture : deux livres de Bernard Plossu et François Carrassan…

25nov

Dans ma bibliothèque,

riche de plus d’une soixantaine d’ouvrages (de photo) de Bernard Plossu,

deux manquent me dérangent un peu :

il s’agit de 2 livres de Bernard Plossu avec le hyérois _ amoureux de Port-Cros _ François Carrassan  :

tout d’abord,

aux Cahiers de l’Égaré (en 2012),

« L’Incertaine apparence de l’île de Port-Cros« ,

 

L'incertaine apparence de l'île de Port-Cros

dans lequel parut pour la première fois, du moins à ce que suppose, la sublime image légendée « Port-Cros, France, 2011« , de la page 53 des admirables « Tirages Fresson » de Bernard Plossu (aux Éditions Textuel, cet automne 2020) ;

et ensuite,

aux Éditions Images en manœuvre (en 2007),

« L’Étrange beauté de la ville d’Hyères« …

L'étrange beauté de la ville d'Hyères

M’intéresse aussi, toujours de François Carrassan, mais  cette fois sans Plossu,

l’assez récent « Heureusement qu’on meurt _ sur une parole de Marcel Conche« ,

à nouveau aux Cahiers de l’Égaré,

que dirige Jean-Claude Grosse,

avec lequel je viens d’avoir une riche conversation téléphonique de 30 minutes

_ François Carrassan, Jean-Claude Grosse, et moi-même étant des philosophes de formation, et tous très vifs admirateurs de Marcel Conche,

toujours très actif philosophiquement, et dont on fêtera les 100 ans le 27 mars 2022…

 

Heureusement qu'on meurt : sur une parole de Marcel Conche

À suivre…


Ce mercredi 25 novembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Question : lesquels des « Tirages Fresson » de Bernard Plossu, sont ceux que je préfère ?.. L’embarras du choix du regardeur, comparé à l’embarras du choix de l’artiste lui-même

21nov

Bien sûr,

face à un choix de préférence d’image(s),

l’embarras d’un regardeur placé en face de 80 images entre lesquelles il se somme d’en choisir une _ qu’il aurait préférée, ou préfèrerait, aux autres _,

afin que cette image soit _ hypothétiquement, à son choix personnel subjectif _ placée en couverture de l’album réalisé _ ou à venir _,

est infiniment ridicule

en comparaison de l’embarras _ on ne peut plus réel et effectif, lui _ de l’artiste lui-même

placé devant la situation d’avoir, là et maintenant, à choisir une image de couverture de même, d’ailleurs, qu’avoir à choisir 80 images _, pour son album en préparation,

face à l’innombrable _ = inépuisable _ collection d’images conservées _ et sinon là, devant lui sous ses yeux, du moins chez lui, quasi instantanément disponibles (il suffit d’aller les rechercher dans la pièce où elles sont entreposées…) : soit un immense trésor dormant ne demandant qu’à être, et maintenant, réveillé ! _ en ses innombrables, déjà, planches-contact !…

Il n’empêche,

le regardeur lui aussi choisit et manifeste ses _ plus ou moins _ propres préférences, ses hiérarchies de goût _ entre les 80 images, défilant là sous ses yeux admiratifs, en parcourant, page après page,  et re-parcourant ad libitum, l’album : que ce soit pour se demander laquelle de ces 80 images il aurait, lui, élue, pour figurer en couverture ; ou, plus généralement, auxquelles de ces images si variées, vont ses préférences… _, bien sûr, plus ou moins légitimes…

Dans mon article d’hier, vendredi 20 _  _,

et tout à la fin, ainsi qu’en plusieurs temps _ au nombre de trois _,

je me suis résolu à des choix d’images, pour ce qui concerne la couverture même de l’album,

voire mes préférences iconiques, tout simplement _ indépendamment de tout hypothétique choix éditorial : lequel est bien évidemment hors de mes compétences !!! _ : 

d’abord, un premier choix _ déjà bien difficile ; et à comparer à celui de mon article du 5 novembre dernier :  _ de 12 images :

soient 2 images « de nature » : celle, à la page 53, légendée « Port-Cros, France, 2011« , et celle, à la page 80, légendée « Giverny, France, 2010 » ;

puis 2 images « de villages » : celle, à la page 68, légendée « Purroy, Espagne, 2018« , et celle, à la page 81, légendée « Bourgogne, France, 2010 » ;

puis 2 images « de villes » : celle, à la page 18, légendée « Palerme, Italie, 2008 « , et celle, à la page 26, légendée « Milan, Italie, 2009 » ;

puis 1 image « avec vue sur la mer » : celle, à la page 98, légendée « Île de Ventotene, Italie, 2010 » ;

et enfin 5 images « d’intérieurs » : celle, à la page 19, légendée « Livourne, Italie, 2014 » ; celle, à la page 27, légendée également « Livourne, Italie, 2014 » ; celle, à la page  43, légendée « Chez les Mirabel, Ardèche, 2012 » ; celle, à la page 57, légendée « Milan, Italie, 2008 » ; et enfin, aux pages 64-65, celle légendée « Jumièges, France, 2017« ) ;

puis un second choix _ forcément terriblement difficile ! _, de 4 :

celles des pages 18 (« Palerme, 2008« ),

53 (« Port-Cros, 2011« ),

68 (« Purroy, 2018« )

et enfin 80 (« Giverny, 2010« ) ;

et enfin le choix _ carrément terrifiant, lui ! Dieu, comme c’est difficile !.. _, d’une seule et ultime :

« Purroy, 2018« .

« Purroy, Espagne, 2018 » :

une image merveilleusement  pure _ ce bleu (d’une première porte, de face, et du ciel), ce rose (d’un toit de tuiles), ce blanc lumineux (des murs des diverses maisons), ce beige (d’une haute paroi, jusqu’au ciel : un clocher ? une tour ?..) _,

en même qu’assez structurée, mais de guingois _ avec la pente, au centre, de quelques marches, à peine perceptibles, qui descendent et aspirent la dynamique du regard ainsi que du mouvement (nous aussi allons descendre ces quelques marches), vers une porte sur laquelle flotte au vent un rideau de protection ; avec le contre-champ, au premier plan et sur la gauche, du noir de l’ombre qui vient illuminer ce qui est ensoleillé, et qu’accompagnent, aussi, les amorces, courbes, d’un sentier montant vers la gauche ; et, de l’autre côté, l’oblique de ce très haut et massif mur beige (d’une tour ?), sur la droite et jusqu’en haut…

Une image sublime !

Et je ne reviendrai pas ici sur ce que j’ai commencé à dire des 3 autres merveilleuses images

_ « Palerme, 2008« , « Port-Cros, 2011 » et « Giverny, 2010«  _

qui ont, jusqu’au bout, disputé la palme à ce sublime « Purroy, 2018 » :

comme tout chef d’œuvre d’art,

ces images, en leur muette humilité _ de « voix du silence«  si bienheureusement vierges de toute rhétorique… _,

défient tout simplement nos discours…

Chapeau bas,

Monsieur le Photographe !

Par ton geste, l’humilité du réel nous fait somptueusement signe…

Ce samedi 21 novembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Question : lesquels des « Tirages Fresson » de Bernard Plossu, sont ceux que je préfère ?.. Retour sur la question du choix de l’image de couverture : quelques éventualités d’autres images possibles

20nov

Dans la suite immédiate de mon retour réflexif d’hier

 _

sur le choix de l’image des environs du Mont-Mézenc, en Ardèche,

comme couverture du tout nouveau « Tirages Fresson » de Bernard Plossu, aux Éditions Textuel,

comme annoncé hier,

il me faut maintenant me pencher avec un peu de précision sur ce qui a pu susciter le non-choix _ de la part de l’auteur et de son éditeur : car la question est d’abord, et fondamentalement, bien sûr, éditoriale ! _ d’images concurrentes,

jugées,

pour ce qui concerne le simple regardeur que je suis, et au moins dans ce qui a été l’immédiateté de mon premier regard,

davantage enthousiasmantes que cette image-ci des environs du Mont-Mézenc…

Et cela en revenant passer en revue certaines de mes 13 images préférées, et quelques autres encore de ma liste complémentaire de 22,

de mon article du 5 novembre :

Ainsi,

ajustant légèrement ce qui avait été mes tous premiers choix (de 13, puis de 22) entre les 80 images, au total, de l’album,

ainsi qu’en les classant au sein des 6 genres que j’avais distingués _ en l’œuvre iconique de Bernard Plossu _ et au sein desquels je les avais placés :

images « de nature plus ou moins brute ou policée« ,

images « de villages« ,

images « de villes et métropoles« ,

images « avec vue sur la mer« ,

images « d’intérieurs« 

et images « tendant vers l’abstraction« ,

cette fois je retiens

d’abord

2 images « de nature » :

celle, à la page 53, légendée « Port-Cros, France, 2011 » , et celle, à la page 80, légendée « Giverny, France, 2010 » ;

2 images « de villages » :

celle, à la page 68, légendée « Purroy, Espagne, 2018 » , et celle, à la page 81, légendée « Bourgogne, France, 2010 » ;

2 images « de villes » :

celle, à la page 18, légendée « Palerme, Italie, 2008 « , et celle, à la page 26, légendée « Milan, Italie, 2009 » ;

1 image « avec vue sur la mer » :

celle, à la page 98, légendée « Île de Ventotene, Italie, 2010 » ;

et 5 images « d’intérieurs » :

celle, à la page 19, légendée « Livourne, Italie, 2014 » ; celle, à la page 27, légendée également « Livourne, Italie, 2014 » ; celle, à la page  43, légendée « Chez les Mirabel, Ardèche, 2012 » ; celle, à la page 57, légendée « Milan, Italie, 2008 » ; et enfin, aux pages 64-65, celle légendée « Jumièges, France, 2017« .

Je dois relever aussi que mon goût personnel n’a retenu, comme image pouvant « mériter » de figurer en couverture de l’album, aucune des images que j’ai classées comme « tendant vers l’abstraction »

ce qui, bien évidemment témoigne bien davantage _ sinon exclusivement ! _ de ma subjectivité iconique de regardeur _ mettant le plus souvent le figuratif au-dessus de l’abstrait… ; même si il arrive aussi, à l’occasion, que l’abstrait (Kandinsky, Mondrian, Pollock, par exemple, etc.) puisse, lui aussi, beaucoup me plaire… _,

que de la valeur objective de l’image plossuienne !

Et, en élevant encore d’un cran, mon degré de préférence,

je réduis encore un peu plus mon choix

à 4 merveilleuses images :

celles des pages 18 (« Palerme, 2008« ) _ une sidérante image (quasi cinématographique, à la Antonioni…) de ville, la nuit _,

53 (« Port-Cros, 2011« ) _ une image (paradisiaque, d’un Corot méditerranéen…) de nature _,

68 (« Purroy, 2018« ) _ une image (d’une poésie à fondre de bonheur…) de village quasi abandonné éblouissant de vie _

et 80 (« Giverny, 2010« ) _ une autre image (de perfection ouverte de jardin libre, cette fois) de nature.

Alors je me pose la question :

ont-elles, ou pas, ces 4 fabuleuses images _ qui m’enthousiasment ! toutes les quatre… _,

de quoi rivaliser avec l’image élue des herbes sauvages des environs du Mont-Mézenc ?..

_ dont la resplendissante beauté lumineuse s’insinue de plus en plus intensément sur ma rétine, je dois bien l’avouer…

Chacune de ces images a, de fait _ il me faut en convenir _, son très puissant charme poétique singulier…

Et peut-être aurais-je fini par élire « Purroy, 2018« ,

image sublime

de ce village perdu _ de l’est de la province de Huesca, en Aragon _ désormais complètement abandonné…

Ce vendredi 20 novembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

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