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Essayer de réduire la tache aveugle du devenir des petits-neveux et arrière-petits neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron, nés en Algérie après le retour en France, en 1896, d’Alcide et Louis Ducos du Hauron

16déc

Ce jour, j’ai commencé par relire et reprendre, pour en corriger pas mal d’imprécisions, voire erreurs, ma synthèse de la veille :

 ;

ce qui m’a pris pas mal de temps, et sera encore à reprendre, afin de gagner encore en clarté et fluidité…

Ce jour,

je désire éclaircir ce que je qualifierai de « généalogie algérienne » d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 15 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935) _ l’ainé des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron : Amédée, Raymond de Bercegol, et Gaston Ducos du Hauron _ et de sa descendance…

Et je suis encore très insatisfait de ce que j’ai pu découvrir jusqu’ici à propos des enfants d’Amédée et de Marie-Louise Rey,

qui sont peut-être au nombre de 5 _ mais je ne suis pas encore parvenu à tous les identifier ! _,

si je m’en rapporte au très intéressant article de l’Écho d’Alger du 4 mars 1927, alors qu’Amédée Ducos du Hauron est, en 1927, à l’âge de 61 ans, désormais retraité de sa carrière administrative ;

une carrière qui s’est entièrement déroulée, semble-t-il, en Algérie…

 

Même si un moment,

et forcément avant, en 1896, le retour en France de ses parents, de son frère et de son oncle,

Amédée a travaillé un peu aux côtés de son oncle Louis, à seconder les recherches photographiques de celui-ci,

lui aussi ;

comme son frère Gaston,

et, bientôt, en France (et région parisienne) son cousin Raymond de Bercegol…

Tous ont attrapé le virus, apparemment très contagieux, de la recherche,

auprès du génialissime oncle Louis

De la modeste carrière administrative d’Amédée Ducos du Hauron,

je tâcherai de repérer le mieux possible les assez humbles _ il faut bien le reconnaître _ étapes,

dans diverses petites villes, voire villages, d’Algérie, entre janvier 1901 et le 25 juin 1914,

du moins pour les 12 références (en 1901, 1904, 1909, 1913 et 1914) que je suis parvenu jusqu’ici à recueillir sur le web ; demeurent donc pas mal de trous dans ma raquette _ comme il se dit ces temps-ci… _ : 

_ Oued Sahel

_ l’Ouarsenis

_ Cassaigne _ aujourd’hui Sidi Ali…

_ le Cheliff

_ Lamartine _ aujourd’hui El Karimia : c’est là qu’est née, le 8 juillet 1904, la petite Edmée Ducos du Hauron…

_ Berrouaghia _ c’est là qu’est né, le 30 août 1909, le petit Gérard Ducos du Hauron

_ Sidi Aïssa

_ Mizrana

_ Rébeval _ aujourd’hui Baghlia ; là vivait la famille d’Amédée Ducos du Hauron, en 1927…

_ Tablat

_ L’Arba

Et c’est à Alger, au mois de juillet 1935 _ ses obsèques ont eu lieu le 15 juillet _, qu’est décédé, à l’âge de 69 ans, Amédée Ducos du Hauron.

Ce mercredi 16 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un point provisoire sur les acquis et les taches aveugles qui demeurent dans l’essai de reconstitution de la généalogie des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron

15déc

Afin d’être mieux à même de compléter la généalogie de la famille Ducos du Hauron, que j’essaie d’établir le plus exhaustivement possible,
voici en rouge, afin de bien les repérer, les éléments que je n’ai pas, à ce jour, réussi à identifier,
parmi la descendance d’Amédée-Jérôme-Mathias Ducos du Hauron (Bordeaux, 5 juin 1799 – Auch, 14 octobre 1863), époux à Coutras le 21 juin 1829, de Marguerite Zénaïde Boivin (Coutras, 6 octobre 1807 – Clermont-Ferrand, 18 janvier 1874),
 parents de 3 enfants :
Jean-Marie-Casimir-Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), époux au Temple-sur-Lot le 11 septembre 1864 de Cézarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen ? mai 1923),
Louis-Arthur-Montalembert du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), demeuré célibataire,
et Berthe Ducos du Hauron (Libourne, 23 janvier 1842 – ? ?), épouse à Agen le 11 février 1866 de Fabien-Marie-Alexandre-Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896).
J’ignore où et quand Berthe Ducos est décédée.
Alcide Ducos du Hauron et son épouse Cézarine-Marie de Fourcauld
sont les parents de 4 enfants :
Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935 ), époux _ où (à Alger ?) et quand ? _ de Marie-Louise Rey (? , ? 1879 – Agen, 20 septembre 1933) _ où et quand Marie-Louise Rey est-elle née ? _,
Etienne-Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912 ), époux à Saint-Mandé, le 7 janvier 1898, d’Edmée de Lamarque (Poitiers, 8 janvier 1876 – Saint-Mandé, 22 février 1902),
Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971), demeurée célibataire,

et Marie-Alice Ducos du Hauron (Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971) demeurée célibataire.   
Amédée Ducos du Hauron _ le fils aîné d’Alcide _ et son épouse Marie-Louise Rey
sont les parents d’au moins 5 enfants
_  c’est ce qu’indique du moins un intéressant (et précieux pour notre recherche) article de L’Écho d’Alger en date du 4 mars 1927, annonçant une exposition des « Anaglyphes«  de Louis Ducos du Hauron au Casino d’Alger, et se permettant de citer à cette occasion un article d’un quotidien parisien, que voici in extenso :
« Le seul homme qui porte le nom glorieux de Ducos du Hauron vit péniblement à Rébeval (Algérie) avec une retraite de 400 francs par mois, son principal revenu pour entretenir une famille de cinq enfants.
Nous nous ferons un devoir et un honneur de revenir sur l’ingratitude manifestée à l’égard de la famille Ducos par ceux-là même qui ont trouvé dans ses inventions une source considérable de millions et de gloire.
Mais, d’ores et déjà, nous estimons qu’une ère de réparation devrait s’ouvrir en faveur de M. Amédée Ducos du Hauron, neveu direct de l’inventeur des anaglyphes et de la photographie des couleurs, seul porteur actuel du nom de Ducos du Hauron, qui fut, jusqu’à vingt-sept ans, en compagnie de son père, Alcide Ducos du Hauron (successivement conseiller à la Cour d’appel d’Agen et d’Alger), le collaborateur du glorieux inventeur Louis Ducos du Hauron, son oncle« .
Amédée Ducos du Hauron, désormais, en 1927, retraité (il est âgé de 61 ans) et domicilié à Rébeval (aujourd’hui Baghlia), en Kabylie, non loin de Tizi-Ouzou, est donc dit ici avoir à charge une famille de 5 enfants _,
parmi lesquels j’ai identifié les suivants :
_ Edmée Ducos du Hauron (Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _, 8 juillet 1904 – ? ? ) _ j’ignore où et quand celle-ci est décédée _,
_ Gérard Yves Alcide Ducos du Hauron (Berrouaghia, 30 août 1909 – Avignon, 27 janvier 2000) _ je n’en sais guère davantage sur lui ; s’est-il marié ? Il semble bien que oui : le 25 novembre 1939, à Alger, Gérard Ducos du Hauron en effet s’est marié avec Célestine Léontine Noiraux (Haraucourt, 12 janvier 1893 – Cavaillon, 29 juillet 1972), précédemment mariée, le 30 juillet 1927, à Lyon, avec Eugène Jacquet. Or n’est-ce pas une Mme Jacquet qui est présente sur le faire part de décès de Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron, dans l’édition du 2 janvier 1939 de L’Écho d’Alger, immédiatement après les frères Gérard et Roger Ducos du Hauron, et immédiatement avant Mme Vve Gadel et ses enfants ?.. Voilà qui est intéressant…
Voici in extenso ce faire-part : «  »M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants ; MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger ; Mme Jacquet ; Mme Vve Gadel et ses enfants ; les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure, vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939« .
Mais j’ignore pour le moment les liens (attestés aussi dans d’autres faire-part de décès…) ayant pu exister entre les famille Ducros et Ducos du Hauron, et la famille Gadel…
Gérard Ducos du Hauron a-t-il une descendance ? C’est possible, mais cela paraît au premier abord un peu difficile ; puisque, si lors de ce mariage, en novembre 1939, avec Mme Jacquet, celle-ci, Célestine, est âgée de 46 ans ; il paraît assez peu probable (mais qui sait ?..) que celle-ci ait pu être, à 51 ans, en 1944, la mère de Marie-José Sylvia Ducos du Hauron, qui est née à Alger le 4 avril 1944...
_ Roger Ducos du Hauron _ à part son existence, attestée, au même titre que celle de son frère Gérard, en l’avis de décès (publié le 2 janvier 1939) de Mme Henri Ducros née Eveline Ducos du Hauron _ c’est-à-dire leur sœur ! _, faute d’avoir trouvé jusqu’ici la moindre autre mention de lui, j’ignore encore presque tout de lui, à commencer par ses dates et lieux de naissance et de décès… _,
_ Eveline Ducos du Hauron : j’ignore sa date et son lieu de naissance ; mais je sais qu’Eveline, épouse de Henri Ducros _ j’ignore où et quand a eu lieu ce mariage ; de même que les lieux et dates de naissance de son époux, Henri Ducros, qui était administrateur-adjoint de Port-Gueydon en 1930 et 1933 ; puis de Dupleix en 1938-39… _ décèdera à Alger au cours des vacances de Noël, dans les derniers jours de décembre 1938, et non en son domicile de Dupleix _ aujourd’hui Damous _ en Kabylie, où son mari était administrateur civil adjoint…
Eveline a été mère d’une petite Raymonde Ducros, décédée à Port-Gueydon _ aujourd’hui Azzefoun _ au mois d’octobre 1933 (on trouve en effet mention de cette petite Raymonde Ducros dans  l’avis de son décès, paru dans L’Écho d’Alger du 23 octobre 1933). Le numéro de L’Écho d’Alger du 8 juin 1930 comporte le faire-part de la naissance, à Port-Gueydon, du petit Yves-Henri Ducros ; de même que le numéro de L’Écho d’Alger du 30 mai 1931 comporte le faire-part de la naissance, à Port-Gueydon, du petit Raymond Ducros. Yves-Henri Ducros et Raymond Ducros font très probablement partie des enfants _ y en a-t-il eu d’autres ? _ de Henri Ducros et son épouse Eveline Ducos du Hauron, qui faisaient part, le 2 janvier 1939, en compagnie de leur père Henri, du décès de leur mère Eveline, à Alger. Que sont devenus par la suite cet Yves-Henri et ce Raymond Ducros ? Ont-ils eu, ou pas, une descendance ?
D’autre part, Eveline Ducros du Hauron semble avoir été mariée auparavant à un certain François Perez, si l’on se fie à un étrange très bref entrefilet intitulé « Pour affaires personnelles« , publié dans L’Écho d’Alger du 5 octobre 1926 :
« M. Perez François ne reconnaît plus les dettes que pourrait contracter sa femme née Eveline Ducos du Hauron. Dont acte » : semble ainsi se profiler l’existence d’un précédent mariage d’Eveline Ducos du Hauron avec ce François Perez…
Je suppose donc qu’Eveline Ducos du Hauron fait partie des enfants d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (? 1879 – Agen, 1933) ; et qu’elle est une des sœurs de Gérard et Roger Ducos du Hauron, ainsi que d’Edmée, née à Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _ le 8 juillet 1904 ; et cela, sauf si il s’avérait, in fine, qu’ « Edmée » n’est qu’un autre des prénoms de cette Eveline !..
Je relève aussi que ce prénom d’Eveline était déjà celui de la grand-mère d’Amédée Ducos du Hauron (1866 – 1935) _ probable père de cette Eveline d’Algérie, même si cela demeure à confirmer… _ : Eveline Céleste Albaret.
Eveline Céleste Albaret, qui était la belle-mère d’Alcide Ducos du Hauron (1830 – 1909), la mère de l’épouse de ce dernier, Cézarine-Marie de Fourcauld (1841 – 1923), et l’épouse, au Temple-sur-Lot, d’Antoine Martial Henry de Fourcauld (1817 – ?) _ mais j’ignore à ce jour les lieux et dates de naissance et décès d’Eveline Céleste Albaret…
Il est donc bien dommage (pour nous) que les prénoms des 5 enfants Ducos du Hauron évoqués dans ce bien intéressant article du 4 mars 1927 de L’Écho d’Alger, n’aient pas été spécifiés !
Ce qui fait que j’ignore ainsi si ces divers enfants d’Amédée et Marie-Louise _ enfants Ducos du Hauron tous très probablement nés (mais c’est bien sûr à vérifier !) en Algérie ;
cette Algérie qu’Amédée n’aura, lui, peut-être plus quittée lors du départ pour la France, en 1896, de ses parents Alcide et Cézarine-Marie, de son oncle Louis, ainsi que de son frère Gaston et de ses sœurs Marguerite et Alice : il faut cependant relever que l’épouse d’AmédéeMarie-Louise Rey, est décédée, elle, à Agen, le 20 septembre 1933 ! Et Amédée étant peut-être lui-même revenu parfois séjourner brièvement en France… _ se sont tous mariés, ou pas, et ont tous eu, ou pas, une descendance…
Ainsi ai-je relevé, par exemple, aussi, l’existence d’une Marie-José Sylvia Ducos du Hauron, née à Alger le 4 avril 1944, et décédée à Langrolaye-sur-Rance le 26 décembre 2009. Mais je n’en sais pas davantage sur celle-ci. Duquel des fils d’Amédée Ducos du Hauron _ Gérard ? Roger ? un autre ? _ Marie-José Sylvia Ducos du Hauron est-elle donc née en 1944  à Alger ?
Ce sont là de bien intéressantes données pour notre recherche… De même que l’histoire (algérienne) d’Eveline Ducos du Hauron…
Voilà donc un certain nombre de données factuelles qu’il serait intéressant d’éclaircir, afin de mieux connaître les divers membres de cette famille Ducos du Hauron ayant vécu _ à partir de 1883, quand, avec leur mère Cézarine-Marie, Amédée (âgé de 17 ans) et Gaston (âgé de 13 ans) ont rejoint à Alger leur père Alcide ; rejoints un an plus tard, en 1884, par Louis _ en Algérie…
Au retour en France, en 1896, de la plupart des membres de leur famille venus en Algérie, et cela à la possible, sinon probable, exception d’Amédée, Amédée, lui, qui a 30 ans, a donc choisi de demeurer en Algérie ; alors que son frère Gaston, qui a 26 ans, choisit de rentrer en France en compagnie de ses parents. J’ignore où et quand a eu lieu le mariage d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey (en Algérie, probablement… ; mais après tout je n’en sais rien, et j’ignore toujours, pour le moment, le lieu de naissance de Marie-Louise Rey, en 1879) ; en revanche, je sais que c’est le 7 janvier 1898, à Saint-Mandé, non loin de Paris, que Gaston Ducos du Hauron a épousé Edmée de Lamarque. Des enfants nés du mariage d’Amédée et Marie-Louise, le premier né, du moins à ma connaissance à ce jour, est Edmée, née à Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _, près d’Orléansville, le 8 juillet 1904… Mais des autres enfants de ce couple d’Amédée et Marie-Louise, au nombre de 5 en 1927, au moment de la retraite à Rébeval _ aujourd’hui Baghlia _, d’Amédée, je ne connais jusqu’ici d’autre date de naissance que celle de Gérard : le 30 août 1909, à Berrouaghia … Et je viens de me lancer dans le recensement des divers postes de travail occupés dans l’administration de l’Algérie profonde, par Amédée Ducos du Hauron ; mais les données que je trouve à recueillir demeurent bien parcellaires…
Voilà donc pour la branche « algérienne » des Ducos du Hauron…
Et retour maintenant au frère cadet d’Amédée,
Gaston
Gaston Ducos du Hauron _ le second fils d’Alcide, et donc frère cadet d’Amédée _ et Edmée de Lamarque,
eux, sont les parents de 2 filles :
Etiennette Marie Augustine Isaure Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 26 décembre 1898 – Paris 6e, 20 décembre 1996), épouse, à Agen le 20 juillet 1920, de Marie-Alfred-Henri-Abdon-Auguste Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976)
ainsi que sa sœur ? (????), épouse à ? de ? (????).
Et, à ce jour, j’ignore presque tout de cette sœur cadette d’Etiennette,
sinon, et cela d’après la précieuse lettre d’Alice Ducos du Hauron à Joseph Lacroix (Agen, 14 juillet 1861 – Villeneuve-sur-Lot, 1949) ancien chef de laboratoire et ami fidèle de Louis Ducos du Hauron _, en date du 6 juillet 1948, que cette sœur cadette d’Etiennette pourrait être née en 1900 (mais pas à Saint-Mandé !), et serait devenue paralysée à l’âge de 44 ans, en 1944 ; et que Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron _ la sœur dAlice _ était demeurée dès lors en permanence auprès d’elle afin de la soigner… 
… 
Berthe Ducos du Hauron et Onézime de Bercegol 
sont les parents de
Raymond-Camille-Marie de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – ? ? _ où et quand Raymond est-il décédé ? Je l’ignore à ce jour… _), époux à Bélaye, le 28 octobre 1896, de _ sa cousine _ Marie-Caroline-Emérancie David (Bélaye, 21 avril 1875 – Bélaye, 31 octobre 1905),
puis époux à Bordeaux, le 4 juin 1907, de Marguerite-Yvonne Marinier (Saint-Trojan, 29 août 1875 – ? ?) _ j’ignore la date et le lieu du décès d’Yvonne Marinier.
De même j’ignore si Raymond de Bercegol (déjà, était-il, ou pas, fils unique ?) a eu, ou pas, d’autres enfants que ses 2 filles, Marie-Henriette et Simone, décédées toutes deux en 1912…
… 
Raymond de Bercegol et Emérancie David sont les parents de
Marie-Henriette de Bercegol (Bélaye, 16 janvier 1899 – Joinville-le-Pont, 15 novembre 1912) ;
et Raymond de Bercegol et Yvonne Marinier sont les parents de
Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol (Joinville-le-Pont, 13 mars 1910 – Paris 13e, 7 septembre 1912).
 
Etiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque 
sont les parents de 10 enfants :
Jacqueline Lamarque
Geneviève-Thérèse-Raymonde Lamarque (Agen, 24 juillet 1923 – Rueil-Malmaison, 25 octobre 1998), épouse, à Neuilly-Sur-Seine, le 3 octobre 1953, de Bernard Viennot (Paris 9e, 7 juin 1923 – Rochecourbon, 24 août 2016)
Yves Lamarque
Marie-Madeleine Lamarque
Jean Lamarque
Xavier Lamarque
Marie-Odile Lamarque
Anne-Marie Lamarque
Marguerite-Marie Lamarque
et Claude Lamarque, le 10ème de cette fratrie.
J’ignore si ces enfants (autres que Geneviève) se sont mariés, et ont eu, ou pas, une descendance :
probablement que oui,
ne serait-ce que si je prends en compte le fait que Louis Allard _ présent à Agen le 31 août 2020, aux diverses cérémonies de commémoration honorant son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron, pour le centenaire de son décès, à Agen le 31 août 1920 _ a pour oncle un de ces 10 enfants d’Etiennette et Alfred Lamarque…
… 
J’ignore à ce jour le prénom de la sœur cadette d’Etiennette (ainsi que ses dates et lieux de naissance et de décès), le prénom et le nom de son mari (ainsi que ses dates et lieux de naissance et de décès)
ainsi que les noms et prénoms de leurs deux filles (ainsi que leurs dates et lieux de naissance, et éventuellement de décès) ;
et de même si elles se sont mariées, et ont eu elles aussi, ou pas des enfants, et une descendance
… 
Enfin, existe aussi  la descendance _ très bien documentée, elle _ de Geneviève Lamarque et Bernard Viennot, 
issue de leurs 5 enfants Viennot : 
Benoît Viennot (né en 1963), et son épouse Anne-Catherine Goulletquer _ laquelle a rédigé une gigantesque généalogie familiale, mais pas tout à fait exhaustive (ainsi, par exemple, ignore-t-elle la sœur d’Etiennette…) ; et comportant d’infimes erreurs de détail… _,
Emmanuel Viennot et son épouse Nicole Grégoire,
Hubert Viennot et son épouse Irène Alonso,
Agnès Viennot et son époux Jean-Michel Gazeau,
et Dominique Viennot et ses deux épouses successives : Valérie Garcia et Cécile Dupré.
 …
J’ai relevé les noms et prénoms des enfants de ces 5 enfants Viennot, à la génération suivante : 
Damien, Emeric, Amélie Viennot ;
Anaïs, Antoine, Romain et Maïté Viennot ;
Aurélien Gazeau ;
et Marion Viennot.
… 
Et encore, à la génération suivante : 
Clémence, Lucie et Elise Viennot ;
Paul, Céleste et Oscar Viennot ;
Mahaut, Juliette, Eloi, Zita et Louis Le Motheux de Chitray…
Voilà donc les taches aveugles qui demeurent à ce jour
dans mon effort de reconstitution de la généalogie des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis-Arthur-Montalembert Ducos du Hauron,
ainsi, surtout, que les questions que je me pose, maintenant, afin, bien sûr, de les dissiper…
Ce mardi 15 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Une journée de mise au point, mais aussi de contact : avec le dynamique président de l’Association agenaise des « Amis de Louis Ducos du Hauron »

13déc

Presque une petite pause ce dimanche _ même si j’ai bien sûr continué à mener quelques recherches, mais qui ne m’ont apporté que de minimes précisions sur d’infimes détails (de dates ou de lieux) _,

pour ce qui concerne l’avancée de nouvelles découvertes concernant l’entourage _ et soutien fidèle et constant _ familial de Louis Ducos du Hauron

Je bute encore, et c’est normal _ toute recherche progresse par paliers, à partir de questions singulières… _ sur la résistance de quelques taches aveugles…

Une petite pause,

à cela près que je me suis aussi lancé à prendre contact _ par téléphone : j’avais pu trouver ses coordonnées… _, ce dimanche matin, vers 10h 30, avec le dynamique président _ Charles Sarion _ de l’Association _ agenaise _ des « Amis de Louis Ducos du Hauron« ,

que j’avais écouté et regardé les 7 minutes que durent _ entre 12′ 25 et 19′ 27 de cette vidéo _ ses très intéressants entretiens filmés, en divers lieux d’Agen, avec le journaliste de France 3 Aquitaine Éric Perrin,

qui vont à l’essentiel.

Avant de lui adresser, d’abord, la première mouture des 11 premiers articles de mon blog « En cherchant bien » concernant l’entourage _ et constant actif soutien _ familial _ son père, son frère, sa belle sœur, ses neveux et nièces _ de Louis Ducos du Hauron,

je lui ai brièvement présenté oralement le sens de ma présente recherche,

et lui ai demandé si il pouvait me donner quelques informations à propos de la parenté présente de l’inventeur, et tout particulièrement Louis Allard, l’arrière-petit-neveu du génial inventeur agenais de la « photographie de couleurs« , qui était présent en personne aux cérémonies de commémoration du 31 août dernier, à Agen…

Je parle aussi des contacts suivis que j’ai avec Bernard Plossu _ le plus grand photographe français d’aujourd’hui ! et auteur de l’admirable « Tirages Fresson«  en couleurs (!), paru aux Éditions Textuel en septembre dernier ; cf aussi le commode récapitulatif d’articles de mon cheminement de regards sur ce merveilleux album, du 23 novembre dernier : _ ;

et j’apprends alors que l’exposition de photographies en couleurs dont m’a parlé Bernard Plossu, et à laquelle il est invité à participer _ forcément ! _,

en me recommandant de prendre contact avec le commissaire d’exposition qui la prépare

_ et que j’attendais, pour ce faire, d’avoir tant soit peu avancé dans mes propres recherches sur l’importance tant affective que matérielle (et même inventive !) de l’entourage familial de l’inventeur dans son parcours, tant dans l’espace que dans le temps (de toute une vie de recherches sur les techniques de réalisation de photographies en couleurs vraiment satisfaisantes…) _

aura lieu l’année prochaine à Agen même…

Mazette ! Quelle chance !

Et cette fin d’après-midi,

alors que j’étais plongé dans la révision systématique de mes 11 précédents articles, ceux du 2 décembre au 12 décembre, pour en ôter diverses scories,

voici que je reçois un courriel du président de l’Association des « Amis de Louis Ducos du Hauron » _ Charles Sarion (ajout du dimanche 23 juillet 2023, après consultation du courriel reçu de lui le 13 décembre 2020, à 18h 15 : « Bonsoir Monsieur,
Avec son accord, je vous transmets les coordonnées de Claude Lamarque qui sera ravi de vous éclairer si nécessaire« … _,

qui me communique le contact familial que je n’imaginais pas obtenir,

en m’indiquant _ surtout ! _ que la personne _ de la famille de Louis Ducos du Hauron (en l’occurence Claude Lamarque : fils d’Etiennette Ducos du Hauron, petit-fils de Gaston Ducos du Hauron, arrière-petit-fils d’Alcide Ducos du Hauron, et donc arrière-petit-neveu de Louis Ducos du Hauron) _ qu’il a contactée

déclare être « ravie de (m’) éclairer si nécessaire » ! _ la passionnante très riche conversation avec Claude Lamarque aura lieu le samedi 19 décembre 2020, de 16h 02 à 16h 56 : c’est lui, Claude Lamarque, qui m’a appelé, et j’ai pu, lui demandant beaucoup, beaucoup de choses, obtenir de lui, puisant dans sa mémoire, d’irremplaçables renseignements : par exemple, et parmi bien d’autres, le dernier domicile, à Paris, rue Michel-Ange, dans le 16e arrondissement, de Raymond de Bercegol, le cousin germain du grand-père, Gaston Ducos du Hauron, de Claude Lamarque ; Claude Lamarque ajoutant que le décès de Raymond de Bercegol, vers 1949-1950, constituait le « tout premier deuil«  familial dont il a le souvenir ; ainsi que de la veuve de Raymond, née Yvonne Marinier, qu’il nomme « Tante Yvonne« … Claude Lamarque a aussi qualifié le cousin Roger Ducos du Hauron, fils d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey, et dont j’ignore encore les lieux et dates et de naissance et de décès, de « cousin bien aimé«  !.. (ajout du dimanche 23 juillet 2023…

« Wow ! » dirait l’ami Plossu…

Nous verrons donc cela demain…

Et je commencerai par donner la version (nettoyée de ses scories) de mes articles déjà réalisés…

Nous avançons…

La recherche est féconde.

Ce dimanche 13 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

A la recherche des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron, du côté de son frère Alcide et de sa soeur Berthe…

11déc

Bien sûr, je continue mes recherches concernant l’identification des neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

tant du côté de son frère aîné Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909)

que du côté de sa sœur cadette Berthe (Libourne, 23 janvier 1842 – après 1907…), épouse de Fabien Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 janvier 1834 – Cahors, 21 septembre 1896).

J’ai  découvert plusieurs indications de résidence de Raymond de Bercegol, le fils _ peut-être unique, je l’ignore encore… _ de Berthe et Fabien Onézime, à Joinville-le-Pont ; et c’est à partir du moment où, le 8 mars 1903, Raymond indique changer son métier de « commissaire spécial des chemins de fer«  _ apparemment, mais c’est vérifier !, son dernier poste se trouvait à Marseille auprès de la compagnie PLM _ pour celui de « chimiste«  : cette mention apparaît en effet désormais dans les actes d’État-Civil de son mariage, le 4 juin 1907 à Bordeaux, avec sa seconde épouse, la bordelaise Marguerite Yvonne Marinier ; puis dans les actes d’État-Civil des deux décès successifs en septembre et novembre 1912 : d’abord à Paris 13e _ au 108 Avenue d’Ivry : j’ai découvert que c’était là l’adressse de l’hôpital Marie Lannelongue ; cf ci-dessous une photo prise, précisément, l’année 1910 _, puis à Joinville-le-Pont _ au domicile de ses parents, Raymond et Marguerite Yvonne, cette fois : 26 Route de la Brie _, de ses deux filles : d’abord Simone Camille Jeanne Marie de Bercegol, décédée  le 7 septembre 1912, à l’âge de 3 ans et 3 mois _ elle était née à Joinville-le-Pont le 13 mars 1910 _puis Marie Henriette de Bercegol, décédée le 15 novembre 1912, à l’âge de 13 ans et 10 mois  _ elle était née à Bélaye, au château de Floyras, le 6 janvier 1899.

avenue d'Ivry - Paris 13ème

 

Je relève au passage que la mention du décès de la petite Simone Camille Jeanne Marie a été retranscrite le 26 novembre 1912 sur le registre des décès de la commune de Joinville-le-Pont, du registre des décès de Paris 13e, soit l’arrondissement parisien dans lequel l’enfant était décédée le 7 septembre précédent _ au 108 de l’Avenue d’Ivry… J’ignore les raisons _ administratives ? _ de ces démarches-là…

Mais j’ai trouvé aussi ceci :

 

« C’est en 1882 que fut fondée par Joseph Jougla, alors âgé de 35 ans, la Société Anonyme des Plaques, Pellicules et Papiers photographiques. Installée à Nogent, puis au Perreux, elle se fixe définitivement à Joinville, au 15 avenue de l’Horloge _ du quartier de Polangis _ en 1901. “Avec les plaques Jougla, j’opère à toute heure”, telle était la publicité pour l’appareil “SINNOX” que fabriquait Jougla à Polangis,  40 000 plaques par jour sortaient également de cette usine. Occupant jusqu’à 600 ouvriers, la société est établie sur un immense terrain de 20 000 m2, dont 4 000 sont couverts« ,

en un article consacré aux réalisations de l’industriel Joseph Jougla à Joinville-le-Pont…

Galerie

Galerie

Ce que confirme

et ceci :

« Le SINNOX » de la Société JOUGLA

« Le brevet initial du SINNOX a été déposé en 1899 _ non : le 21 octobre 1898 ; cf ci-dessous… _ par de BERCEGOL. Il en a cédé les droits en 1902 _ oui : le 16 janvier 1902 _ à la S.A. P.P.P.P. JOUGLA qui a elle-même déposé cette année-là des additions au brevet. L’appareil proposé ici est construit selon les critères de perfectionnement de ce second brevet de 1902. Il autorise un chargement en lumière du jour, « Sine nocte« . Un système d’accroche à aiguille permet de retenir la plaque impressionnée lors de l’escamotage. Cette dernière est toujours au foyer grâce à un dispositif interne qui positionne automatiquement la chambre à chaque changement de plaque. Notre appareil possède un chargeur pour film et un autre pour plaques. »
Jougla Sinnox

et encore cela,

ce décret de cession de brevet d’invention de l’appareil photographique dénommé le Sinnox, en date du 4 mai 1902 :

« est décrétée 8°

la cession enregistrée au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, le 16 janvier 1902, faite suivant acte en date du 21 décembre 1901, à la société anonyme dite « Plaques, pellicules et papiers photographiques J. Jougla », ayant son siège à Paris, Avenue Victoria n°8, par les sieurs Raymond Camille Marie de Bercegol, demeurant à Albi (Tarn) _ je relève l’information _, et Louis Sueur, demeurant à Saint-Maurice (Seine), Grande-Rue n° 87, de leurs droits au brevet d’invention de quinze ans, pris, le 21 octobre 1898, par le sieur de Bercegol _ voilà ! _, pour un appareil photographique dénommé le Sinnox« 

À ce jour, vendredi 11 décembre, manquent à ma documentation,

les lieux et dates du décès de Raymond de Bercegol :

il vivait en effet, et à Joinville-le-Pont, en novembre 1912 _ ainsi qu’en témoignent les Actes d’État-Civil,  au moment des décès successifs, le 7 septembre 1912, au n° 108 de l’Avenue d’Ivry, à Paris 13e ; puis le 15 novembre, au domicile cette fois de Raymond de Bercegol et sa seconde épouse Yvonne Marinier, à Joinville-le-Pont, au n° 26 de la Route de la Brie, de ses deux filles, Simone Camille Jeanne Marie de Bercegol, née à Joinville-le-Pont le 14 juin 1910 ; et Marie Henriette, née au château de Floyras, à Bélaye, le 16 janvier 1899 _ ;

ainsi que les lieux et dates du décès de sa mère, Berthe Ducos :

celle-ci était mentionnée résidant à Joinville-le-Pont à la date du 4 janvier 1907, lors de l’Acte d’État-Civil du second mariage de son fils Raymond, avec Yvonne Marinier ; et le domicile indiqué pour le fils et sa mère à Joinville, est au n° 17 de l’Avenue Pauline

J’ai cherché dans les registres d’État-Civil de Joinville-le-Pont accessibles en ligne _ et ils ne le sont pas tous… _, et jusqu’ici je n’ai rien trouvé concernant et Raymond de Bercegol, et sa mère Berthe Ducos…

J’ai seulement découvert que Raymond de Bercegol était venu lui-même témoigner du décès, toujours à Joinville-le-Pont, de son beau-père _ né à Blaye (Gironde) le 8 février 1836 _, le Lieutenant-Colonel Michel Camille Marinier, décédé en son domicile du n° 20 de l’Avenue Joyeuse, à Joinville-le-Pont, le 17 septembre 1909, à l’âge de 73 ans :

ce dernier, ainsi que sa veuve, Marguerite Camille Dufréchou _ née en 1852 _, étaient venus résider auprès de leur fille et sa famille, à Joinville-le-Pont.

En revanche,

et même si je ne suis pas encore parvenu à identifier les deux filles de la sœur d’Etiennette Ducos du Hauron,

non plus que le prénom de celle-ci (!) ainsi que le nom de son mari (et de leurs enfants),

en revanche, j’ai réalisé pas mal de progrès concernant la descendance d’Etiennette Ducos du Hauron la fille aînée (née à Saint-Mandé, le 26 décembre 1898 et décédée à Paris 6e, le 20 décembre 1996) d’Etienne Gaston Ducos du Hauron (né à Agen, le 16 juin 1870 et décédé à Savigny-sur-Orge, le 3 avril 1912) et son épouse Edmée de Lamarque (née à Poitiers, le 8 janvier 2878 et décédée à Saint-Mandé, le 22 février 1902) _ et de son mari Alfred Lamarque _ né à Angers, le 30 juin 1898 et décédé à Paris 7e, le 1er janvier 1976 _ ;

à commencer par les prénoms de leurs 10 enfants…

À suivre…

Ce vendredi 11 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Deux filles de Raymond de Bercegol, l’une née à Bélaye en 1899 et l’autre à Joinville-le-Pont en 1910 ; et toutes deux décédées en 1912 : l’aînée au domicile de son père, à Joinville-le-Pont ; et la cadette à l’Hôpital Marie de Lannelongue, dans le 13e arrondissement de Paris…

10déc

Poursuivant mes recherches à propos de Raymond Camille Marie de Bercegol,

le très actif neveu _ fils de Berthe Ducos, la sœur d’Alcide et de Louis _ de Louis Ducos du Hauron,

dans les archives d’État-Civil accessibles de la commune de Joinville-le-Pont,

je viens de découvrir, l’année 1912, les décès successifs de deux filles de Raymond de Bercegol _ il avait donc eu des enfants : au moins ces deux filles… _ :

d’une part, Marie Henriette de Bercegol,

décédée le 15 novembre 1912 à Joinville-le Pont, au domicile de son père Raymond de Bercegol, 26 route de Brie _ déclaré alors de profession « chimiste«  _ ;

l’enfant était née le 16 janvier 1899 à Bélaye, du premier mariage de Raymond, avec sa cousine Émérancie David _ elle-même décédée au château de Floyras, à Bélaye, le 31 octobre 1905 _ ;

et Simone Camille Jeanne Marie de Bercegol,

décédée le 7 septembre 1912, à Joinville-le Pont, 108 Avenue d’Ivry _ et le décès ayant été déclaré le 28 novembre seulement : voilà qui pose des questions… : il s’avère, en effet, que ce n’est pas à Joinvillle-Pont qu’est décédée l’enfant, mais au 108 avenue d’Ivry, dans le 13e arrondissement de Paris, c’est-dire, en recherchant un peu, à l’Hôpital Marie de Lannelongue, un hôpital inauguré en 1910… Et, d’autre part, j’ignore toujours les raisons (administratives ?) qui ont conduit à cette transcription de l’acte du décès survenu à Paris, sur les registres de décès de la commune de Joinville-le-Pont… _ ;

l’enfant était née le 13 mars 1910 à Joinville-le Pont, du second mariage de Raymond de Bercegol _ désormais déclaré de profession « chimiste«  _, avec Marguerite Yvonne Marinier.

En revanche,

_ et alors que ne sont pas accessibles en ligne pour le moment, les registres de décès à Joinville-le-Pont des années 1913 à 1916 _,

je n’ai encore rien découvert _ mais il faut continuer à chercher, et avec méthode… _ concernant de possibles décès en cette commune de Joinville-le-Pont

de Raymond de Bercegol lui-même _ quand et où est décédé cet homme né le 4 février 1869 à Lamothe-Landerron (Gironde) ? En novembre 1912, Raymond de Bercegol est âgé seulement de 43 ans… Et d’autre part, le chimiste qui s’est défait, en 1901-1902, des droits de l’aapareil photographique « Sinnox«  a forcément été affecté par le devenir, en 1912, des usines Jougla de Joinville-le-Pont ; le 1er avril 1911, déjà, les entreprises Lumière (de Lyon) et Jougla (de Joinville-le-Pont) avaient fusionné, et les frères Lumière avaient « lancé«  les appareils-photo de la marque Lumière, entraînant l’abandon de la fabrication des plaques « Omnicolore«  dont Raymond Bercegol, avec son oncle Louis Ducos du Hauron, avait conçu l’ingénieux procédé… _,

pas davantage que de sa mère Berthe Ducos _ en novembre 1912, et si elle vivait encore, Berthe, née le 23 janvier 1842 à Libourne, était âgée, elle, de 70 ans… _

pourtant déclarée résidant chez son fils, 17 Avenue Pauline à Joinville-le-Pont, dans l’acte du mariage de Raymond de Bercegol avec sa seconde épouse Marguerite Yvonne Marinier, dressé à Joinville-le-Pont le 4 juin 1907,

dans les registres des décès des années 1907 à 1922 _ à l’exception de ceux, qui n’ont pas encore été mis en ligne, des années 1913, 1914, 1915 et 1916…

La recherche continue ;

elle doit, forcément, être patiente, et la plus exhaustive possible…

À suivre, donc…

Ce jeudi 10 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

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