Posts Tagged ‘Raymond de Bercegol

Reprise avec corrections de l’article du 15 décembre 2020 « Un point provisoire sur les acquis et les taches aveugles qui demeurent dans l’essai de reconstitution de la généalogie des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron »…

06nov

Pour cet article un peu synthétique  du mardi 15 décembre 2020,

j’ai pas mal de correctifs, précisions et ajouts à apporter…

Voici donc ce que cela donne _ avec en rouge et gras ce que je reprends et rectifie _, à cette date d’aujourd’hui  samedi 6 novembre 2020 :

Afin d’être mieux à même de compléter la généalogie de la famille Ducos du Hauron, que j’essaie d’établir le plus exhaustivement possible,
voici en rouge, afin de bien les repérer, les éléments que je n’ai pas, à ce jour, réussi à identifier,
parmi la descendance d’Amédée-Jérôme-Mathias Ducos du Hauron (Bordeaux, 5 juin 1799 – Auch, 14 octobre 1863), époux à Coutras le 21 juin 1829, de Marguerite Zénaïde Boivin (Coutras, 6 octobre 1807 – Clermont-Ferrand, 18 janvier 1874),
 parents de 3 enfants :
Jean-Marie-Casimir-Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), époux au Temple-sur-Lot le 11 septembre 1864 de Cézarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen 19 mai 1923 _ elle sera inhumée dans le caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, à Agen, le 21 mai 1923 _),
Louis-Arthur-Montalembert du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), demeuré célibataire,
et Berthe Ducos du Hauron (Libourne, 23 janvier 1842 – ?, ?), épouse à Agen le 11 février 1866 de Fabien-Marie-Alexandre-Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896).
J’ignore où et quand Berthe Ducos est décédée.
Alcide Ducos du Hauron et son épouse Cézarine-Marie de Fourcauld
sont les parents de 5 enfants, dont l’aîné décédé à l’âge de 5 mois et 2 jours :
Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Agen, 11 juillet 1866 ;
Marie-Louis-Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935 ), époux _ où (à Orléansville ? à Alger ?) et quand ? _ de Marie-Louise Rey (? , ? 1879 – Agen, 20 septembre 1933) _ où et quand Marie-Louise Rey est-elle née ? Probablement à Orléansville, en 1879 _ ;
Étienne-Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912 ), époux à Saint-Mandé, le 7 janvier 1898, d’Edmée de Lamarque (Poitiers, 8 janvier 1876 – Saint-Mandé, 22 février 1902) ;
Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971), demeurée célibataire, ;

et Marie-Alice Ducos du Hauron (Agen, 18 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971) demeurée célibataire.   
Amédée Ducos du Hauron _ le fils aîné d’Alcide _ et son épouse Marie-Louise Rey
sont les parents d’au moins 5 enfants
_  c’est ce qu’indique du moins un intéressant (et évidemment précieux pour notre recherche) article de L’Écho d’Alger en date du 4 mars 1927, annonçant une exposition des « Anaglyphes«  de Louis Ducos du Hauron au Casino d’Alger, et se permettant de citer à cette occasion un article d’un quotidien parisien,
que voici in extenso :
« Le seul homme qui porte le nom glorieux de Ducos du Hauron vit péniblement à Rébeval (Algérie) avec une retraite de 400 francs par mois, son principal revenu pour entretenir une famille de cinq enfants.
Nous nous ferons un devoir et un honneur de revenir sur l’ingratitude manifestée à l’égard de la famille Ducos par ceux-là même qui ont trouvé dans ses inventions une source considérable de millions et de gloire.
Mais, d’ores et déjà, nous estimons qu’une ère de réparation devrait s’ouvrir en faveur de M. Amédée Ducos du Hauron, neveu direct de l’inventeur des anaglyphes et de la photographie des couleurs, seul porteur actuel du nom de Ducos du Hauron, qui fut, jusqu’à vingt-sept ans, en compagnie de son père, Alcide Ducos du Hauron (successivement conseiller à la Cour d’appel d’Agen et d’Alger), le collaborateur (sic : c’est moi qui souligne pareille affirmation) du glorieux inventeur Louis Ducos du Hauron, son oncle« .
Amédée Ducos du Hauron, désormais, en 1927, retraité (il est âgé de 60 ans) et domicilié à Rébeval (aujourd’hui Baghlia), en Kabylie, non loin de Tizi-Ouzou, est donc dit ici avoir à charge une famille de 5 enfants _,
parmi lesquels j’ai identifié les suivants :
_ Edmée Ducos du Hauron (Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _, 8 juillet 1904 – ? ? ) _ j’ignore où et quand celle-ci est décédée _,
_ Gérard Yves Alcide Ducos du Hauron (Berrouaghia, 30 août 1909 – Avignon, 27 janvier 2000) _ je n’en sais guère davantage sur lui ; s’est-il marié ? Il semble que oui : le 25 novembre 1939, à Alger, Gérard Ducos du Hauron s’est en effet marié avec Célestine Léontine Noiraux (Haraucourt, 12 janvier 1893 – Cavaillon, 29 juillet 1972), précédemment mariée, le 30 juillet 1927, à Lyon, avec Eugène Jacquet. Or n’est-ce pas, précisément, une Mme Jacquet qui est présente sur le faire part de décès de Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron, dans l’édition du 2 janvier 1939 de L’Écho d’Alger, immédiatement à la suite des deux frères Gérard et Roger Ducos du Hauron, et immédiatement avant Mme Vve Gadel et ses enfants ?.. Voilà qui est intéressant…
Voici in extenso ce faire-part : «  »M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants ; MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger ; Mme Jacquet ; Mme Vve Gadel et ses enfants ; les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure, vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939« .
Mais j’ignore pour le moment les liens (attestés aussi dans d’autres faire-part de décès…) ayant pu exister entre les famille Ducros et Ducos du Hauron, et la famille Gadel…
Gérard Ducos du Hauron a-t-il une descendance ? C’est possible, mais cela paraît un peu difficile ; puisque, si lors de ce mariage, en novembre 1939, avec Mme Jacquet, celle-ci, Célestine, est déjà âgée de 46 ans ; il paraît assez peu probable (mais qui sait ?..) que celle-ci ait pu être, à 51 ans, en 1944, la mère de Marie-José Sylvia Ducos du Hauron, qui est née à Alger le 4 avril 1944 (Non : Marie-José Ducos du Hauron, est fille du frère de Gérard, Roger Ducos du Hauron)...
_ Roger Ducos du Hauron _ à part son existence, attestée, au même titre que celle de son frère Gérard, en l’avis de décès (publié le 2 janvier 1939) de Mme Henri Ducros née Eveline Ducos du Hauron _ c’est-à-dire leur sœur ! _, faute d’avoir trouvé jusqu’ici la moindre autre mention de lui, j’ignore encore presque tout de lui, à commencer par ses dates et lieux de naissance et de décès… Et sur ce point, ma recherche n’a en rien avancé _,
_ Eveline Ducos du Hauron : j’ignore sa date et son lieu de naissance ; mais je sais qu’Eveline, épouse de Henri Ducros
_ j’ignore où et quand précisément a eu lieu ce mariage ; de même que les lieux et dates de naissance de son époux _ sur la naissance de Henri Ducros, époux d’Eveline Ducos du Hauron, cf mon décisif article du 31 mars 2021 : . : Henri Ducros est né à Alger le 25 juin 1887 _, cet Henri Ducros, qui a été administrateur-adjoint de Port-Gueydon en 1930 et 1933 ; puis de Dupleix en 1938-39… _
décèdera à Alger au cours des vacances de Noël, dans les derniers jours de décembre 1938, et non en son domicile de Dupleix _ aujourd’hui Damous _ en Kabylie, où son mari était administrateur civil adjoint…
Eveline a été mère d’une petite Raymonde Ducros, décédée à Port-Gueydon _ aujourd’hui Azzefoun _ au mois d’octobre 1933 (on trouve en effet mention de cette petite Raymonde Ducros dans  l’avis de son décès, paru dans L’Écho d’Alger du 23 octobre 1933). Le numéro de L’Écho d’Alger du 8 juin 1930 comporte le faire-part de la naissance, à Port-Gueydon, du petit Yves-Henri Ducros ; de même que le numéro de L’Écho d’Alger du 30 mai 1931 comporte le faire-part de la naissance, à Port-Gueydon, du petit Raymond Ducros. Yves-Henri Ducros et Raymond Ducros font très probablement partie des enfants _ y en a-t-il eu d’autres ? _ de Henri Ducros et son épouse Eveline Ducos du Hauron, qui faisaient part, le 2 janvier 1939, en compagnie de leur père Henri, du décès de leur mère Eveline, à Alger. Que sont devenus par la suite ce Yves-Henri et ce Raymond Ducros ? Ils ont probablement été rapatriés en France métropolitaine en 1962 ; et se sont possiblement installés dans le Midi, et peut-être même dans le Vaucluse… Ont-ils eu, ou pas, une descendance ? Probablement…
D’autre part, Eveline Ducros du Hauron semble aussi avoir auparavant été mariée à un certain François Perez, si l’on se fie à un étrange très bref entrefilet intitulé « Pour affaires personnelles« , publié dans L’Écho d’Alger du 5 octobre 1926 :
« M. Perez François ne reconnaît plus les dettes que pourrait contracter sa femme née Eveline Ducos du Hauron. Dont acte » : semble ainsi se profiler l’existence d’un précédent mariage d’Eveline Ducos du Hauron avec ce François Perez…
Je suppose donc qu’Eveline Ducos du Hauron fait partie des enfants d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (? 1879 – Agen, 1933) ; et qu’elle est une des sœurs de Gérard et Roger Ducos du Hauron, ainsi que d’Edmée, née à Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _ le 8 juillet 1904 ; et cela, sauf si il s’avérait, in fine, qu’ « Edmée » n’est qu’un autre des prénoms de cette Eveline !..
Je relève aussi que ce prénom d’Eveline était déjà celui de la grand-mère maternelle (côté de Fourcauld, du Temple-sur-Lot) d’Amédée Ducos du Hauron (1866 – 1935) _ probable père de cette Eveline d’Algérie, même si cela demeure à confirmer… _ : Eveline Céleste Albaret.
Eveline Céleste Albaret, était en effet la belle-mère d’Alcide Ducos du Hauron (1830 – 1909), c’est-à-dire la mère de l’épouse de ce dernier, Cézarine-Marie de Fourcauld (1841 – 1923), et l’épouse, au Temple-sur-Lot, d’Antoine Martial Henry de Fourcauld (1817 – ?) _ mais j’ignore à ce jour les lieux et dates de naissance et décès d’Eveline Céleste Albaret…
Il est donc bien dommage (pour nous) que les prénoms des 5 enfants Ducos du Hauron évoqués dans ce bien intéressant article du 4 mars 1927 de L’Écho d’Alger, n’aient pas été spécifiés !
Ce qui fait que j’ignore ainsi si ces divers enfants d’Amédée et Marie-Louise
_ enfants Ducos du Hauron tous très probablement nés (mais c’est bien sûr à vérifier !) en Algérie ;
cette Algérie qu’Amédée n’aura, lui, peut-être plus quittée lors du départ pour la France, en novembre 1896, de ses parents Alcide et Cézarine-Marie, de son oncle Louis, ainsi que de son frère Gaston et de ses sœurs Marguerite et Alice : il faut cependant relever que l’épouse d’AmédéeMarie-Louise Rey, est décédée, elle, à Agen, le 20 septembre 1933 ! ; mais elle ne semble pas avoir été inhumée dans le caveau familial de sa belle-famille Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, à Agen… Et Amédée étant peut-être lui-même revenu parfois séjourner brièvement en France… _
se sont tous mariés _ Eveline, Gérard et Roger, oui … _ , ou pas ; et ont tous eu, ou pas, une descendance _ Eveline et Roger, oui…
Ainsi ai-je relevé, par exemple, aussi, l’existence d’une Marie-José Sylvia Ducos du Hauron, née à Alger le 4 avril 1944, et décédée à Langrolaye-sur-Rance le 26 décembre 2009. Mais je n’en sais pas davantage sur celle-ci. Duquel des fils d’Amédée Ducos du Hauron _ Gérard ? Roger ? un autre ? : Roger ! _ Marie-José Sylvia Ducos du Hauron est-elle donc née en 1944  à Alger ? Oui !
Ce sont là de bien intéressantes données pour notre recherche… De même que l’histoire (algérienne) d’Eveline Ducos du Hauron…
Voilà donc un certain nombre de données factuelles qu’il serait intéressant d’éclaircir, afin de mieux connaître les divers membres de cette famille Ducos du Hauron ayant vécu _ à partir d’avril 1884, quand, avec leur mère Cézarine-Marie, Amédée (âgé de 17 ans) et Gaston (âgé de 14 ans), et leurs deux petites sœurs Marguerite et Alice (âgées de 5 et 4 ans) ont rejoint à Alger leur père Alcide ; accompagnés par leur oncle Louis _ en Algérie…
Au retour en France, en novembre 1896, de la plupart des membres de leur famille venus en Algérie, et cela à la possible, sinon probable, exception d’Amédée, Amédée, lui, qui a 29 ans, a choisi de demeurer en Algérie ; alors que son frère Gaston, qui a 26 ans, choisit de rentrer en France en compagnie de ses parents et ses sœurs.
J’ignore où et quand a eu lieu le mariage d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey (en Algérie, probablement, et probablement à Orléansville, où Marie Louise Rey (et sa sœur Aimée-Laurence), doublement orphelines depuis le décès de leur père, le 28 janvier 1890, résidaient auprès de leur oncle maternel et tuteur légal, Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), frère de leur mère Adélaïde Gentet (décédée le 5 juillet 1886)… ; mais après tout je n’en sais rien, et j’ignore toujours, pour le moment, le lieu de naissance de Marie-Louise Rey, en 1879 _ au mois de novembre 1896, Marie-Louise Rey est âgée de 17 ans.
En revanche, je sais que c’est le 7 janvier 1898, à Saint-Mandé, non loin de Paris, que Gaston Ducos du Hauron a épousé Edmée de Lamarque.
Des enfants nés du mariage d’Amédée et Marie-Louise, le premier né, du moins à ma connaissance à ce jour, est Edmée, née à Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _, près d’Orléansville, le 8 juillet 1904…
Mais des autres enfants de ce couple d’Amédée et Marie-Louise, au nombre de 5 en 1927, au moment de la retraite à Rébeval _ aujourd’hui Baghlia _, d’Amédée, je ne connais jusqu’ici d’autre date de naissance que celle de Gérard : le 30 août 1909, à Berrouaghia …
Et je viens de me lancer dans le recensement des divers postes de travail occupés dans l’administration de l’Algérie profonde, par Amédée Ducos du Hauron ; mais les données que je trouve à recueillir demeurent encore parcellaires…
Voilà donc pour la branche « algérienne » des Ducos du Hauron…
Et retour maintenant au frère cadet d’Amédée,
Gaston
Gaston Ducos du Hauron _ le second fils d’Alcide, et donc frère cadet d’Amédée _ et Edmée de Lamarque,
eux, sont les parents de 2 filles :
Étiennette-Marie-Augustine-Isaure Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 26 décembre 1898 – Paris 6e, 20 décembre 1996), épouse, à Agen le 20 juillet 1920, de Marie-Alfred-Henri-Abdon-Auguste Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976) ;
ainsi que sa sœur Marie-Simone-MadeleineAdrienne (Saint-Maurice-sur-Seine, 20 mai 1900 – Bayeux, 22 novembre 1955), épouse à Paris, le 27 janvier 1932 de Jacques-Antoine Engelhard (Gonneville, 31 juillet 1896 – ?, 1979).
Et, à ce jour du 15 décembre 2020, j’ignore presque tout de cette sœur cadette d’Étiennette,
sinon, et cela d’après la précieuse lettre d’Alice Ducos du Hauron à Joseph Lacroix (Agen, 14 juillet 1861 – Villeneuve-sur-Lot, 1949) ancien chef de laboratoire et ami fidèle de Louis Ducos du Hauron _, en date du 6 juillet 1948, que cette sœur cadette d’Étiennette pourrait être née en 1900, en fait le 20 mai 1900 (mais pas à Saint-Mandé ! mais à Saint-Maurice-sur-Seine), et serait devenue paralysée à l’âge de 44 ans, en 1944 ; et que Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron _ la sœur dAlice _ était demeurée dès lors en permanence auprès d’elle afin de la soigner… 
… 
Berthe Ducos du Hauron et Onézime de Bercegol 
sont les parents de
Raymond-Camille-Marie de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949), époux à Bélaye, le 28 octobre 1896, de _ sa cousine _ Marie-Caroline-Emérancie David (Bélaye, 21 avril 1875 – Bélaye, 31 octobre 1905),
puis époux à Bordeaux, le 4 juin 1907, de Marguerite-Yvonne Marinier (Saint-Trojan, 29 août 1875 – ? ?) _ j’ignore la date et le lieu du décès d’Yvonne Marinier.
De même j’ignore si Raymond de Bercegol (déjà, était-il, ou pas, fils unique ?) a eu, ou pas, d’autres enfants que ses 2 filles, Marie-Henriette et Simone, décédées toutes deux en 1912…
… 
Raymond de Bercegol et Emérancie David sont les parents de
Marie-Henriette de Bercegol (Bélaye, 16 janvier 1899 – Joinville-le-Pont, 15 novembre 1912) ;
et Raymond de Bercegol et Yvonne Marinier sont les parents de
Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol (Joinville-le-Pont, 13 mars 1910 – Paris 13e, 7 septembre 1912).
 
Etiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque 
sont les parents de 10 enfants :
Jacqueline Lamarque
Geneviève-Thérèse-Raymonde Lamarque (Agen, 24 juillet 1923 – Rueil-Malmaison, 25 octobre 1998), épouse, à Neuilly-Sur-Seine, le 3 octobre 1953, de Bernard Viennot (Paris 9e, 7 juin 1923 – Rochecourbon, 24 août 2016)
Yves Lamarque
Marie-Madeleine Lamarque
Jean Lamarque
Xavier Lamarque
Marie-Odile Lamarque
Anne-Marie Lamarque
Marguerite-Marie Lamarque
et Claude Lamarque, le 10ème de cette fratrie.
J’ignore si ces enfants (autres que Geneviève) se sont mariés, et ont eu, ou pas, une descendance :
probablement que oui _ Claude Lamarque ne tardera pas à m’apprendre, le 19 décembre suivant, le nombre, 27, de ses neveux et nièces, et, 43, petits-neveux et petites-nièces _,
ne serait-ce que si je prends en compte le fait que Louis Allard _ présent à Agen le 31 août 2020, aux diverses cérémonies de commémoration honorant son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron, pour le centenaire de son décès, à Agen le 31 août 1920 _, et fils de Jacqueline Lamarque et Jean Allard, a pour oncle Claude Lamarque, un de ces 10 enfants d’Étiennette et Alfred Lamarque.
… 
J’ignore à ce jour le prénom _ Simone _ de la sœur cadette d’Étiennette (ainsi que ses dates et lieux de naissance et de décès _ je les ai indiqués plus haut… _), le prénom Jacques et le nom Engelhard de son mari (ainsi que les lieux et dates de naissance de ce dernier : Jacques Engelhard est né à Gonneville le 31 juillet 1896, et il est décèdé en 1979)
ainsi que les noms et prénoms de leurs deux enfants, Nadine et Philippe (ainsi que leurs dates et lieux de naissance, et éventuellement de décès : je les ai appris depuis…) ;
et de même si ils se sont mariées, ou pas, et ont eu eux aussi, ou pas, des enfants, et une descendance
… 
Enfin, existe aussi  la descendance _ très bien documentée, elle _ de Geneviève Lamarque et Bernard Viennot, 
issue de leurs 5 enfants Viennot : 
Benoît Viennot (né en 1963), et son épouse Anne-Catherine Goulletquer _ laquelle a rédigé une gigantesque généalogie familiale, mais pas tout à fait exhaustive (ainsi, par exemple, ignore-t-elle la sœur d’Etiennette…) ; et comportant d’infimes erreurs de détail… _,
Emmanuel Viennot et son épouse Nicole Grégoire,
Hubert Viennot et son épouse Irène Alonso,
Agnès Viennot et son époux Jean-Michel Gazeau,
et Dominique Viennot et ses deux épouses successives : Valérie Garcia et Cécile Dupré.
 …
J’ai relevé les noms et prénoms des enfants de ces 5 enfants Viennot, à la génération suivante : 
Damien, Emeric, Amélie Viennot ;
Anaïs, Antoine, Romain et Maïté Viennot ;
Aurélien Gazeau ;
et Marion Viennot.
… 
Et encore, à la génération suivante : 
Clémence, Lucie et Elise Viennot ;
Paul, Céleste et Oscar Viennot ;
Mahaut, Juliette, Eloi, Zita et Louis Le Motheux de Chitray…
Voilà donc les taches aveugles qui demeurent à ce jour
dans mon effort de reconstitution de la généalogie des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis-Arthur-Montalembert Ducos du Hauron,
ainsi, surtout, que les questions que je me pose, maintenant, afin, bien sûr, de les dissiper…
Ce mardi 15 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa
Voilà donc pour cette relecture, avec corrections, précisions et ajouts en rouge et en gras, de mon article du 15 décembre
Ce samedi 6 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

 

Reprise (avec menues corrections) de l’article « A la recherche des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron, du côté de son frère Alcide et de sa soeur Berthe… »

06nov

Ce samedi 6 novembre 2021,

je commence par relire, afin d’éventuellement lui apporter des correctifs, précisions et ajouts,

mon article du vendredi 11 novembre 2020 :

Voici _ en rouge _  ce que donnent mes menues corrections, précisions et ajouts à cet article d’il y a 11 mois :

Bien sûr, je continue mes recherches concernant l’identification des neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

tant du côté de son frère aîné Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909)

que du côté de sa sœur cadette Berthe (Libourne, 23 janvier 1842 – après 1907 _ ou 1912… _ …), épouse de Fabien-Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896).

J’ai  découvert plusieurs indications de résidence de Raymond de Bercegol, le fils _ peut-être unique, je l’ignore encore… _ de Berthe et Fabien-Onézime, à Joinville-le-Pont ; et c’est à partir du moment où, le 8 mars 1903, Raymond indique changer son métier de « commissaire spécial des chemins de fer«  _ apparemment, mais c’est vérifier !, son dernier poste se trouvait à Marseille auprès de la compagnie PLM _ pour celui de « chimiste«  : cette mention apparaît en effet désormais dans les actes d’État-Civil de son mariage, le 4 juin 1907 à Bordeaux, avec sa seconde épouse, la bordelaise Marguerite-Yvonne Marinier ; puis dans les actes d’État-Civil des deux décès successifs en septembre et novembre 1912 : d’abord à Paris 13e _ au 108 Avenue d’Ivry : j’ai découvert que c’était là l’adressse de l’hôpital Marie Lannelongue ; cf une photo de cet hôpital prise, précisément, l’année 1910 _, puis à Joinville-le-Pont _ au domicile de ses parents, Raymond et Marguerite Yvonne, cette fois : 26 Route de la Brie _, de ses deux filles : d’abord Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol, décédée  le 7 septembre 1912, à l’âge de 3 ans et 3 mois _ elle était née à Joinville-le-Pont le 13 mars 1910 _puis Marie-Henriette de Bercegol, décédée le 15 novembre 1912, à l’âge de 13 ans et 10 mois  _ elle était née à Bélaye, au château de Floyras, le 6 janvier 1899.

 

Je relève au passage que la mention du décès de la petite Simone-Camille-Jeanne-Marie _ décédée à l’hôpital Marie Lannelongue _ a été retranscrite le 26 novembre 1912 sur le registre des décès de la commune de Joinville-le-Pont, du registre des décès de Paris 13e, soit l’arrondissement parisien dans lequel l’enfant était décédée le 7 septembre précédent _ au 108 de l’Avenue d’Ivry… J’ignore les raisons _ administratives ? _ de ces démarches-là…

Mais j’ai trouvé aussi ceci :

« C’est en 1882 que fut fondée par Joseph Jougla, alors âgé de 35 ans, la Société Anonyme des Plaques, Pellicules et Papiers photographiques. Installée à Nogent, puis au Perreux, elle se fixe définitivement à Joinville, au 15 avenue de l’Horloge _ du quartier de Polangis _ en 1901. “Avec les plaques Jougla, j’opère à toute heure”, telle était la publicité pour l’appareil “SINNOX” que fabriquait Jougla à Polangis, 40 000 plaques par jour sortaient également de cette usine. Occupant jusqu’à 600 ouvriers, la société est établie sur un immense terrain de 20 000 m2, dont 4 000 sont couverts« ,

en un article consacré aux réalisations de l’industriel Joseph Jougla à Joinville-le-Pont…

Galerie

Galerie

Ce que confirme

et ceci :

« Le SINNOX » de la Société JOUGLA

« Le brevet initial du SINNOX a été déposé en 1899 _ non : le 21 octobre 1898 ; cf ci-dessous… _ par de BERCEGOL. Il en a cédé les droits en 1902 _ oui : le 16 janvier 1902 _ à la S.A. P.P.P.P. JOUGLA qui a elle-même déposé cette année-là des additions au brevet. L’appareil proposé ici est construit selon les critères de perfectionnement de ce second brevet de 1902. Il autorise un chargement en lumière du jour, « Sine nocte ». Un système d’accroche à aiguille permet de retenir la plaque impressionnée lors de l’escamotage. Cette dernière est toujours au foyer grâce à un dispositif interne qui positionne automatiquement la chambre à chaque changement de plaque. Notre appareil possède un chargeur pour film et un autre pour plaques.« 
Jougla Sinnox

et encore cela,

ce décret de cession de brevet d’invention de l’appareil photographique dénommé le Sinnox, en date du 4 mai 1902 :

« est décrétée 8°

la cession enregistrée au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, le 16 janvier 1902, faite suivant acte en date du 21 décembre 1901, à la société anonyme dite « Plaques, pellicules et papiers photographiques J. Jougla », ayant son siège à Paris, Avenue Victoria n°8, par les sieurs Raymond-Camille-Marie de Bercegol, demeurant à Albi (Tarn) _ je relève l’information _, et Louis Sueur, demeurant à Saint-Maurice (Seine), Grande-Rue n° 87, de leurs droits au brevet d’invention de quinze ans, pris, le 21 octobre 1898, par le sieur de Bercegol _ voilà ! _, pour un appareil photographique dénommé le Sinnox« 

À ce jour, vendredi 11 décembre,

manquent à ma documentation, les lieux et dates du décès de Raymond de Bercegol :

il vivait en effet, et à Joinville-le-Pont, en novembre 1912 _ ainsi qu’en témoignent les Actes d’État-Civil, au moment des décès successifs,

le 7 septembre 1912, au n° 108 de l’Avenue d’Ivry, à Paris 13e (adresse de l’hôpital Marie Lannelongue) ; puis le 15 novembre, au domicile personnel cette fois de Raymond de Bercegol et sa seconde épouse Yvonne Marinier, à Joinville-le-Pont, au n° 26 de la Route de la Brie,

des deux filles de Raymond de Bercegol : Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol, née à Joinville-le-Pont le 14 juin 1910 ; et Marie-Henriette, née au château de Floyras, à Bélaye, le 16 janvier 1899 _ ;

ainsi que les lieux et dates du décès de sa mère, Berthe Ducos :

celle-ci était mentionnée comme résidant à Joinville-le-Pont à la date du 4 janvier 1907, lors de l’Acte d’État-Civil du second mariage de son fils Raymond, avec Yvonne Marinier ; et le domicile indiqué pour le fils et sa mère à Joinville, est au n° 17 de l’Avenue Pauline

J’ai cherché dans les registres d’État-Civil de Joinville-le-Pont accessibles en ligne _ et ils ne le sont pas tous… _, mais jusqu’ici je n’ai rien trouvé concernant ni Raymond de Bercegol, ni sa mère Berthe Ducos…

J’ai seulement découvert que Raymond de Bercegol était venu lui-même témoigner du décès, toujours à Joinville-le-Pont, de son beau-père _ né à Blaye (Gironde) le 8 février 1836 _, le Lieutenant-Colonel Michel-Camille Marinier, décédé en son domicile personnel du n° 20 de l’Avenue Joyeuse, à Joinville-le-Pont, le 17 septembre 1909, à l’âge de 73 ans ;

ce dernier, ainsi que sa veuve, Marguerite-Camille Dufréchou _ née en 1852 _, étaient venus résider auprès de leur fille Yvonne et de sa famille, à Joinville-le-Pont.

En revanche,

et même si je ne suis pas encore parvenu _ mais cela va bientôt venir _ à identifier les deux filles _ non, un garçon et une fille : Philippe-Adrien Engelhard (Annecy, 29 juillet 1932 – Paris 16e, 28 octobre 2017) et Marie Bernadette Gemma Etiennette Françoise (dite Nadine) Engelhard (Berck, 30 septembre 1935 – Neuilly-sur-Seine, 26 juin 2019) _ de la sœur d’Étiennette Ducos du Hauron,

non plus que le prénom _ Simone : Marie-Simone-Madeleine-Adrienne _ de celle-ci (!), ainsi que le nom _ Jacques-Antoine Engelhard _ de son mari _ Simone Ducos du Hauron et Jacques Engelhard se sont mariés à Paris 7e le 27 janvier 1932 _ (et les prénoms de leurs enfants) ;

en revanche, j’ai réalisé pas mal de progrès concernant la descendance d’Étiennette _ Étiennette-Marie-Isaure _ Ducos du Hauron la fille aînée (née à Saint-Mandé, le 26 décembre 1898 et décédée à Paris 6e, le 20 ou le 26 décembre 1996) d’Étienne-Gaston Ducos du Hauron (né à Agen, le 16 juin 1870 et décédé à Savigny-sur-Orge, le 3 avril 1912) et son épouse Edmée de Lamarque (née à Poitiers, le 8 janvier 1876 et décédée à Saint-Mandé, le 22 février 1902) _ et de son mari Alfred Lamarque _ né à Angers, le 30 juin 1898 et décédé à Paris 7e, le 1er janvier 1976 _ : Étiennette et Alfred, se sont mariés à Agen le 20 juillet 1920, à peine un mois et onze jours avant le décès, à Agen, au 58 de la rue Lamouroux, du grand-oncle d’Étiennette, Louis Ducos du Hauron, le 31 août 1920 ;

à commencer par les prénoms de leurs 10 enfants…

À suivre…

Ce vendredi 11 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà donc cette reprise avec de menues corrections…

Ce samedi 6 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et puis, d’utiles corrections à l’article « Nouvelles avancées à propos de la constellation familiale des neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron… » du 8 décembre 2020

05nov

Ce vendredi 5 novembre 2021,

et toujours suite au très riche échange téléphonique de plus de 2 heures, mardi dernier 2 novembre 2021, avec l’excellent Joël Petitjean,

nouvelle opération de corrections, précisions et ajouts _ ci-dessous en rouge _,

cette fois à mon article du 8 décembre 2020 «  » ;

que voici donc re-toiletté de frais : 

Poursuivant ce matin mes recherches généalogiques concernant le cercle familial rapproché de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

et cela afin de mieux  comprendre de quelles aides matérielles ainsi que de quels réconforts affectifs ses recherches ont pu bénéficier,

je viens de découvrir dans le registre des naissances de la ville d’Agen les dates et lieux de naissance et de décès des deux filles d’Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 31 juillet 1830 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) et Cézarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen,  mai 1923) _ et sœurs cadettes d’Amédée (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935) et Gaston (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) Ducos du Hauron _ ; et nièces de Louis :

Marie-Alice Ducos du Hauron : Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971) _ dont je connais désormais les dates et lieux de naissance (au 58 de la rue Lamouroux à Agen) et de décès (à Neuilly) _ ;

et Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron : Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971) _ dont j’apprends ainsi aussi les prénoms.

En revanche, je ne suis pas encore parvenu à identifier quel jour du mois de mai 1923 _ si : le 19 mai, m’ a donné cette précision Joël Petitjean, le 2 novembre dernier _ est décédée à Agen _ probablement encore en son domicile du 58 de la rue Lamouroux : non, mais Rue Landrade, à Agen ;

et Cézarine-Marie de Fourcauld a été inhumée dans le caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, le 21 mai suivant, en 1923, auprès de son époux Alcide Ducos du Hauron, inhumé là le 17 mai 1909 (il était décédé en leur domicile de Savigny-sur-Orge le 13 mai précédent) ; auprès, aussi, de son fils cadet, Gaston Ducos du Hauron, inhumé là probablement le 28 mai 1912 (il était décédé le 3 avril 1912 en son domicile de Savigny-sur-Orge ; et également auprès de son beau-frère Louis Ducos du Hauron, inhumé là le 2 septembre 1920 (il était décédé 58 rue Lamouroux, à Agen, le 31 août 1920) _ la veuve d’Alcide Ducos du Hauron _ le mariage d’Alcide Ducos du Hauron et Cézarine-Marie de Fourcauld avait eu lieu au Temple-sur-Lot le 11 septembre 1864 _ et belle-sœur très attentive de Louis, Cézarine-Marie de Fourcauld, née au Temple-sur-Lot le 3 février 1841

_ demeure la question du lieu d’inhumation (à Alger ? ) de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron, car Marie-Louise Rey est décédée à Agen le 20 septembre 1933 ; apparemment Marie-Louise Rey ne repose pas au cimetière de Gaillard, à Agen… Et j’ignore les raisons de ce voyage à Agen depuis Alger…

En revanche, les deux sœurs d’Amédée et Gaston Ducos du Hauron, Marguerite-Jeanne et Marie-Alice Ducos du Hauron, nées toutes deux à Agen (et à la même adresse du 4 rue Palissy), respectivement, Marguerite le 26 mai 1879, et Alice, le 18 (ou 19) décembre 1880, et décédées, toutes deux à Neuilly-Sur-Seine, Marguerite, le 22 avril 1971, et Alice, le 17 novembre 1971, ont rejoint, elles aussi, le caveau familial des Ducos du Hauron au cimetière de Gaillard, à Agen, respectivement Marguerite, le 26 avril 1971, et Alice, le 23 octobre 1971.

Mais ici je suis bien forcé de constater que, pour ce qui concerne les dates respectives de décès (à Neuilly-sur-Seine, le 17 novembre 1971) et d’inhumation (au cimetière de Gaillard à Agen, le 23 octobre 1971, d’après le registre des inhumations) de Marie-Alice Ducos, existe une dérangeante incompatibilité de dates. Pour le moment, je dois me contenter de ce constat d’anachronisme, sans être en mesure de pouvoir résoudre cette difficulté de chronologie…

Et en consultant toujours les archives en ligne d’Agen,  j’ai pu établir aussi la date du mariage, à Agen, le 11 février 1866, de la sœur d’Alcide et Louis Ducos du Hauron, Berthe Ducos du Hauron, née à Libourne le 23 janvier 1942, avec Henri Fabien Marie Alexandre Onézime de Bercegol, né le 19 février 1834 à Bélaye, au château Floyras, dans le canton de Luzech (Lot) _ le père de celui-ci étant Jean Guillaume Pierre Paul de Bercegol, qui fut maire de Bélaye de 1815 à 1830, puis de 1871 à 1877… Au moment de son mariage, le marié était commis aux manufactures de tabac, et en poste à Coutras. Il décèdera le 21 septembre 1896 à Cahors. Berthe lui survivant _ au moins jusqu’au 15 novembre 1912 : Berthe figure en effet sur le faire-part de décès de sa petite-fille, Marie-Henriette de Bercegol (Bélaye, 16 janvier 1899 – Joinville-le-Pont, 15 novembre 1912)

De ce couple d’Onézime et Berthe, j’ai pu identifier au moins un des enfants (le neveu assistant assidu de son oncle Louis dans ses recherches) : Raymond-Camille-Marie de Bercegol, né _ mais je n’ai pas encore découvert où : si à Lamothe-Landerron, en Gironde… _ le 4 février 1869 _ et j’ignore si Berthe et Fabien Onézime de Bercegol ont eu, ou pas, d’autres enfants.

Le 8 mars 1903, Raymond de Bercegol, alors commissaire de police pour les chemins de fer _ il a alors 34 ans _, a demandé sa mise en disponiblité pour raisons personnelles : très possiblement pour s’associer à plein temps aux passionnantes recherches photographiques de son oncle Louis…  C’est en effet ce même Raymond de Bercegol qui, le 21 décembre 1901 et le 16 janvier 1902, cède à la Société Jougla (8 Avenue Victoria à Paris) les droits qu’il avait lui-même pris le 21 octobre 1898 pour l’appareil photographique Sinnox

Et toujours à propos de Raymond de Bercegol,  j’ai trouvé mention de deux mariages : le premier, le 28 octobre 1896, à Bélaye (au château de Floyras), soit le berceau de la famille des Bercegol (dans le département du Lot _ entre Cahors et Fumel _), avec sa cousine Emérancie David _ dont la mère était une de Bercegol _ ; et le second, le 4 juin 1907, à Bordeaux, avec Yvonne Marinier…

Ensuite, plus de traces du parcours existentiel de Raymond de Bercegol _ qu’a-t-il fait ? quand et où est-il décédé ? Si : je découvrirai bientôt les naissances et les décès de deux filles de lui ; la première, Marie-Henriette, fille de sa première épouse (et cousine) Emérancie David (décédée, elle, à Bélaye, au château de Floyras, le 31 octobre 1905), est née à Bélaye, au château de Floyras le 16 janvier 1899, et décédée à Joinville-le-Pont le 15 novembre 1912 ; et la seconde, Simone-Camille-Jeanne-Marie, fille de sa seconde épouse Marguerite Yvonne Marinier, est née à Joinville-le Pont le 13 mars 1910, et décédée à l’Hôpital Marie de Lannelongue, dans le 13e arrondissement de Paris, le 7 septembre 1912. 1912 : une terrible année pour Raymond de Bercegol…

Mais aussi Claude Lamarque me parlera de ce cousin dont, lui qui est né en 1941, se souvient avoir connu à Paris, où Raymond de Bercegol était domicilié, dans le 16e arrondissement… ; et c’est Claude Lamarque qui m’a indiqué que la date de la disparition de Raymond de Bercegol se situait aux environs de 1949, sans davantage de précisions… _ ;

ni, non plus, de son éventuelle descendance…

Mais je n’ai pas non plus découvert pour le moment ce qu’est devenue, ni où et quand est décédée, après son veuvage survenu à Cahors le 21 septembre 1896, la mère de Raymond de Bercegol, née Berthe Ducos, la sœur d’Alcide et Louis Ducos du Hauron. 

À suivre…

Ce mardi 8 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Nous continuons d’avancer : c’est passionnant…

Ce vendredi 5 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quand les messages des bouteilles lancées à la mer rencontrent des destinataires et offrent de merveilleux retours…

26sept

Que mon blog rencontre de vrais lecteurs passionnés
assez patients pour me lire in extenso _ au point même d’imprimer l’intégralité de la série de ces articles qui les intéressent !.. _,
constitue une sorte de miracle !
 
Et pourtant il advient à quelques uns de mes détaillés articles – bouteilles-lancées-à-la-mer 
d’arriver à rencontrer quelques lointains destinataires qui y portent une extrême scrupuleuse attention.
 
C’est magnifique !
 
C’est ce qui vient de se produire avec Joël Petitjean,
chercheur (et découvreur) de l’œuvre photographique de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), le génial inventeur de la « photographie de couleurs » :
à partir de mes articles
d’avant-hier 24 septembre
et de la récapitulation commode du 4 janvier 2021
 
Comme c’est arrivé aussi, notamment, avec Manuel Cornejo
_ éditeur de l’Intégrale de la Correspondance de Maurice Ravel (et Président des Amis de Maurice Ravel), avec lequel je suis désormais en très amical et très fructueux contact permanent _
pour mes articles de recherche sur Ravel (Ciboure, 1875 – Paris, 1937) :
 
Ou encore avec Luc et Georgie Durosoir,
à partir de mes divers articles _ cf celui-ci, inaugural et essentiel (!), du 4 juillet 2008 :  ; et, 12 ans plus tard, celui-là, du 28 juin 2020 : _ sur l’œuvre musicale de Lucien Durosoir (1878 – 1955)…
Dont un des très mémorables aboutissements fut mes 2 contributions (1  et 2), au mois de février 2011, au Colloque « Un Compositeur moderne né romantique : Lucien Durosoir (1878 – 1955)« , qui s’est tenu au magnifique Palazzetto Bru-Zane à Venise :
 
La recherche désintéressée, vierge de tout souci de plaire, est donc féconde…

En effet, à mon courriel de vendredi 24 septembre dernier, à 15h 12 :
Le commentaire, hier, d’Annie Boulanger _ quelle magnifique surprise ! _, à mon article du 21 décembre 2020 :
m’a permis de reprendre, corriger et améliorer mon article généalogique du 4 janvier dernier : 
J’ose donc espérer que de nouveaux contacts, comme ceux, excellents, que j’ai eu en décembre dernier avec Claude Lamarque,
par exemple lors du colloque « Louis Ducos du Hauron » qui aura lieu au Théâtre Ducournau, à Agen, la journée du 27 novembre prochain,
m’offriront l’opportunité de compléter _ ou corriger _ mon essai de généalogie des descendants des trois neveux _ Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1937), Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 1869 – Paris 16e, vers 1949) et Gaston Ducos du Hauron (Agen, Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912) _, de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), ce génie agenais…
Joël Petitjean a merveilleusement répondu ceci, par retour de courriel, à 19h 58 :
… 

Cher Monsieur,
 
Il y a quelques mois, Claude Lamarque _ petit-fils de Gaston Ducos du Hauron, via la fille aînée de ce dernier, Etiennette Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 1898 – Paris 6e, 1996), épouse d’Alfred Lamarque (Angers, 1878 – Paris 7e, 1976) _, avec qui je suis en relation très amicale, m’avait demandé s’il pouvait vous donner mon adresse courriel afin que nous puissions échanger sur notre passion commune, ce que j’ai accepté bien volontiers !
 
J’ai donc attendu votre message et je le reçois aujourd’hui avec joie.
 
Passionné et travaillant sur Ducos du Hauron depuis de longues années _ 1984 _, j’ai fait l’effort de suivre au jour le jour, lire (et imprimer) votre formidable travail (qui mériterait grandement d’être organisé pour une publication) ; je suis donc un de vos lecteurs assidus.
 
Vous m’avez beaucoup appris.
 
Pour ma part, j’ai réuni une importante documentation et j’aurais quelques précisions à vous apporter.
 
Je suis donc à votre disposition pour convenir, si vous le souhaitiez, d’un rendez vous téléphonique ces prochaines semaines. (Nous nous rencontrerons peut-être en marge du colloque du 27 novembre, mais il n’est pas sûr que nous puissions échanger longuement.)
 
Je vous adresse en pièce jointe, pour information, un de mes articles ainsi que mon CV (c’est le plus simple…) où sont décrits tous mes travaux et réalisations sur Ducos du Hauron.
 
Au plaisir de vous lire, bien cordialement.
 
Joël Petitjean
Voici maintenant ma réponse à ce splendide courriel de Joël Petitjean,
hier, samedi 25 septembre, à 11h 02 :
Cher Monsieur,

 
Quelle magnifique et heureuse surprise que votre courriel !
 
Vous sachant très occupé,
et m’étant petit à petit écarté du propos initial de ma recherche concernant les 3 neveux _ et leurs activités en lien avec celles de leur oncle Louis _ de Louis Ducos du Hauron,
pour porter mon attention sur leurs descendances, et bientôt les affiliations de ces descendants ;
et plus encore, très vite, sur les parcours en Algérie d’Amédée Ducos du Hauron et des personnes qui lui étaient, de près, puis de plus loin, apparentées _ par mariages _,
je n’ai pas voulu vous ennuyer avec ces recherches qui s’éloignaient des activités spécifiques de recherche et inventions de Louis Ducos du Hauron 
(ainsi que de ses 3 neveux, qui ont plus ou moins, et à divers moments, effectivement collaboré à ses travaux)…
 
J’étais donc un peu loin de penser que le chercheur très sérieux que vous êtes, pouvait s’intéresser aux interrogations et étapes de ma curiosité à propos de la famille de Louis Ducos du Hauron _ et son devenir jusqu’à aujourd’hui…
 
C’est que j’ignorais que vous êtes aussi, et peut-être d’abord, un passionné de la curiosité…
 
Les articles de mon blog constituent, en effet, une sorte de journal, quasi au quotidien, de ma recherche tâtonnante, et avançant par « sauts »,
au gré des indices que je parvenais, peu à peu, à glaner, et à connecter un peu entre eux, afin de répondre aux diverses strates de mes interrogations…
 
Même si, de temps, j’éprouvais le besoin d’en tirer quelques maladroites synthèses, me corrigeant au fur et à mesure.
 
J’ai pu entrer en contact avec divers membres de familles directement issues des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron, ou apparentées, via des mariages.
Je me suis en effet pas mal appuyé sur des faire-part de mariage et de décès, voire des annonces de naissance, qu’il m’a fallu éclaircir, au fur et à mesure, afin d’établir les réels liens de parenté.
 
Mais j’en ai pris l’habitude, ayant travaillé d’abord sur le parcours _ en zone dite libre, sous l’Occupation _ de mon père (Stanislawow, 1914 – Bordeaux, 2006) durant la guerre (entre mai 1942 et septembre 1944),
pour découvrir, à partir de menus indices, ce qu’il avait vécu : au camp de Gurs, où il a fait partie de Groupes de Travailleurs Etrangers _ GTE : une création de Vichy… _ ; puis à Toulouse, et surtout à Oloron, où il a eu quelques activités de Résistance…
 
J’ai travaillé aussi sur la généalogie (béarnaise) de la famille Bioy, d’Oloron
dont le plus célèbre membre est l’écrivain argentin Adolfo Bioy Casares (Buenos Aires, 1914 – Buenos Aires, 1999) _ ma mère (Tarbes, 1918 – Bordeaux, 2018), née Marie-France Bioy, était La mémoire vivante de notre famille…
Là-dessus, cf mon commode compendium d’articles du 30 juillet dernier :
Puis, j’ai entrepris des recherches sur la généalogie basquaise de la mère, Marie Delouart (Ciboure, 1840 – Paris, 1917), de Maurice Ravel (Ciboure, 1875 – Paris, 1937) :
j’ai ainsi appris à une très aimable luzienne, Maylen Lenoir, née Gaudin, le cousinage effectif, ignoré et même nié jusque là !!! _ et il y a là une étrangeté qui mériterait assurément d’être éclaircie ! _, de sa grand-mère, née Magdeleine Hiriart (1875 – 1968), avec Maurice Ravel ;
Maurice Ravel dont la grand-tante, Gachucha Billac (Ciboure, 1824 – Saint-Jean-de-Luz, 1902), sœur de sa grand-mère maternelle Sabine Delouart (Ciboure, 1809 – Ciboure, 1874),
était la gouvernante des 7 enfants Gaudin, à Saint-Jean-de-Luz, dont l’aîné, Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1875 – Bimbo, sur le fleuve Oubangui, 1910), était le mari de Magdeleine Hiriart…
Dans 2 lettres des 8 octobre 1910 et 20 novembre 1914 _ aux pages 246 et 403 de la Correspondance de Maurice Ravel publiée aux Éditions Le Passeur par Manuel Cornejo en 2018 _, à l’occasion des décès de Charles Gaudin _ le mari de Magdeleine Hiriart ; cf mon article du 16 juillet 2019 : _, puis de ses frères Pierre (Saint-Jean-de-Luz, 1878 – Mangiennes, 1914) et Pascal (Saint-Jean-de-Luz, 1883 – Mangiennes, 1914) Gaudin,
Maurice Ravel et Magdeleine Hiriart s’appellent « Mon cher cousin », « Ma chère cousine » : j’ai simplement cherché à comprendre pourquoi…
Et Maurice Ravel est demeuré toute sa vie l’ami très proche de Marie Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1876 – Saint-Jean-de-Luz, 1976), la 4ème des 8 enfants d’Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 1920) et Annette Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 1845 – Saint-Jean-de-Luz, 1936), au domicile desquels Maurice Ravel est descendu à de multiples reprises lors de ses séjours à Saint-Jean-de-Luz…
 
Je suis, bien sûr, en lien constant et amical avec le Président des Amis de Maurice Ravel, le très actif Manuel Cornejo, le magnifique éditeur de la très précieuse Correspondance de Maurice Ravel,
de la lecture scrupuleuse de laquelle je suis parti pour mes recherches…
J’ai ainsi pu corriger de grossières erreurs de certains biographes prétendument sérieux, qui se contentent de reprendre tels quels, sans critique, ni authentique recherche personnelle tant soit peu rigoureuse et approfondie, les travaux de chercheurs antérieurs…
Manuel Cornejo tiendra compte des apports de mes corrections et découvertes lors de la réédition à venir de cette très riche Correspondance
Lui aussi est un chercheur passionné (et sérieux !).
 
Dernièrement, je me suis intéressé aussi à la famille d’un ancien collègue de travail, au tournant des années 80,
dont deux neveux, fils de sa sœur Bertille de Swarte, sont d’intéressants _ et remarquables _ musiciens baroques : Sylvain Sartre et Théotime Langlois de Swarte…
Je me souvenais, en effet, que mon collègue, originaire de Dordogne, avait des liens de parenté avec la famille Sartre ;
et il se trouve que le père (Jean-Baptiste Sartre) de Jean-Paul Sartre (Paris, 1905 – Paris 1980) était originaire de Thiviers, en Dordogne : Jean-Baptiste Sartre est né à Thiviers le 5 août 1874 ; et décédé à Thiviers, le 17 septembre 1906.
Le père de Sylvain Sartre, Pierre Sartre, est, en effet _ j’ai pu l’établir : cf mon article du 8 juin dernier : ... _, un cousin des Sartre de Thiviers… 
Il suffisait d’opérer les connexions nécessaires…
Le monde n’est pas si grand que des chemins ne finissent pas par se croiser…
 
Et il se trouve aussi que ma belle-mère est d’une vieille famille d’Agen, les Boué ;
Agen, où vivent donc des cousins…
Je suis aussi Vice-Président de la Société de Philosophie de Bordeaux…
Et, par ma forme d’esprit, je suis fervent adepte et pratiquant de la sérendipité !
 
Encore merci de ce merveilleux contact !
A ce courriel mien d’hier à 11h 02,
Joël Petitjean a répondu très vite, à 12h 46,
ceci :
Cher Monsieur,
 
Je suis si heureux de recevoir votre réponse !
 
Votre message est passionnant et votre parcours tout à fait remarquable.
 
Il me semble que personne, avant vous-même, n’avait tenté une étude et une synthèse aussi complètes sur la généalogie de Louis Ducos du Hauron.
 
J’ai lu et entendu bien des choses sur sa vie et son oeuvre, mais je suis en effet très curieux d’en savoir davantage sur sa personnalité, ses relations avec ses proches, la manière dont il fut aimé et admiré par les siens, les souvenirs qu’il a laissés à sa famille… Tout cela est de nature à mieux faire comprendre son magnifique et étonnant parcours.
 
C’est pourquoi mes longues conversations téléphoniques avec Claude Lamarque, dans un climat d’extrême gentillesse et de passion partagée, m’ont comblé de bonheur… (Je n’ai pas de nouvelle récente de Claude ; en avez-vous ?)
 
Je me réjouis de notre future conversation. Je vous proposerai une date dans quelque temps (je prépare en ce moment ma communication pour le colloque).
 
Avec mes sincères remerciements, bien à vous.
 
Joël
 
N.B. 1. Après m’être senti bien seul durant de longues années (depuis 1998, sinon depuis 1984…), presque personne n’étant venu au musée voir les archives _ de Louis Ducos du Hauron _ que j’ai retrouvées _ et c’est en effet très frustrant ; alors que la photographie suscite tant d’intérêts… _  je suis ravi de voir, depuis 2015, toute une synergie se mettre _ enfin… _ en place à Chalon-sur-Saône, Paris, Agen, Lectoure, Langon, afin d’étudier et faire connaître Ducos du Hauron. Le colloque d’Agen _ le samedi 27 novembre prochain _ en sera un vibrant témoignage.
 
N.B. 2. Grâce à Charles Sarion et aux Amis de Ducos du Hauron, j’ai rendu un long article à la Société académique d’Agen. Celui-ci sera bientôt publié, avec d’autres contributions, dans un numéro de la Revue de l’Agenais consacré à l’inventeur
_ j’ai moi-même eu un article publié par la Revue de l’Agenais (127e année, n°1, janvier-mars 2000), concernant la Bibliothèque musicale des Ducs d’Aiguillon, conservée à Agen, et réalisé pour un colloque organisé à Aiguillon par Serge-Alain Paraillous…
J’avais entrepris ces recherches en tant que conseiller artistique de Hugo Reyne et La Simphonie du Marais…
Pour lesquels j’avais découvert, en 1995, une œuvre restée jusqu’alors inconnue de Marc-Antoine Charpentier, sur un livret de Jean de La Fontaine, de 1678 : Les Amours d’Acis et Galatée… Découverte précieusement mentionnée à la page 138 de la 2de édition, en 2004, du Marc-Antoine Charpentier de Catherine Cessac, aux Éditions Fayard : cf là-dessus mon article du 18 avril 2009 : .
Cela fait vraiment plaisir !!!
Ce dimanche 26 septembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

En reprenant, afin de précisions nouvelles, mes essais de généalogie de la descendance des 3 neveux (Amédée, Raymond et Gaston) de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920)…

24sept

Le message reçu hier 23 septembre 2021 _ en commentaire (important !) de mon article du 21 décembre 2010 : _

de Marie Boulanger, une amie de Philippe Engelhard,

message par lequel celle-ci m’avise que ce dernier est bien toujours vivant,

qu’il est né le 24 février 1942 _ et non pas le 29 juillet 1932, à Annecy, comme je l’avais écrit en mon article du 4 janvier dernier : … _,

et qu’il s’intéresse de près à la généalogie de sa famille,

m’amène à reprendre et réviser ce précédent essai de généalogie de la descendance des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

qu’étaient

1) Henri Amédée Lionel Ducos du Hauron (Agen, 9 août 1866 – Alger, 15 juillet 1935) ;

2) Raymond Camille Marie de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949) :

et 3) Etienne Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912).

Les deux nièces de Louis Ducos du Hauron, et sœurs d’Amédée et Gaston,

Marguerite Jeanne (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1979)

et Marie Alice (Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 19 avril 1979) Ducos du Hauron, ,

étant demeurées célibataires et sans descendance…

Voici donc la reprise, avec corrections et ajouts _ en rouge et en gras _, de mon article , du 4 janvier dernier :

Ayant bien conscience du caractère quasi « indigérable » pour presque tout lecteur, même gourmand de curiosités exotiques et pittoresques très éloignées de lui eu égard à la plupart de ses préoccupations _ au point de voisiner l’inintérêt total et la radicale insignifiance pour lui, et provoquant l’inappétence et le rejet sans recours de la lecture _ ; et le lecteur le mieux intentionné qui puisse être, à l’égard des assez extravagantes « aventures d’explorations » de ce blog _ quel lecteur normalement sensé aurait le courage-folie (et le temps !) de scrupuleusement suivre, et en sa plus fidèle continuité, jour par jour, cette « enquête«  à laquelle je me livre ici et m’enfonce en des pistes (et incises) perdues de tout, en l’exhaustivité de cette « somme-feuilleton«  ; l’auteur n’ayant pas tout à fait encore l’incongruité de se prendre pour un adepte de l’écriture merveilleusement libre et cultivée d’un Montaigne, ni celle, ludique et systémique, d’un Pérec ; et pas davantage d’un Louis-Sébastien Mercier… _,

j’éprouve le besoin, pragmatique et éminemment modeste, de faire simplement, à ce moment, un petit point-bilan de ce qui persiste, à ce jour, de « taches aveugles » parmi les effectives avancées _ bien réelles ! _ de cette recherche, entreprise il y a maintenant un mois, d’identification des divers membres de la constellation familiale ayant entouré de sa très précieuse et très constante aide, d’abord la personne, mais aussi, ensuite, l’œuvre qui demeurait _ ad vitam æternam après le décès de leur génial auteur _, de cet extraordinaire inventeur qu’a été le gascon Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920).

Dont le parcours d’inventeur mérite d’être enfin reconnu _ à cette occasion opportune et bien commode du centième (ou maintenant cent-unième) anniversaire de son décès _ à son entier _ et tout à fait singulier _ mérite.

Je désire donc continuer de réduire les « taches aveugles » qui persistent encore concernant l’identité et la filiation des personnes _ extrêmement bienveillantes à l’égard d’abord, bien sûr, de la personne, mais aussi des travaux et inventions, de cet extraordinaire inventeur (y compris après le décès de celui-ci, en 1920) _, appartenant à la constellation familiale _ élargie à l’entourage, toujours assez important, de leurs parents et alliés _ des petits-neveux et petites-nièces _ et leurs descendants _ de Louis Ducos du Hauron

_ soient les enfants (et descendants) de ses très chers neveux (qui, chacun des trois, l’ont tous magnifiquement épaulé en ses recherches), Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935) et son frère Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912), les deux fils d’Alcide Ducos du Hauron, et son épouse Césarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen ? mai 1923), ainsi que leur cousin germain Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949), le fils semble-t-il unique de Berthe Ducos, et son époux Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896) ;

et de leurs épouses respectives, Ducos du Hauron (nées Marie-Louise Rey, et Edmée de Lamarque), et de Bercegol (nées Émérancie David et Yvonne Marinier) ;

pour m’en tenir, tout d’abord, au niveau de la seconde génération qui a suivi celle de Louis Ducos du Hauron (1837 – 1920), son frère aîné Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), et sa sœur cadette Berthe (Libourne, 23 janvier 1842 – ?, ?), puis celle de ses neveux Amédée (1866 – 1935), Raymond (1869 – vers 1949) et Gaston (1870 – 1912) _,

c’est-à-dire cette génération des petits-neveux et petites nièces de Louis Ducos du Hauron,

qui a suivi celle de ses neveux Amédée, Raymond et Gaston : nés en 1866, 1869 et 1870 ; et décédés en 1912, 1935 et 1949.

En voici donc un tableau :

1°) Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (?, 1879 – Agen, 1933) _ j’ignore à ce jour le lieu (peut-être _ ou plutôt très probablement _ à Orléansville, où semble être née et avoir été domiciliée _ au moins chez son oncle et tuteur Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), à partir du décès des deux parents de Marie-Louise, sa mère Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) et son père Jean Anatole Firmin Rey (Satolas, 2 avril 1821 – Oran, 28 janvier 1890) _  Marie-Louise Rey…),

et la date (probablement entre 1896 et 1901…),

de leur mariage, en Algérie _ probablement à Orléansville _ ; peut-être est-ce même ce mariage avec Marie-Louise Rey, en Algérie, qui aura décidé Amédée Ducos du Hauron à lui faire choisir ne pas accompagner ses parents, son frère Gaston et son oncle Louis, retourner en France, mais plutôt demeurer, lui et son épouse, en Algérie… _

ont eu au moins cinq enfants _ dont je connais 4 (sur 5) des prénoms (du moins si je me fie au nombre d’enfants que le couple avait à charge, en 1927, à Rébeval, au moment de la retraite de la fonction publique d’Amédée…) : Éveline, Edmée, Gérard et Roger ; j’ignore le prénom de celle que je suppose avoir été la troisième des filles (ou le troisième des garçons…) d’Amédée et Marie-Louise : et cela sur la foi du faire-part, paru dans le numéro de L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939, annonçant le décès d’Éveline Ducos du Hauron, épouse de l’administrateur de Dupleix Henri Ducros ; faire-part sur lequel figurent seulement deux Ducos du Hauron _ frères de la défunte Éveline _ : Gérard et Roger… : les autres enfants d’Amédée et Marie-Louise (frères et sœurs de cette Éveline décédée cette fin décembre 1938…) seraient-ils donc décédés _ probablement ! _ entre l’année 1927 et l’année 1938 ?.. _ Ducos du Hauron ;

2°) Gaston Ducos du Hauron (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912) et son épouse Edmée de Lamarque (Poitiers, 1876 – Saint-Mandé, 22 février 1902) _ leur mariage a eu lieu à Saint-Mandé, le 7 janvier 1898 _

ont eu deux enfants, deux filles _ Etiennette et sa cadette, Marie-Madeleine-Adrienne, dite Simone _ Ducos du Hauron ;

et 3°) Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 1869 – Paris 16e, vers 1949) et ses deux épouses successives, Émérancie David (Bélaye, 21 avril 1875 – Bélaye, 31 octobre 1905) _ leur mariage a eu lieu à Bélaye, le 28 octobre 1896 _, puis Yvonne Marinier (Saint-Trojan, 29 août 1875 – j’ignore le lieu et la date de son décès…) _ leur mariage a eu lieu à Bordeaux, le 4 juin 1907 _ont eu deux enfants, deux filles _ Marie-Henriette et Simone _ de Bercegol, toutes deux précocément décédées : l’aînée, le 15 novembre 1912, et la cadette, deux mois auparavant, le 7 septembre 1912 _  ; et donc sans descendance.

Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) _ l’aîné des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920) _ et son épouse Marie-Louise Rey (peut-être Orléansville, 1879 – Agen, 1933)

ont donné 5 petits-neveux à l’oncle Louis (Langon, 1937 – Agen, 1920) _ dont j’ignore, à ce jour, presque tout de l’ordre de naissance (à part celle d’Edmée, en 1904, à Lamartine ; et celle de Gérard, en 1909, à Berrouaghia) ; mais, sur foi d’un article de L’Écho d’Alger annonçant une exposition, à Alger, en 1927, de photos de Louis Ducos du Hauron, je suppose que, en 1927, 5 enfants d’Amédée Ducos du Hauron étaient vivants et « à sa charge«  de retraité (disposant d’une maigre pension de « 400 francs par mois« …), domicilié alors à Rébeval, une des villes où avait déjà résidé Amédée lors d’une des étapes (c’était en 1913) de son périple d’administrateur-adjoint de diverses « communes mixtes«  _ :

_ Éveline Ducos du Hauron, née peut-être à Orléansville, entre 1896 et 1901, et décédée à Alger fin décembre 1938 ; épouse _ j’ignore où eut lieu ce mariage, et probablement entre fin 1926 (où un nommé François Perez qualifiait Éveline Ducos Ducos du Hauron de « son épouse«  !) et 1929 : un point qui reste à éclaircir… _ de Henri Ducros : originaire d’Azazga _ où sa famille était installée depuis la fin des années 1880… _, Henri Ducros (né à Alger le 25 juin 1887) a été administrateur-adjoint de Port-Gueydon, où sont nés trois des enfants de ce couple formé de Henri Ducros et Éveline Ducos du Hauron : Raymonde Ducros (décédée en bas âge à Port-Gueydon au mois d’octobre 1933 _ j’ignore sa date de naissance _), Yves-Henri Ducros (né à Port-Gueydon au début du mois de juin 1930) et Raymond Ducros (né à Port-Gueydon au mois de mai 1931).

J’ignore si Yves-Henri Ducros et son frère Raymond Ducros, ont eu, ou pas, une descendance…

Ainsi que si ils ont, ou pas, quelques liens avec la bien connue entreprise (d’épices) Ducros,

installée entre Avignon et Carpentras ? Une piste à explorer…

_ Edmée Ducos du Hauron, née à Lamartine le 9 juillet 1904, où son père, Amédée, était alors administrateur-adjoint _ j’ignore le lieu et la date de son décès ; et si elle a été mariée et a eu une descendance : probablement pas…

_ un 3e enfant, et peut-être une fille _ dont j’ignore le prénom _ Ducos du Hauron.

_ Gérard Ducos du Hauron, né à Berrouaghia le 30 août 1909 (où son père, Amédée, était administrateur-adjoint), et décédé à Avignon le 27 janvier 2000. Gérard Ducos du Hauron a épousé à Alger, le 25 novembre 1939, Mme Veuve Jacquet, née Célestine-Léontine Noiraux (Haraucourt, 12 novembre 1893 – Cavaillon, 29 juillet 1972) ; et il ne semble pas avoir eu de descendance.

_ Roger Ducos du Hauron _ dont j’ignore le lieu et la date de naissance, ainsi que le lieu (en France : il est venu vivre à Savigny-sur-Orge au moment de son rapatriement en France, vers 1962 (mais pas dans la maison du 14 de la rue des Rossays, où avaient vécu ses grands-parents, Alcide et Césarine-Marie, ainsi que son grand-oncle Louis : cette maison sur laquelle a été apposée, en 1951, une plaque commémorant le séjour, là, de l’inventeur Louis Ducos du Hauron…) et la date de son décès _ ; Roger Ducos du Hauron et son épouse Sylvia _ j’ignore son nom de jeune fille… _ ont eu 4 enfants : Marie-José Sylvia Ducos du Hauron (Alger, 4 avril 1944 – Langrolay-sur-Rance, 28 décembre 2009) ; Jean-Louis Ducos du Hauron (né en 1953 _ peut-être lui aussi à Alger… _ et qui vit aujourd’hui en Espagne… ; celui-ci a deux fils, dont l’un est prénommé Cédric ; et l’autre, Aurélien) ; Danièle Ducos du Hauron ; Denise Ducos du Hauron.

Gaston Ducos du Hauron (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912) _ le second des fils du frère aîné de Louis (Langon, 1837 – Agen, 1920), Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909) et de son épouse Césarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen, ? mai 1923) _ et son épouse Edmée de Lamarque (Poitiers, 1876 – Saint-Mandé, 1902), mariés à Saint-Mandé le 7 janvier 1898, ont donné, eux, deux petites-nièces à l’oncle Louis (Langon, 1837 – Agen, 1920) :

._ Etiennette Ducos du Hauron, née à Saint-Mandé le 26 décembre 1898, et décédée à Paris-6e le 20 décembre 1996. Épouse à Agen, le 20 juillet 1920, de son cousin Alfred Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris-7e, 1er décembre 1976), Etiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque ont été les parents de 10 enfants Lamarque : Jacqueline Lamarque (qui épousera Jean Allard : ils auront 3 enfants : Anne-Elisabeth, François et Louis Allard), Geneviève Lamarque (qui épousera Bernard Viennot : ils auront 5 enfants : Benoît, Emmanuel, Hubert, Anaïs et Dominique Viennot), Yves Lamarque _ marié, il a des enfants _, Marie-Madeleine Lamarque (précocement décédée), Jean Lamarque _ marié, il a des enfants _, Xavier Lamarque _ marié, il a des enfants _, Marie-Odile Lamarque (devenue Mère Marie de Sienne), Anne-Marie Lamarque (qui épousera un M. Haudiquet ; leurs fils est Xavier Haudiquet-Lamarque), Marguerite-Marie Lamarque (précocement décédée) et Claude Lamarque (devenu chef d’orchestre) _ Claude Lamarque, qui a un fils vivant au Sri Lanka, compte, m’a-t-il confié, 27 neveux et 43 petits-neveux, nés de ses frères et sœurs Lamarque qui ont eu des enfants.

_ Marie-Madeleine-Adrienne, dite Simone, Ducos du Hauron, née à Saint-Maurice le 20 mai 1900, et décédée à Bayeux le 22 novembre 1955. Épouse à Paris 7e, le 27 janvier 1932, de Jacques Engelhard, Simone Ducos du Hauron et Jacques Engelhard ont été les parents de 2 enfants : Philippe Engelhard (Annecy, 29 juillet 1932 – Paris 16e, 28 octobre 2017 : là, il y a eu hélas confusion de ma part  : en fait, Philippe Engelhard est né le 24 février 1942, et surtout il vit toujours !) ; et Marie-Bernadette-Gemma-Etiennette- Françoise (dite Nadine) Engelhard (Berck, 30 septembre 1935 – Neuilly-sur-Seine, 26 juin 2019).

Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 1869 – Paris 16e, vers 1949…) _ le troisième des neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), le fils de sa sœur Berthe Ducos ((Libourne, 23 janvier 1842 – ?, ?) et de son beau-frère Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896) _ a eu de chacune ses deux épouses, Émérancie David (Bélaye, 1875 – Bélaye, 1905), et Yvonne Marinier (Saint-Trojan, – Paris 16e, ?), une fille _ Marie-Henriette (Bélaye, 16 janvier 1899 – Joinville-le-Pont, 15 novembre 1912) et Simone-Camille-Jeanne-Marie (Joinville-le-Pont, 13 mars 1910 – Paris 13e, 7 septembre 1912) _mais toutes deux précocement décédées, et donc sans descendance _ et j’ignore si Raymond de Bercegol et son épouse Yvonne ont eu, ou pas, un autre enfant… _ :

_ Marie-Henriette de Bercegol (née à Bélaye, le 16 janvier 1899, et décédée à Joinville-le-Pont le 15 novembre 1912) ;

_ Simone de Bercegol (née à Joinville-le-Pont, le 13 mars 1910, et décédée à Paris 13e le 7 septembre 1912) 

Voilà où je me trouve, à ce jour, 4 janvier 2001, de cette identification des personnes constituant la famille des héritiers _ tout du moins en esprit _ de Louis Ducos du Hauron,

et de son œuvre.

Ce lundi 4 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà donc ce vendredi 24 septembre 2021 quelque corrections et ajouts à ce tableau généalogique de la descendance des neveux Ducos du Hauron (Amédée et Gaston) et de Bercegol (Raymond), de Louis Ducos du Hauron (1837 – 1920),

du 4 janvier dernier…

J’ose espérer que la lecture, quelque jour _ comme celle que viens de faire hier Annie Boulanger… _, de ce blog ;

ou bien les opportunités de rencontres qu’offrira le colloque « Ducos du Hauron » du samedi 27 novembre prochain, au Théâtre Ducournau, à Agen,

permettront l’éventualité de quelques nouveaux progrès dans l’établissement de cette descendance des neveux de Louis Ducos du Hauron,

ce génie agenais,

inventeur de la « photographie de couleurs« …

Ce vendredi 24 septembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Chercher sur mollat

parmi plus de 300 000 titres.

Actualité
Podcasts
Rendez-vous
Coup de cœur