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L’éclatant CD « Amazone » de Léa Désandré, Thomas Dunford, et Jupiter : la plénitude d’une splendide voix (de mezzo-soprano) et la révélation d’un répertoire français (et italien) magnifique, à redécouvrir vraiment ; ou la magie d’un CD…

17oct

Le proprement magique CD « Amazone » de la mezzo-soprano Léa Désandré,

avec l’ensemble Jupiter, sous la direction de Thomas Dunford,

nous fait tout spécialement assister au splendide épanouissement de la voix et de l’art de chanter _ splendides tous les deux ! _ de Léa Désandré,

en même temps qu’il nous offre,

par des airs excellemment choisis, sur la thématique suivie des Amazones (de la mythologie antique),

de magnifiques _ très prometteuses… _ fenêtres sur plusieurs pans, français et italiens, du meilleur du Baroque musical du XVIIIème siècle.

Ainsi l’article intitulé « Destouches« , de Jean-Charles Hoffelé, le 12 octobre dernier, sur son site Discophilia,

nous a-t-il _ déjà _ grandement mis l’eau à la bouche,

et préparé à porter toute l’attention nécessaire à l’interprétation par Léa Désandré,

en ce CD Erato 0190295065843,

tout particulièrement _ mais pas seulement : c’est l’ensemble du programme, mis au point par Yannis François, qui est tout simplement magnifique ! _de sublimes airs extraits de « Marthésie, première reine des Amazones« , d’André-Cardinal Destouches _ une œuvre inédite jusqu’ici au CD…

Et c’est peu dire que l’audition de ce CD (de 76 ‘) nous a comblé de joie !


DESTOUCHES

« Amazone » : le titre du nouveau récital de Lea Desandre m’alertait. Et si elle avait eu, probablement aiguillée par Thomas Dunford, la bonne idée d’enregistrer les airs de Marthésie, reine des Amazones d’André Cardinal Destouches ?

Bingo !, deux grands airs y sont, magnifiques de nostalgie et de révolte (« Faible fierté, gloire impuissante » et son magnifique berceau de flûtes _ l’air, sublime, dure 4′ 05  _), d’intense déclamation où passe _ oui, bien sûr _ l’ombre de Lully (« Ô Mort ! Ô triste Mort »)_ l’air dure 2’24 _), et aussi la saisissante scène finale avec sa foudre _ « Quel coup me réservait la colère céleste ?« , l’air dure 4′ 28 ;

et me rappelle le sublime air du suicide d’Astrée de l’opéra « Astrée » (en 1691) de Pascal Collasse, sur un livret de Jean de La Fontaine,

présent dans le programmme du CD Virgin Classics (paru en 1996) de La Simphonie du Marais « Un portrait musical de Jean de La Fontaine« , dont j’étais, pour 90 %, l’auteur, avec Hugo Reyne… ;

cf mon article du 9 septembre 2021 :  ;

ou celui du 3 juillet 2020 :   _,

coup de génie _ mais oui ! _ d’un compositeur majeur _ oui, vraiment ! _ du Grand Siècle _ André-Cardinal Destouches (Paris, 6 avril 1672 – Paris, 7 février 1744) _ que l’on n’en finit pas de découvrir _ après le « Sémiramis » que vient de diriger Sylvain Sartre, le frère aîné de Théotime Langlois de Swarte, présent, au violon, parmi les musiciens de l’ensemble Jupiter _ cf aussi leur merveilleux CD « The Mad Lover« , dont rendait compte, avec enchantement, mon article du 12 mai 2021 :

Ailleurs les amazones permettent à Lea Desandre, entre France et Italie _ la chanteuse a des ascendances paternelles italiennes, probablement dans le Val d’Aoste ou le Piémont… _, de faire briller son beau soprano virtuose et sensible _ parfaitement ! _ si finement entouré par les soins amoureux des musiciens de Jupiter _ que dirige Thomas Dunford, son compagnon à la ville comme à la scène. La fantaisie rieuse du Non posso far de Provenzale qui ouvre cet album foisonnant _ oui ! _ donne la mesure d’un voyage fabuleux où William Christie s’invite _ plutôt discrètement, à mes oreilles, pour un tel chef d’œuvre !.. _ pour une Passacaille _ bien connue _ de Louis Couperin, Cecilia Bartoli et Véronique Gens la rejoignant pour deux plages

_ de 4′ 57 (c’est sublime ! quelle découverte que ce compositeur napolitain, Giuseppe De Bottis, 1678 – 1753 , auteur de l’opéra Mitilene, regina delle Amazzoni, créé à Naples en 1707 ; d’où sont extraits 3 formidables airs de ce CD…) ;

et de 2′ 40 (pour un très beau duo des Amazones, extrait d’une mascarade donnée à Marly en 1700, œuvre d’Anne Danican Philidor (Paris, 11 avril 1681 – Paris, 8 octobre 1728), le fondateur du Concert spirituel le 17 mars 1725, et fils d’André Danican Philidor (1652 – 1730), dit Philidor l’aîné, bibliothécaire et copiste du roi Louis XIV ; c’est à André Danican Philidor, le père d’Anne, que l’on doit la richesse considérable (!) des fonds musicaux de la Bibliothèque nationale de France et de celle de Versailles : ballets, opéras, musique instrumentale ou religieuse y sont réunis en de très précieux volumes qui présentent notamment la plupart des grands ballets et comédies-ballets de Lully… ; mais ici c’est hélas à tort que la notice du CD attribue au père, André Danican Philidor, une œuvre qui appartient à son fils, Anne, le fondateur, le 17 mars 1725, de cette institution si importante qu’a été le Concert spirituel, à Paris, de 1725 à 1790 ; Anne Danican Philidor est aussi l’auteur de la pastorale héroïque Diane et Endymion (réputée être son chef d’œuvre), en 1698, et de l’opéra Danaé, en 1701 ;

à propos d’André Danican Philidor, dit Philidor l’aîné, cf le CD de La Simphonie du Marais et Hugo Reyne, en 1995 : « Fanfares, fêtes et marches royales« , auquel il se trouve que j’ai un peu participé ;

des 7 Mascarades données à Marly en 1700 par les Danican Philidor : André, dit Philidor l’aîné, le père (1652 – 1730), Anne Danican Philidor (1681 – 1728), son fils, ainsi que  Pierre Danican Philidor (1681 – 1731), son neveu, ce CD de 1995 de La Simphonie du Marais comporte des extraits instrumentaux seulement de la très exotique et pittoresque Mascarade du Roy de la Chine, d’André Danican Philidor, dit Philidor l’aîné, le père…

Et sur la localisation de cette partition de la mascarade des Amazones d’Anne Danican Philidor, donnée à Marly en 1700,

cf cette décisive précision, donnée par un article extrêmement détaillé, et donc très précieux pour les chercheurs un peu curieux, de Laurent Guillo : « La loterie de 1729 : le chant du cygne du copiste André Danican Philidor » :

« Tome 57e.

Les 7 Masquarades faites par ordre du Roy sur les ordres de Mr Bontens et representées [f. 15r] devant Sa Majesté à Marly, mis en musique sçavoir Le Roy de la Chine Par Mr Philidor Le pere, Les Amazones par Anne Philidor. Les Savoyards par Mr Philidor le pere. La Noce de village Mr Philidor le père. Le lendemain de la Noce par Anne Philidor. Les Echets par Pierre Philidor. Le Vaisseau Marchand par Mr Philidor le père. Les paroles sont de Mrs Le Noble et Babron. Ces 7 Masquarades ont esté representées plusieurs fois l’an 1700.

¶ Ce précieux volume, qui contient des unica, est à Berkeley UL : MS-455. Cité par Carl B. Schmidt, en 1992, page 384″…

Et si demain Thomas Dunford nous enregistrait l’intégrale de Marthésie, reine des Amazones ? Oui, décidément, Destouches est grand !

Et quelle est donc _ la question se pose, en effet… _ cette mystérieuse _ et magnifique !!! _ vingt-sixième plage _ en français _ ?

LE DISQUE DU JOUR

Amazone

Airs et parties instrumentales extraits d’opéras de Francesco Provenzale (Lo schiavo di sua moglie), Francesco Cavalli (Ercole amante), Giovanni Buonaventura Viviani (Mitilene), Giuseppe de Bottis (Mitilene), Georg Caspar Schürmann (Die getreue Alceste), Carlo Pallavicino (L’Antiope), André Danican Philidor (Les Amazones), François et Louis Couperin (Passacaille en ut majeur), André Cardinal Destouches (Marthésie, première reine des amazones), Marin Marais, Antonio Vivaldi (Ercole sul Termodonte)

Lea Desandre, mezzo-soprano
Cecilia Bartoli, mezzo-soprano
Véronique Gens, soprano
William Christie, clavecin
Jupiter
Thomas Dunford, direction

Un album du label Erato 0190295065843

Photo à la une : Lea Desandre et Thomas Dunford – Photo : © Julien Benhamou

..,

Et les airs italiens de ce magnifique programme composé autour des Amazones,

notamment celui (de 14′ 32) du napolitain Francesco Provenzale (1624 – 1704), « Non posso far« , qui ouvre en beauté le CD,

n’ont absolument rien à envier à la sublimité des airs tirés d’opéras français d’André-Cardinal Destouches, ou d’André Danican Philidor… 

L’opéra de cet autre extraordinaire _ et jusqu’ici, il faut le reconnaître, complètement méconnu _  napolitain, Giuseppe De Bottis (1678 – 1753), Mitilene, regina delle Amazzoni, créé à Naples en 1707,

est magnifiquement servi ici par deux très beaux airs et un fulgurant duo (de Léa Désandré avec Cecilia Bartoli) : 

_ le stupéfiant duo « lo piango, lo peno« , plage 5 ;
_ l’air « Lieti fiori, erbe odorosi« , plage 21 ;
_ et l’air « Sdegno all’armi, alle vendette« , plage 22.

Giuseppe De Bottis, un compositeur à découvrir, donc ;

de même que sont à explorer vraiment les œuvres vraiment superbes d’André Cardinal Destouches et André Danican Philidor…

Et je tiens à souligner aussi, et tout spécialement, la somptueuse poésie de l’interprétation, à la plage 12 du CD, par Thomas Dunford, au luth, de « L’Amériquaine« , de Marin Marais, extraite de la « Suite d’un goût étranger« … : une plage (de 4′ 57) de pure magie, tout simplement…

Une merveille, aussi : quel luxe !..

Ce dimanche 17 octobre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

…`

Post-scriptum :

les chemins de la vie ont fait qu’il se trouve que j’ai été le professeur de philosophie, en 1979-80, à Bordeaux, de Philippe Désandré, le père de Léa ;

ainsi que le collègue, à Arcachon et à Libourne, deux années scolaires différentes, de Thibault de Swarte, l’oncle maternel des musiciens Théotime Langlois de Swarte et son frère Sylvain Sartre…

De menues nouvelles précisions concernant le cousin Bertrand de Swarte et sa famille…

28juin

Ce jour,

à force de chercher un peu tous azimuts,

j’ai réussi à glaner quelques menues précisions concernant le cousin germain de Thibault et Bertille de Swarte, Bertrand de Swarte _ né à Neuilly-sur-Seine le 21 mars 1956, et marié, à Trélissac, le 6 mars 1988, avec la namuroise Marie-Amélie Mathy, née en 1959 _, le père de Gaël, de Jérémie, de Juliette et de Madeleine de Swarte ;

et beau-père de Camille Sartre, la troisième des enfants _ après Sylvain (né le 28 août 1979) et Alexis Sartre _ de Bertille de Swarte et de son premier époux, Pierre Sartre.

Gaël de Swarte, le père des second (Louise de Swarte) et troisième (Marin de Swarte) enfants de son épouse _ et cousine _ Camille Sartre,

a pour statut professionnel d’être « sorcier chez OTEC« , l’entreprise fondée par son père Bertrand de Swarte à Trélissac, en Dordogne, en 1983 Bertrand de Swarte avait alors 27 ans…

Gaël de Swarte a été étudiant _ en psychologie technique _ à l’université de Toulouse-Le-Mirail de 2001 à 2007 ; et, de 2005 à 2007, aux universités de Montréal et de Concordia, pour un Master de Psychologie technique…

Et j’ignore jusqu’ici les lieux et dates de naissance des deux enfants que Gaël a avec son épouse Camille Sartre : Louise et Marin de Swarte ;

Camille ayant eu un premier enfant, Romane Fizet, de son premier époux, le bordelais Guillaume Fizet (né, lui, le 3 novembre 1975)…

Camille Sartre, quant à elle, a fait des études de biologie à l’université Paul Sabatier – Toulouse III ; puis, à Montréal, de Sciences biologiques en biologie ; avant de travailler à la Croix-Rouge française, à Perpignan, de 2013 à 2015…

Plusieurs des membres de la famille de Sartre ont donc vécu à Montréal

_ par exemple, la seconde fille de Thibault de Swarte, Alice de Swarte (née à Bruges, en Gironde, le 23 février 1987), ainsi que celui qui deviendra son époux (à Nogent-Sur-Seine, dans l’Aube, le 11 mai 2019), Nicolas Prieur… Et Clotilde de Swarte, la troisième des enfants de Thibault de Swarte (née à Rennes, le 8 décembre 1989) a rendu visite à sa sœur à Montréal, peut-être en septembre 2011… 

Si j’ignore le lieu _ peut-être à Trélissac… _ et la date de naissance de Jérémie de Swarte, le second des enfants de Bertrand de Swarte et son épouse Marie-Amélie Mathy,

j’ai découvert que Jérémie de Swarte a épousé, à Trélissac, Jennifer Simon, le 12 août 2017.

Et que Jennifer Simon, son épouse _ bordelaise ? girondine ? _, travaille chez OTEC, l’entreprise de son futur beau-père Bertrand de Swarte, depuis 2012.

Jennifer Simon est passée par les lycées Philadelphe de Gerde, à Pessac, en Gironde _ en 2000 _, puis Gustave Eiffel, à Bordeaux _ de 2000 à 2002. 

La troisième des enfants de Bertrand de Swarte et son épouse Marie-Amélie Mathy, est Juliette de Swarte,

qui a fait des études d’anthropologie-ethnologie à l’université de Toulouse-Le-Mirail, de 2006 à 2010. Puis, elle est passée par l’Ecole Supérieure de Tourisme…

Et, chef de produits à Terres d’Aventure, peut-être est-elle domiciliée auprès de son père, à Trélissac…

Enfin, Madeleine de Swarte, la benjamine des 4 enfants de Bertrand de Swarte et Marie-Amélie Mathy, vit en Nouvelle Aquitaine…

 

À suivre…

Ce lundi 28 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

En continuant de parcourir le très vivant cercle des proches de Bertille de Swarte : deux festives photos de famille sur le perron du château de l’Esparrou…

25juin

Les pages Facebook des membres de la famille de Bertille de Swarte sont très riches,

et ne manquent pas de confirmer la forte proximité affective de celle-ci avec de nombreux membres de sa famille,

tels, par exemple, son frère aîné, Thibault de Swarte _ né à Neuilly-sur-Seine le 3 mars 1955 _

et les filles de celui-ci, Laure , Alice _ née à Bruges, Gironde, le 23 février 1987 _ et Clotilde _ née à Rennes, le 8 décembre 1989  _,

entourées _ les deux aînées : la benjamine est célibataire… _ de leurs maris _ Robert Gentili et Nicolas Prieur _ et enfants

Déjà, sur les pages Facebook de Camille de Swarte,

se trouvent, publiées en dates du 5 décembre 2015 et du 1er juillet 2016,

deux superbes photos de deux réunions festives de famille, sur les marches ensoleillées du château de l’Esparrou, à Canet-en-Roussillon :

_ la première, est de l’année 2015, l’année où eut lieu _ le 25 juillet 2015 _ le mariage de Sylvain Sartre et Marie-Charlotte Fournage, et y figurent 25 personnes ;

_ la seconde _ où semble être présent l’assez discret Hervé Langlois _, date de l’année suivante, 2016, et y figurent 22 personnes :

les familiers des familles de Swarte, Sartre et Langlois reconnaîtront aisément les personnes figurant sur ces deux photos ;

les autres pourront se livrer à quelques conjectures, à partir des couples présents…

À suivre…

Ce vendredi 25 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques repères à propos des activités musicales de Bertille de Swarte…

19juin

Afin de mieux comprendre le terreau de culture musicale _ et tout particulèremenr de musique baroque _ dont ont pu bénéficier les 5 enfants de Bertille de Swarte _ dont j’ai seulement identifié jusqu’ici les années de naissance de l’aîné et du benjamin : Sylvain Sartre est né le 28 août 1979, et Théotime Langlois de Swarte en 1995 ; et j’ignore les dates de naissance d’Alexis et Camille Sartre, ainsi que de Pauline Langlois de Swarte (née début 1994, 18 mois avant son frère cadet Théotime)… _,

je tâche de recueillir quelques données, en particulier chronologiques, concernant les activités musicales de Bertille de Swarte _ dont j’ignore les dates de naissance (entre 1956 et 1961 : son frère aîné Thibault est né le 3 mars 1955, et sa sœur Béatrice, le 29 mars 1962) ainsi que de mariages (avec Pierre Sartre, puis avec Hervé Langlois)…

Ainsi, c’est en janvier 1988 que Bertille de Swarte a créé, à Perpignan _ j’ignore à quel moment elle a quitté les terres d’Aquitaine pour venir s’installer en Roussillon _, l’IRVEM (l’Institut de Recherche Vocale et d’Enseignement Musical Méditerranéen) : une institution qu’elle continue de diriger depuis…

Au mois de mars 1994, à l’abbaye de Caunes-Minervois (Aude),

Bertille de Swarte, mezzo-soprano a participé, ainsi que Hervé Langlois, ténor, à l’enregistrement, en un CD (de 32′) du label L’Empreinte musicale (ED 13031 1994), de La Mécanique de l’Aurore (d’après Hésiode) de Jean Tricot. 

Engagée dans le chœur féminin de la Compagnie musicale catalane, de Josep Cabréun ensemble créé en 1992 _,

Bertille de Swarte a participé aussi à l’enregistrement de 4 CDs de la Compagnie musicale catalane,

avec 3 organistes :

_ Olivier Vernet, pour le CD Ligia Digital, paru le 2 septembre 1996, de la Messe pour les couvents de François Couperin ;

_ Marie-Claire-Alain, pour 2 CDs Erato :

la Messe pour les couvents de François Couperin ;

et le Livre d’Orgue de Nicolas de Grigny, enregistrés du 27 octobre au 1er novembre 1998, à l’église Saint-Pierre de Poitiers ;

_ et Frédéric Munoz, pour le CD XCP Cabezon y su glosaenregistré en l’église de Saint-Guilhem-le-Désert, en novembre 2001 et juin 2002.  

 

 

Ce samedi 19 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Une avancée, mais de peu d’incidences sur la recherche, avec la découverte d’une récente généalogie d’une partie de la famille de Swarte…

18juin

Ce jour,

découverte _ comment avais-je pu passer à côté jusqu’ici ? _ d’une généalogie inaperçue jusqu’alors, réalisée _ en 2020 : le 19 février… _ par Thibault de Swarte


Mais, in fine, trop partielle _ consacrée surtout à la descendance de Thibault _ pour élargir les connaissances que j’espère

concernant ses deux sœurs, Bertille et Béatrice, et son frère Eymeric de Swarte ;

Bertille, bien sûr, principalement :

ses lieux et dates de naissance ; ainsi que de ses deux mariages ;

ainsi que tout ce qui concerne ses 5 enfants : Sylvain, Alexis, Camille Sartre, et Pauline et Théotime Langlois de Swarte ;

et ses petits enfants : Sartre, Fizet et de Swarte _ pour le moment du moins…

Mais rien là-dessus : ce silence serait-il volontaire ? Ou bien exigé ?..

C’est tout de même frustrant.

À suivre…

Ce vendredi 18 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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