Archives du mois de mars 2021

D’autres données des livrets militaires des plus proches parents d’Amédée Ducos du Hauron : son frère Gaston, son beau-père Anatole Rey, l’oncle de son épouse Marie-Louise Rey, Louis Gentet (ainsi que les frères de celui-ci : Frédéric et Laurent-Jacques Gentet, ainsi que son neveu : Eugène-Laurent Gentet), et son gendre Henri Ducros (ainsi que les frères de celui-ci : Edmond et Alphonse-Léon Ducros)…

31mar

Poursuivant mon exploration des livrets militaires d’Algérie sous la IIIe République, juqu’en 1918,

je vais détailler ici quelques apports de connaissance, d’après leurs livrets militaires, concernant les plus proches parents _ masculins, forcément ! _ d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, juillet 1935) ayant passé leur conseil de révision en Algérie :

son frère Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) ;

son beau-père Anatole Rey (Le Grand-Serre, 10 juin 1845 – Oran, 28 janvier 1890) _ époux et veuf d’Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) _ ;

l’oncle (et tuteur) de son épouse Marie Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906) _ ainsi que ses frères Frédéric Gentet (Blida, 28 avril 1846 – ?,?), Laurent-Jacques Gentet (Orléansville, 8 octobre 1857 – ?,?) ; et son neveu Eugène-Laurent Gentet (Alger, 20 septembre 1882 – ?,?) _ ;

son gendre _ époux de sa fille aînée Éveline Ducos du Hauron (?, ? – Alger, décembre 1938) _ Henri Ducros (Alger, 25 juin 1887 – ?,?) _ ainsi que ses frères Edmond Ducros (Alger, 29 octobre 1889 – ?,?) et Alphonse-Léon Ducros (Azazga, 8 juillet 1896 – ?,?).

Du livret militaire d’Étienne-Gaston Ducos du Hauron, le frère cadet d’Amédée,

je retiens surtout que le départ d’Algérie et retour en France de Gaston s’est produit entre les dates du 7 mars 1898, quand Gaston était alors domicilié à Alger, rue de l’Échelle _ qui reliait deux portions de la rue Rovigo ; rue Rovigo, où résidaient ses parents, au n° 68… _, et du 24 avril 1899, où Gaston était maintenant domicilié à Charenton, 31 rue de Saint-Mandé…

Mais aussi qu’à la date du 21 janvier 1897 Gaston est mentionné avoir été domicilié à Orléansville : pour quel événement familial ?  La célébration du mariage de son frère aîné Amédée avec l’orléansvilloise Marie-Louise Rey ? Peut-être : c’est tout à fait possible…

Ou bien encore la naissance ou le baptême, à Orléansville, d’un enfant de son frère : par exemple la fille de celui-ci et son épouse Marie-Louise, Éveline, dont on ignore tout jusqu’ici de ses date et lieu de naissance : assez probablement Orléansville… 

Du livret militaire de Jean-Anatole Rey, feu le beau-père d’Amédée,

je retiens la mention de la date de son déplacement d’Orléansville, où il avait été maire, à Oran, où il fut adjoint au maire : le changement de domiciliation a eu lieu le 29 novembre 1883… 

Des livrets militaires des trois frères Gentet : Frédéric Gentet, Louis Gentet et Laurent-Jacques Gentet ; ainsi que du fils de ce dernier, Eugène-Laurent Gentet,

je n’osais pas, bien sûr, attendre y découvrir enfin l’identité précise de « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter« , qui me permettrait de relier la famille Gentet, via les Wachter et les Confex aux Bonopéra qui aussi m’intéressent, dans le microcosme attachant d’Orléansville entre 1850 et 1940 :

les livrets militaires étant assez étrangement muets sur les mariages contractés, ainsi que les naissances d’enfants, de ceux dont ils s’efforcent pourtant de scrupuleusement mentionner les domiciles successifs : afin d’être à même de les convoquer avec efficacité en cas de mobilisation des réservistes…

Et pour ce qui concerne le livret militaire de Henri-Bavolet Ducrosl’époux d’Eveline Ducos du Hauron et gendre d’Amédée et Marie Louise,

d’abord je découvre ici son second prénom, Bavolet ;

ainsi que ses lieu et date de naissance : le 25 juin 1887, à Alger ;

et surtout je peux confronter ce qui apparaît ici de son parcours professionnel comme administrateur-adjoint de communes mixtes d’Algérie _ le même emploi dans l’administration que celui de son beau-père Amédée ; auquel, d’ailleurs, pour son tout premier poste, en la commune-mixte de Sidi-Aïssa, Henri Ducros prit la succession, le 6 janvier 1913, de son beau-père Amédée Ducos du Hauron _ avec ce que j’avais pu en établir en mon article du mercredi 6 janvier dernier :  

Et j’ai aussi confirmation,

par les livrets militaires d’Edmond Ducros et Alphonse-Léon Ducros,

de la parenté effective de ces trois frères Ducros _ ainsi que de leur sœur Marthe Ducros _,

dont les parents Henri-Joseph Ducros et Philomène Roussel étaient domiciliés à Azazga (commune mixte du Haut-Sebaou)…

Voilà donc pour ce jour…

Ce mercredi 31 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques données que m’apprend la consultation du livret militaire d’Amédée Ducos du Hauron, classe 1889

30mar

C’est un peu par hasard que j’ai eu accès

en l’occurrence, à partir de ma recherche des livrets militaires des membres de la famille Wachter installés en Algérie _ et cela afin d’essayer d’identifier enfin, et « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter« , et « Mme Vve Paul Bonopèra-mère« , née Confex, sœur d’Elisabeth Confex, et par là belle-sœur de l’époux de celle ci : Jean-Baptiste-Antoine Wachter… ; l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 14 mars 1867 – Alger, Juillet 1935), Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), étant la nièce de Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906) et de sa veuve, née Wachter… Tel est le cercle de famille que j’essaie de préciser… _,

au très précieux site des livrets militaires d’Algérie, et cela dès l’installation du régime de la IIIe République, et jusqu’à la victoire de 1918… ;

site que je peux consulter maintenant à ma volonté…

_ les seuls détails qui manquent concernent les épouses et les enfants du soldat ;

alors que ne manquent pas les diverses domiciliations de celui-ci, avant la libération définitive de ses obligations de service… Pouvoir le joindre est une puissante nécessité républicaine…

J’ai donc commencé par rechercher le livret militaire d’Amédée Ducos du Hauron, (classe 1889) le « fondateur » de ce que j’ai nommé la « branche algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron.

Le livret est au nom de « Marie-Louis-Amédée Ducos« , né à Agen le 24 mars 1867 _ « employé de commerce«  (ainsi a-t-il donc débuté sa carrière professionnelle), et résidant à Alger, rue Rovigo, n° 68 : au moment de la première rédaction de ce livret, en 1886 ou 87) _, fils de Jean-Marie-Casimir et Fourcault, Césarine-Marie, domiciliés à Alger, Rovigo 68. 

Les lieux et dates de son parcours qui peuvent compléter un précédent article du 6 janvier dernier : ,

sont les suivants :

_ 24 août 1887 : Alger, rue Rovigo N° 68 _ au domicile des parents Ducos du Hauron, qui vivent alors à Alger _

_ 4 juin 1894 : Alger, Hôtel de préfecture _ probablement Amédée exerce-t-il alors déjà la profession de « rédacteur«  (peut-être stagiaire) à la Préfecture d’Alger… _

_ 18 avril 1895 : Orléansville _ les raisons professionnelles de la résidence à Orléansville d’Amédée sont-elles seulement professionnelles ?.. Amédée est-il déjà marié à cette date avec l’orléansvilloise Marie-Louise Rey ?.. Et quand est née leur fille aînée Eveline … _

_ 18 novembre 1904 : Teniet El Haad _ une commune au flanc sud du massif de l’Ouarsenis _, adjoint-administrateur

_ 8 mai 1907 : administrateur-adjoint de la commune mixte de Teniet El Haad

Je remarque, bien sûr, la mention, sur ce livret militaire, de la présence à Orléansville d’Amédée Ducos du Hauron au mois d’avril 1895 ;

même si cela ne constitue pas encore un indice suffisant du mariage, probablement à Orléansville, et j’ignore en quelle année, d’Amédée Ducos du Hauron avec l’orléansvilloise _ nièce de Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), conseiller municipal de la ville _ Marie-Louise Rey, née en 1879…

À confronter avec les éléments rassemblés en mon précédent article du 6 janvier dernier :  …

À suivre…

Ce mardi 30 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques nouvelles découvertes concernant les enfants d’Emile Wachter et son épouse Hélène Janet, à Orléansville…

29mar

Suite à mes recherches sur la descendance de Sophie Wachter (Rougemont, 29 janvier 1824 – Courbet, 9 mai 1897), la sœur de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?,?),

je suis revenu à mon article du 2 février dernier : ,

afin de poursuivre mes investigations, essayer de compléter ce qui y demeurait d’inconnu, et rectifier des erreurs manifestes…

Ainsi que de dégager quelques noms de descendants de ces familles, dont l’éventuel contact serait susceptible de m’aider à corriger quelques taches aveugles de ces généalogies… 

Et de fait j’ai pu réaliser quelques petites découvertes, au moins à propos des 5 enfants du fils de Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), Emile Wachter (Mustapha, 15 mai 1869 – ?,?) et de l’épouse de celui-ci, Hélène Janet…

D’abord, par mon accès aux livrets militaires de trois membres de la famille Wachter d’entre 1886pour Louis-Jules Wachter (Orléansville, 29 juillet 1866 – ?, ?)

et 1918, pour Émile-Antoine Wachter (Orléansville, 6 janvier 1898 – ?, après 1949),

avec aussi celui d’Henri Wachter (Orléansville, 22 octobre 1895 – ?, après 1939), en 1915,

j’ai eu accès aux dates de naissance dont je ne disposais pas encore :

Henri Wachter est né à Orléansville le 22 octobre 1895 ;

et son frère Émile-Antoine, à Orléansville, aussi, le 6 janvier 1898.

Tous deux étant déclarés les fils d’Émile Wachter (né à Mustapha le 15 mai 1869) et son épouse Hélène Janet.

Quant à Louis-Jules Wachter (Orléansville, 29 juillet 1866 – ?,?), frère aîné d’Émile (Mustapha, 15 mai 1869 – ?,?),

il est bien mentionné être le fils de Jean-Baptiste Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?,?) et Élisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925).

Dont acte.

J’ai aussi appris le prénom de la fillette de Suzanne-Hélène-Émilie Wachter (Orléansville, 29 novembre 1911 – Orange, 3 janvier 2004) _ c’est la plus jeune des 5 enfants d’Emile Wachter et son épouse Hélène Janet _ et son époux _ le 5 juillet 1930 à Orléansville _ Camille Férise  : née à Orléansville le 14 juin 1931 (elle décèdera à Marseille le 2 juin 2006), elle se prénomme Mireille…

Et encore le prénom de l’époux Debono de Michèle-Odile Wachter (Orléansville, 10 juillet 1937 – Amiens-Salouël, 27 mars 2010), la troisième enfant d’Émile-Antoine Wachter et son épouse _ en novembre 1924 à Orléansville _ Juliette-Augustine-Marie Le Léty :

il s’appelle René Debono ;

et ce couple Debono – Wachter résidait à Bonneuil-les-Eaux (Oise)…

À suivre...

Ce lundi 29 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A la recherche de descendants des Molbert de Chaux : les Mosti et les Schembri…

28mar

Faute d’avoir découvert des descendants de Sophie Wachter et son époux François-Martin Molbert,

je me rabats sur la recherche de descendants des frères de François-Martin Molbert,

Jean-Baptiste-Claude Molbert (Chaux, 10 mars 1830 – Kouba, 24 novembre 1904) et Pierre-Richard Molbert (Chaux, 28 avril 1834 – Mustapha, 29 janvier 1878).

Ainsi que j’ai déjà pu le constater, les installations de colons dans la difficile Algérie coloniale se faisait assez souvent par familles…

Et le pionnier des Molbert en Algérie fut très probablement, dès 1848, Jean-Baptiste-Claude Molbert, qui fonda à Kouba sa manufacture de poterie…

À son décès, à l’âge de 74 ans, le 24 novembre 1904 _ et sa veuve née Hélène Placette lui survivant jusqu’au 10 avril 1819 _,

la prospère entreprise manufacture de poteries de Kouba passa entre les mains de son fils aîné, Jean-Baptiste-Claude Molbert (Mustapha, 10 janvier 1860 – Kouba, 7 mai 1826). « Industriel et propriétaire« , celui-ci demeura célibataire.

Et donc, au décès de celui-ci, le 7 mai 1926,

son entreprise de Kouba passa entre les mains du fils aîné de sa sœur, feue Alexandrine-Françoise Molbert (Mustapha, 4 mai 1866 – ?,?), et de l’époux de celle-ci, feu Laurent-Augustin Mosti (Massa, 17 mars 1858 – ?,?) :

Jean-Baptiste Mosti (Mustapha, 3 octobre 1894 – Lyon, 1974).

La fille de celui-ci et de son épouse _ à Kouba, le 7 décembre 1919 _ Blanche Rasetti _ tous deux décédés à Lyon en 1974 _,

Lucette-Jeanne Mosti (Kouba, 5 novembre 1920 – Saint-Laurent-de-Chamousset, 10 septembre 2009),

épouse de Paul Schembri (Tunis, 6 novembre 1924 – Rillieux-la-Pape, 15 juin 2007) _ Non ! L’époux de Lucette-Jeanne Mosti, n’est pas Paul Schembri, mais Joseph-René-Jean Schembri (Alger, 1er mai 1922 – Sidi Moussa, 19 novembre 1958), m’informe, très aimablement, ce samedi 30 octobre 2021, leur fils Jean Schembri :« Tombé par hasard sur vos commentaires, d’abord bravo, et ensuite une petite rectification : mon père ne s’appelle pas Paul, mais Joseph René Jean SCHEMBRI, né à Alger le 1er mai 1922 et décédé à Sidi Moussa le 19 novembre 1958« . Merci beaucoup ! Les bouteilles lancées à la mer, finissent donc par rencontrer parfois de justes destinataires…  _

a eu un fils, Jean Schembri, né en 1944, et qui vit à Lyon,

et s’intéresse au cimetière de Kouba…

Le 17 juin 2020, Jean Schembri, sur un site de concitoyens de Kouba, a rédigé ceci :

« Je suis le petit fils de Jean-Baptiste Mosti, qui possédait la poterie Molbert, 33 av.Poincaré, à droite en montant du Ruisseau vers Kouba. Pouvez vous m’indiquer un contact fiable qui pourrait me renseigner sur l’état réel du cimetière et son devenir ? J’ai lu qu’il avait été désigné comme cimetière de regroupement ; j’ai contacté plusieurs fois le consulat, mais aucune réponse… Mes grands-parents sont décédés en 1974 à Lyon, mais possédaient (possèdent ??) une concession à perpétuité à Kouba. Ma question pourra peut-être vous surprendre, mais comme leur concession « lyonnaise » arrive à échéance, je suis en train de me demander si je pouvais envisager leur transfert à Kouba, à condition, bien sûr, que le cimetière ne soit pas régulièrement saccagé et vandalisé !!« ...

Jean Schembri doit probablement s’intéresser à l’histoire de sa famille :  les Schembri, les Mosti, les Rasetti, les Molbert ; et peut-être aussi les Wachter…

Ce dimanche 28 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A la recherche de la descendance de Sophie Wachter (Rougemont, 1824 – Courbet, 1897) et son époux François-Martin-Molbert (Chaux, 1825 – Mustapha, 1884)

27mar

Dans ma recherche de descendants des familles apparentées à la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron

_ je veux dire la branche issue de l’union entre Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 1933 _,

 

et dans la perspective d’identifier quelque éventuel actuel descendant qui serait susceptible, par sa connaissance singulière de l’histoire de sa famille, de compléter les données généalogiques que j’ai plus ou moins réussi à réunir par mes « pêches » sur Internet à propos des Wachter, originaires de Rougemont-le-Château, en Alsace, installés en Algérie _ surtout à Mustapha _ à partir de 1844, 1848 _ pour Jean-Baptiste-Claude Molbert (Chaux, 10 mars 1830 – Kouba, 24 novembre 1904, le fondateur de la manufacture de poterie de Kouba, en 1848, semble-t-il…

ou plutôt, pour les membres de cette branche, installés en Algérie, à la suite de Jean-Baptiste-Claude Molbert _ installé, lui, à Kouba _, entre le mois d’août 1854 _ soit la naissance à Rougemont de Sophie Wachter (Rougemont, 18 août 1853 – Courbet, 1er février 1938), fille de Sophie Wachter et de François-Martin Molbert, qui ne reconnaîtra officiellement sa fille que je jour de son mariage, à Birmandreis avec la mère de l’enfant, le 4 avril 1857 _ et le mois d’avril 1857 _ où eut lieu à Birmandreis le mariage des parents de la petite Sophie Wachter, qui devient donc ce jour Mademoiselle Sophie Molbert…

il me faut me pencher sur la branche des Wachter-Molbert issue de l’union entre Sophie Wachter (Rougemont, 29 janvier 1824 – Courbet, 9 mai 1897) et son époux François-Martin Molbert (Chaux, 9 décembre 1825 – Mustapha, 22 juin 1884) ;

en me demandant lesquels des 6 enfants de ce couple Wachter-Molbert

soient

Sophie Wachter-Molbert (Rougemont, 18 août 1853 – Courbet, 1er février 1938),

Louise Molbert (Birmandreis, 12 juillet 1858 – ?,?),

Pierre-François Molbert (Mustapha, 17 juin 1860 – ?,?),

Claude-Jacques Molbert (Mustapha, 17 janvier 1862 – Mustapha, 5 mars 1862),

Charles Molbert (Mustapha, 5 janvier 1863 – Alger, 28 octobre 1819)

et Marie-Florine Molbert (?, 1865 – Mustapha, 21 juillet 1880),

respectivement nés en 1853, 1858, 1860, 1862, 1863 et 1865,

a eu une descendance…


Trois d’entre eux ont été mariés :

_ Louise, avec Antoine-Marius Iscariot _ mineur _ ;

_ Pierre-François _ négociant _, avec Joséphine Xuereb ;

_ Charles _ instituteur _, avec Antoinette Nin.

Ni de Louise Molbert, épouse Iscariot,

ni de Pierre-François Molbert, époux de Joséphine Xuereb,

je n’ai trouvé mention de descendance…

En revanche,

Charles Molbert (Mustapha, 5 janvier 1863 – Alger, 28 octobre 1919) et son épouse Antoinette Nin (Hussein Dey, 20 septembre 1864 – Orléansville, 29 janvier 1941), qui se sont mariés à Hussein Dey le 14 février 1885, ont eu un parcours de vie intéressant :

ainsi une école d’Alger porte-t-elle le nom de ce Charles Molbert, à la personnalité marquante d’enseignant…

Mais surtout le couple de Charles Molbert etAntoinetteNin a eu un fils, le docteur Jean (ou Jean-François) Molbert, né à Hussein Dey le 3 décembre 1885 _ j’ignore hélas le lieu (peut-être Orléansville…) et la date de son décès _, brillant médecin diplômé des Hôpitaux de Paris, et qui a longtemps exercé sa profession de médecin (et « médecin des épidémies« ) à Orléansville.


Orléansville où décèdera sa mère, Madame Veuve Charles Molbert, née Antoinette Nin, le 29 janvier 1941.

C’est le 8 août 1912, qu’a eu lieu, à Alger, le mariage du docteur Jean Molbert _ domicilié alors à Mouzaïaville _ avec Melle Nathalie Croze, de Blida.

Mais de 1912 à 1941, les diverses mentions de domiciliation de Jean-François Molbert seront toutes à Orléansville.

Cependant, je n’ai découvert jusqu’ici aucune mention de naissance d’un enfant de Jean-François Molbert et son épouse Nathalie Croze.

J’en déduis, au moins provisoirement, que s’arrête avec le docteur orléansvillois Jean-François Molbert la descendance de Sophie Wachter et François-Martin Molbert.

Ce sont les frères de François-Martin Molbert,

Jean-Baptiste-Claude Molbert (Chaux, 10 mars 1830 – Kouba, 24 novembre 1904) _ et son épouse Hélène Placette (Tarnos, 10 avril 1837 – 10 avril 1919) _

et Pierre-Richard Molbert (Chaux, 28 avril 1834 – Mustapha, 29 janvier 1878) _ et son épouse Jeanne-Florentine Tristant (Lyon, 5 avril 1846 – ?,?) _,

qui ont assuré une descendance à ces Molbert de Chaux,

sinon aux Wachter de Rougemont

_ apparentés aux Wachter et Gentet d’Orléansville, un peu plus tard…

Ce samedi 27 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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