Archives de la catégorie “Non classé”

Essai de répertoire de mentions dans des actes d’état-civil de maisons indiquées par un nom, et pas un numéro, situées en divers quartiers de Ciboure (Pocalette, Bordagain, La Place…), maisons de naissance ou de décès de membres des lignées issues de Gratien Delouart (Ciboure, 1748 – Ciboure, 1798), ou apparentés par mariage aux descendants de celui-ci…

06nov

En forme de complément à mon article d’hier intitulé « « ,

je procède aujourd’hui à une recension des maisons de divers quartiers de Ciboure _ le Quai, la Place, la rue Pocalette, le quartier de Pocalette, Bordagain et Achotarretaen commençant par celles mentionnées par un nom de maison, et pas seulement par un numéro, dans les actes d’état-civil (naissances, décès) des membres de la descendance du cibourien Gratien Delouart (1748 – 1798), et des personnes alliées à ceux-ci par mariage, et qui se trouvent par là des apparentés cibouriens à Maurice Ravel (né à Ciboure le 7 mars 1875) par sa mère la cibourienne Marie Delouart (1840 – 1917)…

Et je commence donc par les maisons les plus notables, celles qui portent un nom _ et pas seulement un numéro _ qui sont situées dans le quartier de Pocalette ainsi que rue Pocalette _ car c’est la majorité d’entre celles-ci : 6 sur un total recensé de 12 maisons mentionnées par un nom portent mention du nom de Pocalette (le quartier ou la rue)… _en procédant par ordre chronologique d’apparition de ces mentions des noms des maisons dans les actes d’état-civil (naissances, décès) des personnes descendant de l’ancêtre commun Gratien Delouart, ou apparentées avec celles-là par mariage.

Voici ce que cela donne :


_ la Maison Bourbouillonbaita, dans le quartier de Pocalette :

numérotée n° 163 pour le décès le 10 mars 1839 de Jacques Billac, âgé de 57 ans (1772 – 1839) _ qui épousa le 14 septembre 1814 à Ciboure Marie Delouart n° 1 (1782 – 1855) _ ;

et n° 118 pour la naissance le 24 mars 1840 de Marie Delouart (1840 – 1917) _ fille de Sabine Delouart (1809 – 1874), et mère de Maurice Ravel (1875 – 1937) _ :

c’est bien, ainsi, en cette maison Bourbouillonbaita du quartier de Pocalette que demeurait la famille de Jacques Billac et son épouse Marie Delouart n°1, dont font partie leur fille Gachucha Billac (1824 – 1902), née à Ciboure le 15 mai 1824, dans la maison n° 118 rue Pocalette, et la sœur aînée de celle-ci, Sabine Delouart (1809 – 1874), née à Ciboure le 11 mars 1809, dans la maison n° 17, quartier de Bordagain, de père inconnu… _ je relève ici au passage que c’est en une maison n° 17 rue Bordagain (s’agit-il, ou pas, de la même maison ? Je me le demande…) qu’est née à Ciboure le 9 octobre 1832 Catherine Larrea (1832 – 1893), la future épouse, à Ciboure le 23 avril 1858, de Jacques Goyenague (1823 – 1886)… _et on sait la proximité qui demeurera leurs vies durant entre les deux sœurs Sabine Delouart (1809 – 1874) et Gachucha Billac (1824 – 1902), ainsi que, pour Gachucha Billac, avec sa nièce Marie Delouart (1840 – 1917), née donc en cette Maison Bourbouillonbaita le 24 mars 1840, et son petit-neveu et filleul Maurice Ravel (1875 – 1937) _ né, lui, le 7 mars 1875 en la Maison San Estebania, au 12 de la rue du Quai

Quant à l’ancêtre Gratien Delouart, né à Ciboure le 1er mai 1748, ion peut relever qu’il est décédé à Ciboure, 21 août 1798, dans son domicile situé quartier du Nord, Maison de Churaenea

Et dans mon article «  » du 14 avril 2019, j’ai relevé que le très précieux  document du recensement de la rue Pocalette en date du 1er janvier 1806, indiquait que la veuve de Gratien Delouart, Sabine Laxague (1745 – 27 février 1845), comptait en son logement de la Maison Moutanearguinenia 8 personnes, dont voici la liste _ source de bien de questions de chronologie familiale quant à ce couple de Jacques Billac et Marie Delouart, et leurs enfants !.. _ des indicationss qui en sont données :

Billac Jacques, 40 ans, marein

Deloirte Marie, épouse, 24 ans

Lasaga Chabadin, tante, 64 ans

Marie, fille, 32 ans,

Marie, fille, 25 ans,

Deloirte Jean, fils, 28 ans,

Chabadin, soeur, 8 ans

Deloirte Marie-Baptiste, fille, 1 an

En cette même Maison Moutanearguinenia résidait aussi la famille de Jean Alsuet, marein, 32 ans, comportant son épouse, Marie Larrea, 35 ans, leurs deux filles Estonta, 2 ans, et Marie, 2 mois, ainsi que leur servante Jeanne Soule, 17 ans.

_ la Maison Pilarbaita, dans le quartier de Pocalette :

numérotée n° 175 pour le décès le 30 septembre 1844 de Marguerite Larrea, âgée de 45 ans (1798 – 1844) _ qui épousa Le 30 avril 1823 à Ciboure Jean Delouart (1788 – 1872) _

de même n° 175 pour la naissance le 20 septembre 1854 de Jean-Baptiste Cerciat _ fils de Bernard Cerciat (1824 – 1867) et son épouse Sabine Delouart (1825 – ?), elle-même fille de Jean Delouart (1788 – 1872) et son épouse Marguerite Larrea (1798 – 1847)  _,

sans numéro pour la naissance le 28 février 1857 de Marie Cerciat _ fille elle aussi de Bernard Cerciat (1824 – 1867) et son épouse Sabine Delouart (1825 – ?) ; et j’ignore le lieu et la date de son décès…  _,

et à nouveau n° 175 le 19 avril 1859 pour la naissance de Jean Cerciat _ fils de lui aussi Bernard Cerciat (1824 – 1867) et son épouse Sabine Delouart (1825 – ?) ; parti s’installer en Nouvelle-Calédonie, où il épousera à Nouméa le 24 juillet 1893 Marie-Eudoxie Alllard (1872 – ?) et en aura au moins 3 enfants Elina, Raymond et André Cerciat, nés respectivement en 1894, 1897 et 1899, et fit carrière dans l’aviation…  _ ;

_ la Maison Petimentenia, dans le quartier de Pocalette :

numérotée n° 153 pour le décès le 20 novembre 1849 de Michel Goyenague, âgé de 59 ans (1790 – 1849) _ qui épousa le 28 février 1821 Marie Delouart n° 3 (1786 – 1872), et père de Simon Goyenague (1821 – 1890), Jacques Goyenague (1823 – 1886) et Marie Goyenague (1827 – après 1898, probablement à Buenos Aires, veuve de Martin Passicot (Urrugne, 1824 – 1898, à Buenos-Aires) _ ;

_ la Maison Miguelenia, dans le quartier de Pocalette :

numérotée n° 183 pour la naissance le 17 mai 1851 de Jean-Martin Passicot _ fils de Marie Goyenague (1827 – après 1898) et son époux Martin Passicot (1824 – 1898) _ ;

_ la Maison Sopitenia, dans le quartier de Pocalette :

numérotée n° 38 pour la naissance le 31 juillet 1862 de Jean-Baptiste Goyenague fils de Jacques Goyenague (1823 – 1886) et son épouse Catherine Larrea (1832 – 1895) ;

voir à propos de cette Maison Sopitenia n°38 au quartier de Pocalette, les questions que je me pose plus bas concernant la Maison Callebaita n° 38 au quartier de Bordagain _

_ et la Maison Etchepare, rue Pocalette :

sans numéro pour le décès le 25 novembre 1888 de Jean-Savin Delouart, âgé de 55 ans (1833 – 1888) _ fils de Jean Delouart (1788 – 1872) et son épouse Marguerite Larrea (1798 – 1844).

Pour les maisons dont le nom est mentionné et situées dans le quartier de la place :

_ la Maison Lamasenia, citée avec le numéro 177, au quartier de la place,

pour le décès le 27 février 1845, à l’âge de 100 ans, de Sabine Laxague (1745 – 1845) _ l’épouse, puis veuve, de Gratien Delouart, et ancêtre des 4 lignées issues de ce couple qui s’est marié à Ciboure le 27 janvier 1778 _,

et citée sans numéro, 

pour le décès le 23 août 1855, à l’âge de 73 ans, de Marie Delouart n° 1 (1782 – 1855) _ la fille aînée de Sabine Laxague (1745 – 1845) et l’arrière-grand-mère maternelle, via sa fille Sabine Delouart (1809 – 1874) et sa petite-fille Marie Delouart (1840 – 1917), de Maurice Ravel, né à Ciboure le 7 mars 1875 ;

Marie Delouart n°1 (1782 – 1855) et sa mère Sabine Laxague (1745 – 1845) ont donc demeuré ensemble en cette Maison Lamacenia, du quartier de la place, après avoir vécu en 1839 et 1840, au moins, aux moments du décès de Jacques Billac (le 10 mars 1839), le mari de Marie Delouart n°1, et de la naissance de Marie Delouart (le 24 mars 1840), la fille de Sabine Delouart (1809 – 1874) et la mère  Maurice Ravel (1875 – 1937), à la Maison Bourbouillonbaita du quartier de Pocalette… 

_ et la Maison Ganichicarrenia n° 139 au quartier de la place :

pour la naissance le 18 août 1854 de Pierre-Paul Goyenague (1854 – 1929) _ fils de Simon Goyenague (1821 – 1890) et son épouse Josèphe Joachine Albistur (Fontarabie 1828 – ?) _ ;

 

Pour les maisons situées rue du Quai :

_ la Maison St Esteven, n°12 rue du Quai,

pour le décès le 22 décembre 1874, à l’âge de 65 ans, de Sabine Delouart (1809 – 1874) _ la grand-mère maternelle de Maurice Ravel _ ;

_ et la Maison Custorrenea, située au n° 6 rue du Quai, mais mentionnée sans son nom,

pour le décès le 6 mars 1929, à l’âge de 74 ans, de Pierre-Paul Goyenague (1854 – 1829) _ celui qui fit fonction de parrain pour le petit Joseph-Maurice Ravel lors de son baptême à l’église Saint-Vincent, le 23 mars 1875.

Pour les maisons situées dans le quartier de Bordagain – Achotarreta :

_ la Maison d’Urdin ? _ ce nom est peu lisible, et donc mal déchiffrable, sur l’acte.. _,

pour la naissance le 18 octobre 1824 de Bernard Cerciat (1824 – 1862) _ l’époux à Ciboure le 12 août 1852 de Sabine Delouart (1825 – ?), et qui décèdera en mer, sur le trois-mâts Suffren le 9 mars 1868 ; Bernard Cerciat se trouve, via son mariage avec Sabine Delouart (1825 – ?), fille de Jean Delouart (1788 – 1872), être devenu le père de la descendance Cerciat de Gratien Delouart (1748 – 1798)… _ ;

_ et la Maison Callebaita, mentionnée chaque fois sans numéro

pour la naissance le 18 juin 1856 de Simon Goyenague (1856 – 1874) _ qui décèdera en cette même maison Callebaita le 14 janvier 1874, à l’âge de 17 ans ; fils de Jacques Goyenague (1823 – 1886) et son épouse Catherine Larrea (1832 – 1895) _,

pour la naissance le 16 avril 1857 de Marie Goyenague (1857 – 1861) _ qui décèdera en cette même maison Callebaita le 18 décembre 1861, à l’âge de 4 ans ; fille de Jacques Goyenague (1823 – 1886) et son épouse Catherine Larrea (1832 – 1895) _,

pour le décès le 18 décembre 1861 de Marie Goyenague, âgée de 4 ans (1857 – 1861),

pour le décès le 14 janvier 1874, à l’âge de 17 ans, de Simon Goyenague (1856 – 1874) _ mais je note qu’à cette date le nom de cette partie du quartier de Bordagain est devenu désormais Achotarreta _,

pour le décès le 22 novembre 1886 de Jacques Goyenague, âgé de 63 ans (1823 – 1886) _ le père de cette branche cadette des Goyenague de Ciboure _,

et pour le décès le 8 novembre 1895 de Catherine Larréa, âgée de 73 ans (1832 – 1895) _ Jacques Goyenague et Catherine Larréa s’étaient mariés à Ciboure le 23 avril 1856 ; et la maison Callebaita (de Bordagain – Achotareta) fut ainsi à partir de 1856 leur domicile familial, où sont nés au moins les deux premiers de leurs 7 enfants :

Simon Goyenague (Ciboure le 18 juin 1856, maison Callebaita, 38, à Bordagain), et qui décèdera à Ciboure le 14 janvier 1874, au quartier Chotarreta, maison Calebaita),

et puis Marie Goyenague (Ciboure le 16 avril 1857, maison Calebayta, n° 38, au quartier de Bordagain), et qui décèdera à Ciboure le 18 décembre 1861, maison Calebayta, n° 38, au quartier de Bordagain) ;

pour leurs 5 enfants suivants, Jean-Baptiste (1862 – ?), Nicolasse (1864 – 1945), Gracieuse (1866 – 1950), Josèphe (1868 – ?) et Alexandrine (1872 – 1872),

j’ai relevé que le domicile de leur naissance est mentionné autrement et ne porte plus cette mention de Maison Callebaita , mais comporte toujours bien la même mention d’un n° 38 :

Jean-Baptiste Goyenague (Ciboure le 31 juillet 1862, maison Sopitenia n° 38 au quartier de Pocalette) : qu’en conclure ?.. ;

Nicolasse Goyenague (Ciboure le 11 juillet 1864, maison n° 38 à Bordagain) ;

Gracieuse Goyenague (Ciboure le 14 juillet 1866, au quartier Bordagain, n° 38) ;

Josèphe Goyenague (Ciboure le 12 juin 1868, au quartier de Bordagain, 38) ;

Alexandrine Goyenague (Ciboure le 5 juin 1872, au quartier de Bordagain, 38 ; elle est décédée à Ciboure le 19 juillet 1872 au quartier de Bordagain, 38).. 

Voilà, pour commencer ce passage en revue par ces maisons dont les noms, et pas forcément les numéros, sont mentionnés dans les actes d’état-civil des cousins cibouriens de Maurice Ravel, issus, comme lui, de Gratien Delouart (Ciboure, 1748 – Ciboure, 1798).

À suivre…

Ce mercredi 6 novembre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et pour continuer avec l’excellent legs discographique Wolfgang Sawallisch, le coffret « Complete Opera Recordings »…

29oct

La parution avant-hier 27 octobre, sur son site Discophilia, de l’article « Le maître du théâtre » que Jean-Charles Hoffelé consacre à un troisième coffret _ de 32 CDs Warner Classics : 5054197949463 _ du legs discographique de l’excellent Wolfgang Sawallisch « Wolfgang Sawallisch – The Warner Classics Edition – Complete Opera Recordings« ,

me donne l’occasion de saluer bien bas, une nouvelle fois, l’honnêteté profonde et constante de ce très grand probe chef d’orchestre, en rien m’as-tu vu, et toujours au seul vrai service de la musique…

Voici donc cet article du toujours excellemment avisé et ultra-compétent Jean-Charles Hoffelé,

une fois de plus d’excellent conseil… :

LE MAÎTRE DU THÉÂTRE

Toutes les gravures lyriques engrangées par Wolfgang Sawallisch pour EMI ? Certains s’étonneront de ne pas trouver Arabella, repris par Orfeo, et Friedenstag, demeuré propriété de la Radio Bavaroise, elles manquent _ en effet _ à cet ensemble commencé et bouclé chez Richard Strauss.

Walter Legge, voulant graver la première version discographique de Capriccio afin d’y fixer le fascinant portrait de Madeleine selon son épouse, se doutait-il que Sawallisch en serait à ce point le Pygmalion ? Certes, le cast _ déjà _ est resté inégalé, mais _ mieux encore _ l’élégance de la direction, la finesse de l’orchestre qui se glisse dans l’esprit de conversation, la fluidité de l’ensemble et son brio teinté de nostalgie demeurent _ en effet _ irremplaçables. Ne manque à la scène finale que le cor de Dennis Brain, disparu peu avant les sessions dans l’accident de la route que l’on sait.

Vif argent, Intermezzo, l’autre perle _ straussienne _ avec Arabella de ces années munichoises, surprend toujours par ses subtilités, son piquant, la virtuosité de sa comédie emportée par une étourdissante Lucia Popp _ magnifique _ dont la Christine n’aura pour vraie rivale qu’Elisabeth Söderström, mais en anglais ! Plus tard suivront Die Frau ohne Schatten, fantasque, mystique, irrésistible, très sombre, et une Elektra incandescente qu’il faut réévaluer (les grandes orgues de Marton qui se rappelle de Nilsson, la Klytämnestra vampirique de Marjana Lipovšek ! _ autre grès grande ! _), Sawallisch faisant dans l’une et l’autre jeu égal, mais si différent, avec Karl Böhm. Avantage majeur, pas une coupure dans la Frau, pas une même dans Elektra donnée si souvent avec pléthore de minuscules coups de ciseaux.

Le grand voyage Wagner souffre parfois de bémols vocaux surtout au long d’un Ring qui est d’abord œuvre d’équipe, et comme tel plausible, culminant dans un Götterdämmerung épique, mais la Brünnhilde d’Hildegard Behrens, la Sieglinde de Julia Varady, le Hundingde Kurt Moll, le Hagen des Matti Salminen, le Mime d’Helmut Pampuch comment les ignorer ? Leste, argenté, fabuleusement spirituel, Die Meistersinger von Nürnberg reste un bijou dont la direction sur les pointes inspire à Bernd Weikl sa meilleure composition, Hans Sachs inattendu mais diablement convaincant, et les trognes des maîtres, l’élégance mutine de l’Elisabeth de Studer, que de plaisirs, où une fois encore l’axiome de la troupe _ voilà… _ se vérifie.

Le doublé Orff rappelle que le jeune Sawallisch fut adoubé par le compositeur, les deux petits opéras de Schubert et de Weber (trio imbattable pour Abu Hassan, Moser, Gedda, Moll !) documentent sa curiosité, mais si vous ne savez rien de cette somme, commencez par la Zauberflöte de Munich et sa terrible Reine de la Nuit. Si Edda Moser _ encore une immense ! _ ne vous fait pas trembler…

LE DISQUE DU JOUR

Wolfgang Sawallisch
The Warner Classics Edition Complete Opera Recordings

CDs 1-2


Wolfgang Amadeus Mozart(1756-1791)
Die Zauberflöte, KV 620

CD 3


Carl Maria von Weber (1786-1826)


Abu Hassan, J. 106

CD 4


Franz Schubert (1797-1828)


Die Zwillingsbrüder, D. 647

CDs 5-6


Richard Wagner (1813-1883)


Das Rheingold, WWV 86A

CDs 7-9


Richard Wagner (1813-1883)


Die Walküre, WWV 86B

CDs 10-12


Richard Wagner (1813-1883)


Siegfried, WWV 86C

CDs 13-16


Richard Wagner (1813-1883)


Götterdämmerung, WWV 86D

CDs 17-20


Richard Wagner (1813-1883)


Die Meistersinger von Nürnberg, WWV 96

CDs 21-22


Richard Strauss (1864-1949)


Capriccio, Op. 85, TrV 279

CDs 23-24


Richard Strauss (1864-1949)


Intermezzo, Op. 72, TrV 246

CDs 25-27


Richard Strauss (1864-1949)


Die Frau ohne Schatten, Op. 65, TrV 234

CDs 28-29


Richard Strauss (1864-1949)


Elektra, Op. 58, TrV 223

CDs 30-31


Carl Orff (1895-1982)


Die Kluge
Der Mond

Philharmonia Orchestra
Orchester der Bayerischen Staatsoper
Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks
Bayerisches Staatsorchester
Wolfgang Sawallisch, direction

..;

.

Un coffret de 31 CD du label Warner Classics 5054197949463

Photo à la une : le chef d’orchestre Wolfgang Sawallisch – Photo : © DR

Un vrai régal d’opéras…

Ce mardi 29 octobre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

A la recherche des documents d’état civil (naissances, mariages, décès) de la lignée Delouart, de Ciboure, dont sont issus Marie-Delouart (Ciboure, 1840 – Paris, 1917) et son fils Maurice Ravel (Ciboure, 1875 – Paris, 1937), et trois autres lignées collatérales de cousins, à Ciboure et Saint-Jean-de-Luz…

27oct

Àfin de donner accès aux documents d’état civil (naissances, mariages, décès) des divers membres de la lignée Delouart de Ciboure dont sont issus les natifs de Ciboure Maurice Ravel (Ciboure, 7 mars 1875 – Paris, 28 décembre 1937) et sa mère Marie-Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917) _ et par eux aux importantes données socio-gégraphico-historiques qu’ils comportent _, mais aussi et surtout les trois autres lignées collatérales de cousins issus de Delouart, à Ciboure et Saint-Jean-de-Luz, moins remarquées jusqu’ici,

je reprends mon article du 4 octobre 2020 «  » en lequel j’avais entamé partiellement ce travail d’accès aux actes d’état-civil, que je vais systématiquement compléter maintenant en donnant accès à ces liens aux archives d’état-civil disponibles, principalement à Ciboure, mais aussi à Saint-Jean-de-Luz, concernant les divers membres de la descendance du couple formé, au troisième quart du XVIIIème siècle, des ancêtres Gratien Delouart et son épouse Sabine Laxague, qui se sont mariés à Ciboure le 28 janvier 1778 ;

 

et cela _ en remontant aussi à quelques uns des ascendants immédiats de Gratien Delouart et Sabine Laxague : Delouart, Mourguy, Laxague, Doyambehere, Sallaberrymême si les archives du XVIIIe siècle conservées et consultables à la mairie de Ciboure, sont le plus souvent assez difficilement déchiffrables, même pour des chercheurs passionnés et patients, tel le très scrupuleux Jean-Noël Darrobers, celui qui jusqu’ici a fouillé le meux et le plus loin … _, à partir de ce couple fondateur de Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, 21 août 1798) et son épouse, mariés le 28 janvier 1778 à Ciboure, Sabine Laxague (Ciboure, possiblement 1745 _ plutôt que le 24 novembre 1752, comme je l’avais d’abord indiqué _Ciboure, 27 février 1845),

Gratien Delouart et Marie Laxague qui sont les parents de la fratrie _ avec descendance _ constituée de :

_ Marie-Baptiste Delouart n°1 (Ciboure, 29 juin 1782Ciboure, 23 août 1855),

_ Marie-Baptiste Delouart n°2 (Ciboure, 17 juin 1784Saint-Jean-de-Luz, 3 janvier 1842),

_ Marie Delouart n°3 (Ciboure, 6 août 1786Ciboure, 15 décembre 1872)

_ et leur frère Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 24 septembre 1872) ;

dont descendent

_ la lignée Delouart de l’aînée Marie-Baptiste Delouart n°1 (Ciboure, 29 juin 1782Ciboure, 23 août 1855), d’où est issue _ via sa fille, née de père incounu, Sabine Delouart (Ciboure, 11 mars 1809Ciboure, 22 décembre 1874) _, sa petite-fille _ née elle aussi de père inconnu : d’où la transmission, uniquement féminine, jusqu’à la future mère de Maurice Ravel de ce patronyme de Delouart hérité de Gratien Delouart (1748 – 1798)… _ Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917), puis son arrière-petit-fils Maurice Ravel (Ciboure, 7 mars 1875, Paris, 28 décembre 1937),

ainsi que les 3 autres lignées de collatéraux de Marie Delouart (1840 – 1917) issues, après Gratien Delouart (1748 – 1798),

_ 1) de la lignée  luzienne _ inaperçue de Jean-Noël Darrobers en ses articles « Marins et corsaires. Les ancêtres cibouriens de Maurice Ravel« , paru en 1987 dans le n° 22 de la revue Ekaina. Revue d’Études Basques [Saint-Jean-de-Luz], aux pages 78 à 94, et « Les ancêtres maternels de Maurice Ravel«  paru en 1997 dans le n°4 des Cahiers de l’I.R.H.M.E.S. Mélanges savoisiens de l’Opera Seria à Maurice Ravel [Genève, Éditions Slatkine], aux pages 139 à 159 : et, à sa suite, Étienne Rousseau-Plotto en son « Ravel – portraits basques« , paru en 2004, puis 2016… _ descendant de Marie-Baptiste Delouart n°2 (Ciboure, 17 juin 1784 Saint-Jean-de-Luz, 3 janvier 1842) et son époux, à Saint-Jean-de-Luz, le 17 août 1814 , Jean Curuchet, dit Jean Etcheverry (Ciboure, 6 août 1786 _ C’est dans un document (daté du 18 novembre 1842) d’attribution à sa veuve d’une pension (pour ses services de quartier maître de manœuvre, à 36 francs), que j’ai découvert la date de naissance (le 6 août 1786, à Ciboure) de ce Jean (fils de Gana Curutchet), dit Jean Etcheverry… En remarquant, au passage, que cette Marie Delouart (n°2), veuve, venait elle aussi de décéder le 3 janvier 1842 à Saint-Jean-de-Luz, rue Neuve n°30, à l’âge de 57 ans… _ – disparu en mer au large d’Hendaye dans la nuit du 14 au 15 novembre 1841) ;

_ 2) de la lignée cibourienne descendant de Marie Delouart n°3 (Ciboure, 6 août 1786Ciboure, 15 décembre 1872) et son époux, à Ciboure le 28 février 1821, Michel Goyenague (Ciboure 11 janvier 1790Ciboure, 20 novembre 1849) ;

_ et 3) de la lignée cibourienne descendant de Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 Ciboure, 23 septembre 1872) _ sa date de naissance, le 27 aoùt 1788, est mentionnée dans l’acte de son mariage, le 30 avril 1823… _ et son épouse, à Ciboure le 30 avril 1823, Marguerite Larrea (Ciboure, 18 décembre 1798Ciboure, 30 novembre 1844)…

Voici donc cet article en date du 4 octobre 2029, que je complète en donnant le plus systématiquement possible des liens aux divers actes d’état-civil de chacun des membres de ces 4 lignées descendant de Gratien Delouat et son épouse Sabine Laxague :

Les parents cibouro-luziens de Marie Delouart-Ravel contemporains de la naissance de Maurice Ravel, le 7 mars 1875, à Ciboure : un provisoire panorama sur une très méconnue généalogie familiale…

— Ecrit le dimanche 4 octobre 2020 dans la rubriqueHistoire, Musiques”.

Je désire faire ici un panorama récapitulatif le plus complet possible, en dépit de ce qu’il me reste encore à trouver en allant examiner méthodiquement, sur place, les précieux livres d’archives d’état-civil conservés à la mairie de Ciboure, des parents collatéraux effectifs (c’est-à-dire des cousins vivants à la date du 7 mars 1875de la mère de Maurice Ravel, Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917), par xemple au moment de la naissance de son fils aîné Maurice Ravel, le 7 mars 1875, à Ciboure, au rez-de-chaussée de la maison San Estebenia _ dénommée « Maison Maurice Ravel » depuis les magnifiques cérémonies organisées par Charles Mapou à Ciboure, en 1925, pour honorer le 50ème anniversaire de la naissance, là, à Ciboure, de Maurice Ravel, sur le quai dénommé depuis ce même jour-là « Quai Maurice Ravel«  _ ;et suite au décès de sa mère, Sabine Delouart (Ciboure, 11 mars 1809Ciboure, 22 décembre 1874).

À cette date du 7 mars 1875, la plus proche parente alors en vie de Marie Delouart (1840-1917) est sa tante Gachucha Billac (Ciboure, 15 mai 1824 – Saint-Jean-de-Luz, 17 décembre 1902), la demi-sœur de sa mère Sabine Delouart (1809-1874) qui vient de décéder en la maison San Estebenia, à Ciboure, le 22 décembre 1874 ; et que Marie Delouart (1840-1917), bien que pas spécialement croyante, choisit pour être la marraine de son bébé Joseph-Maurice Ravel, à l’église Saint-Vincent de Ciboure, le 13 mars 1875 ; à moins qu’il ne se soit agi là d’une initiative de Gachucha Billac et leur cousin Simon Goyenague (Ciboure, 29 novembre 1821Ciboure, 18 avril 1890), qui ont été la marraine et le parrain du petit Joseph-Maurice, âgé de 6 jours…
Gachucha Billac (1824-1902) _ fille de Jacques Billac (Ciboure, 5 septembre 1772 – Ciboure, 10 mars 1839) et de Marie Delouart n°1 (Ciboure, 29 juin 1782Ciboure, 23 août 1855), qui se sont mariés à Ciboure le 14 septembre 1814 ; cf mon article du 30 septembre 2019 « «  ; un article qui comporte aussi l’acte officiel de pension de sa retraite de marin de Jacques Billac, quartier-maître de manœuvre à 36 francs ; ainsi que l’acte de pension de reversion de sa veuve, Marie Delouart… _ ; Gachucha Billac, donc, a eu un fils, Romain Billac, né à Ciboure le 9 août 1844, lui aussi de père inconnu ; mais Romain Billac, charpentier, est prématurément décédé à Ciboure le 2 décembre 1862, à l’âge de 18 ans, et sans descendance _ à propos de Gachucha Billac, cf aussi mes articles des 15 et 24 juillet 2019 : «  » et « « 
Et celui qui tient lieu de parrain à Maurice Ravel, en l’absence à Ciboure du parrain du bébé, sur les fonts baptismaux ce 13 mars 1875, est Simon Goyenague (Ciboure, 29 novembre 1821 – Ciboure, 18 avril 1890), cousin germain de la défunte Sabine Delouart (1809-1874) et de sa demi-sœur Gachucha Billac (1824 – 1902) :
la mère de Simon Goyenague, Marie Delouart 3 (Ciboure, 6 août 1786Ciboure, 15 décembre 1872 ; épouse à Ciboure le 28 février 1821 de Michel Goyenague (Ciboure 11 janvier 1790Ciboure, 20 novembre 1849), étant la seconde sœur de son aînée Marie-Baptiste Delouart (Ciboure, 29 juin 1782Ciboure, 28 août 1855), laquelle, elle, est la mère de Sabine Delouart (1809-1874), ainsi que de Gachucha Billac (1824-1902) ; ainsi que la grand-mère de Marie Delouart (1840-1917), et l’arrière-grand-mère de Maurice Ravel, qui est né à Ciboure le 7 mars 1875.
La mère de Maurice Ravel, Marie Delouart (1840-1917), avait bien eu un frère aîné, Pierre Casabon, né à Ciboure en 1838 ; mais jusqu’ici j’ignore quasiment tout de son existence ; et d’une éventuelle descendance sienne…
Et à nul moment le nom de celui-ci n’apparaît, non plus, dans la Correspondance de Maurice Ravel rassemblée par Manuel Cornejo.
Seconde fille (Saint-Jean-de-Luz, 20 novembre 1824 – Saint-Jean-de-Luz, 30 novembre 1900) de la sœur suivante de la Marie-Baptiste Delouart n°1 (1782-1855), et qui portait le même nom de Marie-Baptiste Delouart _ d’où ont procédé pas mal de confusions… _, c’est-à-dire de Marie-Baptiste Delouart n°2 (Ciboure, 17 juin 1784Saint-Jean-de-Luz, 3 janvier 1842), et du mari de celle-ci (le mariage eut lieu à Saint-Jean-de-Luz le 17 août 2014), Jean Curutchet, dit Jean Etcheverry (Ciboure, 6 août 1786 – disparu en mer, au large d’Hendaye, la nuit du 14 au 15 novembre 1841), je remarque qu’est toujours vivante à cette date du 7 mars 1875 la cousine germaine luzienne de Sabine Delouart (1809-1874) qui vient juste de décéder à Ciboure le 22 décembre 1874, Marie Etcheverry n°2, veuve Dargaignaratz (Saint-Jean-de-Luz, 20 novembre 1824Saint-Jean-de-Luz, 30 novembre 1900).
La sœur aînée de celle-ci, Marie Etcheverry n°1 (Saint-Jean-de-Luz, 21 juin 1817Saint-Jean-de-Luz, 27 décembre 1850 ; et épouse, à Saint-Jean-de-Luz le 10 novembre 1846, de Jean-Baptiste Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 18 avril 1816Saint-Jean-de-Luz, 24 septembre 1859)), étant alors déjà prématurément décédée des suites des couches de son second fils, Jean-Charles Hiriart, né une semaine plus tôt, à Saint-Jean-de-Luz, le 20 décembre 1850 :
cette Marie Etcheverry n°2 (1824 –1900) avait épousé à Saint-Jean-de-Luz le 27 août 1851 Louis-Bernard Dargaignaratz (Saint-Jean-de-Luz, 18 juin 1815 – Le Havre, 29 novembre 1862).
Et de ce couple Bernard Dargaignaratz (1815 – 1862) – Marie Etcheverry n°2 (1824-1900), à cette date du 7 mars 1875, vivent deux filles Dargaignaratz :
et Marie-Clotilde Dargaignaratz (Saint-Jean-de-Luz, 6 mars 1860 – Urrugne, 26 février 1943), qui épousera à Urrugne le 22 novembre 1905 Martin Zozaya (Urrugne, 1er août 1858 – Urrugne, 5 avril 1932).
Issus de la luzienne Marie Etcheverry n°1 (1817-1850) et de son mari luzien lui aussi Jean-Baptiste Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 10 avril 1816Saint-Jean-de-Luz, 24 septembre 1859), à cette date du 7 mars 1875 vivent deux fils Hiriart, luziens :
Dominique Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 28 janvier 1849 – Saint-Jean-de-Luz, 20 décembre 1926, qui épouse à Saint-Jean-de-Luz le 3 juin 1874 Marie Dimatz (Saint-Jean-de-Luz, 28 octobre 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 9 juillet 1932)) et Jean-Charles Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 20 décembre 1850 – décédé en Uruguay, ?), qui épousera bientôt à Saint-Jean-de-Luz le 30 mai 1877 Marie Arramendy (Saint-Jean-de-Luz, 18 décembre 1858 – décédée en Uruguay ?) : leur descendance qui vit toujours en Uruguay a donné de ses nouvelles à leurs cousins de Saint-Jean-de-Luz…
 …
Issus de la troisième sœur Delouart, la cibourienne Marie Delouart n°3 (Ciboure, 6 août 1886Ciboure 15 décembre 1872) et de son mari le cibourien Michel Goyenague (Ciboure, 11 janvier 1790Ciboure, 20 novembre 1849), à cette date du 7 mars 1875 vivent, outre le fils aîné, et tenant lieu de parrain à Maurice Ravel le 13 mars 1875, le cibourien Simon Goyenague (Ciboure, 29 novembre 1821Ciboure, 18 avril 1890), époux, à Ciboure, le 15 novembre 1853, de Josèphe Joachine Albistur (Fontarabie, 4 février 1828 – ?), et son fils Pierre Paul Goyenague (Ciboure, 19 août 1854 – Ciboure, 6 mars 1929), qui épousera, à Ciboure, le 20 août 1890, sa cousine germaine Nicolasse Goyenague (1864-1945), fille de son frère Jacques Goyenague (Ciboure, 16 octobre 1823 – Ciboure, 22 novembre 1886) et son épouse Catherine Larrea (Ciboure, 9 octobre 1832Ciboure, 9 décembre 1895) ; ainsi que plusieurs autres enfants encore de ce couple Goyenague-Albistur ;
Jacques Goyenague (Ciboure, 16 octobre 1823Ciboure, 22 novembre 1886), qui épouse à Ciboure le 23 avril 1856 la cibourienne Catherine Larrea (Ciboure, 9 octobre 1832 – Ciboure, 8 novembre 1895) ; Jacques Goyenague (1823-1886) et son épouse Catherine Larrea (1832-1895) auront au moins cinq enfants :
Simon Goyenague (Ciboure, 18 juin 1856Ciboure, 14 janvier 1874) ; Marie Goyenague (Ciboure, 16 avril 1857Ciboure, 18 décembre 1861) ; Jean-Baptiste Goyenague (Ciboure, 31 juillet 1862?) ; Nicolasse Goyenague (Ciboure, 11 juillet 1864 – Ciboure, 1er juin 1945) ; qui épousera, à Ciboure, le 20 août 1890, son cousin germain Pierre-Paul Goyenague (1854- 1929) ; Gracieuse Goyenague (Ciboure, 14 juillet 1866 – Ciboure, 16 août 1950) ; Josèphe Goyenague (Ciboure, 12 juin 1868? ) ; Alexandrine Goyenague (Ciboure, 5 juin 1872 – Ciboure, 19 juillet 1872).
Marie Goyenague (Ciboure, 28 juillet 1827 – décédée à Buenos Aires, après 1898), qui épouse à Ciboure le 17 juillet 1850 l’urrugnard Martin Passicot (Urrugne, 24 octobre 1824 – Buenos Aires, 22 octobre 1888) ; ils auront au moins 11 enfants Passicot…
et Bertrand Goyenague (Ciboure, 6 mars 1832 – ?).
De Marie Goyenague (1827-après 1898) et Martin Passicot (1824-1888), seul l’aîné de leurs 11 enfants, Jean-Martin Passicot (Ciboure 17 mai 1851 – Buenos Aires, après 1895) est né en France, à Ciboure.
Les 10 autres enfants Passicot sont nés en Argentine ; les 7 suivants (Juan Tomas Gabriel, le 30 mars 1855 ; Marcelina, le 5 juin 1856 ; Pascuala, le 27 juin 1858 ; Pedro, le 21 avril 1860 ; Catalina, le 9 juillet 1861 ; Pedro, le 19 novembre 1863 et Bernarda Mariana le 20 novembre 1865) à Buenos Aires ; et enfin les 3 derniers (Maria-Luisa, le 26 juin 1867 ; Juan Maria, le 26 novembre 1869 et Francisco, le 15 juin 1873) à Las Lomas de Zamora.
Marie Goyenague, son époux Martin Passicot et leur fils aîné Jean-Martin, avaient embarqués pour l’Argentine au port de Pasajes en 1851.
Enfin, du frère cadet des 3 Marie (ou Marie-Baptiste) Delouart (n°1 : 1782-1855 ; n°2 : 1784-1842 ; n° 3 : 1786-1872), Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 Ciboure, 23 septembre 1872) ; et son épouse, à Ciboure le 30 avril 1823, la cibourienne Marguerite Larrea (Ciboure, 18 décembre 1798Ciboure, 30 septembre 1844), à cette date qui nous intéresse du 7 mars 1875, vivent au moins 3 enfants Delouart issus de ce couple :
l’aînée, Sabine Delouart (Ciboure, 24 juin 1825?), épouse, à Ciboure le 12 août 1852 de Bernard Cerciat (Ciboure, 18 octobre 1824décédé sur mer, le 9 mars 1868) ; ils auront au moins 4 enfants Cerciat :
Jean-Baptiste Cerciat (Ciboure, 20 septembre 1854 – Ciboure, 26 novembre 1914 ; qui épousera à Guéthary le 4 juillet 1877 Marie Doyhenart (1853 – après 1923) ; et ce couple aura au moins 4 enfants Cerciat, dont :
Marianne Cerciat (Ciboure, 3 mars 1890 – Ciboure, 13 avril 1950) ; Jean-Vincent Cerciat (Ciboure, 15 décembre 1894Ciboure, 28 avril 1961) ; qui épousera à Ciboure le 6 avril 1921 Marianne Ochoteco (Saint-Pée-sur-Nivelle, 28 septembre 1899 – Ciboure, après 1961) ; et qui auront pour fille Mercedes Cerciat (Ciboure, 18 septembre 1921 – Ciboure, 9 mars 2012) ; et Marie-Louise Cerciat (Ciboure, 12 avril 1900 – Saint-Jean-de-Luz, 15 avril 1975) ; qui épouse à Ciboure le 27 février 1923 Adolphe Philippe Sagarzazu (Fontarabie, 5 mai 1900 – Ciboure, 1er janvier 1961  ; et qui auront 3 enfants : Marie-Jeanne Sagarzazu, elle-même mère de Marcel René Sagarzazu ; Jean-Baptiste Sagarzazu et Anita Sagarzazu)) ;
Marie Cerciat (Ciboure, 28 février 1857?) ;
Jean Cerciat (Ciboure, 19 avril 1859 – Nouméa, ?) ; qui épousera à Nouméa le 24 juillet 1893, Marie-Eudoxie Allard (12 septembre 1872 – ?) ; le couple aura au moins 3 enfants Cerciat :
Elisa Cerciat (Nouméa, 30 juillet 1894 – ?) ; Raymond Cerciat (Nouméa, 27 janvier 1897 – ?) ; André Cerciat (Nouméa, 3 avril 1899 – ?) ;
et Jeanne Cerciat (Ciboure, 20 février 1864Saint-Jean-de-Luz, 23 septembre 1947) ; qui épousera à Ciboure le 8 septembre 1908 Mateo Acin.
La seconde des trois enfants de Jean Delouart et son épouse Marguerite Larrea, est Marie Delouart (Ciboure, 30 juin 1827 – Ciboure, 17 mars 1917 ; qui épouse à Ciboure le 21 décembre 1853 Guilhen Etchepare (Ciboure, 8 juillet 1826Ciboure, 22 mai 1872) ; j’ignore s’ils ont eu ou pas des enfants ;
et enfin le troisième est Jean Delouart (Ciboure, 3 juin 1833Ciboure, 25 novembre 1888 ; qui épouse à Ciboure le 13 novembre 1861 Dominique Etchepare (Ciboure, 12 décembre 1828Ciboure, 15 avril 1897) ; le couple aura au moins 2 enfants Delouart :
Etiennette Delouart (Ciboure, 4 mai 1866Ciboure, 8 novembre 1870) ;
et Sabine Delouart (Ciboure, 26 avril 1868 – Ciboure, 25 février 1952).
Il faut ajouter aussi, et peut-être surtout, les descendants luziens de la Marie Etcheverry n°1 (1817-1850) et son époux Jean-Baptiste Hiriart (1816-1859),  soient les deux frères Hiriart :
Dominique Hiriart (1849-1926 ; époux de Marie Dimatz (1844-1932)) ;
et Jean-Charles Hiriart (1850- ? ; époux de Marie Arramendy 1858- ?).
Ce dernier couple a quitté la France pour l’Uruguay suite à de mauvaises affaires de Jean-Charles Hiriart, maître bottier.
Mais Dominique Hiriart et son épouse Marie Dimatz eurent, en 1875 et 1877, deux filles Hiriart :
Magdeleine Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 11 mars 1875Saint-Jean-de-Luz, 19 juin 1968) ; qui épousa à Saint-Jean-de-Luz le 28 septembre 1901 Charles Gaudin (Saint-Jean-de Luz, 19 novembre 1875 – Bimbo, 13 septembre 1910) le fils aîné d’Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 17 novembre 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1920) et Annette Bibal (Saint-Jean-de-Luz 28 avril 1845 – Saint-Jean-de-Luz, 21 décembre 1936), mariés à Saint-Jean-de-Luz le 27 janvier 1875 ;
Magdeleine Hiriart et Charles Gaudin, dont le fils Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 30 mai 1903Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1988) véhiculait, dans son automobile personnelle, Maurice Ravel par tout le pays basque, en Espagne comme en France, lors des séjours (ou moments) de villégiature du compositeur sur la côte basque, à la fin des années 20 et début des années 30 ; et que Maurice Ravel invita à plusieurs reprises à assister à des concerts, à Paris, et qui échangeaient alors des mots en basque…
et Marie Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 27 juillet 1877 – Saint-Jean-de-Luz, 19 octobre 1945), demeurée célibataire.
La Correspondance de Maurice Ravel connue à ce jour _ manque hélas la correspondance de toute la période d’enfance et adolescence, avant 1900 ! Dans quels tiroirs privés se cache-t-elle donc ? _ n’atteste de séjours à Saint-Jean-de-Luz ou Ciboure de Maurice Ravel qu’à partir de 1901. Cependant divers témoignages oraux de plusieurs membres de la famille Gaudin, tels ceux de Marie Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 2 mars 1879 – Saint-Jean-de-Luz, 8 décembre 1976), Jane Gaudin, qui deviendra veuve Courteault (Saint-Jean-de-Luz, 16 octobre 1880Saint-Jean-de-Luz, 28 mars 1979), ou le fils de Jane, et son époux (à Saint-Jean-de-Luz, le 22 avril 1906) Henri Courteault (Pau, 26 août 1869 – Saint-Jean-de-Luz, 2 novembre 1937), Pierre Courteault (Paris, 21 avril 1910 – Ascain, 15 décembre 2006), affirment, avec de très significatives et souvent pittoresques anecdotes à l’appui, la venue de l’enfant , puis du jeune homme Maurice Ravel à Saint-Jean-de-Luz, rue Gambetta, chez les Gaudin, et y jouant du piano, et en particulier auprès de celle qui faisait fonction de gouvernante auprès des 6 enfants Gaudin (Charles, né le 19 novembre 1875 ; Pierre, né le 7 février 1878 ; Marie, née le 2 mars 1879 ; Jeanne (née le 16 octobre 1880) ; Pascal, né le 31 janvier 1883 ; et Louis, né le 23 février 1886 et décédé le 2 novembre 1899) : sa marraine et grand-tante _ la demi-sœur (1824-1902) de sa grand-mère Sabine Delouart (1809-1874) : toutes deux filles de Marie-Baptiste Delouart n°1 (1782-1855) _, sa « chère tante Gachucha »
En 1900, pour prendre une date concernant davantage Maurice Ravel lui-même _ et ce que rapportent les premières lettres conservées (et connues à ce jour) à propos de ses séjours à Saint-Jean-de-Luz et Ciboure _, plutôt que sa mère Marie Delouart accouchant à Ciboure en 1875, étaient donc bien présents à Ciboure et Saint-Jean-de Luz pas mal de parents collatéraux et cousins de Maurice Raveldont surtout ceux-ci, parmi ceux que j’ai pu repérer jusqu’ici :
Gachucha Billac (1824-1902),
Dominique Hiriart (1849-1926) et son épouse Marie Dimatz (1844-1932),
Magdeleine Hiriart (1875-1968) et son époux Charles Gaudin (1875-1910),
Marie Hiriart (1877-1945),
Marie Etcheverry veuve Dargaignaratz (1824-1900) et sa fille Marie-Clotilde Dargaignaratz (1860-1943),
Pierre-Paul Goyenague (1854-1929) et son épouse Nicolasse Goyenague (1864-1945),
Gracieuse Goyenague (1866-1950),
Marie Delouart veuve Etchepare (1827-1917),
Jean-Baptiste Cerciat (1854-1914), et son épouse Marie Doyhenard (1853-après 1923),
Marianne Cerciat (1890-1950), Jean-Vincent Cerciat (1894-1961), Marie-Louise Cerciat (1900-1975),
Jeanne Cerciat (1864-1947),
Sabine Delouart (1868-1952)
Marie Gaudin (1879 – 1976)…
Ce dimanche 4 octobre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa
En un article à venir, et d’après les actes d’état civil sur lesquels j’ai pu parvenir à mettre la main, je m’efforcerai de lister les domiciles de naissance et de décès des divers membres de la descendance des cibouriens Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, 21 août 1748) et son épouse Sabine Laxague (Ciboure, possiblement 1745 – Ciboure, 27 février 1845), dans les lignées issues des trois sœurs Marie Delouart et leur frère Jean Delouart,
nés respectivement
_ le 29 juin 1782 pour la Marie Delouart n°1 (Ciboure, 29 juin 1782Ciboure, 23 août 1855)
_ épouse de Jacques Billac le 14 septembre 1814 à Ciboure ; et, via sa fille née de père inconnu Sabine Delouart (Ciboure, 11 mars 1809Ciboure, 22 décembre 1874) et sa petite-fille née elle aussi de père inconnu Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917), arrière-grand-mère de Maurice Ravel (Ciboure, 7 mars 1875 – Paris, 28 décembre 1937) _ ;
_ le 17 juin 1784 pour la Marie Delouart n°2 (Ciboure, 17 juin 1784Saint-Jean-de-Luz, 3 janvier 1842)
_ épouse de Jean Etcheverry à Saint-Jean-de-Luz, le 17 août 1814 ; d’où son issus des Hiriart, des Gaudin et maintenant des Lenoir, à Saint-Jean-de-Luz… _ ;
_ le 6 août 1786 pour la Marie Delouart n°3 (Ciboure, 6 août 1786Ciboure, 15 décembre 1872)
_ épouse de Michel Goyenague à Ciboure le 28 février 1821 ; d’où sont issus les Goyenague à Ciboure et des Passicot à Buenos Aires et en Argentine…  _;
_ et le 27 août 1788, pour leur frère Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 24 septembre 1872)
_ époux de Marguerite Larrea à Ciboure le 30 avril 1823 ; d’où sont issus des Cerciat à Ciboure et à Nouméa, et des Sagarzazu à Ciboure…
À suivre…  

 

Ce dimanche 27 octobre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

L’admirable approche contextualisante de lecture des « Essais » de Montaigne de Philippe Desan, en son décisif « Montaigne – Une biographie politique » (paru en 2014), pour lire avec recul informé sa plaisante fiction « Montaigne – La Boétie – une ténébreuse affaire » (en 2024)…

26sept

Afin d’approfondir et consolider encore le grand plaisir de mes deux lectures successives de la passionnante _ à plusieurs égards _ fiction « Montaigne – La Boétie – une ténébreuse affaire » de Philippe Desan _ cf mes 3 articles « « ,

«  »

et « «  des 11, 13 et 18 septembre derniers… _,

 je suis en train de lire avec une immense satisfaction le richissime _ et indispensable ! Que ne l’avais-je lu dès sa sortie en 2014 !!! _ essai de fond, paru le 10 avril 2014, de Philippe Desan, « Montaigne – une biographie politique« …

Philippe Desan est probablement le plus fin et plus complet montaignologue d’aujourd’hui…

Et dans son travail de fond paru en 2014, Philippe Desan, sociologue de formation, procède à une extrêmement efficace et pertinente contextualisation historique (et politique) des diverses strates d’écriture, en 1580, en 1588, et enfin en les inscriptions manuscrites (et de diverses encres) de la main de Montaigne, de 1588 à son décès en 1592, sur un de ses exemplaires personnels de ses « Essais« , dit désormais « l’Exemplaire de Bordeaux » ; mais pas seulement des « Essais« , d’ailleurs, car tous les autres textes publiés, ou accessibles par divers moyens, de Montaigne, sont scrupuleusement, et tous, pris en compte par les analyses très fouillées de Philippe Desan, suite à ses infiniment patientes recherches de documents les plus divers…

En complément du magnifique entretien, à la Station Ausone, le vendredi 20 septembre dernier, de Philippe Desan avec Violaine Giacomotto _ à propos de cette imaginative fiction, mais rudement bien informée.., qu’est ce roman « Montaigne – La Boétie – une ténébreuse affaire«  _, dont voici la vidéo (d’une durée de 61′) ; ainsi que le podcast (de même durée),

je me permets de renvoyer ici à cette plus brève vidéo (d’une durée de 14 ‘ 13), de Philippe Desan, présentant lumineusement, le 29 décembre 2014, filmé dans les murs de la librairie Mollat, son très essentiel et absolument décisif « Montaigne – une biographie politique« , dont je veux ici très chaleureusement recommander la lecture !

Une présentation dans laquelle Philippe Desan souligne on ne peut plus clairement le sens _ et la fécondité pour la connaissance à la fois de l’œuvre, mais aussi la vie, qui sont très étroitement mêléees, de Montaigne… _ de sa méthode extrêmement minutieuse _ en même temps que très pédagogique _ de contextualisation _ et c’est effectivement crucial ! _ des strates d’écriture, tout au long de sa vie _ et pas seulement des campagnes successives d’écriture et ré-écriture des « Essais«  _, et des rebondissements et aléas de sa carrière (et ambitions successives) politiques, pas assez scrutées et analysées jusqu’alors…

Un travail merveilleusement éclairant et pertinent, je le répète !..

À cette heure, ce jeudi 26 novembre 2024, j’en suis à la page 453, de cet ouvrage, « Montaigne – une biographie politique« , qui comporte 596 pages d’analyse…

À suivre, donc…

Ce jeudi 26 septembre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et pour prolonger l’enchantement Babayan, fondre de bonheur en l’écoutant interpréter, en 1992, un confondant tendrissime « Gaspard de la nuit », absolument dépouillé du moindre maniérisme et hystérisation ; soit la perfection même du très pudique en son expression jeu ravélien…

16sept

Et pour prolonger l’enchantement Babayan _ cf mon article d’hier « «  _,

fondre absolument de plaisir _ que dis-je ? fondre de bonheur ! _ en l’écoutant interpréter, en 1992, un confondant tendrissime « Gaspard de la nuit » en un sublimissime podcast de 23′ 46 _ de toute urgence l’écouter ici ! _, absolument dépouillé du moindre maniérisme et hystérisation : soit la perfection même, comme jamais, de l’infiniment pudique en son expression jeu ravélien…

Quel artiste !

Et c’est Ravel en personne qui vient, sous les doigts de Sergei Babayan sur ce piano, nous parler ici…

 

En 1992, Sergei Babayan, né le 1er janvier 1961 à Gyumri, en Arménie, avait tout juste 31 ans…

Quelle intelligence supérieure, déjà, de cette œuvre si exigeante pourtant _ et si souvent hystérisée par les interprètes… _ qu’est « Gaspard de la nuit« …

C’est bouleversant : écoutez et ré-écoutez encore ici

Ravel est bien là tout entier présent…

Admiration !!!

Et encore _ en quelque sorte en bonus _ écoutez ici le podcast (de 12′ 05) de Sergei Babayan interprétant, toujours  en 1992, « La Valse » de Maurice Ravel _ un  poil trop retenu, ici, cependant, peut-être, du moins à mon goût ; et donc un cran au-dessous de son bouleversant de tendresse pudique « Gaspard de la nuit«  ; mais vous pourrez en juger par vous-même…

Comment de tels enregistrements de Sergei Babayan _ ici au sein du CD « Ravel, Liszt, Prokofiev » du label Connoisseur Society 41 95 paru en 1993, et demeuré confidentiel… _ ont-ils pu demeurer jusqu’ici aussi …confidentiels ?!?

Et dire que, pour ma part, il m’a fallu attendre, au mois de juin dernier, le choc du sublimissime CD Deutsche Grammophon « Rachmaninoff for two« , avec Daniil Trifonov _ cf l’enthousiasme dithyrambique de mon article «  » du 15 juin dernier _, pour découvrir enfin l’existence, à l’oreille, de ce prodigieux passeur de musique au piano qu’est ce génial Sergei Babayan…

Qui ne fait donc pas _ ou du moins pas assez… _ son travail de partage de ses émotions musicales ?…

Ce lundi 16 septembre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

Chercher sur mollat

parmi plus de 300 000 titres.

Actualité
Podcasts
Rendez-vous
Coup de cœur