Posts Tagged ‘Agen

Relecture-révision de l’important article « Suite de la recherche des modalités de l’apparentement des Gadel aux Ducos du Hauron, en Algérie : en commençant par faire un point sur qui peut bien être celle qui figure sous l’appelation de « Mme Vve Gadel » dans le faire-part de décès d’Eveline Ducos du Hauron… » du 27 décembre 2020

09nov

Et je continue mes relectures-révisions de mes articles de décembre 2020,

avec la révision-relecture _ avec en rouge et gras les rectificatifs, précisions et ajouts a posteriori _, ce jour,

de l’important article, pour le progrès de ma recherche, en date du 27 décembre 2020 :

 

 

Voici donc cette relecture-révision :

Dans ce cadre présent que je me suis donné afin de rechercher _ le plus méthodiquement possible _ les modalités effectives de l’apparentement de la famille Gadel à la famille Ducos du Hauron _ ou du moins à sa branche « algéroise – algérienne«  : celle issue d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse, née Marie-Louise Rey _,

tel qu’en fournit, en un premier crucial indicele faire-part du décès de Mme Henri Ducros, née Éveline Ducos du Hauron, tel qu’il est paru dans l’édition du 2 janvier 1939 de L’Écho d’Alger :

« Monsieur Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix, ainsi que ses enfants ;

MM. Ducos du Hauron, Gérard et Roger ;

Mme Jacquet ;

Mme Vve Gadel et ses enfants ;

les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure,

vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri DUCROS née Éveline DUCOS DU HAURON.

Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939 » ;

soit une base décisive pour la présente recherche de cet apparentement de la branche « algéroise – algérienne » des Ducos du Hauron aux Gadel _ à partir de 1896, quand Amédée Ducos du Hauron choisit de demeurer en Algérie, alors que tous les autres membres de sa famille choisissent, eux tous, sans exception, de rentrer en France, et de s’installer probablement à Paris, dans le quartier des Batignolles, comme le fait Louis Ducos du Hauron, qui réside au moins depuis le 23 octobre 1896, au numéro 27 de la rue des Batignolles… Pour la famille d’Alcide Ducos du Hauron, la date de leur retour-installation en France, de même que leur lieu de résidence (à Paris ? à Savigny-sur-Orge), restent à établir sérieusement… Cf mon article précédent, de ce matin même, mardi 9 novembre 2021 :  _,

aux Ducros, aux Gentet ;

et à travers eux, aux Bure ;

dans ce cadre présent, donc,

je dois tâcher de préciser l’identité de cette « Mme Vve Gadel« , présente dans la mention « Mme Vve Gadel et ses enfants » _ qui donc celle-ci est-elle ? et qui sont ses enfants ? _ ;

une mention qui fait suite, en cette liste du faire-part du décès de Mme Henri Ducros, née Éveline Ducos du Hauron, 

à la mention, inaugurale de ce faire-part, du mari de la défunte « Monsieur Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix« , ainsi que « ses enfants » _ qui sont-ils donc, en plus du petit Yves-Henri Ducros, né à Port-Gueydon le 8 juin 1930, et suite au décès précoce, peu avant le 23 octobre 1933, à Port-Gueydon aussi, de la petite Mathilde Ducros ? Peut-être le petit Paul-Henri Ducros, né (peut-être à Aumale) le 22 octobre 1921, d’un premier mariage de M. Henri Ducros, avec sa première épouse, née Gibal… _,

à la mention qui suit, de « MM. Ducos du Hauron, Gérard et Roger«  _ les deux frères de la défunte : Gérard est né le 30 août 1909, à Berrouaghia ; mais j’ignore, en revanche, le lieu et la date de naissance de son frère cadet Roger… _,

et 3° à « Mme Jacquet«  _ la compagne, à ce moment de décembre 1938, de Gérard Ducos du Hauron ; et que celui-ci ne tardera pas à épouser, à Alger, le 25 novembre 1939 _ ;

et précédant la liste plus générale des familles parentes et alliées : « les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, CharavelFerrand, Bure« …

« Mme Vve Gadel« , donc :

veuve, depuis le 30 mars 1930, de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Grandserre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930),

celle-ci est née Aimée-Laurence Rey _ j’ignore à ce jour, et c’est bien dommage, tant ses lieux et dates de naissance que ses lieux et dates de décès _ ;

et son mariage avec Victor-Nicolas-Benjamin Gadel a eu lieu à Orléansville le 9 mars 1905 ;

quant à ses enfants,

ce sont Robert Gadel (né en 1906 _ je n’en sais pas davantage pour le moment ; et pas davantage aujourd’hui 9 novembre 2021 _ ; appartenant à la classe 1926, celui-ci a demandé et obtenu en 1926 un sursis d’incorporation militaire afin de pouvoir accomplir et terminer ses études de pharmacie à la Faculté d’Alger) ;

et Georges Gadel

_ sur ce dernier, voici ces quelques données : « M. Georges Gadel » est, lui le second fils du défunt Victor Gadel et son épouse née Aimée-Laurence Rey. En 1924-25, Georges Gadel est élève au lycée d’Alger ; et en 1933 et 1935, étudiant en droit à la Faculté d’Alger, il fait partie du Bureau directeur de l’Association des Étudiants d’Alger : il en est trésorier adjoint en décembre 1933, puis trésorier général en décembre 1935. Le 26 novembre 1936, Georges Gadel fait partie des vingt jeunes avocats qui prêtent leur serment professionnel, à la Faculté  d’Alger. Et le 8 juillet 1938, les noms de Georges Gadel, avocat à la cour, et Andrée Gaillard, sont présents sur la liste  des publications des prochains mariages, du journal L’Écho d’Alger… Enfin, L’Écho d’Alger du 12 juillet 1942, publie le faire-part de décès suivant : « Alger – Bordj-Bou – Arreridj. M. Georges Gadel, avocat, Mme née Gaillard, leur fille Colette et leur famille, vous font part du décès de leur cher petit Jean-Louis GADEL survenu à Alger le 10 juillet 1942, à l’âge de 10 mois. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité » : et je remarque ici le caractère plutôt succinct caractérisant ce « leur famille« , avec, en particulier, l’absence des noms de la grand-mère « Mme Vve Gadel«  _ vivait-elle encore, ou pas, à cette date ? je l’ignore… _ et de l’oncle « Robert Gadel« ….« ,

recueillies en mon article «  » du 20 janvier 2021… Fin de l’incise.

Les parents de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel étaient Victor-Alexandre-Philémon Gadel (Tarascon, 12 octobre 1835 – Marseille, 26 septembre 1927) et la première épouse de celui-ci, Marie-Eugénie-Hortense Rey

_ devenu veuf de Marie-Eugénie-Hortense Rey à une date que pour le moment j’ignore _ et je l’ignore encore ce 9 novembre 2021 _, Victor-Alexandre-Philémon Gadel se remariera, le 9 décembre 1886, et en Algérie (!), à Birkaden (arrondissement d’Alger), avec celle qui sera sa veuve, en 1927 : Marie Morlier. Mais je me demande, au passage, pour quelle occasion ce Provençal (né à Tarascon en 1835 et qui décèdera à Marseille en 1927) a pu traverser la Méditerranée pour venir jusqu’en Algérie se remarier, en 1886, et à l’âge de 51 ans, à Birkaden…

En cette Algérie que gagnera, à son tour, lui aussi, en 1902 (dans le cadre de sa carrière militaire), son fils Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (qui a alors 30 ans), pour, et à Orléansville, se marier avec Aimée-Laurence Rey le 9 mars 1905 (il a maintenant 32 ans) ; et accomplir en Algérie tout le reste de sa carrière (militaire d’abord, et jusqu’au grade de capitaine ; puis, à partir de 1912, à l’âge de 40 ans, au Trésor, où il débute comme commis de 5e classe), jusqu’à son décès, comme Payeur adjoint au Trésor, à Alger, à la Trésorerie d’Algérie : Victor-Nicolas-Benjamin Gadel décédant à l’âge de 57 ans…

Mais comment ne pas faire un lien _ un lien décisif pour le progrès de ma recherche de la destinée « algérienne«  d’Amédée Ducos du Hauron et de sa descendance _, en découvrant deux fois ce même nom de Rey porté par deux épouses Gadel _ Marie-Eugénie-Hortense, puis Aimée Louise _

avec le nom de Marie-Louise Rey, l’épouse de Marie-Louis-Amédée Ducos du Hauron ?

De cette Marie-Louise Rey, je connais seulement le lieu (Agen) et la date (20 septembre 1933) de décès, à l’âge de 54 ans _ ce qui fait remonter sa naissance à l’année 1879 ; Amédée, son mari, étant né à Agen, le 24 mars 1867. Et Marie-Louise Rey est inhumée _ non pas ! _ à Agen, dans le caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard _ mais j’ignore si Amédée Ducos du Hauron est inhumé lui aussi à Agen, en ce cimetière de Gaillard ; ou plutôt à Alger : probablement à Alger…

Amédée et Marie-Louise se sont probablement mariés en Algérie _ sans confirmation ni de lieu, ni de date pour le moment : peut-être à Orléansville ; et peut-être le 21 janvier 1897 : cf à nouveau mon précédent article de ce matin même :  _, dans les toutes dernières du XIXe siècle, ou les toutes premières du XXe ;

et des 5 enfants dont ils avaient charge de famille, à Rébeval, en 1927 _ d’après l’article d’un quotidien parisien reproduit dans L’Écho d’Alger du 4 mars 1927 ; article donné in extenso dans mon article du 15 décembre dernier :  _, alors qu’Amédée se trouvait à la retraite de sa carrière d’administrateur adjoint de diverses municipalités-mixtes d’Algérie _ dont je me suis efforcé d’établir une liste ; cf mon article du 16 décembre dernier : _je ne dispose, pour le moment que des prénoms de leurs deux garçons, Gérard et Roger (qui figurent dans divers faire-part de décès, dont surtout le faire-part de décès de leur sœur Éveline Ducos du Hauron, épouse de Henri Ducros, paru dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939 ; et auxquels fait aussi allusion _ mais sans donner leurs prénoms _ la lettre d’Alice Ducos du Hauron à Henri Lacroix, du 6 août 1948 : Alice y parle de ses « deux petit-neveux, en Algérie, fils de (son) frère aîné« , Amédée _ cf cette lettre donnée in extenso dans le post-scriptum à mon article du 6 décembre dernier : _) ;

pour ce qui est de leurs trois filles _ dont aurait pu faire partie la « Mme Vve Gadel » du faire-part de décès d’Eveline Ducos du Hauron, épouse de Henri Ducros, publié le 2 janvier 1939 par L’Écho d’Alger… _on peut déjà donner le prénom d’Éveline (décédée, donc, à Alger durant la dernière semaine de 1938) ; ainsi que celui d’Edmée, née à Lamartine, le 9 juillet 1904 _ à moins que cette Éveline et cette Edmée soient une seule et même personne… _reste donc à découvrir le prénom de la troisième de ces trois filles d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey (et sœurs de Gérard et Roger Ducos du Hauron) : j’ignore s’il s’agit, ou pas (dans le cas où celle-ci serait Edmée), de celle qui serait peut-être devenue la veuve d’un Gadel (et duquel d’entre eux, je ne le sais pas non plus) ; à moins qu’elle n’ait été l’épouse d’un Eugène Gentet… Cela demeure à éclaircir…

Je dois ici ajouter que j’ai aussi été frappé par la mention, sur le faire-part de décès de M. Jean-Baptiste Bure _ survenu à Alger le 31 octobre 1934 _, publié par L’Écho d’Alger le 1er novembre 1934, et au sein de la liste de familles parentes et alliées des Bure, à côté de la famille Gadel et de la famille Ducros, d’une famille « Ducos-Gentet« … Serait-ce là faire allusion à un couple constituée d’une Ducos du Hauron et d’un Gentet ? Voire un Eugène Gentet ?..

Tout cela reste bien évidemment à débrouiller.

D’autant que dans le faire-part de décès de M. Victor Gadel, Payeur adjoint du Trésor, publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930

_ mais l’exemplaire de ce faire-part, et le seul qui soit accessible sur le web, est malencontreusement incomplet, déchiré (!) qu’il est, et en très fâcheux endroit. Le voici tout de même, et son détail est tout à fait précieux pour notre recherche :

« Mme Vve Victor Gadel _ née Aimée-Laurence Rey ; et épouse de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel à Orléansville le 9 mars 1905 _,

Monsieur Robert Gadel, étudiant en pharmacie _ né en 1906 ; ce que j’induis de sa classe (1926) d’incorporation  _, Mme née Irène Bure _ ils se sont mariés, à Alger, le 22 décembre 1927 _ et leur fils Jean-Claude,

M. Georges Gadel ,

M. et Mme _ née Jeanne Escudié _ Eugène Gadel _ leur mariage a eu lieu à Montpellier le 4 octobre 1910 _ et leurs enfants, de Paris,

Mme et M. _ Marie-Louise, née Rey, et Amédée Ducos du Hauron : c’est moi qui rétablis ici le prénom d’Amédée, qu’une fort malencontreuse déchirure du papier photocopié et reproduit, a coupé ! _ Ducos du Hauron et leurs enfants _ deux garçons : Gérard et Roger, et trois filles _,

Mme _ Eveline Ducos du Hauron _ et M. Henri Ducros _ qui n’ont pas encore eu d’enfant, à cette date du 31 mars 1930 : ni la petite Mathilde, ni le petit Yves-Henri ;

en revanche, Henri-Bavolet Ducros avait eu un fils d’un premier mariage avec une dame Gibal, ou plutôt E. Gibbal : le petit Paul-Henri Ducros, né à Aumale au mois de septembre 1921 _ cf mon article «  » du 12 janvier 2021 _, et qui devait décéder, accidentellement, à l’âge de 20 ans, le 28 mars 1942 ; ses parents, en cette occasion, procéderont à deux faire-part de décès distincts : la mère, E. Gibbal, à Alger, le 30 mars 1942 (sur ce faire-part, le nom du père est omis !) ; et le père, Henri Ducros, administrateur-adjoint en retraite à Birmandreis, en des Remerciements, le 3 avril suivant (on remarque la significative expression : « la mère, née Gibbal« …), parus tous deux dans L’Écho d’Alger ; j’ajoute ici que Henri-Bavolet Ducros a joui de ses droits à pension de retraite à partir du 1er août 1939, selon le Journal Officiel du 1er juillet 1941 ;  il était né à Alger le 25 juin 1887 ; et j’ignore encore le lieu et la date de son décès… Quant à sa carrière d’administrateur-adjoint, cf mon article «  en date du  6 janvier 2021… (ajout du vendredi 9 février 2024) _,

Mme et M. Eugène Gentet,

Mme Vve Gentet,

et les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille,

Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros _ d’Azazga _, Jean, Bonopéra _ d’Algérie (et notamment d’Orléansville) _,

ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL

Payeur adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’Honneur,

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,

survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans _ il était né à Grandserre (Drôme) le 8 juillet 1872 _,

et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques, qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.

Réunion au domicile mortuaire, 32 rue Eugène Robe.

PF GUYE, 38 rue Rovigo, Alger. T. 51-71.« 

j’ai découvert, et se suivant, les expressions suivantes :

« Mme et M. Ducos du Hauron _ Sylvia et Roger ? Non pas (le faire-part du décès de Victor Gadel date du 31 mars 1930) ; mais Amédée et son épouse Marie Louise, née Rey ! _ et leurs enfants« ,

« Mme _ née Éveline Ducos du Hauron ? _ et M. Henri Ducros« ,

« Mme et M. Eugène Gentet« 

et « Mme Vve Gentet« …

Il me faudra donc y revenir…

Mais pour en revenir au nom de Rey,

j’ai relevé à trois reprises, parmi les (nombreux) parents et alliés (en l’occurence, de la famille Bure) faisant part d’un décès,

la mention de « Mme et M. Denis Rey et leur fils Marcel » _ Denis Rey décèdera à Malakoff le 7 novembre 1935 ; mais ces Rey-là n’ont pas un lien direct de parenté avec la famille de Jean-Anatole Rey (Le Grand-Serre, 10 juin 1845  – Oran, 28 janvier 1890)... _ :

_ dans l’Écho d’Alger du 10 septembre 1929,

_ et dans Le Progrès d’Orléansville, pour l’annonce du décès, à l’âge de 27 ans, de Mme Alphonse Ducros, née Gilberte Bure ;

_ et dans L’Écho d’Alger du 11 décembre 1932, pour l’annonce du décès, à l’âge de 29 ans, de M. Albert Bure _ un des frères de Gilberte Bure.

Et je dois ajouter que dans le faire-part du décès de Mme Alphonse Ducros, née Gilberte Bure, publié par L’Écho d’Alger du 10 septembre 1929,

sont présentes aussi parmi les mentions des personnes parentes et alliées, les expressions suivantes :

« Mme Vve Ducros, d’Azazga » _ la belle-mère de la défunte Gilberte Bure ; et mère d’Alphonse, Henri et Edmond Ducros… _,

« Mme _ en l’occurrence Éveline Ducos du Hauron, belle-sœur par alliance de la défunte, Gilberte Bure, épouse du frère (Alphonse Ducros) de son mari (Henri Ducros) _ et M. Henri Ducros administrateur adjoint » _ beau-frère de la défunte Gilberte Bure _,

« M. Edmond Ducros, d’Azazga » _ autre beau-frère de la défunte _ ;

et parmi les nom des familles apparentées :

« Gadel » _ la famille du mari d’Irène Bure : une des sœurs de la défunte Gilberte Bure _,

« Ducos du Hauron » _ la famille d’une des belle-sœurs (Éveline, épouse de Henri Ducros) de la défunte Gilberte Bure _,

« Gentet » _ j’ignore la parenté précise des Gentet avec les Bure ; sauf si l’épouse d’Eugène Gentet s’avérait être une sœur d’Éveline Ducos du Hauron ;

mais il faut aussi prendre en compte le fait que les épouses Gadel (Aimée-Laurence Rey) et Ducos du Hauron (Marie-Louise Rey) sont des filles de Jean-Anatole Rey et son épouse Adélaïde Gentet (née en 1855 à Orléansville)… 

Il me faut donc continuer à passer méthodiquement en revue les divers faire-part concernant les décès et mariages des familles Ducos du Hauron, Gadel,

et leurs alliés, tels, aussi et d’abord, les Gentet et les Bure…

Ce dimanche 27 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Nous avons donc assez bien avancé depuis le 27 décembre 2020 !

 

Ce mardi 9 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Relecture avec révisions de l’article « A la recherche de liens, en Algérie, à partir de 1896, entre les Ducos du Hauron et diverses autres familles : les Rey, les Ducros, les Gadel, les Gentet (ainsi que les Bure)… » du 23 décembre 2020

08nov

L’article du 23 décembre 2020  que je m’apprête maintenant à réviser,

constitue un incontestable tournant dans l’aventure de mes recherches focaliséees sur le bien intéressant environnement familial _ et tout spécialement ses trois neveux : Amédée Ducos du Hauron, Raymond de Bercegol, et Gaston Ducos du Hauron _ de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

car il va détourner un peu ma recherche d’Agen,

au profit de l’aventure « algérienne » tout particulièrement de l’aîné de ces trois neveux de Louis :

Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) ;

et cela suite à la nomination d’Alcide (Coutras, 1830 – Savigny-sur-Orge, 1909) à un poste de magistrat en Algérie, en 1881.

Alcide étant bientôt rejoint, à Alger, au mois de juillet 1883, par son épouse Cézarine-Marie (Le Temple-sur-Lot, 1841 – Agen, 1923), leurs quatre enfants, Amédée (Agen, 1867 – Alger, 1935), Gaston (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912), Marguerite (Agen, 1879 – Neuilly-sur-Seine, 1971) et Alice (Agen, 1880 – Neuilly-sur-Seine, 1971) ;

ainsi que son frère Louis (Langon, 1867 – Agen, 1920)…

Voici ce que donne cette relecture-révision rétrospective :

Ce jour,

j’ai continué à rechercher sur le web divers faire-part de naissance, mariage et décès

pouvant me fournir des indices d’alliances familiales entre ceux des Ducos du Hauron _ en ce tout début de recherche, j’ignore quels ils sont précisément : j’ignore d’abord la date du mariage (à Orléansville ?..) d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey ; de même que j’ignore les dates de naissance des premiers enfants qui leur sont nés… Ces événements familiaux ont-ils eu lieu avant le mois de novembre 1896 du retour en France de la majeure partie de la famille d’Alcide ? ou après ?.. _ qui demeurèrent en Algérie après le départ en novembre 1896 d’Alcide et son épouse Cézarine-Marie, son fils cadet Gaston, ainsi, je suppose, que leurs filles Marguerite et Alice _ et aussi, peut-être parti en avant garde, Louis, qui choisit de venir s’installer à Paris, dans le quartier des Batignolles _,

et diverses familles vivant en Algérie :

les Rey, les Ducros, les Gadel, les Gentet, au premier chef ;

et d’autres familles alliées, comme les Bure, d’Alger et Orléansville…

Je veux donc parler d’abord ici du destin « algérien » du fils aîné, Amédée Ducos du Hauron, qui choisit, lui, de faire carrière en cette Algérie, dans l’administration ;

ainsi que s’y marier, avec Marie-Louise Rey ; et, très bientôt, aussi et surtout, y fonder une famille.

Une famille qui comptera 5 enfants au moment de la retraite d’Amédée (à l’âge de 60 ans), à Rébeval, en 1927…

Les trois principaux avis (ou faire-part) de décès, tous publiés dans L’Écho d’Alger, me permettant de repérer avec quelles autres familles, en Algérie, se sont alliées les Ducos du Hauron,

datent  :

1) du 13 octobre 1933, pour l’avis du décès _ par les familles Ducos du Hauron, Ducros, Gadel et Gentet _, à Agen, le 20 septembre 1933, de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron, dont l’inhumation a eu lieu _ peut-être pas : la liste des personnes inhumées en ce caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, ne comprend pas, en effet, Marie-Louise Rey… _ dans le caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, à Agen ;

2) du 13 août 1935, pour l’avis du décès _ par les familles Ducos du Hauron, Ducros et Gadel _, à Alger, d’Amédée Ducos du Hauron ; dont les obsèques eurent lieu, à Alger, le 15 juillet 1935 ;

3) et du 2 janvier 1939, pour le faire-part _ cette fois _ du décès, à Alger, lors des vacances de Noël 1938, d’Éveline Ducos du Hauron, épouse de Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix ; et dont les obsèques eurent lieu dans l’intimité familiale le 1er janvier 1939, à Alger.

Assez peu de précisions, ces trois fois-ci,

sur les alliances familiales nouées, en Algérie, par cette branche « algéroise – algérienne » des Ducos du Hauron _ la branche issue d’Amédée _,

à l’exception des Ducros, Gadel et Gentet,

dont les noms ont été mentionnés dans ces deux avis de 1933 et 1935, et ce faire-part de 1939…

Il me faut donc rechercher un peu plus loin :

à suivre…

Ce mercredi 23 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Soient, pour le moment, de menues révisions…

Ce lundi 8 novembre 2021, Titus Curiosus -, Francis Lippa

Relecture et corrections de l’article « Agen : un pôle névralgique du parcours de Louis Ducos du Hauron ; mais aussi de certains de ses petits-neveux et nièces Lamarque… » du 21 décembre 2020

08nov

Je poursuis donc mes relectures et corrections rétrospectives de ma série _ inaugurale de ma recherche de connaissance-exploration de l’environnement familial de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), un aspect jusqu’ici assez peu fréquenté par les chercheurs _ d’articles du mois de décembre 2020.

Ce lundi 8 novembre 2020, je relis donc l’article du 21 décembre 2020 :

Voici ce que cela donne :

La ville d’Agen a accueilli à plusieurs reprises plusieurs stations ou étapes du parcours d’existence de Louis Ducos du Hauron,

eu égard, tout d’abord, à la série des divers postes, au Trésor, occupés par son père Amédée-Jérôme Ducos du Hauron (Bordeaux, 5 juin 1799 – Auch, 14 octobre 1863), puis, après le décès de son père à Auch au mois d’octobre 1863, à la série des divers postes de magistrat occupés par son frère aîné, Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909) _ sans ressources personnelles, Louis était entièrement pris en charge, d’abord par son père, puis par son frère aîné _,

jusqu’au retour final à Agen l’année même, 1920 _ et au mois de mars _, de son décès qui surviendra le 31 août 1920, dans la maison du 58 de la rue Lamouroux ;

et sans oublier le caveau familial du cimetière de Gaillard,

dans lequel son frère Alcide avait décidé d’être inhumé

_ et j’ignore où est inhumé Amédée-Jérôme Ducos du Hauron, le père, décédé, lui, à Auch, le 14 octobre 1863 ; et dont le corps a été transporté à Agen (l’autorisation de ce transport du corps date du lendemain, 15 octobre 1863. Mais on ignore pour le moment où le corps a été inhumé ; la concession des Ducos du Hauron au cimetière de Gaillard, achetée par Alcide, étant bien plus tardive...

Mais Agen a continué de constituer un pôle névralgique d’au moins une branche des neveux et nièces, puis petits-neveux et petites-nièces de Louis Ducos du Hauron, à partir de ce mois d’août 1914 où la veuve d’Alcide, Cézarine-Marie de Fourcauld, après avoir quitté, avec ses deux filles, Marguerite et Alice, Savigny-sur-Orge pour le hâvre familial des de Fourcauld au Temple-sur-Lot _ sous la menace de l’avancée des troupes allemandes sur la Marne et vers Paris, cet été 14 _, a, en 1920 _ suite à un décès familial des de Fourcauld : un point qui mériterait d’être éclairé… _, rejoint Agen avec ses deux filles Marguerite et Alice Ducos du Hauron, et ses deux petites-filles Étiennette et Simone Ducos du Hauron, accompagnées par son beau-frère (et oncle, et grand-oncle) Louis Ducos du Hauron.

C’est donc à Agen qu’Étiennette Ducos du Hauron a épousé, à l’église des Jacobins d’Agen, son cousin _ côté Lamarque, celui de sa mère Edmée Lamarque _ Alfred Lamarque _ qui occupait alors un poste d’administration à la gare d’Agen _, le 20 juillet 1920 ;

comme c’est à Agen, qu’à peine un mois et onze jours plus tard, Louis décédait, le 31 août 1920 ;

et c’est encore à Agen, que décéderait au mois le 19 mai 1923 la veuve d’Alcide (et belle-sœur de Louis), CéZarine-Marie de Fourcauld.

De même, aussi, que sont nées à Agen au moins les deux premières filles d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque :

Jacqueline, en 1921 ou 22 ;

et Geneviève, le 24 juillet 1923 ;

et encore leur frère Yves, le 19 janvier 1925.

Les enfants suivants de la fratrie des dix enfants Lamarque, naissant au fil des mutations _ ferroviaires _ successives d’Alfred Lamarque…

Et ce tropisme agenais a été si puissant pour les Lamarque que c’est au cimetière de Bon-Encontre qu’ont décidé _ bien plus tard, à ce que je suppose _ d’être inhumés Alfred Lamarque et son épouse Étiennette :

ce qui advint au mois de décembre 1976, pour Alfred, et au mois de décembre 1996, pour Étiennette.

Agen fut pris très tôt en photographie couleur _ depuis le côteau, en 1877 _ par Louis Ducos du Hauron

Agen : à la rencontre de l’inventeur de la photographie en couleurs

Ce lundi 21 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà.

Ce lundi 8 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

Et puis reprise de l’article « A la recherche des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron (suite) » du samedi 12 décembre 2020

06nov

En poursuivant mes relectures (avec éventuelles retouches) de mes articles de décembre 2020,

je passe à l’article suivant,

celui du 12 décembre : « « ,

que re-voici _ avec mes retouches en rouge _ :

Au final de mon article d’hier (),

j’annonçais avoir avancé dans l’identification des enfants, au nombre de 10, de la petite-nièce aînée

_ fille aînée du second fils, Étienne-Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912), du frère aîné, Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920) _

de Louis Ducos du Hauron :

Étiennette-Marie-Augustine-Isaure Ducos du Hauron (née à Saint-Mandé, le 26 décembre 1898, et décédée à Paris 6e, le 20 décembre 1996)

et de son mari _ leur mariage a eu lieu à Agen le 20 juillet 1920 : Louis Ducos du Hauron était présent ; il mourra, à Agen, au 56 de la rue Lamouroux, un mois et 11 jours plus tard, le 31 août suivant… _ Alfred-Henri-Abdon-Auguste Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976).

Et cela, grâce à ma découverte d’une précieuse généalogie familiale mise au point par un des petits-fils de ce couple d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque,

Benoît Viennot, né en 1963 _ sans plus de précision _le fils aîné _ d’une fratrie de 5 _ d’une des filles _ la seconde de la fratrie des 10 _, d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque, Geneviève-Thérèse-Raymonde Lamarque (Agen, 24 juillet 1923 – Rueil-Malmaison, 25 octobre 1998), épouse _ le mariage a eu lieu le 3 octobre 1953 à Reilly-Sur-Seine _ de Bernard Viennot (Paris 9e, 7 juin 1923 – Rochecorbon, 24 août 2016)…

A moins que l’auteur de cette très riche généalogie familiale ne soit, plutôt, l’épouse _ le couple s’est marié à Rueil-Malmaison _ de Benoît Viennot : Anne-Catherine Goulletquer _ qui vit, semble-t-il, dans la Mayenne, à Assé-le-Bérenger, et aime beaucoup l’île de Groix….

Ces 10 enfants _ nés au fil des postes successifs de leur père, qui gravira les plus hauts échelons de la carrière ferroviaire en France... _ d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque, sont :

_ Jacqueline Lamarque _ née à Agen en 1921 ou 1922 ; épouse de Jean Allard, elle décèdera à Paris le 15 février 2018  _

_ Geneviève Lamarque _ née à Agen le 24 juillet 1923 ; épouse, à Neuilly-sur-Seine, le 3 octobre 1953, de Bernard Viennot, elle décèdera à Rueil-Malmaison le 25 octobre 1998 _

_ Yves Lamarque _ né à Agen le 19 janvier 1925 _

_ Marie-Madeleine Lamarque _ décédée jeune _

_ Jean Lamarque

_ Xavier Lamarque

_ Marie-Odile Lamarque _ Mère Marie de Sienne, en religion _

_ Anne-Marie Lamarque _ épouse, puis divorcée, d’un M. Haudiquet _

_ Marguerite-Marie Lamarque

_ et Claude Lamarque, le dixième _ né en 1941…

Et il semble _ mais c’est plutôt mon ignorance qui pourrait bien s’égarer ici (oui !), faute d’appuis et de témoignages _ que, de ces 10 enfants Lamarque, seule Geneviève Thérèse Raymonde Lamarque (née à Agen, le 24 juillet 1923 et décédée à Rueil-Malmaison, le 25 octobre 1998) ait eu une descendance,

via les 5 enfants, issus de son mariage, le 3 octobre 1953, à Neuilly-sur-Seine, avec Bernard Viennot (né à Paris 9e, le 7 juin 1923 et décédé à Rochecorbon, le 24 août 2016) :

_ Benoît Viennot

_ Emmanuel Viennot

_ Hubert Viennot

_ Anaïs Viennot

_ et Dominique Viennot, le cinquième et dernier.

Toutefois, il ne semble pas _ mais je peux bien sûr faire erreur ! _ que l’arrière petit-neveu qui s’est rendu dernièrement, le 31 août 2020, à Agen pour les cérémonies du centenaire du décès de son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron, décédé à Agen le 31 août 1920,

et qui se nomme Louis Allard,

soit issu de cette branche Lamarque-là des petits-neveux de l’inventeur _ mais si ! je fais ici erreur !! Louis Allard étant un des 3 enfants, avec Anne-Elisabeth Allard et François Allard, de Jean Allard et son épouse Jacqueline Lamarque, laquelle est l’aînée de la fratrie des 10 enfants d’Étiennette Ducos du Hauron et son époux Alfred Lamarque… _ ;

si, comme je le suppose _ mais peut-être tout à fait à tort ! À tort : très effectivement !!! _ aucun des 9 frères et sœurs de Geneviève Thérèse Raymonde Lamarque, n’a eu d’enfant _ au contraire, Claude Lamarque m’a confié en une très riche communication téléphonique, le 19 décembre 2020, avoir un nombre important de neveux et nièces : 27 neveux et nièces et 43 petits-neveux et petites-nièces, précisément… _ ;

je vois donc mal comment Louis Allard pourrait être un descendant d’un des enfants Lamarque…

Peut-être Louis Allard est-il issu de la descendance de la sœur cadette d’Étiennette, dont j’ignore toujours à ce jour le prénom _ Simone _,  ainsi que le lieu et la date de naissance :  probablement pas à Saint-Mandé _ mais à Saint-Maurice-sur Seine _,  et entre 1899 _ sa sœur aînée Etiennette est née à Saint-Mandé le 28 décembre 1898 _ et 1902 _ leur mère, Edmée de Lamarque, est décédée, à Saint-Mandé, le 22 février 1902. Simone Ducos du Hauron est née à Saint-Maurice-sur-Seine le 20 mai 1900.

De même que j’ignore toujours le nom de son mari _ Jacques Engelhard _ainsi que de leurs deux filles _ non, une fille et un fils : Nadine Engelhard (Berck, 30 septembre 1935 – Neuilly-sur-Seine, 26 juin 2019) et Philippe Engelhard (né le 24 février 1942, et toujours de ce monde, m’a confiée dernièrement Annie Boulanger (« Bonjour, Amie de Philippe ENGELHARD, je suis très intéressée par cette généalogie familiale dont il m’a beaucoup parlé. Philippe ENGELHARD, fils de Marie Madeleine (Simone), est en fait né le 24 février 1942 et est toujours bien vivant ! Je vais lui transmettre votre blog dont je ne crois pas qu’il ait eu connaissance. Cordiaux remerciements. Annie« )… 

Tout ce que je sais, à ce jour _ du 12 décembre 2020 _, concernant la sœur cadette _ Simone _ d’Étiennette Ducos du Hauron,

je l’ai appris de la lettre de Marie-Alice Ducos du Hauron (Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971) du 6 août 1948 à Monsieur Lacroix (cf le post-scriptum de mon article du 6 décembre dernier : …) :

« elle _ Simone Ducos du Hauron, épouse Engelhard _ est depuis 4 ans _ soit 1944 _ paralysée à l’âge de 48 ans _ ce qui ferait remonter l’année de sa naissance à 1900 ! Et elle est effectivement née le 20 mai 1900 _, et ma sœur _ Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971) : la tante et la nièce ayant un écart d’âge d’à peu près 21 ans… _ ne la quitte jamais.« 

Ce pourrait alors être d’elle _ non _ (et de son mariage avec un Monsieur Allard) qu’est né l’arrière petit-neveu Louis Allard

venu à Agen le 31 août dernier pour les commémorations du centième anniversaire, jour pour jour, du décès de son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron, le 31 août 1920…

Sur la photo ci-dessous,

Charles Sarion, le président des « Amis de Louis Ducos du Hauron« , assiste au dévoilement de la plaque de la rue Ducos du Hauron (à l’angle du Boulevard Carnot), par le maire d’Agen, Jean Dionis du Séjour, et son adjointe à la Culture, Marie Claude Iachemet, ce 31 août 2020.

Dévoilement de la plaque Louis Ducos du Hauron, inventeur de la photo couleur.

On peut aussi, via un article de Sud-Ouest du 2 novembre dernier, intitulé « Culture : Ducos du Hauron mis en vedette par France 3« ,

regarder le riche et très intéressant extrait (entre 12′ 25 et 19′ 27) du film du reportage réalisé à Agen par Éric Perrin pour France 3,

nous présentant, avec Charles Sarion, l’actif et efficace président des « Amis de Louis Ducos du Hauron« , à la fois les sites agenais photographiés par Louis Ducos du Hauron _ en 1877 est ainsi réalisée, à Agen, la toute première photographie au monde de paysage en couleurs ! _et les très précieuses acquisitions par le Musée d’Agen d’œuvres (photos, pellicules originales, mais aussi divers appareils photographiques…) de Louis Ducos du Hauron ;

le Musée d’Agen qui consacre désormais deux salles aux extraordinaires réalisations de cet inventeur de génie et illustre _ méconnu jusqu’ici… _ agenais…

Ce samedi 12 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà pour cette reprise _ avec correctifs, précisions et ajouts a posteriori _ de l’article du 12 décembre 2020…

Ce samedi 6 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et puis, d’utiles corrections à l’article « Nouvelles avancées à propos de la constellation familiale des neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron… » du 8 décembre 2020

05nov

Ce vendredi 5 novembre 2021,

et toujours suite au très riche échange téléphonique de plus de 2 heures, mardi dernier 2 novembre 2021, avec l’excellent Joël Petitjean,

nouvelle opération de corrections, précisions et ajouts _ ci-dessous en rouge _,

cette fois à mon article du 8 décembre 2020 «  » ;

que voici donc re-toiletté de frais : 

Poursuivant ce matin mes recherches généalogiques concernant le cercle familial rapproché de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

et cela afin de mieux  comprendre de quelles aides matérielles ainsi que de quels réconforts affectifs ses recherches ont pu bénéficier,

je viens de découvrir dans le registre des naissances de la ville d’Agen les dates et lieux de naissance et de décès des deux filles d’Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 31 juillet 1830 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) et Cézarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen,  mai 1923) _ et sœurs cadettes d’Amédée (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935) et Gaston (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) Ducos du Hauron _ ; et nièces de Louis :

Marie-Alice Ducos du Hauron : Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971) _ dont je connais désormais les dates et lieux de naissance (au 58 de la rue Lamouroux à Agen) et de décès (à Neuilly) _ ;

et Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron : Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971) _ dont j’apprends ainsi aussi les prénoms.

En revanche, je ne suis pas encore parvenu à identifier quel jour du mois de mai 1923 _ si : le 19 mai, m’ a donné cette précision Joël Petitjean, le 2 novembre dernier _ est décédée à Agen _ probablement encore en son domicile du 58 de la rue Lamouroux : non, mais Rue Landrade, à Agen ;

et Cézarine-Marie de Fourcauld a été inhumée dans le caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, le 21 mai suivant, en 1923, auprès de son époux Alcide Ducos du Hauron, inhumé là le 17 mai 1909 (il était décédé en leur domicile de Savigny-sur-Orge le 13 mai précédent) ; auprès, aussi, de son fils cadet, Gaston Ducos du Hauron, inhumé là probablement le 28 mai 1912 (il était décédé le 3 avril 1912 en son domicile de Savigny-sur-Orge ; et également auprès de son beau-frère Louis Ducos du Hauron, inhumé là le 2 septembre 1920 (il était décédé 58 rue Lamouroux, à Agen, le 31 août 1920) _ la veuve d’Alcide Ducos du Hauron _ le mariage d’Alcide Ducos du Hauron et Cézarine-Marie de Fourcauld avait eu lieu au Temple-sur-Lot le 11 septembre 1864 _ et belle-sœur très attentive de Louis, Cézarine-Marie de Fourcauld, née au Temple-sur-Lot le 3 février 1841

_ demeure la question du lieu d’inhumation (à Alger ? ) de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron, car Marie-Louise Rey est décédée à Agen le 20 septembre 1933 ; apparemment Marie-Louise Rey ne repose pas au cimetière de Gaillard, à Agen… Et j’ignore les raisons de ce voyage à Agen depuis Alger…

En revanche, les deux sœurs d’Amédée et Gaston Ducos du Hauron, Marguerite-Jeanne et Marie-Alice Ducos du Hauron, nées toutes deux à Agen (et à la même adresse du 4 rue Palissy), respectivement, Marguerite le 26 mai 1879, et Alice, le 18 (ou 19) décembre 1880, et décédées, toutes deux à Neuilly-Sur-Seine, Marguerite, le 22 avril 1971, et Alice, le 17 novembre 1971, ont rejoint, elles aussi, le caveau familial des Ducos du Hauron au cimetière de Gaillard, à Agen, respectivement Marguerite, le 26 avril 1971, et Alice, le 23 octobre 1971.

Mais ici je suis bien forcé de constater que, pour ce qui concerne les dates respectives de décès (à Neuilly-sur-Seine, le 17 novembre 1971) et d’inhumation (au cimetière de Gaillard à Agen, le 23 octobre 1971, d’après le registre des inhumations) de Marie-Alice Ducos, existe une dérangeante incompatibilité de dates. Pour le moment, je dois me contenter de ce constat d’anachronisme, sans être en mesure de pouvoir résoudre cette difficulté de chronologie…

Et en consultant toujours les archives en ligne d’Agen,  j’ai pu établir aussi la date du mariage, à Agen, le 11 février 1866, de la sœur d’Alcide et Louis Ducos du Hauron, Berthe Ducos du Hauron, née à Libourne le 23 janvier 1942, avec Henri Fabien Marie Alexandre Onézime de Bercegol, né le 19 février 1834 à Bélaye, au château Floyras, dans le canton de Luzech (Lot) _ le père de celui-ci étant Jean Guillaume Pierre Paul de Bercegol, qui fut maire de Bélaye de 1815 à 1830, puis de 1871 à 1877… Au moment de son mariage, le marié était commis aux manufactures de tabac, et en poste à Coutras. Il décèdera le 21 septembre 1896 à Cahors. Berthe lui survivant _ au moins jusqu’au 15 novembre 1912 : Berthe figure en effet sur le faire-part de décès de sa petite-fille, Marie-Henriette de Bercegol (Bélaye, 16 janvier 1899 – Joinville-le-Pont, 15 novembre 1912)

De ce couple d’Onézime et Berthe, j’ai pu identifier au moins un des enfants (le neveu assistant assidu de son oncle Louis dans ses recherches) : Raymond-Camille-Marie de Bercegol, né _ mais je n’ai pas encore découvert où : si à Lamothe-Landerron, en Gironde… _ le 4 février 1869 _ et j’ignore si Berthe et Fabien Onézime de Bercegol ont eu, ou pas, d’autres enfants.

Le 8 mars 1903, Raymond de Bercegol, alors commissaire de police pour les chemins de fer _ il a alors 34 ans _, a demandé sa mise en disponiblité pour raisons personnelles : très possiblement pour s’associer à plein temps aux passionnantes recherches photographiques de son oncle Louis…  C’est en effet ce même Raymond de Bercegol qui, le 21 décembre 1901 et le 16 janvier 1902, cède à la Société Jougla (8 Avenue Victoria à Paris) les droits qu’il avait lui-même pris le 21 octobre 1898 pour l’appareil photographique Sinnox

Et toujours à propos de Raymond de Bercegol,  j’ai trouvé mention de deux mariages : le premier, le 28 octobre 1896, à Bélaye (au château de Floyras), soit le berceau de la famille des Bercegol (dans le département du Lot _ entre Cahors et Fumel _), avec sa cousine Emérancie David _ dont la mère était une de Bercegol _ ; et le second, le 4 juin 1907, à Bordeaux, avec Yvonne Marinier…

Ensuite, plus de traces du parcours existentiel de Raymond de Bercegol _ qu’a-t-il fait ? quand et où est-il décédé ? Si : je découvrirai bientôt les naissances et les décès de deux filles de lui ; la première, Marie-Henriette, fille de sa première épouse (et cousine) Emérancie David (décédée, elle, à Bélaye, au château de Floyras, le 31 octobre 1905), est née à Bélaye, au château de Floyras le 16 janvier 1899, et décédée à Joinville-le-Pont le 15 novembre 1912 ; et la seconde, Simone-Camille-Jeanne-Marie, fille de sa seconde épouse Marguerite Yvonne Marinier, est née à Joinville-le Pont le 13 mars 1910, et décédée à l’Hôpital Marie de Lannelongue, dans le 13e arrondissement de Paris, le 7 septembre 1912. 1912 : une terrible année pour Raymond de Bercegol…

Mais aussi Claude Lamarque me parlera de ce cousin dont, lui qui est né en 1941, se souvient avoir connu à Paris, où Raymond de Bercegol était domicilié, dans le 16e arrondissement… ; et c’est Claude Lamarque qui m’a indiqué que la date de la disparition de Raymond de Bercegol se situait aux environs de 1949, sans davantage de précisions… _ ;

ni, non plus, de son éventuelle descendance…

Mais je n’ai pas non plus découvert pour le moment ce qu’est devenue, ni où et quand est décédée, après son veuvage survenu à Cahors le 21 septembre 1896, la mère de Raymond de Bercegol, née Berthe Ducos, la sœur d’Alcide et Louis Ducos du Hauron. 

À suivre…

Ce mardi 8 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Nous continuons d’avancer : c’est passionnant…

Ce vendredi 5 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Chercher sur mollat

parmi plus de 300 000 titres.

Actualité
Podcasts
Rendez-vous
Coup de cœur