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Précisions complémentaires à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance (et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés), des neveux de Louis Ducos du Hauron, et plus spécialement en Algérie…

31oct

Voici quelques précisions complémentaires
à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés, des neveux de Louis Ducos du Hauron,
et plus spécialement en Algérie…

C’est surtout la descendance de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?) et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), mariés à Mustapha le 26 mai 1857,
qui m’intéresse :
plus précisément pour la relation de parenté d’une de leur fille _ née Wachter, donc, mais dont je n’ai pas encore découvert le prénom ; ni donc l’identité précise… _,
avec l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935), née Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933).
Car cette future « Veuve Louis Gentet, née Wachter », dont j’ignore aussi les dates et lieux de naissance et de décès, ainsi que la date et le lieu _ probablement à Orléansville _ de son mariage avec Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906)
n’est autre,
du fait de son mariage avec Louis Gentet, oncle et tuteur des 2 filles Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey, devenues orphelines de leurs deux parents, Jean-Anatole Rey (décédé à Oran le 28 janvier 1890) et son épouse Adélaïde Gentet (décédée à Oran le 25 juillet 1886),
que la tante par alliance de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron,
le neveu demeuré en Algérie, de Louis Ducos du Hauron. 
 
 
Des 5 (ou 6) enfants du couple Jean-Baptiste-Antoine Wachter – Elisabeth Confex (qui se sont mariés à Mustapha le 26 mai 1857)
à défaut d’en connaître assez au sujet de la future « Veuve Louis Gentet, née Wachter », 
j’ai identifié, mais avec des données encore un peu trop partielles, les 5 enfants suivants :  
_ Elisabeth-Marie-Louise Wachter : Medea, 9-mars 1858 – ?
_ Aimée-Marie Wachter : Mustapha, 2 septembre 1859 – ?
_ Louis-Jules Wachter : Orléansville, 29 juillet 1866 – ? : il épousera à Bône, le 14 janvier 1905, Thérèse Grazia Gallo (née à Bône le 26 octobre 1883)
_ Émile Wachter : Mustapha, 15 mai 1869 – ? : il épousera à Orléansville, le 21 octobre 1897, Hélène-Etiennette-Sophie Janet
_ Marie Émélie Wachter : ?, 1874 ou 75 : elle épousera son cousin Albert-Philippe-Joseph Ferrand (né en 1869, dont la mère, mariée à Alger le 18 juin 1868, à Philippe Ferrand (Fleury-lès-Lavancourt, 7 août 1828 – Alger, 2 décembre 1889), était une Confex : Aimée-Justine-Marie Confex, née à Alger le 7 février 1839, sœur cadette d’Elisabeth Confex).
L’époux de cette Marie-Emélie Wachter, Albert Ferrand, décèdera à Alger le 18 décembre 1927 ;
et sur le faire-part du décès que publiera sa veuve « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » _ cf mon article du 3à janvier 2021 : _,
sont présents, et dans cet ordre :
… 
_ « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter, et ses enfants : Yvonne et Simone » _ les deux filles du couple du défunt et de sa veuve _,
« M. Henri Ferrand _ le fils aîné du couple _ et Mme » _ née Raphaëlle Apostolico _,
« Mme Vve Bonopera » _ tante, née Confex, de la veuve d’Albert Ferrand, Marie-Emélie Wachter… ; et d’elle aussi j’ignore toujours le prénom, ainsi que ses lieux et dates de naissance et de décès ; de même que la date de son mariage avec M. Paul Bonopéra, probablement à Orléansville… _,
« Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » _ très probablement sœur de « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » ; d’elle aussi j’ignore le prénom, ainsi que ses lieux et dates de naissance et de décès ; de même que la date de son mariage avec M. Louis Gentet, probablement à Orléansville, elle aussi… _
« Mme et M. Emile Wachter, et leurs enfants » _ le frère (né à Mustapha, le 15 mai 1869) et la belle-sœur (née Hélène-Etiennette-Sophie Janet) de la veuve Ferrand, et leurs enfants, neveux et nièces de la veuve Ferrand née Wachter, soient Henri Wachter, Emile-Antoine Wachter, Albert Wachter, Mireille Wachter et Suzanne-Hélène-Emilie… ; cf mes articles du 2 février 2021 :  ; et du 29 mars 2021 : ... _,
« Mme Vve Louis Wachter et sa fille » _ la belle-sœur de la veuve Ferrand, et veuve elle-même de Louis Wachter, frère (né à Orléansville le 29 juillet 1866) de la veuve Ferrand ; ainsi que leur fille Paula Wachter _,
« Mme et M. Jules Malinconi et leurs enfants » _ Mme Malinconi est née Joséphine-Aimée-Constance Confex, à Alger le 31 octobre 1877 ; et elle est la fille de Marius-Ernest-Jules Confex (né à Alger le 19 février 1841) et son épouse Marie-Augustine Cremonini ; et par conséquent, elle est nièce de la veuve Ferrand, née Aimée-Justine-Marie Confex, sœur de son père, Marius-Ernest-Jules Confex _,
« M. A. Gastaud » _ le fiancé d’Yvonne Ferrand : ils se marieront à Alger le 4 février 1928 _,
« les familles Ferrand, Gadel, Ducos du Hauron, Gentet, Gastaud ».
Voilà.
J’espère ne pas trop noyer mon lecteur dans la forêt des si nombreux détails de ces divers articles ;
mais rechercher le moindre indice est tout à fait passionnant !
C’est tout un passé qui, peu à peu, bribe d’indice par bribe d’indice à explorer, émerge et réapparaît…
...
Ce dimanche 31 octobre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Une nouvelle réponse à une de mes bouteilles à la mer, à propos des familles d’Algérie, plus ou moins liées à la famille d’Amédée Ducos du Hauron

30oct

Ce samedi 30 octobre 2021, à 11 h 36, très précisément,

mon article du dimanche 28 mars 2021, , vient de recevoir un utile rectificatif d’ordre généalogique, que voici :

« Bonjour
Tombé par hasard sur vos commentaires, d’abord bravo, et ensuite une petite rectification : mon père ne s’appelle pas Paul, mais Joseph René Jean SCHEMBRI, né à Alger le 1er mai 1922 et décédé à Sidi Moussa le 19 novembre 1958. 
Cordialement »

La réponse que je viens d’adresser à cet aimable correspondant,

me permet de faire un retour un peu synthétique sur l’accroche de cet article-ci, à propos des Molbert Mosti et Schembri, à l’ensemble de ma recherche sur la descendance des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920),

et tout particulièrement, celle, en Algérie, d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 15 juillet 1935)…

La voici donc, cette réponse :

Monsieur,

 
merci beaucoup de rectifier,
à propos de votre père Joseph René Jean Schembri (Alger, 1er mai 1922 – Sidi Moussa, 19 novembre 1958),
les données généalogiques, incorrectes, de mon article du 28 mars dernier :  
 
Cet article prenait place dans le cadre de mes recherches concernant la descendance des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1937 – Agen, 1920)
lequel est l’inventeur de la photographie de couleurs (à Lectoure, en 1868) _,
et plus particulièrement la descendance, en Algérie, de l’aîné de ces trois neveux,
Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935).
 
Lequel Amédée Ducos du Hauron a épousé, probablement à Orléansville, et avant 1900, Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933) ;
et est demeuré alors en Algérie _ où il a fait toute sa carrière dans l’administration du pays _,
puis, après lui, ses enfants…
 
 
C’est en cela que je me suis intéressé d‘un peu près aux familles installées, très tôt, dès les années 1840, à Orléanssville,
parmi lesquelles, au début du XXe siècle, des membres de la famille Bonopéra et de la famille Wachter (une famille originaire du Territoire de Belfort) ;
dont une des membres, Sophie Wachter (Rougemont, 19 janvier 1824 – Courbet, 9 mai 1897), a été l’épouse d’un membre de la famille Molbert,
François-Martin Molbert (Chaux, 9 décembre 1825 – Mustapha, 22 juin 1884) : Chaux étant, comme Rougemont, une commune du Territoire de Belfort…
 
Cf,
encadrant l’article du 28 mars 2021 que vous avez commenté (),
mes articles
 
Ainsi que,
pour bien éclairer le raccord de la famille Wachter, d’Orléansville, avec les Ducos du Hauron, et les familles qui leur sont apparentées, à partir des Gentet et des Rey d’Orléansville,
des liens à mes articles,
 
C’est en effet lors de la recherche de la généalogie de cette famille Wachter, installée à Orléansville,
et dont une des membres Wachter _ dont j’ignore hélas encore le prénom… _ a été l’épouse de Louis Gentet, oncle maternel (et tuteur) de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron, que j’en suis venu à découvrir les noms (et apparentements) des Molbert, des Mots, et des Schembri, que j’ai alors évoqués dans mon article ;
dans l’espoir de recueillir peut-être de nouvelles données généalogiques concernant cette famille des Wachter installée alors, au début du XXe siècle, à Orléansville…
 
Alors, Monsieur, disposeriez-vous de quelque connaissance de cette famille Wachter, originaire de Rougemont (Territoire de Belfort), et installée à Orléansville ?
Cette famille Wachter à laquelle est lié votre ancêtre Jean-Baptiste-Claude Molbert (Chaux, 10 mars 1830 – Kouba, 24 novembre 1904),
par le mariage, en 1857, de son frère François-Martin Molbert (Chaux, 9 décembre 1825 – Mustapha, 22 juin 1884) avec Sophie Wachter (Rougemont, 29 janvier 1824 – Courbet, 9 mai 1897)…  
Voilà ce que je permets de vous demander…
 
 
Sans avoir nul lien personnel avec l’Algérie,
je dois dire que les vies, souvent difficiles, des habitants d’Orléansville, et plus largement de l’Algérie, depuis 1830,
est un sujet qui m’a passionné…
 
Je suis entré en rapport (par courriel ou téléphonique) avec certains des membres actuels des familles Ducos du Hauron, Bonopéra, Morand de la Genevray,
à la recherche de précisions sur l’histoire de leurs vies en Algérie, entre 1930 et 1962.
 
….
 
Voilà les raisons de ma réponse à votre commentaire à mon article…
Et, au passage, je serais aussi, bien sûr, curieux d’en apprendre un peu davantage sur l’histoire des Molbert, Mosti et Schembri, à Kouba…
Bien à vous,
Francis Lippa
Ce samedi 30 octobre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

Quand les messages des bouteilles lancées à la mer rencontrent des destinataires et offrent de merveilleux retours…

26sept

Que mon blog rencontre de vrais lecteurs passionnés
assez patients pour me lire in extenso _ au point même d’imprimer l’intégralité de la série de ces articles qui les intéressent !.. _,
constitue une sorte de miracle !
 
Et pourtant il advient à quelques uns de mes détaillés articles – bouteilles-lancées-à-la-mer 
d’arriver à rencontrer quelques lointains destinataires qui y portent une extrême scrupuleuse attention.
 
C’est magnifique !
 
C’est ce qui vient de se produire avec Joël Petitjean,
chercheur (et découvreur) de l’œuvre photographique de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), le génial inventeur de la « photographie de couleurs » :
à partir de mes articles
d’avant-hier 24 septembre
et de la récapitulation commode du 4 janvier 2021
 
Comme c’est arrivé aussi, notamment, avec Manuel Cornejo
_ éditeur de l’Intégrale de la Correspondance de Maurice Ravel (et Président des Amis de Maurice Ravel), avec lequel je suis désormais en très amical et très fructueux contact permanent _
pour mes articles de recherche sur Ravel (Ciboure, 1875 – Paris, 1937) :
 
Ou encore avec Luc et Georgie Durosoir,
à partir de mes divers articles _ cf celui-ci, inaugural et essentiel (!), du 4 juillet 2008 :  ; et, 12 ans plus tard, celui-là, du 28 juin 2020 : _ sur l’œuvre musicale de Lucien Durosoir (1878 – 1955)…
Dont un des très mémorables aboutissements fut mes 2 contributions (1  et 2), au mois de février 2011, au Colloque « Un Compositeur moderne né romantique : Lucien Durosoir (1878 – 1955)« , qui s’est tenu au magnifique Palazzetto Bru-Zane à Venise :
 
La recherche désintéressée, vierge de tout souci de plaire, est donc féconde…

En effet, à mon courriel de vendredi 24 septembre dernier, à 15h 12 :
Le commentaire, hier, d’Annie Boulanger _ quelle magnifique surprise ! _, à mon article du 21 décembre 2020 :
m’a permis de reprendre, corriger et améliorer mon article généalogique du 4 janvier dernier : 
J’ose donc espérer que de nouveaux contacts, comme ceux, excellents, que j’ai eu en décembre dernier avec Claude Lamarque,
par exemple lors du colloque « Louis Ducos du Hauron » qui aura lieu au Théâtre Ducournau, à Agen, la journée du 27 novembre prochain,
m’offriront l’opportunité de compléter _ ou corriger _ mon essai de généalogie des descendants des trois neveux _ Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1937), Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 1869 – Paris 16e, vers 1949) et Gaston Ducos du Hauron (Agen, Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912) _, de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), ce génie agenais…
Joël Petitjean a merveilleusement répondu ceci, par retour de courriel, à 19h 58 :
… 

Cher Monsieur,
 
Il y a quelques mois, Claude Lamarque _ petit-fils de Gaston Ducos du Hauron, via la fille aînée de ce dernier, Etiennette Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 1898 – Paris 6e, 1996), épouse d’Alfred Lamarque (Angers, 1878 – Paris 7e, 1976) _, avec qui je suis en relation très amicale, m’avait demandé s’il pouvait vous donner mon adresse courriel afin que nous puissions échanger sur notre passion commune, ce que j’ai accepté bien volontiers !
 
J’ai donc attendu votre message et je le reçois aujourd’hui avec joie.
 
Passionné et travaillant sur Ducos du Hauron depuis de longues années _ 1984 _, j’ai fait l’effort de suivre au jour le jour, lire (et imprimer) votre formidable travail (qui mériterait grandement d’être organisé pour une publication) ; je suis donc un de vos lecteurs assidus.
 
Vous m’avez beaucoup appris.
 
Pour ma part, j’ai réuni une importante documentation et j’aurais quelques précisions à vous apporter.
 
Je suis donc à votre disposition pour convenir, si vous le souhaitiez, d’un rendez vous téléphonique ces prochaines semaines. (Nous nous rencontrerons peut-être en marge du colloque du 27 novembre, mais il n’est pas sûr que nous puissions échanger longuement.)
 
Je vous adresse en pièce jointe, pour information, un de mes articles ainsi que mon CV (c’est le plus simple…) où sont décrits tous mes travaux et réalisations sur Ducos du Hauron.
 
Au plaisir de vous lire, bien cordialement.
 
Joël Petitjean
Voici maintenant ma réponse à ce splendide courriel de Joël Petitjean,
hier, samedi 25 septembre, à 11h 02 :
Cher Monsieur,

 
Quelle magnifique et heureuse surprise que votre courriel !
 
Vous sachant très occupé,
et m’étant petit à petit écarté du propos initial de ma recherche concernant les 3 neveux _ et leurs activités en lien avec celles de leur oncle Louis _ de Louis Ducos du Hauron,
pour porter mon attention sur leurs descendances, et bientôt les affiliations de ces descendants ;
et plus encore, très vite, sur les parcours en Algérie d’Amédée Ducos du Hauron et des personnes qui lui étaient, de près, puis de plus loin, apparentées _ par mariages _,
je n’ai pas voulu vous ennuyer avec ces recherches qui s’éloignaient des activités spécifiques de recherche et inventions de Louis Ducos du Hauron 
(ainsi que de ses 3 neveux, qui ont plus ou moins, et à divers moments, effectivement collaboré à ses travaux)…
 
J’étais donc un peu loin de penser que le chercheur très sérieux que vous êtes, pouvait s’intéresser aux interrogations et étapes de ma curiosité à propos de la famille de Louis Ducos du Hauron _ et son devenir jusqu’à aujourd’hui…
 
C’est que j’ignorais que vous êtes aussi, et peut-être d’abord, un passionné de la curiosité…
 
Les articles de mon blog constituent, en effet, une sorte de journal, quasi au quotidien, de ma recherche tâtonnante, et avançant par « sauts »,
au gré des indices que je parvenais, peu à peu, à glaner, et à connecter un peu entre eux, afin de répondre aux diverses strates de mes interrogations…
 
Même si, de temps, j’éprouvais le besoin d’en tirer quelques maladroites synthèses, me corrigeant au fur et à mesure.
 
J’ai pu entrer en contact avec divers membres de familles directement issues des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron, ou apparentées, via des mariages.
Je me suis en effet pas mal appuyé sur des faire-part de mariage et de décès, voire des annonces de naissance, qu’il m’a fallu éclaircir, au fur et à mesure, afin d’établir les réels liens de parenté.
 
Mais j’en ai pris l’habitude, ayant travaillé d’abord sur le parcours _ en zone dite libre, sous l’Occupation _ de mon père (Stanislawow, 1914 – Bordeaux, 2006) durant la guerre (entre mai 1942 et septembre 1944),
pour découvrir, à partir de menus indices, ce qu’il avait vécu : au camp de Gurs, où il a fait partie de Groupes de Travailleurs Etrangers _ GTE : une création de Vichy… _ ; puis à Toulouse, et surtout à Oloron, où il a eu quelques activités de Résistance…
 
J’ai travaillé aussi sur la généalogie (béarnaise) de la famille Bioy, d’Oloron
dont le plus célèbre membre est l’écrivain argentin Adolfo Bioy Casares (Buenos Aires, 1914 – Buenos Aires, 1999) _ ma mère (Tarbes, 1918 – Bordeaux, 2018), née Marie-France Bioy, était La mémoire vivante de notre famille…
Là-dessus, cf mon commode compendium d’articles du 30 juillet dernier :
Puis, j’ai entrepris des recherches sur la généalogie basquaise de la mère, Marie Delouart (Ciboure, 1840 – Paris, 1917), de Maurice Ravel (Ciboure, 1875 – Paris, 1937) :
j’ai ainsi appris à une très aimable luzienne, Maylen Lenoir, née Gaudin, le cousinage effectif, ignoré et même nié jusque là !!! _ et il y a là une étrangeté qui mériterait assurément d’être éclaircie ! _, de sa grand-mère, née Magdeleine Hiriart (1875 – 1968), avec Maurice Ravel ;
Maurice Ravel dont la grand-tante, Gachucha Billac (Ciboure, 1824 – Saint-Jean-de-Luz, 1902), sœur de sa grand-mère maternelle Sabine Delouart (Ciboure, 1809 – Ciboure, 1874),
était la gouvernante des 7 enfants Gaudin, à Saint-Jean-de-Luz, dont l’aîné, Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1875 – Bimbo, sur le fleuve Oubangui, 1910), était le mari de Magdeleine Hiriart…
Dans 2 lettres des 8 octobre 1910 et 20 novembre 1914 _ aux pages 246 et 403 de la Correspondance de Maurice Ravel publiée aux Éditions Le Passeur par Manuel Cornejo en 2018 _, à l’occasion des décès de Charles Gaudin _ le mari de Magdeleine Hiriart ; cf mon article du 16 juillet 2019 : _, puis de ses frères Pierre (Saint-Jean-de-Luz, 1878 – Mangiennes, 1914) et Pascal (Saint-Jean-de-Luz, 1883 – Mangiennes, 1914) Gaudin,
Maurice Ravel et Magdeleine Hiriart s’appellent « Mon cher cousin », « Ma chère cousine » : j’ai simplement cherché à comprendre pourquoi…
Et Maurice Ravel est demeuré toute sa vie l’ami très proche de Marie Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1876 – Saint-Jean-de-Luz, 1976), la 4ème des 8 enfants d’Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 1920) et Annette Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 1845 – Saint-Jean-de-Luz, 1936), au domicile desquels Maurice Ravel est descendu à de multiples reprises lors de ses séjours à Saint-Jean-de-Luz…
 
Je suis, bien sûr, en lien constant et amical avec le Président des Amis de Maurice Ravel, le très actif Manuel Cornejo, le magnifique éditeur de la très précieuse Correspondance de Maurice Ravel,
de la lecture scrupuleuse de laquelle je suis parti pour mes recherches…
J’ai ainsi pu corriger de grossières erreurs de certains biographes prétendument sérieux, qui se contentent de reprendre tels quels, sans critique, ni authentique recherche personnelle tant soit peu rigoureuse et approfondie, les travaux de chercheurs antérieurs…
Manuel Cornejo tiendra compte des apports de mes corrections et découvertes lors de la réédition à venir de cette très riche Correspondance
Lui aussi est un chercheur passionné (et sérieux !).
 
Dernièrement, je me suis intéressé aussi à la famille d’un ancien collègue de travail, au tournant des années 80,
dont deux neveux, fils de sa sœur Bertille de Swarte, sont d’intéressants _ et remarquables _ musiciens baroques : Sylvain Sartre et Théotime Langlois de Swarte…
Je me souvenais, en effet, que mon collègue, originaire de Dordogne, avait des liens de parenté avec la famille Sartre ;
et il se trouve que le père (Jean-Baptiste Sartre) de Jean-Paul Sartre (Paris, 1905 – Paris 1980) était originaire de Thiviers, en Dordogne : Jean-Baptiste Sartre est né à Thiviers le 5 août 1874 ; et décédé à Thiviers, le 17 septembre 1906.
Le père de Sylvain Sartre, Pierre Sartre, est, en effet _ j’ai pu l’établir : cf mon article du 8 juin dernier : ... _, un cousin des Sartre de Thiviers… 
Il suffisait d’opérer les connexions nécessaires…
Le monde n’est pas si grand que des chemins ne finissent pas par se croiser…
 
Et il se trouve aussi que ma belle-mère est d’une vieille famille d’Agen, les Boué ;
Agen, où vivent donc des cousins…
Je suis aussi Vice-Président de la Société de Philosophie de Bordeaux…
Et, par ma forme d’esprit, je suis fervent adepte et pratiquant de la sérendipité !
 
Encore merci de ce merveilleux contact !
A ce courriel mien d’hier à 11h 02,
Joël Petitjean a répondu très vite, à 12h 46,
ceci :
Cher Monsieur,
 
Je suis si heureux de recevoir votre réponse !
 
Votre message est passionnant et votre parcours tout à fait remarquable.
 
Il me semble que personne, avant vous-même, n’avait tenté une étude et une synthèse aussi complètes sur la généalogie de Louis Ducos du Hauron.
 
J’ai lu et entendu bien des choses sur sa vie et son oeuvre, mais je suis en effet très curieux d’en savoir davantage sur sa personnalité, ses relations avec ses proches, la manière dont il fut aimé et admiré par les siens, les souvenirs qu’il a laissés à sa famille… Tout cela est de nature à mieux faire comprendre son magnifique et étonnant parcours.
 
C’est pourquoi mes longues conversations téléphoniques avec Claude Lamarque, dans un climat d’extrême gentillesse et de passion partagée, m’ont comblé de bonheur… (Je n’ai pas de nouvelle récente de Claude ; en avez-vous ?)
 
Je me réjouis de notre future conversation. Je vous proposerai une date dans quelque temps (je prépare en ce moment ma communication pour le colloque).
 
Avec mes sincères remerciements, bien à vous.
 
Joël
 
N.B. 1. Après m’être senti bien seul durant de longues années (depuis 1998, sinon depuis 1984…), presque personne n’étant venu au musée voir les archives _ de Louis Ducos du Hauron _ que j’ai retrouvées _ et c’est en effet très frustrant ; alors que la photographie suscite tant d’intérêts… _  je suis ravi de voir, depuis 2015, toute une synergie se mettre _ enfin… _ en place à Chalon-sur-Saône, Paris, Agen, Lectoure, Langon, afin d’étudier et faire connaître Ducos du Hauron. Le colloque d’Agen _ le samedi 27 novembre prochain _ en sera un vibrant témoignage.
 
N.B. 2. Grâce à Charles Sarion et aux Amis de Ducos du Hauron, j’ai rendu un long article à la Société académique d’Agen. Celui-ci sera bientôt publié, avec d’autres contributions, dans un numéro de la Revue de l’Agenais consacré à l’inventeur
_ j’ai moi-même eu un article publié par la Revue de l’Agenais (127e année, n°1, janvier-mars 2000), concernant la Bibliothèque musicale des Ducs d’Aiguillon, conservée à Agen, et réalisé pour un colloque organisé à Aiguillon par Serge-Alain Paraillous…
J’avais entrepris ces recherches en tant que conseiller artistique de Hugo Reyne et La Simphonie du Marais…
Pour lesquels j’avais découvert, en 1995, une œuvre restée jusqu’alors inconnue de Marc-Antoine Charpentier, sur un livret de Jean de La Fontaine, de 1678 : Les Amours d’Acis et Galatée… Découverte précieusement mentionnée à la page 138 de la 2de édition, en 2004, du Marc-Antoine Charpentier de Catherine Cessac, aux Éditions Fayard : cf là-dessus mon article du 18 avril 2009 : .
Cela fait vraiment plaisir !!!
Ce dimanche 26 septembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

En reprenant, afin de précisions nouvelles, mes essais de généalogie de la descendance des 3 neveux (Amédée, Raymond et Gaston) de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920)…

24sept

Le message reçu hier 23 septembre 2021 _ en commentaire (important !) de mon article du 21 décembre 2010 : _

de Marie Boulanger, une amie de Philippe Engelhard,

message par lequel celle-ci m’avise que ce dernier est bien toujours vivant,

qu’il est né le 24 février 1942 _ et non pas le 29 juillet 1932, à Annecy, comme je l’avais écrit en mon article du 4 janvier dernier : … _,

et qu’il s’intéresse de près à la généalogie de sa famille,

m’amène à reprendre et réviser ce précédent essai de généalogie de la descendance des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

qu’étaient

1) Henri Amédée Lionel Ducos du Hauron (Agen, 9 août 1866 – Alger, 15 juillet 1935) ;

2) Raymond Camille Marie de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949) :

et 3) Etienne Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912).

Les deux nièces de Louis Ducos du Hauron, et sœurs d’Amédée et Gaston,

Marguerite Jeanne (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1979)

et Marie Alice (Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 19 avril 1979) Ducos du Hauron, ,

étant demeurées célibataires et sans descendance…

Voici donc la reprise, avec corrections et ajouts _ en rouge et en gras _, de mon article , du 4 janvier dernier :

Ayant bien conscience du caractère quasi « indigérable » pour presque tout lecteur, même gourmand de curiosités exotiques et pittoresques très éloignées de lui eu égard à la plupart de ses préoccupations _ au point de voisiner l’inintérêt total et la radicale insignifiance pour lui, et provoquant l’inappétence et le rejet sans recours de la lecture _ ; et le lecteur le mieux intentionné qui puisse être, à l’égard des assez extravagantes « aventures d’explorations » de ce blog _ quel lecteur normalement sensé aurait le courage-folie (et le temps !) de scrupuleusement suivre, et en sa plus fidèle continuité, jour par jour, cette « enquête«  à laquelle je me livre ici et m’enfonce en des pistes (et incises) perdues de tout, en l’exhaustivité de cette « somme-feuilleton«  ; l’auteur n’ayant pas tout à fait encore l’incongruité de se prendre pour un adepte de l’écriture merveilleusement libre et cultivée d’un Montaigne, ni celle, ludique et systémique, d’un Pérec ; et pas davantage d’un Louis-Sébastien Mercier… _,

j’éprouve le besoin, pragmatique et éminemment modeste, de faire simplement, à ce moment, un petit point-bilan de ce qui persiste, à ce jour, de « taches aveugles » parmi les effectives avancées _ bien réelles ! _ de cette recherche, entreprise il y a maintenant un mois, d’identification des divers membres de la constellation familiale ayant entouré de sa très précieuse et très constante aide, d’abord la personne, mais aussi, ensuite, l’œuvre qui demeurait _ ad vitam æternam après le décès de leur génial auteur _, de cet extraordinaire inventeur qu’a été le gascon Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920).

Dont le parcours d’inventeur mérite d’être enfin reconnu _ à cette occasion opportune et bien commode du centième (ou maintenant cent-unième) anniversaire de son décès _ à son entier _ et tout à fait singulier _ mérite.

Je désire donc continuer de réduire les « taches aveugles » qui persistent encore concernant l’identité et la filiation des personnes _ extrêmement bienveillantes à l’égard d’abord, bien sûr, de la personne, mais aussi des travaux et inventions, de cet extraordinaire inventeur (y compris après le décès de celui-ci, en 1920) _, appartenant à la constellation familiale _ élargie à l’entourage, toujours assez important, de leurs parents et alliés _ des petits-neveux et petites-nièces _ et leurs descendants _ de Louis Ducos du Hauron

_ soient les enfants (et descendants) de ses très chers neveux (qui, chacun des trois, l’ont tous magnifiquement épaulé en ses recherches), Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935) et son frère Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912), les deux fils d’Alcide Ducos du Hauron, et son épouse Césarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen ? mai 1923), ainsi que leur cousin germain Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949), le fils semble-t-il unique de Berthe Ducos, et son époux Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896) ;

et de leurs épouses respectives, Ducos du Hauron (nées Marie-Louise Rey, et Edmée de Lamarque), et de Bercegol (nées Émérancie David et Yvonne Marinier) ;

pour m’en tenir, tout d’abord, au niveau de la seconde génération qui a suivi celle de Louis Ducos du Hauron (1837 – 1920), son frère aîné Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), et sa sœur cadette Berthe (Libourne, 23 janvier 1842 – ?, ?), puis celle de ses neveux Amédée (1866 – 1935), Raymond (1869 – vers 1949) et Gaston (1870 – 1912) _,

c’est-à-dire cette génération des petits-neveux et petites nièces de Louis Ducos du Hauron,

qui a suivi celle de ses neveux Amédée, Raymond et Gaston : nés en 1866, 1869 et 1870 ; et décédés en 1912, 1935 et 1949.

En voici donc un tableau :

1°) Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (?, 1879 – Agen, 1933) _ j’ignore à ce jour le lieu (peut-être _ ou plutôt très probablement _ à Orléansville, où semble être née et avoir été domiciliée _ au moins chez son oncle et tuteur Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), à partir du décès des deux parents de Marie-Louise, sa mère Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) et son père Jean Anatole Firmin Rey (Satolas, 2 avril 1821 – Oran, 28 janvier 1890) _  Marie-Louise Rey…),

et la date (probablement entre 1896 et 1901…),

de leur mariage, en Algérie _ probablement à Orléansville _ ; peut-être est-ce même ce mariage avec Marie-Louise Rey, en Algérie, qui aura décidé Amédée Ducos du Hauron à lui faire choisir ne pas accompagner ses parents, son frère Gaston et son oncle Louis, retourner en France, mais plutôt demeurer, lui et son épouse, en Algérie… _

ont eu au moins cinq enfants _ dont je connais 4 (sur 5) des prénoms (du moins si je me fie au nombre d’enfants que le couple avait à charge, en 1927, à Rébeval, au moment de la retraite de la fonction publique d’Amédée…) : Éveline, Edmée, Gérard et Roger ; j’ignore le prénom de celle que je suppose avoir été la troisième des filles (ou le troisième des garçons…) d’Amédée et Marie-Louise : et cela sur la foi du faire-part, paru dans le numéro de L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939, annonçant le décès d’Éveline Ducos du Hauron, épouse de l’administrateur de Dupleix Henri Ducros ; faire-part sur lequel figurent seulement deux Ducos du Hauron _ frères de la défunte Éveline _ : Gérard et Roger… : les autres enfants d’Amédée et Marie-Louise (frères et sœurs de cette Éveline décédée cette fin décembre 1938…) seraient-ils donc décédés _ probablement ! _ entre l’année 1927 et l’année 1938 ?.. _ Ducos du Hauron ;

2°) Gaston Ducos du Hauron (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912) et son épouse Edmée de Lamarque (Poitiers, 1876 – Saint-Mandé, 22 février 1902) _ leur mariage a eu lieu à Saint-Mandé, le 7 janvier 1898 _

ont eu deux enfants, deux filles _ Etiennette et sa cadette, Marie-Madeleine-Adrienne, dite Simone _ Ducos du Hauron ;

et 3°) Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 1869 – Paris 16e, vers 1949) et ses deux épouses successives, Émérancie David (Bélaye, 21 avril 1875 – Bélaye, 31 octobre 1905) _ leur mariage a eu lieu à Bélaye, le 28 octobre 1896 _, puis Yvonne Marinier (Saint-Trojan, 29 août 1875 – j’ignore le lieu et la date de son décès…) _ leur mariage a eu lieu à Bordeaux, le 4 juin 1907 _ont eu deux enfants, deux filles _ Marie-Henriette et Simone _ de Bercegol, toutes deux précocément décédées : l’aînée, le 15 novembre 1912, et la cadette, deux mois auparavant, le 7 septembre 1912 _  ; et donc sans descendance.

Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) _ l’aîné des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920) _ et son épouse Marie-Louise Rey (peut-être Orléansville, 1879 – Agen, 1933)

ont donné 5 petits-neveux à l’oncle Louis (Langon, 1937 – Agen, 1920) _ dont j’ignore, à ce jour, presque tout de l’ordre de naissance (à part celle d’Edmée, en 1904, à Lamartine ; et celle de Gérard, en 1909, à Berrouaghia) ; mais, sur foi d’un article de L’Écho d’Alger annonçant une exposition, à Alger, en 1927, de photos de Louis Ducos du Hauron, je suppose que, en 1927, 5 enfants d’Amédée Ducos du Hauron étaient vivants et « à sa charge«  de retraité (disposant d’une maigre pension de « 400 francs par mois« …), domicilié alors à Rébeval, une des villes où avait déjà résidé Amédée lors d’une des étapes (c’était en 1913) de son périple d’administrateur-adjoint de diverses « communes mixtes«  _ :

_ Éveline Ducos du Hauron, née peut-être à Orléansville, entre 1896 et 1901, et décédée à Alger fin décembre 1938 ; épouse _ j’ignore où eut lieu ce mariage, et probablement entre fin 1926 (où un nommé François Perez qualifiait Éveline Ducos Ducos du Hauron de « son épouse«  !) et 1929 : un point qui reste à éclaircir… _ de Henri Ducros : originaire d’Azazga _ où sa famille était installée depuis la fin des années 1880… _, Henri Ducros (né à Alger le 25 juin 1887) a été administrateur-adjoint de Port-Gueydon, où sont nés trois des enfants de ce couple formé de Henri Ducros et Éveline Ducos du Hauron : Raymonde Ducros (décédée en bas âge à Port-Gueydon au mois d’octobre 1933 _ j’ignore sa date de naissance _), Yves-Henri Ducros (né à Port-Gueydon au début du mois de juin 1930) et Raymond Ducros (né à Port-Gueydon au mois de mai 1931).

J’ignore si Yves-Henri Ducros et son frère Raymond Ducros, ont eu, ou pas, une descendance…

Ainsi que si ils ont, ou pas, quelques liens avec la bien connue entreprise (d’épices) Ducros,

installée entre Avignon et Carpentras ? Une piste à explorer…

_ Edmée Ducos du Hauron, née à Lamartine le 9 juillet 1904, où son père, Amédée, était alors administrateur-adjoint _ j’ignore le lieu et la date de son décès ; et si elle a été mariée et a eu une descendance : probablement pas…

_ un 3e enfant, et peut-être une fille _ dont j’ignore le prénom _ Ducos du Hauron.

_ Gérard Ducos du Hauron, né à Berrouaghia le 30 août 1909 (où son père, Amédée, était administrateur-adjoint), et décédé à Avignon le 27 janvier 2000. Gérard Ducos du Hauron a épousé à Alger, le 25 novembre 1939, Mme Veuve Jacquet, née Célestine-Léontine Noiraux (Haraucourt, 12 novembre 1893 – Cavaillon, 29 juillet 1972) ; et il ne semble pas avoir eu de descendance.

_ Roger Ducos du Hauron _ dont j’ignore le lieu et la date de naissance, ainsi que le lieu (en France : il est venu vivre à Savigny-sur-Orge au moment de son rapatriement en France, vers 1962 (mais pas dans la maison du 14 de la rue des Rossays, où avaient vécu ses grands-parents, Alcide et Césarine-Marie, ainsi que son grand-oncle Louis : cette maison sur laquelle a été apposée, en 1951, une plaque commémorant le séjour, là, de l’inventeur Louis Ducos du Hauron…) et la date de son décès _ ; Roger Ducos du Hauron et son épouse Sylvia _ j’ignore son nom de jeune fille… _ ont eu 4 enfants : Marie-José Sylvia Ducos du Hauron (Alger, 4 avril 1944 – Langrolay-sur-Rance, 28 décembre 2009) ; Jean-Louis Ducos du Hauron (né en 1953 _ peut-être lui aussi à Alger… _ et qui vit aujourd’hui en Espagne… ; celui-ci a deux fils, dont l’un est prénommé Cédric ; et l’autre, Aurélien) ; Danièle Ducos du Hauron ; Denise Ducos du Hauron.

Gaston Ducos du Hauron (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912) _ le second des fils du frère aîné de Louis (Langon, 1837 – Agen, 1920), Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909) et de son épouse Césarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen, ? mai 1923) _ et son épouse Edmée de Lamarque (Poitiers, 1876 – Saint-Mandé, 1902), mariés à Saint-Mandé le 7 janvier 1898, ont donné, eux, deux petites-nièces à l’oncle Louis (Langon, 1837 – Agen, 1920) :

._ Etiennette Ducos du Hauron, née à Saint-Mandé le 26 décembre 1898, et décédée à Paris-6e le 20 décembre 1996. Épouse à Agen, le 20 juillet 1920, de son cousin Alfred Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris-7e, 1er décembre 1976), Etiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque ont été les parents de 10 enfants Lamarque : Jacqueline Lamarque (qui épousera Jean Allard : ils auront 3 enfants : Anne-Elisabeth, François et Louis Allard), Geneviève Lamarque (qui épousera Bernard Viennot : ils auront 5 enfants : Benoît, Emmanuel, Hubert, Anaïs et Dominique Viennot), Yves Lamarque _ marié, il a des enfants _, Marie-Madeleine Lamarque (précocement décédée), Jean Lamarque _ marié, il a des enfants _, Xavier Lamarque _ marié, il a des enfants _, Marie-Odile Lamarque (devenue Mère Marie de Sienne), Anne-Marie Lamarque (qui épousera un M. Haudiquet ; leurs fils est Xavier Haudiquet-Lamarque), Marguerite-Marie Lamarque (précocement décédée) et Claude Lamarque (devenu chef d’orchestre) _ Claude Lamarque, qui a un fils vivant au Sri Lanka, compte, m’a-t-il confié, 27 neveux et 43 petits-neveux, nés de ses frères et sœurs Lamarque qui ont eu des enfants.

_ Marie-Madeleine-Adrienne, dite Simone, Ducos du Hauron, née à Saint-Maurice le 20 mai 1900, et décédée à Bayeux le 22 novembre 1955. Épouse à Paris 7e, le 27 janvier 1932, de Jacques Engelhard, Simone Ducos du Hauron et Jacques Engelhard ont été les parents de 2 enfants : Philippe Engelhard (Annecy, 29 juillet 1932 – Paris 16e, 28 octobre 2017 : là, il y a eu hélas confusion de ma part  : en fait, Philippe Engelhard est né le 24 février 1942, et surtout il vit toujours !) ; et Marie-Bernadette-Gemma-Etiennette- Françoise (dite Nadine) Engelhard (Berck, 30 septembre 1935 – Neuilly-sur-Seine, 26 juin 2019).

Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 1869 – Paris 16e, vers 1949…) _ le troisième des neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), le fils de sa sœur Berthe Ducos ((Libourne, 23 janvier 1842 – ?, ?) et de son beau-frère Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896) _ a eu de chacune ses deux épouses, Émérancie David (Bélaye, 1875 – Bélaye, 1905), et Yvonne Marinier (Saint-Trojan, – Paris 16e, ?), une fille _ Marie-Henriette (Bélaye, 16 janvier 1899 – Joinville-le-Pont, 15 novembre 1912) et Simone-Camille-Jeanne-Marie (Joinville-le-Pont, 13 mars 1910 – Paris 13e, 7 septembre 1912) _mais toutes deux précocement décédées, et donc sans descendance _ et j’ignore si Raymond de Bercegol et son épouse Yvonne ont eu, ou pas, un autre enfant… _ :

_ Marie-Henriette de Bercegol (née à Bélaye, le 16 janvier 1899, et décédée à Joinville-le-Pont le 15 novembre 1912) ;

_ Simone de Bercegol (née à Joinville-le-Pont, le 13 mars 1910, et décédée à Paris 13e le 7 septembre 1912) 

Voilà où je me trouve, à ce jour, 4 janvier 2001, de cette identification des personnes constituant la famille des héritiers _ tout du moins en esprit _ de Louis Ducos du Hauron,

et de son œuvre.

Ce lundi 4 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà donc ce vendredi 24 septembre 2021 quelque corrections et ajouts à ce tableau généalogique de la descendance des neveux Ducos du Hauron (Amédée et Gaston) et de Bercegol (Raymond), de Louis Ducos du Hauron (1837 – 1920),

du 4 janvier dernier…

J’ose espérer que la lecture, quelque jour _ comme celle que viens de faire hier Annie Boulanger… _, de ce blog ;

ou bien les opportunités de rencontres qu’offrira le colloque « Ducos du Hauron » du samedi 27 novembre prochain, au Théâtre Ducournau, à Agen,

permettront l’éventualité de quelques nouveaux progrès dans l’établissement de cette descendance des neveux de Louis Ducos du Hauron,

ce génie agenais,

inventeur de la « photographie de couleurs« …

Ce vendredi 24 septembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Des nouvelles des Amis de Louis Ducos du Hauron, à Agen

08mai

Ce mois d’avril l’Association agenaise « Les amis de Louis Ducos du Hauron« 

vient de publier son bulletin « La Gazette illustrée de Ducos » numéro 17 – avril 2021.

Ce samedi 6 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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