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Une violoniste hors pair : Vilde Frang…

23jan

De la violoniste _ norvégienne _ Vilde Frang,

j’ai fait l’éloge

de son prodigieux CD Bartok-Enesco _ le CD Warner 0190295662554 _,

en mon article du 19 septembre 2018 :


Je l’avais découverte, en 2016,

pour son CD, magnifique aussi _ ou déjà _, Britten – Korngold _ un précédent CD Warner.

Et voici que par hasard ce jour

je tombe, en un bac de CDs,

sur son CD Sibelius – Prokofiev _ le CD Warner 50999 6 84413 2 6.


Quelle musicienne !!!

Tout frémit de vie,

et avec la plus grande justesse…

Chapeau, l’artiste !!!

Une virtuosité sans esbroufe, très simplement.

Il faut y arriver…

Ce mercredi 23 janvier 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

Les radieuses « Nuits d’été » d’Anne-Catherine Gillet _ ou la perfection de l’enchantement de la mélodie avec orchestre

24oct

Un admirable récital constitué des Nuits d’été (d’Hector Berlioz/Théophile Gautier), des Illuminations (de Benjamin Britten/Arthur Rimbaud) et de Knoxville : Summer of 1915 (Samuel Barber/James Agee), enchante depuis un bon mois _ et sans discontinuer _ notre platine…

Et cela par la grâce de la voix claire et merveilleusement intelligente de la soprano Anne-Catherine Gillet, et de l’Orchestre Philarmonique Royal de Liège, sous la direction raffinée de Paul Daniel,

en un CD Æon AECD 1113 : de toute beauté !..

Outre la perfection de la composition _ pas seulement thématique ! loin de là… _ de ce programme, et l’enchantement poétique de cette interprétation si fine et à pareil degré de grâce !,

il faut noter le parfait rendu de l’inspiration mélodique unissant le génie des poésies _ la sensualité un brin mélancolique (dans la seule distance du souvenir !) de la chair poétique (pleine !) de Théophile Gautier, est idéalement sensible ici... _ élues

et l’art de la mélodie de ces trois compositeurs : je noterai que Britten comme Barber ont su retenir (et exalter !) quelque chose du génie de l’art français _ de la mélodie, donc _ d’Hector Berlioz…

Bien sûr, nous nous souvenons de la voix crémeuse magique et de la diction de la sublime Régine Crespin, de même que de la capacité non moins sublime d’incarnation rayonnante (!) de Janet Baker, ne serait-ce, déjà, que dans les berlioziennes Nuits d’été,

mais la clarté lumineuse de la voix et de l’art de chanter d’Anne-Catherine Gillet règne aussi sur ces cimes…

Nous ne sommes pas près de l’oublier, désormais…

Et ce chef d’œuvre absolu que sont Les Illuminations de Barber/Rimbaud achève en apothéose le bouquet d’enchantement de ce parfait récital…

Soit, aussi, la perfection de la mélodie.


Titus Curiosus, ce 24 octobre 2011

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