Posts Tagged ‘enquête généalogique

Quelques retouches-appoints à un article du 26 février 2021 sur un point que j’y faisais alors à propos de mes recherches sur les familles Bonopéra et Morand de La Genevraye d’Orléansville, en leur alliance, via les Gentet, Rey, Confex, Wachter, à la branche algéroise-algérienne d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse orléansvillaise Marie-Louise Rey…

27fév

Les coups de fil reçus le 1er février dernier de MM. Matthias et Georges Bonopéra, fils et père, m’ont remis sur le chantier de mes recherches à propos des familles, alliées entre elles, d’Orléansville, entre 1850 et 1940, dans l’entourage immédiat d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) _ le neveu algérois de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen , 31 août 1920), l’inventeur, à Lectoure, en 1868, de la « photographie de couleurs«  _, et son épouse orléansvillaise Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933)_ j’ai tout récemment appris que le mariage d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey avait eu lieu à Orléansville le 10 juin 1896 _ ;

et plus spécialement à propos de la famille Bonopéra, dont le nom de « Bonopéra » apparaît dans le faire-part du décès, publié par L’Écho d’Alger du 2 janvier 1930, d’Eveline Ducos du Hauron _ là encore, c’est tout récemment que j’ai découvert que Marie-Aimée-Eveline Ducos du Hauron était née à Orléansville  au mois de mars 1898,  entre le 24 et le 30… _, l’épouse de Henri Ducros, et la fille aînée d’Amédée et Marie Louise…

« Monsieur Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix, ainsi que ses enfants ;

MM. Ducos du Hauron, Gérard et Roger ;

Mme Jacquet ;

Mme Vve Gadel et ses enfants ;

les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure,

vous font part du décès de leur chère et regrettée

Madame Henri DUCROS née Éveline DUCOS DU HAURON.

Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939 »

Ou plutôt, et c’est très important, le nom « Bonopéra » n’y apparait, pour la première fois, pas !

Alors que figurait jusqu’alors, sinon nommément « Mme Vve Paul Bonopéra« , du moins le nom générique de la famille « Bonopéra » dans les divers faire-part des familles auxquelles celle-ci était au moins alliée.

On pourrait en déduire que c’est entre ces dates des deux avis de décès, celle du 8 octobre 1935, pour le faire-part du décès de Georges Morand de La Genevraye,  et celle du 2 janvier 1939, pour le faire-part du décès d’Eveline Ducos du Hauron, qu’est probablement décédée, à Orléansville, cette « Madame Veuve Paul Bonopèra mère« …

Ainsi en est-il des divers faire-part de la famille Gadel, à laquelle appartient, depuis son mariage à Orléansville le 11 mars 1905, avec Victor Gadel, la sœur cadette de Marie-Louise Ducos du Hauron, née Rey : Aimée-Laurence Rey, devenue depuis le décès de son époux M. Victor Gadel à Alger le 30 mars 1930, « Mme Vve Gadel » ;

tel, par exemple, ce faire-part de décès-ci, paru dans l’Echo d’Alger le 31 mars 1930 :

« Mme Vve Victor Gadel ;

M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie,

Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude ;

M. Georges Gadel ;

Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris ;

Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ;

Mme et M. Henri Ducros ;

Mme et M. Eugène Gentet ;

Mme Vve Gentet ;

les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ;

Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra

ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL
Payeur-adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,

survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans,

et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.

Réunion au domicile mortuaire, 32, rue Eugène Robe.

P. F. GUYE, 38, rue Rovigo, Alger. T. 51-71« 

Ou encore, et bien sûr surtout, les faire-part de décès de la famille Morand de La Genevraye,

dont les descendants avaient pour ancêtre direct, cette fois, Marguerite Bonopéra _ l’épouse d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de La Genevraye, maire d’Orléansville à l’heure de son décès le 25 mai 1904, à Orléansville _la mère des 7 enfants du couple qu’elle formait avec Auguste Morand de La Genevraye : Augustine, Angèle, Alphonse-Jean, Jocelyne, Auguste-Michel, Jules-Charles et enfin Georges Morand de La Genevraye

_ cf mon article «  » du 23 février 2021, dans lequel je mentionne que c’est un long échange téléphonique, entre 16h 44 et 17h 34, le dimanche 21 février 2021, avec Madame Françoise Pons, née Morand de La Genevraye, qui m’a énoncé la liste complète de ces 7 enfants d’Auguste Morand de la Genevraye et Marguerite Bonopéra ; dont elle-même, Françoise Pons, née Morand de La Genevraye à Alger en 1940, est la descendante directe : Françoise Pons, née Morand de La Genevraye, est en effet arrière-petite-fille de Marguerite Bonopéra et Auguste Morand de La Genecraye, via son père Robert-Auguste Morand de La Genevraye, né à Blida entre le 29 février et le 9 mars  1915 (et époux d’Odette Gallais) ; et son grand-père Jules-Charles Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1881 (et époux de Clémence Orgeret) : le sixième des 7 enfants de Marguerite et Auguste (et j’ignore la date du décès, peut-être à Rabelais, où il était propriétaire viticulteur, ainsi que conseiller municipal, de Jules-Charles Morand de La Genevraye : probablement après 1938, d’après des recherches généalogiques de flapalu, dont j’ignore les sources concernant cette famille Morand de La Genevraye)_ :

ainsi en 1935, lors du décès du dernier né de ce couple _ de Marguerite Bonopéra et Auguste Morand de La Genevraye _, Georges Morand de La Genevraye, à Orléansville, le 7 octobre 1935,

si « Mme Vve Paul Bonopéra«  _ née Confex _ figure en bonne place sur le faire-part de décès du défunt,

c’est en tant que tante par alliance de celui-ci : en effet le défunt mari de celle-ci _ née Confex _, Paul Bonopéra (né à Miliana le 10 janvier 1856), était rien moins que le frère cadet de Marguerite Bonopéra (née à Miliana le 22 janvier 1859), la mère de ce défunt Georges Morand de La Genevraye (qui était né à Orléansville le 21 février 1888)…

Et c’est sur cette piste prometteuse de la recherche de l’identité précise de cette « Mme Vve Paul Bonopéra » née Confex _ Paul Bonopéra, son époux était donc né à Miliana le 10 janvier 1856 et décédé à Orléansville, 16 janvier 2016 _, apparentée _ via sa nièce « Mme Vve Louis Gentet » née Wachter, elle-même fille de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (né à Rougemont le 5 février 1827) et Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (née à Marseille le 28 décembre 1836, et décédée à Alger le 30 mars 1925 : cette « Mme Vve Wachter » née Confex, sœur de « Mme Vve Paul Bonopéra » née Confex) _ aux Rey-Gentet-Ducos du Hauron,

que je ne tardais pas à me pencher très bientôt aussi, cette fin du mois de février 2021, sur la famille orléansvillaise des Morand de La Genevray,

parce qu’il se trouve très précisément, et pardon si j’y insiste encore ici, que la sœur aînée de ce Paul Bonopéra, Marguerite Bonopéra, née à Miliana le 22 janvier 1849 _ et décédée très probablement à Orléansville entre 1892 et 1901, d’après ce que révèle la lecture des livrets militaires de 1892 et 1901 de deux de leurs deux fils : Alphonse-Jean Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 7 juin 1872, et Jules-Charles Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1881 ; le dernier né de leurs 7 enfants, étant ce Georges Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1888, qui est décédé .à Orléansville le 7 octobre 1935… _, se révélait être l’épouse d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de La Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904), et la mère de leurs 7 enfants : Augustine, Angèle, Alphonse-Jean, Jocelyne, Auguste-Michel, Jules-Charles et Georges Morand de La Genevraye…

Voici donc,

avec l’appoint-enrichissement de plusieurs retouches en fonction de quelques unes de mes récentes découvertes _ cf mes articles « « ,

«  »

et « «  des 18, 20 et 21 février derniers  _,

la reprise, avec ajouts, de cet article déjà crucial pour ma recherche généalogique de la descendance d’Amédée Ducos du Hauron et des familles alliées à la famille de son épouse Marie-Louise Rey _ dont la mère était l’orléansvillaise de vieille souche Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886), et le tuteur, après le décès du père de Marie-Louise, Anatole Rey, à Oran le 28 janvier 1890, était son oncle maternel orléansvillais Louis Gentet (Orléansville, 12 décembre 1853 – Orléansville, 9 août 1906)… _,

un article en date, donc, du 26 février 2021 :  « « 


Et à suivre, bien sûr,

Ce mardi 27 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un premier point sur les croisements de quelques destinées à Orléansville, au cours de la seconde moitié du XIXe sièle : les Gentet, les Rey, les Morand de La Genevray, les Bonopéra, les Wachter …et Amédée Ducos du Hauron…

07fév

Les passionnantes questions que m’ont posées au téléphone jeudi 1er février dernier deux des membres de la famille Bonopéra,

m’ont conduit à reprendre pour les préciser quelques points demeurés jusqu’ici aveugles de mes recherches précédentes, entreprises en 2020-21 principalement, à partir de mon désir de mieux comprendre le parcours en Algérie _ dont Orléansville, où très probablement il s’est marié, avec l’orléansvillaise Marie-Louise Rey… _ du neveu, Amédée Ducos du Hauron (Agen 1867 – Alger, 1935), du génial inventeur de la « photographie de couleurs » _ à Lectoure en 1869 _, Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920),

ainsi qu’en témoigne mon article «  » du 4 février dernier…

Pas mal de difficultés de la recherche _ et de points demeuré aveugles _ venant de la totale destruction-disparition des états-civils _ naissances, mariages, décès _ d’Orléansville _ fondée par le général Bugeaud le 16 mai 1843 _ et sa région lors des terribles séismes de 1954, puis 1980…

Il me faut donc tâcher de revenir davantage bien plus précisément sur ces croisées de destins, à Orléansville même, de divers membres des familles Gentet, Rey, Morand de La Genevraye, Bonopéra, Wachter, ainsi que le jeune Amédée Ducos du Hauron, qui allait épouser _ possiblement en 1897, comme pourraient l’indiquer quelques mentions des livrets militaires d’Amédée, mais aussi de son frère Gaston Ducos du Hauron (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912)… _ à Orléansville, Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 1933), fille d’Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 1886) et Anatole Rey (Le Grand-Serre, 1845  – Oran, 1890 _ qui a été maire d’Orléanville en 1880-1882… _),

la pupille _ devenue doublement orpheline, donc, le 28 janvier 1890 à la mort de son père _ de son oncle maternel Louis Gentet (Orléansville, 12 décembre 1853 – Orléansville, 9 août 1906) et son épouse, née Wachter _ mais dont j’ignore encore à ce jour  le prénom, ainsi que la date de décès, probablement à Orléansville _, nièce d’Élisabeth Confex (Marseille, 26 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), épouse puis veuve Wachter (de Jean-Baptiste-Antoine Wachter : Rougemont, 5 février 1827  – Orléansville, ?)…

Et Élisabeth Confex étant sœur de celle, née donc elle aussi Confex _ mais dont j’ignore encore à ce jour aussi le prénom, ainsi que la date de décès, probablement à Orléansville _, qui deviendra en 1916 la veuve de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916), elle-même tante maternelle de sa nièce Wachter, épouse _ j’ignore à quelle date _ puis veuve _ le 2 août 1906  _ Gentet… ;

Et Paul Bonopéra étant le frère de Marguerite Bonopéra (Miliana, 1849 – Orléansville, ?), épouse d’Auguste Morand de La Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904), qui était maire d’Orléanville au moment de son décès le 25 mai 1904 _ Marguerite était décédée quelques années plus tôt : entre 1892 et 1901 ; cf surtout mon article « «  du 23 février 2021. La destruction des archives d’état-civil d’Orléansville et toute sa région lors des terribles séismes de 1954 et 1980 pénalise énormément les efforts de recherche…

Il est donc intéressant de mener une recherche un peu approfondie sur les installations successives à Orléansville de ces diverses familles : les Gentet, les Rey, les Morand de La Genevray, les Bonopéra, les Wachter, ainsi que l’arrivée à Orléansville d’Amédée Ducos du Hauron, au poste de rédacteur à la sous-préfecture d’Orléansville, et avant d’entamer une carrière itinérante, au mois de janvier 1901, d’administrateur-adjoint de diverses communes mixtes de par toute l’Algérie (cf mon article « « , en date du 5 janvier 2021) ;

à Orléansville, donc, où Amédée Ducos du Hauron devait épouser Marie-Louise Rey, possiblement en janvier 1897, si l’on s’appuie sur la liste des mentions de quelques localités où ont résidé _ où pouvoir les joindre au plus vite en cas de mobilisation générale… _, d’une part Marie-Louis-Amédée, et d’autre part son frère Gaston Ducos du Hauron, en leurs registres-matricules militaires respectifs : Amédée, le 18 avril 1895, et Gaston, le 21 janvier 1897, se trouvent donc résider alors à Orléansville :

je suppose ainsi ici que Gaston se serait déplacé, de son domicile-résidence d’Alger, à Orléansville, afin d’assister assez probablement au mariage de son frère aîné Amédée avec l’orléansvillaise Marie -Louise Rey, née en 1879 _ en janvier 1897, Marie-Louise a donc 17 ou 18 ans ; et Amédée, né à Agen  le 24 mars 1867, bientôt 30 ans ;

Marie-Louise Rey, orpheline de ses deux parents (sa mère, Adélaïde Gentet, est décédée à Oran le 5 juillet 1886 ; et son père, Anatole Rey, est décédé à Oran le 28 janvier 1890), vit ainsi à Orléansville au domicile de son oncle maternel  et tuteur, voilà !, Louis Gentet (Orléansville, 12 décembre 1853 – Orléansville, 9 août 1906) et son épouse née Wachter, qui est une nièce de la future veuve Bonopéra, née Confex (cf mon article « «  en date du 1er décembre 2021) ;

cf aussi mon article « «  en date du 4 janvier 2021, à propos des dates de naissance des divers enfants du couple d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey _ une tâche toujours inachevée de ma part à ce jour… _,

Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey dont les trois premières nées sont les petites

Eveline _ date et lieu de naissance encore inconnus à ce jour : Eveline, qui décèdera à Alger à la toute fin du mois de décembre 1938 (cf ici mon article « « , en date du 18 janvier 2021), est probablement née à Orléansville, entre 1896 et 1901 _,

Yvonne-Marie-Aimée (née à Orléansville au mois d’aût 1901, décédée à Paris 17e, au domicile de sa tante Marie-Alice Ducos du Hauron _ Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971 _, 27 rue des Batignolles, à l’âge de 10 mois, le 19 juin 1902 (cf mes articles «  » du 19 juillet 2023, surtout, mais aussi «  « , du 5 novembre 2021),

et Edmée (née à Lamartine le 9 juillet 1904 (selon une rubrique « Naissances » du Progrès d’Orléansville, en date du 8 septembre 1904) _ mais, du fait de la disparition des archives d’état-civil d’Orléansville et sa région, j’ignore encore le lieu (possiblement Orléansville, ou sa région) et la date du décès de celle-ci…

Viendront plus tard deux garçons

Gérard-Yves-Alcide, né à Berrouaghia le 30 août 1909, et qui décédera à Avignon le 27 janvier 2000,

et Louis-Roger Ducos du Hauron : j’ignore encore le lieu et la date de sa naissance, de même que le lieu et la date de son décès ;

mais tous deux, Gérard _ alors âgé de 30 ans _ et Roger _ plus jeune _, figurent dans le très précieux _ pour notre recherche _ faire-part du décès de Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron, leur sœur aînée, paru dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939, à la page 6 _ cf de nouveau mon article «  » du 17 janvier 2021 _ :

« M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants ; MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger _ les deux frères de la défunte _ ; Mme Jacquet ; Mme Vve Gadel et ses enfants ; les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure, vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri DUCROS, née Eveline DUCOS du HAURON. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité, le 1er janvier 1939.«

À cette date du 2 janvier 1939, au lendemain du décès de leur sœur Eveline, de cette fratrie d’au moins 5 enfants d’Amédée Ducos du Hauron (décédé à Alger le 15 juillet 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (décédée à Agen le 20 septembre 1933), ne demeurent ainsi plus en vie que Gérard et Roger… 

Bien sûr à suivre…

Ce mercredi 7 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

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