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Et maintenant, un tableau de la descendance de Jules-Charles Morand de la Genevraye (né à Orléansville le 17 juin 1881) et son épouse Clémence Orgeret, via leurs quatre enfants : Juliette (1906 – 1998), Lucienne-Marcelle (1910 – 2015), Robert-Auguste (1915 – ?) et Suzanne-Antoinette (1922 – 2014) Morand de la Genevraye…

19mar

Dans la continuation de mes articles d’essai d’identification la plus précise et complète possible de la descendance issue du couple Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, après 1888) – Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904),

c’est-à-dire mes articles les plus récents du 3 mars 2024 « « ,

du 4 mars 2024 « « ,

du 6 mars 2024 « « ,

du 11 mars 2024 « «

ainsi que de celui du 14 mars 2024 « «,

après le tableau de la descendance des deux filles aînées de Marguerite Bonopéra et Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye,

d’une part Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye ( ?, 1867 -Orléansville, 8 février 1895)

et d’autre part Angèle Morand de la Genevraye (Orléansville, 1870 – ?, après octobre 1935)

épouses successives de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 27 décembre 1856 – Alger, 1946),

ainsi qu’après le constat d’absence de descendance de leur frére Alphonse-Jean Morand de la Genevraye (Orléansville, 7 juin 1872 – Orléansville, 19 mars 1922) et son épouse Lucie Tourrenc (Renault, 8 novembre 1881 – ?, ?),

c’est aujourd’hui à un tableau de la descendance de leur frère Jules-Charles Morand de la Genevraye (Orléansville, 17 juin 1881 – ?, ?) et son épouse Clémence Orgeret (?, ??, ?), que j’en viens à m’attacher ici,

via, pour commencer, leurs 4 enfants,

nés en 1906, 1910, 1915 et 1922 :

Juliette Morand de la Genevraye (Orléansville, 25 janvier 1906 – Lagardelle-sur-Lèze, 22 octobre 1998),

épouse de René Raymond (?, 24 juillet 1895 – Menton, 1971) ;

_ Lucienne-Marcelle Morand de la Genevraye (?, 20 février 1910 – Cusset, 24 novembre 2015),

épouse d’Étienne Lauprêtre (Paris 14e, 21 mai 1904 – Saint-Pourçain-sur-Sioule, 6 janvier 1996) ;

_ Robert-Auguste Morand de la Genevraye (Blida, 1915 – ?, ?),

époux d’Odette Gallais (Inkermann, 16 décembre 1919 – ?, ?) ;

_ et Suzanne-Antoinette Morand de la Genevraye (Rabelais, 18 novembre 1922 – Menton, 19 mai 2014),

épouse d’Adolphe Gourgue (Renault, 22 juillet 1921 – Nice, 24 juin 2006).

À suivre, donc…

Ce mardi 19 avril 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Commencer par faire un point sur l’arbre généalogique des deux filles aînées, Augustine-Marguerite et Angèle, d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye et Marguerite Bonopéra, épouses successives, vers 1886 et l’année 1895, de Georges-Auguste Revillon d’Apreval…

03mar

Toujours dans l’esprit de rechercher des réponses les plus précises possibles aux 3 questions « Qui ?« , « Quand ? » et « Où ? » de mon enquête sur les familles d’Orléansville apparentées, directement ou indirectement, à Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), mariés à Orléansville, le 10 juin 1896,

voici un tout premier effort de tracer un tableau de la  descendance des deux premiers enfants, Augustine-Marguerite, née en 1866, et sa sœur cadette Angèle, née en 1870, d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904) et son épouse Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, ?) _ leur relation ne fut officialisée par le mariage, qu’au mois de juin 1875 , à Orléansville, après les naisssances d’au moins les trois premiers de leurs sept enfants : Augustine-Marie (en 1867), Angèle (en 1870) et Alphonse-Jean (né à Orléansville le 7 juin 1872, merci à son livret militaire qui nous en livre la date !) _ y compris donc la naissance, à Orléansville le, de leur frère Alphonse-Jean Morand de la Genevray…

En l’absence, bien fâcheuse pour la recherche, de toutes les archives d’état-civil d’Orléansville et sa région, détruites lors des terribles séismes de 1954 et 1980,

la très précieuse, mais toujours trop partielle, ressource qui nous demeure est celle la presse locale, dont L’Écho d’Alger et Le Progrès d’Orléansville, comportant en particulier les avis de décès rassemblant les membres des familles faisant-part de leur deuil partagé,

mais le plus souvent sans les prénoms des dames et demoiselles, celles-ci n’y figurant que par leur lien de parenté avec le défunt _ ou avec les hommes qui sont apparentés à celui-ci…

Voici donc des liens utiles à quatre de ces précieux faire-part de décès familiaux permettant un regard un peu panoramique sur ces liens de parenté entre les membres des familles un moment orléansvillaises Morand de la Genevraye et Revillon d’Apreval, en particulier :

_ celui, paru dans L’Écho d’Alger du 23 mars 1922, du décès, à Orléansville, le 19 mars 1922, d’Alphonse-Jean Morand de la Genevraye, né à Orléansville le 7 juin 1872.

celui, paru dans Le Progrès d’Orléansville du 21 septembre 1922, du décès, à Affrevile, le 16 septembre 1922, de Julie-Pulchérie Morand de la Genevraye. Veuve Michel Reder, la plus âgée de la fratrie née en Algérie d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye ; Julie-Pulchérie est née à Aïn Tedeles le 22 juillet 1849.

celui, paru dans L’Écho d’Alger du 21 juin 1925, du décès, à Bône, le 16 juin 1925, du petit Georges-Lucien d’Apreval, né à Bône le 22 septembre 1909.

_ celui, paru dans L’Écho d’Alger du 8 octobre 1935, du décès, à Orléansville, le 7 octobre 1935, de son plus jeune frère Georges Morand de la Genevray, né à Orléansville le 21 février 1888.

Je dois dire aussi que la très peu fréquente apparition, dans les avis familiaux d’état-civil parus dans les journaux, du nom d' »Angèle » Morand de la Genevraye, la seconde épouse de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, en « succession maritale » de sa sœur aînée « Augustine-Marguerie » ; et d’abord le fait principiel que pour les femmes n’existaient pas bien sûr de livrets militaires donnant leurs lieu et date de naissance, ainsi que les commodes aussi, pour la recherche, mentions des noms et prénoms de leurs deux parents, compliquait la quête d’obtenir de telles données en l’absence de documents d’état-civil demeurés accessibles pour la ville d’Orléansville et sa région, à la différence des identités des citoyens masculins _ tels, par exemple, les renseignements fournis par les livrets militaires de chacun des hommes de la famille Morand de la Genevraye : Alphonse-Jean (classe 1892), Jules-Charles (classe 1901), Georges (classe 1908) ; ou bien de la famille Revillon d’Apreval : Auguste-Georges (classe 1907), René-Paul (classe 1916), Marcel-Ale, Lucien-Georges-Omar (classe 1919)

Et c’est l’acte de mariage réalisé à Blida le 19 avril 1911 pour l’union de Jenny-Marguerite d’Apreval (Orléansville, 15 août 188 – Tlemcen,  11 juillet 1912 _ cf cet avis de décès de Madame Maréchal née Jenny d’Apreval, paru dans le jounal Le Tell en date du 13 juillet 1912 _) avec Hugo-Alphonse Maréchal (Sidi Bel-Abbés, 13 mars 1881 – Alger, 9 avril 1949), qui allait me fournir le lieu et la date de décès de la mère de Jenny-Marguerite, en l’occurrence de cette Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye, qui m’échappaient jusque là : Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye _ née en 1867 hors mariage de l’union de Marguerite Bonopéra et Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye ; et officiellement reconnue par son père le 28 juin 1871, à l’âge de 4 ans… ; ses parents officialisant leur propre mariage à Orléansville un peu plus tard encore : au mois de juin 1875… _ était décédée à Orléansville le 8 février 1895

Et Augustine-Marguerite, née donc en 1867, avait donné naissance à au moins deux enfants de son union avec Georges-Auguste Revillon  d’Apreval _ le père de cette Jenny-Marguerite mariée à Blida le 19 avril 1911, présent et consentant à ce mariage de sa fille avec Hugo-Alphonse Maréchal _ :

_ Auguste-Georges d’Apreval, né à Orléansville le 15 septembre 1887 ;

_ Jenny-Marguerite d’Apreval, née à Orléansville le 15 août 1888 _ celle-ci décédera précocément à Tlemcen, au mois de juillet 1912, peu après avoir donné le jour, à Tlemcen, le 25 juin 1912, à une petite Jenny-Odette-Paule Maréchal…

Quant à la sœur cadette de cette Augustine-Marguerite _ née en 1867 et décédée à Orléansville le 8 février 1895 _Angèle Morand de la Genevraye, née à Orléansville en 1870,

elle n’allait pas tarder à devenir très peu après le décès de sa sœur aînée la seconde épouse de son beau-frère Georges-Auguste Revillon d’Apreval, né à Saint-Prix (Seine et Oise) le 27 décembre 1856, et devenu donc veuf ce 8 février 1895 _ celui-ci décèdera à Alger en 1946, en sa quatre-vingt-dixième année… _ ; et Angèle allait lui donner bientôt (en 1896, 1898 et 1899) trois nouveaux enfants :

René-Paul d’Apreval, né à Orléansville le 9 octobre 1896 ;

Marcel-Ale Révillon d’Apreval, né à Alger le 8 novembre 1898, mais précocément décédé le 21 avril 1902 ;

Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval, né à Alger le 28 novembre 1899.

Je poursuivrai demain lundi cette amorce de généalogie de membres de la famille _ d’abord orléansvillaise : Georges-Auguste exerçait à Orléansville la profession d’avoué… _ Revillon d’Apreval,

issue des deux sœurs Augustine-Marguerite (1867 – 1895) et Angèle (1870 – au moins après 1935) Morand de la Genevraye…

Mais, dans les divers actes état civils familiaus accessibles dans la presse, Le Progrès d’Orléansville ou L’Écho d’Alger principalement,

Angèle n’apparaît jamais sous son prénom de naissance « Angèle« , mais seulement en sa qualité d’épouse de son mari : « Madame Revillon d’Apreval« …

Or celle-ci va vivre durablement, au moins après le décès de son frère Georges Morand de la Genevraye, le 7 octobre 1935 ;  et peut-être même _ il me faudra poursuivre mes recherches… _ survivre à son mari Georges-Auguste, qui décèdera en 1946…

Or, après 1940, la presse est bien moins accessible ;

et les faire-part familiaux de décès, beaucoup moins riches…

À suivre donc, dès demain…

Ce dimanche 3 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Reprise, avec compléments et ajouts, de mon article du 16 février 2021 : « Suite de nouvelles précisions sur les fils (et belles-filles) de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : Auguste Bonopéra… »

02fév

Suite à deux passionnant séchanges téléphoniques hier soir avec Matthias Bobopéra, puis son père Georges Bonopéra, à la recherche de précisions sur l’histoire de leur famille Bonopéra,

voici, et pour continuer la reprise d’hier soir 1er février _ avec l’article « «  _,

cette fois la reprise de mon article du 16 février 2021 « « , concernant ici le 4éme des 6 fils de Paul Bonopéra, Auguste Bonopéra-le-père, né le 3 avril 1883 à Orléansville, et époux d’Isabelle Vivès,

et père, nons pas de 4 enfants, comme je l’avais supposé jusqu’ici, mais bien de 5 enfants, car à ses 2 sœurs Hélène-Isabelle et Yvonne, et ses 2 frères Georges (dit Coco) et Auguste (dit le fils) il me faut désormais adjoindre René Bonopéra dont j’avais jusqu’ici ignoré l’existence :

Suite de nouvelles précisions sur les fils (et belles-filles) de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : Auguste Bonopéra…

Ce mardi 16 février _ 2021 ! _, je continue donc d’apporter des précisions sur chacun des six fils de Paul Bonopéra :

_ Jean Bonopéra, né le 18 juin 1877, à Pontéba _ cultivateur de profession, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1898 _ ;

_ Paul Bonopéra, né 19 septembre 1878, à Pontéba _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1899 _ ;

_ Alphonse Bonopéra, né le 1er janvier 1881, à Charon _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1902 ; puis, plus tard, garde-champêtre _ ;

_ Auguste Bonopéra, né le 3 avril 1883, à Orléansville _ boulanger (sic ; ce n’est que plus tard qu’il deviendra le cafetier de la rue d’Isly, à Orléansville…), et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1904 _ ;

_ Julien Bonopéra, né le 9 janvier 1887, à Charon _ commis des Postes et Télégraphes, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1908 _ ;

_ Georges Bonopéra, né le 21 février 1892, à Ténès _ employé, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1913 _ ;

et vais tâcher de donner le plus de précisions possible, au vu de ce que je puis glâner, sur le parcours d’existence de chacun d’eux ;

en en venant ce soir au quatrième, Auguste Bonopéra (né à Orléansville le 3 avril 1883 _ j’ignore encore la date et le lieu de son décès : mais voici que son petit-fils Georges Bonopéra (né à Orléansville le 9 mars 1950), qui m’a joint hier soir au téléphone, vient de m’apprendre que son grand-père paternel Auguste Bonopéra-le-père (et dit le colonel) est décédé à Montpellier à la fin du mois de juin 1962 ; et que l’épouse de celui-ci, née Isabelle Vivès, était décédée à Orléansville en 1950… _), qui me pose quelques difficultés…

 

L’absence d’archives d’État-civil pour Orléansville demeure encore en effet une source permanente de difficultés et complications pour la recherche.

En effet, déjà, je ne suis pas parvenu _ jusqu’ici : c’était le 16 février 2021 _ à donner un nom à l’épouse d’Auguste Bonopéra-le-père _ à la différence de ce que j’ai pu réaliser pour ses frères Jean (dont l’épouse est Louise-Marie Hulne), Paul (dont l’épouse est Marie Cathébras) et Julien (dont l’épouse est Germaine-Jeanne-Lucie-Geneviève Besse) ; mais ayant pu joindre au téléphone Huguette Bonopéra, au mois d’avril 2021, celle-ci m’avait donné le nom de sa grand-mère paternelle (l’épouse d’Auguste-le-cafetier de la rue d’Isly à Orléansville) : Isabelle Vivès.

Et pour ses propres enfants aussi, pas mal d’éléments, aussi, me manquent encore ;

à commencer par leur nombre exact _ à la date du 19 février 1915, son livret militaire indique qu’il a alors « 4 enfants vivants« ; et c’est précisément ce qui autorise son départ de l’armée d’active, en vertu de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905…  _ ;  puis par leur ordre de naissance ;

jusqu’ici j’ai pu repérer, principalement dans la presse _ Le Progrès, d’Orléansville, ainsi que L’Écho d’Alger _, quelques événements familiaux, tels que naissances, mariages ou décès ; mais hélas aucun de ces _ bien précieux ! _ faire-part officiels qui permettent normalement _ quand ils sont suffisamment précis et détaillés _ de réunir l’ensemble de la constellation familiale…

Et cela alors que très sympathique _ et très estimé _ Auguste Bonopéra-le-père tenait un rôle central dans l’animation locale d’Orléansville, en tant que tenancier du principal Café de la cité : le Grand Café, rue d’Isly ;

et à ce titre son nom apparaît souvent dans la chronique de la vie locale et festive de l’Orléansville d’alors _ ainsi, le 29 août 1912, lors d’un bref début d’incendie du Café, heureusement très vite éteint grâce à l’aide des voisins aussitôt accourus…

Je suppose que l’aînée des _ au moins _ quatre enfants _ en fai ils sont cinq : le 5e d’entre eux (René ?) naîtra donc après le 15 février 1915… _ d’Auguste Bonopéra-le-père et de son épouse, née, donc, Isabelle Vives, est cette Hélène-Isabelle Bonopéra _ elle est née à La Ferme, le 29 mai 1905 ; et elle décèdera en 1950, m’a appris hier soir, 1er février 2024, son petit-fils Georges Bonopéra, né le 9 mars 1950, et fils de René et son épouse, Arlette Cailliez... _ qui épouse, le 17 décembre 1927 _ l’avis de mariage est donné par Le Progrès, d’Orléansville du 29 décembre 1927 ; et le marié, Michel Pons, est alors « facteur au P.L.M. et domicilié à Oran«  _, Michel-Albert Pons _ né à Perrégaux le 1er novembre 1897 _, qui travaille à la compagnie ferroviaire P. L. M. ; et qui sera, un peu plus tard, en 1932, le sous-chef de gare de la gare d’Orléansville : au moment de la naissance du second enfant de ce couple de Michel Pons et Hélène-Isabelle Bonopéra, le petit Auguste Pons, né à Orléansville le 3 novembre 1932 _ celui-ci deviendra l’époux de Françoise Morand de La Genevraye (née en 1940), et il décèdera à Nice le 4 février 2011, à l’âge de 78 ans.

Le couple formé par Hélène-Isabelle Bonopéra et son époux Michel-Albert Pons donnera, en effet, au moins deux petits-enfants à Auguste Bonopéra et son épouse Isabelle Vivès :

_ Michelle Pons, qui naît à Orléansville au tout début du mois de janvier 1929 (et qui épousera Louis Préfume _ qui décèdera à Nice le 1er février 2011, à l’âge de 86 ans _ ; et ils auront un fils : Pierre Préfume) ; Michelle Pons, née Bonopéra, décèdera à La Colle-sur-Loup le 2 septembre 2013 ;

_ et Auguste Pons, né à Orléansville le 3 novembre 1932 ; et qui épousera une cousine des Bonopéra, Françoise Morand de la Genevray _ née à Alger, en 1940 : fille de Robert Morand de la Genevraye et de son épouse Odette Gallois ; petite-fille de Jules Morande de la Genevray et de son épouse Clémence Orgeret, et arrière petite-fille de Frédéric-Auguste Morand de la Genevray (Varsovie, 11 novembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904) et de son épouse Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, entre 1892 et 1901) _ ; Auguste Pons décèdera à Nice le 4 février 2011, à l’âge de 78 ans.

Et nous pouvons remarquer ici, au passage, que Françoise Morand de La Genevray est une descendante de Marguerite Bonopéra (née à Miliana le 22 janvier 1849) et de son époux Frédéric-Auguste Morand de la Genevraye _ décédé le 25 mai 1904 alors qu’il exerçait le mandat de maire d’Orléansville _) : Marguerite Bonopéra, sœur aînée de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) est en effet la tante d’Auguste Bonopéra-le-père _ le cafetier de la rue d’Isly _, le quatrième des six fils _ Jean (1877, à Pontéba), Paul (1878, à Pontéba), Alphonse (1881, à Charon), Auguste (1883, à Orléansville), Julien (1887, à Charon), Georges (1892 à Ténès) _ de Paul Bonopéra, et grand-père maternel de ce petit Auguste Pons.

Auguste Pons et son épouse née Françoise Morand de la Genevraye, eux, seront parents de deux enfants : Jean-François Pons et Isabelle Pons _ épouse d’Olivier Fischbach.

Pour ce qui concerne l’ordre de naissance des au moins quatre enfants  _ cinq, en fait : il faut adjoindre ici le plus jeune, né après 1915, René Bonopéra _ d’Auguste Bonpéra-le-père et son épouse Isabelle Vivès, il se pourrait que que leur deuxième enfant soit Auguste Bonopéra-le-fils _ dont j’ignore encore (à ce jour du 16 février 2021) la date et le lieu de naissance : son petit-neveu Georges Bonopéra, fils de son frère René, vient de m’apprendre au téléphone hier soir, 1er février 2024, que son grand-père paternel Auguste Bonopéra-le-père (dit le colonel…) est décédé à Montpellier à la fin du mois de juin 1962. il faudra que je demande à Georges Bonopéra de bien vouloir m’indiquer aussi les dates et lieux de naissance et de décès de son oncle Auguste Bonopéra-le fils…

Auguste Bonopéra-fils _ cf l’avis du Progrès d’Orléansville du 30 juin 1932se marie à Orléansville le le 25 juin 1932 avec Antoinette Galléra (ou Calleja) _ sœur et belle-sœur de Mme et M. Paul Joanico, de La Senia, indique cet avis de ce mariage _, qui lui donnera le 3 mai 1933 « deux mignonnes fillettes prénommées Huguette et Claudette » ces deux jumelles vivent toutes deux (à la date de ce 16 février 2021) dans la région de Montpellier : Huguette Bonopéra, épouse (puis divorcée) de Gérard Dubois, est mère de cinq enfants (Georges, Jean-Marc, Michel _ père de Steve Dubois _, Pascal et Isabelle Dubois) ; et Claudette Bonopéra, épouse de Hans Haenni (né en Suisse le 1er novembre 1922 et décédé à Clapiers, Hérault, le 7 novembre 1998), a eu aussi plusieurs enfants.

Mais Claudette Haenni Bonopéra et Huguette Bonopéra, les jumelles nées à Orléansville le 3 mai 1933, sont toutes deux décédées l’année dernière, à deux mois d’intervalle : Claudette le 26 juin 2023 et Huguette le 25 août 2023…

Puis, leur troisième enfant pourrait être Yvonne Bonopéra, qui leur est née à Orléansville le 9 avril 1912 ; et qui décèdera à Montpellier _ vivaient ses nièces Huguette et Claudette, les filles jumelles de son frère Auguste Bonopéra-le-fils _ le 10 août 2008 _ Yvonne Bonopéra ne s’est pas mariée et n’a pas eu d’enfant.

Et il s’avère que le bébé Georges _ dit « Coco« … _ né à la fin du mois de janvier ou au début du mois de février 1915 _ et dont a bien laconiquement parlé Le Progrès d’Orléansville du 11 février 1915 : « M. et Mme Bonopéra ont aussi un bébé, Georges » _, est bien le quatrième des « enfants vivants » ;, lui, à

ce dont Auguste Bonopéra a pu faire état auprès des autorités militaires, le 23 février 1915, afin d’être à même de bénéficier de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905 concernant les pères de famille d’au moins quatre enfants, libérant les assujettis au service actif, et leur permettre de regagner leurs foyers _ ce qui fut fait pour lui ; il put aussitôt regagner son domicile (et son Café) d’Orléansville dès le mois de février 1915…


Il se pourrait donc que René Bonopéra,

père de Georges Bonopéra _ né, lui, à Orléansville le 9 mars 1950 _ et grand-père paternel de Matthias Bonopéra _ né à Paris 11e, le 17 mai 1977 _,

soit le dernier-né, après 1915, de Auguste Bonopéra-père (dit le colonel) et son épouse Isabelle Vivès…

À suivre…

Ce mardi 16 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà pour ces précisions et compléments, suite et grâce à mes échanges téléphoniques très sympathiques d’hier soir avec Georges et Matthias Bonopéra, curieux d’en découvrir un peu davantage sur l’histoire de leur famille, en Algérie, et à travers la Méditerranée : Sicile, Marches, Catalogne, Minorque…

Et bien entendu à suivre…

Ce vendredi 2 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un autre descendant de Mahonnais (de Minorque) entré dans la famille Bonopéra d’Orléansville : Michel-Albert Pons, l’époux, en 1925, d’Hélène-Isabelle Bonopéra

03mai

La présence du nom de Pons

parmi les noms des familles mahonnaises présentes très tôt dans l’Algérie colonisée par les Français à partir de 1830,

m’amène à rechercher l’origine de Michel-Albert Pons (né à Perrégaux le 1er novembre 1897), l’époux, à Orléansville le 17 mai 1925, de Hélène-Isabelle Bonopéra (née à La Ferme, le 20 mai 1905), fille d’Auguste Bonopéra (né à Orléansville le 3 avril 1883) et son épouse Isabelle Vives _ cf par exemple mon article du 15 avril dernier : _ ;

Michel-Albert Pons et Hélène-Isabelle Bonopéra qui sont les parents de Michelle Pons (Orléansville, 1er février 1929 – La Colle-sur-Loup, 2 septembre 2013), et de son frère Auguste Pons (Orléansville, 3 novembre 1932 – Nice, 4 février 2011), l’époux de mon aimable correspondante niçoise née Françoise Morand de le Genevraye _ elle-même arrière-petite-fille de Marguerite Bonopéra (née à Miliana le 22 janvier 1849), la sœur aînée de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916), et de l’époux de Marguerite : Auguste Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904), maire d’Orléansville au moment de son décès… La mère de Marguerite et de Paul, et épouse de leur père Juan-Dionis-Francisco Bonopéra, Margalida Miguela Saura, était née à Santa-Maria-de Mahon (Minorque) le 31 mars 1820 ; et ses parents, Miguel Saura (Mahon, Minorque, 1793 – Alger, 25 juin 1866) et Maria Orfila (Mahon, Minorque, 1796 – Alger, 25 février 1863), étaient eux aussi mahonnais… On peut aussi noter que la grand-mère maternelle de Juan-Dionis-Francisco Bonopera, soit la mère de sa mère née Jacinta Minguela, se nommait Antonia Pons… Cf mon article du 12 avril dernier : … 

De fait, Michel-Albert Pons, fils de Michel Pons, né en 1870 à Alger, est bien le petit-fils des minorquins Joseph-Bartolomé-Magin Pons, tapissier, né à Alayor (Minorque) le 7 novembre 1827), et son épouse Juana Taltavull, née à Mahon (Minorque) le 23 novembre 1838 ; lesquels se sont mariés à Alger le 14 octobre 1865…

Les Mahonnais sont donc bien présents dans la généalogie de cette famille Bonopéra d’Orléansville, qui m’intéresse ; apparentée aux Gentet, Rey et Wachter, d’Orléansville ;

et par là apparentés à cet Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935 ), le neveu « algéroisalgérien » de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), l’inventeur génial, à Lectoure, en 1868, de la « photographie de couleurs« …

Chercher est rarement infécond…

Ce lundi 3 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un point provisoire sur mon essai de classement des dates et lieux de naissance de l’ensemble des petit-enfants de Paul Bonopéra et sa première épouse, Joséphine Girot

14mar

Forcément, les « taches aveugles » qui continuent de résister dans mon effort d’établir un panorama le plus complet possibles des deux prémières générations, au moins, des descendants (c’est-à-dire les enfants et les petits-enfants) de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) et sa première épouse, Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892),

laissent un légèrement dérangeant petit goût d’insatisfaction…

Mais je demeure optimiste ;

ne serait-ce que par les récents précieux apports informatifs ponctuels de quelques descendants de ces deux générations de descendants-là, qui sont venus mettre fin à quelques points restés jusqu’alors aveugles :

des descendants de Paul Bonopéra-fils, le boulanger de la rue d’Isly à Orléansville (Pontéba, 19 septembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930)

ainsi que des descendants de son frère Auguste Bonopéra, le cafetier de la rue d’Isly, à Orléansville (Orléansville, 3 avril 1883 – ?).

Et si j’ai bien identifié deux arrière-petits-fils de Jean Bonopéra (Pontéba, 18 juin 1877 – ?),

l’un né à Alger en 1949,

et l’autre né à Orléansville en 1956 _ et qui cherchait l’année dernière à entrer en contact avec une de ses cousines d’Orléansville _,

je ne dispose pour l’instant d’aucune coordonnée téléphonique ou d’adresse électronique me permettant de chercher, au moins, à les joindre,

eux qui résident dans deux départements _ le Gard et le Var _ du Midi…

J’ai aussi noué de très précieux (et fructueux) contacts avec plusieurs descendants de Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – ?), la sœur aînée de Paul..

Mes recherches se poursuivent…

Ce dimanche 14 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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