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La perpétuation du prénom « Jenny » dans la généalogie des Revillon d’Apreval à partir du couple d’Auguste-Alphonse-Virgile-Henri Revillon d’Apreval (Nîmes, 1828 – Orléansville, 1893) et Jenny-Caroline Morisset (Paris, 1835 – Paris, 1905) : la branche issue de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 1856 – Alger, 1946) et sa première épouse Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (Orléansville, 1867 – Orléansville, 1895)…

12mar

Dans la continuité de mes articles à propos de la descendance du couple Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, ?) -Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904),

du 3 mars 2024 « « ,

du 4 mars 2024 « « ,

et du 6 mars 2024 « « ,

et afin de détailler, pour commencer, la descendance des deux épouses successives, Augustine-Marguerite (Orléansville ?, 1867 – Orléansville, 8 février 1895) ) et Angèle (Orléansville, 1870 – ?, après octobre 1935) Morand de la Genevraye _ soient les deux premières nées, en 1867 et 1870, des 7 enfants de Marguerite Bonopéra et Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye _, de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 27 décembre 1856 – Alger, 1946),

je vais partir, ce mardi 12 mars, de la considération de la perpétuation du prénom de « Jenny » parmi la descendance féminine de cette famille Revillon d’Apreval…

Et cela, à partir du couple formé par les deux parents de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (1856 – 1946), je veux dire son père Auguste-Alphonse-Virgile-Henri Revillon d’Apreval (Nîmes, 30 janvier 1825 – Orléansville, 13 janvier 1893) et sa mère Jenny-Caroline Morisset (Paris, 29 septembre 1835 – Paris, 9 novembre 1905)…

De la première épouse Augustine-Marie Morand dela Genevraye de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, sont nés, Orléansville, en 1887 et 1888, deux enfants :

d’abord un garçon, Auguste-Georges d’Apreval (Orléansville, 15 septembre 1887 – ? – après octobre 1946), qui épousera une demoiselle Vincente-Hermence Rodrigues, dont il aura deux enfants : le petit Georges Lucien d’Apreval (Bône 28 septembre 1909 – Bône, 16 juin 1925), puis un second garçon, André d’Apreval (Alger, 13 mars 1921 – Marseille, 8 décembre 2011) ; lequel semble avoir eu une fille prénommée Estelle qui vit à Marseille…

Puis une fille, Jenny-Marguerite d’Apreval (Orléansville, 15 août 1888 – Tlemcen, 11 juillet 1912), qui épousera, à Blida le 19 avril 1911, Hugo-Alphonse Maréchal (Sidi-Bel-Abbés, 13 mars 1881 – Alger, 30 septembre 1956 ; dont naîtra, à Tlemcen le 25 juin 1912, une fille : Jenny-Odette-Paule Maréchal (Tlemcen, 25 juin 1912 – Toulouse, 31 mars 2005) ; laquelle épousera à Alger, le 9 avril 1949, Charles-Albert-Louis Petronio (Tizi-Ouzou, 7 mars 1904 – Revel, 7 septembre 1987) ; dont naîtra _ j’ignore pour le moment où, ainsi qu’à quelle date _ Jean-Charles Petronio, qui vit à Revel, en Haute-Garonne _ lequel Jean-Charles Pétronio s’est attaché à établir sa généalogie familiale, au moins à partir des quatre grands-parents de sa grand-mère Jenny-Marguerite d’Apreval (Orléansville, 15 août 1888 – Tlemcen, 11 juillet 1912) : Auguste-Alphonse Revillon d’Apreval (Nîmes, 30 janvier 1828 – Orléansville, 13 janvier 1898) et son épouse Jenny-Caroline Morisset (Paris, 29 septembre 1835 – Paris, 9 novembre 1905), d’une part, ainsi que Auguste Morand de la Genevray (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904) et son épouse Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, après février 1888), d’autre part.

Mais en commettant hélas une erreur sur la descendance de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 27 décembre 1856 – Alger, 1946) et son épouse Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (1866 – ? : en fait 1867 – Orléansville, 8 février 1895) ; et cela du fait que Jean-Charles Pétronio ignore la date du décès d’Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye : à Orléansville le 8 février 1895…

Si Jean-Charles Pétronio n’ignore pas le remariage de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, une fois devenu veuf, avec la sœur cadette de sa défunte épouse : Angèle Morand de la Genevraye (1870 – après 1935), il se trouve toutefois que la généalogie établie par Jean-Charles Pétronio semble ignorer de quelle mère, ou bien Augustine-Marguerite, ou bien sa sœur Angèle, sont nés à partir de 1896 les enfants de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (1856 – 1946) qui vont suivre (à Orléansville le 9 octobre 1896 : René-Paul d’Apreval ; à Alger, le 8 novembre 1898 : Marcel-Ale d’Apreval ; et à Alger le 28 novembre 1899 : Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval) les naissances des premiers nés de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, qui sont Auguste-Georges d’Apreval (né à Orléansville le 15 septembre 1887) et Jenny-Marguerite d’Apreval (née à Orléansville le 15 août 1888)… ;

et Jean-Charles Pétronio fait donc erreur en attribuant sur son arbre généalogique à Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (décédée à Orléansville le 8 février 1895) la maternité de René d’Apreval (né à Orléansville le 9 octobre 1896) et la maternité de Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval (né à Alger le 28 novembre 1899), alors qu’ils sont nés d’Angèle Morand de la Genevraye… ;

il est vrai que dans les mentions diverses accessibles dans la presse consultable aujourd’hui, du couple formé par Georges-Auguste Revillon d’Apreval (1856 – 1946) et sa seconde épouse Angèle Morand de la Genevraye (1870 – après 1935), la plupart du temps l’épouse de Georges-Auguste d’Apreval n’est pas mentionnée avec son prénom (Angèle), mais seulement comme « Madame Morand  de la Genevraye«  ;

et donc, si Jean-Charles Petronio n’ignore pas le remariage de son arrière grand-père Georges-Auguste Revillon d’Apreval (1856 – 1946) avec celle, Angèle, qui était la sœur cadette de sa défunte première épouse Augustine-Marguerite (dont, j’y insiste, Jean-Charles Pétronio ignore la date du décès, à Orléansville, le 8 février 1895 ; un décès qui, il est vrai, apparaît seulement, du moins à ma connaissance jusqu’ici, dans l’acte de mariage de la fille d’Augustine-Marguerite et son époux Georges-Auguste Revillon d’Apreval, Jenny-Marguerite d’Apreval (1888 – ?), c’est-à-dire le mariage qui a eu lieu à Blida, le 19 avril 1911, de Jenny-Marguerite d’Apreval avec Hugo-Alphonse Maréchal (1881 – 1956) : consulter ici l’acte d’état-civil de ce mariage dans lequel est clairement mentionné la date de décès, le 8 février 1895, à Orléansville, de « feue Morand de la Genevraye, Augustine » , la mère de la mariée Jenny-Marguerite d’Apreval),

Jean-Charles Pétronio ignore cependant que les trois enfants (René-Paul, Marcel-Ale et Lucien-Georges-Omar) de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, nés après 1895 (le 9 octobre 1896 à Orléansville, le 8 novembre 1898 à Alger,et le 28 novembre 1899 à Alger), ne sont pas nés d’Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (1867 – 1895), mais bien de la sœur de celle-ci, Angèle (1870 – après 1935).

Et si, du premier lit de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, sont en effet bien nés Auguste-Georges d’Apreval (Orléansville, 15 septembre 1887 – après le 19 octobre 1946) et Jenny-Marguerite d’Apreval (Orléansville, 15 août 188 – Tlemcen, 11 juillet 1912),

ce n’est donc pas le cas de René-Paul d’Apreval (Orléansville, 9 octobre 1896 – ?, après 1962), de Marcel-Ale d’Apreval (Alger, 8 novembre 1898 – ?, 21 avril 1902), ni de Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval (Alger, 28 novembre 1899 – ?, ?), qui sont tous trois les enfants, non pas de la première épouse de Georges-Auguste d’Apreval (1856 – 1946), Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (1867 – 1895), mais bien de la seconde épouse de celui-ci, Angèle Morand de la Genevraye (1870 – après 1935) ..

C’est donc bien ce fait du décès à Orléansville le 2 février 1895 d’Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye, dont n’a pas pris connaissance jusqu’ici Jean-Charles Pétronio, qui le fait ignorer que les enfants René-Paul, Marcel-Ale et Lucien-Georges-Omar, nés après 1895 (en 1896, 1898 et 1899) de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, après donc les naissances de ses deux premiers nés qui sont Auguste-Georges d’Apreval (né à Orléansville le 15 septembre 1887) et Jenny-Marguerite d’Apreval (née à Orléansville le 15 août 1888), ne sont pas les enfants d’Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (1867 – 1895), mais bien de la sœur cadette de celle-ci : Angèle Morand de la Genevraye (1870 – après 1935).  

De Jean-Charles Pétroniofils donc _ j’ignore jusqu’ici et la date et le lieu de sa naissance, en Algérie (à plusieurs reprises, ici et ici, il est qualifié d‘ »Algérois« , par son ami Georges Viéville, en 2014, qui indique que Hugo-Alphonse Maréchal (1881 -1956), le grand-père maternel de Jean-Charles Pétronio, avait été « chargé du bureau des affaires indigènes d’Oran« ) _ de Charles-Albert-Louis Petronio (Tizi-Ouzou, 7 mars 1904 – Revel, 7 septembre 1987) et son épouse _ le mariage a eu lieu à Alger le 9 avril 1949, d’après larbre généalogique réalisé par leur fils Jean-Charles Pétronio _ Jenny-Odette-Paule Maréchal (Tlemcen, 25 juin 1912 – Toulouse, 31 mars 2005),

et son épouse _ j’ignore et le lieu et la date de leur mariage _ Martine Monique Rose Bonnet,

est né, au mois d’octobre 1958, Jean-Marc Pétronio, époux de Karine Rodrigues,  qui sont à leur tour les parents de deux filles, Nadège et Laura Petronio, tous résidant à Revel en Haute-Garonne mais j’ignore si parmi les prénoms de celles-ci, Nadège et Laura Pétronio, figure ou pas le prénom de « Jenny« 

Enfin il faut noter que le revélois Jean-Charles Pétronio est un très actif et dynamique membre de la Société d’Histoire de Revel – Saint-Ferréol… 

Demain, je m’intéresserai à la descendance du couple formé par ce même Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 27 décembre 1856 – Alger, 1946), et sa seconde épouse _ en 1895 ou 1896, à Orléansville… _ Angèle Morand de la Genevraye (Orléansville, 1870 – ?, après octobre 1935)…

Ce mardi 12 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

En préambule à la poursuite de ma recherche généalogique des descendants des deux soeurs Augustine-Marie et Angèle Morand de la Genevraye, épouses successives (vers 1886 et l’année 1895) de Georges-Auguste Revillon d’Apreval : lecture-déchiffrage d’une notification d’hypothèque légales, parue dans Le Progrès d’Orléansville le 16 janvier 1908…

04mar

Dés ce lundi matin de bonne heure,

je poursuis mon début de « point généalogique » entrepris hier dimanche en mon article « « ,

en commençant, en ouverture de cet article, par me pencher sur une notification de déclaration d’hypothèques légales, en novembre 1907 – janvier 1908, à effectuer par qui de droit « pour qu’ils aient à prendre telle inscription d’hypothèques légales qu’ils aviseraient dans le délai de deux mois, et que, faute par eux de se mettre en règle dans ce délai, les immeubles dont il s’agit seraient et demeureraient définitivement purgés et libérés, entre les mains du requérant, de toutes hypothèques de cette nature » adressée ainsi aux deux enfants encore mineurs, Auguste-Georges (âgé alors de 20 ans ; celui-ci est en effet né à Orléansville le 15 septembre 1887) et sa sœur Jenny d’Apreval (âgée alors de 19 ans ; celle-ci est née à Orléansville le 15 août 1888), de l’avoué Georges-Auguste d’Apreval et sa première (et défunte, : celle-ci est en effet décédée à Orléansville le 8 février 1895) épouse née (en 1867) Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye, ainsi qu’à l’oncle et « subrogé tuteur«  de ces deux enfants encore mineurs, l’oncle maternel Jules-Charles Morand de la Genevraye (maintenant âgé de 26 ans, en janvier 1908 ; celui-ci est en effet né à Orléansville le 17 juin 1881), frère de la défunte Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye,

concernant un lot d’immeubles vendus « moyennant un prix de vingt-trois mille francs » le 22 novembre 1907, en l’étude de Me Charles Bonnet, notaire à Ténès, par le père de ces deux enfants, l’avoué Georges-Auguste d’Apreval (âgé de tout juste 50 ans, ce mois de janvier 1908 ; celui-ci est en effet né à Saint-Prix, département de Seine et Oise, le 27 décembre 1858 ; et il est désormais « avoué près le Tribunal Civil de première instance de Blida« …), et sa seconde épouse née Angèle Morand de la Genevraye, elle-même tante maternelle des deux enfants, parce que sœur tant de la défunte Augustine-Marie Morand de la Genevraye que de leur oncle « subrogé tuteur » Jules-Charles Morand de la Genevraye,

telle que cette situation juridique est apparue en un encart détaillé _ à lire ici _ de l’étude de ce notaire Charles Bonnet de Ténès, sous le titre « Purge d’hypothèques légales« , dans le numéro du 16 janvier 1908 du journal Le Progrès d’Orléansville, à propos des conséquences légales à respecter concernant les suites de cette vente effectuée le 22 novembre 1907 par M. Georges d’Apreval et son épouse Angèle Morand de la Genevraye, en l’étude de Maître Charles Bonnet, de divers immeubles situés sur le territoire de Trois-Palmiers, commune mixte de Ténès…

Au-delà des simples procédures légales à obligatoirement respecter en pareille situation de vente de propriétés, il se pourrait que la publication d’un tel encart dans Le Progrès d’Orléansville, puisse aussi signifier quelque éventuelle difficulté de relations (ou simplement de communication) entre, d’une part, le père et la tante, Georges-Auguste d’Apreval et sa seconde épouse Angèle, née Morand de la Genevraye, de ces deux enfants (père et tante qui sont aussi le beau-frère et la sœur de leur « subrogé tuteur« ) et, d’autre part, ces deux enfants, Auguste-Charles et Jenny d’Apreval, et leur oncle « subrogé tuteur« , Jules-Charles Morand de la Genevraye ;

mais sans doute, ignare que je suis en matière de Droit, suis-je ici en train de me figurer complètement à tort des conflits familiaux qui n’ont pas du tout existé…

Serons-nous en mesure d’en apprendre davantage sur les relations entre le père _ Georges-Auguste _ et la tante _ Angèle _ d’Auguste-Georges et Jenny d’Apreval, avec leur fils et neveu _ Auguste-Georges _ et fille et nièce _ Jenny-Marguerite _ ?.. Ainsi qu’avec leur beau-frère et frère _ Jules-Charles _ ?

D’ores-et-déjà je puis cependant affirmer que Georges-Auguste d’Apreval, le père, sera bien présent, trois années plus tard, le 19 avril 1011, au mariage de sa fille Jenny-Marguerite d’Apreval, à Blida _ où celle-ci est explicitement déclarée résider dans l’acte de mariage ; et cela est on ne peut plus significatif des liens de celle-ci avec son père et sa tante, l’épouse de celui-ci… _, avec Hugo-Alphonse Maréchal : consulter ici l’acte d’état-civil de ce mariage à Blida : « la comparante procédant avec l’assistance de son père, ici présent et expressément consentant« , est-il ainsi, et comme c’est la loi, très explicitement mentionné…

Pour ce qui concerne, cette fois, le mariage d’Auguste-Georges d’Apreval, avec Vincente Hermence Rodrigues _ fille de Mme Marie Rodriguès, d’après le faire-part de décès du petit Georges-Lucien d’Apreval, élève au collège de Bône, décédé accidentellement à l’âge de 16 ans, paru dans L’Écho d’Alger du 16 juin 1925… _, faute d’avoir pu prendre connaissance de l’acte d’état-civil de ce mariage, j’en ignore pour le moment et le lieu _ peut-être Alger, où Auguste-Georges, qui deviendra de profession « hôtelier« , dirigea un certain temps l’Hôtel Oriental, avant de prendre en charge la rénovation et la direction du Grand Hôtel et Hôtel d’Orient, à Bône.; cf aussi cette mention du statut d’« hôtelier« , remplaçant, rajoutée au crayon, celle d‘ »étudiant » inscrite à l’ncre au moment du conseil de révision, en 1907, sur le livret militaire d’Auguste-Georges d’Apreval… _ et la date ; ainsi que la présence ou pas de son père Georges-Auguste et sa tante Angèle à ce mariage avec la demoiselle Rodriguès.

Il va simplement me falloir poursuivre plus avant mes recherches à ce sujet, qui hier n’avaient pas avancé au moins sur ce point-là…

Et pour en revenir à la mention de l’oncle maternel Jules-Charles Morand de la Genevraye comme « subrogé tuteur » de ses neveu et nièce Auguste-Georges et Jenny-Marguerite d’Apreval, je m’étonne simplement de la présence de ce statut légal de « subrogé tuteur » de cet oncle,  alors que Auguste-Georges et Jenny-Marguerite d’Apreval ne sont pas orphelins de leur père, George-Auguste Revillon d’Apreval…

Ici encore, mes connaissance en matière de Droit sont défaillantes…

Mais il me semble que la nomination légale d’un « subrogé tuteur« , et n’appartenant pas à la branche du parent survivant, mais à celle du parent décédé, ne peut avoir lieu que lors de soupçons suffisamment justifiés d’une insuffisance de garanties de sauvegarde des droits légitimes du mineur de la part des actions éventuelles du tuteur légal ; ce qu’est un père légitime lors du décès de la mère de l’enfant mineur…

Alors, il est possible que certains membres de la famille des Morand de la Genevraye n’avaient pas une confiance absolue envers les menées éventuelles de Georges-Auguste Revillon d’Apreval envers les enfants de sa défunte épouse Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye; enfants mineurs dont il s’agissait alors, en 1895, de surveiller la sauvegarde des droits patrimoniaux…

À suivre…

Ce lundi 4 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Commencer par faire un point sur l’arbre généalogique des deux filles aînées, Augustine-Marguerite et Angèle, d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye et Marguerite Bonopéra, épouses successives, vers 1886 et l’année 1895, de Georges-Auguste Revillon d’Apreval…

03mar

Toujours dans l’esprit de rechercher des réponses les plus précises possibles aux 3 questions « Qui ?« , « Quand ? » et « Où ? » de mon enquête sur les familles d’Orléansville apparentées, directement ou indirectement, à Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), mariés à Orléansville, le 10 juin 1896,

voici un tout premier effort de tracer un tableau de la  descendance des deux premiers enfants, Augustine-Marguerite, née en 1866, et sa sœur cadette Angèle, née en 1870, d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904) et son épouse Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, ?) _ leur relation ne fut officialisée par le mariage, qu’au mois de juin 1875 , à Orléansville, après les naisssances d’au moins les trois premiers de leurs sept enfants : Augustine-Marie (en 1867), Angèle (en 1870) et Alphonse-Jean (né à Orléansville le 7 juin 1872, merci à son livret militaire qui nous en livre la date !) _ y compris donc la naissance, à Orléansville le, de leur frère Alphonse-Jean Morand de la Genevray…

En l’absence, bien fâcheuse pour la recherche, de toutes les archives d’état-civil d’Orléansville et sa région, détruites lors des terribles séismes de 1954 et 1980,

la très précieuse, mais toujours trop partielle, ressource qui nous demeure est celle la presse locale, dont L’Écho d’Alger et Le Progrès d’Orléansville, comportant en particulier les avis de décès rassemblant les membres des familles faisant-part de leur deuil partagé,

mais le plus souvent sans les prénoms des dames et demoiselles, celles-ci n’y figurant que par leur lien de parenté avec le défunt _ ou avec les hommes qui sont apparentés à celui-ci…

Voici donc des liens utiles à quatre de ces précieux faire-part de décès familiaux permettant un regard un peu panoramique sur ces liens de parenté entre les membres des familles un moment orléansvillaises Morand de la Genevraye et Revillon d’Apreval, en particulier :

_ celui, paru dans L’Écho d’Alger du 23 mars 1922, du décès, à Orléansville, le 19 mars 1922, d’Alphonse-Jean Morand de la Genevraye, né à Orléansville le 7 juin 1872.

celui, paru dans Le Progrès d’Orléansville du 21 septembre 1922, du décès, à Affrevile, le 16 septembre 1922, de Julie-Pulchérie Morand de la Genevraye. Veuve Michel Reder, la plus âgée de la fratrie née en Algérie d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye ; Julie-Pulchérie est née à Aïn Tedeles le 22 juillet 1849.

celui, paru dans L’Écho d’Alger du 21 juin 1925, du décès, à Bône, le 16 juin 1925, du petit Georges-Lucien d’Apreval, né à Bône le 22 septembre 1909.

_ celui, paru dans L’Écho d’Alger du 8 octobre 1935, du décès, à Orléansville, le 7 octobre 1935, de son plus jeune frère Georges Morand de la Genevray, né à Orléansville le 21 février 1888.

Je dois dire aussi que la très peu fréquente apparition, dans les avis familiaux d’état-civil parus dans les journaux, du nom d' »Angèle » Morand de la Genevraye, la seconde épouse de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, en « succession maritale » de sa sœur aînée « Augustine-Marguerie » ; et d’abord le fait principiel que pour les femmes n’existaient pas bien sûr de livrets militaires donnant leurs lieu et date de naissance, ainsi que les commodes aussi, pour la recherche, mentions des noms et prénoms de leurs deux parents, compliquait la quête d’obtenir de telles données en l’absence de documents d’état-civil demeurés accessibles pour la ville d’Orléansville et sa région, à la différence des identités des citoyens masculins _ tels, par exemple, les renseignements fournis par les livrets militaires de chacun des hommes de la famille Morand de la Genevraye : Alphonse-Jean (classe 1892), Jules-Charles (classe 1901), Georges (classe 1908) ; ou bien de la famille Revillon d’Apreval : Auguste-Georges (classe 1907), René-Paul (classe 1916), Marcel-Ale, Lucien-Georges-Omar (classe 1919)

Et c’est l’acte de mariage réalisé à Blida le 19 avril 1911 pour l’union de Jenny-Marguerite d’Apreval (Orléansville, 15 août 188 – Tlemcen,  11 juillet 1912 _ cf cet avis de décès de Madame Maréchal née Jenny d’Apreval, paru dans le jounal Le Tell en date du 13 juillet 1912 _) avec Hugo-Alphonse Maréchal (Sidi Bel-Abbés, 13 mars 1881 – Alger, 9 avril 1949), qui allait me fournir le lieu et la date de décès de la mère de Jenny-Marguerite, en l’occurrence de cette Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye, qui m’échappaient jusque là : Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye _ née en 1867 hors mariage de l’union de Marguerite Bonopéra et Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye ; et officiellement reconnue par son père le 28 juin 1871, à l’âge de 4 ans… ; ses parents officialisant leur propre mariage à Orléansville un peu plus tard encore : au mois de juin 1875… _ était décédée à Orléansville le 8 février 1895

Et Augustine-Marguerite, née donc en 1867, avait donné naissance à au moins deux enfants de son union avec Georges-Auguste Revillon  d’Apreval _ le père de cette Jenny-Marguerite mariée à Blida le 19 avril 1911, présent et consentant à ce mariage de sa fille avec Hugo-Alphonse Maréchal _ :

_ Auguste-Georges d’Apreval, né à Orléansville le 15 septembre 1887 ;

_ Jenny-Marguerite d’Apreval, née à Orléansville le 15 août 1888 _ celle-ci décédera précocément à Tlemcen, au mois de juillet 1912, peu après avoir donné le jour, à Tlemcen, le 25 juin 1912, à une petite Jenny-Odette-Paule Maréchal…

Quant à la sœur cadette de cette Augustine-Marguerite _ née en 1867 et décédée à Orléansville le 8 février 1895 _Angèle Morand de la Genevraye, née à Orléansville en 1870,

elle n’allait pas tarder à devenir très peu après le décès de sa sœur aînée la seconde épouse de son beau-frère Georges-Auguste Revillon d’Apreval, né à Saint-Prix (Seine et Oise) le 27 décembre 1856, et devenu donc veuf ce 8 février 1895 _ celui-ci décèdera à Alger en 1946, en sa quatre-vingt-dixième année… _ ; et Angèle allait lui donner bientôt (en 1896, 1898 et 1899) trois nouveaux enfants :

René-Paul d’Apreval, né à Orléansville le 9 octobre 1896 ;

Marcel-Ale Révillon d’Apreval, né à Alger le 8 novembre 1898, mais précocément décédé le 21 avril 1902 ;

Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval, né à Alger le 28 novembre 1899.

Je poursuivrai demain lundi cette amorce de généalogie de membres de la famille _ d’abord orléansvillaise : Georges-Auguste exerçait à Orléansville la profession d’avoué… _ Revillon d’Apreval,

issue des deux sœurs Augustine-Marguerite (1867 – 1895) et Angèle (1870 – au moins après 1935) Morand de la Genevraye…

Mais, dans les divers actes état civils familiaus accessibles dans la presse, Le Progrès d’Orléansville ou L’Écho d’Alger principalement,

Angèle n’apparaît jamais sous son prénom de naissance « Angèle« , mais seulement en sa qualité d’épouse de son mari : « Madame Revillon d’Apreval« …

Or celle-ci va vivre durablement, au moins après le décès de son frère Georges Morand de la Genevraye, le 7 octobre 1935 ;  et peut-être même _ il me faudra poursuivre mes recherches… _ survivre à son mari Georges-Auguste, qui décèdera en 1946…

Or, après 1940, la presse est bien moins accessible ;

et les faire-part familiaux de décès, beaucoup moins riches…

À suivre donc, dès demain…

Ce dimanche 3 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et maintenant, le lien familial, en Algérie, des Wachter et des Ferrand aux Confex…

31jan

Et voici que, dans la foulée de la découverte de ce nom jusqu’ici non mentionné de Confex dans les divers faire-part de décès des familles plus ou moins directement affiliées et apparentées à la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron,

je découvre aussi les liens de la famille d’origine marseillaise des Confex à plusieurs membres de ces familles Ferrand et Wachter, en Algérie, effectivement apparentées à ces Ducos du Hauron, Rey, Gentet, Schwartz, de la famille du couple formé par Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey…

Il me faut donc ici cerner ces apparentements des Confex d’Algérie à ces Ferrand et Wachter eux-mêmes plus ou moins directement apparentés au couple d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey (et leurs descendants), ainsi qu’au couple de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et Aimée-Laurence Rey (et leurs descendants)…

La présence de membres de la famille marseillaise des Confex est issue de la venue en Algérie, en 1837, de Jean-Baptiste-Pierre Confex (né à Marseille le 28 décembre 1811 et décédé à Mustapha le 28 mai 1887) _ dont les parents étaient Louis Confex (né à Marseille en 1773 et décédé à Marseille le 29 juillet 1835) et son épouse Magdeleine Grimaud (née à Vitrolles le 22 novembre 1774 et décédée à Marseille le 5 janvier 1848) _, et Marie-Claire-Joseph Vidal (née à Marseille le 22 septembre 1815 et décédée à Mustapha le 6 juillet 1869 : leur mariage avait eu lieu à Alger le 22 août 1837.

Leur fille aînée, Élisabeth-Joséphine-Baptistine, née à Marseille le 28 décembre 1836, donc avant leur mariage, fut reconnue par son père au moment de leur mariage à Alger au mois d’août suivant, le 22 août 1837. Et celle-ci aura une longue vie (elle décèdera à Alger le 30 mars 1925), marquée notamment par son mariage, à Mustapha, le 26 mai 1857 : elle épouse un alsacien, originaire de Rougemont (aujourd’hui  dans le Territoire-de-Belfort) : Jean-Baptiste-Antoine Wachter (né à Rougemont le 5 février 1827 _ j’ignore la date de son décès en Algérie… _), issu d’une famille nombreuse.

L’article paru sous la rubrique « Nécrologie » à l’occasion du décès d’Élisabeth Confex, veuve Wachter, dans Le Progrès d’Orléansville du 2 avril 1925, est déjà bien significatif :

« Nous avons appris avec peine le décès survenu à Alger, à l’âge de 89 ans, de Madame Veuve Wachter, née Confex, mère de notre ami M. Émile Wachter d’Orléansville, et sœur de Madame Veuve Bonopéra.

Très aimée à Orléansville où elle avait demeuré de très nombreuses années, la défunte ne laisse que de bons souvenirs à tous ceux qui l’ont connue.

En cette pénible circonstance, nous adressons aux familles atteintes par ce deuil cruel nos bien sincères condoléances« …

En plus d’Élisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), épouse, puis veuve Wachter,

au moins cinq autres enfants Confex naîtront au couple formé par Jean-Baptiste-Pierre Confex et son épouse Marie-Claire-Joseph Vidal, entre 1839 et 1852 _ et qui sont donc les frères et sœurs d’Elisabeth Confex, veuve Wachter _ :

_ Aimée-Justine-Marie Confex (née à Alger le 7 février 1839 _ j’ignore la date et le lieu de son décès _), qui épousera, à Alger, le 18 juin 1868, Philippe Ferrand (né à Fleurey-lès-Lavencourt, Haute-Saône, le 7 août 1828 _ et qui décèdera à Alger le 2 décembre 1889 _), employé de commerce ;

_ Marius-Ernest-Jules Confex (né à Alger le 19 février 1841 _ j’ignore la date et le lieu de son décès _), architecte, qui épousera, à Saint-Eugène, le 26 août 1876, Marie-Augustine Crémonini (née à Alger, le 12 janvier 1851, et qui décèdera à Saint-Eugène le 8 janvier 1894) ;

_ Marius-Étienne Confex (né à Alger le 29 novembre 1843 _ et qui décèdera à Relizane, le 30 décembre 1894 _), plâtrier, qui épousera à Oran, le 5 mai 1870, Félicité-Adélaïde Tauriac (née à Alger, le 31 juillet 1848 _ et qui décèdera à Mostaganem le 23 novembre 1888 _) ;

_ Marie-Léontine Confex (née à Alger le 28 mars 1846 _ et dont j’ignore tout du reste : s’est-elle mariée ? a-t-elle eu des enfants ? de qui fut-elle peut-être la veuve ?.. _) ;

_ et Zoé-Marie-Thérèse Confex (née à Alger le 19 août 1852 _ j’ignore la date et le lieu de son décès _), qui épousera à Mustapha, le 13 mai 1876, Henry-Anastas Clément (né à Vallesrest, le 15 juin 1850 _ j’ignore la date de son décès _).

Laquelle de ces trois dames Confex _ ou bien encore une quatrième non encore repérée de moi jusqu’ici… _, sœurs d’ d’Élisabeth Confex

apparaîtra, au mois de mars 1927, sous l’identité de « Mme Vve Bonopéra » dans le faire-part du neveu Ferrand par alliance avec une Wachter ? :

_  Aimée-Justine-Marie,

née le 7 février 1839, et devenue veuve de Philippe Ferrand le 2 décembre 1889 ?

_ Marie-Léontine,

née le 28 mars 1846 ?

_ Zoé-Marie-Thérèse,

née le 19 août 1852, et devenue épouse de Henry-Anastas Clément le 13 mai 1876 ?

Cf aussi ce faire-part de décès en date du mois de décembre 1927 :

« Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter et ses enfants : Yvonne et Simone ; M. Henri Ferrand et Mme ; Mme Vve Bonopéra ; Mme Vve Louis Gentet, née Wachter ; Mme et M. Emile Wachter et leurs enfants ; Mme Vve Louis Wachter et sa fille ; Mme et M. Jules Malinconi et leurs enfants ; M. A. Gastaud ; les familles Ferrand d’Avancourt, Gadel, Ducos du Hauron, Gentet, Gastaud ; M. Albert Billiet ; MM. Tiné, le personnel de la Maison Tiné et Cie,

ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu’ils viennent d’éprouver en la personne de Monsieur Albert FERRAND, Caissier aux Deux Magots, leur époux regretté, père chéri, neveu, beau-frère, cousin et allié, décédé à Alger le 18 décembre 1927, dans sa 59e année. Ses obsèques auront lieu aujourd’hui à quatre heures. Réunion au domivile mortuaire, 9 rue Rovigo. Regret éternel« .

À la génération suivante,

le couple formé par Jean-Baptiste Wachter et son épouse Élisabeth-Joséphine-Baptistine Confex, aura _ au moins… _ quatre enfants Wachter  :

_ Élisabeth-Marie-Louise Wachter (née à Medea le 9 mars 1858 _ et dont j’ignore tout du reste : s’est-elle mariée ? a-t-elle eu des enfants ? de qui fut-elle peut-être la veuve ?.. _).

_ Aimée-Marie Wachter (née à Mustapha le 2 septembre 1859 _ et dont j’ignore tout du reste : s’est-elle mariée ? a-t-elle eu des enfants ? de qui fut-elle peut-être la veuve ?.. _).

Au passage, je me demande fortement si l’une de ces deux Demoiselles Wachter _ ou encore une troisième non encore repérée de moi _ ne pourrait pas être la « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » du faire-part de décès; en date du mois de décembre 1927, de « Monsieur Albert Ferrand, Caissier aux Deux Magots« , qui nous intrigue tant dans notre recherche de mieux apprendre qui est qui, parmi la constellation familiale des Ducos du Hauron et apparentés d’Algérie…

_ Louis-Jules Wachter (né à Orléansville le 29 juillet 1866 _ et dont j’ignore la date et le lieu du décès _, et qui a épousé à Bône, le 14 janvier 1905 Thérèse-Grazia Gallo (née à Bône le 26 octobre 1883 _ j’ignore la date et le lieu de son décès _), et qui sera la « Mme Vve Louis Wachter » du faire-part de décès de « Monsieur Albert Ferrand, Caissier aux Deux Magots« , paru dans L’Écho d’Alger du 20 décembre 1927 ; cf mon article du 30 janvier dernier : .

_ Et peut-être enfin _ s’il est bien le dernier des enfants de ce couple Wachter-Confex _ Émile  Wachter (né à Mustapha le 15 mai 1869 _ j’ignore encore à ce jour et la date et le lieu de son décès _), qui mit en œuvre une entreprise de transports hippomobiles entre Orléansville et Ténès, qui fit faillite (en 1911), et se reconvertit en agent d’assurances.

Émile Wachter épousa, à Orléansville, le 21 octobre 1897, Mademoiselle Hélène-Etiennette-Sophie Janet ;

et le couple eut plusieurs enfants Wachter, auxquels j’ai l’intention de consacrer prochainement un article un peu développé.

Et c’est dans la perspective de mieux comprendre tout le détail du faire-part du décès de « Monsieur Albert Ferrand, Caissier aux Deux Magots« , paru dans L’Écho d’Alger du 20 décembre 1927, que je me penche sur l’identité des personnes mentionnées en ce faire-part important, dans ma quête de pénétrer l’intelligence de la constellation familiale de la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron ;

tout spécialement dans le paysage d’Orléansville où résidèrent les membres de la génération des premiers colons d’Algérie, dès la décennie des années 30 du XIX e siècle… 

À suivre…

Ce dimanche 31 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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