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Sources-ressources pour des précisions biographiques concernant Edith Bruck, sa famille, ses proches, et quelques autres personnes, rencontrées en 90 années de vie (1931 – 2021), en son exigeant parcours de survie et d’écriture

11jan

Par commodité,

et dans l’ordre chronologique commode des références répertoriées, 

voici un petit compendium _ forcément partiel et surtout provisoire _ de 20 sources-ressources

au sein desquelles pouvoir dénicher-puiser quelques éventuelles _ à contrôler et vérifier, bien sûr, pour chacune d’entre elles ! tant d’approximations et erreurs s’y glissent… _ précisions biographiques concernant la famille, les proches, et d’autres personnes croisées, à un peu mieux identifier,

afin d’élargir un peu l’intelligence, par le lecteur un peu curieux, de quelques situations évoquées, notamment dans « Le Pain perdu« , par Edith Bruck,

en son admirable et indispensable récit mémoriel et testimonial :

1) un article, de Lorenza Trucchi, intitulé « Mitty Risi inaugura la stagione romana« , dont voici aussi un très intéressant lien au fac-similé, paru dans le journal romain Giovedi du 1er octobre 1953 

2) le livre « Filippo di Roma _ genialità in via dei Condotti« , de Toni Cosenza paru en 2005, à propos de l’institut de beauté, le « Salone Filippo« , que dirigea un moment, vers les débuts de son installation à Rome, en 1954, Edith Bruck, recrutée par la Signora G. _ probablement Giancarla Mandelli (1937 – 3 avril 2010)… _, quelque temps après son arrivée à Rome, et jusqu’en 1959, au moment de la découverte _ détonnante _ de la publication de son tout premier livre, Che ti ama cosiet, en conséquence, du fait qu’Edith avait survécu à la Shoah…

3) des extraits du livre « Magyar, Stars and Stripes : a journey from Hungary through the Holocaust and to New-York« , de Michael Lipiner, en 2005, à propos du parcours de la Judit de cet admirable « Pain perdu » _ prénommée ici Zahava, et à sa naissance, Adele _, la sœur d’Edith, et sa très fidèle et protectrice compagne dans les camps de concentration, d’Auschwitz à Bergen-Belsen, du 28 mai 1944 au 15 avril 1945

4) l’article important « Memorial Candles« de Deborah Taub Damascelli, la bien-aimée nièce d’Edith _ et fille d’Adele : Deborah Taub est née en 1957 _, et désormais romaine _ épouse de Lucio Damascelli _, paru dans le volume « Trauma and Memory« , vol. 2, n°2, en 2014, où Deborah Taub raconte l’extraordinaire parcours de survie de sa mère, prénommée ici Zahava, et de sa très chère tante Edith…

5) quelques très précieux avis de condoléances de plusieurs membres de sa famille, adressés à Edith, pour le décès _ le 17 septembre 2015, à Rome _ de son époux Nelo Risi, parus dans le numéro de La Repubblica du 19 septembre 2015

6) l’intéressante notice biographique détaillée consacrée à Nelo Risi _ rédigée par Riccardo D’Anna _ dans le Dizionario Biografico degli Italiani, vol. 87, en 2016

7) un tout à fait détaillé résumé d’un très riche entretien avec Edith Bruck, de Fava Francesca et Giacobbe Borelli Maia _ d’une durée de 1 h 53′ ; je n’ai hélas pas réussi à accéder à l’écoute de ce podcast… _, réalisé le 2 avril 2016 : un document passionnant !

8) un article sociologiquement significatif _ seulement… _, intitulé « Sergio Valente, l’hair-stylist delle attrici internazionali« , paru dans La Gazzetta dello spettacolo du 9 juin 2016, consacré au coiffeur des stars Sergio Valente, qui a débuté sa carrière au fameux « Salone Filippo » de la via dei Condotti, et qui évoque cet institut de beauté dont Edith Bruck a été un moment la directrice, avant de se fâcher, au moment de la parution de son premier livre, Chi te ama cosi, à Rome, en 1959, avec la mal commode patronne, la Signora G. _ Giancarla Mandelli…

9) et 10) deux très riches articles _ avec des précision biographiques que j’ai seulement découvertes ici, à propos du parcours d’Edith entre son retour à Tiszabercel et son débarquement en Israël, à Haifa, le 3 septembre 1948 : extraites du « Qui t’aime ainsi«  de 1959…  _ d’Olivier Ypsilantis, intitulés « En lisant « Qui t’aime ainsi » 1 et 2″, en date des 18 et 20 avril 2017, publiés sur le site Zakhor-Online.com

11) l’entretien très émouvant d’Edith Bruck avec Antonio Gnoli intitulé « Scrivevo mentre Nelo dormiva » paru le 30 avril 2017 dans La Repubblica, à l’occasion de la publication du livre d’Edith consacré à la maladie terminale de son époux disparu le 17 septembre 2015, Nelo : « Le Rondine sul termosifone« 

12) une notice, qui bien que très mal traduite, comporte cependant quelques détails assez intéressants, intitulée « Les Écrivains hongrois« , et consacrée à Edith Bruck, sur le site bookwiki.info

13) un très intéressant entretien avec Edith Bruck mené par Patricia Amardeil à Rome le 18 février 2019, intitulé « A bâtons rompus« , à propos des très belles singularités de l’écriture de celle-ci

14) et 15) deux entretiens détaillés _ et consécutifs _ d’Edith Bruck avec Patricia Amardeil,

le second en date de l’automne 2019

et le premier (« Retour sur l’Italie« ) du 5 mars 2020

16 ) le podcast (de 11′ 07) d’un entretien d’Edith Bruck avec Ora Daria, intitulé « Edith Bruck, testimone della Shoah« , en date du 27 janvier 2021

17 ) la vidéo (de 16′) d’un entretien intitulé « Edith Bruck Scrittice e testimone della Shoah« , à la Rai, le 25 avril 2021, lors de la marquante Festa della Liberazione

18) l’entretien sur « Le Pain perdu » d’Edith Bruck avec Pupa Garriba et Fiorella Leone le 14 mai 2021, au domicile romain de l’écrivain, Via del Babuino, 72

19) un article assez développé de Sandra Petrignani, intitulé « La Storia di Edith« , paru le 30 juin 2021

20) un entretien d’Ilaria Romano avec Edith Bruck intitulé « Edith Bruck : Testimoniere per il futuro« , en date du 1er octobre 2021

Que je complète

par un lien _ à faire défiler, de parent à parent… _ à un site de généalogie, à propos de sa famille Steinschreiber (et familles apparentées) de Tiszabercel, en Hongrie :

à partir, ici, de la fiche concernant le père d’Edith, Sandor Sulem Shalom Steinschreiber…

et par un lien à quelques cartes _ à faire défiler aussi… _ de la région de Tiszabercel,

et de villes et villages mentionnés dans les environs…

Soient un trésor de ressources documentaires véritablement passionnantes

pour qui désire en apprendre un peu plus sur le parcours de vie (et d’écriture) d’Edith Steinschreiber – Bruck – Risi…

Ce mardi 11 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

En poursuivant la recherche concernant les personnes apparaissant dans le récit mémoriel du « Pain perdu » d’Edith Bruck…

10jan

Et en plus des questions posées par les cadres géographico-historiques du récit mémoriel que développe « Le Pain perdu » tout récent _ en 2021, par La nave di Teseo, editore, Milan _ d’Edith Bruck,

se pose aussi, au lecteur, la question de préciser bien davantage les identités des personnes,

souvent très rapidement esquissées dans le récit,

dans la mesure où ces identités-là ne concernent pas directement la puissance d’émotion du rapide et très vivant discours de celle qui se souvient et raconte les scènes qu’elle a alors vécues…

À commencer par les identités des parents plus ou moins proches _ époux compris, parfois floutés… _,

ainsi que leurs accointances, à un simple détour d’une scène, évoquées,

de la narratrice.

En remarquant aussi des variations d’identités,

en fonction de diverses sources trouvées au cours des recherches complémentaires effectuées…

Et même si, bien sûr, là n’est pas le fondamental,

c’est tout de même historiquement passionnant.

En sachant aussi que le désir si puissant de raconter et partager, par l’écriture, la vérité de ce qui s’est jadis passé,

constitue aussi une forme de lutte _ de l’auteur _ contre la course contre la montre de l’âge :

 

puisque celle qui écrit, en 2020, vient d’avoir, le 3 mai, 89 ans…

Et le souci de porter _ à nouveau _ un très fort et implacable témoignage de vérité devant les plus jeunes générations, lui est vraiment un devoir plus que vital :

absolument indispensable.

À suivre, donc…

Ce lundi 10 janvier 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

L’origine italienne de l’ancêtre Louis-Nicolas Bonopera venu de Tarragone (ou Ceuta) à Alger en 1830 : Macerata, dans les Marches, ou Palerme, en Sicile ?..

23avr

La personne membre de la famille Bonopéra issue de la branche des Bonopéra d’Orléansville que j’ai pu contacter,

a lu avec intérêt les éléments de ma recherche généalogique de ces Bonopéra passés par l’Algérie, et plus précisément Orléansville ;

mais avoue son ignorance sur les questions que je posais _ dont fait partie ma recherche de l’identité de « Madame Veuve Bonopéra mère« , née Confex _ ;

et me rapporte la tradition familiale selon laquelle l’ancêtre Louis-Nicolas Bonopéra _ débarqué à Alger en 1830, en propvenance de Tarragone, ou bien Ceuta… _ serait bien natif d’Italie au XVIIIe siècle ;

mais pas de Macerata (dans les Marches) _ comme je l’ai appris du mémoire de Monserrat Moli Frigola, de 1989 : Represion de la Masoneria y consulados Pontificios. El Consulado Pontificio de Barcelona (1828-1830) _,

mais plutôt de Palerme (en Sicile) _ en concordance avec ce qui est rapporté du producteur parisien Georges Bonopéra, né à Orléansville en 1950 (j’ignore toujours aussi de quel Bonopéra, d’Orléansville, ce Georges Bonopéra-ci est le fils…), dans la notice biographique que lui consacrait, en 2006, le Dictionnaire biographique des Français d’Afrique du Nord, de René Mayer…

Tout cela demande donc à être mieux établi…

Ce vendredi 23 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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