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Relecture-révision de l’article du 25 décembre 2020 : « Comment s’est réalisé l’apparentement des Ducos du Hauron aux Gadel, en Algérie ? »

08nov

Et maintenant,

je passe à la relecture-révision _ avec rectificatifs, précisions et ajouts en rouge et en gras… _ de l’article _ important _ suivant en date du 25 décembre 2020 : ...

Voici ce que cela donne :

Ma recherche présente se focalise présentement _ et pour commencer _ sur le point précis de l’apparentement des Ducos du Hauron (d’Algérie) aux Gadel…

Car si à diverses reprises, dans le dépouillement des avis d’État-Civil de mariages, de décès ainsi que de naissances, auxquels j’ai pu avoir accès, très partiellemment, sur le web,

j’ai pu constater la présence du nom Ducos du Hauron dans des avis concernant surtout des Gadel _ et à un moindre degré des Bure _,

je ne suis pas encore arrivé, jusqu’ici, à clairement identifier un tel lien effectif entre les Ducos du Hauron et les Gadel,

à l’exception _ pour le moment unique _ du mariage _ mais, pour le moment encore, sans lieu, ni date… _ entre Éveline Ducos du Hauron et Henri Ducros,

qui fut administrateur adjoint de diverses communes d’Algérie : Port-Gueydon, Dupleix (et la commune mixte de Cherchell), pour ce qui concerne la période de cette union ;

et cela à travers la découverte de la naissance avérée d’au moins deux enfants de ce couple Ducros-Ducos du Hauron :

d’une part, la petite Raymonde Ducros, en un avis de décès (survenu à Alger ; alors que son père était administrateur-adjoint à Port-Gueydon) publié par L’Écho d’Alger du 23 octobre 1933 ; 

et je cite ici cet avis de décès in extenso :

« M. Ducros Henri, administrateur-adjoint à Port-Gueydon, et Mme née Ducos du Hauron, et leur fils Yves ; les familles Ducos du Hauron, Ducros, Gadel, Gentet _ données ici, en ce mois d’octobre 1933, en cet ordre _ et leurs parents vous font part du décès de leur chère petite Raymonde Ducros. Les obsèques auront lieu aujourd’hui à 14 heures. Réunion Chemin Yusuf. P. funèbres de la ville d’Alger. Un seul bureau, mairie. Tél. 86-07« … ;

et, d’autre part, le petit Yves-Henri Ducros, en un avis de naissance (à Port-Gueydon) publié par L’Écho d’Alger du 8 juin 1930 :

« Port-Gueydon. Naissance. Nous apprenons avec plaisir la naissance de Yves-Henri Ducros, fils de Mme et M. Henri Ducros, administrateur adjoint à Port Gueydon. Nous présentons au bébé et à ses heureux parents nos meilleurs souhaits de bonheur« .

C’est de ces deux données d’État-civil,

ainsi, aussi et surtout, bien sûr, que de l’avis de décès de Mme Henri Ducros, née Éveline Ducos du Hauron, publié le 2 janvier 1939 dans L’Écho d’Alger :

« Monsieur Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix, ainsi que ses enfants ; MM. Ducos du Hauron, Gérard et Roger ; Mme Jacquet ; Mme Vve Gadel et ses enfants ; les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure, vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri DUCROS née Éveline DUCOS DU HAURON Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939« ) ;

complété par cette brève information, donnée le 5  janvier suivant par L’Écho d’Alger :

« Dupleix, Décès : Mme Ducros est décédée subitement à Alger, où elle était allée, avec sa famille, passer les fêtes de Noël. La triste nouvelle a plongé la population dans une profonde consternation. Nous présentons à M. Ducros, notre administrateur adjoint, et à ses enfants, l’expression de nos condoléances attristées » ;

ainsi que par ces Remerciements parus dans L’Écho d’Alger du 18 janvier suivant :

« M. Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix ; MM. Ducos du Hauron et leurs familles prient les personnes qui ont bien voulu prendre part à leur douleur à l’occasion du décès de Mme Henri DUCROS, née Éveline DUCOS DU HAURON de trouver ici l’expression de leurs remerciement émus« ,

que j’ai pu induire et avérer l’existence de ce mariage entre Éveline Ducos du Hauron et Henri Ducros… 

Depuis cet article du 15 décembre dernier (),

je viens de découvrir, en un avis de naissance publié par L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921, que Henri Ducros, qui était alors administrateur-adjoint à Aumale, avait eu un petit garçon nommé Paul-Henri, de son épouse d’alors, née Gibal (« fille de M. Gibal, instituteur à Alger, et nièce de M. Cordier, chef du Trafic à la Compagnie générale transatlantique » ;

chose que j’avais ignorée jusqu’ici _ de même que j’ignore le prénom, la date et le lieu du décès de cette première épouse de Henri Ducros ; ainsi que ce qu’est devenu par la suite ce petit Paul-Henri Ducros ; son nom cependant réapparaîtra plus tard…

Et je peux ajouter ici un autre article de L’Écho d’Alger, cette fois du 2 août 1920, qui citait M. Ducros, « administrateur-adjoint à Aumale« , parmi la liste des membres de la Société de géographie d’Alger…

De même que j’ai appris, d’un entrefilet de L’Écho d’Alger du 30 janvier 1923,

que « M. Dor, administrateur-adjoint à Bou Saâda, avait été appelé à Aumale, en remplacement de M. Ducros, précédement désigné pour Trezel »

_ et ici, je dois avouer que je n’en sais, pour le moment, pas davantage, ni sur le parcours administratif (d’administrateur adjoint de diverses communes d’Algérie) de Henri Ducros avant sa nomination à Port-Gueydon (à quelle date ?) ; ni sur son parcours personnel familial : où et quand a-t-il perdu sa première épouse, née Gibal ? où et quand s’est-il remarié avec Éveline Ducos du Hauron ? Bien des recherches complémentaires s’avèrent, ici, nécessaires…

Et encore,

cette fois en un petit article (de « cordiale bienvenue« ) de L’Écho d’Alger du 6 janvier 1937,

voici une brève information de la nomination de M. Henri Ducros à Dupleix :

« Cordiale bienvenue à M. Henri Ducros et sa famille qui viennent de Port-Gueydon. M. Ducros est nommé en qualité d’administrateur adjoint de la commune mixte de Cherchell« …

En tout cas, Henri Ducros _ le gendre _ et Amédée Ducos du Hauron _ le beau-père _ ont partagé, à une génération de distance, les mêmes fonctions d’administrateur adjoint, en diverses communes mixtes d’Algérie…

Je poursuivrai demain le compte-rendu de ce que j’ai un peu trop imprudemment _ pas vraiment ! Mon intuition était juste… _ annoncé en mon titre :

l’apparentement des Ducos du Hauron (et/ou des Ducros) aux Gadel,

puisque ce jour j’en suis resté à l’apparentement, via Henri Ducros et son épouse Éveline Ducos du Hauron, des Ducos du Hauron aux Ducros ;

et n’ai pas encore abordé _ mais cela va très bientôt venir _ la place des Gadel dans cette constellation familiale des Ducos du Hauron d’Algérie…

À suivre, donc…

Ce vendredi 25 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

La recherche avance, step by step !

Ce lundi 8 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

La question d’identifier précisément une des soeurs Confex et une des filles Wachter d’Elisabeth Confex (épouse Wachter) : la future « Veuve Paul Bonopéra » de 1916, et la future « Veuve Louis Gentet » de 1906…

01nov

Pour résumer très simplement le fond de mon questionnement d’hier («  « ),

les identités de deux personnes continuent de constituer deux importantes taches aveugles de ma recherche à propos de l’environnement familial, via son épouse Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935) ;

il s’agit :

d’une part, et premièrement,

de l’identité d’une des sœurs Confex d’Élisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925) _ Élisabeth Confex, un (discret) personnage-pivot de mon enquête _devenue, à la mort de Paul Bonopéra, le 18 janvier 1916, à Orléansville, « Madame Veuve Paul Bonopéra, née Confex » _ Paul Bonopéra : né à Miliana le 1er octobre 1856, et décédé à Orléansville le 18 janvier 1916… _ ;

et que la mention, dans Le Progrès d’Orléansville, du 10 avril 1925 _ « Nous avons appris avec peine le décès survenu à Alger, à l’âge de 89 ans, de Madame Veuve Wachter, née Confex, mère de notre ami M. Émile Wachter d’Orléansville, et sœur de Madame Veuve Bonopéra _ voilà ! Très aimée à Orléansville où elle avait demeuré de très nombreuses années, la défunte _ Élisabeth Confex, veuve Wachter de Jean-Baptiste-Antoine Wachter _ ne laisse que de bons souvenirs à tous ceux qui l’ont connue. En cette pénible circonstance, nous adressons aux familles atteintes par ce deuil cruel nos bien sincères condoléances «… _ du décés, survenu à Alger le 30 mars 1925, d’Élisabeth Confex « Veuve Wachter« ,

affirme on ne peut plus explicitement être bien une sœur de cette défunte Élisabeth Confex ;

ainsi qu’une tante de l’orléansvillais Émile Wachter _ né à Mustapha le 15 mai 1869, et époux, à Orléansville, de Hélène-Etiennette-Sophie Janet ; parents de 5 enfants Wachter ; cf mon article du 2 février 2021 : _un des enfants _ le quatrième de la fratrie : après Élisabeth-Marie-Louise Wachter (née à Médéa, le 9 mars 1858) ; Aimée-Marie Wachter (née à Mustapha, le 2 septembre 1859) ; Louis-Jules Wachter (né à Orléansville, le 29 juillet 1866) ; et avant Marie-Emélie Wachter (née probablement à Orléansville, en 1874 ou 75)… _ d’Élisabeth Confex et son époux Jean-Baptiste-Antoine Wachter… ;

et jusqu’ici, j’ai ai pu identifier,

outre 2 frères Confex, soient Marius-Ernest-Jules Confex (Alger, 19 février-1841 – ?, ?) et Marius-Etienne Confex (Alger, 29 novembre 1843 – Relizane, 30 décembre 1894),

3 sœurs Confex

d’Élizabeth Confex, la future « Veuve Wachter, née Confex » _ j’ignore cependant à quelle date Élizabeth Confex est devenue veuve de son mari Jean-Baptiste-Antoine Wachter… _ ;

qui sont :

_ Aimée-Justine-Marie Confex (Alger, 7 août 1839 – ?, ?), devenue, à Alger, le 2 décembre 1889, la « Veuve Philippe Ferrand, née Confex » _ mais j’ignore le lieu et la date du décès de cette Aimée-Justine-Marie Confex _  et mère d’Albert-Philippe-Joseph Ferrand (Alger, 1869 – Alger, 18 décembre 1927 ; qui deviendra l’époux de la nièce de sa mère : en l’occurrence, sa cousine Marie-Emélie Wachter, fille d’Elisabeth Confex et son époux Jean-Baptiste-Antoine Wachter ;

 

_ Marie-Léontine Confex (Alger, 28 mars 1846 – ?, ?) _ sans aucune autre précision jusqu’ici… _ ;

_ et Zoé-Marie-Thérèse Confex (Alger, 19 août 1852 – ?, ?), épouse, à Mustapha, le 13 mai 1876, de Henry-Anastas Clément (Vallerest, 15 juin 1850 – ?, ?) _ sans davantage de précision…


Laquelle d’entre ces trois sœurs Confex est-elle devenue la troisième « Madame Paul Bonopéra » _ la première Madame Paul Bonopéra (et mère de leurs 6 garçons), est Joséphine Girot, née à Ténès, en 1856, et décédée à Orléansville, le 11 juillet 1892 ; et Paul Bonopéra ayant divorcé de sa deuxième épouse, Marie-Jeanne-Virginie Claudet, le 25 juillet 1897 ;

cf là-dessus mes articles du 13 février 2021 :  ; et du 7 mars 2021 : _puis, le 18 janvier 1916, « Madame Veuve Paul Bonopéra » ?..

_ Est-ce ou bien, Aimée-Justine-Marie Confex, née à Alger le 7 août 1839, devenue, à l’âge de 50 ans, le 2 décembre 1889, veuve de Philippe Ferrand ; celle-ci aurait pu épouser, aussi, un peu plus tard _ après le divorce de Paul Bonopéra d’avec sa deuxièle épouse, le 25 juillet 1897 _, Paul Bonopéra, à Orléansville _ la date exacte de ce troisième mariage de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) avec cette dame « née Confex », me demeurant, à ce jour, inconnue… _ ;

_ ou bien, Marie-Léontine Confex, née à Alger le 28 mars 1846 _ jusqu’ici je ne sais rien de plus sur sa vie ; ni son décès… _ ;

_ ou bien Zoé-Marie-Thérèse Confex, née à Alger le 19 août 1852 _ mais, si ce n’est son mariage, le 13 mai 1876, à Mustapha, avec Henry-Anastas Clément (né à Vallerest, Haute-Marne, le 15 juin 1850), je ne sais rien de plus, non plus, sur le reste de sa vie de cette sœur Confex, sixième de la fratrie des enfants Confex-Vidal ; non plus que sur son décès… ?

_ à moins qu’il ne s’agisse encore d’une autre sœur Confex, mais jusqu’ici inconnue de moi, d’Élisabeth Confex…

Puis, d’autre part, et deuxièmement,

la seconde tache aveugle qui fait l’objet de cette petite synthèse de ma part,

est l’identité d’une des filles Wachter_ fille d’Élisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925) et de son époux Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – j’ignore le lieu et la date de son décès) : ce couple Wachter-Confex a eu au moins 5 enfants Wachter… _ 

en l’occurrence celle qui deviendra, le 9 août 1906, lors du décès de son époux Louis Gentet _ l’oncle et tuteur de ses deux nièces Marie-Louise Rey (épouse, à Orléansville, d’Amédée Ducos du Hauron) et Aimée-Laurence Rey (épouse, à Orléansville, de son cousin Victor Gadel), les deux filles de Jean-Anatole Rey et Adélaïde Gentet, précocementt décédés le 28 janvier 1890 et le 21 juillet 1886, à Oran _, la « Veuve Louis Gentet, née Wachter » de certains des faire-parts de divers décès de sa famille ; faire-parts sur lesquels celle-ci figure sous cette dénomination, mais _ hélas pour la facilitation de notre recherche _ chaque fois sans son prénom ;

en conséquence de cette ignorance du prénom de cette « Veuve Louis Gentet, née Wachter« ,

je ne suis toujours pas en mesure d’identifier les lieu et date de naissance de cette demoiselle Wachter qui deviendra « Veuve Louis Gentet » à dater du 9 août 1906

_ et il semble, aussi, que ce couple Gentet-Wachter n’a pas eu d’enfant Gentet… _ ;

ni, non plus, d’affirmer laquelle des sœurs de « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » est bien cette « Veuve Louis Gentet, née Wachter » _ une des quatre filles jusqu’ici repérées de Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Élisabeth-Joséphine-Baptistine Confex ;

à ne pas confondre avec, à la génération suivante, les filles Wachter de leur frère Émile Wachter (né à Mustapha le 15 mai 1869) et son épouse Hélène-Etiennette-Sophie Janet : Mireille Wachter (Orléansville, 1907 – Orléanville, 19 octobre 1928) et Suzanne-Hélène-Émilie Wachter (Orléansville, 29 novembre 1911 – Orange, 3 janvier 2004 ; épouse, à Orléansville, en juin 1930, de Camille Férise)… _ ;

sœurs Wachter, dont je connais, à ce jour, seulement les données concernant les naissances ; mais ignore, notamment, lesquelles de ces demoiselles Wachter-ci ont été mariées, ou pas ; non plus plus que les lieux et dates des  décès respectifs de chacune :

il s’agit ici d’Élisabeth-Marie-Louise Wachter, née à Médéa le 9 mars 1858 ;

et d’Aimée-Marie Wachter, née à Mustapha le 2 septembre 1859.

J’ai bien envisagé, aussi, qu’il aurait pu s’agir, éventuellement, d’une troisième de ces sœurs Wachter, en l’occurrence la benjamine et cinquième de la fratrie, Marie-Emélie Wachter, née _ probablement à Orléansville _ en 1874 ou 1875, et mariée _ j’ignore à quelle date précisément, et possiblement à Orléansville… _ à son cousin Albert-Philippe-Joseph Ferrand, né _ probablement à Alger _ en 1869, où il décèdera, en son domicile, Avenue Gandillot, le 18 décembre 1927 ; faisant d’elle, à dater de ce jour de 1927, « Mme Vve Albert Ferrand, née Wachter« …

Mais il faut bien constater qu’existe une fondamentale impossibilité logique (!!!) que cette « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » proprement une nièce de la veuve Ferrand du défunt Albert Ferrand, Marie-Emélie Wachter, celle-là même qui annonce le décès de son mari _, soit la même personne que celle, en l’occurence « Mme Vve Albert Ferrand, née Wachter« , qui annonce, dans L’Écho d’Alger du 20 décembre 1927, le décès de son époux, et intègre à son faire-part, au rang protocolaire qui lui convient, sa sœur : « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » :

« Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter et ses enfants : Yvonne et Simone ; M. Henri Ferrand et Mme ; Mme Vve Bonopéra ; Mme Vve Louis Gentet, née Wachter ; Mme et M. Émile Wachter et leurs enfants ; Mme Vve Louis Wachter et sa fille ; Mme et M. Jules Malinconi et leurs enfants ; M. A. Gastaud ; les familles Ferrand d’Avancourt, Gadel, Ducos du Hauron, Gentet, Gastaud ; M. Albert Billiet ; MM. Tiné, le personnel de la Maison Tiné et Cie,

ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu’ils viennent d’éprouver en la personne de Monsieur Albert FERRAND, Caissier aux Deux Magots, leur époux regretté, père chéri, neveu, beau-frère, cousin et allié, décédé à Alger le 18 décembre 1927, dans sa 59e année. Ses obsèques auront lieu aujourd’hui à quatre heures. Réunion au domivile mortuaire, 9 rue Rovigo. Regret éternel«

De la fratrie des cinq enfants du couple formé par Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Élisabeth- Joséphine-Baptistine Confex _ Élisabeth-Marie-Louise, Aimée-Marie, Louis-Jules,Émile et Marie Emélie Wachter _, sont donc encore vivants à cette date du 18 décembre 1927, du décès, à Alger, d’Albert-Philippe-Joseph Ferrand, que les deux plus jeunes de la fratrie, soient Emile Wachter, et Marie-Emélie Wachter, désormais veuve d’Albert Ferrand. 

……

L’hypothèse envisagée plus haut, est donc écartée !

« Mme Vve Louis Gentet, née Wachter« , étant la belle-sœur du défunt, « Monsieur Albert FERRAND« ,

est bien la sœur de « Mme Vve Albert Ferrand, née Wachter« …

Ne demeurent ainsi plus que trois possibilités pour l’identification de la personne précise de cette « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » :

_ ou bien, Élisabeth-Marie-Louise Wachter, née à Médéa le 9 mars 1858 ;

_ ou bien, Aimée-Marie Wachter, née à Mustapha le 2 septembre 1859 ;

_ ou bien, encore, une autre sœur Wachter, qui serait demeurée totalement inaperçue de mes recherches jusqu’ici…

Voilà, pour ce jour de Toussaint 2021,

mon effort de synthèse concernant ces deux taches aveugles de ma recherche, que sont les deux identités à percer au jour, de « Mme Vve Paul Bonopéra, née Confex » et de « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » _ la seconde citée, née Wachter, étant la nièce de la première, née Confex…

La disparition des archives d’Orléansville et sa région lors des deux séismes du 9 septembre 1954, puis du 10 octobre 1980, ne facilitant certes pas la recherche des états-civils des personnes,

en empêchant de consulter les données d’État-civil qui, conservées à Orléansville, ont été alors détruites…

Ce lundi 1er novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Précisions complémentaires à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance (et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés), des neveux de Louis Ducos du Hauron, et plus spécialement en Algérie…

31oct

Voici quelques précisions complémentaires
à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés, des neveux de Louis Ducos du Hauron,
et plus spécialement en Algérie…

C’est surtout la descendance de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?) et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), mariés à Mustapha le 26 mai 1857,
qui m’intéresse :
plus précisément pour la relation de parenté d’une de leur fille _ née Wachter, donc, mais dont je n’ai pas encore découvert le prénom ; ni donc l’identité précise… _,
avec l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935), née Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933).
Car cette future « Veuve Louis Gentet, née Wachter », dont j’ignore aussi les dates et lieux de naissance et de décès, ainsi que la date et le lieu _ probablement à Orléansville _ de son mariage avec Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906)
n’est autre,
du fait de son mariage avec Louis Gentet, oncle et tuteur des 2 filles Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey, devenues orphelines de leurs deux parents, Jean-Anatole Rey (décédé à Oran le 28 janvier 1890) et son épouse Adélaïde Gentet (décédée à Oran le 25 juillet 1886),
que la tante par alliance de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron,
le neveu demeuré en Algérie, de Louis Ducos du Hauron. 
 
 
Des 5 (ou 6) enfants du couple Jean-Baptiste-Antoine Wachter – Elisabeth Confex (qui se sont mariés à Mustapha le 26 mai 1857)
à défaut d’en connaître assez au sujet de la future « Veuve Louis Gentet, née Wachter », 
j’ai identifié, mais avec des données encore un peu trop partielles, les 5 enfants suivants :  
_ Elisabeth-Marie-Louise Wachter : Medea, 9-mars 1858 – ?
_ Aimée-Marie Wachter : Mustapha, 2 septembre 1859 – ?
_ Louis-Jules Wachter : Orléansville, 29 juillet 1866 – ? : il épousera à Bône, le 14 janvier 1905, Thérèse Grazia Gallo (née à Bône le 26 octobre 1883)
_ Émile Wachter : Mustapha, 15 mai 1869 – ? : il épousera à Orléansville, le 21 octobre 1897, Hélène-Etiennette-Sophie Janet
_ Marie Émélie Wachter : ?, 1874 ou 75 : elle épousera son cousin Albert-Philippe-Joseph Ferrand (né en 1869, dont la mère, mariée à Alger le 18 juin 1868, à Philippe Ferrand (Fleury-lès-Lavancourt, 7 août 1828 – Alger, 2 décembre 1889), était une Confex : Aimée-Justine-Marie Confex, née à Alger le 7 février 1839, sœur cadette d’Elisabeth Confex).
L’époux de cette Marie-Emélie Wachter, Albert Ferrand, décèdera à Alger le 18 décembre 1927 ;
et sur le faire-part du décès que publiera sa veuve « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » _ cf mon article du 3à janvier 2021 : _,
sont présents, et dans cet ordre :
… 
_ « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter, et ses enfants : Yvonne et Simone » _ les deux filles du couple du défunt et de sa veuve _,
« M. Henri Ferrand _ le fils aîné du couple _ et Mme » _ née Raphaëlle Apostolico _,
« Mme Vve Bonopera » _ tante, née Confex, de la veuve d’Albert Ferrand, Marie-Emélie Wachter… ; et d’elle aussi j’ignore toujours le prénom, ainsi que ses lieux et dates de naissance et de décès ; de même que la date de son mariage avec M. Paul Bonopéra, probablement à Orléansville… _,
« Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » _ très probablement sœur de « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » ; d’elle aussi j’ignore le prénom, ainsi que ses lieux et dates de naissance et de décès ; de même que la date de son mariage avec M. Louis Gentet, probablement à Orléansville, elle aussi… _
« Mme et M. Emile Wachter, et leurs enfants » _ le frère (né à Mustapha, le 15 mai 1869) et la belle-sœur (née Hélène-Etiennette-Sophie Janet) de la veuve Ferrand, et leurs enfants, neveux et nièces de la veuve Ferrand née Wachter, soient Henri Wachter, Emile-Antoine Wachter, Albert Wachter, Mireille Wachter et Suzanne-Hélène-Emilie… ; cf mes articles du 2 février 2021 :  ; et du 29 mars 2021 : ... _,
« Mme Vve Louis Wachter et sa fille » _ la belle-sœur de la veuve Ferrand, et veuve elle-même de Louis Wachter, frère (né à Orléansville le 29 juillet 1866) de la veuve Ferrand ; ainsi que leur fille Paula Wachter _,
« Mme et M. Jules Malinconi et leurs enfants » _ Mme Malinconi est née Joséphine-Aimée-Constance Confex, à Alger le 31 octobre 1877 ; et elle est la fille de Marius-Ernest-Jules Confex (né à Alger le 19 février 1841) et son épouse Marie-Augustine Cremonini ; et par conséquent, elle est nièce de la veuve Ferrand, née Aimée-Justine-Marie Confex, sœur de son père, Marius-Ernest-Jules Confex _,
« M. A. Gastaud » _ le fiancé d’Yvonne Ferrand : ils se marieront à Alger le 4 février 1928 _,
« les familles Ferrand, Gadel, Ducos du Hauron, Gentet, Gastaud ».
Voilà.
J’espère ne pas trop noyer mon lecteur dans la forêt des si nombreux détails de ces divers articles ;
mais rechercher le moindre indice est tout à fait passionnant !
C’est tout un passé qui, peu à peu, bribe d’indice par bribe d’indice à explorer, émerge et réapparaît…
...
Ce dimanche 31 octobre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quand les bouteilles lancées à la mer reçoivent une réponse…

19avr

Ces derniers temps,

j’au eu la joie extraordinairement surprenante de recevoir, et à 4 reprises, un retour de messages de bouteilles lancées à la mer _ un phénomène pourtant assez rare…

Je veux dire de messages de réponse à un article de mon blog « En cherchant bien » qui a rencontré « son » lecteur, qui s’est senti tenu d’adresser à son tour un message de réception…


Ce lundi 19 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Retour obstiné au noeud de l’enquête autour de la branche « algérienne » des Ducos du Hauron : les liens entre les Rey, Gentet, Wachter, Confex et Bonopéra, à Orléansville

18avr

J’ai beau rechercher en diverses directions,

je continue de buter sur le nœud, à Orléansville, au tout début du XXème siècle, des liens _ d’apparentements matrimoniaux et de filiations _ entre les familles Rey _ et Ducos du Hauron, Gadel, puis Ducros et Bure _, Gentet, Wachter, Confex et Bonopéra,

assez bien cerné déjà _ me semble-t-il _ en mon article _ assez lucide _ du mercredi 3 février 2021 :

Au-delà de ma collecte patiente et quasi acharnée de documents,

je place mon espoir de progrès de cette enquête

dans l’inespéré contact de descendants de ces familles, qui seraient enfin aptes à me révéler _ ne serait-ce que par témoignage mémoriel _ quelques pièces obstinément manquantes de ce puzzle familial algérien, à Orléansville…

Comme qui était « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter » ?

Et « Madame Veuve Paul Bonopéra – mère, née Confex » ?

Puisque telles sont les deux principales énigmes sur lesquelles je continue de buter…

Ce dimanche 18 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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