Archives du mois de octobre 2022

Un aperçu sur les réalisations discographiques de l’Ensemble Les Ombres…

16oct

Mon article d’hier « « , m’amène à faire un point sur les réalisations discographiques de l’Ensemble Les Ombres, de Margaux Blanchard et Sylvain Sartre,

ainsi que sur les CDs de cet Ensemble présents actuellement en ma discothèque personnelle _ à comparer avec la discographie présentée sur le site même des Ombres

Ainsi, de cet Ensemble Les Ombres,

ma discothèque présente-t-elle à ce jour, dimanche 16 octobre 2022, les 6 CDs suivants :

_ paru en 2010 pour le label Ambronay,

le CD Ambronay AMY 301 « Concert chez la Reine« , avec un choix d’œuvres de François Couperin et François Colin de Blamont ;

_ paru en 2012 toujours sous le même label Ambronay,

le double CD AMY 035 « Les Nations« , de François Couperin ;

_ puis en 2018, pour le label Mirare,

le CD MIR 358 « Leçons de Ténèbres & Motets » de François Couperin ;

_ puis, en 2020, pour le label Château de Versailles Spectacles,

le double CDCVS 038 « Sémiramis » d’André Cardinal Destouches ;

_ puis, début 2022, pour le label Harmonia Mundi, et avec au violon Théotime Langlois de Swarte _ cf mon article du 23 février 2022 : « «  _

le CD HMM 902649 « Vivaldi, Leclair, Locatelli : Violin Concertos » ;

_ Et maintenant, en septembre 2022, à nouveau sous le label Château de Versailles Spectacles,

le CD CVS 073 « Grands Motets pour la Chapelle de Louis XV » de Charles-Hubert Gervais…

Et en consultant le site des Ombres,

je constate aussi la toute récente parution d’un nouveau CD, sous label Mirare, intitulé « Bach-Abel Society« ,

dont voici une brève vidéo (de 2′ 56) d’un bien bel extrait du Quatuor Op. 8 N° 4 de Johann-Christian Bach, brillamment interprété par Théotime Langlois de Swarte au violon, Sylvain Sartre à la flûte traversière, Margaux Blanchard à la viole de gambe, et Justin Taylor, au pianoforte…

À suivre…

Ce dimanche 16 octobre 2022, TItus Curiosus – Francis Lippa

« Les frères Francoeur » et « Grands Motets pour Louis XV » (de Charles-Hubert Gervais) : deux splendides réalisations au disque des très talentueux frères baroqueux Théotime Langlois de Swarte et Sylvain Sartre…

15oct

Cette rentrée d’automne de la musique baroque française est marquée de deux nouvelles références discographiques _ rien moins ! _ concernant, en des genres bien différents, d’une part Charles-Hubert Gervais (1671 – 1744), et d’autre part « les frères Francœur« , François Francœur (1698 – 1787) et Louis Francœur (1692 – 1745),

dont viennent d’être magnifiquement servies, quasiment comme jamais, les musiques par deux absolument splendides CDs que sont

d’une part trois « Grands Motets pour la chapelle de Louis XV » _ »Super flumina Babilonis« , « Jubilate Deo » et « Miserere«  _ de Charles-Hubert Gervais, Maître de Chapelle de la Cour de Louis XV dès 1723 ;

et d’autre part, en un tout autre genre musical, non religieux cette fois, un florilège varié et extrêmement plaisant (et particulièrement virtuose _ jamais les œuvres interprétées n’ont si brillamment et si justement sonné, avec autant de vie ! mais Théotime est si doué… _) d’œuvres des frères François Francœur, dit le Cadet, et Louis Francœur, dit l’Aîné, ainsi que de Louis-Joseph Francœur (1738 – 1804), fils de Louis Francœur (et neveu de François _ qui devient son mentor au décès de Louis, en 1745 : Louis-Joseph n’ayant alors que 7 ans… _) ; ainsi que de musiciens qui à divers titres leur sont liés, tels que, surtout, bien sûr, François Rebel (1701 – 1775) _ co-auteur avec François Francœur (leurs écritures étant quasi indémêlables !.. Cf le podcast (de 25′) de l’émission de France-Musique du 14 septembre 2021 : « Rebel et Francœur, composer à deux« …) de retentissantes œuvres composées à deux et ayant connu un immense succès (et qui méritent des enregistrements enfin intégraux ! telle, tout spécialement, la grande tragédie en musique « Scanderberg« , créée en 1725, et redonnée avec tout autant de succès en 1763..) : un incompréhensible manque criant de la discographie, qui, jusqu’ici, n’en a donné que de parcimonieux et trop frustants extraits… _, et aussi Jean-Jacques-Baptiste Anet (1676 – 1755), et même un nommé Jean Durocher… ;

de la part de ces splendides musiciens-interprètes que sont les frères Sylvain Sartre et Théotime Langlois de Swarte, fils de la musicienne Bertille de Swarte ;

qui honorent, chacun en sa partie _ la direction d’orchestre de l’Ensemble Les Ombres, pour Sylvain ; le violon, et ô combien virtuose, pour Théotime _, le si beau répertoire baroque français _ qui me tient particulièrement à cœur ! ; cf là-dessus, par exemple, mon article du 16 février 2022 à propos du répertoire baroque religieux français : « « …  _, aujourd’hui par ces deux nouvelles réalisations discographiques absolument splendides que sont

_ le CD « Grands Motets pour Louis XV » de Charles-Hubert Gervais, par Les Ombres, le Chœur du Concert Spirituel, sous la direction de Margaux Blanchard & Sylvain Sartre _ soit le CD Château de Versailles Spectacles CVS073 ; n°6 de la décidément excellente collection « Grands Motets » de ce prestigieux label ; sur les réalisations précédentes de cette très bienvenue collection, cf par exemple mes articles des 10 novembre 2021 : « «  ; 19 février 2022 : «  » ; ou 15 juin 2022 : « « … _ ; et j’y relève aussi, bien sûr, que le premier violon des Ombres, n’est autre, ici, que le brillantissime, à nouveau et comme toujours, Théotime Langlois de Swarte ;

_ et le CD « Les Frères Francœur« , par Théotime Langlois de Swarte, violon, et Justin Taylor, clavecin _ soit le CD Alpha 895.

J’y reviens bien plus en détails dès demain ;

et en particulier sur les parcours musicaux de chacun des deux frères, dont je suis attentivement les chemins, opus discographique après opus discographique…

Ce samedi 15 octobre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ecouter les Symphonies n° 2, 3, 6, 7, 8, 10, 12, 20 et 21 de Mieczyslaw Weinberg

14oct

Avant de porter une appréciation sur les 9 Symphonies de Mieczyslaw Weinberg _ d’entre 1946 et 1991 pour les dates de leur composition ; cf d’une part la liste des œuvres de Weinberg, et d’autre part le répertoire des CDs comportant chacune de ces œuvres, réalisé sur le très utile site de Claude Torres…dont il se trouve que je possède à ce jour au moins un enregistrement discographique,

il me faut commencer par en récapituler les détails discographiques,

_ par date de composition de l’œuvre, la Symphonie (et son numéro d’opus)

_ par date et lieu d’enregistrement du CD qui la comporte et que je possède

_ par chef dirigeant l’orchestre de l’enregistrement de ce CD

_ par date de parution du CD et nom du label de l’enregistrement écouté :

_ 1946 pour la Symphonie n°2 (Opus 30),

enregistrée à Vilnius au mois de décembre 2018,

Mirga Grazynité-Tyla dirigeant la Kremerata Baltica,

en un enregistrement Deutsche Grammophon 483 6566 paru en 2019.

_ 1949-1950 pour la Symphonie n°3 (Opus 45),

enregistrée à Birmingham au mois de juin 2021,

Mirga Grazynité-Tyla dirigeant le City of Birmingham Symphony Orchestra,

en un enregistrement Deutsche Grammophon 486 2402  paru en 2022.

_ 1963 pour la Symphonie n° 6 (Opus 79),

enregistrée à Saint-Petersbourg au mois de décembre 2010,

Vladimir Lande dirigeant le St-Petersburg State Symphony Orchestra,

en un enregistrement Naxos 8.572779, paru en 2012.

_ 1964 pour la Symphonie n° 7 (Opus 81),

enregistrée à Dortmund au mois de décembre 2020,

Mirga Grazynité-Tyla dirigeant le Deutsche Kammerphilharmonie Bremen,

en un enregistrement Deutsche Grammophon 486 2402, paru en 2022. 

_ 1964 pour la Symphonie n° 8 (Opus 83) « Polish Flowers« ,

enregistrée à Varsovie au mois de juin 2011,

Antoni Wit dirigeant le Warsaw Philharmonic Orchestra,

en un enregistrement Naxos 8.572873, paru en 2013.

_ 1968 pour la Symphonie n° 10 (Opus 98),

enregistrée à Neuhardenberg au mois de novembre 2012,

Gidon Kremer dirigeant la Kremerata Baltica,

en un enregistrement ECM 2368/69 4810669, paru en 2014.

_ 1975-1976 pour la Symphonie n° 12 (Op. 114) « In memoriam Dmitri Shostakovich« ,

enregistrée à Saint-Petersbourg au mois de juin 2012,

Vladimir Lande dirigeant le St-Petersburg State Symphony Orchestra,

en un enregistrement Naxos 8.573085, paru en 2014.

_ 1988 pour la Symphonie n° 20 (Op. 150),

enregistrée à Gotheborg au mois d’août 2011,

Thor Svendlund dirigeant le Gothenburg Symphony Orchestra,

en un enregistrement Chandos CHSA 5107, paru en 2011.

_ 1991 pour la Symphonie n°21 (Opus 152) « Kaddish« ,

enregistrée à Birmingham au mois de novembre 2018,

Mirga Grazynité-Tyla dirigeant le City of Birmingham Symphony Orchestra et la Kremerata Baltica,

en un enregistrement Deutsche Grammophon 483 6566, paru en 2019.

 

 

Ce vendredi 14 octobre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Découvrir et écouter vraiment aussi le volet symphonique de l’oeuvre sublime de Mieczyslaw Weinberg…

13oct

La toute récente parution, ainsi que l’écoute, du CD « Weinberg Symphonies n° 3 & 7 – Flute Concerto n°1 » (DG 486 2402),

placé _ un peu étrangement ! _ sous le nom _ pour la deuxième fois ! _ non pas du compositeur, Mieczyslaw Weinberg (Varsovie, 8 décembre 1919 – Moscou, 26 février 1996),

mais de sa chef d’orchestre Mirga Grazynité-Tyla _ par quel bizarre choix, à nouveau, du label Deutsche Grammophon, qui avait procédé de semblable manière lors de la parution, en 2019, du double (et admirable !) double CD DG 483 6566 des « Weinberg Symphonies n°2 & n° 21″ titrée « Kaddish«  : un chef d’œuvre !.. _,

m’a incité à écouter beaucoup plus attentivement l’ensemble discographique du volet symphonique de l’œuvre de ce compositeur _ que j’apprécie énormément ! _, dont je dispose à ce jour _ et qui se monte au nombre de 9 Symphonies, sur les 21 composées par Weinberg entre 1942 et 1991 : l’ultime, Op. 154, ayant été laissée inachevée en 1994… _, en ma discothèque personnelle :

soient les Symphonies

n° 2 (Op. 30 de 1946), par la Kremerata Baltica, sous la direction de Mirga Grazynité-Tyla (double CD Deutsche Grammophon 4836566), enregistrée à Vilnius au mois de décembre 2018 ;

n° 3 (Op. 45, de 1949-1950, révisée en 1959), par le City of Birmingham Symphony Orchestra, sous la direction de Mirga Grazynité-Tyla (double CD Deutsche Grammophon 4862402), enregistrée à Birmingham au mois de juin 2021 ;

n° 6 (Op. 79, de 1963), par le St-Petersburg State Symphony Orchestra, sous la direction de Vladimir Lande (CD Naxos 8.572779), enregistrée à Saint-Petersbourg au mois de décembre 2010 ;

n° 7 (Op. 81, de 1964), par le Deutsche Kammerphilharmonie Bremen, sous la direction de Mirga Grazynité-Tyla (double CD Deutsche Grammophon 4862402), enregistrée à Dortmund au mois de décembre 2020 ;

n° 8 (Op. 83, « Polish Flowers« , de 1964), par le Warsaw Philharmonic Orchestra, sous la direction d’Antoni Wit (CD Naxos 8. 572873), enregistrée à Varsovie au mois de juin 2011 ;

n°10 (Op. 98, de 1968), par la Kremerata Baltica, sous la direction de Gidon Kremer (double CD ECM 2368/69 4810669), enregistrée à Neuhardenberg au mois de novembre 2012 ;

n° 12 (Op. 114, « In memoriam Dmitri Shostakovich« , de 1975-1976), par le St-Petersburg State Symphony Orchestra, sous la direction de Vladimir Lande (CD Naxos 8.573085), enregistrée à Saint-Petersbourg au mois de juin 2012 ;

n° 20 (Op. 150, de 1988), par le Gothenburg Symphony Orchestra, sous la direction de Thor Svedlund (CD Chandos CHSA 5107), enregistrée à Gotheborg au mois d’août 2011; 

et n° 21 (Op. 152, « Kaddish« , de 1991). par le City of Birmingham Symphony Orchestra et la Kremerata Baltica, sous la direction de Mirga Grazynité-Tyla (double CD Deutsche Grammophon 4836566), enregistrée à Birmingham au mois de novembre 2018.

Existent à ce jour, semble-t-il _ si je me rapporte à l’excellent site, constamment remis à jour, de Claude Torres : Musiques régénérées, recensant avec une remarquable exhaustivité la discographie de Mieczyslaw Weinberg ; ainsi, bien sûr, qu’à la liste complète des Œuvres de Mieczyslaw Weinberg _des enregistrements CDs _ pas tous disponibles cependant sur le marché aujourd’hui… _ de la plupart des Symphonies de Weinberg, à l’exception de trois _ et pour des raisons que j’ignore _,

qui sont les Symphonies

n° 9 « Everlasting Times«  (Op. 93, de 1940-1967),

n° 11 « Festive Symphony«  (Op. 101, de 1969)

et n°15 « I believe in this earth » (Op. 119, de 1977)

Si ma propension personnelle m’attire davantage vers la musique de chambre, intime, subtile, et aux voix clairement dessinées, plutôt que vers la musique symphonique, parfois grandiloquente, confuse et trop bruyante à mon goût _ sauf dans la plus délicate, fine, subtile musique française : à la Debussy et Ravel ; mais c’est bien sûr là mon goût personnel… _,

il me faut dire ici que c’est l’extraordinaire réussite du double CD Deutsche Grammophon (de 2019) 483 6566 des Symphonies n° 2 & n° 21 « Kaddish« , sous la direction de Mirga Grazynité-Tyla ré-écouté avec avidité suite à l’audition toute récente du second CD (de 2022) de cette chef dirigeant les Symphonies 3 & 7 de Weinberg (dans le CD Deutsche-Grammophon 486 2402) _, qui m’a donné l’impérieux désir de mieux connaître en l’écoutant mieux le volet symphonique de l’œuvre de ce génial et si intensément bouleversant Mieczyslaw Weinberg, au sein de la discographie dont je dispose…

Mon conseil, donc, si je puis me permettre, pour entrer dans l’univers infiniment touchant (et poignant) _ si intimement expressif _ des Symphonies de Weinberg est celui de commencer par l’écoute de cette sublimissime (et, de fait, testamentaire, en 1991) _ comme sont aussi testamentaires ces bouleversants, eux aussi, chefs d’œuvre ultimes, en 1990 et 1992, que sont les merveilleuses « Symphonies de chambre n°3 et n°4« , Op. 151 (en 1990) et 153 (en 1992) ; à écouter dans les enthousiasmantes interprétations, au choix, ou bien de la Kremerata Baltica, sous la direction de Gidon Kremer, dans le double CD ECM 2538/39 481 4604, enregistré à Riga au mois de juin 2015 ; ou bien, de l’East-West Chamber Orchestra, sous la direction de Rostislav Krimer, dans les CDs Naxos 8.574063 et 8.574210, enregistrés à Minsk aux mois d’octobre 2018 et 2019… _ Symphonie « Kaddish » Op. 152, en six mouvements, de 56′ ;

 

Mieczyslaw Weinberg, récapitulant en quelque sorte, au soir de sa vie de compositeur, et surtout sublimant là, en cette musique si incroyablement profonde, les tragiques parcours de vie de lui-même ainsi que des siens,

de par l’Ukraine, la Moldavie, la Pologne, pour ses parents ; 

puis, pour lui-même _ né à Varsovie le 8 décembre 1919 _à partir de septembre 1939 et l’invasion de la Pologne par les Nazis, et l’expansion de la Shoah, en ses errances de fuite et difficilement, plusieurs fois, rescapé _ d’Hitler, puis de Staline _, par la Biélorussie (Minsk), la Russie (Moscou), l’Ouzbékistan (Tachkent), avant de pouvoir s’installer à demeure, et vivre, et créer, et pouvoir jouer aussi, tant bien que mal, sa musique, à Moscou ;  où, malade, le compositeur décèdera, à l’âge de 76 ans, le 26 février 1996…

Et quelle musique ! que nous commençons enfin, ces toutes dernières années, notamment par le disque, et par la grâce de telles interprétations de la plus haute exigence, à bien mieux découvrir, œuvre splendide après œuvre splendide, et apprécier enfin, sans préjugés d’aucune sorte, pour elle-même ; et comme sa qualité singulière, forte et intense, le mérite vraiment… 

Ce jeudi 13 octobre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

La correspondance de guerre (1914 – 1919) de Lucien Durosoir et sa mère Louise, « Ma Chère Maman, mon Cher Enfant », à paraître le 11 novembre prochain chez Blackwater Press, à Charleston, West-Virginia, traduite en anglais par Elizabeth Auld…

12oct

Le 11 novembre prochain, 2022,

va paraître, aux États-Unis, aux Éditions Blackwater Press, situées à Charleston, en Virginie occidentale,

un substantiel choix de lettres (de 564 pages) échangées durant la Grande Guerre de 1914 – 1918, entre le violoniste (et très bientôt compositeur) Lucien Durosoir (Boulogne-sur-Seine, 1878 – Belus, 1955) et sa mère Louise ;

intitulé « Ma Chère Maman, mon Cher Enfant _ The Letters of Lucien et Louise Durosoir (1914 – 1919)« , en une traduction en anglais d’Elizabeth Auld.

Un choix de lettres original,

distinct en effet de celui effectué naguère par Luc Durosoir, en son très riche « Deux musiciens dans la Grande Guerre«  (qui sont le violoncelliste Maurice Maréchal et le jusqu’alors seulement violoniste Lucien Durosoir)qui était paru en octobre 2005 aux Éditions Tallandier.

Sur Lucien Durosoir compositeur éminemment singulier,

je renvoie, au sein du « Lucien Durosoir, un compositeur moderne né romantique« , soient les Actes du colloque qui s’est tenu au Palazzetto Bru-Zane, à Venise, les 19 et 20 février 2011,

à ma contribution : « Une poétique musicale au tamis de la guerre : le sas de 1919 – la singularité Durosoir  » ;

ainsi qu’à cette autre : « La Poésie inspiratrice de l’œuvre musical de Lucien Durosoir : romantiques, parnassiens, symbolistes, modernes« .

 

De même qu’à l’ensemble des articles consacrés sur ce bloc à Lucien Durosoir compositeur, accessibles dans les archives de ce blog ouvert le 3 juillet 2008 ; ainsi mon article inaugural du 4 juillet 2008 intitulé « «  exprimait-il ma vive et profonde émotion à l’écoute de l’extraordinaire CD Alpha 125 des 3 « Quatuors à cordes » de Lucien Durosoir, par le Quatuor Diotima.

Et à cette époque je ne connaissais pas encore personnellement Luc et Georgie Durosoir, le fils et la bru de Lucien Durosoir.

Ce mercredi 12 octobre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

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