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Un bref rappel rétrospectif : les tous premiers encouragements de Joël Petitjean à mon travail de recherche, absolument original, à propos de la descendance des trois neveux (Amédée, Gaston et Raymond) de Louis Ducos du Hauron, en date des 24 et 25 septembre 2021…

22juil

En matière de bref recul rétrospectif sur mon patient et suivi travail de recherche _ débuté très précisément le dimanche 6 décembre 2020, avec mon article « «  ; cf mon tout premier article consacré à ma découverte de Louis Ducos du Hauron (dont j’ignorais jusque là jusquà l’existence !!!), en date du jeudi 2 décembre 2020 : « «  _ sur la descendance des trois neveux, Amédée et Gaston Ducos du Hauron et Raymond de Bercegol, de Louis Ducos du Hauron,

voici,

en forme de témoignage de l’amorce de notre amicale et féconde correspondance,

ces deux courriels reçus de Joël Petitjean en date des 24 et 25 septembre 2021 :

_ d’abord, celui-ci, en date du 24 septembre 2021, à 19h 58 :

« Cher Monsieur,

 
Il y a quelques mois _ décembre 2020… _, Claude Lamarque, avec qui je suis en relation très amicale, m’avait demandé s’il pouvait vous donner mon adresse courriel afin que nous puissions échanger sur notre passion commune, ce que j’ai accepté bien volontiers !
 
J’ai donc attendu votre message, et je le reçois aujourd’hui avec joie.
 
Passionné et travaillant sur Ducos du Hauron depuis de longues années, j’ai fait l’effort de suivre au jour le jour, lire (et imprimer) votre formidable travail _ et je retiens, bien sûr, cette extraordinaire expression ! _ (qui mériterait grandement d’être organisé pour une publication) _ Wow !!! et c’est bien sûr moi qui mets cela en rouge _ ; je suis donc un de vos lecteurs assidus _ re-wow !
 
Vous m’avez beaucoup appris _ voilà qui grandement m’honore !
 
Pour ma part, j’ai réuni une importante documentation et j’aurais quelques précisions à vous apporter.
 
Je suis donc à votre disposition pour convenir, si vous le souhaitiez, d’un rendez vous téléphonique ces prochaines semaines. (Nous nous rencontrerons peut-être en marge du colloque du 27 novembre, mais il n’est pas sûr que nous puissions échanger longuement.)
 
Je vous adresse en pièce jointe, pour information, un de mes articles ainsi que mon CV (c’est le plus simple…) où sont décrits tous mes travaux et réalisations sur Ducos du Hauron.
 
Au plaisir de vous lire, bien cordialement.
 
Joël Petitjean« …

Avec ma réponse du lendemain, le 25 septembre, à 11h  02 :

« Cher Monsieur,

 
Quelle magnifique et heureuse surprise que votre courriel !
 
Vous sachant très occupé, et m’étant petit à petit écarté du propos initial de ma recherche concernant les 3 neveux de Louis Ducos du Hauron, 
pour porter mon attention sur leurs descendances, et bientôt les affiliations de ces descendants ;
et plus encore, très vite, sur les parcours en Algérie _ Alger, Orléansville, etc. _ d’Amédée Ducos du Hauron et des personnes qui lui étaient de près, puis de plus loin, apparentées,
je n’ai pas voulu vous ennuyer avec ces recherches qui s’éloignaient des activités de recherche et inventions de Louis Ducos du Hauron 
(ainsi que de ses 3 neveux, qui ont plus ou moins, et à divers moments, collaboré _ Amédée lui aussi ! pas seulement Gaston et Raymond ; et il faudra assurément revenir le creuser !.. _ à ses travaux)…
 
J’étais donc un peu loin de penser que le chercheur très sérieux que vous êtes, pouvait s’intéresser aux interrogations et étapes de ma curiosité à propos de la famille de Louis Ducos du Hauron…
 
C’est que j’ignorais que vous êtes aussi, et peut-être d’abord, un passionné de la curiosité…
 
Les articles de mon blog constituent, en effet, une sorte de journal, quasi au quotidien, de ma recherche tâtonnante, et avançant par « sauts »,
au gré des indices que je parvenais, peu à peu, à glaner, et à connecter un peu entre eux, afin de répondre aux diverses strates de mes interrogations…
 
Même si, de temps, j’éprouvais le besoin d’en tirer quelques maladroites synthèses _ me corrigeant au fur et à mesure.
 
J’ai pu entrer en contact avec divers membres de familles directement issues des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron, ou apparentées, via des mariages _ tout particulièrement en Algérie, et notamment à Orléansville et sa région…
Je me suis pas mal appuyé sur des faire-part de mariage et de décès, voire des annonces de naissance _ glanées via le web… _, qu’il m’a fallu éclaircir, au fur et à mesure.
 
Mais j’en ai pris l’habitude, ayant travaillé d’abord sur le parcours _ en zone dite libre, sous l’Occupation _ de mon père (1914 – 2006) durant la guerre (entre mai 1942 et septembre 1944),
pour découvrir, à partir de menus indices, ce qu’il avait vécu : au camp de Gurs, où il a fait partie de Groupes de Travailleurs Étrangers (G. T. E.) ; puis à Toulouse et à Oloron, où il a eu quelques activités de Résistance…
 
J’ai travaillé aussi sur la généalogie (béarnaise) de la famille Bioy, d’Oloron
dont le plus célèbre membre est l’écrivain argentin Adolfo Bioy Casares (1914 – 1999) _ ma mère (1918 – 2008) est née Marie-France Bioy : elle était LA mémoire de la famille… 

Puis, sur la généalogie basquaise de la mère _ Marie Delouart (1840 – 1917) _ de Maurice Ravel (1875 – 1937) : 
j’ai ainsi appris à une luzienne _ Maylen Lenoir, née Gaudin _ le cousinage effectif _ ignoré et même nié jusque là !!! _ de sa grand-mère, née Magdeleine Hiriart (1875 – 1968), avec Maurice Ravel ;
Maurice Ravel dont la grand-tante, Gachucha Billac (1824 – 1902), sœur de sa grand-mère maternelle Sabine Delouart (1809 – 1874),
était la gouvernante des enfants Gaudin, à Saint-Jean-de-Luz, dont l’aîné, Charles Gaudin (1875 – 1910), était le mari de Magdeleine Hiriart…
Dans 2 lettres de 1910  et 1914, à l’occasion des décès de Charles Gaudin, puis de ses frères Pierre (1878 – 1914) et Pascal (1883 – 1914) Gaudin,
Maurice Ravel et Magdeleine Hiriart s’appellent « Mon cher cousin », « Ma chère cousine » : j’ai simplement cherché à comprendre pourquoi…
 
Je suis bien sûr en lien constant avec le Président des Amis de Maurice Ravel, Manuel Cornejo, l’éditeur de la Correspondance de Maurice Ravel,
de laquelle je suis parti pour mes recherches…
J’ai ainsi pu corriger de grossières erreurs de certains biographes prétendument sérieux, qui se contentent de reprendre tels quels, sans critique _ni recherche originale de leur part ! _, les travaux de chercheurs antérieurs…
Manuel Cornejo en tiendra compte lors de la réédition à venir de cette très précieuse Correspondance
Lui aussi est un chercheur passionné (et sérieux !).
 
Dernièrement, je me suis intéressé aussi à la famille d’un ancien collègue de travail, au tournant des années 80,
dont deux neveux, fils de sa sœur Bertille de Swarte, sont d’intéressants musiciens baroques : Sylvain Sartre et Théotime Langlois de Swarte…
Je me souvenais, en effet, que mon collègue, originaire de Dordogne, avait des liens de parenté avec la famille Sartre ;
et il se trouve que le père de Jean-Paul Sartre était originaire de Thiviers, en Dordogne.
Il suffisait d’opérer les connexions nécessaires…
 
Le monde n’est pas si grand que des chemins ne finissent pas par se croiser…
 
Et ma belle-mère est d’une vieille famille d’Agen, les Boué…
 
Voici mon numéro de téléphone : …
Et mon adresse : Francis Lippa …
 
Je suis aussi Vice-Président de la Société de Philosophie de Bordeaux…
 
Encore merci de ce merveilleux contact !
 
Francis« …

Suivi de la réponse immédiate de Joël Petitjean, en date de ce même 25 septembre 2021, à 12h 48,

qui a constitué pour moi un encouragement magnifique, ainsi que le début d’une amitié de chercheurs curieux, honnêtes et généreux dans le partage de leurs découvertes… :

« Cher Monsieur,

Je suis si heureux de recevoir votre réponse !
 
Votre message est passionnant et votre parcours tout à fait remarquable.
 
Il me semble que personne, avant vous-même, n’avait tenté une étude et une synthèse aussi complètes sur la généalogie de Louis Ducos du Hauron _ Wow !!!
 
J’ai lu et entendu bien des choses sur sa vie et son œuvre, mais je suis en effet très curieux d’en savoir davantage sur sa personnalité, ses relations avec ses proches, la manière dont il fut aimé et admiré par les siens, les souvenirs qu’il a laissés à sa famille… Tout cela est de nature à mieux faire comprendre son magnifique et étonnant parcours _ telle était en effet l’intuition originaire qui m’a animé dès le départ….
 
C’est pourquoi mes longues conversations téléphoniques avec Claude Lamarque, dans un climat d’extrême gentillesse et de passion partagée, m’ont comblé de bonheur… (Je n’ai pas de nouvelle récente de Claude ; en avez-vous ?) _ Claude Lamarque va bien, m’a répondu à Lectoure samedi dernier 15 juillet son neveu Louis Allard, auprès duquel je m’enquérais de nouvelles de son oncle Claude…
 
Je me réjouis de notre future conversation. Je vous proposerai une date dans quelque temps (je prépare en ce moment ma communication pour le colloque).
 
Avec mes sincères remerciements, bien à vous.
 
Joël
 
N.B. 1. Après m’être senti bien seul durant de longues années (depuis 1998, sinon depuis 1984…), presque personne n’étant venu au musée voir les archives que j’ai retrouvées, je suis ravi de voir, depuis 2015, toute une synergie se mettre en place _ voilà ce qui est nécessaire à de telles entreprises ! _ à Chalon-sur-Saône, Paris, Agen, Lectoure, Langon, afin d’étudier et faire connaître Ducos du Hauron. Le colloque d’Agen _ du 27 novembre 2021 _ en sera un vibrant témoignage.
 
N.B. 2. Grâce à Charles _ Sarion _ et aux Amis de Ducos du Hauron, j’ai rendu un long article à la Société académique d’Agen. Celui-ci sera bientôt publié, avec d’autres contributions, dans un numéro de la Revue de l’Agenais consacré à l’inventeur« …

Voilà.

Le fait d’une pareille reconnaissance, précoce, de mon travail de recherche absolument original, et publié sur mon blog « En cherchant bien » dès le 6 décembre 2020, à propos des trois neveux de Louis Ducos du Hauron, Amédée et Gaston Ducos du Hauron et leur cousin Raymond de Bercegol, ainsi que de la descendance de chacun d’eux trois, est on ne peut plus précieux pour moi, tout particulièrement de la part d’un chercheur aussi compétent et admirable que Joël Petitjean…

D’autant que Joël Petitjean m’a confirmé, samedi dernier, à Lectoure, qu’il continuait de suivre régulièrement la publication de mes articles sur mon blog…

À suivre…

Ce samedi 22 juillet 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

La cérémonie d’hommage à « Louis Ducos du Hauron » et son invention de la « photographie des couleurs », à Lectoure, samedi 15 juillet dernier…

17juil

Sur la plaque honorant la prise de la première photo en couleurs réalisée à Lectoure, 2 Boulevard du Midi, en 1868, par le génial inventeur qu’a été Louis Ducos du Hauron,

telle qu’elle a été dévoilée samedi 15 juillet dernier à 14h 30 par Georges Courtès, Joël Petitjean, et la propriétaire de la maison,

se lit l’inscription suivante :

                     Louis Ducos du Hauron

                                  1837 – 1920

       Inventeur de la photographie en couleurs,

        a vécu dans cette maison en 1868 et 1869.

Il y fit les premiers essais de trichromies de paysages,

      et de natures mortes, et, le 23 novembre 1868,

   déposa son brevet à la sous-préfecture de Lectoure.

D’après un aimable envoi de photos de Monsieur Christian Moulié.

Ce lundi 17 juillet 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un fécond samedi à Lectoure, pour honorer la mémoire de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), le très génial inventeur en 1868, Cours du Midi à Lectoure, de la « photographie des couleurs » ; et saluer l’ami Joël Petitjean, LE biographe de Louis Ducos du Hauron…

15juil

C’est avec un très vif plaisir que, à l’invitation de l’ami Joël Petitjean

en un courriel intitulé « Louis Ducos du Hauron (1837-1920), inventeur de la photographie des couleurs, reconnu et honoré cet été à Lectoure« ; en date du 1er juin dernier,

je me suis rendu ce samedi 15 juillet, en la très belle cité de Lectoure, à la très belle commémoration, à 14 h 30, honorant la toute première « photographie des couleurs » (sic) réalisée, là, à Lectoure, 2 Boulevard du Midi, en 1868, par le génial inventeur qu’a été, toute sa longue vie durant (Langon, 1837 – Agen, 1920), Louis Ducos du Hauron…

Et je me permets de renvoyer ici, au passage, à mon article du 1er décembre 2021, intitulé « « ,

que j’avais adressé par courriel, le 4 décembre 2021 _ sous l’intitulé « Mes recherches sur l’environnement familial (neveux + descendances) de Louis Ducos du Hauron«  _, à Alain Aspect et à Patrick Flandrin, dont j’avais beaucoup apprécié les enthousiastes présentations du colloque « Louis Ducos du Hauron« , à Agen, le 27 novembre 2021… ;

ce qui pourrait aussi remettre un peu à l’heure quelques pendules apparemment détraquées de quelque(s) chercheur(s) s’étant bien inspiré(s) de mes recherches _ et en en rectifiant, comme très scientifiquement cela évidemment se doit, certaines erreurs d’identification de personnes (portant le même prénom), sans toutefois se donner la toute petite peine de gentiment m’en avertir… ; comme cela est pourtant la très saine règle entre honnêtes chercheurs… _, en oubliant _ aussi ! _ assez malencontreusement _ minuscule  négligence… _ de signaler leur (ou sa) dette à ce que j’avais publié, au fil des jours, dès novembre 2020, sur mon blog « En cherchant bien » ; et qui avait fourni, sinon l’impulsion originalre, du moins pas mal d’éléments de départ à son propre travail de recherche documentaire généalogique j’avais bien débroussaillé le terrain…

Même si n’est pas du tout là _ et même de très loin ! _ le principal de cette belle journée lectouroise de fécondes rencontres amicales…

En effet, grâce à Christian Moulié,

j’ai pu grâcieusement entrer en possession _ un très grand merci à lui ! _ de l’édition rénovée et augmentée, datée de 2022, des Actes du colloque « Louis Ducos du Hauron (1837 – 1920« , qui s’était tenu à Agen le 27 novembre 2021 _ cf le détail de mon article «  » du 3 décembre 2021 : on peut même m’y apercevoir siégeant au dernier rang des fauteuils d’orchestre… _ dans laquelle il est enfin commencé _ cf l’Index qui cite mon nom, page 157 ; mais qui hélas demeure muet sur les pages (125, 140, 141, 142 ; puis 152 et 153) où mon nom apparaît : à nouveau un bien étrange oubli… _ à faire officiellement un peu droit à mon patient et très suivi travail de recherche, dont, en en rectifiant au passage quelques erreurs M. Serventi s’était jusque là attribué l’exclusivité du mérite _ à la page 152 de cette nouvelle édition, très généreusement ce dernier consent à très brièvement mentionner ceci : « Francis Lippa en contact avec des membres de la famille (il s’agit principalement de mon très précieux échange détaillé avec Claude Lamarque, le 19 décembre 2020) a essayé (sic) dans son blog de constituer la descendance actuelle des différentes branches« … En réalité, la dette de M. Serventi à l’égard de mes recherches concerne aussi la généalogie familiale des Ducos du Hauron en amont de la génération de Louis Ducos du Hauron (1837 – 1920) : naissances, mariages, décès et résidences de la famille Ducos du Hauron, en Gironde, Lot-et-Garonne et Gers surtout (et même Puy-de-Dôme)… Le mérite de M. Serventi est principalement d’être allé se renseigner aux sources documentaires même, et de les rapporter ; ainsi que d’avoir fourni de très utiles photos des divers lieux de résidence des membres de la famille Ducos du Hauron (certains domestiques compris…), surtout en Lot-et-Garonne (dont Agen) et Gers…

Enfin, je dois dire que j’ai été absolument émerveillé par la reproduction de la photo en couleurs _ somptueuses ! _ retrouvée au Musée de Lille, qui avait d’abord été intitulée _ probablement eu égard à ses couleurs, qui avoisinent tellement celles, si merveilleuses, de Matisse et Derain lors de leurs séjours à Collioure _, « Vue de Collioure« ,

et dont Joël Petitjean a pu montrer qu’il s’agissait bien en fait _ cf les photos comparées aux pages 40 et 41 de ce nouvel album _ d’une « Vue de Lectoure« , prise de la terrasse en hauteur de la maison sise 2 Boulevard du Midi : là même, au rez-de-chaussée de laquelle, a été apposée ce samedi 15 juillet à 14 h 30, et en présence d’une très nombreuse assistance, très émue, la plaque commémorative, à l’inauguration de laquelle nous avions été aimablement conviés d’assister et prendre part…

À suivre…

Ce samedi 15 juillet 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

A propos de ma présence au colloque « Louis Ducos du Hauron », au théâtre Ducourneau à Agen, le samedi 27 novembre dernier, un passionnant échange avec Joël Petijean…

11déc

En réponse à une réponse de Joël Petitjean (LE connaisseur-chercheur de l’œuvre de Louis Ducos du Hauron),

avec lequel j’ai pu un peu échanger « en présentiel » ce jour-là à Agen,

voici mon courriel de ce jour :

D’abord, merci beaucoup de me faire partager ces documents (agrémentés de vos annotations personnelles),

tout à fait précieux en effet pour la poursuite de la recherche.
 
Pour ma part,
et eu égard à ma recherche sur les collaborations de LDDH avec ses 3 neveux,
ainsi que sur les domiciliations des divers membres de la famille DDH en Algérie et en France,
 
de cette documentation réalisée par Jacques Poitrat,
je relève prioritairement ceci :
 
_ du carton 2, page 2, les Brevets demandés hors de France (= en Algérie…) par LDDH : « Très intéressant »
_ du carton 3, page 2, les courriers relatifs à la carrière (notamment en Algérie) d’Alcide DDH : « Très intéressant »
ainsi que les courriers et notes manuscrites… depuis l’Algérie : « Très intéressant » 
_ du carton 4, page 2, les recherches généalogiques autour de LDDH : « A voir. J’ai déjà beaucoup de choses »
ainsi que les actes officiels de cette généalogie LDDH : « Très intéressant »
_ du carton 4, page 3, les articles de revues 1894-1895 : « A voir »
_ ainsi que les articles 1891-1892 : « A voir »  
_ du carton 5 page 3, le répertoire des personnes ayant été en contact avec LDDH : « Très intéressant »
ainsi que les documents notariés relatifs à des transactions : « d’un intérêt prioritaire !!! »
et le Brevet pour le SINNOX (l’indication relevée « 5-7-1844 » me semblant erronée…) déposé par M. de Bercegol,
et autres brevets déposés par lui : « Très intéressant »
 
Il va falloir que je commence par relire les notes que j’avais prises en décembre 2020 concernant la collaboration de Louis DDH avec son neveu Raymond de Bercegol,
notamment pour ce SINNOX…
 
À suivre…
 
J’ai bien conscience de la dimension assez énorme de la poursuite de vos recherches
à la suite de votre venue à Agen (rencontres fructueuses avec les collègues chercheurs + visites documentaires à divers fonds d’archives à Agen)…
 
Il faut être assez patient et très tenace dans ce travail de fond (potentiellement infini) de la recherche…
Heureusement, il arrive aussi que, par paliers, nous avançons…
 
Très heureux, moi aussi, de vous connaître…
 
N’étant pas imbu de ma personne, et étant plutôt discret de tempérament,
j’ai eu tort de ne pas mentionner mon nom lors de ma question (sur Amédée DDH) à la fin de votre communication,
ni, non plus, d’avoir un peu insisté pour être admis au repas de midi, auquel je n’avais pas été convié…
 
Avant de regagner ma voiture, garée à côté du lycée Bernard Palissy (sur les conseils de mon cousin agenais),
j’ai attendu un moment votre sortie du Théâtre, afin de vous saluer.
Mais ne vous voyant pas arriver, j’ai regagné ma voiture, et puis Bordeaux.
 
(…)
 
Mais enfin, j’avais pu vous voir et vous parler, et prendre contact avec Louis Alard…
C’étaient là les principaux objets de ma venue à Agen…
 
Ensuite, la découverte de la vidéo intégrale des communications du colloque a été tout à fait bienvenue…
 
 
À suivre, donc, et bon travail !!!
 
Francis Lippa, à Bordeaux
Et voici, à titre purement documentaire _ de la façon dont travaille un chercheur sérieux et compétent _, le passionnant « Sommaire inventaire de la recherche de Jacques Poitrat sur Louis Ducos du Hauron » que Joël Petitjean a réalisé pour lui-même ; et m’a très gentiment communiqué,
en pièce jointe à son courriel :
… INVENTAIRE SOMMAIRE RECHERCHE JACQUES POITRAT SUR LOUIS DUCOS DU HAURON

Cette recherche se compose de cinq cartons (dim. 40x30x25 env.). Chaque carton contient des dossiers/classeurs matérialisés par un tiret.

CARTON 1

  • Photocopie livre 488 pages « Bibliothèque Photographique : la triplice photographique des couleurs et l’imprimerie. » par Alcide DUCOS DU HAURON.
  • Photocopies lettres et courriers manuscrits (issus fond bibliothèque Société Française de Photographie) de 1878….1970. Je ne suis pas sûr d’avoir tout vu même si j’ai photographié entièrement le dossier manuscrits Louis et Alcide à la SFP.
  • Photocopies articles de presse relatifs à manifestations rendant  hommage à LDDH. A voir quand même ; le dossier le plus complet à ce sujet est le dossier Ducos du musée d’Agen que j’ai photocopié.
  • Photocopies articles presse, revues scientifiques sur « origines du cinématographe », diverses commémorations en relation avec les travaux de LDDH . Idem
  • Photocopies revues scientifiques sur les diverses inventions relatives au domaine de l’histoire de la photographie (bulletin Photo Club de Paris, Société Photographique de Grande Bretagne….. année 1900 …). On ne sait jamais, il peut y avoir des choses intéressantes.

CARTON 2

  • Albums photos : portraits de LDDH ; reproductions de ses prises de vues (couleur). A voir.
  • Association « Les Amis de Louis Ducos Du Hauron » : projet film scénarisé par Jacques Poitrat.  Photocopié à la BN.
  • Association : statuts, historique, projets, intentions. A voir.
  • Association : documents constitutifs ; comptes et courriers divers. A voir.
  • Photocopies des bulletins de la Société Française de Photographie sur  LDDH de 1869 à 1920 ; Je pense tout avoir mais on ne sait jamais…
  • Photocopie du livre d’Alcide DUCOS DU HAURON « La photographie des couleurs et les découvertes de LDDH ».
  • Photocopies dessins Alger par Alcide DDH ? Intéressant !
  • LDDH et le cinématographe : compil. de citations. A voir.
  • LDDH : bibliographie, listes des demandes de brevet (1837-1920). A voir pour pointer et vérifier.
  • Brevet d’invention n° 61-976 du 1er mars 1864 par LDDH A voir si c’est la photocopie intégrale de l’original.
  • Anaglyphes/reproductions, photocopies brevets, extrait livre en italien, Photo Revue n°10 du 15 mai 1935, Ciné France n° 27 mai 1936. A voir.
  • Photocopie pièce de théâtre manuscrite « Cervantès à la cour du Roi d’Alger – 1897 (Alcide ?). Intéressant. J’ai d’autres choses (microfilm MI 512 aux archives départementales)
  • Idem + avertissement et prologue. Idem
  • Photocopie de mémoire « Pour une histoire de la couleur au cinéma »- 1987 par Eperanza Londono, ss direction de Jacques Aumont. A voir.
  • Brevets demandés hors de France par LDDH  (1837-1920). Très intéressant.
  • Photocopies de textes et bouquins (Alcide DDH) : « Le prieur OBERLAN » 1854 ; « La Grange au Diable » Agen 1865. A voir.

CARTON 3

  • Photocopies de courriers relatifs à la carrière d’Alcide DDH ; Très intéressant.
  • Les brevets déposés par LDDH : photocopies et publications en rapport. A voir.
  • Photocopies de courriers imprimés, adressés à M. le Président de la Sté Française de Photographie par LDDH relatifs à : l’Héliochromie ; la Polychromie photographique ; la Photographie des couleurs ; traité pratique, transformisme en photo, l’art des Anaglyphes, etc, etc… Je pense avoir presque tout (SFP, musée Niépce, etc.), mais on ne sait jamais.
  • Photocopies de multiples courriers et notes manuscrites adressés à collègues, amis, imprimeurs… depuis l’Algérie. Très intéressant si cela n’est pas réduit au dossier 15 J 5 des archives départementales quue j’ai entièrement photographié.
  • Les différents portraits faits de LDDH ; les photos de LDDH répertoriées (sujet, origine, localisation)… A voir. On ne sait jamais.

CARTON 4

  • LDDH : recherches généalogiques. A voir. J’ai déjà beaucoup de choses.
  • Généalogie LDDH : photocopies actes officiels, etc.. Très intéressant.
  • Photocopies d’articles de presse et de revues concernant LDDH avant 1900. A voir.
  • Photocopies d’articles de revues signés ou concernant  LDDH (revue algérienne illustrée, revue suisse de photographie ….. 1894-1895 A voir.
  • Photocopies d’articles, publicités, revues de photo (photo gazette, progrès photographiques)  1891-92. A voir.
  • Photocopies de revues et publications scientifiques (échange LDDH/CROS par l’intermédiaire du journal COSMOS) ; le Moniteur de la Photographie, Société d’Agriculture, Sciences et Arts d’Agen…. 1869/1879. A voir.
  • Photocopies publications et articles sur LDDH – 1918 (revue de l’Agenais) puis nécrologie et hommages – 1920. A voir pour vérifier et pointer.

CARTON 5

  • 150è anniversaire de la naissance de LDDH (8/12/1987) ; projets de l’Association « Les Amis de LDDH » ; courriers, documents divers. A voir.
  • LDDH/Charles CROS : des recherches  parallèles. A voir.
  • Charles Cros : photocopies de brevets ; publications relatives à la photo couleur… etc Très intéressant.
  • Œuvres complètes de Charles CROS (photocopie) A voir.
  • Répertoire des personnes ayant été en rapport avec LDDH + documents publicitaires de l ‘époque. Très intéressant.
  • Photocopies documents notariés relatifs à des transactions. Ces documents sont d’un intérêt prioritaire !!!
  • Brevets, recherches et applications industrielles des découvertes de LDDH ; A voir.
  • Photocopies brevet pour un appareil photo dénommé le « SINNOX (5/07/1844) déposé par M. de Bercegol et autres brevets de ce même personnage. Très intéressant.
  • Recherches et brevets sur la photographie inspirant les recherches à venir de LDDH ; A voir.

 

Ce samedi 11 décembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Suivre la vidéo du colloque « Louis Ducos du Hauron » à Agen le samedi 27 octobre 2021, mise en ligne par la ville Agen

03déc

Hier soir,

en allant à la pêche, sur le web, aux toutes dernières informations disponibles, sur Louis Ducos du Hauron et son œuvre,

voilà que je viens de tomber sur une vidéo intégrale,

d’une durée de presque 6 heures (5 h 48′ 30″, précisément), mise en ligne sur le site de la Ville d’Agen,

du colloque « Louis Ducos du Hauron, inventeur visionnaire de la photographie couleur » du samedi 27 octobre dernier, au Théâtre Ducourneau, à Agen  :

une superbe et très judicieuse initiative,

pour la plus large connaissance possible des travaux les plus récents que les chercheurs les plus pointus consacrent à cette œuvre d’invention atypique et assez extraordinaire de Louis Ducos du Hauron.

À commencer par la très remarquable présentation par Joël Petitjean _ LE découvreur majeur de l’œuvre de Louis Ducos du Hauron ; cf aussi son très riche article « Louis Ducos du Hauron (1837 – 1920), inventeur, visionnaire, utopiste« , aux pages 241 à 289, du Tome 148 N° 3 (Juillet-Septembre 2021) de La Revue de l’Agenais _

de l’ensemble des documents connus et accessibles jusqu’ici, attestant des étapes des recherches audacieuses et très variées de Louis Ducos du Hauron ;

Joël Petitjean ayant choisi de donner pour titre à sa communication _ accessible, sur la bande vidéo, de 1h 42′ 12″ à 2h 31′ 12″ _ :

« Louis Ducos du Hauron : une vie d’inventeur-ingénieur utopiste« .

Ainsi ai-je eu la surprise de découvrir aussi, au fil du déroulé de cette vidéo, le son et l’image de mon petit échange de questions et réponses, à propos de l’éventuelle collaboration, à Alger, d’Amédée Ducos du Hauron avec son oncle Louis, d’après un article de L’Écho d’Alger du 4 mars 1927, à l’occasion d’une exposition, au Casino d’Alger, des Anaglyphes de Louis Ducos du Hauron, avec Joël Petitjean, à la fin de son intervention…

Sur cette question de l’affirmation par Amédée Ducos du Hauron lui-même, en 1927, d’une collaboration aux travaux de son oncle Louis, à Alger, avant « ses 27 ans » _ soit l’année 1894, Amédée étant né à Agen le 24 mars 1867 _,

cf mon article d’hier même, 2 décembre 2021 :

avec cette bien intéressante référence, à nouveau, à la citation d’un article de L’Écho d’Alger en date du 4 mars 1927 , article intitulé « Les « Anaglyphes », dont l’inventeur du procédé fut un algérien » :

« Une attraction particulièrement intéressante, les « Anaglyphes », photographies en couleurs stéréotypées et paraissant animées, est offerte actuellement aux amateurs nombreux du Casino d’Alger. C’est une véritable révolution dans l’art photographique. L’inventeur, comme tant d’autres savants, M. Louis Ducos du Hauron, un Français qui habita l’Algérie, n’est pas mort riche, au contraire.

A ce sujet, un grand journal parisien _ non mentionné, hélas _, écrit :

« Le seul homme qui porte le nom glorieux de Ducos du Hauron vit péniblement à Rébeval (Algérie) avec une retraite de 400 francs par mois, son principal revenu pour entretenir une famille de cinq enfants _ et je relève bien sûr cette information sur la composition de la famille d’Amédée Ducos du Hauron, jeune retraité de la fonction territoriale d’Algérie, à cette date du 4 mars 1927.

Nous nous ferons un devoir et un honneur de revenir sur l’ingratitude manifestée à l’égard de la famille Ducos par ceux-là même qui ont trouvé dans ses inventions une source considérable de millions et de gloire.
Mais, d’ores et déjà, nous estimons qu’une ère de réparation devrait s’ouvrir en faveur de M. Amédée Ducos du Hauron, neveu direct de l’inventeur des anaglyphes et de la photographie des couleurs, seul porteur actuel du nom de Ducos du Hauron _ à part les deux filles Marguerite et Alice, d’Alcide Ducos du Hauron _, qui fut, jusqu’à vingt-sept ans _ né à Agen le 24 mars 1867, c’est en 1894 qu’Amédée a atteint cet âge de 24 ans : on peut donc supposer que sa collaboration, en Algérie, aux travaux de recherche de son oncle Louis s’interrompirent alors du fait de l’entrée d’Amédée dans sa carrière professionnelle sérieuse, possiblement à la préfecture d’Alger ; où, en effet, son livret militaire mentionne très explicitement qu’Amédée Ducos du Hauron est domicilié à l’Hôtel de Préfecture d’Alger, à la date, justement, du 4 juin 1894… _, en compagnie de son père, Alcide Ducos du Hauron (successivement conseiller à la Cour d’appel d’Agen et d’Alger), le collaborateur du glorieux inventeur Louis Ducos du Hauron, son oncle « .
Cet article de L’Écho d’Alger du 4 mars 1927, se poursuivant ainsi :
Il faut rendre à chacun ce qui lui est dû, et c’est pour cela qu’il nous a été agréable, en les appuyant, de reproduire les lignes qui précèdent, tout en soulignant le gros succès obtenu par les « Anaglyphes«  au Casino d’Alger.
D’autres attractions suivront« , etc.
Fin de l’incise sur ma question à Joël Petitjean, et à cet article du 4 mars 1927.

Cet échange, en deux temps, entre Joël Petitjean, sur la scène du Théâtre Ducourneau, et moi-même, dans la salle,

intervient entre 2h 23′ 42″ et 2h 25′ 38″ de la bande vidéo du colloque

Voilà pour la bonne surprise :

je parle, bien sûr, de l’accès universel et durable donné par cette exhaustive vidéo, d’une durée de presque 6 heures, au colloque « Louis Ducos du Hauron, inventeur visionnaire de la photographie couleur« , du 27 novembre 2021, à Agen…

Et à suivre…

Ce vendredi 3 décembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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