Posts Tagged ‘Karol Szymanowski

La reconnaissance confirmée du talent singulier de Jonathan Fournel, brillant et affuté pianiste, ici dans Chopin et Szymanowski…

25sept

Le 3 septembre dernier, je consacrais un article de curiosité admirative «  » envers le talent brillant et affuté du pianiste Jonathan Fournel, à l’occasion de la parution de son superbe album Alpha 1064 « Chopin – Szymanowski« … 

Et voici que trois semaines plus tard cette admiration mienne évoquée en mon article se voit rejointe et développée plus amplement par deux articles bien détaillés consacrés à ce même CD Alpha 1064 « Chopin -Szymanowski » de Jonathan Fournel au piano :

le premier avant-hier 23 septembre, par Jean Lacroix sur le site du magazine Crescendo, sous le titre de « Après Brahms et Mozart, Jonathan Fournel se tourne vers la Pologne » ;

et le second hier 24 septembre, par Jean-Charles Hoffelé, sur son blog Discophilia, sous le titre de « Les deux Pologne« …

Les voici donc, l’un et l’autre :

Après Brahms et Mozart, Jonathan Fournel se tourne vers la Pologne

Le 23 septembre 2024 par Jean Lacroix

Frédéric Chopin (1810-1849) : Sonate pour piano n° 3 en si mineur op. 58. Karol Szymanowski (1882-1937) : Variations pour piano en si bémol mineur op. 3 ; Variations sur un thème folklorique polonais op. 10. Jonathan Fournel, piano. 2023. Notice en français, en anglais et en allemand. 60’ 51‘’. Alpha 1064.

Vainqueur du Concours Reine Elisabeth de 2021, placé sous le signe de la pandémie, le pianiste français Jonathan Fournel (°1993), originaire de Sarrebourg, dans l’est de la France, avait alors démontré ses affinités particulières avec Brahms en jouant en demi-finale les Variations et Fugue sur un thème de Haendel op. 24, avant un brillant Concerto n° 2 en finale. Entré dès 2009 au CNSM de Paris où il étudia avec Bruno Rigutto, Brigitte Engerer, Claire Désert et Michel Dalberto, Fournel a poursuivi sa formation, à partir de 2016, à la Chapelle musicale de Waterloo, avec Louis Lortie et Avo Kouyoumdjian. Dans la foulée de ce Premier Prix, il a gravé pour Alpha son premier disque _ Alpha 851 _, consacré lui aussi à Brahms _ « Brahms – Piano Sonata N°3 – Handel Variations«  On y retrouvait l’opus 24 _ « Variations and Fugue on a Thème by Handel«  _, couplé à la Sonate n° 3 _ Op. 5. Nous avions souligné, le 23 novembre 2021, l’excellence du style, riche en nuances, ainsi que la plénitude, la capacité expressive, l’énergie et l’intensité émotionnelle que ces pages dévoilaient chez ce jeune interprète. Nous appelions aussi de nos vœux des gravures de Fournel dans d’autres répertoires. Ce fut chose faite, début 2024, pour le même label, avec les Concertos n° 18 et 21 de Mozart _ le CD Alpha 1039 _, l’Orchestre du Mozarteum de Salzbourg étant placé sous la direction de Howard Griffiths ; Fournel en soulignait toute la vivifiante élégance.

Pour son troisième album chez Alpha _ le CD Alpha 1064 _, le pianiste propose un album où se côtoient Chopin et Szymanowski. Un judicieux programme polonais, qui rappelle que le second nommé, dans ses partitions _ Op. 3 et Op. 10 _ de Variations, composées en pleine jeunesse, au tout début du XXe siècle, s’inscrit dans la descendance de Chopin, mais aussi du premier Scriabine, et sous influence brahmsienne et schumanienne. Dans l’opus 3 _ « Variations in B Flat Minor«  _, dédié à Arthur Rubinstein lorsqu’il est publié en 1910 (sauf erreur, le virtuose n’en a pas laissé de témoignage sur disque) _ l’œuvre a été composée en 1903 _, douze variations s’enchaînent, en moins de douze minutes, Szymanowski manie l’art de la concision et de la liberté expressive, avec des suraigus et des graves, une certaine joie, et un rappel de la marche funèbre de Chopin. Le compositeur est en recherche d’un style propre, qu’il va développer au sein de l’opus 10 _ « Variations on a Polish Folk Theme«  _ de manière plus large (une vingtaine de minutes), dans une polyphonie plus travaillée, qui fait défiler les variations d’un thème emprunté à un recueil de chants de la région de Zakopane, située au pied de la chaîne montagneuse des Tatras. La musique traditionnelle fait ainsi son entrée dans le catalogue de Szymanowski. L’écriture pianistique, qui n’est pas sans évoquer des atmosphères lisztiennes, s’exprime encore de façon académique (la dédicace est pour son professeur Zygmunt Noskowski), mais avec des humeurs variées : sombre, rêveuse, rythmée, funèbre, ou triomphale dans une conclusion en apogée. Jonathan Fournel sert ces deux séries de variations avec un vrai sens de l’équilibre instrumental, leur accordant cette part de jeunesse qui les caractérise, sans effets ni contrastes malvenus. Il met en évidence les influences, tout en animant le tout avec finesse et sûreté.

Placée entre les deux opus szymanowskiens, la Sonate n° 3 _ Op. 58 _ de Chopin (1844) fait vibrer la lumière et la joie, tout à fait à l’opposé de la Sonate Funèbre _ N°2. De style large et jaillissant, cette composition de Nohant, à la virtuosité maîtrisée, déploie un superbe chant d’une esthétique entre Beethoven et Bellini dans le vaste l’Allegro maestoso initial, avant un bref Scherzo « plus léger que l’air », selon la jolie formule de maints commentateurs. Le Largo se mue en caresses élégiaques qui s’épanouissent de façon rêveuse, en plein émerveillement, presque irréel. Chopin laisse la puissance et les scintillements se propager dans un final en forme de rondo, aux effets flamboyants. Jonathan Fournel est ici aussi à l’aise que dans Brahms ; il traduit tous les paysages intérieurs de Chopin avec un enthousiasme communicatif, un sens du partage, une flamme ardente et un engagement qui séduisent tout au long du parcours. Il sait aussi ne pas se laisser emporter par une fougue trop débridée et ne pas être débordé par une émotion excessive (le Largo est superbement énoncé), dans le respect de ce moment de bonheur que reflète l’écriture du compositeur. On aurait aimé que _ dans le livret du CD _ Fournel fasse l’un ou l’autre commentaire sur la manière dont il conçoit son approche de Chopin. Mais la notice n’en dit rien.

Ce troisième album confirme la maturité pianistique d’un artiste qui aura sans doute bien des richesses musicales à proposer dans le futur.

Son : 9  Notice : 8  Répertoire : 10  Interprétation : 10

Jean Lacroix

LES DEUX POLOGNE

Admirable la Sonate en si _ de Chopin _ selon Jonathan Fournel, l’élégance et le feu, la main gauche impérieuse, le chant dit haut, la lumière même du Steinway font son Chopin d’une intense autorité sans pourtant oublier la ligne classique qu’y entendait jadis Dinu Lipatti. Le modèle certes était posé, mais le jeune homme y ajoute son propre clavier, où les polyphonies dansent, s’exaltent, s’envolent.

Pourtant, aussi fabuleuse que soit sa Sonate de Chopin, ce sont d’abord les deux cahiers de Variations _ Op. 3 et Op. 10 _ de Szymanowski qui me feront ranger le disque à l’auteur du Roi Roger _ ce chef d’œuvre majeur…

D’un Polonais l’autre croirait-on, mais non, le jeune Szymanowski ne regarde guère vers Chopin, Fauré s’évoque quasi sous les doigts du Français dans le thème de l’Opus 3, les verreries colorées de Scriabine, si souvent jouées pour Szymanowski par Heinrich Neuhaus, sont reconnaissables dans maintes variations, tout cela divulgué avec des attentions de poète qui trouveront l’ampleur commandée, une année plus tard _ en 1904 _, par les Variations sur un thème polonais, son glas fulgurant, ses esquisses de danses des Tatras, ses spectaculaires oiseaux de la coda, tout cela si vif, si prégnant, preuves nouvelles d’un art inspiré qui s’amplifie à chaque nouvel album.

LE DISQUE DU JOUR

Karol Szymanowski
(1882-1937)


Variations en si bémol mineur, Op. 3
Variations sur thème populaire polonais, Op. 10


Frédéric Chopin (1810-1849)


Sonate pour piano No. 3
en si mineur, Op. 58

Jonathan Fournel, piano

Un album du label Alpha Classics 1064

Photo à la une : le pianiste Jonathan Fournel – Photo : © Marco Borggreve

Deux belles reconnaissances de la critique : un talent d’interprète assurément à suivre…

Ce mercredi 25 septembre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Tâcher de retrouver l’envoûtement Szymanowski dans les « Variations sur un thème folklorique polonais » Op. 10, dans le nouveau CD Alpha 1064 « Chopin – Szymanowki » du jeune Jonathan Fournel…

03sept

C’est en effet tâcher de retrouver la magie fascinante et enivrante de l’envoûtement Szymanowski dans les « Variations sur un thème folklorique polonais » Op. 10, en Si mineur (composées en 1900-1904) de Karol Szymanowski (Tymochivka, 6 octiobre 1882 – Lausanne, 22 mars 1937),

qui m’a poussé à désirer écouter les doigts du jeune Jonathan Fournel en ce CD Alpha 1064 _ enregistré à La-Chaux-de)-Fonds du 28 octobre au 1er novembre 2023, en une prise de son de Jean-Martial Golaz _,

après l’expérience de mon admiration éperdue pour la magie de Kristian Zimerman, en le CD Deutsche Grammophon 486 3007 « Karol Szymanowski : Piano Works » _ enregistré, pour ces magistrales « Variations«  Op. 10, à Fukuyama au mois de juin 2022, en une magnifique prise de son de Rainer Maillard… Cf l’enthousiasme de mon article « « , du 25 octobre 2022…

Cette bouleversante, virtuose et profonde à la fois, interprétation de Kristian Zimermann, en ce CD Deutsche Grammophon enregistré à Fukuyama, en 2022 _ écoutez et admirez ici le Tema Andantino semplice (2′ 10), la variation n°1 Meno mosso (1′ 20) ou la variation n°2, Agitato (0′ 43) ; si Kristian Zimerman peut parfois être jugé froid, ce n’est du tout le cas ici : il est splendide…_, constituant jusqu’ici celle que je préfère parmi les trois que comportait, jusqu’à ce CD Alpha 1064 « Chopin – Szymanowski » de Jonathan Fournel aujourd’hui, ma discothèque personnelle,

avec celle de Martin Jones, enregistrée en 1992, à Monmouth, en un coffret de 4 CDs Nimbus Records NI 1750 « Szymanowski : Piano Works« ,

et celle de Corinne Kloska, enregistrée en 2002, à Paris, dans le CD Soupir Edition S 207 NT 100 « Corinne Kloska – Szymanowski« …



Karol Szymanowski, oui,

un formidable génie, et parfaitement singulier, de la musique…


Ce mardi 3 septembre 2024, Titus – Curiosus – Francis Lippa

Un admirable concert de louanges sur l’admirable interprétation de Piotr Anderszewski de Bartok, Janacek et Szymanowski, au CD comme au concert choisi…

14fév

Ce soir _ et pour la cinquième fois depuis le 27 janvier dernier… _,

je tiens à solennellement célébrer un nouveau splendide hommage rendu au sublimissime CD _ ainsi que concert-récital, à Genève, sur ce même programme _« Bartok – Janacek – Szymanowski – Piotr Anderszewki » Warner Classics 5054197891274,

après mes articles «  » (du 27 janvier dernier,

avec la citation de l’article « Piotr Anderszewski, le promeneur songeur des sentiers escarpés » de Pierre-Jean Tribot, en date du 13 janvier 2024, sur le site de Crescendo),

«  » (du 29 janvier dernier),

«   » (du 30 janvier dernier),

et  «  » (du 3 février dernier,

avec la citation de l’article « A Genève, Un pianiste de classe : Piotr Anderszewski » de Paul-André Demarre, en date du 1er février dernier, 2024, sur le site de Crescendo)…

cette fois-ci l’hommage de Jean-Charles Hoffelé, intitulé « Modern Style« , sur son site Discophilia, en date d’hier, 13 février 2024…

MODERN STYLE

Choisir _ voilà ! _ est l’un des objets de l’art _ de composer superbement un programme (de récital-concert, ou de disque-CD) de Piotr Anderszewski : Sur un sentier recouvert de Janáček oui, mais le Second cahier seulement _ eh oui ! _, des Mazurkas de Szymanowski, mais pas tout l’Opus 50 _ mais le choix de seulement 6 d’entre elles… Ce qui pour le mélomane pourra, sur le papier, sembler _ a priori du moins _ frustrant, s’efface _ absolument ! _ à l’audition _ voilà l’exploit !

Le resserrement dramatique _ oui _ qu’il impose aux cinq pièces _ du Livre II _ de Sur un sentier recouvert, en faisant une quasi-sonate avec deux scherzos, convoque tout son art : phrasés éloquents, ampleur de la sonorité (l’Allegro conclusif vous a un de ces caractères, un hymne dansé !), l’aridité_ toute de splendide tendresse ! _ assumée des six Mazurkas, tour à tour minimalistes (le Moderato) ou fantasques, mais toujours dessinées de ce trait de crayon un peu cubiste, tout cela passe pourtant derrière la pure beauté_ voilà ! _ de ce pianisme gorgé d’harmoniques, vrai jeu à dix doigts qui ne laisse rien _ tu _  des _ subtiles _ nuances indiquées comme autant de didascalies par Janáček et Szymanowski, deux grands annotateurs de leurs partitions devant l’Eternel.

Mais au chapitre Bartók, Piotr Anderszewski a décidé de faire mentir mon propos liminaire : toutes les Bagatelles _ cette fois _ de l’Opus 6, ce laboratoire du nouveau piano qu’invente le Hongrois, sont bien là. Elles furent d’ailleurs parmi les premiers opus que le pianiste polonais inscrivit à son répertoire, soulignant d’emblée le regard particulier qu’il portait sur le répertoire, l’imposant à ses auditeurs. J’ai le souvenir très vif d’un concert à Radio France où l’œuvre le servait à un point incroyable pour un opus aussi peu public : elle exposait sa science pianistique et la hauteur _ justissime _ de son regard d’artiste _ incomparable _ , que je retrouve ici, inchangé, perçant, révélateur.

LE DISQUE DU JOUR

Leoš Janáček (1854-1928)…
Sur un sentier recouvert,
JW 8/17 – Second cahier


Karol Szymanowski
(1882-1937)


20 Mazurkas, Op. 50 (extraits : No. 3. Moderato ; No. 7. Poco Vivace – Tempo oberka ; No. 8. Moderato non troppo ; No. 10. Allegramente – Vivace – Con brio ; No. 5. Moderato ; No. 4. Allegramente, risoluto)


Béla Bartók (1881-1945)


14 Bagatelles, Op. 6, Sz. 38, BB 50

Piotr Anderszewski, piano

Un album du label Warner Classics 5054197891274

Photo à la une : le pianiste Piotr Anderszewski –
Photo : © Simon Fowler/Warner Classics

Un chef d’œuvre d’interprétation à la fois intériorisée, et donnée splendidement à partager, à notre tour :

au disque sur la platine comme au concert dans la salle…

Ce mercredi 14 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et admirer aussi les 14 « Bagatelles » Op. 6 de Bela Bartok par le magnifique si simple et si subtil Piotr Anderszewski…

30jan

Pour conclure mes articles «  » _ dans lequel je donnais à écouter en podcasts son sublime Livre II d’un « Sur un sentier broussailleux » de Leos Janacek _

et «  » _ dans lequel je donnais à écouter en podcasts ses 6 magiques « Mazurkas«  élues au sein de l’Op. 50 de Karol Szymanowski  _,

Il ne m’était pas décemment possible de laisser sur le carreau les « Bagatelles » Op. 6 de Bela Bartok extraordinairement servies par cet interprète d’exception _ à la fois parfaitement modeste et humble, et magnifiquement subtil _ qu’est Piotr Anderszewski ;

en voici donc aussi au moins 9 podcasts, accessibles, de ces 14 Bagatelles Op. 6 de Bartok :

_ celui de la n°1 (2′ 11)

celui de la n°2 (0′ 53)

_ celui de la n°3 (1′ 16)

_ celui de la n°4

_ celui de la n°5 (1′ 09)

_ celui de la n°6 (1′ 25)

_ celui de la n°7

_ celui de la n°8

_ celui de la n°9 (2′ 20)

_ celui de la n°10 (2′ 24)

_ celui de la n°11

_ celui de la n°12 (4′ 13)

_ celui de la n°13

_ celui de la n°14 (2′ 11)

Le monde de Bela Bartok (1881 – 1945) n’est pas plus celui de Leos Janacek (1854 – 1928), que celui de Karol Szymanowski (1882 – 1937).

Et pourtant Piotr Andersewski sait à la perfection marier les univers, et chacune des pièces, elles même très diverses (et toutes brèves), des univers si subtils, et très idiosyncrasiques, de ces 3 compositeurs issus des deux versants des Carpathes…

Ce récital ainsi poétiquement composé est stupéfiant de justesse et de beauté…

Ce mardi 30 janvier 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Admirer les Mazurkas de Karol Szymanowski : comparer quelques interprétations de cette sublime musique…

29jan

L’immense admiration éprouvée à l’écoute du sublime CD « Bartok – Janacek – Szymanowski » de Piotr Anderszewki,

soit le CD Warner Classics 5054197891274,

exprimée en mon article «  » d’avant-hier samedi 27 janvier 2024,

m’a conduit à comparer l’écoute cette sublime _ de tendresse ! _ interprétation de Piotr Anderszewki _ enregistré à Berlin du 30 juillet au 2 août 2023 _ des Mazurkas n° 3 _ écoutez-la ici (3’03) : quel sublime toucher d’Anderszewki… _, 4 _ écoutez-la (2′ 34) _, 5 _ écoutez-la (3′ 17) _, 7 _ écoutez-la (1′ 44) _, 8 _ écoutez-la (3′ 26) _ et 10, extraites des « 20 Mazurkas » Op. 50 M.56 de Karol Szymanowski (Tymochivka, 6 octobre 1882 – Lausanne, 29 mars 1937) _ un compositeur que je chéris tout particulièrement, et dont j’essaie de suivre attentivement la parution des interprétations des œuvres en CDs… _,

avec les interprétations d’autres pianistes se trouvant en divers CDs présents dans ma discothèque personnelle ;

soient par

_ Martin Jones,

pour la totalité des 20 Mazurkas Op. 50

_ enregistrées à Monmouth au mois d’août 1993, dans le coffret de 4 CDs « Karol Szymanowski – Complete Piano Music« , Nimbus Records NI 1750 _ ;

_ Michal Wesolowki,

pour les Mazurkas n° 13, 14, 15 et 16 de cet Op. 50

_ enregistrées à Alfortville au mois de juin 1997, dans le CD « Karol Szymanowski – Masques Op. 34 – Four Mazurkas Op. 50« , Piano Vox PIA 509-2 _ ;

_ et Krystian Zimmerman,

pour les Mazurkas n° 13, 14, 15 et 16 de cet Op. 50

_ enregistrées à Fukuyama au mois juin 2022, dans le CD « Karol Szymanowski – Piano Works », Deutsche Grammophon 486 3007 …

Eh bien, même le grand Krystian Zimerman ici _ écoutez-les : la n°13 (3′ 22)), la n°14 (1′ 58), la n°15 (2′ 57) et la n°16 (3′ 38) _ me déçoit :

pas assez chaleureuses…

Ce lundi 29 janvier 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

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