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Le plaisir de revoir sur Arte le film de William Wyler, en 1953, « Vacances romaines »…

17avr

Cet après-midi,

et tout à fait par hasard,

j’ai revu avec très grand plaisir à la télévision sur Arte le « Vacances romaines« , de William Wyler (Mulhouse, 1er juillet 1902 – Los Angeles, 27 juillet 1981),

un film plein de charme de 116′, en  1953, 

avec de toujours parlantes séduisantes vues de Rome…

Avec le charme évanescent _ et glamour un peu désuet… _ aussi

des minois d’Audrey Hepburn (Ixelles, 4 mai 1929 – Tolochenaz, 20 janvier 1993)

et Gregory Peck (San Diego, 5 avril 1916 – Los Angeles, 12 juin 2003)...

Ce lundi 17 avril 2023, Tiyus Curiosus – Francis Lippa

Le décidément un peu trop froid à mon goût « Premier Livre du Clavier bien tempéré » (de Johann-Sebastian Bach) d’Andreas Staier…

20jan

Je ne suis décidément pas un fan des interprétations, un poil trop froides ou sèches, à mon goût, d’Andreas Staier,

en particulier pour ce « Premier Volume » du « Clavier bien Tempéré« 

que le brillant claviériste allemand vient de donner, ce mois de janvier 2023, à Harmonia Mundi :

le double CD HMM 902680.81 _ et deux ans après le « Volume Second« , soit le double CD HMM 902682.83…

Les deux enregistrés à Berlin _ en avril – juin 2021, et juin-juillet 2020 _ sur le même clavecin Anthony Sidey et Frédéric Bal (Paris 2004), d’après un Hieronymus Albrecht Haas (Hambourg 1734).

Ma préférence allant à des interprétations un peu plus latines de jeu : françaises et italiennes,

avec davantage de fantaisie et de charme…

De poésie.

 

Ce vendredi 20 janvier 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ré-écouter en continu le puissamment charmeur et envoûtant « El Dorado » de John Adams (de 1991), dans l’enregistrement de Kent Nagano (en 1993, pour Nonesuch), en suivant aussi les analyses qu’en donne, avec admiration et lucidité tranquille, Karol Beffa en son passionnant et très riche « L’Autre XXe siècle musical » : pour contribuer à cerner l’idiosyncrasie de sa puissante imageance à travers les inventives hybridations de ses compositions…

10juil

Ce dimanche matin, et comme pour saluer le très beau temps et la chaleur californienne promise et à venir,

je mets sur ma platine le magique et troublant « El Dorado » de John Adams , en 1991,

tel qu’interprété par le Hallé Orchestra sous la direction de Kent Nagano, en un superbe enregistrement en juillet 1993, à Manchester _ soit le CD 14 du superbe merveilleux coffret de 40 CDs de l’Intégrale Nonesuch 075597932294 de nouveau disponible ! Quel trésor ! _,

en suivant aussi les pages d’analyse que lui consacre Karol Beffa, aux pages 181 à 200, de son indispensable « L’Autre XXe siècle musical »

_ cf aussi la vidéo de mon très détaillé entretien avec Karol Beffa, sur ce livre, à la Station Ausone (de la librairie Mollat) à Bordeaux, le vendredi 25 mars dernier, accessible aussi en mon article du 7 avril suivant : « « 

Outre son talent, d’abord, bien sûr, de compositeur, mais aussi, ensuite, d’interprète (au piano, ou à la direction d’orchestre), ainsi, encore, que d’enflammé improvisateur au piano,

Karol Beffa est un magnifiquement compétent écouteur-mélomane ainsi qu’analyseur merveilleusement fin de musique,

et un très efficace partageur _ communiquant et pédagogue _ de tout cela !

Que de talents réunis _ et si efficacement inter-connectés _ en ce très remarquablement sur-doué de la musique !!!

Ce n’est donc peut-être pas tout à fait un hasard, si, pour Marcel Bluwal et la télévision, en 1982, le petit Karol Beffa, âgé alors de 8 ans, a interprété le rôle de l’enfant Mozart _ écouter ici son témoignage rétrospectif là-dessus le 13 novembre 2020 sur France-Musique…

Bien sûr, jouir de la musique de l' »El Dorado » de Johns Adams, ne passe pas nécessairement, et loin de là (!), par la lecture de l’analyse que sait si finement en donner Karol Beffa.

Et il est même très fortement déconseillé de commencer par là !

La jouissance de la musique est d’abord une délectation de la sensibilité la plus ouverte et accueillante à l’inouï, et impromptue qui soit…

L’analyse compétente et sereine _ dénuée de pathos _ n’est en quelque sorte qu’un luxe supplémentaire pour une écoute peut-être un peu plus affinée _ mais ce n’est même pas sûr : à chacun de savoir aussi la transcender en son écoute la plus sensible et ouverte possible de la musique rencontrée… _, tel celui d’une belle cerise sur un surtout très délicieux gâteau…

Voilà :

découvrir et arpenter tout l’œuvre enregistré sur disques, ici pour Nonesuch, de John Adams, à défaut de l’écouter live au concert, est une chance à saisir désormais bien plus accessible.

Et, oui, John Adams est bien un compositeur admirable de cet « autre XXe siècle musical » un moment discrédité,

qui se situe, en sa création éminemment singulière, et nécessairement hybride aussi, tout à fait dans la lignée des grâces somptueuses d’un  Debussy et d’un Ravel, notamment _ en ce chapitre « El Dorado » de son livre, c’est à trois reprises, pour Debussy, et quatre reprises, pour Ravel, que Karol Beffa évoque ces noms pour les relier au plus intime de l’œuvre si puissamment charmeur et envoûtant, en son idiosyncrasie propre, de John Adams…

Cet article-ci de ce dimanche matin

prolonge celui du mercredi 30 mars dernier « « , qui permettait d’accéder aux podcasts des écoutes de la partie I (« The Machine in the Garden« , 12′ 40), et la partie II (« Soledades« , 16′ 09), de l’ « El Dorado » de John Adams en ce même enregistrement pour Nonesuch, sous la direction de Kent Nagano, à Manchester, en juillet 1993

Ce dimanche 10 juillet 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

La pudeur la plus intime de l’idiosyncrasie de Reynaldo Hahn miraculeusement incarnée par le piano délicat sublimissime de Pavel Kolesnikov…

02juil

Ainsi que l’indique Pavel Kolesnikov lui-même dans la notice du livret du CD « Reynaldo Hahn Poèmes & Valses« , le CD Hyperion CDA 68383 qui vient de paraître ce mois de juin 2022,

ce fut l’expérience du confinement du COVID-19 « qui bouleversa le monde dans tous ses agissements » qui constitua « le moment idéal » pour le pianiste de se mettre à affronter _ enfin _, dans la perspective très concrète d’un enregistrement, « l’incroyable corpus de pièces pianistiques » de Reynaldo Hahn, qui avait provoqué, lors de sa première découverte par lui, quelques années auparavant, un « trouble initial : à première vue, j’ai eu _ alors _ du mal à appréhender ces œuvres, à entrer _ vraiment _ dedans.« 

Et « Ce fut Éros caché dans les bois et particulièrement sa sonorité _ assez extraordinaire, en effet _ qui agirent _ lors de la découverte initiale du piano de Reynaldo Hahn par Pavel Kolesnikovcomme éléments déclencheurs. Il y avait là quelque chose d’intrigant, de programmatique et pourtant d’un peu abstrait. Il est singulier qu’une œuvre puisse à ce point s’inscrire dans l’empire du doute, la scène n’étant réellement ni de ce monde ni d’un autre monde et n’appartenant ni au domaine des dieux ni à celui des vivants.« 

« Passé ce premier sentiment, je me suis _ alors _ laissé gagner par la musique, qui est elle-même à la fois vague et précise. Voilà comment je suis passé d’une œuvre l’autre, comme un enfant tenant un sac de bonbons dont le niveau baisse à mesure que sa faim de sucre se déchaîne. Certaines pièces me laissèrent indifférents, mais d’autres _ nombreuses _ me renvoyaient à ma première impression de mystère, là où l’auditeur est à la lisière de ce qui lui est familier.« 

Mais cette musique _ si rare en la puissante mais si discrète étrangeté de son idiosyncrasie _ décidément résistait…

Ce n’est que « les années passant _ que _ j’ai compris qu’il y avait un temps pour tout, et qu’il ne fallait jamais forcer une adhésion. Je me suis fait confiance, et j’ai rangé le recueil, pour mieux y revenir ensuite« .

De fait, au moment de la sidération si puissante de l’expérience de l’enfermement pour le COVID-19,

ce fut « la torpeur du temps distendu, une grosse biographie de Proust dans les mains, et _ surtout _ ce vaste champ de réflexion qui se dégageait par contrainte dans ma vie, _ qui _ apparurent comme des ingrédients _ paradoxalement _ providentiels.

Après avoir procrastiné pendant quelques jours, je pris mon courage à deux mains et je me suis mis à imaginer l’enregistrement _ à réaliser. L’idée de départ était relativement simple et en grande harmonie avec mon précédent projet d’enregistrement des Variations Goldberg (CDA 68338) : tenter de construire les sons sur la base d’une présence imaginaire de l’interprète _ chose impossible au concert vu qu’il se tient physiquement devant les auditeurs _ et offrir de s’ouvrir _ soi, pleinement _ à une sorte d’écoute intérieure. Surtout ce qui me plut par-dessus tout fut d’adopter une esthétique de travail que j’avais appliquée à la musique de Bach et de la confronter désormais à une œuvre réputée aux antipodes de celle-ci.« 

Mais « comment _ donc _ y pénétrer par un _ si _ minuscule trou de serrure ? C’est la qualité insulaire de l’œuvre de Hahn : ses beautés fragiles sont comme protégées par des océans d’incertitudes, où tout est vague et protège son expression, à la fois minuscule et expressive.« 

Et de fait « il y a quelque chose de très apaisant dans la manière dont Hahn observe et agence les minuscules touches d’émotion : nulle arrogance architecturale, mais seulement de la tendresse, une grande tendresse. J’y vois presque quelque chose d’enchanteur, un funambulisme entre la clarté, l’élégance et la liberté d’expression _ voilà tout Hahn en sa singulière et si rare idiosyncrasie… C’est l’art d’habiter sa musique sans volonté de la posséder« .

Et c’est ainsi que « en ce début de crise _ pour Pavel Kolesnikov confiné alors à son domicile londonien _Reynaldo Hahn fut ma planche de salut« …

Le résultat,

cet enregistrement-ci de 19 des 53 pièces « Rossignol éperdu« , et de 6 des 11 « Premières Valses » de Reynaldo Hahn,

est un prodigieux miracle d’intelligence de la sensibilité de ce compositeur si fin, si racé, si pudique…

De ces œuvres pour piano seul de Reynaldo Hahn,

ma discothèque comprenait déjà

d’une part le double CD « Le Rossignol éperdu » (Passavant Music PAS 114273), des 53 pièces de ce recueil, par Bernard Paul-Reynier, enregistré en mai 2014 ;

et d’autre part, le CD « Reynaldo Hahn Piano Works » (Pro Piano 224538), comprenant les 11 « Premières Valses« , par Laure Favre-Kahn, enregistré à New-York le 11 mars 2003.

Mais l’interprétation sublimissime de délicatesse de Pavel Kolesnikov, ici, emporte tout !

Cf aussi mon article du 22 mars dernier : « « ,

rédigé au moment de ma lecture passionnée de « L’Autre XXe siècle musical » de l’ami Karol Beffa, à l’oreille et au goût si magnifiquement perspicaces…

À la page 55 de ce livre important, Karol Beffa résume ce qu’il qualifie de « grand secret » de Reynaldo Hahn, « celui du charme« .

Et « par ce charme _ prévenait-il _, on ne saurait entendre le mignon, le joli, le mignard complaisant, mais le charme au sens de carmen, qui désigne en latin le sortilège.

Hahn le charmeur est un enchanteur, un sorcier« .

On ne saurait mieux dire.

Et ce merveilleux CD enchanteur « Reynaldo Hahn _ Poèmes & Valses » de Pavel Kolesnikov, nous fait approcher au plus près de la magie unique de ce sortilège singulier de l’art si « naturel » de Reynaldo Hahn,

si puissant et pénétrant en sa pudeur si délicate et presque fragile…

Ce samedi 2 juillet 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Une seconde étape du périple discographique du répertoire de ténor chanté en français, par Benjamin Bernheim : un passionnant « Boulevard des Italiens »…

01mai

Après son inaugural magnifique et marquant récital _ soit le CD Deutsche Grammophon 481 6078 _ tout simplement intitulé « Benjamin Bernheim« , constitué d’airs pour ténors de Massenet, Donizetti, Gounod, Verdi, Tchaikovsky, Godard Berlioz et Puccini,

que le superbe Benjamin Bernheim _ cf mon article du 24 novembre 2019 : « «  _ nous a donné en 2019,

voici que celui nous livre maintenant une seconde magnifique étape de son périple de ténor chantant en français,

consacrée cette fois à des airs de compositeurs italiens ayant composé, ou bien tout spécialement pour des scènes fraçaises d’opéra, ou bien des œuvres ayant très vite rencontré le plus vif et large et durable succès en France,

en un récital très judicieusement intitulé cette fois « Boulevard des Italiens« , en un nouveau très réussi CD Deutsche Grammophon, numéro 486 1964.

Cf l’article que, sur le site de ResMusica, et le 27 avril dernier, Steeve Boscardin, a consacré à ce CD, sous le titre de « Benjamin Bernheim rend hommages aux Italiens à Paris« …

Benjamin Bernheim rend hommage aux Italiens à Paris

Ce nouvel enregistrement de Benjamin Bernheim sort des sentiers battus et apparaît beaucoup plus original que les traditionnels récitals de ténors, grâce à la collaboration du Palazzetto Bru Zane qui a concocté un programme autour de l’engouement des compositeurs italiens pour Paris.

L’avantage de ce programme est d’éviter la succession de « tubes » archi-connus, et d’aborder les compositeurs italiens dans leurs compositions en langue française. L’’intitulé, « Boulevard des Italiens », rappelle que Paris et sa « grande boutique » était un pôle d’attraction important pour les compositeurs italiens qui ont été amenés à écrire des opéras en français pour un public avide : on retrouve ainsi le traditionnel Don Carlos de Verdi, mais aussi des pages de son Jérusalem et des Vêpres Siciliennes, ainsi que La Vestale de Spontini ou La fille du régiment et La favorite de Donizetti, et des raretés de Cherubini et Mascagni. Enfin, le programme du disque s’ouvre et se referme avec deux airs de Puccini (extraits de Tosca et Madame Butterfly) dont la simple traduction en français – comme cela se faisait encore jusque dans les années 60 avant l’apparition du sur-titrage – apporte une écoute renouvelée et quasiment « exotique ».

Reconnaissons toutefois que l’enchainement de ces cavatines et romances où la « démonstration » technique semble mesurée quels que soient les styles abordés (romantisme, vérisme et classicisme), manque un peu de variété et aboutit à une absence de relief qui peut susciter une relative monotonie. Relative, car l’élégance suprême _ voilà ! _ domine, et toutes ces pages sont magistralement défendues et interprétées. Et puis quel plaisir d’entendre une telle évidence _ oui _ entre un répertoire et un interprète, car Benjamin Bernheim semble ici sans rival dans la domination naturelle de la prosodie, la clarté d’émission, le legato ondulant prétexte à de longues phrases lancées sur un souffle _ absolument…

A ce titre la cavatine de Dom Sébastien de Donizetti est peut-être le bijou, le point d’acmé de cet album qui résume toutes les qualités du ténor, ici tout en intériorité et raffinement pour peindre le portrait d’un monarque solitaire et mélancolique. Justesse du phrasé, belles dynamiques, maitrise absolue de la demi-teinte et de l’aigu puissant _ oui, oui, oui. L’extrait de la Favorite est du même acabit avec cette ligne de chant ondulante et si, pour donner plus de contrastes, on aurait aimé que Bernheim aborde le personnage de Tonio de La fille du régiment du côté de sa virtuosité, reconnaissons que la romance « Pour me rapprocher de Marie » abordée ici expose là encore une diction parfaite et une émission d’une grande clarté conférant beaucoup de fraîcheur _ oui _ à son interprétation.

Les Verdi sont aristocratiques et d’un grand raffinement _ comme il leur convient. Bernheim y apparait souverain, d’une ligne de chant et d’un legato flottants, et le duo jeune et plus « viril » du Don Carlos avec Florian Sempey (Posa) atteint des sommets dans de superbes harmoniques. La délicatesse des romances de Jérusalem et des Vêpres siciliennes donnent à admirer une grande qualité du phrasé et le souffle infini du ténor ainsi qu’une parfaite maîtrise de la voix mixte.

Le programme donne l’occasion au ténor d’aborder le répertoire plus « classique » – avec notamment le très rare Ali Baba de Cherubini – qui se révèle plein de promesses, même si l’extrait de la Vestale de Spontini nous semble encore manquer un peu de mordant, d’urgence et de drame.

Enfin, Amica, seul opéra en français que Mascagni a composé (1905), est une belle découverte qui nous permet de savourer cette voix duveteuse et moelleuse associée à une clarté d’émission qui sonne avec beaucoup de finesse dans ce répertoire vériste souvent plus trivial chez d’autres artistes.

A la tête de l’Orchestra del Teatro Comunale di Bologna, le chef français Frédéric Chaslin aborde avec la même élégance les divers styles qui composent le programme. Si on aurait parfois aimé – comme pour le ténor – un peu plus de mordant dans certaines pages, l’orchestre offre une belle variété de couleurs et une valorisation des pupitres qui enrichissent l’écoute de ces œuvres que l’on prend plaisir _ oui _ à découvrir ou redécouvrir.

Giacomo Puccini (1858-1924) : « Adieu, séjour fleuri » extrait de Madama Butterfly ; « Ô de beautés égales dissemblance féconde ! » extrait de Tosca.

Gaetano Donizetti (1797-1848) : « Pour me rapprocher de Marie » extrait de La Fille du régiment ; « Ange si pur que dans un songe » extrait de La Favorite ; « Seul sur la terre » extrait de Dom Sébastien, Roi de Portugal.

Giuseppe Verdi (1813-1901) : « Fontainebleau ! forêt immense et solitaire », « Je l’ai vue », « Le voilà ! c’est l’enfant ! – Ô mon Rodrigue ! », « Dieu, tu semas dans nos âmes » extraits de Don Carlos ; « L’Emir auprès de lui m’appelle » et « Je veux encore entendre ta voix » extrait de Jérusalem ; « Ô toi que j’ai chérie » extrait des Vêpres siciliennes.

Gaspare Luigi Pacifico Spontini (1774-1851) : « Qu’ai-je vu ! … Julia va mourir ! » extrait de La Vestale.

Luigi Cherubini (1760-1842) : « C’en est donc fait, plus d’espérance ! » et « C’est de toi, ma Délie, que dépendait mon sort » extrait d’Ali Baba.

Pietro Mascagni (1863-1945) : « Amica ! Vous restez à l’écart … » et « Pourquoi garder ce silence obstiné ? » extrait d’Amica.

Benjamin Bernheim, ténor ;

Orchestra del Teatro Comunale di Bologna, direction : Frédéric Chaslin.

1 CD Deutsche Grammophon réalisé en coopération avec le Palazzetto Bru Zane – Centre de musique romantique française.

Enregistré au Teatro auditorium Manzoni de Bologne en avril 2021.

Texte de présentation en français, anglais et allemand.

Durée : 59:13

La profondeur du charme _ tant de la splendeur du timbre de ténor que de cette conduite admirable, si aisée, de l’art maîtrisé du chant en français _ emportant tout…

Ce dimanche 1er mai 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

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