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Retour, ce jour, à élargir la connaissance la plus sensible de l’oeuvre musical d’Adriaen Willaert (suite 3) : des podcasts et des vidéos très prenants, ainsi que quelques précieuses précisions sur les diverses performances (vidéos et podcasts de concerts, disques vinyle, CDs, vidéos de pièces diverses disponibles seulement sur le web…) par l’excellentissime Ensemble Dionysos Now ! de Tore Tom Denys, et sa grâce miraculeuse…

09août

 

En continuant dans le sillon de mes précédents articles « « ,

« « ,

« »,

« « ,

« «

et « « ,

je désire revenir, ce jour mercredi 9 août 2023, apporter des précisions _ et aussi un peu d’ordre _ sur les diverses performances de l’Ensemble Dionysos Now ! _ « With the wise words of Winston Churchill in mind « Never waste a good crisis », Denys started studying the scores of his fellow townsman Adriaen Willaert during the lockdown and so he rediscovered the wonderful music of this Venetian chapel master over the past few months. A new initiative was born : Dionysos Now! Vienna is a brand new project that aims to spread the magnificent heritage of Adriaen Willaert. With Dionysos Now!, Tore would like to demonstrate that Renaissance vocal polyphony is very captivating music that deserves to be appreciated by a wider audience » déclare significativement Tore Tom Denys, son créateur, en 2020, en une intéressante présentation de ce projet qu’il construit depuis pièce à pièce… _,

performances jusqu’ici diversement accessibles _ bien trop incommodément !, cela frôlant même de près l’absurdité éditoriale ! _, et toutes consacrées à des œuvres (Messes, Passion, Motets, Villanesche, Madrigaux, Chansons…) d’Adriaen Willaert (Roeselare, ca. 1490, Venise, 7 décembre 1562) :

_ soit matériellement en disques vinyle :

les disques « Adriano 1 » (Evil Penguin EPRC 0041), « Adriano 2 » (EPRC 0043), et « Adriano 3 »  (EPRC 0047) ;

_ ou matériellement encore  _ et c’est plus commode ! _ en CD : le CD « Adriano 4 » (EPRC 0054) ;

_ soit informatiquement en vidéos de concerts enregistrés, accessibles sur le web seulement :

la saisissante vidéo (d’une durée de 26’05) _ ou son alternative (d’une durée de 26’14) _, d’un enregistrement sans public, à l’occasion de la tenue, en l’église Saint-Jacques, à Gand, de l’exposition Honoré d’O, de l’admirable « Missa  »Mittit ad virginem »« , le 27 décembre 2020,

dont les 7 interprètes sont : Terry Wey, superius ; Bernd Oliver Frölich, alto-tenor ; Jan Petryka, tenor ; Julian Podger, tenor ; Tore Tom Denys, tenor ; Tim Scott Whiteley, baritone ; et Joachim Höchbauer, bass ;

ainsi que le film-vidéo intitulé « Live in Venice » (d’une durée de 59’50) comprenant surtout le concert enregistré, en public cette fois _ et en une acoustique hélas moins précise, plus confuse _, à la Scuola grande di San Marco, de Venise,

dont les 7 interprètes sont : Filip Damec, countertenor ; Bernd Oliver Frölich, ténor ; David Munderloh, tenor ; Julian Podger, tenor ; Tore Tom Denys, tenor ; Tim Scott Whiteley, bass-baritone ; et Simon Whiteley, bass ;

_ soit informatiquement encore en podcasts accessibles sur le web de diverses pièces chantées : Motets, Canzoni Villaresche, Madrigaux, d’Adriaen Willaert _ en de très précieuses prises pas toutes disponibles, et c’est dommage !, sur les disques vinyle (« Adriano 1« , « Adriano 2« , « Adriano 3« ), ni sur le CD (« Adriano 4« ), tels qu’ils ont été publiés jusqu’ici par le label Evil Penguin Records Classical ;

dont je possède, par ailleurs, de lumineux CDs Weinberg !..

Sur le CD « Adriano 4 » (EPRC 0054),

dont les 7 interprètes sont : Franz Vitzhum, countertenor ; Bernd Oliver Frölich, tenor ; Jan Petryka, tenor ; Tore Tom Denysn tenor ; Tim Scott Whiteley, bass-baritone ; Pieter Stas, bass ; et Joachim Höchbauer, bass ;

sont présentes 4 œuvres, accessibles aussi en podcasts sur le web :

d’une part, la splendide « Passio Domini nostri Jesu Christe secundum Joannem » (d’une durée de 49’30), et, d’autre part, 3 Motets : « Tristis est anima mea » (3’26), « Ecce lignum crucis – Crux fidelis » (5’39) et « Da pacem Domine » (2’24).

Mais, absents de ce CD _ pour des raisons qui m’échappent ! _,  sont cependant accessibles en podcasts sur le web, 3 autres Motets : « Infelix ego«  (6’45), « Flete oculi » (4′ 12) et « Dulces exuviae » (3’50).

Du disque vinyle « Adriano 1 » (EPRC 0041), sont accessibles sur le web les 10 podcasts suivants,

dont les 5 premiers nous font écouter la magnifique Missa « Mittit ad virginem »  : 1. Kyrie Eleison (3’42) ; 2. Gloria (4’45) ; 3. Credo (8’05) ; 4. Sanctus – Benedictus (5’36) ; 5. Agnus Dei (5’55) ;

celui du « Choral Hymnus Mittit ad virginem » (3’38) ;

ainsi que ceux de 4 Motets : « Mittit ad virginem » (9′ 53) ; »O Gloriosa Domina » (4’47) ; « Ave Maria » (4’09) ; et « Beata Viscera » (3’51).

Du disque vinyle « Adriano 2 » (EPRC 0043), sont accessibles sur le web les 14 podcasts suivants,

dont les 5 premiers nous font écouter la Missa « Sex vocum super Benedicta«  : 1. Kyrie Eleison (3’36) ; 2. Gloria (5’22) ; 3. Credo (7’24) ; 4. Sanctus (5’37) ; 5. Agnus Dei (3’35) ;

celui du « Kyrie cunctipotens Genitor Deus » (5’58) ;

et ceux des Motets : « Regina coeli » (1’11) ; « Maria Mater Domini » (6’36) ; « In diebus illis » (5’05) ; et « Venator lepores » (5’21) ;

ainsi que ceux des Villanesche : « O dolce vita mia » (5’10) ; et « A quand’a quand’haveva » (2’32) ; ainsi que ceux du madrigal « Passa la nave » (4’39) et de la chanson « A la fontaine du prez » (2’24).

Du disque vinyle « Adriano 3 » (EPRC 0047), sont accessibles sur le web les 11 podcasts suivants,

dont les 5 premiers nous font écouter la Missa « Ippolito«  : 1. Kyrie (3’23) ; 2. Gloria (4’47) ; 3. Credo (7’16) ; 4. Sanctus (6’17) ; 5. Agnus Dei (4’23) ;

ceux des Motets : « Adriacos numero » (5’02) ; « Si rore Aonio » (5’47) , « Haud aliter pugnans » (2’43) ; et « Victor Io salve » (5’23) ;

et ceux des Chansons : « Quando di rose d’oro » (2’29) ; « Qui boyt et ne reboyt » (0’55).

J’y joins aussi quelques précieuses vidéos _ peut-être en existe-t-il d’autres que je n’ai pas su dénicher jusqu’ici sur le web… _  de pièces prises aussi en concert par Evil Penguin TV :

_ « A quand’a quand’haveva una vicina » (d’une durée de 2’43).

_ « O dolce vita mia » (d’une durée de 5’36).

Des réalisations assurément marquantes : très prenantes musicalement par leur intime, directe, et transcendante intensité :

à écouter et regarder ici-même, par ces divers liens en rouge

Et le lien tout spécial qui unit le chef et chanteur très inspiré et très juste qu’est Tore Tom Denys _ né à Roeselare, en Belgique, en 1973, et installé à Vienne, en Autriche, depuis 1998 _, au génie musical d’Adriaen Willaert,

tient peut-être à leur commun lieu de naissance _ flamande _, à Roselaere-Roulers _  une cité située à mi-chemin entre Bruges, Gand et Lille…

D’où la probable décision de Tore Tom Denys de ne plus se contenter de chanter au sein de l’Ensemble Cinquecento, dont il est un des membres fondateurs, à Vienne, en 2004, et auquel il demeure fidèle,

et dont il est très activement partie prenante, spécialement dans le très beau et passionnant _  lire aussi son très précis livret, aux pages 11 à 16, rédigé par Katelijne Schiltz, en 2010… _ CD Hyperion CDA67749 « Adrian Willaert Missa Mente tota & Motets » _ la « Missa Mente tota » à six voix pourrait avoir été écrite par Willaert durant son séjour à Rome, en 1514-1515, lorsque celui-ci était au service du cardinal Ippolito I d’Este (Ferrare, 1479 – Ferrare, 1520) ; et à partir du Motet à quatre voix « Mente tota« , de Josquin des Prez, composé par Josquin en sa période milanaise, des années 1480 (présent à la plage 1 de ce CD, et d’une durée de 4’04) ; quant aux 5 motets de Willaert présents sur ce vraiment passionnant CD, il s’agit des Motets « Laus tibi, sacra rubens« , « Creator omnium, Deus« , « O iubar, nostrae specimen salutis« , « Verbum bonum et suave » et « Quid non ebrietas ? » dont les durées respectives sont, en ce CD, de 4’41, 3’16, 11’34, 7’08 et 1’56... _, enregistré à St Wolfgang-bei-Weitra, en Autriche en juin 2009 _ les 5 autres chanteurs de ce CD, en plus de lui-même, étant Terry Wey, Jakob Huppmann, Thomas Künne, Tim Scott Whiteley et Ulfried Staber _,

mais de créer aussi, au moment des confinements pour le Covid en 2020, et tout spécifiquement pour chanter Adriaen Willaert, un ensemble ad hoc, qu’il a jubilatoirement intitulé « Dionysos Now ! » _ consultez cette page ! _, pour des programmes exclusivement consacrés à la musique d’Adriaen Willart, qu’il a très simplement baptisés : « Adriano 1« , « Adriano 2« , « Adriano 3« , « Adriano 4« , et bientôt « Adriano 5« , etc.

Et en osant espérer que tous ces enregistrements _ d’œuvres d’Adriaen Willaert, par l’ensemble Dionysos Now ! _, véritablement sublimes qu’ils sont !, seront prochainement disponibles, et en entier, aussi en CDs…

Ce mercredi 9 août 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Elargir la connaissance de l’oeuvre musical d’Adriaen Willaert (suite) : écouter les « Motets » (et apprendre l’existence des « Madrigaux de Pétrarque ») parus en sa riche « Musica Nova » de 1559…

05août

Dans le sillon de mes articles

d’avant-hier « « 

et plus encore hier «  « , en conclusion duquel je m’interrogeais de « l’étonnant _ inquiétant ? _ si petit nombre d’enregistrements disponibles d’une telle merveilleuse sublime musique _ par exemple en comparaison de l’abondance (et disponibilité) discographique, ainsi que degré de qualité de CDs, de l’œuvre d’un génie tel que Josquin Després (1450 – 1521) ; cf mon article du 12 octobre 2020 : «  » … _d’un maître tel qu’Adriaen Willaert (1490 – 1562) pourtant ô combien décisif, lui aussi, dans le devenir de la musique européenne, à la Renaissance…« 

je me suis enquéri plus avant, déjà, de ce qu’avait été la discographie de ce maître, Adriaen Willaert, une discographie qui m’avait en partie échappée jusqu’ici, du fait d’une certaine cécité de ma part, je dois bien le reconnaître, alors que je m’étais passionné pour la discographie du grand Josquin des Prés (ca, 1450 – 1521), ainsi que pour celle d’un Pierre de la Rue (1460 – 1518) et d’un Nicolas Gombert (ca. 1495 – ca. 1556), par exemple, à l’occasion de l’écoute absolument éblouie, en 1988, d’un CD consacré à la « Missa L’homme armé » de Pierre de la Rue et deux Motets, »Musae Jovis » et « Lugebat David Absalon« , de Nicolas Gombert, soit le CD Kontrapunkt 32008 2, de l’ensemble Ars Nova, dirigé par l’excellent chef danois Bo Holten

J’ai ainsi pu découvrir ce jour l’existence de deux albums Willaert par l’Ensemble vocal allemand Singer Pur, et pour le label Œhms :

_ l’un double, paru le 27 octobre 2009 :

le double CD OC 814 « The Petrarca Madrigals« … _ sur des poèmes de Pétrarque (1304 – 1374)avec, ici, le commentaire suivant de ce double CD (de 121′ 40) par Johan van Veen;

_ et l’autre triple, paru le 25 février 2013 :

le triple CD OC 835 « The Motets«   _ à écouter dès maintenant ici grâce à ces trois liens-ci : 1 (74′ 28), 2 (74′ 23) et 3 (76′ 38)... _,

à partir de leur recueil commun « Musica Nova« , publié avec un grand retentissement par Adriaen Willaert en 1559.

Ce samedi 5 août 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Musiques de joie : la grâce humble et retenue de Marc-Antoine Charpentier en ses Psaumes et Motets

30mai

La musique de Marc-Antoine Charpentier,

et cela quel qu’en soit le genre,

est instantanément reconnaissable,

en l’humilité rayonnante et sobre de sa grâce.

J’ai choisi ici, comme illustration musicale, de cette grâce musicale religieuse

paisiblement irradiante 

_ et après audition de toute la discographie carpentiérienne de Sébastien Daucé _,

le choix de Psaumes et Motets de Marc-Antoine Charpentier (1643 – Paris, 24 février 1704)

intitulé O Maria !

soit le CD Zig-Zag-Territoires 100601, produit en 2010,

de l’Ensemble Correspondances,

dirigé par Sébastien Daucé.

Et plus particulièrement

In odorem Unguentorum (H. 51),

Beati omnes qui timent Dominum (H. 178),

et O sacramentum pietatis (H. 274).

Ou l’art appris à Rome de Giacomo Carissimi

(Marino, 18 avril 1605 – Rome, 12 janvier 1674)

adapté à la tendresse française...

Ce samedi 30 mai 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Musiques de joie : le trésor fabuleux des slendeurs extatiques de la musique religieuse de Zelenka. Par exemple, le Miserere ZWV 57, par Il Fondamento de Paul Dombrecht ; et les Lamentationes Jeremiae Prophetae SWV 53, par le Collegium Marianum de Jana Semeradova…

16avr

Voici mon deuxième jour à explorer _ et surtout à l’oreille ! _ le copieux fonds

de ma discothèque de CDs de musique religieuse de Jan-Dismas Zelenka

_ une quarantaine de CDs à Zelenka seul consacrés… _

à la recherche comparative,

et bien difficile, tant s’y bousculent les splendeurs !,

des meilleurs exemples à pouvoir donner à partager ici

de musiques de joie

de ce très généreux compositeur vraiment génialissime

_ si absurdement ignoré, inconnu, de tant de mélomanes, encore :

une abominable étrangeté, totalement inexplicable à mes oreilles !..

J’ai découvert la musique religieuse de Zelenka

_ à commencer par ces splendides nombreuses Messes pour la cour royale de Dresde

 les Messes répertoriées ZWV 1 (Missa Sanctae Ceciliae) à 21 (Missa Omnium Sanctorum, ou Ultimarum Sexta) ;

 

ainsi que la ZWV 22 (Missa Sancti Blasii) et la ZWV 23 (Missa…) ;

plus d’autres ajoutées plus tard, et numérotées ZWV 200, 213, 214, 215 ;

puis, plus tard encore, les Messes ZWV 240 (Missa Sanctae Conservationis), ZWV 241 (Missa Theophorica a 2 Cori) et ZWV 242 (Missa Tranquilli animi)… ;

mais existent encore bien d’autres (splendides !!!) pièces religieuses,

numérotées ZWV 26 (Kyrie, Sanctus, Agnus Dei) à ZWV 175 (l’oratorio Sub olea pacis     _,

au CD _ année après année, je guette leur parution ! _,

après m’être délecté au concert

de sa sublimissime musique instrumentale…

Les chefs dont je possède des CDs _ au nombre de 15 _ de ces Messes, sont :

Hans-Christoph Rademan

pour la Missa Dei Filii ZWV 20 ; soit le CD Raum Klang RK 9702, paru en 1997 ;

Frieder Bernius

pour la Missa Dei Filii ZWV 20 ; soit le CD Deutsche Harmonia Mundi RD 77922, paru en 1990 ;

pour la Missa Dei Patri ZWV 19 ; soit le CD Carus 83.209, paru en 2000 ;

pour la Missa Omnia Sanctorum ZWV 21 ; soit le CD Sony Classics 5081182, paru en 2002)

pour la Missa Votiva ZWV 18 ; soit le CD Carus 83.223, paru en 2010 ;

et pour la Missa Sancti Josephi ZWV 14 ; soit le CD Carus 83.279, paru en 2018 ;

Adam Viktora

pour la Missa Purificationis ZWV 16 ; soit le CD Niribu 0147-2211, paru en 2007 ;

et pour la Missa Paschalis ZWV 7 ; soit le CD Niribu 0158-2231, paru en 2013 ;

Vaclav Luks

pour la Missa Votiva ZWV 18 ; soit le CD ZZT 0080801, paru en 2007 ;

et pour la Missa Divi Xaverii ZWV 12 ; soit le CD Accent AC 24301, paru en 2015 ;

Nikolo Sokoli

pour la Missa Nativitatis Domini ZWV 8 ; soit le CD Genuin GEN 11213, paru en 2011 ;

Marek Stryncl

pour la Missa Nativitatis Domini ZWV 8 ; soit le CD Supraphon SU 4111-2, paru en 2012 ;

et pour la Missa Sanctissimae Trinitatis ZWV 17 ; soit le CD Matous 0017-2 231, paru en 1994 ;

Raimund Ruegge

pour la Missa Circumcisionis ZWV 11 ; soit le CD Swiss Pan 510013, paru en 1982 ;

et Ruben Jais

pour la Missa Omnia Sanctorum ZWV 21 ; soit le CD Glossa GCD 924103, paru en 2019.

Et je me garderai bien de passer complètement ici sous silence

les autres compositions de musique religieuse,

le plus souvent sublimes,

interprétées par les chefs déjà mentionnés ci-dessus :

Hans-Christoph Rademann :

pour le Te Deum ZWV 146, in le CD Carus 83.148, paru en 2000 ;

Vaclav Luks :

pour l’oratorio I Penitenti al Sepolcro del Redentore ZWV 63, soit le CD ZZT 090803, paru en 2009 ;

pour le Requiem ZWV 46 et l’Officium defunctorum ZWV 47, soit le double CD Accent ACC 24244, paru en 2011 ;

pour les Lamentationes Ieremiae Prophetae ZWV 53 et les Responsoria pro hedmomada sancta ZWV 55, soit le double CD Accent ACC 24259, paru en 2012 ;

et pour les motets Sub tuum praesidium ZWV 157 / 1, 2 et 3 ; et les Sanctus et Agnus Dei ZWV 34 et 36, in le CD Supraphon SU 4160-2, paru en 2013 ;

Adam Viktora :

pour l’oratorio Il Serpente di bronzo ZWV 61, soit le CD Nibiru 0146- 22&&, paru en 2005 ;

Marek Stryncl :

pour pour l’oratorio Sub olea pacis et palma virtutis ZWV 175, soit le double album Supraphon SU 3520-2 232, paru en 2001 ;

et plusieurs autres d’au moins égale qualité :

Masaaki Suzuki

pour les Magnificat ZWV 107 et 108, in le CD Bis CD 1011, paru en 1999 ;

Paul Dombrecht

pour le De Profundis ZWV 50, le Miserere ZWV 57 et le Requiem ZWV 48, soit le CD Passacaille 9528, paru en 1999 ;

Marcel Ponseele

pour des Lamentationes (la première du Jeudi saint et la Seconde du Samedi Saint), in le CD Passacaille 977, paru en 2012 (avec le magnifique Damien Guillon) ;

et aussi la magnifique Jana Semeradova

pour les Lamentationes Jeremiae Prophetae ZWV 53, soit le CD Supraphon SU 4173-2, paru en 2014 (avec le Collegium Marianum, et Damien Guillon, alto, Daniel Johannsen, tenor, et Tomas Kral, basse : tous les trois extraordinaires !) ;

et les Cantates Immisit Dominus Pestilentiam, ZWV 58, Attendite et videte, ZWV 59 et Deus dux fortissime, ZWV 60, soit le CD Supraphon SU 4068-2, paru en 2011.

Face à mon très grand embarras du choix

j’opte

1°)

pour une courte _ et très suggestive _ vidéo de l’enregistrement du si beau CD _ Supraphon SU 4173-2 _ des Lamentationes ZWV 53, à Prague, en l’église de la Vierge Marie sous la Chaîne, au mois de mai 2014, par le Collegium Marianum, Damien Guillon, Daniel Johannsen et Tomas Kral, sous la direction de Jana Semeradova ;

et 2°)

pour un podcast du si émouvant Miserere en do mineur, ZWV 57 _ in le CD Passacaille 9528 _, par Paul Dombrecht, dirigeant son toujours merveilleusement acéré Il Fondamento, en l’église du Béguinage de Lier, en septembre 1998. 

Découvrir la musique de Jan-Dismas Zelenka

est un bonheur absolu

_ autant que quasi inépuisable : au fur et à mesure de la parution de CDs,

ou de la chance de pouvoir assister à quelque concert programmant cette musique enchantée…

Ce jeudi 16 avril 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Approfondir par le CD la connaissance de l’oeuvre du compositeur Franz-Xaver Richter (1709 – 1789)

27jan

L’édition discographique nous donne, de temps en temps, une occasion d’approfondir la connaissance

de l’œuvre musicale de compositeurs tout à fait remarquables,

mais dont la renommée ne déborde pas assez souvent le premier cercle des interprétes 

ou de mélomanes un peu connaisseurs.


Ainsi en va-t-il de l’œuvre de Franz Xaver Richter

(Holešov, 1er décembre 1709 – Strasbourg, 12 septembre 1789).


Ainsi est parue au mois d’octobre dernier un CD Supraphon SU 42742

comportant les Motets Super Flumina Babylonis et Miserere,

par le Czech Ensemble Baroque

dirigé par le chef Roman Valek.


Les musiciens de Bohème-Moravie-Slovaquie de l’ère baroque

me plaisent tout particulièrement ;

et j’essaie de ne pas laisser passer les CDs

permettant d’accéder à l’écoute de leurs œuvres...

C’est grâce à un article, hier, de Res Musica,

et sous la plume de Maciej Chiżyński,

Franz-Xaver Richter, découverte d’un important compositeur morave,

que j’ai pris connaissance de cette récente parution !

Franz Xaver Richter, découverte d’un important compositeur morave

 

Ce n’est là certes pas le tout premier CD comportant des œuvres de ce Franz-Xaver Richter

à accéder à l’enregistrement discographique !!!

_ par exemple, je possède dans ma discothèque,

par le même Ensemble et le même chef,

le CD Supraphon 2402-2 : La Deposizione dalla Croce di Gesu Cristo, Salvator Nostro

et le CD Supraphon 4240-2 : Te Deum (de 1781), Exsultate Deo, la Sinfonia n°52 en ré majeur et un Concerto pour hautbois en fa majeur.

Et aussi, par le casalQuartett, un double album Solo Musica SM 184 des 7 Streichquartette op. 5, intitulé Genesis 1757

mais ce compositeur a joué un rôle important dans la diffusion en France

des musiques de ce très remarquable répertoire baroque-là.

Ce lundi 27 janvier 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

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