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Ecouter aussi l’interprétation du Concerto RV 278 composé en Bohème par Vivaldi par Giuliano Carmignola et Andrea Marcon dirigeant le Venice Baroque Orchestra en 2004…

25fév

Pour répondre à l’interrogation finale de mon article «  » d’hier samedi 24 février,

je n’ai réussi à dénicher ce matin dans ma discothèque personnelle vivaldienne qu’un seul et unique enregistrement discographique _ à Manzano (Udine) au mois de mai 2004 _ du Concerto pour violon seul RV 278 d’Antonio Vivaldi par Giuliano Carmignola,

et avec Andrea Marcon dirigeant le Venice Baroque Orchestra,

en un extraordinaire et merveilleux CD Archiv 0002894745172 intitulé « Vivaldi – Locatelli – Tartini – Concerto Veneziano« , enregistré à Manzano (province d’Udine) au mois de mai 2004.

En voici un magnifique podcast (de 14′ 50),

comportant à l’image, la partition originale de Vivaldi, sur un papier de Bohème, laissant penser que l’œuvre a pu être effectivement composée là-bas par Vivaldi lors d’un voyage et séjour en 1730-1731…

Jusqu’ici, je n’ai pas trouvé sur le web de vidéo ou de podcast de l’enregistrement de Théotime, à l’Arsenal de Metz, au mois de mai ou au mois de juillet 2022, avec Le Consort, de ce magistral bouleversant Concerto RV 278

Pour en donner une petite idée,

voici le très éloquent commentaire qu’en a fait, en 2004, dans le livret du CD Archiv, Claude-Roger Travers, à propos des liens entre Antonio Vivaldi (Venise, 4 mars 1678 – Vienne, 28 juillet 1741) et cet autre compositeur vénitien qu’est Giuseppe Tartini (Pirano, 8 avril 1692 – Padoue, 26 février 1770) :

« Vivaldi, l’instinctuel, le passionné, ne théorisait pas, il composait. Et Tartini eût été bien surpris de découvrir qu’en 1730, à l’aube de ses propres concepts, un concerto bouleversant comme celui en mi mineur RV 278 pouvait naître de la plume de son vieux rival.

L’Allegro molto initial raconte une histoire. L’orchestre, héraut du drame, développe l’idée narrative principale, puis entre le soliste, héros digne et désespéré. Les harmonies douloureuses, les trilles en suspens, parlent d’amour. En confidence d’abord, en moments animés ensuite, alternant phrases exaltées et longues tenues expressives. Puis, solo après solo, les chromatismes tournent à la plainte, jusqu’au tutti conclusif, où les cordes font écho à sa peine.

Le Largo est un des sommets de tout l’art vivaldien _ rien moins ! Dix mesures durant, inexorables, sur un rythme de doubles croches pointées pratiquement ininterrompues, les couleurs harmoniques changeant imperceptiblement, une scène en clair-obscur se dévoile. Le soliste entre et chante un thème d’une beauté indicible. Simplicité et parfait équilibre de structure : une sorte d’idéal tartinien miraculeusement exprimé avant le lieto fine consolateur de l’Allegro final.
Allegro final où l’espoir renaît dans un discours plus rêveur au débit tantôt lâche tantôt serré« …

Maintenant, il faut comparer les âges respectifs des deux violonistes solistes, Théotime et Giuliano, au moment, en mai ou juillet 2023, à Metz, et mai 2004, à Manzano :

né à Céret le 11 novembre 1995, Théotime Langlois de Swarte avait 27 ans ; 

et né à Trévise le 7 juillet 1951, Giuliano Carmignola avait 52 ans.

L’enregistrement de Giuliano Carmignola, prodigieux _ quasi miraculeux de présence ! _ exprime une merveilleuse maîtrise à la fois sédimentée de toute son expérience vivaldienne, et plus que jamais pleine d’audace _ cf aussi son somptueux triple album Arcana A 550 « The three seasons of Antonio Vivaldi« , enregistré en janvier, février et mars 2023, à Abbiategrasso, avec l’Accademia dell’Annunciata dirigée par Riccardo Doni (cf mon article «  » du 1er novembre 2023)… _,

alors que l’enregistrement de Théotime Langlois de Swarte, fougueux et déjà éminemment poétique, exprime la jubilation de l’approfondissement de sa découverte progressive de l’univers vivaldien, en une très large ampleur et profondeur de champ… Et c’est déjà beaucoup !

Ce dimanche 25 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

La merveille discographique des deux Rhapsodies pour violon et orchestre de Bela Bartok, idéalement endiablées par le violon magique de Frank-Peter Zimmermann et le parfait orchestre symphonique (presque pragois) de Bamberg sous la direction idoine du chef tchèque Jakub Hrusa…

14jan

C’est une véritable merveille discographique que les deux Rhapsodies pour violon et orchestre (Bb 94b et 96b) de Bela Bartok, idéalement endiablées par le violon profond et transcendant  de Frank-Peter Zimmermann et le parfait orchestre symphonique (presque pragois) de Bamberg sous la direction idoine du chef tchèque Jakub Hrusa,

que vient nous servir, en un somptueux CD « Stravinsky- Bartok -Martinu«  _ le CD Bis SACD 2657 _ le très ecellent label Bis…

Et si je mets ici en exergue l’interprétation transcendante des deux « Rhapsodies pour violon et orchestre » de Bela Bartok _ écoutez cette entame ; et sa suite _,

c’est seulement et simplement du fait de mon très fort tropisme personnel bartokien ;

et en rien pour diminuer la jubilation éprouvée aussi à l’écoute, en ce CD, du « Concerto pour violon et orchestre » de Stravinsky, un pur chef d’œuvre ;

ni celle pour l’œuvre un peu moins courue qu’est la « Suite concertante » de Bohuslav Martinu, en sa seconde version ;

complétée d’ailleurs ici par une « Méditation » issue la version originale de cette « Suite concertante« .

Une merveille de réalisation !

Qui nous transporte…

Et avec quelle prise de son ! 

Ce dimanche 14 janvier 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Après le visionnage sur DVD du splendide « Tre Piani » (de 2021), poursuite de ma cure de rattrapage de découverte des plus récents films de Nanni Moretti, éternellement jeune : « Mia madre » (de 2015), puis « Vers un avenir radieux » (de 2023)…

16nov

Le très grand plaisir pris au visionnage sur DVD de « Tre Piani«  _ cf mes 2 articles «  » et «  » de samedi 11 et dimanche 12 novembre derniers…  _, ce splendide film sorti sur les écrans en 2021 _ et pour la première fois d’après un scénario à partir d’un roman, le « Trois étages » de l’israëlien Eshkol Nevo _

m’a incité très vivement à découvrir les films de Nanni Moretti ayant précédé et suivi celui-ci,

soient « Mia madre » (sorti en 2015) _ je disposais déjà de son DVDet « Vers un avenir radieux » (sorti en 2023) _ je me suis empressé de m’en procurer le DVD : d’autant qu’il vient tout juste de sortir, ce 2 novembre… _ ;

deux films qui déstabiliseront un peu moins, à coup sûr, les amateurs de la forme d’humour reconnaissable entre toutes, et universellement appréciée, de Nanni Moretti _ même si « Mia madre » est tout de même très sombre ; et  « Vers un avenir radieux«  loin d’être uniformément joyeux…

Deux films sur un scénario, de nouveau, et c’est très reconnaissable !, de Nanni Moretti lui-même…

Et Nanni Moretti précise dans les compléments du DVD de « Vers un avenir radieux« , que le projet de ce film avait immédiatement succédé à la réalisation de « Mia madre« , avait été interrompu pour la réalisation de « Tre Piani« , et repris et réalisé après la sortie de « Tre Piani« …

On comprend d’autant mieux ainsi que « Vers un avenir adieux » et « Mia Madre » soient comme les deux faces d’une même trame scénaristique :

les difficultés du cinéaste _ interprété une fois par Margherita Buy en « Mia Madre » et l’autre fois par Nani Moretti lui-même en « Vers un avenir radieux«  _ à surmonter, et cela au jour le jour, les difficultés ou bien internes au sujet même du film à réaliser (il s’agit de luttes sociales en une entreprise, pour « Mia Madre« ), et les tergiversations des membres du Parti communiste italien  face à l’écrasement par Moscou de la révolution à Budapest en 1956, dans le film à réaliser là-dessus, soixante-dix ans plus tard, dans « Vers un avenir radieux« ,

ou bien les difficultés circonstancielles survenant dans la vie personnelle du cinéaste (la maladie et la fin de vie de la mère de la cinéaste _ interprétée par Margherita Buy  _, dans « Mia madre« , et les problèmes de couple (son épouse _ interprétée ici par Margherita Buy _ cherchant à quitter le cinéaste _ interprété ici par Nanni Moretti dans « Vers un avenir radieux » _,

ainsi que la difficulté professionnelle de la cinéaste à maîtriser les incartades _ à moitié comiques… _ de jeu d’un acteur _ interprété par un désopilant et horripilant à la fois, John Turturo _ n’en faisant qu’à sa tête, dans « Mia madre« … 

Ce qui très personnellement me plaît le plus dans « Vers un avenir radieux« ,

c’est la formidable magie poétique _ un peu à la Fellini, ou/et à la Jacques Demy… _ du ballet collectif se déroulant, au final, ici aussi, sur le site (de banlieue) du film à réaliser ;

et qui rejoint la scène magnifiquement euphorisante de la foule des danseurs de tango, rassemblés Via Giuseppe Montanelli, vers le final, là aussi, du splendide _ et de bout en bout dramatique… _ « Tre Piani« … 

Nanni Moretti est décidément un cinéaste très fin, et jubilatoire,

éternellement jeune…

Ce jeudi 16 novembre 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Pénétrer dans l’univers flamboyant, jubilatoire et plein d’humour, d’Hélène Cixous : quelques articles, et un entretien…

11juin

Pour pénétrer avec confiance et jubilation dans l’univers riche _ et un peu déstabilisant à la toute première approche : en l’élan forcément bousculant de sa forte singularité… _ d’Hélène Cixous,

mon article «  » du 7 avril 2023

me paraît pouvoir constituer une première entrée un peu commode,

en ce qu’il comporte aussi des liens aux 5 articles que j’ai consacrés à ma lecture, en octobre 2022, du « MDEILMM parole de taupe » d’Hélène Cixous, paru chez Gallimard au mois d’octobre 2022…

 

Cet article _ ainsi que les autres auxquels celui-ci s’emploie à donner accès par des liens _ peut donc être utilement communiqué aux élèves et étudiants qui s’intéresseraient à pénétrer un peu mieux et un peu plus avant dans l’œuvre si riche (et un peu complexe pour qui n’en est pas déjà un peu familier) d’Hélène Cixous…
Voir aussi mon article du 12 avril 2023, avec de précieux liens au podcast et à la vidéo de mon entretien avec Hélène Cixous, à la Station Ausone, le 23 mai 2019, à propos de son important « 1938, nuits » , de 2019, aux Éditions Galilée :
Cet entretien du 23 mai 2019 se révélant probablement un des meilleurs pour pénétrer l’univers magnifique et flamboyant (et plein d’humour), en la puissance de sa toute libre imageance, d’Hélène Cixous…
Ce dimanche 11 juin 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

A propos de l’indispensable legs, toujours à inlassablement réactiver, de la lucidité d’imageance poïétique des chefs d’oeuvre majeurs des génies de la littérature mondiale _ ou la profonde vérité du « Ce qui demeure, les poètes le fondent », de Friedrich Hölderlin…

23fév

En apostille-ajout à mon article du 14 février dernier « « ,

ceci,

et un peu « retravaillé » encore, à la relecture devenant ré-écriture _ à la Montaigne en ses indispensables « Essais » _,

qui me paraît mériter, à lui seul, ce petit tiré-à-part-ci d’aujourd’hui :

mon « Lire ‘Liquidation’ d’Imre Kertész, ou ce qui dure d’Auschwitz« , achevé de rédiger le 13 janvier 2006, est enfin redevenu accessible, grâce à Nathalie Georges-Lambrichs _ qui a réussi à le « récupérer » sur une ancienne sauvegarde sienne, qu’elle est, non sans difficulté (elle n’en avait plus le souvenir…), parvenue à réactiver : ouf ! immense merci à elle ! _, tel que j’ai, sur ce blog même, mis en ligne en mon article du 8 novembre 2022 : « « ,

où ce très long texte mien _ plus long, mais c’était absolument nécessaire, que le texte de Kertész, dont il est n’est qu’une modeste, mais exigeante, lecture-commentaire, et un patient déchiffrage… _ de lecture-commentaire-déchiffrage du « Liquidation » de Kertész,

est miraculeusement redevenu effectivement accessible _ il n’a finalement pas été « liquidé« , ouf !, réduit au pur néant, lui, par l’accident de mon précédent ordinateur (soudainement un jour kaput !) où je le conservais sans sauvegarde aucune… _ à de patientissimes lectures !!!  ;

ce très très grand texte de Kertész qu’est ce chef d’œuvre étourdissant _ en son époustouflante complexité archi-enchevêtrée d’écriture par lui, l’auteur, mais aussi de lecture, par nous, ses lecteurs : pour ne pas nous y perdre, il nous faut, à nous lecteurs, très sérieusement nous y accrocher ; et c’est ce très patient effort-là que s’efforce de retranscrire, avec jubilation aussi et surtout, mon texte de lecture-commentaire-patient déchiffrage… _, de « Liquidation« , se re-révélant hélas ces jours de maintenant plus prémonitoire que jamais _ « Ce qui dure d’Auschwitz » avais-je, et à mon tour comme prémonitoirement, sous-titré ce modeste mien « Lire ‘Liquidation’« , qui, et cela à mon vif étonnement (!), résiste fort bien à la relecture, 17 ans après sa rédaction, achevée le 13 janvier 2006 !.. _ avec le présent retour de l’incroyable barbarie déchaînée sur ces décidément malmenées _ Boutcha, Irpin, Marioupol, Bakhmout, etc. _ terres d’Ukraine ;

relire ici, du très grand historien américain Timothy Snyder, pour commencer, son indispensable lucidissime « Terres de sang : l’Europe entre Hitler et Staline » (et désormais Poutine !)

_ et relire aussi, éventuellement et superfétatoirement, mes articles de commentaire, celui très détaillé, du 26 juillet 2012 « « , et celui, synthétique et rétrospectif, lui, du 4 mars 2022 « « , sur ce magistral travail de l’historien Timothy Snyder en ce magnifique et plus que jamais indispensable « Terres de sang : l’Europe entre Hitler et Staline« …

Et où nous mesurons aussi _ et c’est à cela que je veux bien sûr en venir ici _, tout ce que nous pouvons devoir, voilà !, par nos lectures, à la lucidité de poïesis la plus fine et la plus juste sur le réel des plus géniaux écrivains,

tel, en cette occurrence-ci, un Kertész…

Oui, voilà bien ce qu’apporte l’imageance des plus grands génies visionnaires _ et je repense ici à ce qu’en présente ce dialogue essentiel et fondamental de Platon, à propos de la puissance propre du poétique, qu’est son petit Ion _, écrivains et artistes ;

et il nous est plus que jamais indispensable, à nous les lecteurs de ce qui demeure encore de ces génies, de venir toujours et à nouveau, et génération après génération, les lire, et revenir, de nouveau, de nouveau, et génération après génération, il me faut le redire, venir et revenir encore les lire et les relire, et les méditer, tant sont puissamment destructrices les forces d’effacement, de dénégation négationniste, ainsi, d’abord, que d’oubli !, à inlassablement combattre et renverser…

Car, de ces génies visionnaires,

les regards, via _ et c’est bien cela seul qui vraiment porte et transporte jusqu’à nous, d’abord inattentifs, et oublieux que nous sommes, de l’essentiel  _, leurs plus que jamais vivantes_ à dimension temporelle d’éternité, mais oui ! puisque d’éternité il n’y a réellement que dans le temps de vies humaines (mortelles, c’est là un pléonasme) : toute vie (sexuée du moins) passe, et est promise à passer un jour définitivement, et il appartient donc à chacun, individu de passage, d’apprendre le plus vite possible, tant qu’il est temps, à saisir au vol ce que vient très furtivement et très brièvement offrir et mettre à notre portée le généreux et très malicieux (et tranchant aussi !) Kairos… _ parlantes et vibrantes voix _ oui, les voix ! je dis bien les voix : qu’il nous appartient, à nous les lecteurs, d’apprendre à percevoir, recevoir, écouter, et alors clairement enfin entendre, en leurs ténus et fragiles souffles-respirations, ainsi qu’intonations et accents, même : ce qui est le propre du seul, mais puissant en ses effets, poïétique, du moins quand ces effets du poïétique sont effectivement bien reçus et intégrés par la conscience la plus lucide du lecteur à son intelligence actuelle des situations… _ précieusement maintenues ainsi activement parlantes, déposées qu’elles sont, pour ce moment du moins où elles subsistent et durent un peu pour nous, en livres, et en livres accessibles à la lecture, ainsi que, et surtout, à la pensée-méditation à venir du lecteur, dans les rythmes souples et colorés de ces phrases _ surtout , car c’est leur allure et leur rythme singuliers qui importent !_, lignes, pages de ces livres-là, nous demeurent donc ces regards via les voix, plus que jamais présents, ces extra-lucides regards-là visionnaires, via les voix parlantes et vibrantes de vie, il me faut le souligner, en l’éclat de la beauté, oui, de la beauté, de ces œuvres et chefs d’œuvre, qu’à nous, leurs potentiels _ en voie de devenir d’un peu plus effectifs, si possible… _ lecteurs, ils ont su, tel un infiniment précieux legs, nous laisser à venir méditer _ en dialoguant un minimum avec eux _ ; charge à nous de les écouter et les entendre, ces voix, et accéder, par leur écoute musicale, à ces regards perspicaces et vifs-là.

La vraie lecture étant un réel et très effectif _ wirklich, dit Hegel… _ dialogue :

un entretien actif _ de muses : à la François Couperin... _ des deux côtés, auteur et lecteur ainsi en dialogue _ les muses en dialogue, donc ; encore à la François Couperin… Et on peut comprendre ainsi, au passage, ce qui me rend aujourd’hui particulièrement impatient de la publication, le 6 juin prochain, aux Éditions du Canoë (de Colette Lambrichs), de l’ « Ut musica, ut poïesis«  du cher Michel Deguy ; comme pour continuer avec lui la conversation entamée à la Station Ausone le 9 mars 2017, autour de son vibrant « La Vie subite« … _, et entre lecteur et auteur, quand survient le miracle de cette grâce, voilà, de s’entendre vraiment l’un l’autre.

Immense merci donc à eux tous, ces plus grands des auteurs !!!

Pour l’imageance poïétique de leurs vibrantes musicales voix, toujours vivantes et parlantes, en acte _ quand leur puissance est ainsi un peu richement activée _, pour nous, quand nous lisons vraiment leurs grands livres…

Lire et lier, relire et relier, étant consubstantiels.

Ce jeudi 23 février 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

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