La très grande réussite, absolument enthousiasmante _ c’est en en écoutant, à ma demande expresse, des extraits, en découvrant ce tout nouveau CD en évidence sur la table des nouveautés de mon disquaire préféré ; et son écoute m’ayant immédiatement enthousiasmé, j’ai acheté le CD ! _, du CD Alpha 935 « Duello d’Archi a Venezia« , par la formidable violoniste Chouchane Siranossian, le Venice Baroque Orchestra sous la direction de son chef l’excellent Andrea Marcon, et comportant quatre superbes Concerti per violino, de Francesco-Maria Veracini (1690 – 1768), Pietro Locatelli (1695 – 1764), Antonio Vivaldi (1678 – 1741) et Giuseppe Tartini (1692 – 1770) _ avec un absolument irrésistible Concerto pour violon à cinq en Fa majeur D. 61 de Tartini… _,
m’a vivement incité à venir me pencher d’un peu plus près sur l’œuvre _ et la discographie présente en ma discothèque… _ de ce compositeur vénitien, natif de Pirano, en Istrie vénitienne, le 8 avril 1692, et qui décèdera à Padoue le 26 février 1770,
qui jusque là ne m’avait jamais vraiment enthousiasmé _ et il m’était difficile de dire pourquoi ; mais le fait était là, et bien là…
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Je voulais donc en avoir le cœur net !
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En faisant aussi le constat que Chouchane Siranossian, toujours avec ce même Venice Baroque Orchestra et Andrea Marcon, avait consacré un précédent CD « Tartini Violin Concertos« , le CD Alpha 596,
je me le suis donc aussitôt procuré…
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Et là, à nouveau, une endémique déception de ma part,
mais qui ne tient en rien à la qualité des interprètes _ et leur interprétation de cette musique _, Chouchane Siranossian, le Venice Baroque Orchestra, Andrea Marcon, toujours parfaits en leur incarnation au plus près des œuvres jouées,
mais bien à la musique même de Giuseppe Tartini, qui ne me touche décidément pas ! ;
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probablement une affaire d’époque _ tardive : post-baroque… _, ainsi que de style _ galant…
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L’ère de Vivaldi (1678 – 1741) venait donc irrémédiablement de passer !
Et nous quittions la vie virevoltante et admirablement contrastée _ les adagios de Vivaldi sont, eux aussi, à fondre et pleurer de larmes de plaisir !.. _, et nous abordions les prémisses d’un certain classicisme, plus gourmé et plus froid ;
et d’un certain romantisme, pleurnichard…
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Sur ce CD « Tartini Violin Concertos » Alpha 596, paru en 2020, et enregistré à Trévise en septembre 2019,
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lire les deux intéressants articles suivants,
le premier en date du 5 avril 2020, sous la plume de Jean Lacroix, sur le site de Crescendo, et intitulé « Chouchane Siranossian et Andrea Marcon dans Tartini : l’éblouissement » ;
et le second en date du 7 janvier 2021, sous la plume de Jean-Charles Hoffelé, sur le site de Discophilia, et intitulé « Apogée du violon » ;
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même si, pour ma part, je suis loin de partager hélas leurs enthousiasmes respectifs ! pour ce CD-là :
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LE 5 AVRIL 2020 par Jean Lacroix
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Giuseppe TARTINI (1692-1770) : Concertos pour violon et orchestre D. 44, 45, 56, 96 et Concerto en sol majeur.
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Chouchane Siranossian, violon ;
Orchestre baroque de Venise, direction : Andrea Marcon. 2020.
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Livret en français, en anglais et en allemand.
79.22.
Alpha 596.
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Il y a des disques dont l’audition vous donne la sensation de l’éblouissement _ certes, et très heureusement, bien sûr… La gravure de ces cinq concertos pour violon de Tartini est de ceux-là ! _ mais ce n’est pas mon cas, je dois en convenir. Ce CD exemplaire nous fait entrer dans un univers où tout semble à ce point couler de source _ oui, mais d’une source bien trop uniment mélancolique et auto-complaisante envers la tristesse, à mon goût : celle de la Venise (en décadence endémique…) de la seconde moitié du XVIIIe siècle... _ que cela relève du miracle musical. Les œuvres pour commencer, avec une première mondiale discographique à la clef, celle de ce Concerto en sol majeur non publié, découvert par la musicologue Margherita Canale, qui signe la très intéressante notice du livret. Cette dernière explique qu’il existe une copie manuscrite du XVIIIe siècle, conservée aux archives de la Cappella Antoniana de Padoue, et que l’analyse a permis de dater des années de maturité _ deTartini. Mais elle précise aussi que les _ quatre _ autres concertos _ de ce CD Alpha 596 _ « n’ont pas été _ eux non plus _ publiés du vivant du compositeur : ils appartiennent à différentes périodes de son évolution créatrice, et nous sont tous _ voilà _ parvenus sous forme de partitions autographes. » On lira avant audition les divers détails de la recherche et les considérations sur le matériau musical de ces différentes pages.
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Giuseppe Tartini, né à Pirano en Istrie _ actuellement et désormais en république de Slovénie _, étudie le violon en milieu ecclésiastique, puis le droit à l’Université de Padoue et se trouve mêlé à l’âge de 19 ans à des problèmes judiciaires après un mariage secret avec la protégée d’un Cardinal. Il doit fuir dans un monastère d’Assise, où il participe à l’orchestre de l’opéra. Blanchi, il va se retrouver à Venise, revenir à Padoue avant de voyager à Prague et de s’établir à nouveau sur la rivière Bacchiglione _ à Padoue. Violoniste d’exception, il se produit partout dans la Péninsule avant de devoir arrêter ses concerts pour des raisons de santé. Compositeur prolifique (plus de cent concertos pour le violon), mais aussi théoricien à la base de découvertes sur le son et ses interférences, il est connu avant tout _ en effet _ par une sonate _ virtuosissime _ qui porte le nom de « Trille du diable ». Le résumer à cela serait injurieux, car sa réputation était bien établie de son vivant pour la qualité de sa musique et pour son apport technique, notamment dans la tenue de l’archet. Comme le souligne la notice, « il fut aussi une référence culturelle du monde musical européen de l’époque ». On le comprend aisément en écoutant ce programme à la fois virtuose, brillant, riche au niveau de l’ornementation et de l’harmonie, avec en plus une intelligence confondante de l’accompagnement orchestral.
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La Franco-arménienne Chouchane Siranossian est née à Lyon en 1984. Elle s’est formée en Suisse, d’abord à Lyon avec Tibor Varga, puis à Zurich avec Zakhar Bron ; elle devient premier violon de l’Orchestre Symphonique de Saint-Gall. En 2009, elle se perfectionne au Mozarteum de Salzbourg avec Reinhard Goebel qui l’oriente vers la musique baroque, sans qu’elle néglige pour autant les créateurs de notre temps, comme en témoigne son premier CD pour le label Ohms où se côtoient des œuvres d’El Khoury, Tanguy, Rust, Stamitz et Leclair. Chez Alpha, on la retrouve en 2016 _ avec le CD Alpha 255 _ dans un programme intitulé « L’Ange et le Diable » où apparaît déjà Tartini, aux côtés de Locatelli, Leclair et Forqueray. Plus récemment, elle a interprété la première version du Concerto pour violon de Mendelssohn avec Anima Eterna Brugge. On a pu l’écouter l’an dernier au Festival de Wallonie dans plusieurs prestations, dont l’une avec Kristian Bezuidenhout. Le livret montre quelques jolies photographies de cette artiste rayonnante ; auprès d’Andrea Marcon, elle semble respirer la joie de vivre _ en effet, elle est rayonnante ! Ecoutez et regardez lee 2′ 39 de cette excellente vidéo… _ et de transmettre le message musical. C’est avec le fondateur de l’Orchestre Baroque de Venise, qui existe depuis 1997 et dont la réputation n’est plus à faire _ l’excellent, lui aussi, Andrea Marcon _, que l’idée est venue d’enregistrer, en septembre 2019, au Teatro Eden de Trévise, des concertos de Tartini. Une note, signée conjointement par la soliste et le chef d’orchestre, précise : « Nous avons la chance d’avoir une copie manuscrite des ornements originaux des deuxièmes mouvements des concertos D 44 et D 45. Les autres mouvements lents ainsi que les cadences ont été agrémentés en tâchant de rester fidèle au style _ propre _ de Tartini et s’inspirant de sa palette infinie de trilles, fioritures, rubatos, gammes, appoggiatures, messa di voce… ».
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Les partitions choisies sont un bel éventail de la créativité de Tartini à plusieurs moments de son évolution. Ce qui frappe tout au long du parcours, c’est la fraîche élégance des détails, la qualité des contrastes, mais surtout le déploiement du chant violonistique qui entraîne une atmosphère tour à tour intimiste _ surtout, en effet ; en rien extravertie : mélancolique même… _, émotionnelle et finement esquissée. A cet égard, les concertos D 44 et 45, cités plus avant, sont révélateurs de l’attention avec laquelle les protagonistes soignent l’architecture mélodique comme la ligne, que suggèrent les inscriptions autographes de la main du compositeur retrouvées sur les partitions et qui évoquent notamment le poète et librettiste Métastase (1698-1782) : la parole n’est pas loin, et elle se traduit aussi bien dans les murmures de l’archet que dans les accents sonores. On admirera les concertos D 56, aux allures ludiques, et D 96, traversé de courants bondissants ou langoureux _ surtout… Quant à l’inédit, comme l’explique Margherita Canale, la musicologue qui l’a découvert, il reflète la dernière phase compositionnelle de Tartini par « des accompagnements des passages solistes par les seuls violons I et II (sans basse) ».
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Qu’ajouter de plus ? On sort de cette expérience musicale comblé, ravi, enchanté _ pas moi, et je le regrette… _, avec, répétons-le, la sensation d’avoir vécu un miracle sonore servi par des partenaires exemplaires, dans une prise de son claire et précise. Un moment de grâce, tout simplement…
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Son : 10 Livret : 10 Répertoire : 10 Interprétation : 10
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Jean Lacroix
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L’admirable _ en sa réputation dans l’histoire de la musique, et parmi les musicologues, du moins _ corpus de concertos qu’a laissé Tartini effraye _ par ses réputés difficultés techniques, principalement… _ les violonistes depuis toujours, hélas, car dans son art à la fois évocateur et brillant, il aura porté à son apogée ce violon orphique qu’il aura ravi à Vivaldi _ hum, hum… _ et offert à Mozart par le truchement de son père _ et via le Padre Martini (Bologne, 24 avril 1706 – Bologne 3 août 1784) : Mozart et lui se sont rencontrés par deux fois chez lui à Bologne, lors du premier voyage de Mozart en Italie, de décembre 1769 à mars 1771…
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Dans le grand concert du XVIIIe siècle, aucun ensemble écrit pour le violon ne peut l’égaler _ mais selon quels critères, au juste ? de pure technique violonistique ? ou bien de musicalité ?.. _, si ce n’est ceux bien plus concis de Leclair et Mozart. Leclair _ Lyon, 10 mai 1797 – Paris, 22 octobre 1764 _, lui-même violoniste virtuose _ voilà donc ce qui a marqué les musicologues… ; mais pour ma part j’aime beaucoup tout l’œuvre de Leclair ! _, admira sans frein les opus de Tartini, et s’efforça comme lui d’effectuer cette transition du baroque vers le classicisme _ nous y voilà… Cela débuta donc assez tôt dans le siècle… ; après Vivaldi (décédé à Vienne en 1741), toutefois… _, que soulignent avec infiniment de subtilités Choucanne Siranossian et Andrea Marcon, ressuscitant le discours tissé de trilles, de gammes, d’appoggiatures qui font tout le sel de l’art _ mais quid de sa musicalité ? _, de Tartini.
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Les concertos sélectionnés ne sont pas parmi les plus courus, et s’y ajoute même un inédit enregistré en première mondiale, un Concerto en sol majeur retrouvé tout récemment _ par Margherita Canale _ à Padoue. Les teintes vénitiennes de ces interprétations élégantes _ certes, presque trop… _ mettent l’accent sur l’héritage vivaldien _ hum, hum… _, alors qu’au long du disque _ Ricercar RIC 414 _ d’Evgeny Sviridov _ mais qui ne m’a pas touché davantage, hélas ! _, ce sont des concertos de plus grand apparat qui sont choisis, majestueusement phrasés par l’archet généreux qui caresse un sublime violon signé par Januarius Gagliano : la profondeur de son médium, son aigu de voix humaine, donnent un relief saisissant _ j’y suis resté insensible ! _ au Concerto en ré majeur, le D. 24, où l’on croit la cadence du Finale de la main de Pisendel) : un grand concerto aux envolés magnifiques. Tout le disque est éblouissant _ pas à mes oreilles, ni à mon goût, hélas… _, autant par la virtuosité que par la poésie : écoutez seulement l’Allegro du Concerto en sol mineur où Evgueny Sviridov intègre un Capriccio de Nardini. Merveille de style galant _ voilà, nous y sommes : et c’est bien ce style galant qui m’agace et me déplaît souverainement… _, le Concerto en mi majeur inspire aussi au violoniste toute une poésie de babillages, trilles, gammes, appogiatures, qu’il lie d’un seul trait _ toujours le critère de la pure virtuosité technique du violon….
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Mais il faut aussi entendre Evgeny Sviridov délesté des décors de l’orchestre, découvrir _ en son CD « Giuseppe Tartini Sonatas Op. 1 » Ricercar RIC 391 _ l’autre face du génie de Tartini, qui donna naissance à d’étonnantes sonates narratives. Le jeune violoniste laisse de côté la plus célèbre (Le Trille du Diable), lui préférant la Didone abbandonata et sa poésie mélancolique _ voilà le trait hélas dominant (à la Dowland : « Semper Dowland, semper dolens« …) selon moi, de la musique de Tartini ; et qui m’y rend allergique… _, œuvre qui touche au sublime et qu’il joue avec une élégance folle. Le disque s’ouvre par une vocalise de violon inspiré par un poème du Tasse, et donne le ton d’un album fascinant où les trois musiciens ouvrent les portes de cet univers secret avec art. Un aussi beau doublé ne doit pas rester sans suite.
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Les ultimes Sonates que Tartini coucha dans la solitude de sa vieillesse sont des merveilles de nostalgie _ encore, et décidément : soit une anticipation de ce que sera même le romantisme pleurnichard… _ et d’invention, elles figurent au nombre de ses œuvres les moins courues. Pour en faire mieux sentir la singularité, David Plantier et Annabelle Luis _ en leur CD« Vertigo _ the last Sonatas« , le CD Muso MU040 ; dont l’écoute d’extraits ne m’a pas davantage séduit… _ contrastent les quatre ultimes opus avec une Sonate antérieure de trente année, et lui font succéder la Sonate en imitation de la guitare portugaise qui est l’un des ouvrages les plus étonnants jamais coulés de la plume du compositeur et dont les effets sont autrement poétiques que ceux du Trille du Diable. La singularité du génie de Tartini, parvenu à une liberté souveraine, et tirant des sonorités inouïes des deux instruments de la même famille, éclate tout au long de cet album précieux qui laisse espérer que le temps d’une juste réévaluation de son œuvre soit enfin venu.
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LE DISQUE DU JOUR
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Giuseppe Tartini(1692-1770)
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Concerto pour violon, cordes et basse continue en mi mineur, D. 56
Concerto pour violon en la majeur, D. 96
Concerto pour violon en ré mineur, D. 45
Concerto pour violon en sol majeur
Concerto pour violon en ré mineur, D. 44
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Chouchane Siranossian, violon
Venice Baroque Orchestra
Andrea Marcon, direction
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Un album du label Alpha 596
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Giuseppe Tartini
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Concerto pour violon en ré majeur, D. 24
Concerto pour violon en sol mineur, D. 85 (Op. 1 No. 1)
Concerto pour violon en la majeur, D. 89 (Op. 1 No. 6)
Concerto pour violon en mi mineur, D. 55
Concerto pour violon en mi majeur, D. 48
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Evgeny Sviridov, violon
Millenium Orchestra
Un album du label Ricercar RIC414
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Giuseppe Tartini
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Sonate XV en sol majeur, B. G3 « del Tasso »
Sonate X en sol mineur, B. g10 detta « Didona abandonata »
Sonate XII en fa majeur, B. F4
Sonate V en mi mineur, B. e6
Sonate XVII en ré majeur, B. D2 « del Tasso »
Pastorale en la majeur, B. A16
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Evgeny Sviridov, violon
Davit Melkonyan, violoncelle
Stanislav Gres, clavecin
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Un album du label Ricercar RIC391
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Giuseppe Tartini
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Vertigo – The Last Violin Sonatas
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Sonate pour violon et violoncelle en la mineur, Brainard a8
Sonate pour violon et violoncelle en la majeur, Brainard A4
Sonate pour violon et violoncelle en ré mineur, Brainard D19
Sonate pour violon et violoncelle en ré mineur, Brainard d5
Sonate pour violon et violoncelle en ré majeur, Brainard D9
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David Plantier, violon
Annabelle Luis, violoncelle
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Un album du label Muso MU040
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Photo à la une : le violoniste Evgeny Sviridov – Photo : © DR
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Trop peu d’affinités, donc, pour ce qui me concerne, avec l’idiosyncrasie musicale de Giuseppe Tartini ;
à la glorieuse exception, toutefois, de ma part, de son enthousiasmant Concerto à 5, en Fa majeur, D.61, du CD « Duello d’Archi a Venezia« , Alpha 935 :
une fabuleuse réussite d’interprétation comme de musique, qui met, elle, parfaitement en joie…
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Ce jeudi 1er juin 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa
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