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Et un petit détour aussi du côté de la discographie du prolifique mais encore trop méconnu Alessandro Scarlatti (Palerme, 1660 – Naples, 1725) : un CD Tactus d’oeuvres pour orgue, par l’organiste Francesco Tasini…

07août

Et ce mercredi 7 août,

un petit détour aussi du côté de la discographie du prolifique mais encore trop méconnu Alessandro Scarlatti (Palerme, 1660 – Naples, 1725) _ ma discothèque personnelle comporte une cinquantaine d’albums de ce compositeur, sans qu’aucun d’eux ne m’ait durablement marqué jusqu’ici ; sur mon blog « En cherchant bien« , un seul article, en date du 19 août 2018, « «  _,

à l’occasion d’un CD découvert au hasard des soldes de CDs de cet été,

le CD d’œuvres pour orgue Tactus 661915 « Alessandro Scarlatti – Opera omnia per tastiera – Vol. V« , par l’organiste Francesco Tasini _ né 1952… _ un CD enregistré sur l’orgue Carlo Serassi 1836 (op. 442) à l’église di Santa Maria di Campagna, à Piacenza au mois de novembre 2014 _ ce CD Tactus est paru au mois d’octobre 2016… 

Et c’est là l’occasion d’un passage en revue et d’un essai de mise en ordre bienvenue de ma collection de CDs d’Alessandro Scarlatti, à l’œuvre vraiment très variée…

Et je retiens surtout un lumineux CD Divox Antiqua CDX 79403 d’œuvres pour orgue _ avec aussi une virtuosissime flamboyante « Toccata per cembalo d’ottava stessa « , dont voici le podcast (d’une durée de 24′ 02)… _ intitulé  « Alessandro Scarlatti – Opere per organo e cembalo » par l’excellent Andrea Marcon _ né à Trévise le 6 février 1963 _,

un CD enregistré à l’église San Giacomo de l’église de Polcenigo (dans le Frioul), du 3 au 5 avril 1991…

La réputation musicale d’Alessandro Scarlatti souffre probablement, et au moins en partie, de l’ombre portée du génie resplendissant, et parfait entre les parfaits !, de son fils, Domenico (Naples, 26 octobre 1685 – Madrid, 23 juillet 1757)…

Ce mercredi 7 août 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Retour à 4 bouleversants Duos pour violon et violoncelle d’Europe centrale (de Zoltan Kodaly, en 1914 ; d’Erwin Schulhoff en 1925 ; et Bohuslav Martinu en 1927 et 1958) par le violon et le violoncelle des frères Michael et Nicolas Seigle…

06août

Le premier et peut-être principal mérite du CD Passavant PAS 116053 « Sur les routes de l’Est – Martinu – Schulhoff – Kodaly » _ enregistré à Passavant du 13 au 15 janvier 2016 _, et que j’ai découvert parmi les CDs soldés cet été par mon disquaire préféré,

est de remettre à l’oreille 3 précédents _ vraiment splendides ! _ CDs de Duos de violon et violoncelle, de ma collection personnelle :

_ le CD Praga Da Camera  PRD 350 033 « Bohuslav Martinu – Duos and Trios for Strings« , avec le violoniste Pavel Hula et le violoncelliste Michal Kanka _ un CD enregistré à Prague au mois de juin 2000 _, comportant les deux Duos n°1 H. 157 (de 1927) et n°2 H. 371 (de 1958) de Bohuslav Martinu (1890 – 1959).


_ le CD Praga Digitals PRD/DSD 250 203 « Erwin Schulhoff – Chamber Music – Czech Degenerate Music – vol. IV« , par des membres des Kocian Quartet et Prazak Quartet, dont, à nouveau, Pavel Hula et Michal Kanka un CD enregistré lui aussi à Prague en 2003 ou 2004 _, comportant le Duo pour violon et violoncelle d’Erwin Schulhoff (1894 – 1942), composé en 1925 ;

_ et le CD Alpha 737 « Kodaly – Duo for violin and violoncello Op. 7 – Dvorak – Piano Trio Op.90 ‘Dumky’« , par le violoniste Barnabas Kelemen et le violoncelliste Nicolas Altstaedt (ainsi que le pianiste Alexander Lonquich) _ un CD enregistré à Lockenhaus au mois de juillet  2020 ; sur cette œuvre magistrale et sur ce CD magnifique, cf mes articles des 15 avril : «  » et surtout 4 avril 2022 : «  »  ; et regarder cette brève vidéo d’une durée de 3′ 57... _, comportant ce sublimissime Duo pour violon et violoncelle de Zoltan Kodaly (1882 – 1967), composé l’été 1914…

Un CD intéressant, donc, de ces deux frères Michael et Nicolas Seigle,

même si les interprétations de Pavel Hula et Michal Kanka, à Prague, d’une part, et Barnabas Kelemen et Nicolas Altstaedt, à Lockenhaus, d’autre part, vont assurément plus profond…

Ce mardi 6 août 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

S’orienter dans l’oeuvre (et la déjà bien vaste discographie) de musique religieuse du bon Georg-Philipp Telemann (1681 – 1767)…

05août

Dans la continuité de mon article d’hier 4 août 2024 « « ,

et afin de m’orienter un peu mieux dans l’œuvre de musique très abondant que nous a légué le bon Georg-Philipp Telemann (1681 – 1767) : plus de 3600 œuvres répertoriées au catalogue TWV, sur ses 6000 composées,

ainsi qu’en sa très riche aussi discographie _ ma discothèque personnelle comporte environ 250 CDs Telemann… _,

il m’a bien fallu impérativement mettre un minimum d’ordre dans le fouillis des CDs Telemann de mes rayonnages, thésaurisés au fil des années,

afin de faire un point un peu clair sur le volet à la fois compositionnel et discographique de mes CDs Telemann…

Or il se trouve que ma préférence musicale personnelle, assez conforme en cela au génie idiosyncratique disons hédoniste de Telemann lui-même, me portant prioritairement à sa très festive musique profane, à ses très jouissives musiques disons de table, ou de plein air, voire d’intimité joyeuse _ ses délicieusement parfaits « Quatuors parisiens« , sa délectable et infiniment jouissive « Musique de table« , au tout premier chef… _, davantage qu’à sa musique religieuse _ dont l’intensité intérieure tragique n’atteint pas vraiment celle des « Passions«  de son ami Johann-Sebastian Bach : le tragique n’est probablement pas le fort de Georg-Philipp Telemann… _,

il se trouve que le volet discographique religieux de ma collection de CDs Telemann comporte tout de même plus d’une soixantaine de CDs…

Quelles œuvres _ et quelles interprétations au disque _ de ce volet religieux de Telemann m’ont donc le plus intensément marqué ?

Probablement et surtout la brillante et puissante « Die Donnerode » de 1756 (TWV 6:3) _ ici dans l’interprétation de Hermann Max, en son CD Capriccio 10 556, enregistrée à Wuppertal du 27 avril au 7 mai 1990 ; admirez-la en cette vidéo (d’une durée de 42′ 24) _ ;

ainsi que le « Die Tageszeiten » de 1757 (TWV 20:39) _ dans l’interprétation à nouveau de Hermann Max, dans le CD Capriccio 10 319, enregistrés à Wuppertal du 15 au 26 avril 1989… _ ;

et aussi  particulièrement « Der Tag des Gerichts » de 1762 (TWV 6:8) _ dans l’interprétation ici de Nikolaus Harnoncourt, en le double CD Teldec 9031.77621.2, enregistré à Vienne au mois de mars 1966 ; écoutez ces 2 podcasts 1 (d’une durée de 62′ 54) et 2 (d’une durée de 58′ 40)…

Et je me permets de reprendre simplement ici la très juste présentation-résumé de Wikipédia :


Son œuvre est répertoriée dans le « Telemann-Werke-Verzeichnis » (TWV). Telemann aurait, selon L’Histoire de la musique de Bernard Wodon, édité chez Larousse, composé plus de 6 000 œuvres, mais un peu plus de 3 600 semblent avoir été répertoriées. Il est un des compositeurs les plus productifs _ voilà _ de l’histoire de la musique. Telemann était à l’affût de toutes les nouveautés _ oui ! _, et sa musique est beaucoup plus séduisante que savante – au contraire de J.-S. Bach qui était de ses amis – mais on est obligé d’imaginer qu’il pensait notamment à lui lorsqu’il parlait de ses collègues « qui contrepointent à tire-larigot ».

Pour autant, son art est rarement faible, et souvent plus savant qu’il n’y paraît ; sa « facilité » reflète surtout la souplesse _ voilà _ du génie du musicien, qui lui a permis de pratiquer tous les styles et de s’adapter sans effort aux évolutions de son temps. Car, au fond, Telemann est « un compositeur-caméléon ». Aucun compositeur allemand de cette époque n’a écrit dans un style « à la française » aussi parfait _ que lui. Mais ses concertos sont absolument et complètement italiens : impossible d’imaginer que le même homme ait écrit la suite Les Plaisirs et tel concerto pour trois violons. Mieux encore : français et Régence en 1720, ses œuvres relèvent en 1760 d’un style prémozartien. Polyphoniste à vingt-cinq ans, il abandonne le contrepoint à mesure qu’il vieillit, et que le style galant s’impose en Europe. On découvre alors en lui un don mélodique qu’on ne soupçonnait pas, d’une délicatesse et d’un charme merveilleux _ tout cela est parfaitement juste…

Telemann est le premier compositeur à obtenir la propriété intellectuelle de son œuvre, à une époque où les œuvres sont généralement considérées comme propriété des mécènes ; il tire d’importants profits grâce à ses travaux publiés pour la vente _ mais oui _ : plus de 600 suites pour orchestre, sinfonias, concertos, sonates, duos, trios, quatuors, sérénades, de la musique pour clavecin et orgue ; plus de 40 opéras et de nombreux intermezzi ; au moins 1 700 cantates d’églises, 15 messes, 22 psaumes, plus de 40 passions, 6 oratorios, et des motets à 8 voix ; des cantates profanes, des odes, des canons, des chants, etc.

Ayant accompli parfaitement la fusion _ oui _ des styles italien, français et allemand avec le style galant, Telemann est le principal représentant du préclassicisme en musique, et ses dernières œuvres, alors qu’il était octogénaire, sont tournées vers l’avenir.

 

Il est donc judicieux de s’intéresser aussi, et prendre plaisir, à la musique religieuse de Georg-Philipp Telemann,

celle surtout des années postérieures au décès, en 1750, de son vieil ami Bach : une autre époque de la musique s’est en effet alors ouverte ;

une musique bien différente, en effet, de celle de Johann-Sebastian Bach, et pas assez connue jusqu’ici _  du moins en France, semble-t-il…

Ce lundi 5 août 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

L’intense superbe filiation musicale, et même réciproque, entre Carl-Philipp-Emanuel Bach (Weimar, 1714 – Hambourg, 1788) et Georg-Philipp Telemann (Magdebourg, 1681 – Hambourg, 1767), le filleul et le parrain : le passionnant CD cpo « Telemann – CPE Bach – Veni sancte spiritus – Festive Cantatas » des Rheinische Kantorei et Das Kleine Konzert dirigés par Hermann Max en 2014, et ses suites…

04août

C’est la trouvaille inattendue parmi les très divers CDs soldés en ce moment chez mon disquaire préféré d’un passionnant CD cpo 777 946-2 « Telemann – CPE Bach – Venice sancte spiritus – Festive Cantatas » _ enregistré à Magdebourg les 14 et 15 mars 2014, et paru chez cpo en 2016…  _ par les Rheinische Kantorei et Das Kleine Konzert sous la direction de leur chef Hermann Max (né à Goslar le 26 mars 1941) cf ici un intéressant compte-rendu critique (en anglais) de ce CD par Johan van Veen paru en 2018 ; je n’en ai pas trouvé en français…  _,

ainsi que le constat, toujours renouvelé, de la profonde filiation musicale entre Carl-Philipp-Emanuel Bach (Weimar, 8 mars 1714 – Hambourg, 14 décembre 1788) et son très cher parrain Georg-Philipp Telemann (Magdebourg, 14 mars 1681 – Hambourg, 25 juin 1767), à l’écoute de de ce splendide CD _ qui, dois-je dire, était passé à sa parution en 2016, sous la vigilance de ma curiosité pourtant éminemment fidèle envers ces deux compositeurs que j’aime profondément, tous les deux _,

qui m’a vivement incité à revenir fouiller dans les rayons de ma discothèque personnelle _ riche d’environ 80 CDs CPE Bach patiemment thésaurisés au fil du temps… _ afin d’y retrouver, et bien sûr surtout ré-écouter _ et c’est chose faite, et bien faite, ce dimanche matin _, les albums des 4 principaux oratorios _ dixit le texte de présentation, par Eckardt van den Hoogen, du CD EMI des « Ultimes souffrances du Sauveur », paru en 1987… _ du cher CPE Bach, qui sont ainsi à ma disposition :

_ »Les Israélites dans le désert« , wq 238, composé en 1769 : il s’agit du CD Harmonia Mundi HMC 901321, par les Arts Florissants sous la direction de William Christie, enregistré à Lindlar au mois de décembre 1988 ;

_ « Les Ultimes souffrances de notre Sauveur« , wq 233, composé en 1770 _ un chef d’œuvre absolu (et musical et discographique !) que je porte au pinacle ; et dont je me stupéfie de ne lui avoir jamais jusqu’ici consacré le moindre article ; je n’en reviens d’ailleurs toujours pas… _ : il s’agit du prodigieux double CD EMI 7 47753 8, par La Petite Bande sous la direction de Sigiswald Kuijken, enregistré à Gemeende du 21 au 28 février 1986 _ je n’ai hélas trouvé ni podcast ni vidéo de cette magistrale interprétation, en 1986, de ce chef d’œuvre de Carl-Philipp-Emanuel Bach, par La Petite Bande, sur le web : voilà qui est proprement stupéfiant !.. _ ;

_ « Résurrection et Ascension de Jésus« , wq 240, composé en 1777-1778 : il s’agit du double CD Capriccio 10 206/207, par la Rheinische Kantorei et Das Klein Konzert dirigés par Hermann Max, enregistré à Wuppertal au mois d’octobre 1984 ;

_ « Chant matutinal pour la fête de la Création« , composé en 1783-1784 : il s’agit du CD Capriccio 10 208, par la Rheinische Kantorei et Das Klein Konzert dirigés par Hermann Max, enregistré à Wuppertal le 4 mai 1987.

De fait, me stupéfie aussi la filiation si je puis dire réciproque _ mais oui ! et pas à sens unique, donc… _ et absolument manifeste à l’écoute, pour ce qui concerne les dates de composition (1756, 1756, 1760, 1760 et 1762) des 5 œuvres de Georg-Philipp Telemann (1681 – 1767) et Carl-Philipp-Emanuel Bach (1714 – 1788) _ leur écart d’âge était donc de 33 ans ! _ interprétées ici en ce CD :

_ 1756 pour le « Gott hat den Herrn auferwecket » Wq 244 de CPE Bach _ je n’en ai hélas pas trouvé de podcast ni de vidéo disponible sur le web… _ ;

_ 1756 aussi pour le « Veni sancte spiritus » TWV 3:83 de Telemann ;

_ 1760 pour le « Veni sancte spiritus » TWV 3:84 de Telemann _ regardez-en ici la vidéo (d’une durée de 2′ 04) _ ;

_ 1760 encore pour le « Trauret ihr Himmel » TWV 1:1714 de Telemann _ regarder ici ces 3 vidéos-ci : 1 (de 3′ 31), 2 (de 49″) et 3 (de 48″) ; et écouter ces 2 podcasts-là : 1 (de 1′ 58) et 2 (de 48″) d’extraits de cette superbe cantate festive, de 1760… _ ;

_ et 1762 enfin pour le « Er neigte den Himmel » TWV 1:467 de Telemann regarder ici cette vidéo d’un extrait (d’une durée de 2′ 46) de cette autre très belle cantate festive de Georg-Philipp Telemann, composée, elle, en 1762…

en sachant qu’à ces date-là le parrain Georg-Philipp résidait, lui, et depuis 1721, directeur des 5 églises principales de la ville, à Hambourg,

et son cher filleul bien aimé (et futur successeur, à Pâques 1768, au prestigieux siège de Hambourg), à la cour de Berlin…

Et sur ce précieux point historique, consulter l’éclairante très détaillée présentation, intitulée « Church Music by Georg Philipp Telemann and Carl Philipp Emanuel Bach » de Ralph-Jürgen Reipsch, de Magdebourg, aux pages 15 à 18 du livret de ce CD…

De tempérament heureux et généreux (et très ouvert !), Georg Philipp Telemann _ cf ici mon article «  » en date du 25 juin 2017 _ avait très grand souci de la transmission musicale particulièrement auprès des nouvelles générations, et n’a cessé sa vie durant d’entretenir les plus affectueux et encouragents rapports avec ses jeunes confrères compositeurs _ dont son génial filleul (et futur successeur expressément choisi par lui pour lui succéder à Hambourg après son décès) : Carl-Philipp-Emanuel Bach… _, et pas seulement en Allemagne…

Et c’est probablement la gloire posthume    à partir du revival de Bach par les soins de Felix Mendelssohn, à Berlin, en 1829… _ de son confrère et ami Johann-Sebastian Bach, qui, peu à peu, à l’époque romantique d’abord, a mis en recul et quasi effacé _ bien à tort ! _ la réputation et la gloire musicales de Georg-Philipp Telemann auprès des amoureux de la musique…

Et probablement doit-on en dire tout autant du rapport de réputation et gloire musicales existant aujourd’hui, en 2024, entre Carl-Philipp-Emanuel Bach, le fils (1714 – 1788), et Johan-Sebastian Bach, le père (1687 – 1750) : l’ombre portée du père fait bien à tort mésestimer encore maintenant l’œuvre magnifique du fils…

Ce vraiment passionnant CD cpo de « Festive Kantaten » de Telemann et CPE Bach, paru donc en 2016, est décidément un peu trop passé inaperçu de la plupart des critiques discographiques, au moins en France.

Ce dimanche 4 août 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et aussi et encore se replonger de bonheur dans le bain d’autres merveilles du miraculeux coffret Glossa « A Life with Mozart » de Frans Brüggen : la bouleversante « Mauerische Trauermusik » K. 477 et deux sublimes interprétations de l' »Adagio pour 2 clarinettes et 3 cors de basset » K. 411, avec Erich Hoeprich les deux fois…

01août

Et aussi, et encore, se replonger de bonheur dans le bain d’autres merveilles du miraculeux coffret Glossa GCD 921135 de 9 CDs « A Life with Mozart » de Frans Brüggen et son fabuleux Orchestra of the Eighteenth Century :

avec la bouleversante « Mauerische Trauermusik » K. 477, un des poignants sommets de tout l’œuvre mozartien ! _ en voici le podcast d’une durée de 5′ 24… _,

ainsi qu’avec deux sublimes interprétations de l' »Adagio pour 2 clarinettes et 3 cors de basset » K. 411, avec la clarinette magique d’Erich Hoeprich, les deux fois,

enregistrées la première à Tokyo le 20 mars 1998 _ je n’ai hélas pas réussi à en dénicher un podcast ou une vidéo ; seulement une vidéo du début (7′ 53) du « Requiem«  K. 626 enregistré à Tokyo lors de ce même concert… _, et la seconde, à Veenendal, au mois de décembre 2001 _ en voici le podcast de 6′ 05… 

Et je regrette forcément de ne pas pouvoir donner à comparer ici les écoutes de ces deux bouleversantes interprétations de ce chef d’œuvre, magique lui aussi !, de Mozart…

Un coffret Glossa de Mozart/Brüggen for ever…

Ce jeudi 1er août 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa 

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